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Moyens par lefquels on rend la vie aux noyés. VII. 507. <j.
Suppl. IV. 616. l>. N o y e r .
Noyé , {Doci/iujUt].)\h.ü}ii noyé. P'ajf^^ÉTOUFFH.
N O YER , obfervation de M. Halley fur ceux qui n’onc pas
l'habitude de plonger. Souvent on condamnoic autrefois les cn-
inincls à être noyés. Trois exemples de gens ramenés à la
vie après avoir été fous les eaux pendant un tems confi-
dérable. XI. 269. U. _ <? 1 • j
Abycr , terme d’hydraulique , de penuure & du jeu de
boule. XI. 269. b. n , 1 1
N o y e r , {Bot. J.trdin.) Caméleres de ce genre de plante.
Defeription du noyer d'Europe. Expofuions & terreins qui
lui conviennent. XI. 269. b. D e la maniéré de multiplier les
noyers lorfqu’on ne les veut élever que pour le bois , ^ lorf-
Gu'on les veut é lever pour en avoir du fruit. De la tranfplaii-
ration. Ibid. 270. j . D e la greffe des noyers les uns fur les
autres. L’auteur examine s’il ell vrai que leur ombre foit nui-
fible aux hommes & aux végétaux. Ufages des noix. Utilités
que les teinturiers tirent des noyers. Qualités du bois de noyer.
Ses ufages. Ibid. b. Des différentes fortes de noyers. Noyers
d’Amérique. Obfervation fur les prodiuffions de cette partie
du monde. Noyers d'Europe, i. Noyer ordinaire. 2. Noyer
à gros fruit. 3. Noyer à fruit tendre. 4. Noyer à fruit dur. 5.
N o y e r à feuilles dentelées. 6. Noyer de la S. Jean : avantage
de cette forte de noyer. Autres efpeces rares. Ibid.
*^No y e r , ( Bot. Jjrdin.) Noms de cet arbre en différentes
langues. Son caraélere générique. Enumération de fix efpeces.
Suppl IV. 61. a. Lieux où elles croiffent. Leur defeription.
Lear culture. Qualités de ces p lantes, & ufages qu’on en tire.
N o y e r s leur culture en pépinière. XII. 312. b. Comment
on a obtenu de groffes noix préférables à la noix royale. Suppl.
IV . 969. U.
Noyers d’Amérique, i . Noyer noir de V irginie à fruit long.
XI. 271. a. Sa delcription. Expoficion & terreins qui lui conviennent.
Comment on le multiplie. Obfervations fur fon
fruit. Qualité du bois. 2. N oyer noir de Virginie à fruit rond.
Ibid.'b. 1. Noyer blanc de Virginie ou l’hickery. Sa defeription'.
Expofition & terreins qui lui plaifent. Obfervations fur
fa culture. Variétés de cct arbre. 4. Noyer de la Louifiane ou
le pacanier. Sa defeription. Ibid. 272. a. Expofition & terrein
qui lui font favorables. Ibid. b. ^
Noyer amer d'Amérique, (uert quon en tire. X V . 617. a.
No y e r , ( pharm. Mat. médic. Diete. ) Différentes parties du
noyer employées en médecine. Leurs propriétés &. ufages.
Qualités diététiques desnoix, foit fraîches, foit feches. X L 272.
b. Huile de noix. Propriété des noix vertes confites. Eau des
trois noix : maniéré de la préparer. Propriété £c ufages de
cette eau. Rob ou extrait de noix. Ibid, i j j . a .
N o y e r , ra c in e de ( Teintur. ) Différentes parties du
noyer bonnes en teinture , mais feulement dans certaines fai-
fons de l’année. X L 273. a.
Noyer, voyez fur fon iifage en teinture. X VI. 22. b.
N O YER S , Xcéo^r.) ville de France. Obfcr\'ations fur
Pierre & Benigiie Grenant -, &. Simon-Michel T r e u v é , nés
dans cette v ille , &. fur leurs ouvrages. XI. 273. b.
No y er s , (Gf'ugr.) Seigneurs de N o y e rs , grands bou-
teiüiers de Bourgogne. Tombeaux remarquables dans cette
ville. Son ancienne tour feigneuriale. Suppl. IV . 64. a. Autres
obfervations fur Pierre & Benigne Grenant. Les états de Bourgogne
tenus à Noyers en 1639. Ibid. b.
K O Y O N , (Geogr.) ville de France. Etat de cette ville
fous les Romains. Divers événemens par lefquels les trois
races des rois de France l'ont illuftrée. Calamités qu’elle a
effuyées. Son commerce. L’évêché des Vermandois transféré
à Noyon, XI. 273. b. Situation de cette ville. Noyon a produit
plus de gens de lettres que les autres villes de Picardie.
Les plus diflingués font Antoine le Conte , Bonavemure
Fourcroi, Innocent le Maffon , François Maucroix. Mais
Noyon eft plus connu encore pour avoir donné naiffance à
Calvin. Portrait de ce réformateur. Obfervations lur fa vie
Si fur fes ouvrages. Ibid. 274- a. Ce fut à N oyon que Hugues
Capet fe fit proclamer roi. Réflexion fur cet événement.
Ibid. b.
No y o n , {Géogr.') Salaire des manoeuvres de cette ville
vers la fin du 13“ fiecle , d’où l’on peut inférer quelle étoit la
rareté de l’argent. Suppl. IV . 70. h. Prétendu lutin qui fe fni-
foit anciennement redouter à Noyon. Cérémonie obfervée
à la premiere entrée de l’évêque en cette ville. Fondateurs de
l’églife cathédraleSc de l’abbaye de S. E loi.Concilesde N oyon.
Ancienneté du droit de commune des habitants. Des ouvrages
de Jacques Sarrazin fculpteur & peintre, né dans ce
lieu. Obfervations fur Nicolas le C a t, phyficien , né à Ble-
raiicourt près de Noyon. Portrait de J. Calvin réformateur.
Remarque fur fes ouvrages. Ibid. y i.a .
Noyori , mélange de jurifdiftion royale & feigneuriale
dans cette ville. X VII . 805. b. 806. a. Ancienne Noyon.
Suppl. IV . 62. b.
N U E
N S NSAMBI , ( Luth. ) efpece de guitarre du Congo. Sa
defeription. IV . 7 1 . è
NSOSSI , ( H ijl nat. ) animal quadrupède qui fe trouve
en Afrique. Defeription & caraéiere de cet animal. Qualité
de fa chair. U fage de fa peau. XI. 274. b. N T N T O U P I , {N iß. eccl.) nom que les Grecs donnent aux
excommuniés après leur mo rt, parce que leurs corps , difent-
ils , ne pourrilTent point, mais s’enflent & réfonnent comme
un tambour. Exemple par lequel on a prétendu prouver
certe affertion. XI. 274. b. Il ne faut pas confondre les ntou-
pis avec les broucolacas, qui font aulTi des cadavres d’excommuniés,
dont, au dire des Grec s, le démon anime les
organes après leur mort. IbiJ. 273. a. N U
N U , (Gramm.) divers ufages de ce mot. XI. 273. j .
N ü jA W i t è , (Crniq.fücr.) différentes acceptions de ce
mot dans le ffyle de l’écriturefainte. XI. ly^.b.
N u , ( Chym. ) métal nu. Une huile effentielle efl nue dans
les végétaux. X I . Î 75. 4.
N u , le y (Peint. & Sculpt.) les peintres 6c les fculpteurs
ont quelquefois péché contre les regies de la modeflie, pour
s’attirer de la gloire par l ’art de repréfenter la beauté, ÔC la
molleffe des carnations. Peintres qui fe font diflingués à repréfenter
le nu. X I. 273. b.
N u , (A r ch il.) XI. 2 73.i.
N u , (Maréch.) XI. 275. b.
N U A G E , le grand, (Aßron.) tache blanchâtre & confidé-
rable dans la partie auflrale du ciel. XI. 276. b.
Nuages. Conflellations méridionales appellées le grand &
le petit nuage , ou nuées du cap ou de magelLin. Afcenfion droite
6c décUnaifon de leurs principales étoiles. Suppl. IV . 7 1 . b.
H v kG Z f (Météorolog.) Vertu des nuages orageux. V I .
613. i . Obfervations fur les nuages. V IL 623. b. Singulier
phénomène appelle pié de vent, que prèfentent quelquefois
les nuages. XII. 361. a , b. Les nuages confidérés comme
caufe des vents. XV II . 19. b. Voye:^ Nuées.
N u a g e s , ( Afft/rc. ) corpufciiles fur la furface de l’urine.
XI. 276. a.
Ü V kG t y(Médec.) ulcere fur la cornée. Différence entre
le nuage 6c le brouillard fur cette partie de l’oeil. XI. 276. a.
Voye:^ N uBÉCULE. -
N u a g e , (Blafon) X L 276.4.
N U AN CE , ( Teint. ) les gardes des teinturiers en foie font
obligés de teindre tous les deux ans deux livres de foie de 16
fortes de nuances en cramoifi. XI. 276. a.
N U A YH A S , (Batan. exot.) (oriQ de rofeau des Indes
oriemaies. XL 276. a. Merveilles fabulcufes que les habicans
en racontent. Ses jets ou fon tronc paroiffent devoir être d’une
prodigieufe hauteur. Ibid. b.
N U ß E R E y ( Lanffie latine) pourquoi ce verbe régit le
datif. IV. 637. b.
N U B IE , (Géogr.) pays d’Afrique. Son étendue. Ses bornes.
Qualité du fol. Ses vaftes deferts. Principales denrées du
canton de Dangala. Extérieur des habitans. Chaleur qui regne
dans ce pays. La Nubie eft un des pays les plus inconnus du
monde. X L 276. b.
Nubie. Obfervations fur les peuples de ce pays. V III. 346. b.
'iiGBYiSS y filles y ( Hiß. rom. ) elles portoient leurs poupées
aux autels de Vénus. XIII. 243. b.
N U C K , ( ) chirurgien , III. 333. i . anatomifle ,
Suppl. I. 401. a. 6c phyfiolûgifle. Suppl. IV . 333. 4 .Canaux
aqueux de Nuck. Suppl.M. 184. b,
Nu c k , conduit de, ( Anatom. ) Conduits falivaires. Glandes
cleNuck. Obfervationsfur AntoineNuckÔcfurfes découvertes
en anatomie. XI. 277. a.
NU DiPÉDALES , (Antiq. rom.) fête extraordinaire ä
Rome. XL 277. a. 11 eft très-vraifemblable que les prêtres
des Hébreux aüoient niids pies dans le temple. Ibid. b.
NU D ITÉ S , ( Peint. 6> Sculpt. ) Toute nudité dans un tableau
n’cft pas blâmable. Mais il ne faut pas que les nudités
puiffem faire rougir ceux qui les regardent. Peintre 6c graveur
reprchenfibles à cet égard. Les peintres impudiques s’appel-
loient libidines. Nudités donc on regardoit à Rome la vue dan-
gereufe. Auteurs modernes qui ont mis au jour les monumens
obfcenes du paganifme. X I. 277. b.
A'wd/te des athletes dans les jeux. V IL 1019. a. Des jeunes
gens de Lacédémone dans leursdaufes.lv. 626.4. VIL 1021.4,^.
N U D S-PIÉS, (H iß . anc.) en quelles circonftances les
Juifs alloient nuds-piés. III. 260. a.
NUÉE , ( Phyfiq. ) Les nuées s’élèvent à différentes hauteurs.
Il paroit que les plus hautes s’élèvent rarement au-def-
fus de la hauteur des montagnes les plus élevées. Elles ne s’i-.
N U M
lèvent jamais, felon Riccio li, à la hauteur de 5000 pas. De
l ’étendue des nuées 6c de leur épaifleur. Rapidité des nuées
poulTéesparlevent. Comment elles fe düTipent. Leurs différentes
couleurs. X I. 278. 4, Ufages des nuées. Ibid. b.
Nuées. Leur nature. XI. 86. 4. D e la formation 6c l’é-
Icftriciré des nuages orageux. Suppl. III. 102. 4, b. Sur l’é-
leilricicé des nuages , Elec tr ic it é 8c 5qp/)/. IV . 931.
b. 93a. 4. D e la hauteur des nuages. Suppl. III. 317. a.
Pourquoi il arrive quelquefois que la furface inférieure des
nuages eft unie , 6c la fiipérieure irrégulière. l o i . b. Feu
éiciftrique des nuages, voye^ C o nd u c teu r , C erf-v o l a n t ,
F o u d r e , 6 'N u a g e .
N uée , colonne de, (Critiq.facr.) Récit de la colonne de
nuée 6c de feu qui accompagnoit les Ifrnélites. Analyfe d’une
differtation angloife où l’on entreprend de prouver que cette
colonne ne défignoit qu’un fignal pour diriger la marche des
Ilraélites dans le défère. XL 278. b.
N U F A R , (Botan.des Arabes) nom donné par les Arabes
au nymphaa. Diverfes altérations que ce mot a fouffertes.
XI. 280.4.
N U IT , (AJlron.) nuits fous l’équateur 8c fous les poles.
Celles du tems des équinoxes. Nuits les plus grandes 6c les
plus courtes de l’année. XI. 280. a. Peuples qui divifoient le
tems par miitsj Ibid. b.
N u i t , Ténèbres, Obfcurité, (Synon.) X V I. 1 3 1 . rf.
N u i t , (Criciq. facr.) divifion que les Hébreux faifoient
de la nuit en quatre parties. Différentes acceptions du mot
nuit dans l’écriture. XI. 280. b.
Nu it , ( Lin. ) les anciens Germains comptoient par les
nuits. Veftiges qu’on trouve encore de cet ancien ufage dans
les langues germaniques. Les Gaulois comptoient de même.
XI. 280.i.
Nuit. Comment les Romains la divifoient. X V I. 874. b.
Police établie chez eux pour la nuit. XIII. 281. b. X V I .
666. b. Uoye[ NOCTURNES, GARDES. Gardes de nuit à Paris.
V IL 310.4.
N u it , ( Myth. ) comment on la repréfemoit. Enfans de la
nuit. Temple de la nuit appellé temple des divinations. XI.
280. b.
Nu i t . (Myth.Poif.)T>\ty.\ de la nuit. X I. 183. 4. Defeription
poétique d e là nuit. XV II .73 7 . b. Des cérémonies reli-
gieufes faites de nuit. Suppl. II. 283. i .
N U ITHON S , ( Géogr. anc. ) anciens peuples de la Germanie.
Q u el étoitleurpays. Temsoùilsfefirent comioitrepar
leurs ravages. Une partie d’entr’eux s’établit dans l'Helvétie.
X L 281.47
N U IT S , (Géogr.) ville de Bourgogne. Inondations qu’elle
a effuyées par les débordemens de la riviere fur laquelle
elle eft bâtie. Des vins de Nuits. Obfervations hiftoriques
fur cette ville. Obfervations fur quelques hommes célèbres
nés dans ce lieu ou dans fon volfinage. Jean de Pringles, avocat
de Dijon. Suppl. IV . 7 1 . b. La famille des Monaco’. Sar-
rafin, aifteur d e là comédie françoîfe. Le favant Pierre Burette.
N. Chrétien,capitaine d’infanterie, auteur d’une tragédie
de Sylla. Ibid. 72. b.
N U L , (Lang, franc.) prépofitif d’imiverfalité. I. 729. b.
D e la nature de ce mot. X UL 43 4. b.
N U L L I , ( Cuifine ) ragoût iialien. Comment on le prépare.
XI. 281, 4.
N U L L IT É , (Jurifpr.) deux fortes de nullités; les unes
touchent la forme des aftes , les autres le fond. Ondiftingiie
encore les nullités, en nullités de dro it, 6c nullités d’ordonnance
ou de coutumes. XI, 281. a. Les voies de nullité n’ont
point lieu en France : explication 6c reftriiftion de cette
maxime. Moyens de nullité. Nullité péremptoire. Nullités
couvertes. P eine de nullité. Ibid. h.
Nulliié. Califes de nullité dans les conventions. IV. 163.
4. Couvrir une nullité. 423. b. Peine de nullité. XII. 232.
4. Les voies de nullité n’ont pas lieu en France. X IV . 166./«.
NVbAh. Pompilius y fécond roi de Rome; hiftoire de fon
régné. X IV . 323, i . 326. 4 .339.4.Nymphe qu'il confultoir.V.
418. 4. Comment il perfeftionna la religion des Romains. IV.
624. 4. X IV . 83. b. Temple qu’il confacra à Vefla. XVI.
80. b. Soins qu’il prit pour rendre l’établiffement des vefta-
les plus augiifte 6c plus facré. XVII . 2 1 1. a. Ses connoif-
fances aftronomiques. I. 786. b. Les livres de Niinia con-
fer^és dans la terre pendant 333 ans fans pourriture. XI.
j^N UM AG EN , (Géogr.) anciennement Noviomagus. Suppl.
N UM Â N C E , (Géogr. anc.) ville d’Efpagnc. Preuves du
‘le habitans. XI. 281. />. Situation 8cruines de cette
'^“ j î l^ l e n ’avoit point de murailles./iit/. 282.4.
, ( Gramm. ) valeur numérale de chaque let-
particulier de chacune. Adjeélifs numéraux.
1. 137. b. Des noms, des adjeftifs, des verbes 6c des
adverbes numéraux. XL ,o8. a. CaraBeres numéfaux.
11. 647* 4.
N U M É R A T IO N . {A r itim .) Weigellus enfeijoe com'-
N U T 307
ment on pourroit nombrer fans jiaffcr le chiffre 4 ; 6c M.
Leibnitz s e ll farvi de i 6c de o pour exprimer toute lorte
dénombrés. Préceptes fur la maniéré de lire les chiffres dans 1 arithmétique vulgaire , XL 282.4. 6c fiiMa maniéré démettre
en chiffres un nombre propolé. Ibid. b.
l’empereur Caru.s. Suppl. II. ic-». a.
N u m é r o , (Comm.) maniéré d’écrire les numéros dans
les livres 6c faélures. XL 282. b. On fe fort de ce terme oour
taire entendre la groflèiir , longueur , largeur 6c qualité de
certaines marchandifes. On marque les caiffes , balles, ba-
o t s , avec des numéros. Numero défigiie quelquefois la
page d’un rcgiflre. Livre de numéro clans le commerce.
Uiage du mot numéro dans quelques anciens auteurs. Ibid.
Numéro. Entendre le numéro. V .7 18 . b. Livre des numéros.
1a . 613.
NUMIDIE , ( Géogr. anc. ) contrée d’Afrique. Les bornes
en ctoient differentes avant la guerre de Carthage, de cequ’el-
les turent fous les premiers empereurs. XI. 283. a. Ohft-rva-
tions fur Malîîniffa, roi de Niimidic. Q uel eft aiiiourd’imi
l f C e pays devint province ec-
clelialtique fous les empereurs chrétiens Ibid. b.
Nurnidie. Du climat de ce pays. X V II . 735. 4 , b. Habitations
ruftiques de fes habitans. X. 63. a. Peinture que
fait Virgile de la vie de ces peuples. Ibid. Nomades numides.
XI. 202.4. Les Numides divifés en deux nations. Suppl.
111.860.
N UMISMALE S, pierres, ( Minéral.) il y a lieu de
croire que ce ne font que de vraies pierres lenticulaires.
Efpece de pierres mimifmales que l’on rrouve dans la
Laponie Suédoife, près du fort de Brattensboiirg , clans
la ville d’Ivoë. Sentiment de M. Stolbæus fur ces pierres XI.
283. b.
Numifmales , pierres. IX. 383. b. vol. V I des planches.
Coquilles foffiles, pi. 3.
N U M ISM A T IQ U E , a n , (Médaill.) progrès que cette
fcience a faits dans ces derniers tems. X L 283. b. Divers antiquaires
qui nous ont donné de grandes lumières dans l’arc nu-
mifmatlque. Ibid. 284. a. Voyez MÉDAILLE.
N U M IT O R , (Hiß. rom. ) fils de Proca, roi des Albains,
Hiftoire abrégée de fa vie. Suppl. W . a
N U M M A R IA ,/ o i .lX .666. 4.
N UM M U LA lR E , ( ,5ü/4/i. ) efpece de lyfimachie. Sa defeription.
Lieux & terreins qui lui conviennent. Principes
qu’elle renferme. Ses propriétés. X L 284.4.
N um m u la iRE, herbeauxécusy (Mal. médic.) propriétés,
XI. 284. 4, & ufages en certaines ma l a d i e s . é .
NUM M U S y (Antiq.) du nummus des anciens. Suppl.W,
766. 4.
N U N , ( Botan.) efpece de bambou. Suppl.l. 774. b.
N U N C IA T IO , (L in . ) déclaration d'un augure fur ce
qu’il avoir obfervé dans les aufpices. Sens du mot obnunciatim
Loi qui défendoit depronoftiquer des malheurs. XL 284. b.
Voye^ O bNONCIATION.
N U N CU PA T IF , teflament, (Jurifpr. ) cette forte de tefta-
ment n’eft ufirée qu’en pays de droit écrit, XI. 284. b.
NuncupaiifcoAxcWe.lil. 386. b. Teftament.XVI. 194, 4.
N U N D IN A L , (B e ll. U n .) nom que les Romains don-
noient aux huit premieres lettres de l’alphabet dont ils faifoient
ufage dans le calendrier. Leur ufage. Voyages que le
peuple de la campagne faifoit tous les neuf jours à la ville. Jour
nundinal. X I .284. b. Foyei^Siippl. II. 116. b,
NUNNEZ , ( Ferdinand) voye^ N o nius.
N U P T IA L , (Droit nai. ) Bénédiélionnupùale. Ce t ufage eft
très-convenable , mais il n’eft point néceffâire par le droit naturel
; il a même fon mauvais côté. Les chrétiens l'ont emprunté
des Juifs. Auteurs à confulter fur l’origine & les progrès
de cette coutume. XI. 283. 4.
Nuptial. Fête nuptiale des anciens Grecs appellee gamelle.
VII. 456. b. Qiant nuptial. III. 143. a. V. 818. a ,
b. Danfe nuptiale. IV . 627. a. Lit nuptial des Romains.
IX. 383. è. Gain nuptial. ( ) VIL 424. b.
N U Q U E , creuxdela, (A n a t.) Suppl. 11 .6^2 .b.
N U R EM B ER G , (Géogr.) ville d’Allemagne. Origine de
fon nom. Evénemens remarquables relatifs à cette ville. D iverfes
obfervations fur fon étatafluel. Sa fituaiion. XI. 283.
a. Elle eft la patrie de plufieurs gens de lettres, dont ou
rrouve ici l'énumeration. Jbid. b.
Nuremberg. Prétentions de la maifon de Brandebourg fur
cette ville. II. 466. b. Nuremberg fe diftinguadans les premiers
tems de l’horlogerie par fes ouvrages dans cet art. VIII.
300. 4.
Nuremb erg , emplâtre de, ( Pharmac. ) maniéré de le préparer.
Obfervations fur fes propriétés 6c fon ufage. XI.
283. i.
NU RS IA , ( Géogr.) aujourd’hui Nonia ville d’Italie. O b fervations
fur le capitaine Sertorius né dans ce lieu. Suppl. IV .
72. 4.
N U T A T IO N , (Botan.) direftion de la plante du côté dw