I! 194 MAT M A T
liîl !
■ i
'if
î i i:
iiioc. l.cs nutlicm;ui(|iics d iv iicc ' cii licux cladus; (avoir, les
niai!ii;m.iii()iics I'lircs & les mixtes. X, 1S8. b. Scicnees ami-
niil'os (i'lis lo nom tic mai)K'm.uii[iics mixtes , Inr cela
le rvlièmc'lii;iiic des coimoiiranccs hum.tines ,ix rcx|ilieaiioii
<lc ce l_vilèmc à l.i icie de riMicydojiîitlic. Cit>uis de m.uliéma-
tii|iic' le ]>liis edimé. I lilloiie des m;uhdii.iiii|iies |>.if M. <le
Moimida. Sm rmiliré tics m,i(hématt(]iies, V'M 1 ( (11 omi riuii
( iroM i riti-, Rellexioii iiiv tcn c ntiliid /d./. 1^9. •!. l 'o/fj
aulVi l'ai tidc I’h y s k 'oM a i ni m a t iq i 'i:.
M.ii/um.iiu/iu\i. Divilion de la (eietiee tics m.itlicmaiit[iics. !.
xljx, Di/c./'reiini. M.iihcm.itit|iics didiiipices en .ihlli .liics ix
inixies. 1. .17. b. M.uhcmaiit|iies innés, X lll. ^7$. /’• Des Icien-
CCS ])[iylieit-m.itliém.ni(]iies, .\ll. b. Des clémciis tic matliéma(
ic)iics. \ ’. 497. Uiiliié de cette ('dcncc. V. lO. o,
Méiluule .'1 liiivre en rénuii.mi. l, 402. a ,b. Siiyi'L 111. t;!" .
Il, b. Maniéré tic ren(ei{;iier p.irjeiix. XIV. 792..;. Ptmiiintn
les maihe:matii]iics t'oni animiuriuii |)ltis cultivées (jue rétmii-
tion. V. 9td. Pl.m ties matières qti’on iloit cnùi;9ier il.ms
une école île m,icliématii|iies milii.iii es. VI. 91. b. Avain.ine des
})temieies notions tle cette l'cience pour les milit.ùres. V11.
496./'. .Son milité pour les atchiiedes. .S'tq»/'/. l, ^^6. a. l’ iin-
cipes matliém.iiit|iies de Newton. X V ll. 6^2. a , b. Inlliii-
inens de mathémaiiqties reprél'eiués dans le volume V des
plandies.
M.uhâri.u'hjue , adj. De nosconnoin.ineos mathématiques îi.
de leur ulaÿe. 1, \ ), vii|. /X/. , j'u hm. l )éliiiition itutliém.itiiiite. 1\', ".(S. /'. \'ei ite m.itliim.ititiiie. X\' 11. 1 S5. a , /■ .
.MA H U A S , { H,II. XAlLm. ./<• ./<• /'’n/;c'wr) i'nc-
Ceileiir île Rodolphe I I , 5 empereur ilepul' C inii .ni 1 , 27’’
toi de 1 loiij;ric , j"'' roi île Rohéme, tils tie Maximilieti II ,
de M.nie tri'll'pai;ne. Ihincip.iux évétiemcns de loti rej^ne.
Siij'j'l. 111. S'O’,. ,1.
M a t iu .\s . ( T/ià'l. ) ft'vcj M a t th ia s .
M.A'rilll'.U , v.>)'iqMATrHiiII.
M A 'l'llU .D K , impérntiice , tille tle Henri l , roi d’Aiii’ le-
terre : les pi eteniions (nr ce iny.mme. .Sup/'l. II. >S'S'S. a , b.
M ATI 111.D K , conuelîe tle Tol'eane. Donationde l'e.sét.us
qu’elle fit .111 pape. XI. S56. a.
M A'I'I lüRIN.S , vi'Vtq Tu iNtTAïufs.
M.A i 11'. R K , ( Mci.ipbyJ. & / Viy/À/, ) prlticipes des diofes ,
fd o ii .Aiillote & lelon les eartéliens. Dèliuition de la matière
félon Ariiloie. Dodrine des eartéliens i'iir la matière : celle de
(. l.iihe. Anciens philolo[ilics qui ont foniemi rétcrniié de la
niariere. Klémens c|ui , par leurs diiVércntes eomhinail'ons ,
ont é té , (don les anciens, le piincipc de toutes dtolès. X.
i !>9. b. Corpidenles cllauiellement dilVérens les uns îles autres
, lelon Woodw.irtI , tics comlilnaifoiis del'qiiels rél'ultem
tontes lesvaiiétés des corps. Doélrlnctle Newton , dilTéretue
de celle de W'oodwaril. Pro|in,Té attiaélive que Newton
au'uie aux pro|)nétés tle la itiaitcre qui avoiem été connues
|ulqii'ici. Pnndpc de la etdiélion des particules des corps. La
duveté de la matière , l'uivant Newton , lut c(l aulVi ed'eii-
tidle que l'Impénétrabilité. Principes de rélallidté , de la malléabilité
ou mollellc , de la tluidité & do l'humidité. IbiJ.
i y o .D i l l in é i i o j i ties |>artleiiie.s volatiles éx des corps (ixes ,
l'don le langage des chymi(le.s. Hypothcl'e de Newton ,
par laquelle il établit une ft'lidlté inaltérable d.ms lespartictt-
les primitives, 6c n’admet une rupture dans les corjis compofés
que par reiulroit oîi les pariieules folides le joignent. Principes
adits , p.ar lel'quels ecs particules font mues. Philofophcs tpii
louticnneiu iiue tons les êtres d.ms runivers font matériels.
Ibiil. b.
M.inc'i-, Semimens cnntradidoires des aneieiis fur la ma-
ticie. 1. ',53. il. Principes des chofe.s matérielles , felon les
anciens pliilolbpites. X lll. 839. .1. Doélrinc des lloicicns fur la
matière. XA'. 328. b. Celle des cabalifles. II. 481. Celle des
ibeiniens. X \ 1I. 3 9 7 . Opinions des antres elalTcs de philol'o-
phes l'nr le même lu je t , leurs articles pariiculiers. Deux
lottes de matière dans la nature. Suppl. lU. 213. ./ . b. Une
lenlc lotte lelon M. de Butlon. Suppl. IV. 339. b. DilHciilté
de eomioitre les élémens de la maticre. IV. 270. b. Examen
de laque llion, fi l’étendue confHtne ou non PelTence de la
matière. VI. 43. j . Conféquences de la définition que Del-
cartes en donne en la confondant avec l'étendne. X VII . 69.
h. Abfurditc de s’imaginer que la connoilfance cA aulli cfTcn-
tielle a la matière que l'étendue. I. 333. E La matière inanimée
n a ni lentiment, nilenlation , ni confciciice d’exiAenee. 47V- Efpocc de vie lans connoillance &. (ans fentinicnt ,
attribuée eirenticllenient à la maticre par le philolophc Stra-
ton. V l l l . 391. .1, b. Comment ce fentiment peut fe concilier
avec le tlicilme. 392. Doélrine de ceux qui regardent la
matière comme éternelle 6c impcriAable. 393. u. IV. 438,
d'c. D e la création de la maticre. 442. o , b. La maticre cA in-
dilTcrente au repos 6;; an motivemenr. VU . 1 10. K X IV, 139.
Sur les autres propriétés de la matière, voyc{ Divisibilité,
I.MPENETRABII.ITÉ , 6v. Circulation de la matière dans l'imi-
vevs , Vüyr^ filRCULATlON.
M.ir.tre JubtiU des eartéliens. Obfervatiors qui démontrent
que cette inaûere tie lauroit exilier. Newton convient neanmoins
de PexiAence tl’iine in.uiure liiiuile , qui , pénénam les
corps les [iliis tlenies, eoimilnie à la proiliiéiion de plidieiirs
plieiumieiies lie l.i niiture. I '.x|>éricnecs tloni il iléiiuu l’e.viileiit e
tle cette nuiieie. Divers etfets tiii’il luti ilnie .'i ce lliiide liibiil.
X. 1>;I. •i-
M.iiicrc ;g/uV ou de ji’u. Prineqic <|iie (iiieliiiics cliymKles
emploient tl.ms l’explie.iiion tle philiciirs d iets. A, 191../.( ieiix
qui rom admis , convieimcnt qu’il n\-A |>as ilémmitliMiil par
lui meme. Confécjiienees par Idtpiclles ils préleiiilem en [>ion-
vei l'exKleuee. (.baux tle plomi), pUi-, pef.ime après l.i c.iLi-
n.iiion , cjiie l.t i|uaniiié tle méi.d enqil.iyc it l.i l.ilie. 1 )i\ eis
clteis de cette préieiulue m.itiere igné#. ( )jiléi v.moiis qui
muni rem ipie cette m.niei e , etmlltiérée comme un .mus pro-
tlü’ ieux tic inmiere pelante , eoiulenl'ce , léilniie en un
peut dji.ice , d l une eliimcre. Ibid. h. Di\ ci l'es iemari|ues
d’oii l’on peut eonclnre ipic l’iilr eoiulem d.ms As pores nn
graml ntnnhre de moléeiiles pel'.mtes , tle l’can , de l'iuille ,
lies lels vtilaiils, t'.\. l.'évaporaiion tle l'iuiile ilèimmnée ( om •
ment on peut expliquer raiigmcni.inoii de poiils tlm- le
nloin!) calciné , fans reeonrirà l.i nuiiere ignée, tbu!. itj2.
l ’omf|uoi ce même iilomb révivilié iielé moins iiu'aiip.ir.iv.mt.
Ibid. b.
^ Matii:re fju je i, (U/./m/fj. ) dillérence eiiire ces deux imus.
M aTIUKK OTti//»(y/’,y//i', ( AA./rr. ) fulx ani les théories vi h', lires
, dès t[iie la m.iiiere moibili pie cA d.ms le l'.mg , u i . y
produit une aliéraiion ['lus ou moins prompte , lelwii (im degré
li’éneigie , 6e dilléitiiie lèlim le vice p.inieiiller tle
l'Immeiir. i )oéliine de iitn i h .uve fur ce Aijei ; celle tics iin-
moi iAes moiierncs. Conféqiienees-praritpies urées de leur
théorie, l'ermens morhilitjiics îles anciens médecinsehymilles.
X, 195. Les éeleéli([ues , pour (tmtenir As ilioits de leur
.nue ouv'icre, le l'ont aeeordé.s (iir ce |)olnr avec les Inmioi ilies.
Lxeès o|)pofé oil l’abl'nnlité de rimmorilrnc trop génétalile a
l'.iit tomber <[nelt[nes médecins. IL ont conclu (jiie le tlér.mge-
meni des folides étoit fciil eajtable de produire tomes les efpe-
ees tle maladies. Nmivean (y(lémc-])iati(pie , tiré de ce prin-
eijie. Médecins plus fagts , tpil ont dillingiié les malatlies en
nerveul'es 6c en biimor.iles. Ibid. b.
M.uieie i/ioibifùjiie, ec tpic les anciens ap[5elloiem de ce
nom. 111. 364. b. Impuretés tpii eonllitiient la m.itiere mor-
biti([ue. VU I. 633. b. On la dillingne en maticre cnie 6c en
m.iiicre culte , félon les dift'éiens tems tle la malatlie. 111.
367. />. 368, .1. Matières morbitiqncs, formées ilans le duoile-
mini, V. 167. b. Comment on peut remédier à telle <|tii le
trouve dans reAomac on tiaiis les imeflins. iy ( .b . C e qii’ou
doit laire , lorfqne la fnrabondance tle cette matière s'annonce
dès lo commencement de la m.ihidie. 111. 366. La canic
üccaiiüimclle des cbangemeiis tpii arrivent dans les maladies,
tonfiAe dans la in.itiere morhitic|iie. 367. Coélion de cette
matière. III. 3A4. u, b. — 369. .1. X. 209./'. Cette coélion cA la
caiil’c do la convalel'ccnce. 111. 364. b.
M.nicre médiCiilc. Ltmio tie la maruTO médicale , rciiferinée
tl.ms l’étntic do l'IiiAoire naturelle. VIII, 227. o. X. 296. é.
Sujets pbarmaceniitpics. XII, 491. b. Des plantes qui appartiennent
h ht matière médicale. Suppl. IL 3 i. Rélle.xions
fur les propriétés des plantes. IL 344. a , b. Dii tems oii l'on
doit cueillir les racines. X lll. 746. b. Les plantes linivages
préférées aux |)laiites cultivées, 6c les méclieamens tirés tics
animaux lauvages à ceux qu'on tire des animaux domcAitpies
de mémo clpccc. XIV, 728. t. De l’iifage des terres u t médecine.
X V I. 172. b. 174. b. 173. .1 , i>. Les ciiHi fragmens
précieux. V i l . 274. .1. Article conlidérablc fur A-, l'iibllances
de maticre médicale externe tpii appartietment aux remedes
véficaioires. XVII. it ;! .* ;, é.6’t. Confci vation-tlesdilféreiucs
matières eontemics dans les boniitpies d’.ipoiliicaircs. IV, 41.
.1, b .— / ’eyi'f D r o g u e s ,,Suîî.sTANCEs.
Matière perlée deKniger,oi\ iiuipiflae d'.intimohic,{Cliym.
6- Mill, medic. ) la nature de ce précipité n’a jtoinc encore été
déterminée par les chymiAes. Semimens de Mender, d’Hof-
man , X. 193. b. de Lcmcry 6c de M. Baron, übfervations
de l’autciir Air ces diAci emcs opinions. Ibid. 194. On p eu t,
fans fcrupnle, négliger en médecine rnfage tle la matière perlée.
Ibid. b.
M.\TltR!.S premieres. (^Ecortom. Comm.) Comment ragricul-
ttire les procure pour les arts ; ces matières font le fondement
du commerce. VI. 812. j . Elles ne doivent point être tirées de
l’étranger. X V II . 870. ,i, b.
Matières , Iran/port des., ( Fin.tnccs ) fortie des efpcces
hors tl’iin pays pour acquitter la balance de ce t|ii’on doit clans
le eoin’-,.erce. La liberté tle ce tranl[)ort ne peur ni ne doit
être empêchée dans un état commerçant. La défenfe par
quelle on croit empêcher ce tranljjoi r , ne rcmpéche point.
Quand une balance eA d u e , cette tiéfenfe n’eA p.is le rcmctA’
au mal. Quel feroit ce rcinctle : cette défenfe conlidérée comme
préjudiciable à l’état. L Angleterre mal confeillée au l'njet
du tianfport des cfpeces. X, l^:.[.b.
Matière , ( Mo::n. ) il y a (l,.-, ér.tts où l’or & l’argent moii-
noyé 6c non-monnoyé len a coinmcrcer. bentimens oppol'é*»
xM A T MA T fur le trade de l’or 6c de l’.irgeiir monnoyé. X. 194, h. Ce
iialic tléféniln en l'iance. I.t.s o ilc v ic s ne peitvciil mm plus
foiidie des maiieres moiinoyées , à l'exception des pialircs.
l l u d . 19Ç MATIN , ( Alhon.) A", tlilléreiis jieiiples Itnii commencer
A- malin à tl 1 11 éi entes lient es. 1 >eiix lorios de mat in ; l'un tpi’on
p.'ia appeller léel , l’aulre civil ou allronomii[ue. Kioile tlu
malin. X. 193.0.
Matin , ( Médcc. ) dcfcripilon poétitpie du malin, jiar M.
le tai (limil tic 1 Atihs. X. 193.0. ! ).ms l’état tic l.inié , le coi (js
C'A plus (lifpos 6c les idées loin jiliis neties le malin cpie le
(i)ir. Quelle en ell l.i caille. Utilité (le (e lever maiiii. Ibid. b.
J'mien de l.i ipiellioii, (i le m.nin n’ell pas le leim. le [iliis
jiropre .'i reiiijilir les devoirs eoiijugaiix. Ibid. ujG. u. D.ms
tomes les maladies, A- mal.ide ell pour l'ordinaire moins mal
K- iii.itin tpie le loir. J.orl'(iu'ini a cpiehpie rcmetle ù donner ,
6. tpi'on peut dioilir le tems, on iloit jirélérer le m.nin. (.'ell
:mlh ce tems (jiic le médecin écl.iiré lait tlunfir an ebirurgien
jH’Ui laire As opéi.nions. Ibid. b.
M.mn. Dekiipiion iioéiitpie de cette partie du jour. X V ll,
736. il , b. Des brouilhirtls du matin. Il, 44.1. b. 443.
Ottii|>atlons lies Romains dans les bciires de l’avant midi.
X VII. 23 3. a , Les P m gai ifs tloivem être adminiArés le malin.
XV. j07. /'.
M a tin , ( Ciiiiij. fact. ) ce mot fe [trend prnir la premiere
partie du jo u r , pour le jour ar'iliciel tout entier ; ce mot fe
jiiemi (tnivciii [tour exprimer la diligence. Pourijiun les Juifs
coiiimenceiii leur jour p.ii le foir. X. 19C;. b.
MA I INI'., ( (»l'i'gf. a/ic. ) ville tIes.Saleruitis. X. 196. b.
M a tinl.s , (/./fu p .) jtreiniere [tartie de roifice eccléfiaf-
lique. D ’oti vieitr l'iilage de comineiiccr les m.itiiies à miiiiiii.
X. 196. b. On tioiive dans l'IùAoire eccléliallitjue , divers
momiinciis très-anciens, tpii aiicAcnt la coimime de [trier la
nuit. Cette partie tle la [tiiere jiiibiiqiie intiodiiite [tar faim
Amliioile. (.ttnlitrmiié tjiii fe trouve dans la regie tie faim
lAiio ii avec ce (jui fe |iiaii(|ue aujiturd’luii d.ms ntuic l'é-
glile. Piuties tlotu les matines (ont comjtofées dans la jtlujtart
lies Iti'évi.lires moilcnies , cxccjné tians le romain [rôtir le
dimanche. Trois noéhinics qui fuivent, 6-c. Ibid. u jj ,.i.
M.irnie.f. C e i (tllicc [taroîi être né avec le cluiltianifme. XI.
183.,/. l.c mmi de léiiehies donné à l’office de matines tic la
feinaine filme. X V I . 132. b. l'anic des m.iiines , ajrjiellée
iifeiii'/us. XI. 1S3. a.
Ma 'I'in i s , { Jlijl. iiwd. ) matines françoifes: matines de
M o(e..u.X V11.39 .,r.
M A I fJ iK . Delcription 6c ufig e des inAnimcns connus
fous ce nom chez les arcjucIniflL-rs, les bijoutiers , les clle-
lem s ,le s giaveuis 6c les orlevies en g iolierie: manière tle
/.me le maioir j.Htiir cenc derniere (brie d’aniAes , 6c de le
rendre [trojire.à niatir. X. 197. i.
MA'I'RALI'.S , ( A/nii/. rom. ) fêtes qii’ftn célébroit Rome
en l’Iioimuir de la tiéeffe M.uut.t. Quelles [terfonnes éioicnt
r.ilmi(esaux cérémonies de cette tête. Cér-monic qu’on y
jtratiquoii envers une femme cl'clave. (Joimimes ([ii’obfer-
volcin les d.unes romaines , tle ne faire des voeux à la
déclic t[ue pour As enfails de leurs Acres ou de leurs foeurs,
6c jamais pour les leurs. Gâteaux qu’elles lui off’roient X
K98. U.
MA riUC.AIRE .• ( Boi.m. ) cnraélcrcs de ce genre de [liantes.
.Scs elpeces. l.)elcriptitm de la matricaire comnnine. X.
198.
M a t iu c a ik e , (ALit. medic.) Tes propriétés. Ufage ([n’on
en fait .à l’intérieur 6c à rcxiériciir. Manière de radminiArcr.
.Ses effets. Eau tÜAillée de l'es fleurs. Compofiuons o/Tidnales
où Tes feuilles 6< fleurs fout employées. X. 198. b.
M A I R K .E , ( A/iarom. ) noms que les Grecs donnaient à
cette (tartie. On a obfervé qii’on jiouvoit ôter la matrice à
une femme fans lui ôter la v ie : exemples. X. 198. b. Situa-
fum de la matrice ; fon état dans les femmes enceintes. Del-
cii[tiion de la matrice. Ses membranes , fes ligamens.
Ib:d. 199. a. Trompe de Fallope, Exemples de femincs qui
avoAni une matrice double. Quelquefois l’orifice interne de
imcriis n’cA [loint percé. Dans le tems de raccoucliement ,
ht matrice , qui cA alors extrêmement tendue, peut fe déchirer,
Examen tic la queAioii , fi la matrice pent tellement
/e rcnverlcr, tjiie fon fond tombe du dedans en-dchorspar
i orifice interne , jiifqu’aii-tlclà dn vagin. Ibid. b.
ALinicc. Coiuluit pour les oeufs dans les animaux qui n’ont
pniiit de matrice. Siination de cet organe dans la femme 6c
/ 'm Sa figure 6c Avutflurc. Suppl. IH. 864.
b. Meinbianc externe de la matrice. Sa fnbAancc , Ibid.^61,.
‘^k‘ °'y''*’''='biliié , fes fibres mufailaires, Membrane interne.
JM’ A Humeurs dont la matrice cfl arroféc. Véficiiles atta-
ih c e s a la l'urface interne du col de l’iiterus 6c de l’orifice
iiKine. Ligamens de cet organe. Ib,d. 806. a. Defeription des
tiompcs 6c des ovaires. Ibid. b. Vcficiiles encaArces dans la
lubdance cellulaire des ovaires. VaifTeaux artériels, Ibid. 867.
U-’ , Liqueur férciifc que les artères exhalent dans
uitciTeui de la autrice. Les veines augmentent en grolTeur
195 I.cn,l;intl;i groft-circ. Simu ,1c la mairicc. Orlflccï par Ir fic d r
les vaiKeaux (angimis s’oiivrem daiisfi cavité, Vaiff'eaux lym-
PI™k)iicv Nci Is ,1c I„ „ „ „ricc. ft,,/. De l i fc,ilil,i|i,i. //,„/.
M m k c. Dcfcripiicii ,1c cette p „n ic , , 1c fc, vcIlTc-uix S, lice
iTK-ns r , , , . . , , H c „u ,,,,„ ,(u r fc , v,i,ITc„„x. W
V p '^ l i M ' 7'/4. *. S.,„ tm I L ,
les lillcs 11. n r ,6 .D e s cmlcsilincrcciircMcni ilcfoii ..nlicc
■ i , I l . I./,. i 2/1,;. 4. 272. „ , (le, „ ,,(ltc le rclicNc
coiiiimielleineiit daji-, la (emnie (jiu vient tic coiicev<tir. 269.
b. L ta itle la matrice dans la groffdl'e. I. 8 j.,;. (.haiig< mt'iis
‘P‘1 bu anivein .1 .nd'ure t|ue la grnirdTc avance. Suppl. III.
170. a. 272, b. h.rat tle la matrice aux ajq.roJies de r.icton-
dieinem. 2 7 0 .S ym p a tb ie de la niauice avec d’autres itarties
du corps. X V . 739. b. Sa cotrd'poiulance avec les m.ntielles.
Mw/. L 287. A 288, U. Suppl. IV. 840, A De la place que le
oeiusocaqtedausla matrice, V lL 2 . ,/ ,A I ) e la limation .lans
la.|„çllc ,1 cil piece, L D .li.„ fi,ic„ ,|c ce, .„-„„„c .,„1
liioiluir 1 cxpuKum du (oetiis, Suppl. \. |^ ^ .,,,b . L,i niairlce
des (enimes iie A- [iréu jtas aulfi natmclAmem au [talfi.ge du
/oeius que celle des animaux. V I I . J e u x .A !.. naiine fur
eer organe. Suppl. Ill, 332. h. l'oye^ U n n u s .
M.nncc, A dii des cnilroiis projjresà la génération des vété-
taux , des miner,lux 6c des niéiaux. X. 200 a.
Matrice, dans les ans. X. 200. a.
M a t ric i ; , m.da.hc.i de L i, { M:dcc.) la matrice confidérée
comme la cattle 6c le fiege d’une infinité de maladies Gdles
qui .lépendeiil principal.nient de fi, iTiou , ,i,llmg„écs en
generales 6c en jxirticulieres oit locales, Uniu- ou dij.cuic de
ui.frice. l'ui quoi con(i/le Celte maladie.].,, no/ni.il.té de teiic
maladie conlhirée jiar îles fiùts , contre le (cniiment de<juel-
ques aiiieiii-s. Accidens que l’on pouiroii prend,v mal-.,-p,o-
pos j.mir une cbùie tle mairice, X. 200. a. KsunpAs d’exnr-
[)aiioii de la inair.ee. D.liereiis (ymjjiôines (Îdiij la tl■ •(eentt:
(le matrice d l accompagnée , fuivaut qu’elle cA jilusoii moins
ctntq.leiiy Comniem ou diflrnguc une concrétion polypeiile
(1 une cliiiie (le inairiee. (.erre eiiiiie j,ei,r avoir )iu, d.ins les
filles: cauA-s de cet accitAni, /Ad, A Quelles en jieuvent
eu e les (tiiics. Tiaitetneiit de c a ie maladi.-. Opération nécef-
ly ie en ce cas. Ibid. 201. a. (,on(..iU ,1 une Iciiime eneelnte,
lujeite à ce mal, Précautioits en raccoiieliani. l'.n (juel cas la
rédiiftion de la matrice eA inqjolfiiile on tlangei-euA. Parti (jiic
doit [,rendre alors le chiiTugiui,
Maince. Scs maladies. X V i 1. 336. A f.v. Liais delà matrice
([tu peuvent tamler la faiilie-coutbe. V I. 431. Relâclicnient,
defeeme , cbùtc de la matrice 6c du foiideinem, 481. a. Des’
chûtes de matrice en puriiciilier, X V l l . 337. a. DiiTênnce
entre cette maladie & la defeeme <lu vagin. X V I , 7 9 6 . Trois
degrés dans cette maladie; favoir , rabaiffém.iir , la dime
& le reiiverfemcur. 111. 404. a. InArumens employés pour
tenir la matrice dans rafiiuation naturelle. X 11. 43 t. A Atonie
de la matrice. Suppl. I. 679. .r, b. 680. a , b. l>élürdres dans
la inurricc, lo rf |ue la mere n’allaiie pas fon enfant, 288. a, b.
Ufage (le la cliaife cliirurgicalc pour l’infpeélion de la matrice.
.Suppl. IL 308. b. IiiAritmcnt appelle de la matrice.
X V . 448. b. Suppl. IV, 811 . n , b. Tuincur dans la matrice
a p p d lé e / cW if . X IV . 800. a, Rerncde contre A-s indifpofi’
lions que caiife raffoibliff'cmcm de la tenfion de l’uteriis, fur-
tout après l'avoriemcnt. XVII . 338. a. *
M.nrice,{hernic de ta) hyjlcroceU. Exemples d’iin te! accident.
Comment cette licrnie peut fe former. X. 201, b. Daiv'cr de
ii’y pas remédier prom[)temcnr, Remedc curatif. Attemtions
que doivent avoir les femincs qui om à craindre de tels accidens.
Cas oit l’opération céfarienne eA indifpcnfable voyer
H ysterocele. '■
M.itnce, hydropifit de. Comment les bydroplfics fe forment
dans cette partie. Exemples. X. 202. a. Comment on
peut les cliAingucr d’imc véritable grolfelTc ; accidens qui
accompagnent cette maladie. Hydropifie comjtliquéc avec la
grofife/Te. Canfes de J’bydropifie de matrice. Ibid. b. Suites
qu’elle emraiiic ; traitement de cette maladie, foitfimplc, foit
comjdiquéc avec la groAelTe. Colledions d’air & de fâng dans
la matrice, qui refiemblcnt à des hydropifics, & qui en impo-
fent pour la grofi’eTe. De rcxpulfion de ces vents. Ibid. 203. a.
L’imperforation de l’hymen donne quelquefois lieu à cette
maladie. C e qu’on doit faire , lorfqu’il n’y a qu’une Ample
übAruiAion ou rcffcrrcmcnc à l’orifice de la matrice. Ibid. b.
Matrice, iu/l.immaiiori de la. Symptômes de Cette maladie
plus connue des anciens que des modernes : fes caufes. KrognoAic.
X. 203. b. Remèdes qui conviennent à cette maladie.
Ibid. 204. a.
Matrice, inflammation , à la fuite d’un accouchement. V I.
480. b. Suppl. 111,767. A
Matrice , ulcere de la , fcs caiifes. Signes auxquels on le re-
comioît. Ce mal fe guérit rarement. A. 204. a. Remèdes qui
lui font le plus appropriés. Ibid. b.
Matrice. Ulcérés de maiivaife qualité caufés dans la matrice
par la qualité biliciifc des fleurs blanches. V I. 862. b.
Matrice, fkirrhe de la , figncs qui le font reconnoitre. Scs