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icgai-d tics nppeüiuifs. M.ils k s mots qui om la prir.ilcé
•<l;iiis l’ordre analycuiue , lont poftéricurs dans l'ordre fyn-
«liétique. liiii/. 199. o. Les noms lb;u ûilceptibits de genres
de nombres, de c a s , & toniequemmeiu l ü . t - -•'■
naifon. Ih-J. b, l'o irtieles qui traitent c
, l.i décli-
iciui de ces
Nom. Dll iio;n. Suppl. III. la t . b. Refle.xions lur
la in.inlere dont nciis acquérons la connoillance des
noms d’elpece , des noms individuels & des noms
d;; genre. [, 717. .1. C e l l de la diHérente maniéré de
Voir les cliolês , que dépendent les diftérens noms que
nous leur donnons. X. 763. â. E.xamen de la quellion , fi
les adje-flits & les lubllamiis doivent être regardés comme
deux parties d’orailbn dift'érentes. V i l . 591. .1. Rapports dc
difléreiices entre les noms & les pronoms. X. 754, t. 753.
k Accidens des noms. I. 70. j . Oblérvations lur les genres,
les nombres & les cas des noms. ces articles partieiiliers.
Regies fur l’ iifage de l’article avec les ditlérciites
efpeces tic noms , A rticle, D e la terminailbn de
quelques noms latins. VII. 175. -t , b. Noms appellatifs. I.
548. V i l. 574. b. Suppl. I. 7 1 . b. Noms collectifs, II I .631.
b. communs , I. 45. b. 728. u. concrets. I. 45. b. Noms clé-
cÜnaljles. IV. 694. a. Noms épiceiTCS. V . 776. .1. Noms cl’el-
pece. ï, 4^. b. 348. h. 728. a. Noms genéricjues. I. 348. b.
728. a. VU . 374. b. Noms hétcioclites. V i l l . 190. a. Heterogenes.
/biJ. b. Noms indéclinables. II. 733. u. IV . 694.
rf.'No.ns individuels. I. 728. .i. Noms mctaphyfiques. 1. 46.
b. 728. b. Noms numéraux. XI. 208. a. Suppl. iV . 39. j .
Noms .patronymiques. XIL i8tj. b. Noms phyfujucs. 1. 46.
b. Noms propres. ci-delTous, & l’article Propre. Noms
de pays.-de l’anide avec cette efpece de noms. I. 733. b.
Noms relatifs. X IV . 35. a. Des noms qui cbangent de lens,
i" . En clumgeant de nombre. X V . 212. a. 2”. Selon la po-
fuion de l’adjeflif qui leur ell joint. 1. 136. a. Du nom lubf-
ramif. X V . 387. b. Noms verbaux. X V l l . 46. j , b. Noms
de ville , ce dernier mot.
No .m , {N lß. §éuér. ) Deux fortes de noms parmi nous ;
le nom propre & cdiri de funille. Dims les titres au-clel-
fiis de l’an 1000, on ne trouve guère les perfonnes délignées
autrement que par leur nom propre. Origine des fur-
noms ou noms de famille en Fiance. X L 199. u. Du tems
©il les noms Si les armes coinmencerent à être herediraires.
Origine des furnoms de la i outre. On s’ell quelquetois fer-
v i de fübriquets pour faire des diilinftions dans les familles.
•Origine de l'iifage de changer les noms des papes à leur
élcétion. Ufage de m::liipl,er fes noms ou d’y faire quelque
auirc changement par un principe de vanité. IbiJ. 200. c.
Nom , origine de l’ufage des noms propres. V. 820. b.
Du nom des femmes mariées. VI. 477. b. Übfervaiions fur
les noms de famille en Irlande S: Mofeovie. 831. b. Noms
patronymiques. XII. t86. b. D e la mode de changer de
nom , établie parmi les gens de lettres dans CeS derniers
fiecles. V . 4Ö6. b. Voye^ SOERiQUET, SuRNOM,Sc Propre.
No.ms DES Romains. ( Ankuj. rom. ) Les Piomains avoient
ordinairement trois ou quatre noms. XL 200. a. L’ itfagc d’avoir
deux noms tiré desAlbains. Lu niuhipliclté des noms
fut établie pour diAingucr las familles qui tiroient leur origine
d’une même fouche, 6i ne point confondre les per-
ibnnes d’une même famille. Obfervations fur les prénoms,
fur le cognomen 6c l ’agnomai. L’ufage dcs furnoms ne fut
point ordinaire dans les premiers tems de Rome. ibid. b. Pourquoi
Tarqifm fut furnommé le fuperbe, ôc Caius Martins
fut lionoré du lurnom de Coriolan. G loire attachée aux fur-
noms tirés du nom des provinces qu’on avoir conquifes. Les
fieres étoieni ordinairement dillingucs par le prénom. Comment
on diHinguoit les deux Scipions iurnomniés Africains.
Surnoms q t i défignoient Q. Fabius Maximus. Noms propres
par lefquels on diHinguoit les femmes. En qitel tems on don-
noit les noms -& prénoms. Noms qu'on donnoit aux efclavcs.
ibid. 201. a.
Noms des Romains. Voye^ Prénom 8c Surnom. Pourquoi
les Romains mettoient le nom de leurs iribus ininié-
diarement après les noms de famille avant leurs furnoms.
X V I . 623. b:
Nom qu’on donne aux peuples par rapport aux pays ou
aux villes dont ils font habitans. VU. 6 0 3 . b.
FIû m , {^Crhi(j. fa cr.) Différentes acceptions de ce mot
dans le ü yle de l’écriture. XI. 201. b.
No.m DE BAPTÊME. {Hiß. des ufdg.) Vanité ridicule des
grands par laquelle ils cherclient à fc dillinguer du peuple dans
le choix de leurs noms de baptême. X L 201. i.
Nom , ( Hiß. des SuperßU.') Vertu que les Cabalirtes attribuent
aux noms propres. II. 477. a , b. Rapports qu’on cH icn-
ïé d’admettre entre k s nomi & las choies : erreurs qui en
font nées. IV. 1072, a. Comment la pluralité ou l’imité des
noms a donné lien à quelques fables du paganifme. VI. 343.
Divination par le nom. XI. 483. Préfiges que les païens
/ uoiem de certains noms. XIII. 308. b. Parole.
N O M
No.\t So c i a l , {Comm.) Celui que les alTociés doivent ligner
fiiivant la rail'on de la focicté. XI. 20t. h.
^ NOMADES , ( Géogr. anc. ) Peuples qui diangeoient perpétuellement
de demeure pour chercher de nouveaux pâturages.
XI. 201. b. Etym. de ce nom. Nomades arabes. No-
m.ides numides. Nomades feythes. Ibid. 202, .i.
Nomades. Ces peuples ont toujours pris les noms de ceux
qui les ont fournis, ou dont ils ont etc tributaires. Suppl. I.
244. b. Pasteurs.
N OM BR E, obfervation fur les divers fens des mots nume-
rus, nornbte Sc nombrcu.x. X V . 73t. b.
Nombre , ( Arithm. ) Dérinicions des nombres, félon Newton
, Euclide de Wolf. XI. 202. .1. Nombre déterminé & in-
aeierminé. Nombres homogènes & hétérogènes. Nombres en-
uers Sc rompus, Nombres rationnels. Nombre pair, pairement
pair, & impairementpair. Ibid. b. Nombre impair. Différemss
propriétés des nombres pairs & impair.s. Nombres premiers.
Nombres compofés. Nombres parfaitsSc imparfaits. Les nombres
imparfaits diftingués en abondans & défeélifs. Nombre
pian. Nombre quarré. Nombres cubes : 203. ir. leurs dif-
lereiues propriétés. Nombres polygones. Nombres pyiami-
daiix. Nombre cardinal. Nombre ordinal. Ibid. b.
No.mbre , {Arithrn.) Nombre barlong. Nombre circulaire
ou fphérique. Nombre diamétral. Nombre double cii
ptjilfance. Nombre géométrique. Nombre incompofé linéaire.
Nombre oblong. Nombre parallélipipede. Nombre parallélogramme.
XI. 204. a. Nombre pronique. Nombres proportionnels.
Nombre pyrgoidal. Nombres folides. Nombres fur-
loüdes. Ibid. b.
Nombre. Comment on apperçoit le nombre des objets vi-
fibles. X V i l. 342. b. 367. b. Tout nombre n'eft proprement
qu’im rapport. I. 673. a. Deux propriétés dans les nombies ;
k s uneselfentielles, les autres arbitraires, i l. 237. k Nccef-
lité des figues pour avoir des idées des nombres, claires &
déterminées. III. 796. Des caraéleres par lefquels en marque
les nombres. XI. 248. a. Principe pour trouver dans toute
arithmétique un nombre quelconque, 6c pmir l’exprimer. II.
258. .;. Mefm e d'un nombre. X . 409. a. Science des nombres.
I- 673. b. Importance de cette fcience felon d’anciens médecins.
i y . 474, , b. -487. a , b. C'ert des nombres , felon le
P. Am io r , que les anciens ont tiré la méthode & les re^’ Us
de leur mufique. Suppl. IV . 763. b. Rapport que les Chinois
ont établi entre la mufique, la fcience des nombres & l’af-
ironomie. Ibid. Voyci PYTHAGORICIENS.
Nombre abfolu , I. 41. b. abondant, 32. a , abHrait, 47. b.
amiable. 3 38. u. Nombres circulaires, III. 467. .r. comnieii-
furables , 6 5 0 . compofés , 767. b. concrets, 828. b. X V IL
763. b. cofiiques, IV . 298. a. cubes, 530. a, déficiens ; 74 -,
b. figurés , VI. 781. d , b. heptagones , VIII. 138. b. hétérogènes,
190. b. impairs, 582. a , b. pairement impairs. XI.
767. a. Nombre multiple d’un autre. X. 836. b. Nombres naturels,
XI. 47. a. p a ir s ,734. a. pairement pairs , & pairement
impairs. 767. a. Nombres plans. XII. 697. a. Nombres
plans lemblables. X IV . 937. u. Nombres polygones. XII. 942.
b. Nombres premiers : premiers entr’eux ; maniéré de trouver
la fuite des nombres premiers. XIII. 288. b. Ufage de
ces nombres. 289. a. Nombre en proportion cOntre-harmo-
nique. IV. 133. a. Nombresproporiionnds, XIII. 4C6. a , b.
471. a. pyramidaux, 394. j.q u a r rés , 639. b. rationnels, 827.
b. fimilaires , X V . a o i. a. folides, 321. a. foiirds, 412. a.
foiirds commcnfurables, III. 6yo. a. triangulaires. XVI.*
617. a.
No.mbre , {Litt. grectj.) Des vers dont les lettres qui les
compofent, prifes felon leiu valeur numérique , e.xpriment
des nombres égaux. VIII. 928. a.
Nombre d’O r . {Chronol.) Manière de trouver ce nombre
pour quelque année que ce foit , depuis Jefus-Chrifl,
XL 204. b. Imperfeélion du nombre d’or. Le pape Grégoire
X I I I , dans fa réforme du calendrier , fubflitua au nombre d'or
le cycle des épaftes. Pourquoi il a été appelle d'or.
Quel en a été l’inventeur. Ibid. 203. a. Voyei M é th onique.
Nombre d'or. IV . 386. b. Rapport des cpacles avec le nombre
d’or. V . 741 . b. Nombre d’or dans le calendrier romain.
Calendrier.
No.mbres, {Critiq. facr.') Un des livres du pentateuque.
Origine de ce nom. Précis du contenu de ce livre. XL
203. a.
Nombres , obfervations fur le ch. V . de ce livre facré. V .
203. b.
No.mbres , {Philo/. Pythagoricienne') Propriétés que les
Pythagoriciens atiribuoient à chaque nombre , depuis l’unité
jiilqu’au nombre dix. XI. 203. b. Quelques peres de l’é-
g liié , à l’imitation des Pyihagui icicns, ont aulR donné dans
ces frivoles fubtilités. Ibid. 206. a.
Nombre, importance de la fcience des nombres félon d’anciens
médecins. IV. 474. a , b. 487. a , b. Voyc^ PYTHAGORICIENS.
Nombre , {Gramm.') On ne connoît que deux nombres
clans la plui>ai t des idiojnes ; le llnguUer & le pluriel. Quel-
O M
ques langues , comme l’hébreu , le grec 8c le polonois, admettent
un autre nombre appelle k duel; en quoi il femblc
qu’il y ait plus de précifion dans les autres langues. Ufage
du duel dans l’hébi-eu. XI. 206. a. Les mots fufceptibles de
nombres, cliyifésen deux claifes ; les déterminatifs & lesjln-
déterminatifs. Les adjeRifs Sc les adverbes doivent avoir des
icrminaifons numériques de toutes les efpeces dénomb ré s,
reçues dans la langue. Les noms appellatifs doivent également
avoir tous les nombres. Les noms reconnus pour propres
, n’ont point de pluriel. Lorlque les noms propres prennent
la fignifîcation [ilurielle en François , ils prennent ou
ne prennent pas la t4nniiiaifon caraélériflique de ce nombre
fdon l'o»cafioii. Ihul. b. Deux obfervations de fyntaxe. i". Un
verbe le met (biivent au pluriel, quoiqu’il ait pour fiijctun
nom collefHf Angiilier. 2". Après pliificiirs fujets finguliers,
dont la colleffion vaut un pluriel ; ou même après plufieurs
fiiiets , dont quelques-uns font pluriels , 8c le dernier fin-
g u le r ; on met quelquefois ou l’acljeéHf ou le verbe au fin-
gulicr. Ibid. 207. a. Le nom de nombre efl encore iifité pour
diilingiicr entre k s differentes efpeces de mots, ceux dont
la fignification renferme l’idée d’une précifion numérique. Il
y a des noms ,ck s adjeéVifs, des verbes 8c de;; adverbes mi-
inéraux. i “. Quatre fortes d’adjeélifs numéraux ; les collcc-
lif s , les ordinaux , les mulcipllcatifs, Ibid. b. 8c les partitifs.
2". Des noms numéraux. 3''. Des verbes numéraux. 4". Des
adverbes numernix. M. l'abbé Girard a imaginé une partie
d’oraifoii dhtiikte , qu’il appelle des nombres. Ibid. 208. a.
Oblérvations fur cette difliikcion nouvelle. Ibid. b.
Nombre, des nombres dans les verbes. III. 880. a. Dans
les mots déclinables. X. 733. h. Des noms qui cbangent de
fens en changeant de iioinüre. X V . 212. a. Des noms de
nombres. H. 680. Suppl. III. 128. a.
N ombre , ( Gramm.) Remarques jur la qualification (Pad-
jeHif ou de Juijla/itif, pour les noms de nombre. Ces noms
en généra)., doivent être rangés dans la clafTe des fubilan-
tifs , lorfqu’ils ne font confidércs qu’en eux-mèmes 8c indépendamment
de tome application déterminée aux chofes dont
ils expriment la quantité. Expofuion de cette règle grainma-
ncalc. Suppl. IV. 59. a.
No.mbre, {Bell. Un.) En éloquence, en poéfic, en mu-
ffque. En quoi confifie le nombre dans la poéfie. XI. 208. a.
En quoi il confitte dans la proie. Le nombre eff un agrément
abfolumcnt nécefTaire clans toutes fortes d’ouvrages
d’efprit, mais principalement dans les difeours deffinés à être
prononcés. Regies fur k ffyle nombreux. Ibid. 209. a.
Nombre. Différence entre k nombre 8c k rliytlimc. Suppl.
JIl. 306. b. Du ffylc nombreux. 307. a , b. Syffême des anciens
fur k nombre dans le ffyle. 306. b, 8cc. La profe doit
être nombreufe. i l. 312. b. Nombre dans les vers. Suppl. IV.
984. b. Nombre propre à exprimer k s pafTions. 987. b. 988. a.
Moyen de rendre le vers notnbreux. 988. a. Hoye^ Harmonie
, PÉRIODE , Périodique 8c Rhyth.me.
, Nombre rentrant, {Horiog.) X L 209. b.
Nombre, calcul des nombres. IL <^46.a , b. Des nombres
îles dentures felon le nombre ck vibrations que k pendule
doit faire dans un tems donné. X VII . 830. j , L 833. b.
Nombres, ( Vénerie.) XL 209. b.
Nombre , {Divin.) Divination par le moyen des nombres.
I. 673. a , b.
Nombre de Dios, ( Géogr, ) Ville ruinée en Amérique.
X L 209. b.
NOMBREUX , %’oye^ Nombre {BelLUtc.).
N OM BR IL , ( Anatom. ) Etym. de ce mot. XI. 209. b. Com-
ineni ce noeud appelle nombril eff formé. Ufage du cordon
ombilical dans le foetus. Ligature 8c feiffion de ce cordon quand
l’enfant eff né. Pourquoi le nombril des hommes eff apparent
8c bien marqué, au lieu que clans la plupart des animaux il
eff prefque infenfiblc. Singularités obfervées fur cette partie.
Maladie nommée exornphale. Avis important fur la rélaxation
de l’ombilic, ié/ff. 210. a.
Nombril, vuvc'îOmbilic é -O mbilical. Communication
entre k nombril, la velfieSc la verge. X V II . 62. b. 206. b.
Nombril , m.iladies du, {MéJec. ) énumération de ces maladies.
Moyens de les guérir. XI. a 10. a.
Nombril. Des defeemes 8c tumeurs qui furviennetit au
nombril. V I. 269. b. VIII. 173. b. XII. 809. a. Exemples
d un enfant 8c d’une jeune fille qui rendoient leur urine par le
nombril. V I. 824./>, X Vil. 494. b. 499. a. Excroiflance charnue
«lu nombril. X IV . 64S. a , b. Tumeur du nombril nommée
•varicomphale. X V I . 847. a. Vers qui furviennent au nombril
« e s en k n s.X V II. 43../.
NcîMBRiLiff Vénus, ( ) caracffcres de ce genre déplanté.
. Ses efpeces. Defcripiion de l'efpece commune de cotyledon.
* ° “ Croît. Origine du nom de cette plaine. X L 2 lo . b.
üfylBRi^L de Vénus , ( Mat. medic.) grand cotylédon, Ses
propriétés Sc ufages médicinaux. XL 210 b.
Nombrils j y m
No.mbril, ) X 1 j , o i
Nombril, (.BLjiri.) XI. m . . , .
N O N 299
N O M E , {A Ig eb.)Y e l.^iï.a.
Nome , {Mufîq. ) définition. D'où k s nomes tiroient
leurs différentes dénominations. Différentes efpeces de nomes.
Suppl. IV. 39, b.
N o m e , {Mufirp ancien. ) Détails fur k s nomes ou airs de
flute. V L 893. b. Pourquoi l’on appcIJoit de ce nom le ch.ant
clés miificiens. 894. <1. Nome polycéplnlc , XII. 933. b. béotien
, Suppl. I, 879. ^.ortlikn , Suppl. IV. 191. d. polymnaf-
tique. 471. b. Nome appelle projbdic, 340. b.pythen. 336.^.
Nome , {Mé.ia..) étymologie de ce mot ; en général loiit
iilccre phrgodénicjue ; en particulier , ulcere amüulant ck la
cornée. DiiFérence encre le nome 8c I'nlcere cncauma. Traitement
du nome. XL 2 1 1. n.
Nome , {Géogr. anc. ) préfeéliire. Mot en ufage dans la géographie
de l’Egypte. Obfervations fur la diffributionde ce pays
par nomes ou préfefhires. X L 211. a.
Nome fétroïte. XII. 662. b. Noir.e profopite. XIII. aqq. bé
Nome febennyte. X IV . 833. j.
N O M E N , ( lurifpr. ) billet ou promeffe de payer qui n’é-
toit accompagnée d’aucun intérêt. Gens c[ui prociiroient des
créanciers de bonne volonté. Xi. 211. ri.
NOM EN C LA T EU R , ( H,p. nar. ) XL m . b .
N o MENCLATEUR , ( Ufage des Rom. ) celui qui difoit le
nom de chaque citoyen au candidat. Comment k s af]>irans aux
charges faifoient leur cour aux citoyens romanis. Vers d’Hu-
race fur ce fujet. Differentes fortes de gens que les candidats
employoient pour mieux réuffir dans leurs vues. XL i t i . b.
Tbyrr F a RTEURS,
NOM EN C LA TU R E des plantes. Suppl. IL 27. a , b.
N O M IN A , Tahiilce, Perf'cripiiones, ( Lang, lutine ) fig.iifica'-
tion de ces mots. X V . 8 1 1. i.
NOM IN AT IF , ( Gramm.) deffination de ce cas. Pourquoi
il aétéappellécuj direâ , 8c k s autres , cas obliques. Examen
de la qiieffion , file nominatif eff un cas proprement dit.
XI. 212. To ut verbe employé à un mode perfunnel, fup-
pofe avant foi un nom au nominatif. Et tout nom aiinomina-
tif fuppofe un verbe dont il eff le fujet. C ’eff une e.xprdfion
impropre, que de dire du fujet du v erb e , qu’il eù. nominatif
du verbe. Ibid. b. Voyet^SviET.
Nominatif, fon ufage. II. 734. é. On le nomme cas pcrfoti-
nel. XII, 43 2. b. En quel nombre doit fe mettre k verbe qui a
plufieurs nominatifs féparés par une disjonflive, IV. 1037.
a. Rapport entre k nominatif 8c k vocatif dans les déclinaifons
grecques Ôc latines. X V IL 410. a.
N OM IN A T IO N par cooptation, ( Jurifpr. ) IV. 17 1 . />.
N OM IN A U X , {Philof. & Thcolog. Schol.) philofoplies
fcholaffiqiies oppofés aux réaiix fur la qiieffion des iinivcr-
faiix. XL 212. /’.Explication de h querelle qui eut lieu du tems
de Louis X I entre ces deux fortes de philofophes. Premier auteur
de la léftedes nominaux. Ses difciples. Ibid. 213. d. La
théologie fcholaffique née de la difpute dont on vient de parler.
Quel eff celui qui la réduifu en fyfféme. Ibid. b.
Nominaux, il eff parlé de cette fecle. IV . 1060. a. XIIL
838. b.
Nominaux adjeêlifs, ( Gramm. ) I. 137. b.
NOMMÉ contrai, ( Jurifpr. ) IV . 1 26. a.
NOMMER , ( Gramm.) quand on veut exclure un rival
d’une place , on k fait nommer par la ville. Raremcnrla cour
ratifie la nomination du public. Xl. 213, i .
Nommer , appelUr, f 5y;.’0.2. ) I. 348. b.
N ommer un deffein, ( Tiffutier-Rubann. ) XI. 213. b.
N OM O C A N Ô N , ( lurifpr. ) recueil de canons Sc de loix
impériales. Etymologie du mot. Divers recueils de ce nom. .'Autres
acceptions du mot/lemoca/jo/t. X L 213. b.
N OM O LO G IK , objet de cette fcience. II. 762. b.
N OM O PH Y L A C E , ( Antiq. grec. ) forte de magiffrat
d’Athenes. Ses fonélions. XL 214. a.
N OM O TH E TE , {Antiq.grecq.) forte de magiffrat d’A thenes.
Nombre de ces magiffrats. Pouvoirs de leur charge.
Solon qualifié du titre (le nomotkete. X L 2 14. u.
NOMPAREILLE , ( Tiffutier-Rubann. ) efp ece de petit ruban
, dont on fait quantité d’ouvrages de modes, Uc. Deferip-
tion de fa fabrique. XL 214. b.
NompareilU. Manière de la travailler , XII. 131. b. vol. XI
des planches, Paffementier, pl. 21 , 22.
N o MPAREILLE, {Fond, de carafl. d'imprim.) XI. 21 3.
Nompareille. Exemples de ce caraéicre. II. 663.663.
N o MPAREILLE , ( Confif.) XL 21 3. rf.
N O N A C R IS , {Géogr. anc.) montagne de l'A rcadie. Ce
qu’elle avoir de remarquable. XL 213. «j.
N O N C E , {Jurifpr.) Nonce ordinaire. Iniernonce. Dif-
tinflion faite en France emre un légat 8c un nonce. Pouvoir
des nonces dans les pays fournis à la difeipline des décrétales.
XI. 213. a. Significations du mot nonciature. A quoi fe bornent
en France k s fonflions des nonces. Entreprifes de la coiu'
de Romecomraires aux maximes de l’églife gallicane, par rapport
au pouvoir des nonces, mais qui ont été réprimées par
plufieurs ordonnances 8c arrêts du paikment. Ibid, ai6. a.
Ouvrage àconfultcr, Ib:d. b.