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fclRlc: avMtJgcs C|1.= l.-s Angiois . =iircnt ic Ta culii.re ; m -
. .i« c dc Ic ft.ncr, IV. 563- "■
Supplimm,. U&go dc cc blé du tens des Romains. S t^ I .
I o i Î -/ L«; Icig'c pell cultive en Italie. Suppl. II. »56. b.
È.Kimicii de I.1 queftion , l\ le fcigle cft un froment degéneré.
Suppl. IV. 407. b. 408. Examen d’imc [dame quiportolt
im éi)i de l'cigle &. un épi de froment. 4O7. b. Blé de Sibé-
lic ‘ variété 'dll fcigle. bon utilité dans ce pays. 968. b.
Ula’i'e de femer le fcigle avec le froment pour foulagerlcs
terres Suppl. 1. 921- b. Quantité du produit des terres à
l'cii;lc.' Ibid. Semaine du fcigle en feptembre. Suppl. IV.
il. Influence du climat liir la quantité du fcigle. Suppl,
i. (.Jiï.b. Article fur le léigic.6'«;);V. IV. 408. b. 409. a.
StlGLE, {Dicte & xM.ii. ir.cdic.) qualités de deux difié-
i cntcs fortes de p.iins de felglc , l'im grollicr & l’autre f.dc
avec h feule fine farine de ce blé. Vlage médicinal de la
f.n iiic de f=iü,le. Maladie gangreneufe caufee par le pain oit
fe trouve du' fcigle ergoté. X lV , 893. a. Cette maladie eft
endémique (I.nis‘ la Sologne. Mémoire à confulter fur ce
fiijet. Pour le traitement de cette gangrène , Gangrene.
— Sur le pain de leigle , XI. 749. b. X l l l . 570. j ,
111. i. Seigle ert^oté, {B o u n .) fulvant M. Aimcn , 1 ergot dit
fcigle ell la même mabdie que le ch.ubon du froment. Ob-
fervaiions que ce n.iiuratillc a faites fur ce fiijet. Maladie
fiinefle que ce leigle ergoté caufe fouvcnc aux payCans de
Sologne. X IV. 893. b. Pourquoi l’ergot ne produit pas tous les
ans ces fâcheux accideiis. UU. 894. u. Voye:^ Suppl. II.
^5cvc/c- erpté. V. 906. b. Canfc de cette maladie. II. 444. b.
Seigle, ( C'u« « - ) mclure du fcigle appellee/jy/. Saconii-
ncrce & l'on poids. X IV . 894. b.
Sci«h\ Précautions ù piendrc dans l’achat de ce grain.
I. 920. .2. De fa mouture. 922. b. Supt-LlÜ. 921. u , b. Son
produit en farine Ck en pain. Prix du leigle. Le feigle fe con-
l'erve plus ail'ément que le froment. D u mélange de ces deux
fortesdegrains.Suppl. I.922. b.
SEIGNEUR , étymologie de ce mot. Les fei-
|neiirs de fiefs diftingués en grands 6c en moindres. XIV.
^Seigneur : explication de ce terme joint aux epithetes fui-
vames : bas-jiifUcier, cenfier ouccnfucl, foncier ou clief-fei-
gneur, X IV.8 94. fl.direél ou féodal dominant , ecclélialii-
q u e , cngagi'fte, de f ie f , des fleurs ly s , gagier , haut 6c puif-
fant, liaut-inflicicr , jurifdiftlonnei , libre, Ibid, /».lige, de
lo ix o u en ioix , moyen-jullicicr , de paroifTe, en partie ,
patron , plus près du fond , prochain ou proche, proritable,
redouté, J'pirituel , fubalterne, fuzer.iin , temporel, Ibid.
893. U. vicoimier, utile. db:d. r.
Seigneur cc-niier , II. 819- chef-feigneur.III. 272. b.
to-fergneur. IV. 250. b. Seigneur cotier. 303. b. Seigneur
Iiaut-jufticicr. 'VIII. 70. /».Seigneur jiiBicicr, mo yen, bns-
juflicior, voyci ce dernier mot. Seigneur de paroilTe. XII.
76. n. Sîigncur fuzerain. X V . 699. b. La plupart des autres
epithetes ajoutées au m o t f c trouvait expliquées
Hans leurs articles particuliers. Ulurpations 6c tyrannies des
feigneurs vers la fin de la fécondé race. IV. 281. a. Déla-
veu du feigiieur. S72. b. Tant que le feigneur dort , le
vaifal v eille, &c. V . 56. a. N V i. 873. a. Droits honorifiques
des feigneurs dans les églifes. J42. b. Garde ou pro-
teûion des feigneurs. V IL 492- b. Quatre cas où cert,iins feigneurs
peuvent doubler leurs rentes. \ III. 683. b. Juges de
feigneurs. IX. 15. b. 16. b. 98. a , b. Notaires do feigneurs.
X L 246. b. Table du feigneur. X V . 800. b. Lieutenant du
feigneiir. X VI. 873. a , b. Vice-feigneur. X'VIl. 236. a.
bEiGNEUR, {Critiq. fiicr.') ufage de ce mot dans la bible.
X IV . 895. i.
Seigneur, {L itt.& Mèdaill.'^ empereurs romains qui fe
font donné ce titre. X IV . 895./».
Seigneur. Ufage que les Romains firent de ce titre. X.
670. b. Le titre de feigneur donné autrefois au foleil. XV.
313. b.
Seigneur , Grand ; Homuic , Grand- , {Lang.franç. ) différence
confidérable entre un grand-feigneur 6c un grand
homme. X IV . 893. b. Voyei^GRAvos & Grandeur.
SE IGN EU R IAG E , {Juri/pr.) définition. XIV, 893. i.
SziGNEURlAGE & Braffage, droit de, ( Monnaies ) l’Angleterre
ne prend aucun profit du feigaeuriage ni du braffage fur
la monnoie. Sous les Romains, on ne prenoit pas fur les mon-
noies les frais de fabrication. Recherches fur l’origine du
droit de feigneuriage en France. En quoi il a conliffé fous
différens régnés. Quelques-uns de nos rois s’en fonr départis
quelquefois , retenant feulement quelque chofe pour la fabrication.
X IV. 896. a. Ce que nos anciens rois prenoient fur la
fabrication de leurs monnoies^ ctoit un des principaux revenus
de leur domaine. Auffi lorfque le befoin de l’état le
demandolt, le roi non-fculemeni augmentoit ce droit, mais
par vine politique bien mal entendue, il affoibliffoit les mon-
noies Sc en diminuoit la bonté. Mais fous Charles V U , l’im-
S E ï
pdfttion fixe des tailles 6c des aides fut fubfUtuée ù la place
de ce tribut infiniment plus incommode que n’etoient alors ces
deux nouvelles impofitions. Ibid. b.
SEIGN EUR IAL , {Jurifpr.') bailli feigneurial. IL iS .b .
Corvée feigneuriale. IV . 283. a. Les terres feigneurialcs
s’cflimcm au denier fort. 827. a. Droits feignciiriaux. V.
144. Garde feigneuriale. VII. 487. a , b. 490. /».XVII.
793. b. Grands-jours feigneuriahx. VII I. 893, b. Juge fcL
gncurial. IX. 16. b. Juriidiéfion feigneuriale. 81. a. Julliea
f'eigneiiriale. 97. />. Office feigneurial. X I .4 1 8 .J , b. Rente
feigneuriale. XIV. u 8 . b. ScD feigneurial. 731. a. Ville fei-
gneiiriale. X VII. 280. b.
SEIGNEURIE, {Jurifpr.) étymologie de ce mot. XIV.
896. b. Chez les peuples de l’antiquité, les feigneuries particulières
étoieni inconnues. Ceux que dans l’ancienne Gaule
on appclloit principes regionum atijiie pagoruni, n’étoient pas
des leigneurs : leur puiffance étoit actadiée à leur office.
La propriété appellee fleurie ne participoit jamais de la fei-
gnctirie. Mais dans la fuite, cette puiffance 6c cette propriété
furent confondues avec l,i feigneuvie. Définition du
terme de feigneurie. Les Romains ont reconnu la fdgneurie
oit pnilfance publique , 6c l’ont exercée fur les perfonnes
6c l'iir les biens. Etabliffemciu des feigneuries dans les
Gaules, lorfque les Francs en eurent fait la conquête. O rigine
des fiefs 6c arriere-fiefs. Ibid. 897. a. Deux différc-ns
degrés de feigneurie publique 3 la fouvcraincté 6t la fiize-
raineté. Deux fortes de l'eignemie privée 3 la dircéle 6c l'ii-
rilc : origijie de ces difiinéllons. Ibid. b. Trois fortes de
feigneuries ftizeratnes 3 les grandes, les médiocres , 6c les
petites ou fmipies feigneuries. D ’où relèvent ces diftérens
degrés de feigneuries. De la divifibilité des fiefs 6c feigneu -
ries. SuccelBon aux grandes feigneuries accordée aujoiird’liiii
aux feiiune.s. Les médiocres 6c petites feigneuries étoient
inconnues dans l’origine des fiefs. Ibid. 898. a. Divers droits
dont les feigneuries peuvent jouir, les uns relatifs aux fiefs,
les autres à la juffice. La pniffmce fpirituelle n’eft point une
léignciiiic proprement dite. Les jn/lices appartenantes au;t
villes ne font point une marque de léigneurie. Ouvrages à con-
fiilter. y/»/</. b.
Seigneurie. Chef-Lieu de la feigneurie. III. 272. a. L’éciielle,
figne de feigneurie. V. 252. a, b. Degrésde feigneurie marqués
parle nombre des piliers des fourches patibulaires. VIL
224. b. ^
Seigneurie : explication de ce terme joint aux epithetes
fuivantes. Seigneurie cenfive , in concrcto, direéle , foncière,
honoraire, privée, publique, fouveraine , XIV. 898. b. fu-
baherne, fuzeraine, temporelle , vicomté utile. Ibid. 899.<r.
SHILLANS, {Géogr.) dans le diocefe de Fréjus, autrefois
Sahnee. Suppl. IV. 708. a.
SEIME, ( Maréch. ) Suppl. III. 412. b.
SEIN , ( Critiq.facr. ) acceptions 6c ufages de ce moi dans
l’écriture Ihinte. X IV . 899. a.
Sein d’Abraham, ( Critiq.facr.)\ç% Juifs ont ainfi nommé le
féjour des bienheureux. Opinion particulière d’Irenée 6c de
Temillien fur ce fiijet. X IV . 899. b.
Sein , ( Médec. t/fag. ) maladies du feln dans les femmes
en couche. VI. 481. b. Voye:^ Mammelle. Bandelette dont
les jeunes romaines fe ferroienr le fein. X V . 3 48. a.
Se in , {Marine) petite mer environnée de terre. XIVL
899. b.
SEINE , l a , { Géogr. ) defcriptlon du cours de cette riviei e.
X IV . 899. i.
Seine. Lieu de fa fource. Suppl. IL 318. a. Son eau devenue
dangereufe en 173 i. V . 193. a. Pourquoi elle donne
le dévoiement aux étrangers. Ibid. Evaluation de la quantité
d’eau que la Seine charrie depuis fa fource jufqu’à Arna)>
le-Duc. V II. 90. a , b.
Seine , (PecAr) forte de filet. Maniéré de s’en fervirponrl.i
pèche du hareng 8c du maquereau. X IV . 899. b.
Seine ou Traîne , {Pêche) forte de f ile t , dont le coleret
eff une efpece. Différentes efpeces de poiffons que l’on pc-»
che avec les feines claires. Defcriptlon des feines épaiffes
Ôc de la pèche qui fe fait avec ce filet. X IV . 900. a. Efpeces
de poiffons pour lefquels on l’emploie. De la pêche
avec les feines dérivantes , 6c avec les feines dormantes.
Ibid. b. Autre force de feine appellee feine traverfantc 3 fa
manoeuvre 3 efpeces de poiffons pour lefquels elle eff deffinée.
Ibid. ^01. a. J^oyr^vol.'VlII des p lanches, article PÈCHE.
Seine caplaniere, {Pêche) ufage que les pécheurs font de
cette force de filet. X IV . 901. ^
flottantes à fleur d’eau , {Pêche) ufage de ce filet.XIV.
^°Seine ou Senne , ( Pêche ) defcriptlon de ce filet 6c de fa
manoeuvre pour la pêche du lançon. XIV. 901./».
SE IN G , ( /««ypr. ) différentes maniérés dont on a fait les
feings oufignatures. D eux fortes de feing, le public 6c le privé.
XIV. 902. .r. royr{SlGNATURE.
Sein". Dans quelques anciennes ordonnances , figiilfie marque
, poinçon ou cachet. XIV. 902. b.
SEL
Seing , ( Comm. ) c’étoit parmi les anciens nnc marque que
l'on faifoit au bas d'un néle. Seing s’entend préfeiuemein de la
fignaturc 6c du paraphe. Aéle lous-l'cing privé. Blanc-fcing.
XIV. 902. b. ( /'uyqBLANC ).
SEINNETTES ou/iri/tc-r Seines, { Pêche) defcriptlon de
de deux fortes tic feinnettes & de leurs manoeuvres, l’une
pour la pêche des nbles , l’autre qui fert particuliérement à
prendre les équiilcs. XIV. 902, b.
SÉJOUR , habitation, Maifon , Domicile, Demeure ,
{Synon.) VIII. 17. a.
SEISACHTHLIES, {Antiq. d'Athen.) mot qui fignifie
déch.uge d'un fardeau. C ’étoit un facrilice public en mémoire
d'une loi de Solon. X IV . 903. a.
SEISSEL , ( Geogr.) voy/^StYSSEL.
SEIVIA , {Hi(l.mod.) fcéfj do bramines de l’Indoffan. En
quoi ils diftetciu des autres. Caraétere extérieur qui les diffin-
giic. X IV . 903. a.
SEIZE , les, { Hifl. rnod.) hiffolredc la fameufe fiiRion <]ui
fe tonna cil France fous ce nom en 1579. X IV . 903. a.
Ligue.
S L L , ( Chym. 6- Aîêdec.) propriétés communes aux différentes
claffes de Ids. XIV. 903. b. DilllnéLion des fds en
lises 6c en volatils. On dillingue les fols en trois claffes 3 les
acides, les alkalis 6t les neiitrcs.
Claflc I. Les acides. Les acides font vraifcnihlablement la
baie de tous les autres fels. Propriétés comimmes aux acides
ÖC aux alkalis. Caraéleres 6t propriété-i paniculicres des
acide;. IbtJ. 904. a. Différons degrés d’uffiinté de ces fds
avec d'autres fubffanccs. Acides ininéraux. Non-feulcment
les acides ne peuvent fe cryffallll'er , mais on ne peut les
réduire en maffe folide. Acides provenant du regne minéral
, de l’eau & de l’air, Acides tirés du regne végétal 6c
du regae animal. Ibid. b. Propriétés médicinales de cette
premiere dalle de fels. Leur diffnbutioii eu deux ordres ,
dont le premier comprend les quatre acides fimples 3 le l'e-
cond ne reni'crme jtifqu’à préfetu que l'eau régale, acide compote.
Ibid. 903. a.
Clafle II. Les alkalis. Ccs fds divifés en volatils 6c en
fix e s, qui ne different que parle plus ou le moins de phlo-
gilhqiie. Propriétés principales des a,kalis. Différens degrés
ifaffinité qu'ils ont avec d’autres fiibffances. Trois différens
genres tl’aikalis fixes, ibid. b. Leurs propriétés mcdiciiiales.
O'dre I. Les alkalis fl.xcs. Qualités qui leur fout propres.
Leurs vernis médicinales. Genre 1. L ’alkali fixe minéral ou
naturel. C e fd eff le nairum ounitrum des anciens. Comment
on le trouve. Ibid. 906. a. En quoi Ü dift'ere de l'al-
kali tartareux 6c de l’alkali marin. .Ses vertus inédicmales.
Genre 2. L'alk.iU fixe & marin. D ’où on le retire. Scs ca-
taâeres. Ses ufages. Genre y. L ’alkali fixe tartareux. Scs ca-
raéferes. D ’où on le retire. Ibid. t. Différens noms qu’on
lui a donnés felon la mani» re de le tire r, fa pureté , fon
état fee oit liquide, &c. Ses ufages 8c propriétés. Ibid. 907.
a. Scs vertus médicinales.
Ordre IL V alkali volatil. Subffances clans lefquclles on le
trouve. Comment l’art le produit. Ses différens degrés d’af-
fmité avec d’autres fubftances. Ses ufages. Ibid. b.
Clajfe III. Les jels neutres. Divers caraéferes par lefquels
les fels de cette clalle different emr’ciix. Ibid. 908. a.
Ordre l. Sels ncEtres Jimples, ceux qui n’exigent que l'u-
ïîiüii de deux fubffances pour leur compofiiion. Genre 1.
Vitriols : fels dont l’acide vitriolique eff le principe. Efpeces
de ce genre. L’or 6c la terre viirefcible font les feules
fubffances iiidiffolubles dans l'acide vitriolique. Moyen qu’on
pourroit tenter pour diffoudre la terre vitrefcible. Genre 2.
hures. Diffoliitions obtenues par les fds de ce genre. Genre
y. Sels marins. CaraéLeres 6c propriétés de l’acide marin. Des
diffoliitions opérées par Ibn moyen. Ibid. b. Voye^ A cide
Marin , fous le mot jc l marin. Genre 4. Sels végétaux. Des
diffohuious opérées par l'acide végétal. Formation de la
crème de tartre. Autres expériences faites avec l'acide v é gétal.
Genre 3. Sels royaux. Diffoliitions faites par ces fels.
Genre 6 , 7 , S. Sels neutres formés par L’union des alkalis
fixes avec les terres & les métaux. Ibid. 909. b. Genre p. Sels
neutres formés par l ’union de l'.ilkali volatil avec les terres
6» les métaux. Sel formé avec l'alkali volatil 6c le cuivre.
Ufages -& propriétés de ce fel.
Ordre II. Sels neutres compofés. Leur nombre réduit à
neuf genres, favoir, i . les fels tartareux , 2— 6. les fels
ammoniacaux, Ibid. a. 7 *^9 . les fels fixes. Table des
fd s , d’après le fyffême naturel qui vient d’être expofé.
Ibid. b. ^
Sel. Origine des fels. XII. 373. a ,b . L’acide fait l’effence
de tout fcl. I. 98. a. Sels .2 bafe terreule , à bafe alkaline,
à bafe métallique. Suppî. I. 821. a. Diffribuiion des différentes
claffes de fels. Suppl. III. 94. b. 93. b. Influence du
fel dans toute la nature. 213I b. Tous les fds fe mêlent
plus alfémcnt 8c agiffent avec pins de force dans un air épais
ÖC humide. I. 233. b. Pourquoi le fel diffous dans l’eau fe
rép.and avec égalité dans toute cette eau. 833. a. Pourquoi
Tome Ih
SEL 657
il fe rctinît en maffe à mefure que Tenu s’évapore. 849. a.
Tous les corps fidins donnent de la roideur 6c de la rigidité
aux parties des corps dans icfquellcs ils font introduits.
III. 866. a. Les fd s , principes de la dureté des corjis. IX,
826. a. Pourquoi les particules de quelques fels fe fourien-
tient dans l’eau lorlqu'dles font élevées , quoique fpécifi-
qtiement plus pefames que l’eau. 111. 866. a. L’eau imprégnée
de fd devient perméable à un vafe de terre cuire eil
grès. Suppl. IV. 339. a. Propriéic frigorifique de plulieurs
Ids. VU, 3 14. a. 3 18, tJ , l. 6)83. a , h. XIII. 902. a. 903. a.
Les fds tonlidérés comme principes des faveurs. XIV. 708.
b. 6tc. Suppl. 111. 247. a. Effets dos fels jettes fur la chaux
vive. III. 30. /». Liquidité qu’on procure à certains fois concrets,
IX. 370. a. Diff'crentes fortes de fels qui entrent
dans la compolition des eaux minérales filées. X. 333. b.
Sel dccrcpité. IV, 707. a , b. Regies à Divio pour delfé-
chcr les lois. IV. 893. b. Ce qu'on entend en diymie par
aflrum faits. Suppl. 1. 666. a.
Sel , ( Agriciih. ) diftérens fds que contiennent les terres
fuivantlciir fertilité, XVI. 183.j,
SeL ammoniac , ( Chym. & A n s ) étymologie dit mot ammoniac.
XIV. 912. b. De la maniéré dont ce fd fe prépare.
Ibid. 913. a. Quaiuité de ce fel qu’on exporte tous
les ans d’Egypte. Comment fe fait la combiii.iilon Oe l'acide
du fcl marin 6c de l’alkali volatil pour former le l'd ammoniac.
Sueurs ammoniacales produites par certaines fievres.
Différens principes d’où l'on peut tirer des fels ammoniacs,
Ibid. b. Sel ammoniac formé par la natilrc feule aux environs
(les volcans, 8c des endroits fiijets aux embrâl'emcns
fouterreins. Manière de purifier le fel ammoniac, foit factice
, foit naiiird. Comment on le tiécompofe. Ibid. <p\^. a .
Méthode par laquelle on fait le fel d'Angleterre. Sel ammoniac
fecret de Glauber. Ufages du fel ammoniac. Noms
bifarres que lui ont donnés les chymiffes. Ibid. b.
Sel ammoniac, voye;^ A mmONIAC. Chaux martiale triturée
avec ce fel. V L 497. a. Ce fel confidéré comme fondant.
916. a. Effets qu’il produit fur la glace. V i l . 318./».
Moyen qu’il procure de refroidir l’eau. XIII. 903. a. Sel ammoniac
fecret de Glauber. XVII . 366. b.
Sels claus les animaux. I.99. a. Sels fixes des cendres animales.
II. 813./».
Sel de duubiis , ( Chym. } 1, 604. b.
Sel d'ebfom , {Chym.M.U.mcdic.) V- 216. b.
Sel effcmicl, {Chymie. ) celui qiù étant contenu dan'^ un
végétal , forme avec lui une partie de fon aggregation.
Comment les fels effenticls dilTercnt entr'eux. Sels comenus
dans différentes efpeces de plantes. X IV . 914. b. Origine
de ces fels produits dans les plantes. Manière d’obtenir le
plus aifénienc les fels effentiels. Ibid. 913, a. Sels effenticls
de M. le comte de la Garaye. Ibid. b. Voye^ Hydraulique ,
( Cliyirti. )
Sel gemme OU fel fojfile , {Alinéralog. ) fel de la même nature
que le fel marin. Divers noms qu’on lui a donnés. D ifférens
pays du monde où l’on en trouve. Defeription des
mines de fel de Wieliczka en Pologne. X IV . 913. b. In-
convéniens auxquels les ouvriers l'ojit expofes dans ces mines.
Différentes qualités de fel qu’ on en retire , 8c leurs
prix. Ibid. 916. b. Noms que l’on donne aux fubftances qui
vent de gangue ou d’enveloppe au Ici. Mines de fel de
Bochnia. Produit annuel des mines de Widiczka6cdeBo chnia.
Ces mines font regardées par M. Schrober comme une
preuve des grandes révolutions arrivées à notre ^\ohe. Ibid,
917. a. Autres lieux de l’Europe où l’on trouve encore
des mines de fcl gemme. Celles qu’on voit dans la Tran-
fylvanie 6c dans la haute Hongrie, prés d’Epéries. Celles
qui fe trouvent dans le T y r o l , à deux lieues d’une ville
nommée Hall. Celles de Catalogne , dans le voifinage de Car-
ùone. Ibid.b. Salines.
Sel gemme, ce qui Ic conftitue. I. 98. b. Formation des
mines de fel gemiie. X. 360. b. Mines de fel en Afrique.
Suppl. I. 194. a.
Sel de Glafcr, {Chym.) XT. 136. i.
Sel de Glauber , {Minéral. ) on en voit dans les tables des
falines où l’on évapore l’eau de mer. X. 362. b. Sel ammoniac
fecret de Glauber. XVII . 366. b.
Sels Uxiviels , ( Chym. &• Médecine ) ceux qu’on retire
par la leffivc des cendres des plantes. Indication de deux
méthodes pour les obtenir. X IV . 917. b. Quelle eff la nature
de ces fels f Exiftoient-ils dans le végétal , ou font-ils
le produit du feu ? Sont-Üs tous femblables ? Comment le
feu les a-t il dépouillés des autres principes ? Quelles fonc
leurs vertus médicinales. Examen de ces queftions. Ibid.ç/tS,
a. Voye:^ LixlvlEL.
Sel marin ou Sel commun , ( Chymie ) principes dont il eff
formé. Autre fel naturel connu des chymiffes fous le nom
de fel marin à bafe terreufe. Sources ou magafins naturels
du fel marin. X IV . 918. b. Le fel marin retiré de ces ài-
verfes fources n’eff qu’un feul 6c même être chymique.
Sentimens de MM. du Hamel 6c Poct for la vraie nature
D D D D d d d d
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