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294 N O B
confifloit Tot dre de la noblelTe dans l’afiembléc des états.
V i . 7.2. .7. Anciennement en France rows ceux qui portoient
les armes étoiem réputés nobles : changemens arrivés Tons
lu rroilieme race par rapport à la canl'e prodiiélivc de la
nobleflé : on ne dlfiiiigiie quelquefois la nobiclTede la robe
de celle de ré])éc que pour en indiquer l’origine , &. non
pour établir entre ces noltles aucune cliftinélion. VI. z6. a.
Quelles l'ont les feules dirtinflions admifes entre les nobles.
JbiJ. b. Pluficurs offices de judicature communiquent la no-
blcde. 77. <ï, Obfervations fur la nobleHé de robe. Ibid. b.
'XI, 179. a , b. Offices qui tranliuettent la noblefle au pre-
tnier, au fécond degré. IV. 765. b. Diverfes maniérés dont
le roPannoblit. I. 4S7. J- Lettres de nobleiTo. IX. 414. b.
La nobkliTe prodiguée 6c trop aifémeiit vendue à prix d'argent.
X llI . 390. U. Homme réputé de bonne noblcd'e. fiSy. b.
Quelle e(l la nation la plus jaloufe de fa noblelî'e. Ibid. Ré-
fle.vions fur la vanité de la gloire qu’on tire d’un tel avantage.
V i l. 549. ‘7. Faire fes preuves de noblelVe. ^^S.Suypl. 111. 196. J. Suppl. IV. 531. b. LailTer dormir fa noblelTe. V.
5Ö. li. X L 169. U , b. Aéles de dérogeance par lefquels la
iiobleiTc fe perd. IV. 870. u. Réhabilitation de noblelTc. X IV.
43. b. 67. <2. Symbole de la nobleiTe. X V. 73 i . a.
NobUp ac^idaitdk. XI. 171. b.
NMcjfe atludU. XI. 171. b.
Noblcjjl d’adoption. X I. i j l . b.
Nobleje d’jggrcgaiion : colles de l’état de Florence , de
Naples, de G enes, de Ragufe, Familles aggregéesà la mal-
fun de Gonzague. Dans toute l’Italie, les nobles des villes ag-
gregent des familles. X I. 171./'.
Nobli-ß'i ancienne ou du fanp. Ceux qui l'e prétendent nobles
d’extraflion doivent , Iclon la déclaration du 8 février
i6 6 r , juFiifier la podeffion de leur noblcffie depuis l’année
1550. Noblefle ancienne dans les Pays-Bas. X I. 171.
NohlejJ'c archerc.X\. ty i./i.
Nob'ejl'e p.ir les armes. X L 171. .f.
Nobleße p.ir les armoiries. Depuis que l’on a permis aux
roturiers de porter des armoiries limpies, il n’y a plus que les
armoiries timbrées quipuifl'ent former une p reuve de noblclTc.
X 1. IT 2..7.
NobUjn avouée. XL 172
Nobiege de b.inniere
II Elpagne -, qiie Ion diûingue de celle
dceltatidiere. X L 17a. a.
Nobieße de chevalerie, premiere maniéré de conférer la no-
blcfl'e en France. XL 172. a.
Nobkge des francs-archers owfrancs-tauplns. XL 172. b.
NohUß'e des fr.mcs-fiefs Normandie , accordée par une
charte cic Louis X I , donnée en 1470. Difpofitiüiis de cette
charte. Ordonnance de Flenri II par rapport à ceux qui pré-
teudroiem être nobles par cette charte. XI. 172. b.
Nobleße pr.tdudle. XI. 172. b.
Noblèjfe p’ c fée. X I.172 . b.
Noblcge h.iute , ( Hifl. de France ) C ’efl dans le fervice
militaire qu’on trouve l’origine do la noblclTe. Les peuples
du nord avoient une eflime toute particulière pour la valeur
militaire, & la récompenferent par des privileges de noblefTe.
C e corps ayant diminué , il falliu créer de nouveaux nobles :
& ce moyen fut employé en France , en Angleterre & en A llemagne.
XL 173. a.
Nobleffe de lutin p.irape. X L 173. a.
Nolleß'e hérédh.iire. En France toute noblefle n’efl pas héré-
ditaire.XI. 173.^2.
Noblege honoraire. X L I73. *2-
Noblege illiißre. X L 173. a.
Nohleffc immédiate, en Allemagne. X L 173. a. Ce corps
divifé en quatre provinces Sc en quinze cantons. Cette no-
blclTe cfl la principale d’Allemagne. îbiJ. b.
y Nobleß'e immémoriale. X\. 173. i.
Nobfege irréprochable.Xl. 173. b.
Nobleß'e de laine. Diflinftion de noblefTe de foie 6c de no-
blclTc delaine à Florence. XL 173. é-
Nobleß'e liberale. X l.iy^ .b .
Noblege de teures. X L 173. b.
Noblejfe par lcrtre.t. Premieres lettres d’annobliflemcnt en
France. Créations de nobles faites en divers tems par les rois
cie France. X L 173-é. On a peu d’égard aux lettres de no-
blelTe pour récompenfe de fervices, à moins qu’ils ne foient
fpéclfiés. Tl y a eu des édits qui ont obligé des gens, riches à
prendre noblefTe inoyennant finance. T a rif publié à Milan
qui fixe le prix auquel on pourra fc procurer divers titres.
Révolutions auxquelles les aniioblifl'emcns accordés à prix d’argent
ont été fujets. Enrégiftremem néceffaire pour jouir pleinement
de fa noblefTe. Ibid. 174. a. Auteurs à confulrcr.
Ibid. b.
A'oblege littéraire ou fpirituelle. Q ui font les nobles à la Chine.
XL 174. b.
Noblege locale, communautés d’Allemagne gouvernées par
des familles qui n’ont qu’une noblefTe locale. Deux fortes
de noblefTe en Allemagne, l'une parfaite & l’autre locale. XL
•<74v^-
N O B
N M 4 .c h ll,,p o lm ,u c OU accidentelle. XL 174. h.
Nobleiredéncale.XX. ij^ .b .
Nûblege de cloche. W . 174. b,
Noblege comitive , celle que les doéleurs régens eu droit acquièrent
.au bout de 20 ans d’exercice. Confidération attachée
a la qualité de profelTeiir eu droit. XL 173,*;.
Noblefecornmencée.Xl. 175. a.
A ’ûbleJJccommenfalc. XI. 173..;.
Nuhlejfe couuimiere. XI. 175. u.
Nobléjfe débar<juée.Xl. i j e . a.
Noblejfe, demi-, XL 175. a.
Noblèfe à deux vifapes. XL 173. .2.
A'oblcgc de dignité. XL 173. a.
Noblflfc qui don. Privilege particulier aux nobles de la province
de Bretagne. X L 173./>.
NobUffe d'échevinage. XL 173. b.
A^oblejJ'e emprimice.X\. 17 3 .é.
Aobfige entière. X\. I73. b.
Noblefe d’èpée. XI. 173, b.
Nüblcfc étrangère. Un pruice ne peut régulièrement an-
noblir im fiijec d'un autre prince. Excjiiple d’iin François
annobli par 1 empereur Sigifmond fiegeant au jiaiTemem de
Paiis. XL 173. b. Examen de la queflion , fi un prince peut
conférer la noblefTe hors les limites de fes états. ExciJiple qui
prouve pour! affirmative. Un priucc qui fc trouve dans une
antre fouvcraincté que la flcniie, n’y peur donner des lettres
de noblefle qu’a feil proptes fujets. Les étrangers qui font nobles
dans leur p a y s , font aufli tenus pour nobles en France 3
cependant avec quelques reflriélions clans leurs privileges; à
luoins qti’ils ne tiennent leur noblefTe d’un prince allié de la
Prance, 6c dont les fujets y font réputés regnicoles. Ibid.
Noblejfe féminine ou utérine : voye^ P^gc 180. <2, b.
Noblejje jéodalc ou inféodée. Comment fe faifoient les anno-
blilTemens pour les fiefs. La facilité que l’oii eut de permettre
aux roturiers de pofl'éder les fiefs , opéra dans la fuite que
tous ceux qui en polTédoieiu furentrépuiés nobles. Comment
fe failbit le partage de leurs fucceflîons. Annobliflemcnt acquis
lorfqiie_ le fie f étoit tombé en tierce-foi. Droit de francs-
fiefs. Difpolition de Pordonn.ince de Blois par rapport aux roturiers
achetans des fiefs-nobles. XL ijG.b.
Noble de mairie. XL ij6 .b .
Nûblege maternelle. Suivant le droit commun , la noblefTe de
la mere ne feiranfmet point aux enfans. Cependant cette no-
blelTe ne lailTe pas d être confiderée , 6c même nécefl'airc en
certains cas. XL 177. a.
Noblefe médiate, en Allemagne. XL 177. a.
A'ûiiefe militaire. La plus ancienne noblclTe de France tire
fon origine de la profclTion des armes. iMais depuis la troificme
ra c e , la noblefle ne fut attachée .a aucun grade militaire.
Création dune noblefTe militaire par un édit de 1730. XI.
177. a. Lettres qu’il eft ordonné de prendre pour jouir de
cette noblefTe. Création femblable faite en .1757 par l’impéra-
trice reine de Hongrie. Ibid. b.
Noblefc mixte. X l. \ y j.b.
N'üL'lejJ'enative üunaîurclle.Xl. 177. b.
Akhlife de nom & d ’armes. Ceux qui la polTedent fontcon-
fidérés comme plus qualifiés que les autres nobles. En A lle magne
& dans tous les Pays-Bas , cette noblefTe eft fort recherchée.
X L 177. b.
Noblege nouvelle, dans les Pays-Bas. X L 177, b.
Nohleffe d'office ou charge. En quel cas l’officier la tranf-
met à fes enfans. Offices qui donnent k noblefTe. XI. 178. a.
Noblejfe ojyieufe. XI. 178,
N ’oblejfe d'origine ou originelle. X L 178. a.
Akblffie Palatine. XI. 178. a.
Noblejfe de parage. XL 178. a.
Noblejfe p.irfaitc. XL 178. <2.
Noblejfe paternelle. XL 178. a.
Noblejfe pâtre & avo. Loi par laquelle cette forte d'anno-
blifTement efl établi. XL 1 7 8 ./2. Offices qui tranfmettent la
noblefTe au premier degré. Ibid. b.
Noblejfe patricienne. Familles patriciennes dans les Pays-
Bas. Titres de patrices que fe donnent en Allemagne les
principaux bourgeois des villes. XL 178. b.
NobUffie patricienne en SuifTe. XI. 178. b.
Noblejfe perfonnelle. XL 178. i.
Noblejfe, petite ,en^f[>îigite. X L 178. é.
NobleJJe politique ou civile. X L 178. b.
Noblejfe politique au premier degré. XL 178. h.
N ’oblejfe privilégiée. XL 178. h.
Noblejfe prononcée. XL 179. a.
Noblejfe protégée. XI. 179. a.
Noblejfe de quatre lignes ou quartiers. En Italie & en Kf-
pagne on exige communément la preuve de quatre lignes.
XL 179.
Noblejfe-de race ou d ancienne extraSiion. En France la poflefi
fion fur laquelle cette noblefle efl fondée, doit être au moins
de cent ans. XL 179. a.
N O C
.Noblejfe de robe. Cette forte de noblefle n’eft pas inférieure à
celle d’epée. Pendant long-rcms on France, la profeffion des
arme; S: l’aclminiflration de lajuflice n’éroient jîolnt féparées.
La vertu militaire u’efl néccila.re qu’en cas de guerre, au lieu
que la jufticc cfl nècelTaire en paix Ce en guerre. XI. 179. a.
Los offices d’émineme dignité attribuent la qualité de chevalie
r , 6l cette qualité donne la noblefTe parfaite. Ibid. b. Foyer
fur ce fujet au mot Etats.
Nûblejj'c du fang. XL 179. .2.
Noblejfejimple. X L 179. b.
• Noblejfe de terre ferme , en l’état dc Venife 6c en Dalmatic.
XL 179.'L
NobUJj'e titrée. XL l"/0).b.
Noblejje de tournoi. X L ijc).b.
Nobleffie Lranj'mijjible. XL 179. b,
A'obleffie vénale. XI. 179. b.
Noblejje verricre. Pourquoi l’on a cru que l’cxcrcicc de
la verrerie faifoit preuve de noblefTe. XL 179. b. Dans les vrais
principes, il ell confiant que cer cxcicicc ne donne pas la 110-
blelTe 6c ne la fuppofe pas. Tout ce que l’on peut prétendre ,
c ’cll qu'il ne déroge pas. Ibid. 180. a.
AokuJJ'e de v'iUe.Xl. 180. a.
Nobleffie à deux vi/'ages.Suppl. IL 370. i.
Nobùffie utérine. Cette efj)ece de noblefTe étoit autrefois ad-
inife en France. Seulement elle ne pouvoir piocurcr le titre de
chcvalier.il u’y n point dc province où la noblefTe par la mere
fefoit mieux maintenue qu’en Champagne. XI. 180. a. Lettres
de Cbarles V I I , favorable à cette force de noblefle,
Conteflation fur cette matière er.tre les vraisnobles de Cliam-
piignO 6c le tiers état. Exception faite en 1366 à la courume de
Chalons par rapport à la noblelTc utérine. Cette forte de no-
blcfTe confirmée par une foule de jugemeua 6carrécs. L’exemple
le plus f.iineux d’une noblefTe uteiute reconnue en France
cil Celui des perfonnesqui delcenclcntpar les femmes dc quelqu’un
des freres de Jeanne d’Arc , ûu<î la pucelle d’Orléans.
L.ïplictu.ons fur ce fujet./é/ù'. Z'. Exemples de femblables privileges
clans d’autres pays. Ce privilege réf'ervé à quelquesfa-
juilles à Louvain. NoblefTe utérine reconnue & établie aux
iJles Maldives./ik. 181. a.
N o b LcSSE, ujurpatctir de la , {^Hijl. de France') obferva-
tioiis fur la maniéré dont on fit la redierdie des faux-nobles
fous M Colbert. XL iS i . i-2.
N o blesse, ( Bell. leur. ) caraclere du langage & du iTyle
noble. Quelle cil la marque à laquelle on peut dillinguer
clans les anciens un mo t, une image , une comparaifon
noble. Suppl. IV. 33. f>. 11 y a dans la nature une infinité d'objets
d’iin caraflere marqué de grandeur ou de bafl'elTe. Moyen
de fe former dans notre langue une idée jufle du langage
noble. L")!! tems de Montaigne 6c. d’Amyot , les Francois
n'avoient pas encore l'idée dc la noblefTe du flylc. Défiiic
du flyle noble des ouvrages de Malherbe, Balzac 6c C o r neille.
Racine a fixé pour jamais l’idée de l’élégance 6c de la
noblcfl'e. Exemples du flyle noble des poètes du feizleme
fiecle. Ibid. 34. a.
N oblesse de flyle , ( L'ittér. ) X V . 333. b. Voyc:^ No ble.
Nobles.se , ( Manege ) avoir de la noblefle. IV. 268. b.
N O B T E N IU S , {Jean-Arnold) théologien. X I I I ,8 3 1 .é.
N O C E S , {Jurijpr. ) don de noces ; gain dc noces Sc de
fur vie. Premieres, fécondes noces. XI. i8 i . é.
N oces , ( ) cérémonie que les filles d’Atlienes praîiquoieut
la veille de leurs noces. IL 396. a. Ce qui fc
pratiquoit chez les Grecs le lendemain des noces. V . 763.
a. Ufage que les anciens faifoient des anneaux dans les cérémonies
des noces. I. 480. a. Cérémonies des Romains
après les fiançailles. X L 917. b. Voile dont ils couvroienr
la tête de l'époufe le jour des noces, ^'l. 842. a. Sacrifice
qu’on faifoit à Jimon ce même jour. 143. b.
Chanlbn ufitcc chez les anciens dans la folemniié des nq-
ces. 394. a. Maifons publiques où ceux qui n’avoient point
de logement convenable alloicnt faire les feftins de noces.
X L 293, b. Defeription des repas de noces par Lucien. XIV.
129. a. Ufage pratiqué par les Romains de jetier ce jour
la des noix au.x enfans dans la rue. XI. 917. b. Cérémonie
qu’ils pratiquoicnc , lorfquc la nouvelle mariée encroit
dans la maifon dc fon é[>oux. VI. 647. a. Divinité qu’ils
invoquoient loifqu’ils dèlioient la ceinture de l'époufe. VIII.
136. a. XVII . 326. a. Ancien droit de quelques feigneurs
de coucher avec la nouvelle mariée la premiere luiit'de fes
noces : abolition de ce droit. IV. 348. b. X. 107. a. XIII.
287. a. Préfent que le mari tait en Allemagne à fon époufe
le lendemain des noces. X, 7 12. a , N Nu p t ia l ,
Noces. Dons de noces , voye^ D on. Droit de noces que
les cccléfiaftiques & les feigneurs exigeoient autrefois. IV.
417. a. 348. b. 730. a. Donation à caufe de noces. V . 48,
a , b. 49. a , b. Gains dc noces. V IL 424. b. Des fécondés
noces redit fur ce fujet. V . ac;3. b. Sentimens des Peres fur les
fé cond s noces , XII. 348. b. elles font tolérées quoiqu'a-
vec aUez de repugnance. -938.. b. Retraachement de l’cdit
O Ë 3-9 f tics -fecortties noces. X IV . 217. b. Article fur les fécondes .
ces, 839.«;, b .U o .a ,b .
Hébreux, {Hiß. f i e r .) étymologie du mot nu-
L^re. Difierentes acceptions du mot «oersdans l’ctriiurc. Les
le marioicntde bonne heure. Pourcjuoi le célib.it 6t la
flerihté ètüient un opprobre en Ifraèl. Les filles ne p.iroiflbienc
pas en public. Comment fc faifoit la demande d’uuc fille Le
mari donnoit la dot'à fa femme , 6c feinbloit aclieter la per-
fomic quil vouloit époufer. Comment fc faifoient les fiançailles.
X L 181. i. Cérémonies du mariage. Repas de la noce.
Jeunes gens qui accomp.agnoient l’époux & l’époufe pendant
les jours dc la noce. La noce duroit fept jours pour une fille
6c trois pour une veuve, Solemnité avec laquelle on menoit
enl’uite Tépoufe au logis de l’époux, Ibid. iS z.a .
A’occs. Fonélions du paranymphe dans les noces des Hébreux.
X L 917. b.
^OCEaUobrandinc,b,{Pcint.ân tiq.) frife qu’on a trou-
ruines dc Rome, 6c qu’on a platée dans le palais
Aldobrandin, Defeription de ce morceau de peinture antique.
Caraélere de cet ouvrage. XI. 182. A
Noce aldohrandine. Regle <le la perfpeélive obfervée dans ce
morceau de peinture. XU. 438. a.
NOCTAxMBULE ù No ctambu lisme , ( Médec. ) étymologie
du met. Maladie qu’il défigne : vc>y<2{ Somnambu ll. Ün
peur être attaqué du fomnambulifme dans le jour ; cxcmule
XI 182. b.
N Ü C TU L IU S , ( AfytA.) dieu dc la nuic. Comment on le
repréfeiuoit. Traits ingénieux 6c délicats dont l’a neim Congreve.
XI. 183.,2.
N O C T Ü R L A B E , {M.irine) forte d’inftrument pour l’u-
fage des navigateurs. Défeéluofité de cette machine. XI,
183. U.
NO CTURN E , {Aßron. ) arc no.flurne, Arc femi-noélurne
du lüieil. XI. 183. a.
N o c tu r n e s , g.irdes, {H if l.) Cohortes noélurnes d.ins
Rome ancienne. X lil, 281. b. qu.atuorvirs noéluriics. 696.
a. Quefteurs noélurnes. 702, a. Garde iioélurnc à Paris. VIL
310,./. /'Wr^NuiT.
No c tu r n e s , ( Théolog. ) partie de l’office que nous ap-
pcllins matines. Aflemblccs noélurnes des premiers chrétiens.
L ’üflice cccléfiaftique appellé m.ittnes cil né avec le chriflia-
nlimo. XI. 283. .2.
No^urnes, peines, fuites fréquentes des defordres vénériens;
Remedesa ces maux. Ce mal ellauffi une fuite do la mélancolie
6c dc lu manie. XL 183, é.
N o ctu rne , pollution, ( Mé.iec. ) XÏL 922. b.
(-bir.) tumeur iur les os , qui procédé pour 1 ordinaire d’une caufe vénérienne. Humeur qui Tengen-
dre. Moyen de. la refondre. C e terme s’applique particuliérement
aux iirotnbérunces qui viennent aux jointures des Goutteux
, T o ph u s . Principe de ces nodus ou tophus^ X L
183. A ^
NO É , repas , {Hiß. fier. ) fils de Lamecli. Hifloire de la
vie de ce patriarche. Eloge de fa foi, IV . 34,/>.
NoÉ , {Hijî.j'aincc) alliance de Dieu avec Noé. I. 283. a.
D e l’arche dc Noé. I. 60Ö. a , b. — Ö09. b. Suppl. I. 334. d ,
b. Préceptes donnés à Noé 6c à fes defcendnns. X, 1Ö4. b.-
Son tcflaïuent. XVI. 190. b.
N O E L , {H'iß.eccl.) antiennes que l’on chante neiifjours
avant la célébration do cette fête. XL 183. b. Maniéré feanda-
leufe dont la fête de Noël étoit encore célébrée à Valladolid
au milieu du dernier fiecle. Ibid. 184. u.
A’oél. Fi.xation du jour de cette fête. XL 36. b. Cérémonies
ridicules accompagnées de défordres fcandaleoix , qui fe.
font faites le jour de Noël. \ 'l. 373. é , &c.
N oel , { Po.fieJ'acréc ) chanfon fpirituelle en l’honneur cie la.
nativité de notre Seigneur. Obfervations farces cantiques. XLN
oel , { Mufiq.d’égUfc) caraélere qui convient aux airs
des cantiques dc Noël, 6'/2/>/?/. IV. 33. <2.
No£L,/2.2/-.'c/22r«;i/e, {Jarijpr. ) XII, 60.n.
N oel , {Alexandre) fes ouvrages. X IV . 393. a.
N O E M l, belle, {H iß . Jacr.) femme d’Eiimelech , delà
tribu de Benjamin. Hifloire de cette femme 6c de Ruth fa belle''
fille. é»'«yL>/l/, 1 V. 3 3. l2.
NIEODUNUM ou civitas Diablinturn , { Géogr. ) lieu où
cette ville étoit fittiéc. Suppl. IV. 33.^.
NQEOMAGUS, ( Gé^r. ) capitale des VadicafTes. Pays
que CCS peuples occupoient. Divers fentimens fur ces peuples
, 8c fur leur capitale. Suppl. IV. 33. b. M. l’abbé Bel-
le y a prétendu prouver que Bayeux efl l’ancienne Nctoma-
gus. Momimcns d'antiquité trouvés dans cette ville qui appuient
ce fentimenr. Famille de druides établie au quatrième
fiecle dans cette cité. Garnifon que les empereurs y en-
tretenoient. .A.iitre corps de troupes qu’ils avoient fur les
côtes. Monnoies frappées à Bayeux fous les deux premieres
races de nos rois. Incendie de cette ville dans le douzième
fiecle. Son premier évêque connu. l'oid. 36. a.
N O E T IEN S , ( r/iëu/c»^.) anciens hérétiques. Quelle étoit
\