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768 T E T
T i' te d'arEue .(Tireur d’o r.) X V I . 204. b.
TÙï E, (^/T.rW. )X V I . 204- i. .
T ête ( Muneg. ) difterentes façons de parler ou ce mot
cft eniuloi. Coiinr les tètes. X V L eo4. *.
T ète, ( fou cou u .) tète diin oifcau , tete du cert, nia-
nicre de connoitre fon àgc à la tôte. X V I . 204. b.
Tiu pon.:KC trochtirestète enfoiircliée, paumée, ccii-
miéc , f.uix marcjiiée. X VI. 205. .1.
TÊTErcHà', (Vénerie.) X VI. 20^. u. _
T ête
T ète de Mu
, ( Btüfon ). Foyei d - defliis TÊTE DE
Mor.e.
T ête , ( Jeu du revcnicr. ) X VI. 20^. a.
TÈTE-CHEVRE , crapaud voLrrir , ( Ornii/i. ) oifenii de miif.
Sa defeription. Pourquoi on lui a donné le nom de tete-
clicvre. X VI. 205. a.
T ète pLue, ( H ijl d'Jmcriq.) forme bifarre que donnent
à la tète de leurs enfans les peuples qui habitent le long de
la riviere des Ama/.ones. X V I. 205. b.
T ête ronde, ( Hijl. d'Angl. ) fobriquet donné fous Charles
l. au parti du peuple qui vouloir exclure les évêques de
la chambre liante. Origine de ce fobriquet. X VI. 205. b.
T ête à TAnghis , melon épineux , ( Bolan. ) caraderes de
ce genre de plante. XVI. 205. b.
Tête d'âne , v um ClîABOT.
T ète de mon , ( Ûidre ne la ) fon inHitlliion. Marque de
l'ordre. Suppl. IV. 936. b.
T Ê T E R , Taéhon de ( Phyßotog. ) explication de la inécha-
tiique de cette adion. übfervations fur quelques vices de conformation
qui rendent difficile aux enfans l’adiou de téter.
X V I . 205. b.
T èter , voy<r^ A laiter. Explication de fadion de lèter :
I. 128. b. Sup'pl. 1. 290. a. Suppl. IV. 840. J. Caufes qui s’y
oppofent de la part de la mere & de ta part de l’enfant.
Moyens employés pour les détruire. Suppl. I. 290. é.— 392.
b. ObAacles de la part des enfans , qui s’oppofent quelquefois
à cette aflion : moyens de les lever. VI. 7 9 5 . a.
b. Ufage des petits chiens pour fe faire tèter. 111. 332. a.
DcefTe qui avoit foin de faire tèter les enfans. X IV . 434. b.
T E T H Y E , (H iß . nat.) zoophyte qui refte attaché aux
rochers de la mer. Sa defeription. X V I . 207. b. ■
T E TH Y S , ( Mytbol. ) fille du ciel 8c de la terre, &
femme de l’O céan. Magnificence de cette déeffe Sc la cour
donc elle étoit accompagnée , lorfqu’cUe fe promenoit fur
les vafles plaines de l’Ô céan. Jupiter délivré par Téthys
lorfqu’il avoit été arrêté Sc lié par les autres dieux. Sens de
cette fable. Técliys confidérée comme une divinité .allégorique.
11 ne faut pas la confondre avecT héiis mere d’Achille.
X V I . 207. b.
T E TR A CO R D E , ( Afu/q. une. ) ordre ou fyflcme particulier
de fons réfultans de quatre cordes différemment ordonnées,
felon le genre & l’efpece. Difficulté de concilier
les autorités des anciens fur ce qu’ils ont dit de la formation
des premiers tctracordes. X V I. 208. a. Si l'on avoit égard
à ce que difeiit Boëce 8c plufieurs autres anciens écrivains,
on ne pourrolt donner de bornes fixes à l’étendue du tetra-
corcle; ntais foit que l’on compte ou qifon pefc k s v o i x ,
on troua s: a également que la définition la plus exaéle eff
celle du • ieitx Bacchius, qui définit le téiracorcle un fon
modulé de fuite , dont les cordes extrêmes fonnent la quarte
entr'elles. Tctracordes de l’.ancienne miifique qui n'avoienc
que trois cordes. Tétracorde liypaihon. Tétracoide mefon.
Tétracorde fyiinemenon. Tétracorde dlczeugmenon. Tetra-
corde hyperboléon. Jbid. b. Différentes modifications du té-
tracordc felon les genres. Ibid. 209. a.
Tétracorde. Quatre tétracordes dont la miifique ancienne
étoit compofee. III. 871. <2, b. Deux claffes générales de
fous, que les Grecs diflinguoient dans leurs tétr.acordes. X V .
347. Des trois dift'crences maniérés de partager le tétra-
cordc , fe formèrent les genres diatonique, cliromatique 8c
cnh.irmonique. VII. 593. b. Q u el étoit le plus bas des tétracordes.
'Vin. 400. b. Tétracorde conjoint ou fynneine-
non. n i . 871. a. Vol. VIL des pl. Mafiqiie , pl. 3. Chromatique
Sc enharmonique, pK 13. Tctr.acordes disjoints. Suppl. 11. 724. a. Corde du tétracorde appellee trite. X V I. 663. a.
T É T R A C T IL E S falUs , ( ArchiteSl. anriq. ) XIV. 574. a.
T É T K A C T IQ U E , arit/imét,que. I. 675.
T É T R A C T IS , ( Arithm. pylhag. ) nombre quaternaire ,
fur laquelle fils de Pithaghore compofa quatre livres. Amour
des pythagoriciens pour les propriétés des nombres. Ouvrage
d’Érhard Weigelius, fur cette tétraélis. Barow penfe que
par cette tétraélis , les pythagoriciens avoient voulu défigner
les quatre parties des mathématiques , qui n’etoient pas alors
plus étendues. X VI. 209. a.
TÉ TR A D IT E S , ( Hiß. eccl. ) plufieurs feéles d’hérétiques
ainfi nommés à caufe d'un refpeél particulier qu’ils avoient
pour le nombre de quatre. Tels éroient les fabbataires,
les inanicheéns feélateurs de Pierre le Foulon. Les anciens
appello'ient lécradices, les enfans qui naiffoient fous la quatrième
lune. X V I . 209. b.
T E U
T E TR A D R A CH M E de T y r, ( Monn. ancien, de Tyr)
cette momioie étoit .à-peu-près la même chofe que le ftater
ou le fiele des Juifs. Tctracjrachmes encore exiflans. Leur
valeur félon notre monnoye. Ouvrage à confulter. X V I .
20Q. b.
TE TR AH E D R E , ( Georn. ) Rapport du quarre du côté du
tétrahedre nu quart é du diamccre d’uae l'plicrc où il efl inl-
criptible. X V I. 210. a.
Técrabèdre, manière d’en mefiircr la furface Scia folidité.
X IV . 41. b.
T É T R A LO G IE , ( Poéfn dram. des anciens ) tétralogie chez
les Grecs étoit quatre pièces diamaiiques d’un même auteur ,
dom le but croit do concourir dans les combats littéraires.
Solemnités dans lefquelles les poètes tragiques coinbattoient
poiirlagloire.Cettecouruine renouvellée par Lycurgue , orateur
Athénien contemporain de Philippe 8c d’Alexandre. Eu
quel rems ces combats commencèrent. X V I. 210. .1. Tragédies
qui nousrefienr^qui faifoient partie de ces téiralogies. Les quatre
pièces d’une tétralogie avoient ordinairement chacune pour
fujee une des aventures d’un même héros. Exemples. Quelquefois
aiiffi les quatre pièces des téiralogies rouloientlur des fu-
jctsdift'érensScquln’avoient enfemble aucun rapport. Sophocle
fut le premier qui commençad’oppofer tragédie à tragédie dans
les combats littéraires, fans entreprendre de faire des tétra-
logies. Ibid. b. Platon avoit compofé une tétralogie pour
concourir avec les autres poètes ; mais ayant entendu Socrate
, il méprifa cette forte de gloire , 8c renonça au théâtre.
Couronnes décernées aux poètes qui remporcoicnt le prix.
Les poètes couroient après ces fortes de couronnes avec une
ardeur donc nous n’avons pas d’idée. Les Romains n’imicc-
rent jamais les tétralogies des G r e c s , 8c les Athéniens fe contentèrent
dans la fuite de porter au combat les pièces des
anciens poètes corrigées. Ibid. 2 1 1. a. Voye^ T rilogie.
T E T R A PH A RM A C O N , Onguent, Voye^ Basilicon.
T E T R A PH O E , (Bot. exot.) nom donné par les peuples
de Guinée , à une plante dont ils ufent en décoélion pour
le cours de ventre. Cette plante croit aufli dans le Malabar.
Sa defeription. X V I. 211. Â
T E TR A P L E S , (H iß . eccl.) bible d’Origene en quatre
colonnes , renfermant chacune une vcrfion grecque different
e , celle d’Aquiha, celle de Symmaque , celle desSepiante,
8c celle de Théodotion. X V I . a n . b.— Voye^ l’article Hexa-
EJLES.
Tétraples d’Origene. XI 646. a.
T E T R A P O L E , (Géogr. anc. ) nom donné à diverfes
contrées oii fe trouvent quatre villes. X V I . 2 1 1. b. Tctra-
pole de l’Attique. Tétrapole Dorique. Tétrupole de Syrie.
Ibid. a.
T E T R A R Q U E , ( Criiiq.facr. & Littér.) celui qui gouverne
la quatrième partie d'un état. Hérode le totrarqne.
Diftribution des états d'Hérode le grand entre fes trois fils.
Le titre de roi donné par les Latins aux tétrarqiies. X V I .
212. rf. K iw Et h n a r q u e ,
T £ T R A .S T (E CH O N , ( Bot. anc. ) mot employé pour défigner
une plante, un fruit qui a quatre rangs de grains dans
fes cellules. Ohfervations fur ce mot. X V I . 212. b.
T E T R A S T Y L E , temple, (Archit. Antïq.) XVI. 6 i. b.
TE TR E UM A , ( Bot. exot. ) efpece de builî'un très-commun
en Guinée. Sa defeription 8c fon ufage. X V I. 212. b.
T E U C E R , fondateur de la ville de Salamine en Cypre.
• X IV . 536. b.
T E U C H lT E S , ( 5 o/. d/jc.) nom donné par quelques anciens
botanifies au fchoenanthe ou jonc odorant. Il a tiré fon
nom de la ville de Téuochio en Egypte , prés de laquelle
on le recucilloit. X V I. 213. a.
TEUC TER ES , ( Géogr. anc. ) peuples de la Germanie.
X V . 162. b. XVII . 522. m
T E V E R O N N E , (Géogr.) riviere d’Italie dans la Campagne
de Rome. Son cours. Elle fut autrefois nommée ,
d’A niu s , roi des Tofeans, qui s’y précipita de défefpoir. X V l.
213. a , b.— Voyc:^ A niO.
Téveronne, cafeade de cette riviere. X V I. 362. b.
T E U T , ( Mytb. ) Voye{ T heutH.
TEUT -OBU RGEN SIS SA L TU S , (Géogr. anc. ) forêt
de la Germanie, fameiife par la défaite des Romains fous
Quintilius Varns , 8c par la vifloire qu’y remporta Charlemagne
fur les Taxons : le nom moderne efi Teutberg. Etendue
de ce quartier. C e ft aujourd’hui la forêt de Dethmold.
XVI . 214. m
T E U T O N IQ U E , ( Hiß. mod. ) langue teutomque ou allemande.
Ses dialeéles. X'V^I. 214. a,
T eUTONIQUE, ordr.e ,(H iß.d e s ordres milit. rdig.)'\n(Tnub
en 1 190 , en faveur des pauvres allemands abandonnés dans
la Paleftine. Hifloirede cet ordre. X V I . 214. <j. Enumération
que fait Vaiffelius des dlfférens officier^ appartenàns à
cet ordre. Ouvrage à confulter. Ibid. b.
Teutonique, ordre. XL 604. a , b. 603. a. Grand-maître de
cet ordre. Suppl. IV . 69. a.
T E U TO N S , ( Géogr. anc. ) peuples de la Germanie. Leur
T K A
nom fc trouve dans la plupart des auteurs anciens. On les
appelioit plus ancicniiemciu Codani. P.iys qu’ils occupoiuu.
M,gr:ition.s de cos peuples, Jxc. X V l. 214.
TEXEL , ( Cl'«?/-. ) ifle dus Pays-Bas. Diverfes obfeiva-
tions fur cette iile. X V ! . : 1 3. a.
T c .X T E de Téemure ( Théolog. ) ce mot fc prend
eu (dficrens feu s; 1", l’oiir le corps même de récriture par
oppoliiion à la giolé ou à l’explication ; 1". Pour la Iburce
O'igmale d’oii font fortics les craduélions. Le te'xte original
des livres de rancioii teilameiit reconnus par les Juifs , cil
l’iiébieii. Eu ({uelie langue ont été écrits les quatre livres que
nous joignons au recueil de i'aiicien telliiinènr. Le texte original
des livres du nouveau tsllnmeiu efi le g rec , avec
quelques exceptions ccpeiulant. Pour le texte famariiain,
•vuyt-q S.am a r ît a ’.n 8c I^ENTATluc^u E. Obfcrvacions fur
le.s fautes qui te loin glifloes dans les textes originaux de
l ’ancien 8c «lu nouveau tcllamenc, X V L 213. b. 3". Texte
l'e dit de dilïérens paffages employés pour prouver un
dogme ; fe dit du pafiage que te prédicateur choifit pour
fujer de fon difeours. Ibid. 216. a.
Texte, différences entre la chonologie tics tc.xtcs Hébreu
8c Samaritain , 8c de la veifion des Septame. TH. 394.
Sciiiiment de M. de Prades fur ces différences. Ibid. b. Moyen
de les concilier. 393. a , b. Des di.ff'érentes leçons d’un meme
texte ou patiage. IX. 332. A.
Texte , origine de Tufage de tirer des textes de récriture
pour tous les dimanches. V. 34, a.
T exte, ( terme d'EgliJe ) livre des évangiles. X V L 216, a.
T exte, (Mujîq. ) p.irolcs qii'on mec en mufique. XVI.
216. a.
T exte, ( Fondeur de c.trafler.) gros texte, petit texte.
X V L 216. a.Vove^ Caractère. •
T E X T O R ( R.:viftus ) grammairien. XL 1 14. a.
T F
T FU O I , ( Porcelaine Chin. ) efpece de vernis pour la
porcelaine chinoile. Oblervacions fur les vernis des Chinois.
X V I . 216, b.
T H
TH A B A R E S T A N , fc ( Gèo-r.) province de Perfe. Scs
bornes 8c les ])roduéliuns. X V L 216. b. Thabarita naquit
dans cette -province l’an 839. Obfervaiion litr fon hifioire
Aîahomctane. X^'L 217. a.
TH A B IT , philofophe Arabe, X IV . 665, a.
TH A B O R , (Géogr. anc.8’ f .K i .) momagne de G a lilé e ,
fignification du mot Tluibor. Defeription de cette montagne.
I l en ell parlé Ofée. v._ i. X V L 217. a.
Thabor, fon nom moderne. Suppl. I. 667. b.
T habor , ( Géogr. mod. ) ville de Boheme. X V L 2 1 t . a.
T H A B ü l llT l ïS , iabürites.
THALA.ME , ( Grm;/-. èwc. ) Ville du Péloponnefe. Q u elques
uns ont cru qu’il y avoit deux villes de ce nom , l'une
dans la Laco i i c , l’-iutre dans la Mdlénie. Tem|)le de Pafi-
phao dans Tlulaiire de Laconie. Oracles que la déelfe y
rendoit en fonge. X V L 217. b.
TH AL AM É GU S , (Littéral.) vailTeau de parade 8c de
plaifir dont les rois 8c tes grands feigiieurs fe fervoient dans
leurs promenades fur l'e.au. X V L 217. b. Bâtiment niagniri-
que de cette efpece que Philopator roi d'Egvptc tic 'faire
pour fou ufiige. Ibid. 118. a.
TH A L AM lTÆ , ( Littéral. ) rameurs qui , dans lc.s galères
à trois rangs de rames , étoienc au plus bas pont. X V l.
TH A L E R , voye^ D aller. Origine de ce mot. VIII.
866. a.
THALÈS , pliilofopiic do Milct. Diverfes obfervntions fur
ce pliilolophe. X. 302. b. Precis de fa yie. Comment il voulut
pcifuader à Solon que le célibat eff préférable au mariage.
V I ll. 876. b. Monopole qu’il exerça dans la vente de
l ’iuiile d’olive. X. 668. b. Doilrine de Tlialès. VU. 910, b
VII I. 877. a, b. XIII. 376. b. Scs connoiffaiices afironumi-
qites. I. 783. VIII. 849. a. Son Icntimcnt fur l’amc. I, 783.
É Examen de fon fentiment fur i’cxifience de Dieu V l i l
390.
Thaïes , poète grec reçu citoyen à Lacédémone. X V I I
632. b.
TH AL IE , ( yV/y//io/. ) mere des dieux palices , une des
graces 8c des neuf miifes. Signification de fon nom. On la
fiiit préfider à la comédie. Maniéré dont on la repréfeme
X V L 218. b. ‘
TH A L ITR O N , ( médic.) plante de la clalfe des crucifères
de Tourneforc. Allcali volatil de cette plante Ses
vertus font les memes que celles du creffon. Ufage de fa
lemcnce. Ufage qu’on fiiifoic autrefois de cette plante en
cluriii-gic ; elle croit appellee fophia chirurgonun, X V I . 218. b
T H E 769
TH ALivIUD, 8c Th.ilmudip.es, voyc^ T almud See.
T H AM A R , (Hip. fa c r .) incefie d'Anmon 8c de Tha-
mar. Suppl. I. 368.
TH AM A S , rétabli fur le trône de P c i fe , Sc dépouillé
enluite par Koiiü-kaii. XII. 419. .j.
Thamas AouH-han , voyct^ K o u l i-k an
TH AM ISE , ( G'fcjr. ) rivière d'Angieicrrc , formée de
doux no.eres que fon nomme TLm , ik SJh, »eferiotion
do ion cours. C o li h riviere l.r [iliis r.vaiimgoiifc do i'Euro-
pe pour I„ navigation. C o f tii cila qu'cil duo la grandour &
opulence de Loiulrcs. Le dicvalier Dcrluim a lait i la
louange de cetto rivière , un très-beau morceau de pocfic.
Pl. llicmplüii parle aulil de la Tliamifc eu termes magni'
fi'.jues. XVI. 219. a.
’ fueceffeur de Mu fé c, poète & nuificicn.
VH. 907. b. XL 338. a.
TH A iS L , (Hijl. mod.) nofn d’une (lignite parmi les an-
a em Aiigio Saxons. L’origine des Thanes e ll rapporkc au roî
Canut. Ce nom fut aboli pou après que les Normands ciirenc
fait la conquête de rAngleterre. Deux fortes de nobles de
ce nom. Ils furent enfuirc appelles baicns. X V I. 210. b.
T H A N E F , ( Géogr. ) Ifie d’Angleterre. Son étendue.
1 erie marecagcule de cette ifie. Evcneniens qui l’ont rendue
remarquable. X V I. 219. b.
T H A P S A Q U E , (Géogr. anc.) ville do Syrie fur l'Euphrate.
X V L 220. a.
TH AP S IA , (B o t. anc.) différentes plantes que les an-
cicns ont décrites fous ce nom. Huit efpcccs de ce genre comptées
par Tournefort. Defeription de celle que tes curieu.x
cultivent le plus. Lieux où die croit. Scs |)iopriétis. X V I .
220. a. ‘
T H â PSOS , (Bot. anc.) bois d’un jaune pâle dont les
anciens fe fervoicm pour la teinture de leurs laines. X V I .
220, ‘^-11 devint a c.uile de fa couleur, un emblème de la
mort.^ll efi vraifemblable que c’étoit le bois du Lycium.
ün^^l employoic aiiifi pour teindre les cheveux en jaune.
THAPSU.M , (Bo t. anc. ) moIaine,ou bouillon blanc,
autreiiienf verbafeurn. Dtftéicmcs plantes qui furent appellees
cie ce nom. X V L 220. b.
THARG F.i.lE , femme célébré de MÜer. X. 302. A
Gçecq.) l'êtes que les Athéniens
celcbroicnt en l’honneur du folcil. Viélimcs luiina’mcs ciu'oii
y lacrifioit. Air qu’on y jouoit fur la ffCue. X V L 220. b.
T H A R G t .L lO N , (Calcnd. mois attique dans
lequel on célcbioit les thargclies. Etymologie de ce nom
X V l. 220. b.
THARSIS , ( Géogr. anc. ) lieu dont il efi parlé à l’coard
des navigations faites fous le régné de Salomon. Les favans
Ignorent parfaitement fit fiiiiation. Jofeplie a fuivi la tradi-
non de fon tems qui e.vpliquoif F/wz/y par la mer de Th'arfe.
Parmi les commencacenr.s, les uns ont pris avec les Seprame
Thapls , pour la mer en général ; d'autres l’ont clierclié clans
Alnciue, (’ans 1 A rabie, dans les Indes. L’opinion qui ir.roît
la plus raiionnée efi celle de ceux qui prenneut Tharfis
dins la Beticjuc, 8: penfent que ce lien efi le incmc que
la n e llu s , ville ric lie , où les Tyriens faifoient un s r - ’id
commerce. XVI. 221. m II n’efi pas douteux qu’on neVou-
vat dans la Becique les marcliandifcs dont il efi dit que la
flotte de Tharfis le chargeoic en revenant. Ibid. b. D ivers
paffages do l'écriture, oîi il efi parlé de Tharfis, concilies
par ceitc hypothefe. Ibid. 222. a.
Tlu-Jis , pays appelle de ce nom dans l’écriture. X V I .
732. b.
TH A S E , ( Géogr. anc. )ifle de la iner Égée. Précis c'e fon
hifioire Etat préfent de cotte ifle. Ses bourgs. Ses procliiffinns.
X V L 222. U. Scs mines. Tlîéagene étoit dcTliafe ; il fut couronné
clans les )0ux de la G r e c e , 8c mérita des fiâmes 8c
des honneurs hcroicjucs dans fa patrie. Aventure arrivée à
un.e de fes fiâmes. Ibid. b.
T/uJe. Temple d’Herciile dans cette ifie. XVI. 72. b.
Siege cie la ville de Thafe par les Athéniens. Suppl. L
398. a.
TH A U , ( Gnimm. & Critlq. facr. ) cterniere lettre de l’al-
pliabct hébreu. Sa forme. Cette lettre tire fon origine d’un
niot liébreti, qui fignific nuirque , fg.--c. C ’efi par ces derniers
mots que les Septante ont traduit le paffage d’Ezechlel.
i.s. 4, X V L 223. a.
T h a u , Tétang de (Géogr.) étang de France fur les côtes
de Languedoc. Son étendue. Scs differens noms. X V L 22^.a.
Voyeq Suppl. IL 177. b.
_ TH .A UM A C I , (Géogr. anc.) ville de la Phtliiotide. Origine
de fon nom. Safiniacion. Son antiquité. X V I 222 a
_ TH A U M A TU R G E , ccc/. ) furnom que les catho^
liques ont donné à plufieurs faints. Etymologie de ce mot.
Saint Grégoire de Néo-Céfarce , 6c S. Leon de Caianée fur-
nommés Thaumaturge. XVI. 223. b.
TH É , ( Boîan. exotiq.) arbriffeaii qui porte le thé. Ses
noms. Terreins cpii lui conviennent. Sa ciefeription X V I .'
1 1 1 1 i i i 1 i