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P e l u c h e , (S o ia k ) forte d'ccofTe toute de foie. Deux
différentes clpeecs de ccttc étoffé. X il. 2yo. a.
PriuCHE, X i l . iy o .
P É LU iE , ( dtic.) ville d’Egypte , la même que
D.imieuc. i:)ivcrs autres noms qu’elle a eus. Elle ètoit comme
la clé de l'Egypte tlu côté de la Phénicie. Sn fituatiou &
û gr.mdeuv, félon Stvahon. X ll. 290. d. Elle a été fouvenc
;inié>’ ée &. prilé, quoique difficilement. Obfervatioiis fur
Ca iu le Ptolomée , né à Pelufe, & fur Ifidore, difciple de
Chrifüffôine qui fc retira dans une folitudc, au voifmage
de cctio ville. Ühfervaiions fur leurs ouvrages. IbU. b. Voyi^
A b a r îs .
P E LU S IUM , port de la ThclTalie. XII. 290. i.
PEMfftlRTÜN , ( pliyfiolügille. 5kp/j/. IV . 356. u.
PE.MBROKE , ( O^ogr. ) ville d’Angleterre au pays de
fhdles. C ’eff; dans le château de Pembroke que naquit Henri
V I I , roi d’Angleterre. Quel fut fon régné. XII. 290./;. Ce
roi acculé d'avarice. Trait fort fmgulier que fon hiffonen nous
en donne. Icid. 291. a.
PfMBROKE'SHlRE, ( G%,'. ) province d'Angleterre. Son
étendue. Ses produirions. Übfervation fur fon chauffage appelle
at!m, qui eff une pouffiere du charbon de terre. Le plus
grand avantage de cette province off le port do Milford. X ll.
2 9 1 . rt.
PEMSEY ou Pdvir.ft-y, ( Gc'ogr. ) port du comté de SufTcx.
Dilféreiucs obfervations iur ce lieu. X ll. 291. u.
P EN , (^GuiUaurne^ P ekn.
P E N A L , {Jurifpr.') ailioii pénale. I. 123. a. Claufe pénale. 111. 314. i. Code pénal. 583. b. Loix penales. IX. 657. b. 638.
r:, b. 667.
PÉN À T ES, D ieu x , {M ytkol.& Litt.) ils éioient regardés
comme les dieux de la patrie. Quels ctoieiu ces dieux.
Noms que les Grecs leur ont donnés. Defeription des pénates
p.tr Virgile. Defeription de ceux qui furent apportés de
Troie à Rome. Diffinition que Cicéron fait de trois ordres
de dieux pénates. Etymologie qu’il donne du mot pénMc.
Obfcrvaiion fur les pénates du palais d’Augiiffe. La célébration
des facvificesdesdicuxpcnatesordonnée à chaque famille
par la loi des doiizte tables. XII. 291. b.
Pcnjtcs , poiitquoi ils ont été appelles pénates ; defeription
de ceux qu’Enée emporta de Troie 3 temple des pénates à
Rome. IV. 824. a , é .-C e que les Romains penfoienc de
cette forte de divinités : l’auteur de l’article I d o lâ t r ie dit
que les pénates n’eurent point de temples à Rome. V l l l .
303. a. Différence entre les pénates &. les lares. IX. 292.
a , b. 293. a, b. Lieu de la maifon où ils étoient adorés.
290. b.
PENCH.4 N T , Inclination, (^'\ynonym.') différences dans
la llgnHicaiion de ces mots. X ll. 292. a. Voye:^ Inclination.
P'ENIÙANT, {N ijl.a nc .&m od .) penclans d’oreilles dont
fe fervoient les Grecs & les Romains. Comment ils les
nommoient. X ll. 292. a. Il y avoir des femmes & des
filles qui n’uvoient d’autre emploi que d'orner les oreilles
des femmes. Les penclans d’oreilles étoient un des orne-
inens que les nieres metcoient à leurs filles pour paroitre
devant celui qui devoir être leur mari. Palfages de Claudicn
& de Séneque fur ce lujeu Ufage que failoit des peiulans
d'oreilles Antonia , femme de Drufiis. Pendans d’oreilles dc.s
Indiens. Les oreilles de la reine de Calicut prodigieufement
allongées par le poids de ces ornemens. Dtllimffion établie
dans ce pays entre le peuple & les nobles par-la longueur
des oreilles. Pendans fufpcndus aux narines & aux Icvres.
Jbid. b.
Pendans d'oreille des anciens, rcpréfeniés vol. I des planch.
Article A ntiquités.
Pendant, tonne de blafon , de ftéréotomic, de ccinturler,
d'horlogerie & de foieric. XII. 292. b.
P EN D E L Î, ( Géogr. anc. G mod. ) montagne de l’Attique.
Monaftere au pié de cette montagne , run des plus célébrés
de la Grece. Tribut qu’il paie. Poffolfions de ce monaffere.
Agrément de fa fuuation. Sa bibliotlieque. Obfervations fur
un village voifin. XII. 293. a.
P END ENTIF , {Arckii.) portion de voûte entre les arcs
d'uii dôme. On peint les pendentifs pour les faire paroitre
plus légers. P endentif de Valence. XII. 293. <1.
PENDEURS , Pendorus , ( Marine ) pcndcurs de balanciers
, d’écoutes de civadieres, de bras, de caliornes , de palan.
X ll. 293. b.
PENDU. Caufe de la mort des pendus. X. 722. ,1. Secours
avantageux à ceux qui n'ont pas été luxés. a. Susp
e n sio n .
PEN DU LE, {^Mcchan.') la pefanteur eff l'imique caufe
des vibrations du pendule. Sur le pendule , voye?. Ofcitla-
lion , Fibration , Centre de fnfpenfton , Axe d'ofcillation. X ll,
293. b. Galilée fut le premier qui rit ufage du pendule , Sc
Huyghens le fit fervir à la conllruffion des horloges. Les
vibrations d’un pendule font toutes renfibleincrit ifochrones.
Foye^ I so c h r o n e . Les différentes longueurs du pendule ,
propol'ées comme une mefure invariable & univerfclle des
P E N
longueurs. M esure, inconvéniens de cette méthode:
la pefanteur n’cü pas la même fur tous les points de la ùu-
face de la terre. Ibid. 294. a. Moyens de concoicre la quantité
de l'aélion de la pel'antciir fur le pendule dans un certain
lieu , & de déterminer la longueur du pendule qui
bnttroit les fécondés dans ce même lieu. Réponfe de l’auteur
par rapport à l'inconvénient obfcrvé ci-deffus. D é termination,
de la longueur du pendule à fécondés. D ivers
géomètres 8c affronomes qui ont obfervé rifodiro- .
nil'me des pendules. Ibid. b. Pendule fiinple. Pendule com-
polé. Théorie du mouvement des pendules, i. Démonflration
des ofcillaiious du pendule fimple. Caufe de la dunimition
de ces ofcillations. Les ofcillations dans de plus grands arcs
fe font toujours dans un teins un peu plus long. Ibid.
293. a. Caufes qui peuvent rendre inégaux les arcs décrits
par le pendule d’une horloge & la faire varier. Expériences
de jM. Derham furies ofcillations du pendule dans l’air
8c dans le vuide. Comment M. Huyghens a cru remédier
à l’inégalité du mouvement des pendules. 2. Si le pendule
fimple eff fitué entre deux demi-cycloïdcs, dont les cercles
générateurs aient leur cHameire égal à la moitié de la
longueur du fil, toutes les ofcillations feront ifochrones.
Ibid. b. Plus les pendules font longs , plus leurs ofcillations
font ifüchroaes. Méthode de déterminer l'efpacc que parcourt
en un tems donné un corps pefant qui tombe per-
pencliculairemem. 3. L’aélion de ta pefaïueur eff moindre
dans les parties de la terre , où les ofcillations du même
pendule iom plus lentes. Quantité dont un pendule , qui
bat les fécondés à Paris, devroit être raccourci en l’ille de
Cayenne. Quelques auteurs ont prétendu que ia diminution
du pendule ne fe faifoit point régulièrement. Ibid. 296.
a. Oblèrvacions fur ce fentiment. Ouvrages à confulterfur
ccttc matière. 4. Si deux pendules font leurs vibrations dans
des arts feniblables , les tems de leurs ofcillations font en
raifon fous-doublée de leurs longueurs. 3. Les nombres des
ofcillations ifbcluones faites dans le même tems par deux
pendules, font réciproquement comme les tems employés
aux diriérciites vibrations. 6. Les longueurs des pendules
fufpendus entre deux cycloides, font en raifon doublée des
tems, peiulniu lefqiicls fe font les différentes ofcillations.
Ibid. b. 7. Méthode pour trouver la longueur d’un pendule ,
qui fafl'e un certain nombre de vibrations en im tems donné
quelconque. 8. La longueur d’un pendule étant connue ,
trouver le nombre de vibrations qu’il fera dans un teins
donné. Table des vibrations des pendules des différentes
longueurs dans l’efpace d’une minute. Ibid. 297. a. Sur l’u-
fage des pendules pour la mefure des diffances inacceffi-
bles fort éloignées, p.ar le moyen du fon 3 voye3;SoN. Méthode
générale pour trouver le mouvement d’un pendule.
Ibid. b.
P en d u l e , {^Phyfiq. ) expériences fur le pendule qu’on dît
avoir été faites dans les Alpes , dcfquelles il réfulteroit que
la pefanteur eff plus grande au fommet qu’au pié de ces
montagnes. Mémoire de l’auteur dans lequel il a fait voir
que li on fuppolc une chaiiie de montagnes , dont l’étendue
foit beaucoup plus grande que leur hauteur, la pefan-
tcur fera la même au fommet & au pié de ces montagnes,
fi leur denfité moyenne eff feulement d’un tiers plus grande
que la denfité moyenne du globe terreffre. Explication des
expériences rapportées, qui donnent environ 28 min. d'accélération
en deux mois à une pendule placée fur les Alpes.
Ces obfervations ne font pas générales pour toutes les montagnes.
Suppl. IV . 276. a.
Pendule y/Vn/t/f, {A jiro n .) des moyens de faire une table
des longueurs du pendule fur toute la furface de la
terre , qui foit alTujettie à toutes les obfervations que l’on a.
Auteurs qui ont donné cette table, établie fur la fimple théorie.
Obfervations fur celle que l’auteur préfence ici. Suppl. IV .
276. a, b. Ouvrages à confulter fur la maniéré de déterminer
exaélemeiit la longueur du pendule. Inffrumens très - commodes
qui ont été faits pour ces fortes d’expériences. Pendule
invariable de M. de la Condamine. Table des longueurs
du pendule & de fes vibrations dans le traité d’horlogerie
de M, Lepaute. Ibid. 277. a.
Pendule. Des ofcillations du pendule. XI. 679. a , b. 680.
a. X ’VII. 230. d . Recherches des géomètres par lefqiielles
ils ont établi la théorie de ces ofcillations. XIV. 36. b. Longueur
d’un pendule qui fait fes vibrations dans une fécondé.
X ll. 364. b. XIV. 838. b. Nombre de vibrations que fait
à Paris dans une heure un pendule de cinq pics. X IV . 328.
a. Scs ilifférentes longueurs félon l’élévation des lieux ati-
deffus du niveau de la mer. Suppl. IV. 307. a. Maniéré de
comparer enfcmble des longueurs obfervces du pendule. 883.
a. Tables des longueurs du pendule fous différentes latitii-
des. 884. b , 6'c. Pendule comjjofe : trouver les vibrations
de ce pendule. III. 768. a. Obfervations fur le pendule.
VI. 736. b. Déviation du fil d’un pendule près de la montagne
deChimbon-raco. III, 338. b. Obfervations faites fur
le pendule à l'ifle de la Cayenne. V I. 752. a. Accélération
P E N
du pendule tranfporté de Quito Sc de Pichinca à P.ara. XI.
882'. b. Utilité de I’obfervaiion du pendule pour comioitre
la figure de ia terre. VI. 760. a. Table qui fait voir la
quantité dont un pendule à fécondes retarde par jo u r, comparé
au véritable pendule a fécondés , qui mathématiquement
parlant , devroit décrire des arcs infiniment petits.
Suppl. IV. 885. b. Table qui fait voir quelle doit être la longueur
du pendule , la pclantîur étant fuppofee la même,
pour qu il faffé un certain nombre déterminé de vibrations.
liàd. Ufage qu'on pourroit tirer du nombre connu des v ibrations
d’un pendule dans un tems donné, pour établir une
mel'urc commune 8c invariable. X V i l. 230. b. Suppl. I li.
.J16. a.
Pendule , reciprocation du , petit mouvement prcfqu’infen-
fible de libration ou d’ofcillation que doit avoir , fuivant
quelques philofophes, un long pendule attaché fixement à
im plancher, 8c qu’on y laiffeen repos. X ll. 297. a. Caufe
de ce mouvement. Les lavans n’oiu pu déterminer encore
par des c.xpérienccs bien Rires, fi ce mouvement eff fen-
•liblc. Mémoire de M. Bouguer à conl'ulter fur ce fujet, Ibid.
298. a.
Pendule , ( Horloger ) On cliffingiie ces machines en pendules
à poids 8c pendules à rclfort. Dlft'ércntcs fortes de
p.iidules renfermées d.ms ces deux claffcs. X ll. 298. a.
Pendule , inffoire des progrès de fart de l’horlogerie 8c
des divers moyens qui ont été inventés pour la perfcèlion
des pendules. V i l l . 303. a , b , 8cc. Divers ouvriers employes
à la coiiffruéfion de ces machines. 307. a , h. Cage
de pendule. IL 330. a. Roues du mouvement. X IV . 390.
é, Cadrature. II. 32Ó. a. Force motrice. IX. 442. b. D e l’échappement.
V . 232. a , b. Du régulateur. X IV . 36. a , b.
D es révolutions dans le mouvemenr. 238. a , b. Houe de
compte clans les pendules fonnantes. il! . 178. b. Des caufes
qui font varier les pendules : des froitemcns. VU . 346. b ,
occ. Des irrégularités provenant de l’aélion du chaud 8c du
fro'id fur la longueur des verges de pendules. V I. 323. b.
X V II . 64. a , b. 63. a , b. TlicnnoiriCtre qui fort à coin-
peiifcr les erreurs provenant de ccttc caufe. XVI. 2-72. b.
De l ’art de régler les pendules. V. 869. a , b. X IV . 29. a ,
b , 8cc. Tems de l’année auxquels la pendule avance ou
retarde fur le loleil , 8c celui de la plus grande inégalité
de l'horloge. V . 837. a. D'f'eremes fortes de pendules. Pendules
à leüort ; pourquoi elles n'ont point de fufees. VII.
392. b. Barrillet tic ces pendules, il. 96. a. Defeription de
la fonnerie d’une pendule à rell'ort. X V . 339. h , 8cc. Lcn-
ciule à remontoir. X IV . 98. Defeription des pendules à
tépétirion. 133. b. — 13 3. é. Leur cadratiire. II. 3 26. a. Petite
poiuhilc de M. Graliam , marquant les tierces. 111. 402.
a. Pendule à carillon. II. 683. a. Pendules qui repréfentenr
les mouvemens céleffes. Suppl. IV . 398. a , b. Table de la
marche de U pendule de Graliam en deux endroits de la
terre, très-éloignés fim de l ’aime. 883.i . Foyc^ H o r l o g e ,
H o r l o g e r ie 8c les planches de cet art qui fe trouvent
vers la fin du volume IV.
P endule d'équation, l^Horlog.') D'où eff venu probablement
l’idée de iaue des pendules à équation. Pendule de
cette el'pece trouvée en 1Ó99, dans le cabinet du roi d'Ef-
pagne. Üblervation fur une l'orec de pendule propofée par
M. Sully dont l’inégalité des vibrations répondroit à l’inégalité
des jours. X ll. 298. b.
Pendules à équation. V . 837. b. 870. b. Vol. IV . dcs pl.
Horlogerie.
Pendule , en ram qu’appliqué aux horloges. Huygliens
8c Galilée fe clifputcnt l'iionncur de l’invention des horloges
a pendule. Premiere pendule faite en Angleterre. Def-
criptlon du pendule appliqué à l'horloge. D ’où vient l'avantage
du pendule liir les autres rcgulateius. XÎI. 29S. b. Pourquoi
un long pendule donne plus de régularité qu’un court. Defeription
d’un pendule à 15 jours à reff'ort & à fonnerie.
litd. 299. a. Des pendules à quarts. Obfervations fur leur
méchanifmc. Defeription de cette forte de pendule. Ibid. b.
Pendule, en tant qu’appliqué aux horloges. Premiere application
du pendule à l'horloge par Galilée. Suppl. III, 172.
b. Quatre fortes de fufpcnlions du pendule ; celle qu’on clou
préterer. 'VII. 333. a. Application de la cycloïde au pendule
des horloges. IV. 591. b. VII I. 304. a , b. Invention
du pendule cycloïde par M. Plooke. XV II . 013. b. Pendule
elrcula'irc nommé pirouette. V li l. 304. a. De l’aRion de la
tlialcur fur la longueur du pendule. VI. 323. b. X V I . 272.
XVII . 64. il
P endule , {^Phyjîq. gêner.') découvértes fur le pendule ,
attribuées à M, Qiriffophe Wren. XII. 300. b.
•x-iT ville de France. Riviere d’Allemagne.
A il. 300. b.
P e n e , XII. 500. b.
PUNE, x n . fco . i.
P ene {S.'!rur. ) Etymologie du mot. Penc en bote! ;
pene a c,cnu-iour ou à relîbre ; pene donnant; ucnc füiir-
ehii ; pene a pignon. X ll. 300, b.
E 4 1 1
PENÉE , ( Gbcgr. me. ) fictive tlo la TliclTalic. Son cour.,
Les laiincrs qui croiücnt fur fes bords le rcncliren: autrefois
céle-bre. Son nom Sc fon état piéient. Trois autres
fleuves du meme nom. XU. 301. a.
PÉNÉLOPE , ( ,V/y,4. ) fille tl'IcariiK , frète de T y n -
dare , roi (je Sparte , renommée jiar fa hdélité envers Uiyffe
fon mari. Suppl. IV . 2 7 7 . Hiffoire de cette princeffe. Ibid
i. ^titre (le Pénélope i Ulylle dans les liéroîdes d Ovide.
Ibtd. 278, a.
Pe-nélope , { Afyei. ) caufe de fa fidélité. X. 906 a Scs
paroles fur le retour d'Ulyire. X V . 358. Jeu atiquel soc-
cupoieiit les amans de Pénélope. 861. a
Pé NÉ 1 R A T IO N , E u ,,jE r ,(y y „ „ „ .) y i . 8.6 . „. Eu quoi
coiififfe la penetration d'elpric. Suppl. I. 72. b.
P .E N G O U lN , (0 /-«ff/w.) Deferiptionde cetoifeaii. XII.
P EN ID E , ou fu
fon ufage. XII,
dorge. {^Ph.trmac.') Sa préparation 8c
PEWIE , {Myihol'.) tléclTe de la pauvreté. L’amour fils
de la pauvreté & d u dieu des richelles. XIL 301. b.
P ENIL, {Anatom.) paaie anccricure de l'os banc qui eff
autour des parties naturelles. X ll. 302. b.
Penil , ( Anatom. ) la verge ou le membre viril. Defcrlp-
tion de cette partie , des vniffeaiix, mufde s , nerfs , crl-.ndLS
membranes, &c. qui lui appaitiennenr. X ll. 302. Son’
iifngc. Caufe 8c eff'cts des éredlions du pénll. Ibid. b.
^ P enil ou Pénis , { An.u. ) pai rie du corps humain appellee
aufli la verge. Le plus grand nombre des animaux eff
pourvu d’une partie faillante qui caraélérlfe le nùlc. Variétés
entre les différentes cfpeccs 8c clalTes d’animaux fur cette
partie. Delcription du pénis de 1 homme. Les coros caverneux.
Suppl. IV. 278. m Mufcles éreéleurs. Ligament du
pénis._ Ibid. i. Peau qui recouvre cet organe. Le prépuce.
Defeription du gland ; glandes fous le prépuce. De ruretre.
Ibid. 279. a. Son corps caverneux. Ibid. b. Scs mufcles.
Vaiffeaux du pénis. Ibid. 280. <7. Ses nerfs. Etat le plus
ordinaire du pénis. Caufes immédiates Ce caufes éloignées
de lerciffion. Ibid. 281. a. Cette affioii du pénis ^produite
par toute efpece de conviilfion violente dans le fy -
fféme nerveux, Caufes du retardement du fnng veineux dans
l’éreélion. La difpofition du pénis à l’éreffion, affoiblic dans
Page avancé par la diminution de la fenfibilité nerv.ufe.
L'éreétion n'eff pas_ une aftlon qui ôie les, forces ou qui
épiiife ; mais l’émiffion de la liqueur fécondante ne devient
polfible que par des efforts violens. Ibid. b. Caufes de l’ex-
pulfion de l'urine par l’urctre. Méciianifme de i'émiffioii de
la liqueur fécondante. Caufe de l'état de foibleffe oui fuie
cet aélo. Ibid. 282. u, b. V e r g e .
PÉNINSULE , {Géogr. anc.) nom que donne Pline à la
Gaule Lyonnoife. Etendue qifil lui donne. Largeur de foa
iftbme. XII. 302. b.
PENINSULE , {Géogr.) les Contrées maritimes qui doivent
fouffrirle plus par l'affion des eaux , ce font les péninfiiles
dont l'iffhmc doit fe rompre à la longue. XII. 303. a Foyer Pr e s q 'j ’isle.
PÉNITEN CE, ( Théolog. ) .La pénitence confidéréc i®. comme
vertu ; 2”. comme f.icrenicnt. Sur quoi eff fonde le fa-
crement de pénitence. Partage entre les théologiens fur ce
qui coiiftiaie la matière de ce facremcnc. Quelle en eff la
ionne. X ll. 303. a. Qui font lès miniffres de ce fiicremcnt.
Puiffancc de jurifcliéVioii nécelTaire pour l’adminiffrer. Ibid. b.
Pénitence , aélos de pénitence appellés confcffioii, 111. 848.
a , b. contrition. IV . 143. a , /-. La pénitence appellée par
les Grecs exomologefc. 'VI. 269, a , b. La multitude 8«: la
facilité des indulgences , eff un obffaclc à la pénitence. V ilI .
690. a. Partie du facremcnc de pénitence appellée facisfac-
tion. X V . 691. U, é.
Pénitence , peine impoféc après la confeffion. Celles qui
étoient en ufage dans les premiers tems du chriffianifine.
X ll. 303. b. Divers changemens fucceirivcment établis dans
les pénitences canoniques. Ibid. b.
P e n it e n c e , ( T>rc/r cujje« anglois) punition ecclèliaffique
infligée particuliérement pour caufe de fornication. En quoi
elle conflfte. XII. 304. b.
Pénitence , la pe'me du fouet ordonnée autrefois comme
pénitence publique. VII. 216. b. Singuliers affes de pénitence
des llecles d’ignorance. Suppl. IV. 203. .i.
Pénitence chez les Juifs. La confeffion des péchés eff d’o bligation
parmi eux. Pénitences réglées impofées pour les
péchés. Diftinéliüii qu’ils font de péchés qui le pardonnent
dans l'autre vie , 8c de péchés irréniiffîbles. Opinion particulière
des Phariffens fur l’état des âmes après la mort. XII.
304. b.
PÉNITENCERIE , {Jurifpr. ) p . Celle de Rome. Expéditions
de la pénitencerie. Ce que porte le bref expédié.
XIL 304. b. Les abfohuions 8c les difpenfes obtenues en vertu
des lettres de la pénitencerie , ne peuvent fervir dans
le for extérieur. 2®. Pénitencerie en France. Ibid. 303, a,
Pénitencerie de Rome, lettres de Ij. IX. 427. a.
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