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634 SAN
Sanglier : i'ocwtè des femelles de cenc efpece avec les jeunes
mâles. V Ul. 7yS. Comment le fungUcr fe montre à a
chafle 7U7 Comment on diflingne la trace du ianglier de
celle d’une laie, XII. 561. b. Différence entre le tanglier en
fon tiers an , 6c celui qui ell en fon quart an. Fies tX traces
des vieux fanglicrs mirés. Comment on diffingue par le pié
le fanglier du coehoii domeffique. Ibid. Chalie du fanglier
qui fe fit à Villcrs-Cotcrcts, en 172$ , à roecafion du lacre
du roi. V I . 594. U. Sur la chaffe du fanglier , v o ye z Vol. III.
des pl. Cliaffe, pl. 4. ,
Sanglilk , {D ic ie& ALr. mcdic.) qualité diététique de
la chair du liingUcr. X IV. 620. a. Celle du marcafim. Pourquoi
les cliaffcurs enlevem les teftieules du fanglier dès qu’ils l’ont
tué. Vertus attribuées aux dents ou detenles du fanglier.
Ibid. b. ^ r ■ ■ J
Sdn^lier des Indes orientales , bahyroujja. Defenption de Cet
animal. X IV, 620. b.
S.m^lier du AUxujue. Voyei T ajaCU. _
Sanglier du fîré/il, nommé Tajaffbu. A'oysz ce mot.
Sanglier , ( Litiér. ) figure fymbolique. XV. 734. a.
Sanglier, (^Blafon.) maniéré de le reprefenter. Sanglier
rampant, défendu. Boutoi, luire du fanglier. Signiffcatior. de
cet animal dans les armoiries. Etymologie de fon nom. Suppl.
IV . 733. a.
Sanglier. Tête du fanglier. Suppl. 111. 4^7- «« groiun
du fanglier. Suppl. II. 43. a. Sanglier défendu. 687. a.
S A N G L O T , foupir, gémiffementy cri plaintif ; en quoi
confiffent ces mouvemens de douleur. X V . 4 1 1. , i>.
SAN’G-SUE, {Zoolop.) defeription de cet animal. Dciix
efpcccs de lang-fues que fbnrniirent les eaux croupiffantes ,
.une gnmde & une petite. C ’eff de cette derniere dont il s’agit
dans cet article. X IV . 620. b. Examen de cet animal, & particuliérement
des parties par Icfqiielles il entame la peau d’un
autre animal , & en fuce le fang, Ibid. 621. a. Obfervacion
de la plaie faite par la fang-fue. Ibid. ir. 11 y a apparence que
le fang fucé par la fang-fue féjourne long-tems dans certains
facs ou réfervoirs , dont elle eft pourvue , comme une pro-
vifion de nourriture. Autres fmgularités fur i’organifation de
cet animal. IbiJ. 622. a.
SanG-SUE, ( Médcc. thérapeuc. ) l’appUcatioii des iaiig-
■ fues avoit été inconnue depuis Hippocrate jufqu’à Thèmi-
fon. Maniéré dont cette application fe fait. X IV . 622. a. En
quels cas on la pratique. Ibid. b. Voyc^ X V l l . 200. b.
Sang-SUE , ( ChiruT. ) choix des lang-fues les plus propres
à être appliquées. Hémorrhagie lalutaire que les fang-fues
procurent aux chevaux. Thémifonell le premier des médecins
anciens qui ait parlé de l’iifage des làng-fucs. Galien n'en
fait aucune mention. X IV . 622. b. Indication de quelques
regies à fuivre dans le choix des lang-fues dont il convient
de fe fervir. Démils fur la manière de les appliquer, furies
parties où cette application doit fe faire , Si fur tout ce qui
concerne cette opération. Ibid. 623. a. Ouvrages à conlulter
fur les fang-fues. Obfervjtions fur l'hémorrhagie qui continue
ordinairement après que les fang-fues font tombées.
Ibid. b.
SanG-sUE , {^Hifl. nat.) les variations de rathmofphere ,
annoncées par les différentes pofitions qu’on remarque dans
cet animal, enfermé dans un bocal de verre, à plus de moitié
plein d’eau. S«/’/’/. IV . 733. 4.
Saiig-fue de mer, infeéle qui reffeinblc beaucoup à la fang-
fue d’eau douce. Sa defeription. X IV . 622. b.
Sang-SUE de mer. {^Hijî. nat. du Chily) Defeription de cet
animal. X IV . 623. b.
Sang-sues terreflres, {Hifl. nat. ) efpece de fang-fues
Communes dans l’iffe de Ceylan , &. fort incommodes à ceux
qui vont à pié. X lV . 624. a.
SAN G U IF IC A T IO N , ( Phyfiol. ) acte par lequel le chyle
eft changé en lang. Comment fe fait ce changement. D'où
procédé l’air qui eft mêlé avec le fang, & qui circule avec
lui. X IV. 624. a. Doélrine des anciens fur la fanguificacion.
Différens degrés de fihguification, caufés, felon le doéteur
Drake , par les circulations réitérées, Ibid. b. Vcyc[ Sang.
SANGUIN , ( Boian. ) Voye^ CORNOUILLER.
Sanguin , {^Alédec.') cnrnéleresdu tempérament fangiiln.
D e l'iifage de la faignéc pour les perfonnes fanguines. Meilleure
façon de pré^^enir le trop de fang dans les perfonnes de
ce tempérament. X IV . 624. b. Signes extérieurs auxquels on
reconnoit les gens fanguins. Ibid. 623, a.
Sanguin, régime du tempérament fanguln. XIV. 11, i.
Vaiffeaiix fanguins. X V I . 800. a , h. Vers fanguins. XVII.
43. b.
SAN G U IN A IR E . {Morale.) Voyct^ Crüel.
SANGUINE à brunir, ou himatüe. VI. 494. a. VIII. i lO.
a , Ä. XII. 598. b.
Sanguine à crayon , voye^ OCHRE ROUGE . 6c RuBRICA.
SAN H ED R IN , { Crniq. facr. ) tribimul d e s . Hébreux ,
• dont ou fait remonter l’inftitiition jufqu’à Moife. X IV . 625. <1.
Dlftinftion de deux Ibrtes defanhédrins3 le grand, qui éten-
doic fa jurifdiéUon fur toute la nation, Sc les p etits, dont il
SAN
y en avolt un dans chaque ville. Fonélions de ces trihiinnu.'c.
Gabinius les calTa, & à leur place introdiiil:t CM’.q diftércmes
cours ou fanhédriiis , dont chacune ccoit indcpcudainc des
autres, & fouverainc dans fon rellbrt. Ainfi la monarchie fe
trouva changée en ariftocratie. Mais enfuitc Jules-Célar remit
les chofes fur l’ancien pié. MaiTacre que nt Hérode de tout
les membres du grand fanliédrin, à la réferve d’Hiücl Sc de
Shammaï. Les defeendans d’H ilLl furent piéfiJcns du fanhé-
drin pentlaiu dix générations. Ibid. b. Troifteinc efpece de
fanhédrin qui ne fouffrii point des vicUntudes dont nous avons
parlé. Objet de ce tribunal. O uvri.ges à confu'.ter. Ibid. 626. b.
Sanhédrin , origine de CO confei! ; fon pouvoir Sl fa jurif-
tliélion. IV . 23. J. IX. 856. b. XIL ço6. a. Juges qui le coin-
pofoient- l. 441. a. Ptrvé de la fallc du fanhédrin. IX. 389. a.
S A N IC L E , {Bot. Mat. médic.) carafleres de ce genre de
plante. Propriétés 6c uiages des feuilles de fanicle. Obfcrva-
tions fur l’eau diftillée de cotte plante. X IV . 626. a.
Sanicle, efpece de l'anide du Japon, nommée fekika. X IV .
903. b.
S A N K IR A , {B o tan.) plante du Japon. Sa defeription.
X IV . 626. b.
SANix A Z A R , ( Jacques) poote Latin &. Italien. XI. 18. a.
Ses vers fur Venife. XVII . e,. a , b. Muifon de plaifance qu’il
pofféda, Sc où l’on voit fon tombeau. 274. b. Suppl. IV . 26a. a.
S A N N tS , ( Grogr. ) ancien peuple d’A f ic , dont parie le
périple d’Arrien. XII. 377. a.
SAN REY , ( Anne Bénigne ) Suppl. HT. 70a. b.
S A N -S A , ( Botan, ) arbrilleau du Japon. Sa defeription.
Ufages de fes feuilles. X IV . 627. .7.
SANSON , ( MM. ) table qu’ils ont donnée de l’Italie.
VII I. 033. b.
SANSÔN NET S , efpece de maquereaux , v o ye z ce mot.
Maniéré d’en faire la pèche. V . 148. b. Sanfonnets , efpece
d’étourneaux , v o ye z ce mot.
S A N T A L , ( Botan. ) bois des Indes orientales. Defeription
des trois efpeccs que nous en conuoiirons 3 le fantal jaune ou
citrin , le blanc & le rouge. Defcrip’ion de l’arbre d'où l’on
tire les deux premieres efpeces. Contrées où croilTent tous
ces bois. Autre forte de bois que l’on fubftiitie quelquefois
au fantal citrin. XIV. 627. b. Bois rouges des Indes & du
B re fil, qu’on donne quelquefois pour du fantal rouge. Différences
entre ces bois qui fervent à les diftinguer. D e la con-
noilTance que les anciens ont eue des différences fortes de
fantaux. Analyfe &. propriétés médicinales de ces bois. Ibtd.
628.^.
SAxNTAREN , ( Géogr. ) v ille de Portugal. D iverfes obfer-
vations fur cette ville. Ôuvrage du chevalier Louis de Souz.i,
né à Santaren. X IV . 628. a.
SAN TÉ , ( Econom. anim. ) l’idée de cet heureux état eft
plus éieuciuc, renferme plus de conditions que celui de la
vie eu général. Différence entre les fomftions effentielles à la
vie , Sc toutes celles donc la perfeélion conftitue l’état de
fauté. X IV . '628. b. Lu même fonétion , qui étant exercée
convenablement, eft un effet de la bonne fauté, devient un
figne de maladie , lorfqu’elle fe fait à concre-tems. Lu perfection
de la fauté ne.fuppofe pas une même maniéré d’être ,
dans les différens individus qui en jouilfent. Et par confé-
quent, il n’exifte point d’état de fanté qui puifl'e convenir à
tout le monde. Ibid. 629. a. On ne peut dire en général d’aucune
efpece de nourriture, qu’elle convient pour la fanté
préférablement à toute autre. Signes généraux auxquels on
peut reconnoitre une bonne fanté , & par lefqnels on peut
préfager une vie faine & longue. Caraéieres extérieurs auxquels
on reconnoit les hommes les plus dilpofés à une bonne
lantéj & ceux qui amioncent une difpofition très-fufceptible
,de maladie. Ibid. b. Conditions effenriellemeiit néceffaires
pour le maintien de la parfaite ftlnté. Ceux qui ont beaucoup
de vigueur dans les organes , font rarement des gens d’efprit :
& au contraire, avec de l’efprit, on n’a pas ordinairement
une bonne fanté. Ibid. 630. a.
Santé : en quoi elle conftfte. IX. 930. a. De l.a fanté & des
caufes qui peuvent y contribuer. Suppl. I. 734. a. L’hoijtme
ne jouit jamais d’une fanté parfaite 3 mais il ell rarement
e.\pofé à ce qui peut caiifer des troubles dans l'économie
ammale. IX. 931. a. Proportion nèceffaire entre les fels qui
font dans 1 homme pour conftituer la famé. I. 99. b. Chaleur
abfolue de l’homme dans cet état. 111. 31. a. Différentes
copiions qui , felon les anciens , concourent à l’état de
fanté. 364. é. Equilibre dans l’économie animale, d’oii dépend
la lamé. V . 874, b , &c. XIL yùi. a. Signes de la fanté. X IV .
938. a , b. Un des principaux eft l’appétit, VI. 376. a. Il faut
fc défier d’une fanté exceftive. I. 273, b. Hippocrate la juge
dangereufe. XII. 760. b. Utilité de quelques connoiffances
anatomiques , pour apprendre à prévenir par nous-mêmes
bien des maux. V. 397- b.. Régime pour conferver fa fanté.
X IV , I I . a , b. Préceptes généraux fur' les moyens de la
maintenir. V . 398.^7. Confeils de Cclfe fur c.e fujet. X. 270-
a. Préceptes par rapport à l’iifage des fix chofes non naturelles.
XÏ. 218. b. — 224. b. Principal moyen de conferveria
SA P
famé, fondé fur la tratifpiration. X V I . 339, ,7. De l’cxcrcicc
nèceffaire à la fanté. V L 244. b. De l’iif'age du cheval. 1.
57. b. D e l’utilité du travail. XII. 761. a. Effets du chant fur
la fanté. 1. 407. a. Effets des habitiul es. X V . A ^.a,b:a,^ .b .
Les paffions moderees la favorilent. X V . 436. b. Danger de
la fréquence des remèdes pour la famé. VIII. 387. a. XI.
224. a. X V . 44. a. Confidérations fur les plaifirs de l’amour ,
relativement à la famé. X V II . 37. b. Eoyc^ Ma r ia g e ,
( Soins qu’exige la fanté des cnffms, V. 6 6 0 . Caufes
l>rochaines de l'altération de la fanté. X IV . 200. b. Auteurs
qui ont écrit fur les regies à obferver pour la conlervation
d e là famé. VIII. 387./>. Sur la fanté, voyc'3; Hygiene.
Santé, {Mythol. ) Paiil.mias rapporte que le culte de
cette déeffe ctoit commun dans la Grèce. Les Romains l’ado-
joient fur le 'mont Quirina). Comment elle étolt repréfentée.
Scs temples à Rome. Médaillon de Marc-Aurclc , où elle eft
rqiréfcntée. X IV . 630. b.
Santé , {Alyth. 6 'Litter.) déeffe, nommée Carna, qui
prcfidoit à la fanté. 11. 689. b. déeffe Hygice. VIII. 384. b.
Dieu de la famé, nommé Télefphore. XVI, 30. a. Figure
lymbolique de la déeffe de la famé. X V . 730. a. 734. a. Fi-
juirc repiéfcntant la fanté, vol. 111 des phinch. Deffm ,
jilanch. 29.
Santé , ( Jnrïjpr. ) chambre de la famé. III. 36. h. Confcll
de fanté.* IV. 22. u. Fondions de la police par rapport à la
famé. X I I .9 1 1 . Lettres de fanté. IX. 420./>. P révôt delà
fanté. XIII. 334.
Santé, pierre de ( Minéralog. ) pyrite martiale, de In
rféme el[)cce que celle qu’on nomme pierre des incas. Maniéré
dont on la travaille. D ’oii lui vient le nom de pierre de
J.inté. X IV . 630. b. Voyc^ Pyrite.
SANTEN , ( Géogr. ) ville d’Allemagne. Obfervations fur
S. Norbert, fondateur des Prémomrés, né dans cette ville.
X IV . 630- b.
SAN F -ERIN I, ( Géogr. mod. ) ifte de l’A rchi p e l, ancien-
rcnicm Thera.— y oyez ce mot. X IV . 630. b. Sa defeription.
Son hiftoire depuis laprife de Conftantinoplc par les François
& les Vénitiens. Origine de fon nom moderne. Productions
& commerce d cc ettciftc.S a population. Ses principaux
lieux. Ouvrage à confulter. Ibid. 63 i. u.
^ ^SANTERKE, ( ) peintre. V . 322. a. IX.
SA N T E U IL , ( Jean-Baptiße ) obfervation fur fes hymnes.
,V111. 396. b.
SA N TO L IN E , {Bot. Mar. médic.) voyc^ Garde-robe.
Efpeces de ce genre de plante. Defeription de la plus commune.
Propriétés de lafantoline ou aiironc femelle. D ’où lui
vient le nom de garde-robe. X IV . 631./».
Santoline, '{ Bot. Jard.) caraélere générique de cette
plante. Suppl. IV. 733. a. Enumération de onze el'peccs ,
ajipartenantes à ce genre. Ibid. b. Leur defeription. Lieux cii
tiles croiffent. Manière de les cultiver. Leurs qualités 6c
2if:iges. ibid. 734. b.
Santoline , {Hijî. des drog. exot, ) poudie aux vers, barbo-
lin e , & fémentine. Defeription de cette poudre. Son origine
nous eft inconnue. Différens femimens fur ce fujet. Ujà>’ e
qu’on en fait contre les vers. X IV . 631. b.
S A N TO N E S , ( Géo^r. 1 anciens peuples de la Saintonge.
XIV. 324. ^ ô
S A N TO N S , {Nifl. mod.) religieux mahometans. On les
regarde comme une feéle d'épicuriens, qui ne fe refufenc
aucun des plaifirs dont ils peuvent jouir. Leurs pèlerinages.
Leur habillement. X IV . 632. a. En quoi ils font conliltcr
leur fainreté. Différentes efpeces de religieux T u r c s , auxquels
, felon Dandini, le nom générique de Santons eft commun.
Ibid. b.
S A N T O R IN , ( Géogr. ) voyc-^ T iîéra.
S A N TO R IN I , ( J. Dominique ) anatoniifte. Suppl. I. 404. b.
& phyfiologifte. Suppl. IV. 3 34. b.
S A N T S I , ( Botan. ) plante célébré chez les Chinois , contre
les liémorrhaeies. Sa deferintion. Maniéré de la multiplier.
X lV . 632. b.
SAO N E , la : ( Géogr. ) riviere de France. Son cours. Autre
xivicre , appellee Saona , en Italie. X IV . 633. a.
Saône. Les peuples voifins de cette riviere étoient anciennement
les plus piiiffaiis de la Gaule. Suppl, l. 214. .7.
SA PA JO U , ( Zue/og-. ) efpece de finge.X V . 209. a. Vol.
V I . des planch- Rcgiic animal , pl. 22.
SA P A N , {Hijl. mod. ) principales fêtes des liabitans du
Pegu. Delcription c!c ces fêtes. XIV. 633. a.
SAPHENE, ( Ana l. ) veine la plus conhdérabîe des fix
qui Ibrmcm la crurale. Sa defeription. L’ouverture de cette
veine eft efficace, felon Galich, pour exciter les regies. XIV.
633. h.
S A PH IQ U E , X V II . i6 i . a .'^ .y r r Sa p -
'TinQUH.
SA PH IR , ( Niß. nat. ) pierre précleufe bleue. Quatre
difiéi-emes e.Qcccs de fhphirs , relativement à la couleur.
Forme fous laquelle on les trouve. Lieux d’o'a l'on tire les
SAP )
pins heaux. X[\ . ^33.^. Sapliirs d’Europe. Procédé par lcqiu.1
un prive le faphir de fa couleur, 6c on eu fiiit un diamant,
v.umment on contrefait le faphir. Saphirus des anciens Ibid
634. a.
■ baphir. Effet du feu fur tette pierre précieufe. Supnl. 11.
7 1 1 . b. “
Sa p h ir , {Mat. médic.)ySN. 634. b. Eoyer F r agm en t PRECIEUX, ■'
S--A--PyH- “Ü , , de Mifylcne. ObfcrvV..L10U1, iiir ccectntec rfeemmmmee ttèé--
lehre. a . 926. b. ürnemens dont elle s’etoit dépouillée en
h J ,fence de l'I'aon XV. 38,. t. S , ftame per Sdenion.
de fos odes.
CCS odes fur l’amour.
V i l. 441. b. Des élégies de.Saplio, V.
XI, 3.-.6.É, XII. S46. .7. Fra
VII. 806. b.
SAPHORIN , d'Oi^on , Saint- ( Géogr. ) petite ville prés de
Lyon, Ubicrvations fur la vie & les ouvrages de G u y Pape
né dans ce lieu. XÎV. 634. a. J i >
S.M’ iioiUN , Saint- {Géogr.) ville du [lays de Vaucl ; inf-
cnptlon fur une colonne de fon éelife. X\ i, 864. b.
SAPH'i L E T O M E , { i/ u r .) inllnuuent propre à couper
la luette. Cas où cette opération devient nèceffaire. Diffiail-
tes qu’elle prefente , mais que l’on fiirmoiue aifément par le
moyen de l’inftnimcnr dont on donne ici la defeription 6c
lufage. Supyl. IV . 734. b. Divers avantages du nouveau
faphyletome. Ibid. 733, a. Différentes opérations pour lef-
qiiellos on peut l’employer. Defeription cIc la maniéré dont
on s’en eft iervi pour ctniper un condylome qui prenoit fon
origine dans le fondement, à deux travers de doigt aii-deffus
de la marge. Le même inftrument employé à la réfeflion
d’une licniorrhoide confidérable. Ibid. b.
SAPIENCE de Je/iis , fils de Sirach , { Criiiq. facr. ) livre
comnuméinent appdlé ŸEcdéfidfie, vo ye z ce mot. Obferva-
tioiis fur l’auteur de cct ouvrage, d’altord écrit en hébreu,
& fur celui quile iraduifiien gre c. X IV . 634. a. Morceaux
de la tradiiéhon grecque qui ii’étoient pas vraifemblablemcnt
dans l'originyl. La verlion latine contient ai.lfi phificurs clio-
les qui ne font pas clans le grec. Ouvrage intitulé par les
Juifs modernes, Livre de Benjira, différetit de celui dont ou
vient de parler. Ibid. b.
SA PIEN T IAU X , ( Théolog. ) Livres de l’ancien Tefta-
ment, appellés de ce nom , pour les diftinguer des hiftoriques
6i (les prophétiques. XIV. 634. b. Voyez Ha GîOGRAPkes .
S A P lE N Z A , ( College de la ) à Rome. XIV. 332. a.
SA P IN , {Botan.) caniéleresde ce genre de plante. Def-
cripiion de cet arbre. XIV. 633. b. On le met au nombre des
arbres foreftiers du premier rang. Lieux & terreins oti il fe
pla.ît. Ibid. 643. a. Quand on veut faire de nouvelles plantation
de fapins, ce n'eft qu’en femant qu’on peut y rcnlfir.
Maniérés d’y procéder. Soins de culture. Iianl'plamation.
Ibid, b. Taille de ces aj-bres. Les fapins qui ont été coupés ne
donnent jamais de rcjettoiis. Obfervation fur la manière cl’ex-
ploiter les forêts de fapins. Ibid. 636. a. Pourquoi l’on oréfere
pour l’orni-mciit des grands jardins ou des parcs, l’épicca au
fapin. Réfine qu’on tire des lapins de la S'iiiffe. Ufages pour
lefquels on emploie le bois de fapin dans les .arts. Qualités de
ce bois. Lieux d’où l’on tire le fapin propre à la mâture dos
vaiffeaux. Efpeces de variétés que l'on connoit à prcfciu dans
le genre du lapin. L’énumération fuivante eft accompagnée
de quelques obfervations fur les différens ufages de cts arbres,
les terri-ins qui leur conviennent, la maniéré de les
multiplier & de les cultiv e r, &c. 1. Le vrai fapin ou le fapin
à fciiillc.s d 'if, ou le fapin blanc, ibid. b. 2. Le petit fapin de
Virginie. 3. Le fapin odorant ou le baume de Gileacl, le plus
beau de tous les l'apin«. 4. Le grand fapin de la Chine. 3, Le
très-grand fapin de la Chine. 6. L’cpicea, efpece de fapin , la
pins commune en Europe. Ibid. 63.7. a. 7. L’épicea , dont les
cônes font très longs. 8. L’épinette de Canada. 9. L’épinette
de la Nouveile-Angieterre. 10. L’épicca du Levant. 11. L’épicea
à feuille de pin. Ibid. b.
Sapin , ( Bot. Jardin. ) noms de cet arbre en différentes
langues. Son caraélcre générique. Suppl. IV . 733. b. Enumération
(le fix efpeces de fapins. Lieux où ces arbres croiffent.
Leur defeription. Maniéré de les cultiver. Leurs qualités &
iil'agcs. Ibid. 736. a , b.
Sa p in, {Bot. Agric. ) c’eft fur les hautes montagnes. Si.
6c fur-tout dans les forêts du nord, c[ue la terre raffemble
CCS chênes, ecs fapins qui s’élèvent enfcmbtc, &c. Efpeces cîe
fajîin , félon Tourneforr. Defeription de la principale, en
françois le vrai fapin. Sapin ou fapinetre du Canada. Té ré benthine
qu’on en rire. Efpeces de fapins que les Anglois 6c
les François cultivent. XIV. 638. a.
S.tpin, defeription de celui qui fournit la térébenthine. X IV ,
148. b. Efpece de fapin appelleepeffe. XII. 431. b. Ikpicea
abies. 349. b.
Sa p in , {Alat. médic.) matières qu’on tire de cet arbre
pour la médecine. X IV . 638. a. Voye^ PiN & TÉRÉBENTHINE.
Sa p in , {Men uif.) des qualités 6c ufages de ce bois en
menniferie. X. 346. b.
' l .