3
rÿ''i !, 1 I
t l I I ij
41 p ] j
lEj ‘ ' iiiiii- ‘
p' '■ 'I:
i i
ill L
^ L , I 3 '
662 SEN
rens avniitages dc ceux qui ont paru jurqu’à prefenr. XIV.
94“ . ù.
Semoir , ( Jgrk. ) defeription de trois inftnimcns de
ce nom, qu'on peut employer pour i'emer d.fféremes erpe-
ces de graines. Suppl. IV. 77} . t.
Semoir: defcriptions des femoirs, Y0I.I. des plancli. Agrt-
ciilcure. Rienn’ell moins propre à I'emer toujours également
que la plupart des femoirs qu’on a inventés. X IV . 94a. b.
Semoir de M. T u ll, appelle'drill. Suppl. U .741. i». Efpece
dc femoir appelle fpermatobole ou fembrador. Suppl. IV.
766. b.
SE.MONCE, Jur:fpr.)voyci CONJUR£.
SEMO NES, {M y ih .)dÜ jcmoites. Dieux fort inférieurs
aux dieux céleftes qui tenoient le milieu entre ceux du ciel
6c ceux de la terre. Lieu de leur féjour. Noms dc quelques
uns. On a donné fouvenc 1 epithete dc femo au dieu
s.inciis. Méprife ridicule dans laquelle la relTcmblancc qui fe
trouve entre fano 6c fimo fit tomber JufHn - Marfir. X IV .
94S. b.
SEM O U L E , ( Econam. domefl. ) Vermicclier , gi uau de
froment qu'on obtient très-pur en le failaiu palter par plu-
lieurs tamis de dilleremcs fînclTes. La fiinple lenioule
n’cfl point intimément atténuée coiHine elle l’eft après avoir
été briée , c'ell pourquoi celle qu'on mange fans apprêt
rcflc plus long-tems dans le co rps , avant que d’y avoir
fubi toutes les digertions. La brie ne détruit point dans la
femoiile la partie collante ; 8c cette partie eft bonne, parce
qu'elle rend la femoule plus nourrilTaïue. M.uüere de cuire
6: de préparer cette cfpece de gruau. Suppl. IV . 774.
SE.MPLE , {Mintif. de fo ie ) bâton de feniple. II. 145.
b. Coinre-femplcr un delTm. IV . 141. a.
SEM PR O N I^ ,d zm c romaine qui entra dans la conjuration
de Catilina. Sa beauté. X IV. 405. b.
Sempronu , loi. V llI . 813. b. IX. 22. b. 63Ç. b. 6~J2. a.
SEMUR > ( Geogr. ) ville de France en Bourgogne
X IV . 949. a. Trois clôtures de murailles qifelle a dans
fou enceinte. Obfevvations hiftoriqties fur Sémur. Tribunaux
6c autres établitî'emens de cette ville. Elle a donné naif-
fance à deux hommes célébrés , cliacim dans fon genre.
Cliarlcs F é v r e t , & Claude de Saumaife. Leurs ouvrages.
Précis de la vie-de ce dernier. Ibid, b,
SÉMUR en Briennois, {Géogr.) ville de France en Bourgogne
dans l’Autunois. X IV . 949. b.
SENAC , ( Pierre ) fcs planches anatomiques , voye:^ A n a -
TOMiE. Extrait de fon traité fur les maladies du coeur , III.
600. b. 8c de fon effai fur l’ufage des parties du corps humain.
VI. 523. b. Ses ouvrages anatomiques & phyfiologi-
ques. Suppl, i. 406. b. Suppl. IV. 356. a , b.
SÉNAT' ROiVIAIN, {Gouv. de Rome) temple de faiiue-
t é , de majefté, de fage/Te , la tête de. la république , l'autel
des nations alliées de Rome, refpoir 6c le refuge de tous
les autres peuples. X V . i. u. Le fénat comprenoit la no-
ijlcffe Ôc le facerdoce. i". L’opinion la plus vraifemfalablc
touchant les éleéceurs des membres du lenai , eft que les
rois , les confuls , les cenfeurs qui polTéderent fuccelfive-
nient ce privilege , agiffoiem dans cette afi'aire en qualité
de minirtres du peuple , en qui le pouvoir ablolu de créer
les lénateurs a toujours réfidc. Augmentations faites au fénat
en différens tems , depuis fou inlUtution par Romulus
qui le compofa de cent fenateurs, jufqu’à Tarquin l’ancien,
qui porta le nombre des fénateurs à trois cens. Ibid. b. Election
du fénat depuis rexpulfion des rois jiifqu’à l’établifî'e-
ment de la cenfure l’an de Rome 31 1. Le pouvoir des cen-
feurs à l’égard des fénateurs , fut d’inferire ceux que le
peuple avoit choifis , de veiller fur leur conduite , 6c de
cenfurer leurs défauts.
II. Pouvoir & jurifdiBion du fénat. Comment ce corps acquit
une jurifdiftion particulière , & la connoiffance de quelques
matières à l'exclufion du peuple. Ibid. 2. a. Ses prérogatives
furent , la furintendancc de la religion , le pouvo
ir de fixer le nombre 8c la condition des provinces étrangères
, la diftnbiuion du trèfor public , le droit dc nommer
les ambaffadeurs que Rome envoyoit 6c de fournir les
fecours néceffalres aux peuples tndigens , celui d’ordonner
des prières publiques, d’examiner les délits publics , d'interpréter
& d’abroger les lo ix , d’accorder aux confuls dans
des cas extraordinaires un pouvoir illimité , de diftribuer
des graces 5c des récorapeiifes, de proroger ou de renvoyer
les alTcmbloes du peuple, 6cc. Ibid. b. Mais cette Jurifdic-
liou n’ayant été lailTée au fénat que par un confentement
tacite , il arriva fouvent que le peuple excité par les intrigues
de certains faflieu x, chercha à en reprendre les différentes
parties , 8c vint à bout enfin de dépouiller ie fénat
de tout fon pouvoir.
III. Convoc.ition & lieux d’ajfemblées du fénat. Magiftrats
auxquels appartint le droit de convoquer ce corps. Maniéré
dont il étoit convoqué. Ibid. 3. a. Obligation impo-
fée aux fénateurs de fe rendre aux aficmblécs. Dans les anciens
tems, les fénateurs avoient l’habitude de fe ratTembler
SEN
fous un portique , d’où ils fe rendoient dans le palais du
fénat dés que le conful étoit arrivé. Différens lieux où ces
afiemblées le loin tetrues. Tems marqués pour ces convocations.
DilUnétion de fénat ordinaire 6c de fénat convoqué.
Ibid. b. L e lénaijd ans fes jours d’afl'cmblée , ne met-
toit fur le tapis aucune afi'aire avant le jour , 6c ne la ter-
luinoi: point après le coucher du foleil. Exemple d’une af-
femblée tante à minuit.
IV . Méthode que le jénat obfervoit dans fes délibérations. O r dre
dans lequel les fénateurs iiégeoient felon leur dignité.
lb:d. 4. d. Prince du fénat. Devoirs religieux que l’on rem-
plilTüit avant toute délibération. Ordre qu’on obfervoit
dans les opinions. Celui que les confuls avoient obfcrvé le
premier de janvier , ils le gardoient pendant tout le telle
de l’année. Ibi.i. b. Des clifi'éremcs queilions qui fe traitoieiit
dans une même affcjnblée du fénat, 6c de la maniéré dont
on les iraicoit. Comment fe formoient les fcnatus-confultes.
Ibid. 5. d. Balle fervitude dans laquelle tomba le fénat fous
les empereurs. Auteurs à confulter. Ibid. b.
Sén.u romain. Son origine. Son augmentation en différens
tems. XII. 176. b. A g i auquel on pouvoit entrer au fénat.
XIII. 705. a. Lieux (ie fes affemblées. X V I . 66. a , b. 69.
b. 81. b. X V I I . 767. J , b. Meffager que le fénat envoyoit
pour avertir les lénateurs en campagne du jour où il y au-
roit affeinblée. X V l l . 229. b. Il paroît que les fénateurs
ailoient au fénat à pied. XII. 234. b. Prince du fénat. X llI .
371. a , b. Des propofuions 6c rapports qui fe faifoientau
l'énat. 798. a , b. Comment on y recueilloit les opinions.
XI. 508. a. Acclamations du fénat. I. 73. a. Serment qu’il
prètoit à l’empereur. IX. 85. a. Son avilÙTement fous T i bère.
X IV . 3 34. b.
Sénat des cinq cens. Sén:it des quatre cens. ( H if. d'Athènes )
Sur le fénat d'A thenes , voye^ ÈpiSTATE , pROEDRE , PuY-
TANE. X V . 5. a.
SÉNAT de Lacédémone , anc.) VII. 649. b. IX .
SÉNATEUPi ROM A IN , ( Gouv. de Rome ) Variations dans
le nombre des fénateurs. X V . 5. b, Q uel âge étoit requis
pour emrer dans le fénat. La plus grande partie des favans
paroi: avoir fixé l'obtention du rang de fénateur à 28 ans.
Mais à en juger par l’iifage de la république dans les derniers
tems , cet âge étoit celui de 30 ans. Ibid. 6. a. Origine
des loix qui régloient l’âge des magifirats. Autre qualité
requife dans un fénateur, un fonds de biens .conlidé-
rablc pour le maintien de cette dignité : U paroît que ce
fonds ctoit fixé à 800 feficrces, avant le regne d'Augiifie.
Cette coiiAiturion ne paroic pas avoir été bien ancienne ,
puilquedans les premiers rems, les principaux inagiflracs écoient
tirés de la chamie. Il tâlloit encore que les fénateurs dou-
naifenc un exemple de bonnes moeurs. Ibid. b. Alfiduicé qu’on
exigeoit d eux. Autres devoirs qu’ils dévoient remplir. Comment
ils fe degradoient. Privileges difiingués dont ils jouif-
foLent hors de Rome 6c dans Rome. Ornemens de leurs h.a-
bits. /WAiig, ./. Dans les commencemens de la république ,
les fénateurs n’ofoieni quitter en aucun lieu les marques de
leur rang 3 mais d.ins la fuite on fe négligea fur ces bien-
féances refpc-élables. Ibid. b.
Sénateur romain : âge requis pour entrer an fénat. XIII,
705. a. Pourquoi les fénateurs furent appelles peres conf-
cripts. III. 904. a. XII. 177. a. Difiinilion des fénateurs en
patres majorum gentium 8c patres minorum gentium. XII. 177.
a. Tunique des fénateurs. VIII. 13. a. Leur anneau. I. 480.
a. Leurs fouliers. X V . 403. b. Sénateurs pédaires. Suppl. II.
303. b. Sénateurs pédaniens. IX, 14, b. Le nombre des fénateurs
augmenté en différens tems. XII. 176. b. X V . i. b.
Les fénateurs avilis par Néron. X V I . 703. b.
SÉNATEUR pédaire , ( Hïfi. rom. ) X V . 7. b. Voyeg_ PÉ-
DAIRE.
Sénateurs de Lacédémone, d’Athenes , voyc^ SÉNAT.
Sénateurs de Pologne , {Htfl. mod. ) X V . 7. b.
SÉNATEUR de Suede, {Hiß. de Suede) X V . 8. a.
SÉN A T ü S - CO N SU LTE romain, ( Gouv. de Rome ) Comment
fe formoient les décrets du fénat romain. Souferip-
lioiis ou fignaiures qui accompagnoient ces décrets. Intervention
dc l’autorité des tribuns qui pouvolent renverfer
d’im feiil mot ce qui avoit été réfolu. Moyen qu'on employa
pour contenir les tribtms faélieux , mais qui réiiflit
rarement. X V . 8. a. Diverfes relTources des faélieux & chefs
de parti pour renverfer un décret utile. Raifons de croire
que les loix exipeoient la préfence d’un certain nombre de
fénateurs pour rendre un aéte légitime. Ibid. b. Leéliire 8c
publication des fénatus-confultes. Lieu facré où l’on en (K-
pofoit une copie. Paroles par lefqiiclles le conful congédioit
l’alTeniblée du fénat. Quelle étoit la force des décrets de ce
corps. Objet de ces décrets. Ibid. 9, a.
Sénatus-confulte , différence entre fénatus-confulte 8c délibération
du fénat. X I ll. 798. a. Articles fur ces décrets du
fénat. V . 138. b. 139. a. X iV . 736. a , b. Comment ils fe
Itjnnoient. X V . 4. b. ^.a, b.
SEN
SÉNATUS-CONSULTE/cm-/, (H iß . ro.r..)Dàns quelles oc-
cafioiis le fénat formoit ces décrets tacites. Sénateurs admis
aux affetnbK'CS où ils étoient formés. XV. 9. b.
Sénatus-confulte Macédonien, {H ß .rom .) celui par lequel
il étoit ordonne (juc toute aftion fiit déniée à celui qui pre-
teroic de l’argent à un fils en jniiitance de pere, 11 ii’cil point
reçu en pay.s coutumier. XV , 9, b. Macéd on ien.
SrNATUS-CüNSULTE vcltcien , ( Droit couium.) par lequel
les femmes ne peuvent s’obliger valablement pour d’autres.
Coinmeiit il a été obfcrvé en France. X V . 10. a. Payez V el-
LÉIEN,
SÉN AU LT , maître écrivain. IX, 908. a.
SEN D , pays de ( Géogr. ) V i l l . 130. a.
SÉNÉ , ( Bot. ) Caraélcres de ce genre de plante. X V .
10. a. '
Séné bâtard (jrdinaire Sc petit féné bâtard, {Jardin.) V .
565. b. Suppl. II. 801, b. Eli quoi le féné diitere de l'abfus.
Suppl. I. 74, a.
SÉNÉ , ( Mat. medic.) Defeription des feuilles de féné qu’on
trouve dans les b.Aitiqucs. Lieux d’où on nous les apjiortc.
X V . 10. U. Celles qu’on doit préi'ércr. Defeription des fruits
du féné auffi d'uiage en médecine. Origine de l'iifage de
cette plante. Anal^le de fes fouilles. D ’oii dépend leur v er tu
principale. Dittérentes propriétés des principes incdica-
menceiix du féné. Manlere.sde l’adminlllrcr en rcmede. M oyen
il empêcher qu il ne canfe des tranchées. Ibid. b. Comineiu on
cfi parvenu à en corriger le mauvais goût. Jus dc citron mêlé
aux infufions de féné. En quel cas les purgatifs par le fé-
ne font dangereux. Pourtjuoi l'ul'age des follicules de l'éné eff
conimuiiéineiu pr.iféré à celui des feuilles. Compofuions
d.ms lelquelles le féné ell employé. Ibid. n . a.
Sene , plante qui a la vertu do lui ôter fon mauvais août.
X V ll, 677- ^
^^SENÉCÉ , {Antoine Baude:on) littérateur Sc poète. IX.
SEN ÉCEY , {Géogr.) bourg & marquifat du Cliâlonnois
en Bourgogne. Oblervations fur quelqiie.s perfonnes célébrés
do lilliiltrc inalfon de Senecey. Suppl. IV. 774. b.
SÉN FCHAL , {J:irifpr.) hifioire de l’olHee de fénéclial
dont les fonélions ont été difi'érentes felon les tems. X V . i i .
U. Ouvrages à confulter. Ibid. h.
SÉ.NÉCHAL au duc , {Hifi. mod.) grand officier cr.éé par
les ducs de Normandie , qui jugeoit les afi'aires pendant la
^'ffation de l’échiquier. Extinilion de cette charge en 1499.
SÉNÉCHAL d’Angleterre , {H:ß. d’Anglet.) X V . 12. a.
SÉN FC IIAUX , { h iß . mod.) officiers qui avoient autrefois
en France une crèb-gr.ande autorité , puifqu’elle s’écen-
doit fur les loix , les arme» 8c les finances, Hilfoire de l'office
dasbaillifs 8: fenéchaux. En quoi il confiffe aujourd'hui.
Sénech.iuffees de France. X V . 12. a. Auteurs à confulter.
Ibid. b.
Sénéchaux : figiiification du mot fénéch.il. XII. 909. b. Le
terme tlcjenéchaujjec anciennement fynonyme à celui de dapi-
férat. IV . 631. a. D c la charge dc fénéclial en France. IV . 6 3 1.
a. X. 553, b. Anciennement les prévôts , baillis , fénédiaux ,
venoieiit rendre four» comptes à la ciiambrc des comptes , 8c
elle poiirvoyoità leursoflîces. III. 784. reyr3;BAiLLlAGE 8c
Ba il lis .
S EN E ÇO N , {Botan, ) Car.afleres de ce genre de plante. Scs
cfpeces. Defeription de la petite qui cA la plus commune.
Lieux où elle croit. Son ufage en médecine. X V . 12. b.
SÉNEF ou Seneffe, {Géogr.) village du Brabant, remarquable
par une bataille affreufo qui s’y donna en 1674. X V .
12. b.
Senef, bataille de. IV. 661. a , b.
S ÉN É G A L , le royaume de {Céo«r.) en Afrique. Mifore
du roi. Brigaïuhige de lès fiijcts. Delcription de leurs maifons
& d e fo u r s lit s .X V . i3 . ., .
Sénégal. Forêts de gommiers dans ce pays. Suppl I. 83. b.
86. a , b. Obfervations fur les peuples de ce pays. VIII.
3 46.^ b. XI. 80. b. 81. a. Souverain 6c princes du fang dans le
Sénégal. XVI. 138. b. Ufage que les negres du Sénégal font
des graines de l'abi us. Suppl. 1.6o. a. Comment iis fe peignent
ie corps. 237. a. Efcalesdu Sénégal. V. 929. a.
S é n é g a l , ß c de {Géogr.) X V . 13. j .
Sénégal, riviere dc {Géogr.) X V . 13. a.
Sénégal, riviere de. XI. 140. a. Maladie endémique daiis fes
environs. II. 337. a.
SÉNÉGAL, gomme du {H ß . des d:og. exotiq.) gomme entié-
icment fcmblable à la gomme arabique. X V . i^.a.
SENÉKA , le ( Bot. exot. ) racine de polygala de Virginie.
Connoiffance que M. Tennent, médecin Ecoffois, donna
dc cette plante à l’académie des fcienccs de Paris. X V .
13. a. Noms que lui donnent Gronovius 8c Miller. Defcri-
ption de cette plante. Vertu que lui attribue M. Tennent. Expériences
quon en a faites en France. Inconvéniens attachés '
à fon ufage. Ibid. b.
SÉN EM BI, {h iß . nat.) forte dc lézard d’Amérique. Sa
SEN 663
m'illlciniil qu’on en tire. XV. i . o
S ^ V E Q U t , A , „ „ u s ) le |,tilolo,,hc. Sa iloailné
lui la moic. I. 339, b. Olifcrvatiom île ijefeanes fur fon
tiriitc t e la Vie hcureufc. If. 720, b. Sciuimcnt de Sénetiue
for les comète». IL 674 De» leuies de ce phllofophe.
, 'j. _ 3 ■ , ^ f o j J ' ^ luxe de» Romains. VIII, 639.
b. Examen dc fa moriL' Y «e». t • n mo ,r ‘" ‘y -" '" 701. a. Sa mt.mere d exciter
les p.ùho:i.-. X J , 1 4 8 . Ses rétfoxions fur les rieheffes. X IV .
272. b , 6cc. CûntradiAiun» où il tombe fur ce fojet. 2-n.a.
Seneijitc, obforvations for quclque.s iragédie.s ciu'on lui at-
3 ^73- b. Sur "fon (Kdipe. XVI.
SENÈS , {Géogr.) fontaine remarquable d.iiis
S E N E V É , {Jardi/uig.) trois fortes dc f.’.n
- - ...vé, Réglement
ce diücele. V II . 100. a.
i.c police fu r ie commerce de cette lilan:.- >
M o u t a r d e .
commerce de cette plume. XV. 14. a. royeg_
^ céieAcs. Suppl II. 233- <t.
S EN K I , ( Médecine) maladie paniculierc au Japon. Quelle
en cA la c a iile.X V . 1 4 . ^
SENLIS , ( Gjcgr. ) Ville de rifle de France. Son gouver-
nemenn X V . 14. . . Son évêché 8c chapitre de fit" cathédrale,
übfeivaiions hiAoriques for S en li» ,& fur deux hommes
de lettres que cette ville a produiis, Simon GouUA, ihéo-
iogicn, 8c François P.ijot, plus connu fous le nom du uoéte
Limeie. IliJ. b. ‘
Senl is , ( ) cette ville autrefois nommée Aimtlïonugus
ëcStlvaneaum civitus. X V . lyS. b. Chaux dc .Senlis ,
comment ou l’emploie. 11, 270. b. Situation des hhiiaiiffe-
nes de Senlis. 273. a.
SEN NACHER IB. (Hijl. anc.) fils & fuccefiiur ilc Sal-
niaiialar , roi ti Aliyrie. FIoAilités qu'il exerça tonne les
Juifs, du tems d Ezéclîias. Snppl IV. 7 7 3 . Son armée détruite
par un ange , lorCqu'il faifolt le fiege de Jémfalem.
M in te rp rè te s for te prodige.'Sa mon. Ibid. b.
SENNe^R de {Géogr.) tn Afrique. Defeription
des habitans de ce pays , 6c de fours maifons. Vêtement 6c
palais du [trlnce, MarcliandÜes qu’on tire de ce pays Sa capitale.
X V , 1 3, J. ^
SEN O N E S , {Geogr. anc.) i". Peuples dc la Gaule celtique
ou Lyonnoife. Peuples d’Italie dans la Gaule Cif-
padane. HiAoiie de ces peuples. X V . 13. ,z.
SLNONÜIS , U { Géogr. mod. ) pays de France en Champagne.
Ce fi.i en jjtirtie la dem-.ure des anciens Senones. Les
Sequaniens 8c les Sénonois étoient deux peuples dilfineués.
Paiiage dc Fioriis fur les Sénonois. X V . 13./..
Vf/îwmij , voye^ Semnons ; fours émigr.-mons. Vir. 328.
peuples nommée MoiiAafgus. X. 714. b.
SENS , ( Gramm. )jigK:fication , acciption , fens , mots
lynonymes , leurs différences. Deux Jlverfès maniérés d'en-
vffager la fignirication_ primitive d’un mo t, d’où mût la cli-
Ainétion d acception formelle 8c d’acception inatéridle de
ce mot. Signification objctAive, 8i fignificaiion formelle : l’une
6: 1 autre confliment la fignlficarion primitive 8c totale du
mot, XV. x6. a. M.dsia lignificaiion objeéttve efl dlc-nième
fojette 11 diiî.-rentes acceptions. .Acceptions déterminatives
de. noms appc-llaufs. Ibid. h. Détail des clifféttns fons que
fo grammainen peut envifager dans les mots ou dans les phra-
I. Sens propre , fens figuré. La liaifon qu’il y a entre les
idées aceeKoires, c il la foiirce & le principe de divers feus
figurés que l'on donne aux mots. L'expreffioii figurée eA or-
dii^iremeiit plus vive 8c plus agréable quand die cA employee
â propos. Quels font les mois qui fo ptennent le
plus fouvent dans un fèns figuré. Ibid. 17. .2. Pourquoi un
mot ne confoive pas dans la cradufolon tous les fens fleures
qu’il a dans la langue originale. Ce que doit f-iro'cii
pareil cas un ti.-tdmAcur. Nos diélionnaircs n’ont point affez
remarqué les divers fens que l’on donne par figure ù un
meme mot dans une même fougue , 8c les différentes fi-
gnificatiütis que le traduéleur ell obiigé’ dc donner à tin même
mot pour faire entendre la p.nfée de fon auteur, Ibid. b.
Comment il faudioit à cet egard perfoéiionner les djffion.
naires. Ibid. 18. a.
Il- Sens déterminé , fens indéterminé. Ibid. iS. a.
^ III. é.'c.7is aéîif, fens pajfif. Obfervations fur le» mots latins
wc/Hor Sc immernor, pris tantôt d.ms un feus afotf, tantôt
dans un fciis pafhf ; quand immernor veut dire celui qui oublie
, il eA pris dans un feus paffff. M. du Marfais conclut
de ce double fens de ces mots , qu’on doit les regarder
comme neutres. Obfervations fur cette concUifion. Ibid. b.
IV . Sens abfolu , fens relatif, voye{ RELATIF.
V . Sens colleélif, Jèns diflributif.
y i . Sens compofé, fens divije. Divers exemples qui expliquent
cette dcAinÂioti. Ibid. 19. a.
VII. Sens littéral , fens fpiritucl Ibid. b. i. DivifiOn da
fens littéral. Il y a le fens littéral rigoureux , Sc le fens littéral
figuré. Exemples tirés principalement de l’écriture fainte.
Il y a fouvent dans le langage des hommes, un fens littéral
r i