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les vieux furent employés à 1» garde du camp, pendant que la
jeimelîe combatioit en pleine camj>agne. X V II . 221. é. Enfin
tous les Romains ayant été obliges de fervir pendant un nombre
déterminé de canip.igncs , on appella veterar.s ceux qui
malgré leur âge, avoient rempli ce nombre. Ceux qui repre-
noieiit le métier de la guerre , étoient appelles evocati. Les
récomponfes des vétérans qui ne confinèrent d’abord qu’en
quelques arpens de terre dans un pays étranger, devinrent
imnienl'es dans la fuite. IbiJ. 222. j.
V l tÉKANS , (//'//. âne. ) vétérans cliez les G re c s , Suppl.
in . ç", 2. b. chez les Romains. Suppl. IV. 673. a. Ceux que
les Romains nomnioient evocari. X. 506. a. Récompenfe
qu’ils aceordoient aux foldats qui avoient bien fervi pendant un
certain nombre d'années. V . ^64. b.
VÊTE KAN, ( Hiß. morf.) officier vétéran en France. Confeil-
ier vétéran. Lettres de vétérance. Noblelfe que le fecrotaire du
roi acquiert par vétérance. XVII. 222. </.
V É T É R A N C E , lanes de , ( Jurijpr. ) IX. 429. h.
l'E TO , {Hiß. rom. ) ce mot dans la bouche d’un tribun du
peuple étoit un obllacle invincible à toute propofiiion.XVII.
222. b.
l'eto. Obfervations fur la force de ce mot clans la boti-
che d'un tribun romain. VIII. 813. a. X V . 8. a. X^'I.
627. b.
Ee t o , ( Hiß. de Polog.) obfervations {u r\iliberum veto des
Polonois. V I ll. 805. U. XII. 928. 9 5 1. b.
V E T T E S , (Ptfc/te) terme ufité dans le reffort de l’amirainé
de Poitou. Defeription de ces rets & d e la pèdio où ils font employés.
XVII. 222. b.
V E T TO N S ,/e r , (Gi;'ci"r. une. ) peuples delà Lufitanie.Trait
flnsuiiier de fmiplicité de ces peuples. XVII . 223. a.
VÊ TU ,{B l.ifon) difféience entre vécu Sc habille. Suppl.
III. 285. b.
V Ê TU llE , {Jurifpr.') différentes lignifications de ce mot.
X VU . 223. J. Aéle de vèiure par lequel on donne à un pofiii-
lant l’habi: du monafiere dans lequel il va être admis au noviciat.
Regillres lies maifons religieufes , dans lefquels ces aftes
font inférés. I!U. b.
V E V A Y , {Gêopr.mod.') bailliage de V e v a y clans le canton
de Berne. Ville de V e v a y . Ravages que fait quelquefois la rivière
appellée V ev ayfe , qui palfe aux environs de Vevay.
XVII . 223. b.
VEUFS , du deuil des , ( Jurifpr. ) IV. 9 1 1. X. 103. a.
V E U V A G E , ■ voye^;^ V iduité.
V E U V E , ( Critiq.Jacr.') loix des anciens Hébreux fur les
veuves , tant des facrificateurs que des laïques. XVII.224. a.
V e u v e , che^Us premiers chrétiens ,{Criüq. facr. ) les veuves
formoiem une efpece d’ordre cccléfiafiique : on s’en fervent
à dlverfcs fondions qui ne convettoient pasà des hommes.
L ’évêque conféroit cet ordre. XVII . 224. a. Platon vouloit
qu’on formât dans la république une forte de maglffratnrccom-
pofée d’un certain nombre de veuves qui auroienc infpedion
furies mariages. Qualités que S. Paul exige des veuves qui doivent
être employées dans l’églife. Refpeél ik honneur qu’il veut
qu’on leur rende. Ibid. b.
V e u v e , {H iß. une.) foin que les Athéniens prenoient
des veuves de ceux qui avoient été tués à la guerre. VII.
369. .1.
VEUVES , ( Morale ) les plaifirs du mariage plus defirés des
veuves que des filles. X. 1 18. b.
V e u v e , ( Jurifpr.) droits des veuves. X V II . 224.^.
l'cuve. Sur l’état & les droits des v eu v e s, voye^ V id u it é .
Du deuil des veuves. IV . 910. b. 9 1 1. a. Droits que perd
la femme qui vit impudiquement ou qui fe remarie pendant
l’année du deuil. 9 11. a. Des divers avantages accordés aux
veuves pour fubfiffcv. V I . 478. a. Iniquité de l'ufage de
priver une veuve de tout fon droit, & de lui faire quitter
fa fabrique & fon commerce , lorfqu’elle époufe un homme
qui n’eff pas dans le cas de la maitrife. IX. 912. a. Bénéfice
accordé à la veuve du propriétaire d'une terre. XIII. 658.
h. D es veuves qui fe remarient, voye^ Secondes noces.XIV .
859. a , é .&c.
V euve , ( A/yrA. ) templedédléàJunon la veuve , à Stym-
phaleen Arcadie. X VII . 224. b.
V E X ÏL L U M , ( Lin. ) iifage de ce mot chez les Romains.
V I . 40. b. 41. J.
V E X IN -F R AN ÇO IS , /r, ( Géop^r. ) pays dans rifle de
France , ainfi nommé pour le diffingucr du Vexin-Normand.
Ses bornes & fes principales villes. Princes qui l’ont poiTcdé.
Obfervations fur quelques hommes de lettres nés dans ce
p a ys , & fur leurs ouvrages ; Louis Abelli ; Pierre du Moulin,
théologien calviniffe Ses enfans.XVII-225.0.
J'exin-François. Coutume de ce pays. IV. 418. .7, b. Fiefs
qui fe gouvernent félon cette coutume. VI. 716. b.
V exin-no rmand , /e, ( Gfogr. ) pays de France dans la
Normandie. Ses principales villes. Hifioire de ce pays. Üh-
fervations fur les ouvrages de Guillaume .Anfrie , abbé de
Chaulieu. Divers morceaux de ces ouvrages. X Y II. 225. b.
Son portrait tracé par lui-même. Ibid. 2.26. a.
V I A
VEYSSIERE «y«/a Cruçf. Ses connolffances dans la langue
copte. Suppl. II. 592.d.
V E Z E L A Y , ( Geopr ) petite ville dans le Morvan. Son origine.
C eft .à Vezelay que fut clrcffé un échafaud dans la place
publique, l’an 1 1 4 6 , pour y prêcher la fécondé croifade. S.
Bernard, fondateur de C le rvau x, fut l’organe de ce nouveau
dépeuplement. Précis de la vie de Théodore d cB e z e , né à
Vezelay.Ses ouvrages. XVII . 226. b.
U F
UFENS, ( G < r / 3 c . ) fleuve d’Italie dans Icnouveaii Latium.
Vers de quelques poètes latins fur ce fleuve. 2*. Ufens,
fleuve d’Italie dans la Gaule cifpadane. X VII. 227. a.
UFFA , Tanarts d ', (Gétigr.) X V . 920. d.
U F F A N O , {D icpoVlon fyûèmc de fortification. Suppl. IlI.SS.d. ' ■ ' Z t't'
U G
U G AB , ( Mußt], inflr. desHcbr. ) parmi les différentes opinions
fur cet infiniment, qui paroît avoir été inventé avant le
déluge , la phisvraifemblable cficelle d eD .Ca lme t.q u ienfail
une lyringe ou fifflet de Pan. Suppl. IV, 9S8. a.
L H
U H U T A , {Botan. ) plante parafite. Suppl.\. 795. b.
V I
V IA facra, ( Géopr. anc. ) XIV. 474. b.
VlA D U S , ( Géopr. .inc.) fleuve de la Germanie, aujourd’hui
rOder. Cette paaie de la Germanie où coule l’Oder
éioir peu connue des Romains. Embouchure de ce fleuve.
Différons noms que les anciens géographes lui ont donnés.
XVII . 227. é.
VIAGER ES , rentes , ( ) XI"V. iiCf. a , b. Scc.Rente
viagère en tontine. X V I . 414. b. Annuités viagères. 415. a.
Utilité des ouvrages fur les probabilités d e là durée de la vie
pour les rentes viagères. X VII . 249. b.
\TAIRE,/ôi. IX .678. .r.
V IA L E S D U , ( Mythol. ) nom générique donné aux divinités
que les Romains fuppofoient préfider à la sûreté des
chemins dans les voyages, ü n élevoit leurs effigies dans les carrefours.
X VII . 228. .t.
V IAN D E , (Cr/z/y./jcr.) le peuple hébreu peu délicat fur
l’affaifonnement des viandes. XV II . 218. ». Animaux dont les
Juifs n’üfoient manger. La défenfe de manger du fang ou d’un
animal étonné devroit peut-être encore être obfervée dansl’c-
glife chrétienne. Ibid, b,
VlAyDZS immolées aux idoles,{ Crititj. fier. ) c’étoit l’ufage
chez les Juifs & chez les païens, défaire un feftin d’une partie
de ces viandes, où ceux qui avoient offert la viélime réga-
loient les prêtres 6c leurs amis. Mais ceux qui n’étoient pas
libéraux faifoient vendre ces viandes au marché ou les ré-
fervoient pour leurfimille. Difpute excitée du tems des apôtres
fur l'ulagc de ces viandes. Dèdfion de S. Paul fur ce fiijet.
XVII . 228. b. La liberté accordée par cet apôtre, refireinte
enfuite par quelques Peres de l’églife, particuliérement par
Clément d’Alexandrie. On fit un crime auxgnofiiques d’avoir
mangé des viélimes facrifiées aux idoles. Ibid. 219. a.
Viandes permifes Si prohibées : cette difiinélion établie chez
les Arabes. Suppl. I. 503. b.
V iande , ( Cuifin. D ieu ) différence entre viande 8c chair.
III. 10. b. But de l'accomrnodage des viandes : propriétés de
celles qui font rôties 6c bouillies. I. 74. b. D e l’analyfe des
viandes les plus en ufage. 266. b. 8cc. Méthode de confer-
ver les viandes. Invention des gelées 6c des tablettes de
viandes. IV. 538. b. Autres moyens de les conferver. Art de
les rendre plus faciles à digérer. 539.^1.
Viande néceflaire pour la fublifiance d’une armée. X V ;
583. É
V IA N D E N , ( Geopr. ) ville 6c comté de ce nom , au
duché de Luxembourg. Seigneurs auxquels ce comté a appartenu.
X VII. 229. u.
VIANEN , ( Géüur. ) ville des Pays-Bas dans la Hollande;
Ses révolutions. X V fl. 229. a. Cette ville fert d’afylc aux marchands
dont les affaires ont mal réiiffi. Ibid. b.
V IA T E U R , ( Antiq. rom. ) efpece de meffager que le fénnt
envoyoit pour avertir les fènaieurs en campagne des jours où
ils dévoient s’alTcmbler. Unviateur exigeoit de celui auquel il
portüit lin décret du fénat, qn’Ü fe vêtit, pour recevoir décemment
les ordres de la république. X VII. 229. A.
V IA T IQ U E , { Hiß. rom.) fbmme accordée par la république
aux magifirsts qu’elle envoyoit dans les provinces. Viatique
mis dans la bouche des morts pour payer le paffage à Caron.
Viatique des religieux. XVII. 229. b.
V iat iq ue , (. Hiß. eed. ) les peres 8c les conciles ont
V I C
donné ce nom à trois facremens que l’on donnoit aiixittoii'
rans , favoir le baptême , l’eucharillie 6c la pénitence. XVII .
VI AU ; (J2 « r ) anecdote fur ce gouverneur de Momereau. SuppL\\\.<)^i).a.
V IB O RD , ( Marine ) diftinélioii de plat-bord 8c de vibord.
XII. 7 3 7 -'-
VIB RAN TE S , corifsj , {Méchan.) Tfiiyr^ CORDES.
V IB R A T IO N , ( Méchan. ) les vibrations du même pendule
font toutes à-peu-près ifochrones. Les vibrations d'un pendule
plus long, durent plus de tems, que celles d’im plus court, 6c
cette difiérencceft cnrailbn foudoublée de leurs longueurs:
ou en d’autres termes, le nombre des vibrations des pendules
dans un tems donné, efi en raifon récipr^ique foudoiibléc de
leurslongiieurs. XVII . 230. a. Ufage qu’on poiirroit tirer du
nombre connu des vibrations d’un pendule dans un tems
. donné , ])üur établir une mefnre commune 8c invariable : ouvrage
à confulter. Tout corps fait des vibrations, lorfqu’i! efi
éloigné par quelque agent d’un point où il efi retenu en repos
par quelque autre agent. Loi des vibr-ations d'une corde tendue
; loi des vibrations d’un reffort. Ibid. b. Voyez Oscillat
ion.
Vibration. Différence entre ofcillation & vibration. XVII .
850. a. Vibrations ifochrones, VIII. 926. b. tamodirones.
X V . 945. b. i ‘ . Vibrations du pendule. Elles prouvent le
viiicle. XVII. 573. a. Il efi à propos que le pendule ne décrive
que de petits arcs. II. 397. b. V. 232. .1. Exemples
qui montrent qu’en raccourcifianc le pendule , on efi obligé
de imiliiplier les vibrations, 6c par conféquent les rouages
qui les doivent entretenir pendant vingt - quatre heures.
X A II. 850. b. Méthode pour trouver non-feulement le plus
jjetit nombre de roues qui peuvent fatisfaire à un nombre
de vibrations donné , mais encore celui des dentures qui
rempliffent le plus fimplement leur objet en ne multipliant
pas inutilement les révolutions intermédiaires. 851. a , b.
Table de plufieurs nombres de différens rouages qu’on peut
ciuployer pour remplir tel nombre donné de vibrations Si
cl oîeillntions. 852. a , b. 853. a , b. Nombres des dents du
rochet des pendules à reffort, felon la longueur du pendule
6c le nombre des vibrations. 853. b. Table des vibrations
du pendule felon fes longueurs , dans un ouvrage de M.
Lepaute. Suppl. IV. %ry.a. 885. b. Voye{ Pendule & O scillation.
2°. Vibrations du balancier. II. 148. d. Etendue
du branle du balancier dans l’échappement ordinaire. 397.
b. La quantité des vibrations dans les montres augmente
les frottemens. VII. 349. a , b. Ifoclironifmc des vibrations
du reffort fpiral. X lV . 190. b. V o y ez Echappement , RépuU-
tear , Arc de levée , de ftipplément, Sic. 3''. Vibrations des
tordes : des loix felon lelqnelles elles s’exécutent, IV. aïo .
a . b. XVII . 613. b. Suppl. II. 559, b. Voyes^ CORDES VIBRANTES.
V ibr a tio n , (PAy/^.) les différens rayons de lumière font
des vibrations de diftérenie vitelTe , qui excitent les fenfations
des différentes couleurs. Effets des vibrations excitées dans le
milieu fubtil 8c éthéré dont N ewton fuppofe tous les corpspé-
néirés. Vibrations des ailes du papillon de ver à foie dans l’accouplement.
XVII . 230. É
V i e , ( Géopr. ) viiled’Efpagne en Catalogne. Obfervations
liifioriques fur cette ville. XVII. 231. u.
Vjc-dc-Btporre,( Géopr.) petite v ille de la G afcogne.XVII
231. a.
VlC-en-Carladès ou Vic-fur-la-Cere , ( Géopr.) bourg de
France , en Auvergne. Obfervations furies eaux minérales de
ce lieu .XV lI.2 31 .^ .
Vic-Ie-Comte , ( Géopr. ) petite ville de France en Auvergne.
Origine de fon nom. Obfervations fur les fontaines
minérales qui font à demi-lieue de cette ville. XVII.
2 3 1 .rf.
\IC-Feicnfac , ( Géopr.) petite ville de France dans l’Arma-
gnac. XVII . 2)1. a.
V i e , (£ / j« ) antiquaire du feizieme fiecle. XII. 70. a. X. 229.é.
V IC A IR E , { Hiß. & Jurifpr.) officier auquel ce titre fut
donne chez les Romains. X V ll. 231. a.
Vicaires des abbés. Difpofition de l ’ordonnance d’Orléans fur
cas vicaires. X VII . 231.6.
Vicaire amovible. XVII . 231. b.
Vicaires apoßoliques , leur origine. Vicariat de l’évêque
de Theffalonique. Vicaires apoftoliques dans les Gaules.
XV II . 231. b. Refiriflion du pouvoir des légats du pape
en France. Le pape donne le titre de vicaire apofioli-
que aux évêques qu’il envoie dans les millions orientales. Ibid. 23 2, a.
Vicaire OU Champion , celui qui fubflituoit quelqu’un pour
fubir quelque épreuve du nombre de celles qu’on appelloit purgation
vulgaire. X VII. 2 )2 .a.
Vicaires, chanoines. XVII . 23 2. a.
Vicaire du comte ou vicomte. Les vicaires des comtes ne
jiigeoient que des alFaltes légères, Ils font appellés quel-
I C 855
qtiefois mifft dominici. Fondions des vicomtes. Loix qui v..
font mention. Ils font aufil appelles viguiers. XVII . 232 a,
/fi>yrç V icomte. ^
Vicaires des curés ,\cux origine. X V II . 232. a. Différentes
catifcs pour Icfquclleson peut établir des vicaires dans les
paroiffes. A qui appartient l’infiitiuion 6c le choix d’un vi-
Vicaircsde l'empire ; anciennement iis ètoient nommés parles
empereurs & les rois des Romains. Leur fonfllon n’a lieu que
quand il n y a pas de roi des Romains. Princes qui exercent ies
jonélions des vicaires de l’empire. Vicariat d cBaviercoudu Palatin.
Vicariat de Saxe. Fondions des vicaires de l’empire.
X V II . 2)2. h. V oye^W .C j. b.
Vicai.-e de l’évêque , vo ye z Vicaire forain,Ofjicial.XVil. 2)). a. grand Vicaire &
Vicaires que les évêques avoient autrefois , connus finis le
nom de choréveques, III. 373. b. Si de vidâmes. X V II ,
247. a.
_ Vicaire-fermier , étoit celui auquel un curé ou autre bénéficier
à charge d’ames, donnoit à ferme un bénéfice qu'il ne
pou voit conierver, & que néanmoins il retenoit fous le nom
de ce fermier. Fraudes que l’on avoit inventées pour garder cn-
femble deux bénéfices à charge d'ames. Concile où clics furent
condamnées. XVII . 233. a.
Vicaires-forains, leur origine. XV II . 233.6. F'cyrrDoYEN
RURAL.
Vicaire ^ grand-, ou Vicaire général. En quel cas l’évêque
efi obligé de nommer des grands-vicaires. Quelles font les
perfonnes habiles à cct office. Du pouvoir des grands-vicaires.
XV II . 233. 6. 11 efi libre à l’évêque de révoquer fon
grand-vicaire quand il le juge à propos. Comment finit la jurif-
diifiion de cet officier. Caufes de fiifpenlion des pouvoirs du
grand-vicaire. Ouvrages à confulter. Ibid. 2)4. a.
Vic.iire, grand-. Différence entre les fondions de grand-vicaires
6c celles d’official. XI. 419. 6. Grands-vicaires nommés fedevacante. III. iS i. a.
Vicaire, haut-. On compte fix hauts-vicaires dans l’églife de
Notre-Dame de Paris. XVII . 234. a.
Vicaire héréditaire. XVII. 2)4. a.
Vicaire ou homme vivant & mourant. XVII . 23 4. a.
Vicaire de Jcfus-Chrif.XNW. 234. a.
Vicaire local. XVII . 23 4. a.
Vicaire né. XV II . 234. a.
Vicaire perpétuel. Différens officiers à qui ce titre convient.
Oiigine des vicaires perpétuels des curés primitifs. Vicaires
.amovibles que les curés titulaires établirent fur leurs cures.
XV II . 3)4. a. Conciles qui défendirent ces vicariats amovibles.
Difpofitions de différentes loix fur les vicaires perpétuels.
Portion congrue de ces vicaires. Ouvrages à confulter. Ibid. 6. VoyciCvRÉ.
Vicaire du p’éfet duprétoire. XVII. 234. 6.
Vicaire provincial. X V ll. 23 4. 6.
Vicaire du S. Siege. XVII. 234. 6.
Vicaire ou fecondaire. X VII . 234. 6.
Vicaire, fous-. X V II . 234.6.
Vicaire temporel. XVII . 234. 6.
V IC A IRIES du Poitou , {Jurifpr. ) V . 580. h.
V IC A R IA T général, lettres de , {Jurifpr. ) IX. 429. 6.
V IC E , {M orale) U efi des v ices qui peuvent ê tre , pour
ainfi dire, compenfés, ou du moins cachés fous l’éclat de
grandes 8c brillantes qualités. Mais fi on ne les corrige, ils ceG
lent de n’ètre que des taches , ils répandent une ombre générale
, 8c obfcurciffent la lumière qu’ils abforboient auparavant.
Vers fur ce fiijet tirés de la Phedre de Racine. Réflexions de
Montaigne furies vices. XVII . 23 5. ^/.Différence entre défaut
& vice. Raifon de ne pas tirer vanité de fes bonnes qualités 8c
d’être indulgent fur les défauts des autres. Ibid. 6.
Vice. Différence entre vice , imperfeélion, défaut. IV .
731. 6. Jufie notion de ce qu’on .appelle vice. XVII. 1S5.
6. Vices qui aviliffent : vices qui n’aviliffent pas. 272. 6.
Caufes des vices. Suppl. IL 698. 6. Vices de l’cfprit incorrigibles.
VIII. 656. a. Il n’y a prefqii’aucun vice qui ne
porte à des aftions indécentes, 667. b. Nos vices font très-
ibuvent l’effet de nos faux befoins. IV . 886. a. Les vices
des particuliers, quels qu’ils foient, nuifent au bonheur de
la fociété. X V . 254. 6. 255. a. Les beaux-arts doivent tendre
à nous faire haïr le vice. Suppl. I, 388. 6. Voyct]_ C aractère.
Vice-amiral, en Angleterre Sc en France. XVII . 23 5.6.
Vice-chambellan. XVII . 23 5. 6.
Vice-chancelier d’une univerfité. XVII , 235.6.
Vice-conful, ( Gomm.) XVII . 235. 6.
Vice-dope.XyW. 23 5.6.
Vice-perent. XVII . 236. ti.
Vice-légat. XVII . 236. a.
Vtee-roi. XVII . 236. a.
Vice-feipneur.X^W. 2)6. a.
V IC E N C E , {Géopr.) ville d’Italie dans l%tat de Venife.