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aftionoinos. Jb'u!. 132. a. Quant ;i l’éclipre dont PhU-gotl
fait mention daiib fa chronologie des olympiades, le docteur
Sykès dans une lavante dilferration fur ce lujct , remarque
que les pcrcs qui citent cet auteur , ne font d’accord
ni fur l'année de l’éclipfe dont il parloic , ni fur les
autres circonllances, Sc il en conclut que nous ne pouvons
faire aucun fond fur le témoignage de Phlégon qu’ils ont
cité. liid.
TJ;^bI3UES de !.i p.iffion , {Crhiq.fj.cr. ) X V I . 337. a.
T énèbres, ( terme d'EgüJe) nititines qui commencent
l’ofuce des fériés majeures de la femaine fainte. Levons des
ténei'res. X \ ’ I. 32. b.
TÉN ÉD O S , {Myih.ol. ) cette ifle devenue célébré par la
guerre de Troie. X V . 133. a.
T énédos, (Géügr. anc.) lile de la mer Égée , ainfi nommée
de Tenès qui y mena une colonie , les Turcs la nomment
aujourd’hui BjJciad.]. Hilloire de cette ille. Sa fituaiion &
la grandeur. C e fut derrière cette ifle que les Grecs cache-
icnc leur flotte quand ils flreiii femblant de quitter leur eiitrc-
prife du fiege d eT ro ie .X V l. i33,j.Produftions deTénédos.
, Greniers que Juflinien y fît bâtir. Fontaine merveillenfe
dont pat le Pline. Vin mufcatde Ténédos. Il n’y avoir point
ailleurs d’auilî belles femmes que dans ce lieu. Juges qui
y ctoienc établis pour décider de leur beauté. Ce fur à T é nédos
qu’aborda Paris avec fon Hélene ik qu’il la confola
de fes chagrins. Ibid. b. Obfervations fur les écrévilTes de
Ténédos. Kichefles des habitans de cette ifle du cem.s de
Cicéron. Ténédos confacrée à Apollon Sminihien. Origine
de ce furnom de ce dieu. Médailles de Ténédos. Hifloire de
Tenès qui lui donna fon nom , 8c qui y fut honoré comme
un dieu. Origine de cette loi deTénédos qui défendoltaux
joueurs de flûte d’entrer dans les temples. Obfervations
fur celle qui condamnoit à mort les adultérés. Ibid. 134.
et. Proverbe fur la /uc/ie de Ténédos. Sévérité des loi.x de ce
pays. Tenès tué par Acbiüe. Ibid. b. Apollon Sminthien,
cîoit en quoique forte tombé dans l’oub li, depuis que Tenès
fut mis au rang des dieux. Il femblc que les hommes fe gouvernent
en matière de religion comme les coquettes, chez
qui le dernier venu eft l’amant privilégié. Cléoflrate aflro-
iiome naquit à Ténédos environ 300 avant Jefus-Chrifl.
Ibid. 133. a.
Ténédos, fontaine remarquable de cette ifle. VII. 99. <7.
Oègàc que les mulots y firent anciennement. X. 836. a. 1 ÉNÉDOS . ( Geogr. mod. ) U n'y refte plus aucune marque
d’antiquité. Dcl'cripcion de la ville de Ténédos. X V I . 343. j .
T É N EM EN T , Tenwe, Tenue^ {Synon.) fignifîcation &
ufage de ces mots. X V I . 133. j.
Térjemcni, de cinq ans, ( Jurifpr. ) prefcriptloii particulière ,
ufitée dans les coutumes d’A njou , Maine , 8c Touraine 8c
Lodunois , m.iis avec quelques clifl'érences entre ccscoimi-
jiios, qui font ici expliquées. X V I. 133. a.
T énement , ( Jurifpr.) fignifie en général pojfejjion. Franc
tellement dans l’ancienne coutume de Normandie. X V I . 13 3.
Té'icmcnt villain. XVII. 2-jt . a.
T É N E R IF F E , ifle de ( Géogr.) l’une des Canaries. Sa
grandeur. Qualité 8c produflions de fon terroir. Sa capitale.
Ôbfervations fur ie pic deTénérifte. Hauteur de cette montagne.
Subftances fulfureufes qu’on en tire. Il paroit par di-
verfes obfervations que cette montagne a été autrefois brû-
iame. X VI. 133. b. Terribles tremblement de terre qu’elle
éprouva pendant douze jours en 1704. Hauteurs du baromètre
obfervées par le P. Feuillée fur cette montague, Def-
cription de fon fommet. Diverfes obfervations faites par ce
pere & fes compagnons de voyage. Relation de quelques
négociaiis anglois, qui ont eu la curiofiié de monter fur
cette montagne. Ibid. 136. a. Vers Anglois fur le pic de Té-
nériffe. Différence deméridien entre le fommet de cette montagne
8c l’übfervatoire de Paris. Ibid. b.
T'e'^îcVi^ , fituation de fa capitale, montagnes de cette ifle,
IX. 174. b. 173. a. XII. 343. b. Hauteur du pic de Téné-
rlfte. Suppl, il! , 317, a. Hauteur à laquelle la neige commence
à être pennaneme fur cette montagne. 230. b.
T énéuiffe, ( Géogr.) ville de l’Amérique méridionale.
X V I. 136. b.
T E N È S , fondateur d’une colonie dans l’ifle de Ténédos.
VoycT^ T énédos.
TENESME , ( Médec. ) envie d’aller à la felle , fréquente
& fans effet. Etymologie du mot T énesme. X V I . 136. b.
Symptômes de cette maladie. Nature des humeurs qui font
la matière des dé|céIions dont le téncfme eA accompagné
quelquefois. Différentes caiifes^de cette maladie. Ib id .i^ j,
a. Ses pronoAics. Son traitement. Ibid. b.
Tenefmc de la veffic. V . 836- b. XVII . 308. b.
T E N E T T E , ( Chinir.) inArument qui fert à faifir Sc tirer
la pierre de la veflîe dans l’opération de la taille. XVI.
137. b. Defeription de cet inArument & de fes différentes
efpeces. Pincette de ce nom inventée par M. Helvétius,
pour l’operation du caaacer, mais qui n’eA point en ufage. Ibid.
TEN-HAAF F , ( Girard-Gisben) phyfiologifte. Suppl. IV .
363. m
TENH A LA , ( Hifl. mod. ) nom que les habitans du Sénégal
donnent aux princes du fang de leurs fouverains, qu’ils
nomment Darnel, MiniAres du Darnel. Devoirs de ce fouve-
rain envers fes fujets. X V I. 138. b.
TEN IE R S , le jeune, { D a v id ) peintre. V . 317. a. X V .
2 1 1. a.
T E N IR , {Grammé) differentes acceptionsdeceverbe. X V I ,
138. b.
T enir , ( Comm. ) XVI. 139. a,
T cm port. X V I . 139. a.
Tenir magafin. X V I. 139. a.
Tenir boutique. X V I . 139.,;.
Tenir la c.vfe. X V I. 139. ,7.
Tenir la banque. X V I. 139. a.
Tenir les livres. X V I. 139. a.
Tenir compte. 139. a.
T enir , ( Marine ) divers ufages de ce mot. XVI. 139, a.
T enir à T arbre , {Jardin.) X V I . 139.^.
T enir de chair, ( Chamoif.) XVI. 139. b.
T enir J mont, {f.iucon. ) X V I . 139. b.
T enir , ( Triélrac) XVI. 139. b.
T EN O N , ( Archit. ) tenon en about, tenon à queue d’a-
ronde. XVI. 139. b.
Tz'HOtt ,{Charpent.) aflemblage à tenon. Maniéré défaire
les tenons. X I ll. 31. a , b. vol. II. des pl. Charpenterie, pl. 3.
Tenon , terme d’arquebufier , de boiffelier , d’horloger,
de jardinage , de fculpture , de v it r ie r , de marine. X V I.
130. b.
T enon, anatomlAe. Suppl. I. 414. i, & phyfîologiAe. Suppl.
IV. 363. a.
T E N O R , {Mufiq.) Voye^ T a il le.
TENOS , ou Tenus, {Géogr. anc.) aujourd’hui Teno ou
Tine, ifle de la mer Égée , l’une des Cyclades , Tine.
Médaille qui en fait mention. Noms qu’elle a eus anciennement.
Vers d’Ovide fur cette ifle. Autres lieux de ce nom,
XVT. 140. a. Foye:^ TlNE.
T E N Q U E , ( GiTari ) inflituteur de l’ordre de Maltlie. X,
163. b.
TEN S IN E , douleur, {Médec.) V. 84. b.
T E N S IO N , des cordes, {Mécbaniq. & Mufiq.) IV . 209.
b. Suppl. II. 600. a.
T E N T A T IO N , de Jcfus-Cbrifi , ( Ohiq. facr. ) Obferva-
tions fur ce fujet. XVII . 347. Grotte où l’on a cru que
cette tentation ètoit arrivée. VII. 969- a.
TEN T E -, ( Fortifie. ) étymologie de ce mot. La plupart
de Tarrares ôc des Arabes logent fous des rentes. Les Hébreux
logèrent quarante ans fous des tentes. Les tentes des
folclats font appellees cannonieres. X V I . 140. b. C e n’eA guère
que depuis Louis X IV que les cavaliers & les foldats
françois ont des tentes. A uparavant, les armées fe fervoient
des villages pour y trouver quelque abri ; dans les ficges ou
dans les camps à’demeure, les cavaliers & les foldats fe fui-
foient des baraques de paille qu’on rangeoit avec ordre. Ibid.
141. a.
; leur conAruélion & la maniéré de les difpoferdans
le camp, voye^ ce dernier mot. Tentes des Romains. X.
309.
t , {ufage des T entes du Le% Orient. ).Leur defeription.
XVI. 141. ,7.
Tenu d'herbage , terme de galere. X V I . 141. a.
T ente, {Chhur. ) Exemples du mal que peut produire
quelquefois l’ufage des tentes. Moyens fubltitués à cet ufage,
8c qui n’en auront pas les inconvéniens. Tente pour les
])anfemcns de l’opération de lu fîAuIe à l’anus. Obfervation
fur les tentes pour les plaies à la fuite do l’opération de la
taille. X V I . 141. (7. L ’académie de chirurgie propofa en 1734 de
déterminer , félon les différens cas , les avantages & les
inconvéniens de l’ufage des tentes & autres dilatans. Mémoires
qui furent couronnés. Cas qui exigent l’ufage des
tentes. Ibid. h.
Tente, voye^ UouRDONNET. Pourquoi les tentes de coton
enflainmeroient les plaies. IV. 306. b.
T ente , ( Boyaudicr ) defeription & ufage. XVI. 141. b.
T entes , ou bas parcs à trois rangs contigus, ( Peche )
X V I. 241. b.
TEN'T ELE, ( Hifl. nat. ) différentes efpeces de miel de
l’ifle de Madagafcar, renfermées fous le nom générique de
tcntelc. XVI. 141. b.
T E N T E R , ( Gram. Critiq. facr. ) Différentes figniffcations
de ce mo t, foit dans le langage ordinaire , foii dans l’écri,-
turo fainte. X V I. 14a. a.
TF.NT YRE , ( Géogr. anc. ) ville d’Egypte. Obfervations
fur la guerre que les Temyrites faifoient aux crocodiles.
Guerre que cette antipathie pour les crocodiles leur attira
avec leurs voiflns. Vers de Juvenal fur ce fujet. XVI. 142. b.
Tentyre : oppofition de culte entre cette xillc 8c celle
d’Ombi. XI. 438. b,
TENU E,
T E R
TENU E , ( Manège) avoir de la tenue à cheval. IV . 269.
T E N U R E , ( Jinijpr. ) tenue én roture. 11. 333. b. Te -
nure en villcnage. X V II . 282. b. Débat de temire. IV.
6 g -> .a ,f .
1 EOS , ( Geogr. anc. ) ville de l’Afle mineure dans l’Ionie.
Situation de cette ville dans une péninfule. HiAoire de fes
li.abitans. Médailles qu’ils frappèrent en l’honneur des Romains
dont ils furent traités plus doucement que de la part
dos Perfes. Obfervations Air Anatréoii né dans cette ville ,
fur fes poéfles. XVI. 143. a. Amheiiticité des pièces d’Ana-
treqn révoquée en doute par Corneille de Pau«'. Réfutaiion
de fon fyllème.Différentes éditions des ouvrages d’Anacréon.
Z’. Traduirions qui en ont été faites. Première ode d’une
tradikAion Italienne de ce poète. Jbid. 144. a.
Téos , cette ville déclarée inviolable, X V II . 280. a „
TEPECOPALLI- Q U A H U IT L , ( Bot. ) arbre du Mexique.
Son fruit. Réfme qu’on en retire. X V I . 144. a.
TE PH RAM AN CIE , ou Spodomancie , ( Divin. ) Etymologie
du mot. DivinatioiB dans laquelle on i'e fervoit de la
cendre du feu des facrifices. Efpece de divination par ie
moyen de la cendre, pratiquée du tems de D d iio . Autre
forte de tcplirainancie que pratiquoient les Algonquins 8c
les Abénaquis,!pcuples fauvages d’Amérique. X V I, J44, b.
2E P îD A R lL .\ l , ( Lin. ) éuivc pour faire fu e r , bain de
vapeur dans les titenties des anciens. Defeription de cette
chambre 8c de la maniéré dont elle étoit cliauflée. Vafes
qui comenoieiit des eaux de trois températures différentes.
Tepidarium des theimcs de Dioclétien. X V I. 144. b. Voyer
L aconicon.
T E P O N A T Z L E , {Luth. ) efpece de tambour des Péruviens.
Sa dcieripdon. Autre forte de tambour dont on jouoit
en même tems que du teponatzlc. Suppl.VJ. 934. a.
T h R AM O , ( Geogr. ) ville du royaume de Naples. Jacques
PalLdino , connu fous le nom 8iAncharano , 8c plus
encore fous celui tfe Jacques de Terarna , naquit dans cette
.... Principaux événemens de fa vie. Le feiiide
ges qui a eu cours , mais un cours incroyable , eA
roman oui en
T E R j 6 ï
ville c
:lpece de rom.an de piété. Differentes éditions qui en
~... etc faites. XVI. 143. a. Précis de cet ouv rag e , dans lequel
on voit un procès entre le d iable& Je fus -C hriA, entre
Satan iSt la vierge Marie. Ibid. b. But de l’auteur dans cette
hehou. TraclueAiü.i de ce roman. Ibid. 146. i7. Interdiélions
qui en ont été faites clans l’index d’Efpagne & l’index romain
Ibid. h.
T E R A TO SC O P IE , {Divinar. ) divination par l’apparition
8c la vue des moullres. Etymologie du mot. Ce fur par la
tératofeopie qu-e Bi ucus le meurrricr c leCé far , augura qu’il
perdroit la bataille de Philippes. Ce fut par elle que Julien
rppoAat fe lailla proclamer raiguAe par l'armée des Gaules.
XVI, 146./).
T '.KLEDH , ou Terhadh , ( Mat, medic, des Arabes ) nom
cbuué par Avicenne au uirbiih purgatif. Obfcrv.uions fur le
lurbiiti. XVI. 146. b.
Th-R(.EAU , ( Jurifpr.) redevance fcigncuriale pour la con-
ceflîon de terres plantées en vigne s En quoi elle confiAe
dans la '-outumede Chartres. Origine de ce droit. X V I. 46. b.
TERCERE , (Géogr. ) ifle la plus confidérable des Açores.
Sa grandeur Ck la populaiion. Ses produélions. Sa capitale
8i Ion Inivrc. Son commerce. Les Portugais ayant remarqué
que fous le méridien de Tercere , raiguilie .aimantée
n’avoir aucune dédinail'on , ont placé à Tercere leur méridien.
XVI, 147. a.
Tercere, ifle formée en 1720 par un volcan près de l’ifle
Tercere. V i l l . q jo . a.
TÉRÉBENTHINE , ( H:fl. des drag, exotiq. ) fuc réflneux
de deux arbies. Cinq force' de térébemhines. i". Caiaflc-
res de celte de Chlo. XVI. 147. Defcviptlon du téiébin-
ihe de Languedoc & du Dauphiné. Maniéré dont fe fait la
lécolie de la tércbeivhinc de Chio. Son prix fur les lieux.
Quamirc qu'on en retire annuellement, i “. Térébenthine de
Perle. Uiage qu’on font les femmes en qualité de niaflica-
toire. Maniéré de la recueillir. Ibid. b. Divers ufages de
cette fubllance & de celle de Chio. 3°. Térébenthine de
Venife. Lieux d’oii on l’apporte. Comment on la tire du
Ricléfe. Son analyfe chymique. Ibid. 148. ,?. Ufasies qu’en
font les chirurgiens. Divers cas où on l’emploie foit intérieurement,
foit à l’extérieur. 4". Térébcntiiine de Strasbourg
ou des fapins. Dej^ription de l’efpcce de fapin qui la
Récolté de cette réfme. Ibid. b. Manière de la tirer.
3“'. Térébenthine commune, tirée du pinus fylveflris, en
Provence, 8c dans la Guyenne. Deux fortes de refines
recueillies de cet arbre. Maladie caufée par la trop ?rande
abondance de réfme a larbre qui alors prend le nom de
torche ou teeda. JW. 149. çq dernier mot.
Terebenthiiie de méleie. X. 3 14. a. Préparation de la térébenthine
de chaudière, & de U tércbcmhine d e fo le il, faites
avec la réfme de pin. XII. 63
T érébenthine , hiule de. ( Chymie ) Inflammation des
huiles par les acides, übfervauoijs fur le procédé de B oni- ■
Tome I f
cîuiis pour cnflamm.er i’hiiilc de térébenthine i)ar l’efirrit de
nitre. XVI. 149, b. Expiofion qui fe fait par le mêlan-^e de
1 huile de girofle avec de l’efprit de nitre trop fort. Inflammation
de quelques huiles par expreffioii, mêlées avec l’a-
ciclc nitreux. Ibid. 130. a.
XII, 633. l. Lluiile de vitriol s'en-
llamn-ic avec celle de térébentliine. V lü . 337. i, L’efprit de
nitre enflamme cette huile. Ibid. ' *
TÉRÉBINTHE, {Botan.) voyc^ Pistachier. Caraéle-
res clc ce genre déplanté. Scs efpeces. Defeription du t ’ ré-
binthe de l’ifle de Chio. X V I . 130. a. Fréquentes occa'lons
dans lefquelles il cA parié du lérébinthe dans l’ancRn
leAamenr. Obfervations fur le prétendu térébinihe fous
lequel qn a cru t|u’Abraham avoir ilcu les anges. Uid. b.
Voye:^ iur ce fujet l’article MambrÉ.
Té'ébinthe, petit arbre qui fe troin'c dans les pays méridionaux
de rÉiirope, dans lAfrique (cptcmiionate ,6cd..ns
les Indes. .Sa defeription. XVI, 130. b. E-xpolliionb éx. ter-
rems qui plaifcnt à cet arbre. Manière de le multiplier dc
le cultiver. Ibid. 131. a. Delcription de flx i eipeces eipeces de <
tér-.-
biiuhes, 1 “. le térébinthe fauvage, a",. le le t.t.rcbiiit
rcbiiitlie à gros
fruit, 3". le térébinthe à petit fru it,V 4"., le téré
..............lie de
Cappadoce, 3®. le piAachii
r , ibid. b. 6“', le piAachicr a
tiois feuilles. Ibid.a. IC2.132. a.
T érébinthe , {Critiq. facr.) il eA parlé de cet arbre
dans quelques endroits de l'écriture rapportés dans cet article.
XVI. 132. m
T E R E B R A T IO N , ( ,5ü7.7/2. ) art de tirer le fuc dos arbres
eu les perçant. Différentes efpeces de Aies comenus
dans les arbres. Differentes maniérés de les tirer. L.i méthode
de la térébration a été inventée 8c perfedionnée par
les Anglois. Manière de la pratiquer. X V I . 132. a. En qiitl
tems elle doit fe faire. Arbres qui fonrniffent abondamment
des flics. Pondion des plantes. Méthode pratiquée
par le dodeur Hervey pour tirer des letes de pavot l’o pium
le plus pur. Les lues qui coulent d'eux-mémes, préférés
à ceux qu’on fait en thymie. Avantages que les lues
concrets coagulés ou le fel fucciileiit, ont Air le fc lt iié par
la voie de l’incinération. Ibid. b.
TE REBR ATU L ITES , {H f i , nat. ) voye:^ O stréopecti-
NITES, & vol. V I des planch. Coquilles toliiles,plandi <r
TERECHTEMIRO-VV , {Geogr.) ville des Cofaques.
Suppl. U. 621. a.
TE R ED O N , (Geogr. anc.) v ille d’AAe dans la Babylo-
lie. Sa fituation. Ruines qu'on en voit aujourd’hui. X\ 'I.
TERENCE. Ohfervations fur ce poète & fur fes ouvrages.
III. 667. a. XII. 842. b. X VH . 601. b. D e l’intrigue
de fes pieces. Suppl. III. 640. a. Parallèle de Moliere°&
ck Terence. III. 669. a. Eloge qu’en fait Montaigne. Suppl.
TEP.EN JABIN, ( AÉ7Z. mcdic. des A rab.) ofiiece de manne
appellee manne de maflic’, ou manne de Perfe.XVJ. 1^3.
TE R EN TH , {Géogr. anc.) lieu d’ituüe dans le champ de
Mars. Variations fur le nom de ce lieu. XVI. 133. b.
I erente, {Aniiij. rom.) lieu dans le champ de Mars
afl'ez près du Capitole, où étoit le temple de Pluton ik de
Confus, & un autel fouterrein confacré à Pluton 8c à Pro-
ferpine. Etymologie du mot. Maniéré dont cet autel fut
découvert. XVI. 133. i.
TK REN TIA & C.ijfta , loi. IX. 677. j .
T E R EN T IA N U S , ( A/,;«/7ij) ouvrage de cet auteur. X V .
■ 13. a , b.
TE REN TILLA , loi. IX. A77. a.
TE R EN T IN S, {Antiq. rom.) jeux en l’honneur des
dieux infernaux. X V I . 134. a.
T E R G EM IN O RUM campus. III. 76. <7.
T E R G E S T E , ( Géogr. anc. ) ville d'Italie dans le forum
Ja lii, aujourd’hui nommée Tricflc.XS’ L 154.17.
T ü R G O W , { Géogr.) ville des Provinces-Unies ; on la
nomme coinimiiiément Gouda, voyc^ cet article. Obfervations
fur les vitres émaillées & liiAoriées de fon eglife. XVI.
13 4, b.
T E R IN , ( Bot. ) efpece de bambou. Suppl. I. 768. a , b.
TERKAN ou Tackan, ( Hifl. mod. ) c’étoit parmi les
Tartarcs Mongiiis fournis à Genghis-kan , ceux qui pour
quelque grande aélion étoient exemptés de toute taxe. Leurs
aufe s privileges. XVI. 134. h.
T E RM E , {Gram. ) différence entre les termes,
les mo ts, les e.xpreflions. 1''. Les termes fe divifent en concrets
& en ablfraits. XVI. 133. a. 2". En Amples & en
complexes. Ternies complexes qui deviennent équivoques
lar erreur. Ibid. R. 3”. En univoques, équivoques & ana-
ogues. 4". En abfolus 8c en relatifs. Ibid. 136. b. 3®. En
pofitifs 8c négatifs. Une cliofe à obferver toncliant les termes,
c’eA qu’ils excitent outre leur fignifîcation propre ,
plufieurs autres idées qu’on peut appeller accejfoircs, auxquelles
on ne prend pas garde, quoique l’efprit en reçoive
l’imprelTion. Pourquoi les mêmes penfées nous paroifl'ent
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