I
f i ï *■ **
ibfcj 'f"""
-H
'■ Wj'! i f
ï’
672 SER
Serpentdouhle-jnarcheur. ^ -74-
\crpenihérétimandel. 5u^>;7(. l. 8S4. J.
Serpent hémorrhoïs, V lU . 129. b. j.irjrüca , 458- b javelo
t , 471 . a. ibihoboca, 479. h. tbijara , ibiU. ibitm > 400. a.
icrepomonpa , 488. b. ^oçj. a. iliboboca. <{^4. a.
Serpent à lunette ou ferpent cûuronnè. X \ . 108. a. vo l. V 1 des
planches , Regne annual, planche ?.8.
Serpent matuina.X. 208. b.
Serpent noya. XI. 266. b.
Serpent naja, v o ye z ce mot.
Servent volcza,\Qytz et mot. ^
Serpent p.mbon , X L 804. b. pareas, , b. pimberak
XII. 6 1 7 .1 / a u v tg jr * , X IV . 729. i . X V 65. J. vol.
V I. dos planches , Repne animal, planche j8 . ura isya ,
X V . 00!. a. d m , X V I. 364. ». V ‘ -‘ dm. 788. J.
S ,'p a i.ifm m t< s .y .y . 108.4. rojcp vol. \ 1. des planch.
Resne animal, planche 29,
Serpent r ;urà,(ic/nAy,) poiffon de me r, fa defcnption.
Deuxefpcces de ferpens marins. X V . 108. Voye^ vol. V L
des planches, Regne animal, planche 5 5.
Serpent volant. Rel.ations des auteurs fur les animaux de
ce nom. X V . 108. <r.
StRPENS , morj'ute des . ( Médec. ) peuples c^m pretendoienc
gucrii cette moifure. XIII. 544. a , b. f'oye:^ MORSURE O’
PlQUURE.
Serpent , rampcmer.t du, ( Phyßq.j firuvlure fmgulisrc des
écailles amuihùres qui aident les ferpens dans leur mouvement
progrefl'if. X V . 108. b.
Serpent , rumpement du. Mcchanifiue de ce mouvement.
XIII. 787. rf.X lV. m o .E
Serpens, pierres d e , {_ Hijl. na t.j ou cornes d Ammon.
X V . ic8. i.
Si-KPENS , lanrues de, {Hiß. nai.) vûw^ G lOSSOPETRES.
Serpe.s e , ( Pecrißo.i!ions) ycux de ferpent. IV. 435-
IX. 272. «T.
Serpent, Lm^iiede, {B o ia n .jlX .
Serpent fétiche, ( H f . mod. Superß. ) les Nègres d Afrique
prennent pour objet-de leur culte le premier objet qu’us rencontrent
en fortant de chez eux iiour exécuter quelque ep-
treprife ; c’eft cette divinité qu’ils nomment fétiche. C.cs fu-
perftitions groffieres n'empèchent pas qu’ils n’aient des idées
aiTez jultes de l’être fuprèine. C ’eft fur-tout un ferpent qui
eft la divinité la plus révérée des Negres de la côte de
Juidah. Sa defcripiion. Culte qu’on lui rend. Refpeil que
l’on a pour les ferpens de fon efpece. X V . 108. b. Iinpoftu-
res de ù\s prêtres , par Icfquellc.s ils fervent à la fois leurs
ph.ifirs & leur avarice. Auiuriré de leur chef. PrêirelTe de ce
dieu. Ibid. 109. a.
Serpent, {Aßron.') conftellation. X V . 109. j . Moyen de
la démêler dans le ciel. Suppl. II. 5 68. a.
Serpent d’airain, {H tß .juJauj.) Marsham s’eft imaginé
que le ferpent d'air'in étoit une efpece de talifman. Autre
fentiment fort fmgulier de Buxtorf le fils fur les miracles
opérés par cette hgure. On prétend montrer à Milan un
ferpent d’airain qu’on dit être le même que celui de Moïfe.
X V . 109. b.
Serpent d’airain , élevé au défert & détruit par Ezechiaz.
X L 187. b. Regardé comme une efpece de talifman. X V .
S67. J.
Serpent , ( Critiq. facr.) le démon appelle du nom de 1er-
pent dans quelques endroits de l’écriture. X V . 109. b.
Serpent , ( My/AoL ) cet animal a été un fymbole du
foleil ; il a été auft'i un lymbole de la médecine 8c des dieux
qui y préfident. Efpece de ferpens particuliérement confa-
crée à Efciilapc. X V . i i o . b. Les dieux ètoient fouvent
repvéfentés chez les Egyptiens, n’ayant que leur tête propre
avec le corps 8i la queue du ferpent. Serpens attelés
auchar deTriptüleme. Origine des ferpens felon les poètes.
Ibid. 1 10. a.
Serpent, { Poéf. L h t.) defciiption politique de cet animal.
X V II . 729. Peuples qui palîbient pour manier impunément
les ferpens. XIII. 544. a , b. Le ferpent repréfenté
comine figure fymbolique. X V. 730. a , b. 734. a.
Serpent , (Blafon ) voye^ G üivre.
Serpent , {H iß . des fuperßit.j oeuf de ferpent. XI. 410. ,
b. Divin>tion par le moyen des ferpens. 502. a , b. TalÜ-
manoti ilsétoient reprèfentés. X V . 8c8. b. Ulage des Athéniens
de coucher leurs enfans fur un ferpent d’or. X V I .
829. a.
S erpent , ( Luth. ) infiniment de mufique à vent. Sa def-
criprion. X V . 1 10. a. Maniéré de jouer de cet infirumtnt. Sa
tablature , par laquelle on voit quelle partie 8c quelle étendue
forme le ferpent./i.'if. b.
SERPEN TAIRE, ( Botan. ) carafteres de ce genre de
plante. Defeription de la ferpeiitaire# X V . n o . b. Lieux où
cUecrcHt. Ibid. n i .a .
S E R
Ser p en ta ir e , {Mat. médk.) les vertus de fss racines 8c de fes feuilles lemblables à telle du pie-de-veau. XIV.
Serpentaire de Plrginie, { Bot. ) ou vipérine de Virginie.
Defeription de cette ratine. PUiknet aft'ure que Ion
nous apporte de Virginie les raeines tic trois plantes, fous le
nom de ferpent.tire de Leur defeription 8c leurs noms
parcicLiliers. X V . 1 1 1. a.
Serpentaire de Virginie , { Mat. midic. ) principes contenus
dans cette racine. Vertus qu’on lui attribue. Manières de
l’employer. X V . 1 1 1 . é.
Se r p en ta ir e , ( Ajlron. ) conftellation. X V . n z .a . Voye^
O ph iu cu s .
SERPENTEAU , ( Artifice) maniéré de faire 8c de conitruire
cette forte d’artifice. X V . 112.4.’ .
Serperttaux. VIII. 390. b. Etoiles à lérpcnteaux. VI, 67.
é. Serpenteaux appelles fougues , VU . 220. a. lardons. IX.
291. b. 292. a.
SERPENTEMENT , {Géom.) partie d’une courbe qm
va enferpentant.XV. 112. j . Serpt-ntement infiniment peut.
Ibid. b. ,
SERPENTIN, (f/ iy/««) inftrument d e ch ym ic , vol. III.
des planch. Chymie , planche 6 ôc 8. 8c diftillateur d eau-
de-vie, planche i. Ufage de cet infiniment dans la diftillacioii.
V. 197. b. 200. a.
Serpentin , vers, (Lite.) XVII . 161. a.
SERPENTuNE, {Litholog.) efpece de pierre ollaire. Sa
n.atiire. Lieu où elle le trouve en plus grande abondance. Ses
ufages. X V . ii2 .é .
Serpentine , efpece demarbre. IX. 816. a. 81S. a. X L 503.0.
SER P E T T E , ( Outil d’agric. ) ufage de cet outil pour la
taille des arbres. Qualités que doivent avoir les bonnes Serpettes.
La taille des arbres cil une des plus utiles occupations
de la campagne. X V . t 13. n.
SERPHÜ, ( Gécgr.) ifte de IWichipel, autrefois Sénphe.
X V . 112. d. Sa fttuaiion 8c fa grandeur, Sa defeription. Ses
mines de fer 8c d’aimant. Oignons cultivés dans cette illc.
Bourg de Serpho appellé San-Hicolo. Ses liabitans. Couvent
des moines de S. Michel. (Eillet de Serpho. Ibid. b.
SIOIPIGO, {Médec.) efpece de herpe ou dartre. D e feription
de cette maladie. X V . 1 13. é.
S ER PO LE T , ( Bù u n .) carnaeres de ce genre de plante-
Ses efpeces. Defeription de celle qu’on eftime le phu^ en médecine.
Lieux où e llecroît.ScsvertiisSc ufages.XV.114.it.
SER R A IL , {Archit.turq.) defeription du ferrail de Coiif-
lantinople , 6c de fes dépendances. X V . 114. b. Vieux fer-
rail où font confinées, après la mort de l’empereur, les femmes
qu’il a honorées de fes carelfes, ôc les filles majeures. Ibul.
Serrail. Bibliothèque de ce lieu. IL 232. b. Chambre du
tréfor. HL 224. a. Première Ôc fecontle chambre du ferrail.
Ibid. Appartement où fe tiennent les pages 8c officiers. Ibid.
Des femmes du ferrail, voye:^ SuLTANE. Etat des favorites
du grand-feigneur, XL 344. b. Les femmes du ferrail fe
fervent fréquemment de dépilatoires. IV . 8 é i. b. Ufage
qu’elles font du maftic. X. 181. h. Comment les médecins
du ferrail vifiteiit les femmes malades. 272. <2. Cri ufité
dans le ferrail, lorftme le grand-feigneur veut aller dans le
jardin des fultanes. l lL 274. b. Officiers du ferrail. Grand-
maître, II. 626. b. tréforier, IIL 224,<î. médecins , V . 258.
b. précepteur, III. 362. capitaines des portes, H. 627. a.
portiers. Ibid. Valets occupés à couper 8c porter le bois. 49.
a. Valets occupés au jardin du grand-feigneur. 339. b. Muets
duferrail. X.8 5 1 . é. Nains, ièii/. 8c XI. 8. u. Sur le ferrail ,
;^oyfrSiRAi.
SER R A N , Serratan, {Ichthy. ) poHTon de mer. Sa defcrip-
ûon. Q ualité de fa chair. X V . 1 16. a.
SERRE , {Econ. rujliq.) couvert pour mettre certaines
plantes pendant l’hiver. Détails fur la maniéré de le confiruirc.
X V . i i6 .é . ^ ^
Serre. Defeription de differentes ferres , vol. I. des planches
, Jardinage. Petites ferres appcllécs verrières. X V IL
156. b. Moyen d’échauffer une ferre par des miroirs. 1.
627. b. Des plantes qu’on y enferme en hiver. IV. 551.
a , b. Moyen d’exciter dès l’hiver d.ms les ferres les fleurs qui
ne viennent qu’au printems ou en été. VI. 857. j . Utilité d uii
ventilateur dans les ferres. X VII. 27. b.
Serre , ( Géogr.) nom d’une rivicre & de deux bourgs de
France. x V . 1 16. b.
Serre , ( Fonderie) forte de preffe. X V . 1 16. b.
Serre , ( Sucrerie ) coin en ufage pour les moulins à fucre.
X V . 117.11.
Serre , ( r/g/i«rt)/i) preffuragedit marc de raifm au preffoir.
Maniéré dont fe fait ce preftarage. XV. 117. a.
Ser r es, {Fauconn.) X V . i i - . a .
Serre , {M .) dcGéneve ; obfervations fur fon ouvrage
intitulé , Effiai fur Us principes de l'harmonie. VII. 63. b. SuppL
IV. 859. b.
Serre , ( Ican Puget de U )n h àTouloufe.
S E R
SERRER, ( Maréck. )_ cheval qui fe ferre ou qui s’élargît
trop. Comment on lui fait prendre les habitudes oppofées.
Serrer la demi-volte. X V . iiy .b .
Serrer. Différence entre ciiclouer ôc ferrer. Signe auquel
011 rccoimoît ces accidens. Moyen de difeerner le clou d’où
vient le mal. C e qu’il faut pratiquer lorfque le pic n’a été que
ferré. V . 625. b. 626.a.
Ser r es, {Olivier de) ftre de Pradines, fon ouvrage fur
l’a g r i c u l t u r e . I . 2 16 .a ,b .
S E R R E T T E , Sernuulc, ( Botan. ) efpece de jacée. Sa
defeription. Lieux où elle croit. Ufage qu’en tirent les teinturiers.
X V I. 1 17. b.
SERRURE , ( Serrur. ) pieces dont une ferrure cft compo-
fée. Différentes fortes de ferrures. XVL 1 18, a.
Serrure. Différentes parties d’une ferrure : boutcrolle , IL
381. a. canon. 618. a. Coqs des ferrures à pèle en bord.
IV . 181. II. Cremaitlcre d’une ferrure à pignon. 432. b.
RelTort nommé foliot. V IL 44. é. Piece appellee foncct. 50.
é. Garniture de ferrure. 518. b. Garniture nommée rouet ;
confiruélion de fes différentes efpeces. X IV . 399. b. 400.
A , b. Talon de ferrure. X V . 869. b. Dos différentes efpeces
deferriires. XVII . 821. 822. <1, i — 824. é. Efpece de ferrure
appellee houffec. VIII. 327. b. Foyeilts planches de ferrure-
rie,vol. IX , planche 23 — 28.
Serrures de la Grèce moderne , ( Hiß. des arts ) doferip-
lion des ferrures de bois qui font prcfque les feules que l’on
connoiffe dans toute la Grèce. Serrures dont fe lérvoient ordinairement
les anciens Romains. X V . 118,/».
Serrures , déejfedes , ( Mythol.) III. 307. b.
SERRURERIE, {A r ch it.) ouvrage à confulter fur la fer-
nu-erie.XV. i i8 .é .
Serrurerie. Etymologie du mot. Eloge de cet art. XVII .
S u . a. Deux parties dans la ferrurcrie, l'avoir la connoif-
fance des différences efpeces d e fe r s , 8c.la maniéré d’en fabriquer
toutes fortes d’ouvrages. Premiere partie. Du fer en
général. Du fer felon fes propriétés. Ibid. b. Du fer felon
its qualités. Des différentes efpeces de fer. 812. a. Du fer
felon fes défauts : felon fes façons, tbid. b. 6c 813. a , b.
D e la maniéré de le chaufibr, ibid. b. Ôc de le forger. 814.
a. Seconde Partie. Dos ouvrages. Des ouvrages bruts. Des
fers de bâtiment. Des gros fers. Ibid. h. 813. a , b— 817.
a. Des légers ouvrages. 817. a , b. 818. a. Des grands ou-
•Vrages. Des compartiinens qui les compofciu. 818. a. Des
contours. Des ornemens. Ibid. b. Des grands ouvrages en
particulier. 819. a , b. 820. a , b. Des ouvrages limés. Des
ferrures. Des clés forées. 821. a , b. Des clés à boutons.
Ibid. h. 8c S22. a. Des différentes efpeces de ferrures , 822.
A , de portes, ibid. b. 823. a. d’armoire, de coffre. 823.
b. 824. a. D e quelques autres efpeces de ferrures. 824. b.
Des becs de canes. Des targettes. Des io'iiietaux. Des loquets.
823. a. Fiches. Pommelles. Ibid. b. Charnières. Couplets.
Briquets. Crochets. Equerres. Efpagnolettes. 826. u ,
b. 'Verrouils. Bafcules à verrouils. Marteaux ou heurtoirs.
Ibid. b. Scores. Sonnettes. 827. a. Vitreaux 8c lambris dans
le goût de la menuiferie. Outils. Outils de forge. I. 817.
b. 818. a. Marteaux de forge. 828. a , b. Outils emmanchés.
Ibid. h. Outils d’établi. Limes. 829. a , b. Autres outils d’établi.
830. a , b. Outils à ferrtr. Ibid. b. Outils de rcle-
veurs. 831. a , h. Calibre des ferruriers. II. 356. b. Chc-
■ valet ou machine à forer. III. 31 1. a , b. Cifeaiix. 480, a.
Ornemens dans les ouvrages de ferrurcrie appelles feuille
d’eau ,d e palmier, de laurier , de revers. VI. 636. Planches
de femirerie , vol. IX. au nombre de 59.
SERRURIER, ( Corps de jurande) énumération des outils
du ferrurier. Communauté des maîtres ferruriers à Paris. X V .
n 8 . h.
S E R T IR , voyeî[Sertissure. Bouleà fertir.II.362.
SERTISSURE, {Lapidaire) méthode qu’employoient les
anciens pour arrêter les pierres dans le métal, avant que l’on
connût l ’art de fertir.XV. 1 19. j .
Sertissure ,{Mctteur-en-auvre)6t(cr\px\o\iüt la maniéré
d’exécuter quatre différentes fortes de feriiffures ; celle à griffes
.celle à bifeau creux, celle à feuilles,' 8c celle à filet. Ibid. b.
S ERTORIUS , ( ) général r om ^ . XI. 226. a.
Suppl. IV . 72. a. Education qu’il fit d o n i^ d a n s la ville
d’Ofea aux enfans des plus nobles maifons^’Efpagne. XL
678. b. Amour ÔC fidelité des Efpagnols envers lui. Sa mort.
Suppl. IL 112, b. 113. a.
S ER V AG IE R , fe rf, {Jurifpr. ) X V . 84.
SERV A N T , ( /un/pr. ) fief fcivant. Piece fervant à con-
viâioii. Requête fervant d’avertiffement, de griefs , ô-c. X V .
119.^.
Servant. F ief fervant. V L 715 . b. Frere fervant. VIL 300. è.
Gentilshommes fervans. 603. <j.
Servans d armes y {Hiß. mod.) chevaliers du troifieinc
rang dans l’ordre de Malthe. Leur nobleffe. X V . 120. a.
Servans d’armes, dans l’ordre de Malthe. VU. 302. a.
SERV£T,(AffcAf/)voyr3;SERvÉTisTES. Doélrinedc Server.
I. 630. a. Obfervations fur fa v ie , fes ouvrages 8c fa mort.
Tome IL
S E R 673
XVII, 274. b. — i j6 .a . Server confidéré comme anatomifte.
Suppl. I. 394. b. C e qu’on penfe aujourd’hui à Geneve du
ftipplice de SerVet. VIL 378. 2. a.
SERV ETISTES, ( Hifl. eccl.) fciftateiirs de Michel Servet,
chef des antitrlnitaires de ces derniers tems. La doifti ine des
anciens anabaptiftes de Siiiffe étoit conforme à celle de Server.
Obfervations fur les ouvrages 8c la doftrine de cct h.Té-
fiarque. X V . 120. u. Expofuion de fes erreurs, tbid. h. Manière
donnl fouffrit la mort. Ses connoiffances littéraires. Ibid. m . a .
S ER V IC E , {Gramrn.) différentes fignifications 8c acceptions
de ce mot. X V . 121. a.
Ser vic e , ( Gr.imm. Moral. ) différence entre fervice , office
8c bienfait. XI. 413. a. Il n’cll pas féaiit d’accepter quelque
chofe pour un fervice rendu, à moins de plufieurs circonf-
tances. X IV . 831. a. Comment les fuuvcrains récoinpcnfciit
les grands fervices. X(. 602. b.
_ Service divin , ( Cntiq. facr. ) celui des premiers chrétiens.
Remarques fur le baifer de paix par lequel on termi-
noit le fervice divin. X V . 121. a.
Service divin, vo ye z CÉRÉMONIES RELIGIEUSES, CuLTE
ÔC O ff ice. XL 413. a , b. 417. a.
Se r v ic e , {Jurifpr.) fervice du ban & de l’aniero-ban.
I. 709. a ,b . IL 31. b. 32. a. Service d’hoft, VIII. 316. b.
Service de chevauchée. III, 314. a ,b . Homme de fervice.
VIII. 281. a. Q u i ètoient au commenecmem de la monarchie
ceux qui ètoient tenus au fervice militaire. VIII. 279. j .
Les eccléfiaftiqiies y ètoient obligés. V . 223, b. VIH. 317. a.
380. b. Comment ils ont été peu-à-peii diljDenfés de fervir.
V . 226. b. Les fiefs obligeoient auffi au fervice militaire. V .
386. b. Origine de cette obligation. VI. 694. a. 696. a. Ce
fervice converti en redevance on droit de garde, VIL 491.
a, b. Hommage de fervice. VIH, 236. b. Difpenfe de fervice.
1041. b.
Ser vice militaire, owwagp à confulter fur le fervice mili-
taire étranger confidéré du côté du droit ôc de la morale.
Queftions importantes traitées dans cet ouvrage. 11 y a eu
dans tous les tems , des pays dont les peuples fournilfoient
indifféremment des troupes à ceux qui vouloienc les payer;
tels furent les Gaulois, les Etoiiens, les Géfates, peuples
du Languedoc. X V . 121./;.
Service militaire. Durée du fervice chez les Athéniens Ôc
les Romains, X V il. 221. b. Du lervice militaire chez les
Romains. X. 303. .2, A, 5 1 1. .z, b. Vvyc[ MlLlCE.
Service de marine. HL 506. b. Quart dans ce fervice. XIII,
671. b.
Ser vic e , ( A n cuTm. des Rom. ) diftribinion des fervices
fur les tables des anciens Romains. X V . 121. b.
Services dans les foupers desRomains. X V . 409. b. 4 1 1. a.
Se r v ic e , {Archit.) tranfport des matériaux, X V . 221. a.
S ER V IE , la ( Geogr.) province de la Turquie européenne.
Ses bornes ôc fon étendue. Hiftoire de cette province. Son
état préfent. XV. 122. a. Peuples de la Servie. Ibid. b.
Servie, partie de ce pays appellee Rafcie. XHL 813. b.
Caraifteres ferviens, vol. H des planch. Caraftere, pl. 11 .
SER V IE T TE , {Chir.) forte de bandage. Xv". 122. h.
Se r v i^ t e , ( i.nctV.) long-tems même après lefiecle d’Au-
gufte, c’étolt la mode que les conviés apportoient leurs fer-
viettes. Catulle 8c Martial fe plaignent de gens qui leur
emportoient leurs fervieties Ôc leurs nappes. X V . 122. b.
Serviette, vo ye z fur l’iifagc des Romains dont il vient
d’être parlé. IV . 168. b. X L 20. a.
Se r v ie t t e , ( moif.) ferviettes de toWtr.t. Suppl. III.
734. a. D ’enfant. 737. a.
S hR V ILE , crainte {Morale) VI. 797 a
S E R F IL IA , lo i.lX . 672. b.
SERV IS, {Jurifpr.) devoirs dont le ccnfitaire emphy-
féote eft tenu envers le feigneur à caufe de l’hcritage qui lui
a été donné à cette condition. Ce ternie eft fynonyme de
cens, ÔC on les joint ordinairement enfemble. Prelcription des
arrérages des fervis. X V . 123. <z.
_ SERVITE. ( Ordre rnonaJUq. ) Inftituteur de l’ordre des Servîtes.
Regie de ces religieux. En quel pays ils font établis.
Auteur qui en a relevéla gloire. X V . 12 3.iz.
Servîtes, religieux de cer ordre nommés blancs-manteaiux.
IL 271. b.
SER V ITEU R , {Morale) pouvoir des maîtres fur le sfcr-
viteurs. XV. 123. a.
Se r v it e u r , {Thévlog.) différentes lignifications de e t
terme dans l’écriture. Deux fortes de ferviteurs ou d’efcla-
ves chez les Hébreux. X V . 123. a. On fe qualifie quelquefois
de fervitcur, mais on n’aimerok pas recevoir cette qualification
des autres. Exemple. Ibid. b.
Serviteur, garçon chez les maîtres chirurgiens , ouvrier
dans les raffineries. XV. 123, b.
SE R V ITU D E , {Jurifpr.) difiérentes acceptions de ce
mot.XV. 123. A. Servitudes ailivcs & p.iffives, perfonnellcs
Ôc réelles. Autres fubdivifions fur le mot fervititde. Ibid. 124. a.
Servitude aéftve, apparente, de bois, continue, latente
mixte,naturelle ,néceffaire, X V . 124. a. occulte ou cachée’
H H H H h h h h