;;.! I M
838 VEN n’ cn découvre aujourd’hui que les ruines , dans le comte
de Monmourhs , elle ne lailî'c pas de conlerver fou ancien
nom. X V I I . 24. .1. On y a déterré divers moiunnens d’antiquité.
Il y a eu clans cette ville une académie. Ibid. b.
V E N T E A U , {Archit.Hydrjul. ) aflémblage de charpente
qui ferc à fermer la porte d’une édufe. Pieces dont il eft com-
püfé. XVII. 24. b.
VENTE , ( Jurîfpr. ) l’ufage des échanges plus ancien que
celui des ventes proprement dites. L’ulàge de la monnoie
inventé pour faciliter les échanges, & faire les ventes proprement
dites. Différentes fortes d'aliénations comprifes lotis
le nom de vintes. Conditions nécelî'aires pour lormer une
vente. XVII. 24. b. Ptix de la vente. Confentemeiu néccl-
faire pour la vente. Incapacité particulière qui empêche, l'un
de vendre, l'antre d’adieier. Des choies qu’on peut vendre.
Eng.agemcns du vendeur. Comment fe fait la délivrance des
chofes mobiliaircs iSc des immeubles vendus. De ceux qui
ont acheté de bonne foi de quelqu'un qui n’éioic pas propriétaire.
Ibid. 23. a. A qui. appartient la ehofe vendue à
deux dlrt'érens acheteurs. Tems où doit être faite la délivrance.
Premier engagement de l’acheteur, intérêt que porte
le prix do la vente. Le contrat de vente eff fufceptible de
toutes fortes de claules (k de conditions. A la cuarge de
qui eff la perte ou la diminution de la ehofe , avant qu’elle
foit délivrée. Caufes de nullité dans iin contrat de vente.
Comment on regie le jiiffe prix de la ehofe à vendre. Recours
de rachccenr en cas de polfcflion troublée. Auteurs
à confiilter. V o y ez Achat., Acheteur, Acquijttion , Adjudication
, Aliénation , Contrat, Dation en p.tiemcnt, Echange,
Vendeur, Fendre. Ibid. b.
Vente. Billet de vente. II. 234. a. Contrats de vente.
IV . 122. b , 6cc. Loi comniilîbire fur les vendeurs & les
acheteurs. IX. 636. b. Lods Ü ventes. IX. 628. b. 629. a.
Du command dans les ventes volontaires 6c dans celles
par décret. III. 684. a. Garantie dont un vendeur eff tenu.
V i l . 480, b. De la clnufe de rachat dans les ventes. XIII.
74O. b. 741. a. Raifons qui juffifiau l’ufage de vendre plus
ou moins cher, Iclon que raclieteur paie comptant «u en
billets. XVII . 332. b. Circonffances qui doivent concourir
pour que la promelfe de vendre vaille une vente. X llI .
445. b. Eftimation particulicre de chacun des objets compris
dans une vente 6c qui ont été vendus pour un feul 6c
même prix. X V i l. 28. b. Faclciirs pour ht vente. VI. 359.
b. Déclaration de franc 6c quitte de l’iiériiage que l’on vend.
VU . 28 t. a. SuccelTion par vente folemnelle. X V . 600. a.
Vente d’un fief : droit de quint qui le paie dans ce cas.
XIII. 719. b. Aéle par lequel le feigneur démet le vendeur
de la polTeffion d’un héritage pour en revêtir l’acquéreur.
XVII. 210. a , b. De la vente des effets faifis. XIV.
<527. a. Vente .211 b..flln. II, 12.^. b. Ventes «à l’cnchere. V.
619. b. Vente par ffibhaitation. X V . 361. b. Vente fimulée
appellee (îdticie. ^T. 688. a , b. CommilTaires ét.iblis à
Amfferdam pour préfider au.x ventes publiques : manière
dont elles fe font. I. 164. b. X V I. 914. b. Vente des chevaux
: garantie dans cette vente. VII. 481. .j. Maniéré de
vendre ^ d’acheter la viande tie boucherie chez les Romains.
II. 3 3 2. a. Tradition des choies vendues. X VI. 509. b. üppofi-
lion à la vente. X L 5 1 î - E
Vente a l’amiable. Vente à la chandelle. Vente par décret.
Vente à l’encan. Vente à rcifai. Vente à l’extinéfion de la
chandelle , vo ye z Chandelle éteinte. Vente à f.iculté de rachat,
voyez Faculté de rachat. Rachat & Réméré.y cma à la
folle-enchere, voyez Adjudication , Enchère , follc-cnchere.
Vente forcée. Vente francs-deniers. Vente imaginaire. Vente
fans jour 8c fans terme. Vente judiciaire. Venteau plus offrant
8c dernier enchcriffeur. Voiite à prix d'argent. XVII .
î6 . a. Vente fur trois publications. Vente publique. Vente-
rccélée 8c non-notifiée. Vente fimulée. Vente volontaire.
Vente pour rutilité publique. Vente 8t devoirs. Ventes 8c
gants. Ventes 6c honneurs. Ventes 6c HTues. Lods 6c ventes.
Ibid. b.
V ente de coupe de bots, {^Eaux & Forées ) vente par récépage.
Vente iifée. Sept ventes dont il eff parlé dans l’ordonnance
des eaux 6c forêts. X VII . 26. b.
V ENTEUX , ( Médec. ) aliment venteux. Colique venteufe.
Remede venteux. XVII. 27. a.
V E N T IL A T E U R , {Phyjlq.) machine par laquelle on renouvelle
l’air dans les lieux oîi ce renouveUement eff né-
ceffaire. On en doit l'invention à MM. Triewald, 8c H.iles.
Deferiprion de celui de M. Haies. XVII. ^y.a. NécdTitéde
la bonne conftitution de l'air 6c de fon rcnouvellemeut.
Utilité d’un ventilateur dans les hôpitaux , 8c les lieux de
fpeclacles ou de grandes alTemblées. On peut l’introduire
aulTi dan.s les mines les plus profondes , pour en pomper
l’air mal-fain. Maniéré d’introduire l’air dans les hôpitaux.
La même machine peut être employée utilement dans les
ferres. Grande milité du ventilateur dans les vaiffeaiix, préférablement
à la voile. Ibid. b. L’ufage du ventilateur n’exige
pouit des gens de l’équipage un travail tfop confidérable.
VEN Necefflté de procurer un renouvellement d’air aux vailîeaux.
Ventilateur uniquenientdeffiné à rcnouveller l’air de la foute.
Par le moyen du ventilateur de M. Kales , on peut encore
détruire les calendres, les veis 6c les fourmis, iufeéles quei-
quetwis li communs dans les vaiireaux ; ou peut entretenir la
fécherelîe de la poudre h canon; mais fur-tout purifier le
mauvais air de l’archipompe du vaiffeau. Moyen de confer-
ver le b lé , en rempéchant de s’échauifer 8c en le préfer-
vant des infcéfes , jiar l’ufagc du ventilateur./iid. 28. a. Le
même inffjumcnt peut forvir à fccher promptement le blé
mouillé, 8c à remédier à piuficurs mauvailes qualités que
riuimidiié lui doniu'. Par fou ufage on eff difpenfé d’avoir
des greniers trés-valtcs. Ouvmge à confultcr. Ibid. b.
Veimlateur. Delcription d'un nouveau ventilateur , quia
été employé avec luccès dans une mine de charbon près de
Stourbridge, dans la province de Worcheffer; & qui peut-
être très-utile dans les vniiTeaux.S/q’;?/, IV. 983. a.
Ventilateur deffiué à changer l’air d’une chambre. I. 236. b,
\ EN I IL.ATION, {Juri/pr.) effi mation particulière de
chacun des objets compris dans une vente , 8c qui ont été
vendus pour un feul Oc ntème prix. Cas le plus ordinaire
de la ventllatton. Aux dépens de qui elle fe fait, lorfqu’il
s agit de fixer les droits de diftérens feigiieurs fur plufteurs
heritages vendus par même contrat. Lorfque la ventilation
elt l.iire par le contrat, les feigneiirs ne Ibnt pas pour cela
obliges (le s'y ten ir, s’ils prctcndcnt qu’elle foit frauduleufe.
XVII . 28. b. Ouvrages à confultcr. Ibid. zq.a.
\ ENTOSITES , ( AléJcc. ) voye^ V'ents.
VENTOULSES, {Médec.) les vcinoiifes peuvent être de
phiiicurs m.iticrcs, comme de piufieurs formes. Mais on
n emploie plus guère aujourd’hui que celles de cuivre. Effets
de,-, yentouics. On divife les venroufes en feches in;mes,8c
en Icariliées. Palfage d'Hérodote qui conffate l’antiquité Sc
1 efficacité de ce remede. XVII, 29. a. Ufage qu’en laifoient
Hipprerate Sc les méthodiques. Aretée eff un de ceux qui
sen foit fervi avec le plus de méthode , fur-rout dans les
maladies aiguës. Uf3 ge qu’il en faifoit dans les pieuréfies.
Efpece de ventoiife donc, fe fervent les Hottentots pour les
coliques Sc les maux d’eTlomuc. Les ventoufes font recommandées
dans la plupart des maladies ibporeufes , comme
dans 1 apoplexie. On peut les employer dans le choiera morbus,
8cc. Ibid. b.
VcntoMj'cs, v e y q Sc a r if ic a t io n . Explication de I’aftion
des ventoufes. l. 2 28 .LV . 876. a.Suppl. IV. 614. a.
V en to u se , ( llydraul.) defeription 8c ufage des ventoufes
hydrauliques. Les vemoufes renverlées ne font nhis d'u-
fage. XVII . 30. a.
, {AIcchan. des cheminées) efpece de foupirail
pratiqué fous la tablette ou au.x deux angles de l'âire , pour
chalTer la fumée. Sa defeription. XVII. 30.
V entouse d'aljance, { A -c b it.)W { i. 30.L
V entou se , ( Verrerie) XVII. 30. b.
VENTOUsHR , { C7;;>. ) defeription de c«rte opération.
X V ll. 30. Vcmoiifesfeches 8c humides. Maladies pour lel-
quelles on recommande les ventoufes. Partie fur laquelle on
doit les appliquer. Maniéré angloife de vemoufer fins feu.
Ufage que les anciens ffiifoicnc des v entoufes./LL h.
V EN TR E ,{Anai. )le corps d iviféen trois ventres, en prenant
ce mot dans fafignificaiion la plus étendue ; l’abdomen, le
thorax 6c la cavité de la têre. Ventre inférieur 6c ventre fupé-
rieiir, felon Hip(3ocrate. XVII. 30.é.
V e.vtre , ( A/rt/s'c. 6* C/ùr. ) ventre lâche : ventre conftîpc,
IV . 771. U , b. Enrlurc du venrre dans les femmes en couche.
VI. 480. b. Incifion au ventre. V II . ^22.b.
V entre du cheval, ( Maréch. ) fes mauvaifes -qualités. X V I I .
30. L
V e n t r e , avoir d u ,{ Alaréch.) IV'. 268. b. Articles fur
le ventre du cheval. Suppl. IH. 392. b. 399. a.
V en t r e , {Critiq.fuer.) iifages de ce mot dans l’écriture.
XVII . 30. b.
VENTRE , ( Artill. ) canon fur le ventre. Ventre du mortier.
XV'II. 30. b.
V ENTRE de cheval , ( Chyrnie ) fumier récent. Ufage qu’en
font les cliymiffes 6c alchymiftes. XVII. 3 i. a.
Ventre de cheval, appareil dans içqiicl le vaiffeau qui contient
le fumier eff adapté à un bain-marie , ou à un bain de vapeurs.
Ses mages. XVII . 3 i. a. " NTB ■ - ' • —
.3 1 .
V entre , curateur au , ( Jurifpr.) IV. 3 71. b.
V en t r e ; {Archit.) mur quifait ventre. XVII. 3 1 .rf.
V'entre ou Gorp^c , ( Hydrant. ) fondrière entre deux
montagnes, qui fe rencontre dans la conduite des eaux. X V lI .
3 1 . rf.
Ventre , terme de potier d’étain , terme de tourneur. X V II .
31 .« .
V E N T R ICU L E , ( Anatom. ) ventricules du cceur. Leur
defeription. On a aulTl donné le nom de ventricule à quatre
cavités particulières du cerveau. Leur defeription. XVII, 31, A
VEN Ventricules du cmir : leur defeription. III. ^93. a. Le Ventricule
droit n’a été fait, à ce qu’il paroît , qu’en faveur
des poumons. Ibid. h. Colonnes charnues des ventricules ,
leur ufa^e dans la fyffole. 656. a. Capacité des ventricules.
Suppl, fl. 490. b. Leurs valvules. 49t. a. Les ventricules
moins fiijets aux abcès qu’aux inflammations. I. 16. a. V o y ez
planche d’anatomie, vol. I.
V entricule du cerveau, {A nat.) Sujtpl. III. 944. a , b.
V entricule , maladies du, ( Médec. ) remedes à employer,
lorfque le ventricule ou l’eftomnc eff chargé d'une trop
grande quantité d’alimen.s; de mucofité, de pituite ou autre
humeur tenace ; de matière putride , rauce , bilieufe ; XVII.
31. b. quand il fe trouve dans le ventricule des corps étrangers
, des v ers, du f.mg ou du pus; lorfqu'il eff gonflé par
des vents. Cas de trop grande coinpreffion , de contufion ,
de piqmive on de blelTure de cette parue. Dilatation Sc
hernie du ventricule. Reffëriemeiu de ce'vifeere après une
longue abffinence. Corrollon , excoriation de l’effomac ,
hémorrli'gie. Inffanimatiun , rhumatifme, érifipeie clans cccre
partie. Ulcérés du ventricule. Relâchement, luimidité , hy-
dropifie d'ellomac. Langueur, foiblelfo, pcftiueur , froid
du ventricule. Ardeur thi ventricule. Anxiété, ccxivuliions
fynipaihiques dont ce vifeere eff agité. Ibid. 3 2. a. Foyer Es-
TO.MAC.
V entricule des oifeaux, {Anat. comparée) avantages
de fa ffruc^ilre pour l’incubation. X V II . 32. a. Struffure
particulière de l'eilomnc du coiicoû , qui lui rend l’incubation
aulh difficile, quelle eff facile aux autres oifeaux ; mais
qui fait auii't que fes petits n’ont pas le même befoin d’être
couves, que ceux des autres oifeaux. Defeription de l’effomac
des oifeaux en general. Pourquoi les autruches avalent
du fer ou toute autre matière dure. 6c folicle. Ibid. b. Différence
dans le ventricule desoileaux granivores 6c celui des
oifeaux qui vivent de chair. Ibid. 33. u.
VEN rÙ lL ü Q U E , ( MeJec.) malade qui parle la bouche
fermée, 6c femole tirer les paroles de Ion ventre! Caiifo
de cette maladie felon Hippocrate. Exemple d’un malade
de cette efpece dont le ventre faifoit entendre des bruits
affez analogues au fifflomenr des vipères. XVII . 3 3.U. Caufe
paniculiero de fa maladie. Remedes qui lui aiiroient convenu. Ibid. b.
Ventriloque, V(?yf^ Engastremithe. Oracle ventriloque
des piùens : exemples de ventriloques. XL 297. j . l’article
liiivant.
V entriloques , ( y^rrLVùi.) cotte efpece de divination
paroit avoir été particuliérement réfervée aux pythonilTes.
La py thonilTe d’Endor, ( Rois liv. 1 , c/iap. 28 ) Si celles dont
il eff parlé, Aél. xvj , font appellees ventriloques par les
interprétés. Deux fattens de rendre les oracles par le ventre. 1 1
y a auffi des ventriloques, félon Tetiuilien, qui rendoiemles
oracles par les parties de lagcnération. Vcturiluqiie dont parle
Adrien T iirnebus.XVII. 33. é.
V É N U S , {Aflron.) éclat 6c lumicre de cette planète.
Sa fuiiacion entre la terre 8c mercure. Sa plus grande élongation.
Ses noms changent felon qu’elle paroit le foir ou le
matin. Demi diametre de venus,, fa diftance au foleil, fon
e.xcenrricitô , indinaifon de fon orbite. Ses révolutions fur
elle-même & lur fon orbite. Son diamètre apparent, ou de
la terre 6c vu du foleil. Le tems où elle jette le plus de lumière
n’eff pas celui où elle eff pleine , mais celui de fon
crolffam. XVII. 34, a. M. Halley a démontré que fon plus
grand éclntavoit lieu lorfqu’elle étoir à 40 degrés de diffance
du foleil dans la partie inférleuie de fon orbite. Phénomènes
vemarquabios dans cette lumière. Taches Sc montagnes découvertes
fur cette plautte. Üfages qu’on peut tirer de l’ob-
fervation du palTage de véniis fur le foleil. M. Caffint crut
voir en 1672 oC en 1686 un fardliie à cette planete ; mais
quelqu’effbrc qu’on ait fait depuis , ou n’a pu revoir ce phénomène,
Ibid. b. jufqu’en 1740, que M. Sho rt, Ecoflbis,
crut le voir avec les mêmes apparences que M. Caffini a
décrites. Si c’e f f - là un fatellite de venus , il devient
encore plus difficile de déterminer quel peut être ru'fage des
fatellitcs. Le fyffcmc de Ptoloniée démontré faux par les
phénomènes de vémis. Incertitude fur le mouvement du
noeud de cette planete. Ouvrage de François Bianchinifur
venus. Ibid. 33. a. Taches qu'il découvrit fur fou difque.
Autres découvertes qu’il fit fur cette plauctc. Ibid. b.
Vénus. Nomsdecette planete, Hesperus, V e.sper,
Luc if er. ConnoilTauce que les anciens en ont eue. Suppl.
IV . 398. b. Changement finmilier arrivé dans cette planete
fous le rogne d’Ogygès. X IV. 234. h. 233. a. Les Péruviens
lui rendoient certains lionneurs. X V I . 84. b. Le.s phafes de
venus ohlervées premièrement par Galilée. Suppl, l î l . 173.
b. Dcal'tté de cette planète. Suppl. II. 698. a. Pcfanreiir des
corps fur fa furface. Suppl. IV. 308. b. Sa diftance .à la terre
6c au foleil. Suppl. II. 730. b. Teins qu’elle mettroit à
tomber fur le foleil. 703. a. Diamètre ajiparcnt de venus.
IV . 942. a. Suppl. II. 713. a. Son dlamcire n'eff point augmenté
par fon éclat. 721: b. Suppl, III, 66}, u. Rotation de
VEN 839
Vénus fur fon axe. Suppl.lV. 681. b. Ses phafes. X I I .493.
‘ï - Determination de fon aphélie, vo ye z ce mot. Sou ex-
Cemncita 5 «;;;)/. II. 909. A Sa plus grande élongation. V.
328. b. IX. 712. b. Suppl. II. 72 1. a. Ses aberrations. SuppL
. 906. a. Scs conjonftions inférieure 6c fupéricure. III.
»7 4 - bon noeud. Suppl. IV. 37. a. Le lieu de ce noeud
conclu par lobfervacion du patiago de vénus fur le foleiL
Suppl. IV 249. b. Son inchnnilon.5 «p7 /.lH. 370.A Obferva-
tions de fes paffages fur le foleil. XII. 1 14. b. Suppl. IV 243
b. Scc. Figures de fon paffage en 1769 , Suppl. 1 . 663. ’a &
^ ‘ffioiilté de bien obferver cette planète,
XVII . 837. b.— Voyei Planete.
Vénus , Jatellites de. Obfervations de ce fatellite à Paris
par M. Caffini, XVII . 837. A à Londres par M. Short 8c
a Limoges par M. Montaigne. 838. a , b. Il a été encore
obfervé par le pere la Grange , Ibid. b. Si par M, de Mont-
baron à Auxerre. Un affronomc anglois a prétendu l’avoir
apperçii le 6 juin 176c , durant le paffage de vénus fur je
foleil. 849. a. Examen des raifons qu’on allégué pour rendre
douteufe i’exiffence de ce fatellite. 849. a , A Conjecture
lur les caufes des bizarreries qu’on apperçoit dans ce petit
affre./AL b. C e fatellite regardé comme une illufion d’ontioue Suppl. IV. 742. A ‘ ^
VÉNUS, {M ythol.) déeffe de l’amour. Invocation que L ucrèce
adreiTe à Vénus. Son origine. Traits fous lefqiielsles
po^ëres l'ont dépeinte. Ceinture myfférieufe de cette déeffe.
X / I l. 33, A Jiinon fut obligée de remprunter pour gagner
les faveurs du maître du monde. Empire de Vénus furies
dieux Si fur les mortels. Oifeaux qui lui font confacrés.
Comment elle eff repréfentée fortaut du fein des eaux.
Platon diffingue deux Vénus, 6c Cicéron en admet quatre.
'Trois ffatues remarquables de Vénus chez les Thebains.
Celle qui s’eff attiré prefque tous les hommages des Grecs
Sc des Romains, c’eff la Vénus Anadiomene. Cepemlant,
felon plii|iciirs modernes, il n'a jamais exifté d’autre Vénus
qu’A ffarté, femme d’Adonis. Différens lieux où elle fut honorée.
Ibid. 36. a. Noms qu'elle a reçus des poètes. Statue
de Vénus Erycinc, fon temple à Rome. Statues de Vénus
faites par Praxitèle. Defeription de la Vénus de M. .Maffëi.
Les Spartiates repréfentoient cette déeffe armée./AL
Vénus , mere de cette déeffe. IV. 1013. b. Sa naiffaiice.
Suppl. I, 38t. ,1. Surnoms donnés à Vénus : elle a été appellee
Aiiatlyomcne. I. 397. X V II . 36. b. Suppl. I. 381. a , b.
Architis, I. 61S. A Dcxicréontique. IV. 923. Erycine. V ,
918. b. Suppl. II. 868. A Euploè. Suppl. 1 1 . 908. a. Migoni-
tis. X. 398. a. Symmachie. X V . 735. a. Trompeufe. 5/rpp/.
I. 481. b. Voyei^fss autres noms dans la fiiitc de cct article.
Traits caraélérilliques de Vénus. At/pp/. i ll. 237. i-.Cettedéeffe
faite mâle 8c femelle. 928. a. Elle fe précipite du haut du
rocher de Leucade. 433. a. Son paffage fur l’Eurotas. IV.
212. a. Vers que Lucrèce lui adrellc lorfqu’dle eff dans les
bras du dieu Mars. X. 131. a. D e la blefftiie que lui fit
Diomede. 5 upp/. H. 723. ,j. Ceinte.e de Vénus. II. 869. A
Son trône repréfenté dans les peinture:. d'Heicuianum. X V I.
301../. Attributs de fon culte trouvés dans cette ville. St/pp/,
III. 333. ,1. Oifeaux de Venus. XV . 734. a. Symboles de
cette déeffe. 730. b. 734. .7. Hymnes à Vénus. V lt l. 393.
b. Fêtes en fon honneur nommées aiiagogics. Suppl. I. 382. b.
Culte qu’en lui rendoit à Sardes, X iV . 652. b. en Cypre.
III. 437. A à Golgus dans cette même ifle , VII. 732. a. à
Gnide. 724. .1. Vénus adorée en Perfe fous le nom de Ta-
naide.XV. 881. a. Temples de Vénus. XVI. 79. A Celui que
lui éleva Paris. VIII. 98, A X. 498. b. X V . 439. A Temple de
Vénus la fpéculatrice. VIII. 216. a. Vénus des Sidoniens.
Suppl. I, 660. b. Temple fort fmguÜer qu’elle avoit à Lacédémone.
X. 716. a. X y . 4 3 1 . Temple 6c culte deVénus
à Papliüs. XL 846. a. Temple de Vénus Pontin. XIII. 79.
A Temple 6.: culte de cette déeffe à Sycione , XV, 169. a.
à Baby lone. X IV . 336. i . X V . 260. b. Temple que lesTroyens
lui bâtirent en Epire, XVII . 3. a. Temple de Vénus Arff-
noé. Ibid. Oracle de Vénus Aphacite. XI. 341. a. Statue
de VénusdeSicyone. X IV . 818. A Celles que fit Praxitèle.
823. b. Le culte de Vénus méprifé par les Lemniens. IX,
383. A
V énus A nadiomene , {Peint. Antiq.) tableau , chef-d'oeuvre
d’Appelles. XVII . 36. A — Voyei A nadiomene.
V énus V iCtric e , ( Mytholog. ) épithete donnée à Vénus
en conféquence du prix qu’el'.e remporta fur deux autres
déeffes. Comment elle eff repréfentée. XVII. 36. A
VÉNUS l a VOILÉE, {Mytholos.) temple dédié à Vénus
la voilée. On ne fauroit, dit Plutarque , entourer Cf.tte
déeffe de trop d’ombres, d’obfcurité 8c de myffercs. XVII ,
36. A
VÉNUS U r a n ie , ( Mytkolog. ) fille du ciel & de la lumière.
Elle animoit toute la nature. Invocation que Lucrece
lui adreffe. Ses temples. Comment on la repréfeiitoit. D ivers
peuples qui l’adoroiejit. XVII. 37. a. — Voyc^ l’article
Mih ir .
VÉNUS DE Médicis , {Seulpt, Ansiq.) deferiptioa (Je