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3^4 P A L dll parapet. IhiJ. b. Prcceptes c!e cct auteur fur la manière
de planter les palitfades. JbiJ. 788. ■>. Nouvelle manière de
pali'lTadcs faites en forte qu’on peut les mettre de bout 6c
Jes h.iifl'er qtiand on veut. IbU. b.
PjliJJadcs, au milieu du foffé. V i l . 209. a. En quoi les
fraifes different des paliflndes. 275. b.
Pa l i s s a d e , (/jri/i/t.) Efpecede barrière de pieux. Pa-
lifl'adcs en verdure. Differentes fortes. Leur hauteur. Leurs
inilitès. Paliffades crénelées. Tondre une pahffade. XI. 78S. b.
Pdliß'iiJes, des arbres en paliffade. I. 583. u. Paliffade en
arcade. 601. f>. Taille ou tonte des paliffades. X \ . 834. b,
X V I . 406. b. Paliffade de buis. Suppl. 1 1 . 78. .1.
Pa lissade , .irbr^ de (_ddijL nui. ) arbre de l'Amerique
méridionale. Ses fleurs 6c fes fruits. XI. 789. a.
PAL IS SER , pjlijfagc. { Jardin.) Tems de l'année auquel
on paliffe les arbres. Le paliffage n’eft point dans l'ordre de
la nature , les arbres cherchent à s’étendre en tour ions.
D eu x objets dans le paliffage, futilité 6c l'agrément. Le paliffage
contribue à une plus prompte maturité. XI. 789. u.
Maniéré de palifl'cr. Ibid. b. roye^ atifli l’article T aille.
P.tlijjcr, maniéré de palifler les arbres avec une loque*
IX. 690. a.
PALISSÜN ou PaiJJon , (Gant. & Feauff.) Defaiption
de cet inftfumcnt. Paliffons doubles. Maniéré de fe lervir
du paliffon. XI. 789. b. '
Paüffon du ch.imoifeur. 1 1 1 . 72. a.
P A L IS S Y , ( Bernard ) chymifte 8c profeffeiir d'hifloire
naturelle. 1 1 1 . 432. a. Auteur de deux ouvrages d'agriculture.
Suppl. I. 216. a.
P A L IST Y LE colonade, (Archit.') III. 647. h.
P A L lü R E , (Botan. ) Caraéleres de ce genre de plante.
Defeription de l’arbrilfeau de ce nom. XI. 789. b. Lieux où
il croit nauirelleincnt. Ufage qu’on en tire. Ibid. 790. a.
V«yi! Suppl. IV . 513. 4 ,
P A l Lâ , (B iß . anc. ) manteau que les femmes portoient
chez les Romains. Manteau de théâtre du même nom. Etym.
du mot palla. XL 790. b.
P A L L A D E S , ( ii/r. ) Jeunes filles confacrées à Jupiter
dans la ville de Tliebcs en Egypte, Obfervaiion fur la plus
diffinguée des palladcs. XI. 790. i>.
P AL LAD IO , (A ndré) architeéle. X V l l . 236. b. Suppl.
1. 339. b.
PA L LA D IU M , (L in .) Defeription de cette flatuc de
Minerve. Hlfloire du palladium felon les poètes. X L 790.
a. Comment il fut tranfporcc à Rome. Moyen qu’employcrent
les Romains pour s’affurer h poffcffion du palladium. Différentes
villes qui conteftoient aux Romains la gloire de pof-
féder le vrai palladium. Cette Aaïue retrouvée faine 6c entière
daiîs les cendres du temple de Minerve à Ilion , lorf-
que Fimbria prit 6c brûla certo ville. P.tlladiiim , lieu d’A-
tnenes ou l’on jugeoit les meurtres involontaires. Ibid. b.
Palladium, celui de la ville de Siris. X V . 226. b. C e lui
qui étoit à Rome dans le temple de Vefla. XVI,
81. b.
PALLADICJS, médecin. X .' 2S9. a.
P.-^LLAS , (Mytholop.) Sa naifl'ance mcrvclltênfe. La fa-
geffe de Jupiter tléfignée par cette naiffance. Sa flàtuc placée
au haut des forterc-ffes 6c des temples. XI. 791 . a.
Pall.-.s.'ïrrim caraélérifliques de cette déeffe. Suppl. III,
257. a , b. Voyci MiN'ERVE.
Puilldi , fils d’Evnndre : découverte de fou corps. VIL
537. i. Pallas, affranchi de Claude. X VI, 400. b. Décret du fé-
nat en fa faveur : réflexions de Pline fur ce décret. 400. b.
401. a , b. Tombeau de Pallas fur le chemin de Tibur. XVI.
518. a. 399. b. 400. b.
P a l l a s , (Simon -Pierre) anatomifte. Suppl. I. 414. a.
PA L L A V IC IN O , ( Ferrante ) hifloire de cet homme célébré
8c de fes ouvrages. XII. 687. b.
PALLENE , ( Giogr. anc. ) Fête qu’on célcbroit dans cette
v ille en riionneur de Bacchus. VI. 637. a.
P A L L IA T Æ , (Liiicr. ) Tragédies 6c comédies de ce nom
chez les Romains. III. 669. h. X VI. 520. a.
P A L L IA T IV E , cure , (Chirurg.) Occafions chirurgicales
dans lefquellcs on met en ufage la cure palliative. En quoi
confillc cette cure dans les différens cas où elle cfl employée.
X L 791 . b.
Pa l l ia t iv e , cure, (Médec. ) Diflimffion entre les remedes
palliatifs 8c les remedes curatifs. IV . 572. a.
P A L LIO LU M , ( Lin. ) Capuchon qui coiivroit ia tête &
les épaules. C'étoit l’ornement des efféminés Si des débauchés.
Les malades s’en fervoient auffi ordinairement. XL
792. U.
P A L L IO T , imprimeur. VIII. 628- a.
P A LLIU M , (H iß. eecl. &■ Jurifpr.) Defeription de cet
ornement réfervé a certains prélats. Maniéré de le confa-
crer. Le pallium eft regardé communément comme la marque
de la dignité arcliiépifcopale. Cette maxime attaquée par
M. larehevéque d’Aufeh en 1^63. XI. 792. a. Le pallium
PAL accordé par les papes à quelques évêques. Premier évêque
de France qui l'a obtenu. Le pape n’envoyoit autrefois cette
marque de dignité aux archevêques du royaume de Bourgogne
, que du confentement des empereurs d’Orient. Le
pape ne l'accorde pas à tous les archevêques. Le droit de
pallium n'cfl pas ré e l, mais perfonncl. Les primats ne le
reçoivent que comme métropolitains 6i non comme primats.
Droits du pape de porter le p.ilhum tous les jours 6c
dans tontes les eglifes. Quels font les jours auxquels les
autres prélats en petivem ul'er. Ibid. b. Celui qui a l’ufage
du pallium ne peut dire la meffe fans en être revêtu : ils
ne peuvent le porter hors le fervice divin, Ouvrages à con-
fuher. Ibid. 793. a.
Pallium, fur cette forte de manteau, VIII. 16. b.
P allium , (B lafon) XI. 793. u.
P A LM A IR E , (Anatom.) Defeription de deux mufcles de
ce nom. XI. 793. a.
P.ilmaire ,artere. Suppl. IL 49. b.
PALM E S , (Théolug.) Dimanche des palmes on des rameaux.
Les anciens l'ont auffi appelle dimanche des compé-
tans , dimanche du lavement de tete , & dimanche de l'indulgence.
Rail'on» de ces dénominations. XL 793. b.
Palme , L'ifle de ( Géogr. mod. ) ifle d’Afrique. X L 793. b.
Pa lm e , (Litt.M édail.) La palme étoit le fymbole de la
fécondité , de la durée de l’empire & de la viéfoire. X L
7 9 3 - Palme, figure fyinboliqiie. X V . 729. b.
Pa l .m e , (Mejure) Palmes des G r e c s , palmes des Romains.
Mefurcs modernes de ce même nom. XL 793. b. D ifférence
entre p.:lrnus & palma, confidércs comme noms de
mefurcs. Ibtd. 794. b.
P.ihne, table des rapports de différentes fortes de palmes
avec le pié de Paris. XII. 363. b. Suppl. IV . 886. a.
Pa lm e , (Jacques) deux peintres connus fous ces noms.
V . 333. t.
Pa l m i e r , (Botan.) Grandes différences entre les dt-
vcrles el'peces de palmiers. Caraélcres de ce genre de plante.
X L 794. a. Rapports 6i différences entre quelques autres
clpeces de plantes 6c le palmier. Enumération de treize différentes
efpeces de palmiers. Manière de les cultiver. Ibid,
b. Obfervaiions fur les principales d’entre ces efpeces , 6c
furies ufages qu’on en tire. Ibid. 795. a.
Pa lm ie r , (Botan.) Les plantes de ce nom ne forment
pas un feul genre , mais une famille qui en comprend plu-
fieurs. Caraiteres qui diffingueiit cette famille. Enumération
des genres qui lui appartiennent, Si qui font ici rapportés
au nombre de onze.6'w/’/5/.IV. 222. a. De la fécondation des
palmiers. Nécellîté du concours des palmiers mâles pour
rendre féconds les individus q'JÎ portent le fruit, Circon-
ffanccs fingulicres de cette fécondation. Ibid. b. Fécondation
artificielle du datîer femelle. Maniéré de cultiver les palmiers.
Ufages qu'on en tire. Ibid. 223. a.
Palmier , efpcce de palmier dont le fruit eft nommé
areqiie. I. 633. b. On tire de fon fruit le cachou ,
voye^; ce mot. Palmier nommé birala. Suppl. I. 897. a , b.
Palmier cocotier. III. 363. b. Palmier codda pana. Suppl. IL
486. a , b. Efpeces do palmiers nommés grigri. V IL 946. u.
Groiigrou. 969. b. Kacou-lndel , palmier du malabar. IX.
113. <2. Latanier , palmier d’Amérique. 300. b. Le palmier
appelle pahnifte dans les iftes Antilles. XI. 798. a , b. Teffio
ou Zagu , palmier du Japon. X V I. 189. a. X V IL 68y. a.
Toddappamie. XVÏ. 368. a. Palmier fagouticr, liqueur qui
en découle. 732. b. Palmier en éventail rcpréfencé vol. \'I.
des planches, Rcgne vég é ta l, pl. 97. Dificrentes efpeces de
palmiers appelles pr.pyracés par nos botaniftes. XL 878. .1.
Des fruits 6c liqueurs de palmiers , fruit du palmier dattier.
IV. 643. a. Liqueur appellee furl, tirée du palmier cocotier.
X V . 689. a. Fruit du palmier tefl'io ou zagu. XIV. 499.
a. Fruit du palmier-pin. XVII . 667. a. Les palmiers fiijets à
l'ergot comme le fciglc 6c les plantes graminées. Suppl. Il,
861. U.
Palmier-Da t t ie r , ( Botan. ) Arbre célèbre par bien des
endroits. Palme repréfontée dans une médaille d’Adrien. Dc-
vife qu’avoit prife Marie Stuart. XI. 793. a. Quand on examine
le palmier en naturalifte, op s’apperçoit qu’il mérite
il tous égards l’attention du phyficicn. Defeription qu’en a
donnée Kmmpfcr. Ibid. b. A quel âge cet arbre commence
à donner des fruits. Ordre que gardent les palmiers-dattiers
dans la produélion de leurs différentes fleurs. Ibid. 796. b.
Terreins qui leur conviennent. Soins de culture. Ibid. 797,
a. Divers ufages qu’on tire de ces arbres dans les lieux oii
ils croiffenr. Lieux oii ils font cultives. Si un palmier femelle
n'a point de mâle dans fon voifmage, il ne porte point de
fruits, ou s’il en porte , Us ne viennent jamais en maturité.
Manière de féconder des plantes femelles , lorfqii’il n’y a
dan,s leur voifinage aucune plante mâle tic même cfpcce.
Obfervation fingulicrc qui montre qu’une plante femelle
peut être fécomlée par une plante mâle, quoique placées .1
quelques lieuçs de diftance l’une de l’suire. Ibid. b.
Palmier
P A L Palmier-dattier, fon fruit. IV . 643. a. Moyen qu’emploient
les Indiens |'oiir en tirer le vin. Suppl. I. 771. a. Vin de
palmier. XVII. 300. a. Comment on fait le lucre du vin
de palmier. VIU. 434. b.
P almier Ro .vdier , (Bot.) Defeription de cet arbre qui
croit en divers endroits de l’A frique 6c de i’Afte méridio-
nab. Suppl. IV. 225. a. Qualités de fou fruit. Ibid. b.
Palmier M a r in , (H iß. n.n.) Defeription de cct animai
marin que M. Guettaid a vu à Paris dans le cabinet de
madame de Bois Jourdain. Expofition d’une nouvelle hypo-
thefe fur l’origine de divers foffiles, favoir des encriniies,
pierres étoilées ou aftérics, trochiftes, 6ic. que l’auteur regarde
comme produits par les débris de la charpente offeufe
de cct animal. Ibid. b. Animal du mèmegenre ])èché dans les
mers du Groenland que M. Ellis de la fociété de Londres
avoit reçu. Suppl. IV. 224. a.
Pa lmier de montagne , ( Bot.in. ) Defeription de cet arbre
de rAinériquc 6c du fruit qu’il produit. Suppl. IV. 224. a.
P almier ( Blafon ) efpece d'arbre. Signification de cette
fleure fyml^olique. Suppl. IV. 222. a.
''i-’A LMlPEDE , (Ornitholog.) Qem c d'oifeaux dont les
pûtes font faites pour nager. Caraéleres de ce genre d'ei-
l'taux. XI. 798. b.
PALMiS , (Abraham) J u if Obfervations fur fes ouvrages.
IX. 3 31 ,/ ’.
PALMISTE , ( Botan. ) Nom donne au palmier dans les
iftes Antilles. Defeription du palmifte franc. XL 798. a. Ufages
qu'on tirs du tronc , ries feuilles 6c de la liqueur du p;.l-
mifte. Defeription du palmifte épineux. Efps.es de gros vers
qu’on trouve d.ins ces arbres , & dont les habirans fe ré-
g.ileiit. Ibid. b. Voyei V er Palmiste.
Pa lm is te , ( O-nith. ) efpece de merle de l’Amérique équinoxiale.
Différentes couleurs de fon plumage. Suppl. IV.
224.
PAL .MYRE, ( Géogr. anc. & mod.) ville de Syrie. Cette
ville réparée par Juftinien. X L 798. b. L ’écriture nous apprend
que Salomon fit bâtir Tadmor clans led é fe r t, 6c Jo-
feph nous affure que c’eft la même ville qui fut cnfuiie appellee
Palmyrc. On ne fauroit cependant fe perfuader que
les beaux édifices de Cetto ville fuient antéri^ur> à ceux que
les Grecs étubl.renc en Syrie. Ce n’eft que du tems dç Marc-
Antoine qu'il eft parlé pour la premiere fois de Palmyrc
dans l’hiftoire romaine. Inutiles efforts de ce tiiiimvir pour
prendre 8c piller cette ville. Paffage de Pline où il d é a i:
les cireonftaiices les plus frappantes de Palmyrc. Sa fitua-
tion avantagcule. Ibid. 799. a. Palmyrc alliée de Rome fous
quelques empereurs. Ou n’apprend plus rien de cette ville
tlepuis Juftinien. Mention qu’en fait Abulfcda qui écrivoit
vers l!an 1321. On u’a commencé à en connoîne les ruines
que vers la fin du 17-. fiecle. Voyage dans l’Orient entrepris
en 1731 par nicffieurs Dawkins, "Wood Sc Boiivery.
Ibi.L b. Ouvrage dans lequel ils ont donné la defeription
des ruines de Palmyre. Situation de cette v ille , favorable au
coiiimerce. Riclicil'es qu’elle acquit par ce moyen. D u fiede
où furent élevés les édifices dont on voit les ruines. Pourquoi
ces ruines font les reftes les plus complets de l’anti-
quité que l'on connoiffe. Religion des Palmyréniens. Leur
gouvernement 8c leurs coutumes. 11 parole qu’ils imitoient
de grands modèles, dans leurs maniérés, leurs vices 6c leurs
venus. Ibid. 800. a. Leur temple du f'oleil ; état prefent de
cct édifice. Defeription des ruines de Palmyre. Jul'qu’à quel
tems dura la république des Palmyréniens. Hiftoire d'Odénat
qui en fut le cliel ou le prince. Ibid. b. Portrait de Zénobie
fa féconde femme. Hiftoire de cette illuftre princefl'e. Réponfe
liere qu’elle fit à Aurélien qui lui propofoit de fe remettre
e i i f e tes mains./âtj'. 801. a. Mort de Longin , l'oupçonne
l’auteur de ceite lettre. Recheidies fur la patrie de Longin.
Obfervations lur fa vie 6c fur ce qui nous relie de fes ouvrages.
Proteftion que Zénobie accorda à Pau! de Samofate.
Ibid. b. Inlcriptions de la ville de Palmyre communiquées
au public en 1698. Médaille de la reine Zénobie trouvée
en i6yo. Aiiieiirsqui ont écrit ou donné quelque monument
fur cette princelle. Ibid. 802. a.
ALWiWKt (Géogr. Antiq.) Silence étonnant des hiftoriens
fur Darbetk 6c Palmyre, deux villes qui font peut-être ce
qui nous refte de plus furprenant de la magnificence des
anciens. La fondation de Palmyre attribuée à Salomon,qui
l ’appclla Tadmor. Suppl. IV. 224. a. Les édifices que ce
prince a pu élev e r, ne fubfirtent plus, 6c il paroît que
Ceux qu’on y voit aujourd’h u i, ne font pas antérieurs au
wms où les Grecs s’établirent dans la Syrie. Du tems de
I ompee, les Palmyréniens étoicnc un peuple r iche, commerçant
6t libre. Defeription que Pline a donnée de la fituation
de leur v ille. Qualité du pays oîi elle étoit fitiiée. Ibid. b.
I ''’ 'rîr'i En ciuoi confifte ce que les hiftoriens
de uiltereiis âges nous ont appris d• e cette vi.l..l.e.... ..I..b..id. 223. a. Ses ruines difllnguécs en deux périodes, fort dift’érens
de 1 antiquité. 11 y a une pins grande identité dans l'aichi-
tecture de 1 almyre, qu’on n’en remarque à Rome, à Athènes, Tome il. I > }
PA L 365
8c flans les autres grandes v ille s, où les ruines montrent
évidemment différens â g e s , autant par la diveifiié de leur
mamcrc, que par leurs différais degrés de dépéiiffemcnt.
Des moiunncns fuucLres qui font hors de la ville. La plu-
JLii't des colonnes 6c des édifices font de l’ordre corinthien.
Ün remarque dans ia diverfué des ruines qu’on trouve cri
p.ircouiaiit rOriem , que cliacun des trois ordres grecs a
eu fon période à 1 a mode. On pi.iu fixur la date des édifices
de Palmyre, après l'âge le plus heureux des beaux-
arts. Des inl'uipiions de cec;e vide 6c de leurs dates. Obfervations
fur doux iiiaufülées , encore prd'que unûtrs. Ibid,
b. Des eaux de l'almyro, 6c comment elle en a été pourvue.
Des riehefles qu’elle a acquifes par fon commerce.
G c i’c apparemment la vie paifible des Palmyréniens 6c leur
application au commerce , qui les a ruulus peu ruiiarqu..bles
dans I hiftoirc, 6c qui eu eaiife du filenee des hiftoriens fur
ce peuple. Ibid. 226. .1. Leurs relations avec les Romains.
Avant le rems de Juftinien , Palmyre étoit réduite a un état
auffi bas que celui où on la voit aujourd’hui. Caufe de la
rapidité de fa décadente dans l,i ceffaiion de fon commerce,
par jequel feul elle pouvoir fubfifler. 11 eft certain que les
édifices, dont on voit les ruines par monceaux, écoient
d'mic plus haute antiquité, que ceux dont les ruines font
encore é lev é es , en partie. Les édifices qui exiftent, on:
profque tous été bâtis par les Palmyréniens meme. Pourquoi
de toutes les ruines que nous connoilTons , celles
de Palmyre ont été les mieu.x confervées. Culte que fes
habiians rendoient au foleil. D e leur gouvernement Ôc de
leur littérature. Ibid. b. L’art de monter à ciieval 6c de
tirer de l’a r c , cftimé cliez ce peuple. H tenoit de l’Egypte
la magnificence extraordinaire des moimmens pour les
morts. Comment les Perl'.'s, les Egyptiens 6c les Grecs
avoient comrlbiié à le policer. Situation de Palmyre, fa
pofition géographique. Murs de certe ville. Son enceinte.
Ibid. 227. a. Château remarquable bâti fur une montagne.
Rivieres d’eau thermale 6c lulphureufe qui coulent dans la
campagne de Palmyre. Aqueduc fourerrem qui apporroit de
l’eau à la ville. loid. b. Vallée de f'el, à trois ou qu.itra
milles au fud-cft des ruines. Explication de*, autres particularités
du plan de P.ilmyre, quille trouve dans lus planches
d’antiquités du Supplément. Ibid. b.
P.ilmyre, divinités adorées dans cette v ille , Aglibebus. I.
176. a. IX. 916. a , b. &c. Jaribolo'i. VIII, 461. b. Malach-
bclus. IX. 926. a , b. Temple du foleil à Palmyrc, 929. a.
Ruines de Palmyre. X IV . 433. u , b. Caraftieres Palmyré-
niens. vol. IL des pl. CaraÜeie, pl. 3.
PALOM B E S , ou Helingues, (Corder.) Définition. D échet
coufulérable que l’on évite en fe fervam des palombes.
XI. 803. a.
PALO D E LU Z , (B ot.) plante à laquelle les Ffpagnols
donnent ce nom , qui fignifie bois de lumière. XL 802. a.
Lorfqu’on l'a coupée, elle s’allume, quoique toute verte.
Lieux du Pérou où elle fc trouve. Ibid. b.
P A L O U R D E , ( Conchylioi. ) Defcrij/tion de cette coquille
biv alv e , 6c des niouvemens qu’exécute l'animal qu’elle renferme.
XI. 802. b.
PALPEBRALES, arteres. Suppl. II. 248. b.
P A L P IT A T IO N , (Médec.) Differentes caufes de palpitation.
Leurs prognoftics. Traiteinens convenables à ces
différentes fortes de maladies. XI. 803. a.
Palpitations. Dodrine d'Aduarius fur ce fujet. X. 277. a.
P A L T A , (B o t.) fruit qui croit au Pérou. Sa defeription.
Arbre qui porte la palta. Maniéré d’apprêter ce fruit, XI.
803. b.
P A L U A U , (Gi’ogr. ) prieuré dans le Beaunols. Suppl. I.
681. b.
P A L U D A M E N T U M , ( .4ntiq. rom.) habit militaire du
général. Il ne prenoit cet habit qu’en partant de la ville.
Galiien eft le premier qui l’ait porté dans Rome. XI. 803. b.
En quoi confiftoit le paludamentum. Vitellius eVétourné par
fes amis du defîein d’entrer dans Rome avec cet habit.
Nombre conftdérable de paludamenia que pofl'édoit Lucullus.
Ibid. 804. a.
P.iludamcntum. Voye:^ fur cette forte de manteau de guerre.
VIII. 13, .2.
P A LU D AN U S , (Bernard) ou Van-den-Brocck. Ses ouvrages.
X V . 307. a.
PALUS - M Æ OT ID E , (Géogr. anc.) Les anciens ont
donné à ce golfe tantôt le nom de lac, tantôt celui de
marais. Son étendue; erreur des anciens fur ce fujet. XI.
804. a. Peuples qui habitent aujourd’hui les côtes de cette
mer, appellee mer Zabache. Ibid. b.— AsOPH 5 c Z a -
ÜACHE. Palus-Mccotide, (Géogr. anc. ) aujourd’hui mer de Zabache
ou d’Afof. Pourquoi les anciens l’appelloient marais.
Détroit par lequel cette mer communique au pont Euxin.
Suppl. IV. 228. a. Peuples qui ont habité la prefqu’ile de
cette mer, appellée Crimée ou Cherfonefe taurique. D e ki
température de ce pays. Ibid. b.
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