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’ 5 1 T E L th i'i I’lir I'art des teinturiers, an coiiimcncemem clii voUimc
X. Elies font diilribnécs cn denx parties ; la premiere renter-
mc la teinture des Gobelins, la leconde la teinture cn loie
on do riviere. Teinture dii coton. 5ü/'/>/. II. 624. L
Trituure fur tc bois. Manicre de teindre le bois en noir Sc
en tome autre couleur. X VI. 31.
Tiinrurc fur le bois pour les ouvrages de marquettcric :
inventems de cct ait. X. 138. j.R c tc ic e pour teindre le bois.
Suppl. 11. 5. U. , . ,
Teinture Je bourre, OU poil de ckevre guriincec , ingrédient
de la teimme du petit tcliu. Comment on taie la teinture de
bourre. Préparation qu’on doit fane aux laines avant que de
les palTer dans cette teinture. Maniéré de les y_ palier.
Obfci"\’ation liir le peu de lolidite de la couleur qu elles y
reçoivent. X VI, 31.^ . T einture des chupeaux, ( Ch.ipel. ) conipofuion de la couleur.
Manière de teindre les chapeaii.x. X VI. 32. e.
Teinture des chapeaux. III. 170. i». T einture , [Chymie, Pham. Mal. medic.) produit d’une dilTo-
Imion, Ibicpléniere, Ibic partiale , l’oit fimple , l’oit compolée , 5e opérée par divers ineiillrues. Ce qui dilliiigue les teintures
de toutcamre clpcccde dillblution , c ‘cll que la teinture ert ordinairement
Ipécitice par une couleur éclatante, rouge, bleue ,
jaune ,v c r te .X V L 3 i. u. La plupart des teintures n’ont d’autre
mente que leur couleur. Dlllinftion de.s teintures en vraies &
en laudes. Les vraies ibnt celles qui contiennent réellement
des principes du corps avec lequel on les a préparées. Les
f.mlTes, Ibni celles qui n’ont rien cliiTous ni extrait de la
matière fur laquelle elles fe font fbnnées. Oifervations fur
l’ufage médicinal des teintures. Ibtd. b. Defeription Sc ula-
ges des teintures compofées les plus iifuelles. Teinture
d’ahlyncbe compofee. Teinture de gomme laque. Teinture
flomâcbique nmere. Teinture ou eifence carminative de
\Vedclius. Jbid. 33. a.
Teinture d’cuitimoiiie, I. 507. b. de pourpre antimoine,
509. J. d’argent, 641. a , b. de vénus. IV. 546. h. Teinture
alkaline du mars de Stalh. X. éo. a. 133. h. D o ii depend
le fuccès de la dilTolution de fer dans l'alkali fixe. X.
60. a. Teintiii'C de mars tartarUée. 133.
T E IN TU R IER , {^Anmich. ) teinturiers du grand & du
petit teint. XII. 466. a. X V I. 7. b. Ciie fd ’oeuvic des teinturiers.
768. a. Magiflrats devant lefqucls les teinturiers
de Paris qui ont beloin de l’eau doivent le pourvoir. IX.
I. b.
T E ITE L , ( Orniih. ) oifeau du Brcfd. Sa defeription. X V I .
33, b.
T E JU G U A C U , ( Xoo/og. ) cfpcce de léfard du Bréfil ,
qu’on appelle aiiiTi temapara. Sa defeription. X V I . 33. b.
TE IUNHANA , ( Zoolog. ) efpece de léfard d'AmériLiue.
Sa defeription. X V i, 33. A
T FKL'FKE , ( CalenJ. judaïq. ) tems qui s’écoule pendant
que le Ibieil avance d’un point cardinal à l’autre. C e l l aufiî
le moment auquel le foleil entre dans le point cardinal. XVI.
34. a.
T E L , telle, ( Gramm. ) Obfervationsfur cet adjeélif. XIII.
"^^TEL-A.MANDU-KOLA, {B o u n .) efpece d’abfiis. 5k/i/>L
I. 74. b.
T E L A N G O U T S . T.vures. X V . 922. b.
TE LCH IN E S , ( MythoL ) Etymologie de ce mot. Anciens
perfonnages des tcnii fabuleux, fur lefquels il régné d’etran-
ges contrariétés dans les traditions mytiiologiqucs. La fable
a changé en magiciens odieux, ceux quiont été les inventeurs
des arts les plus nécelTaires. Cet article a été tiré d un nie-
mcirc de M. Fréret qui a le premier débrouille avec une
ingénieufe fagacité, ce mélange d'idées 8c d’attribtiis. Les
Tc ld iines , étoient, félon Diodore , fils d e là m e r ,8 c furent
chargés de l’éducation de Neptume. X V I . 34. b. Cette origine
8c cet emploi, qui les fuppofent des navigateurs, s’accordent
avec la tradition , qui leur faifoit habiter fucceffive-
mem trois grandes ifies de la mer Méditerranée. On vaiuoir
aufii leur habileté dans la métallurgie : on leur attribuoii 1 art
de travailler le fer 8c l'airain. Il n’efi pas furprenant après
cela , que les premiers fauvages de la Grece , aient cru tout
ce qu’on débitoit du pouvoir magique des Teichincs ,
qui ne confîlloit vraifemblablement que dans une efpece
de médecine fuperftitieufc, qui joignoit aux rcmedes naturels,
des formules auxquelles on croyoit de grandes propriétés.
X VI. 35. A T elCHIne.s , ( Géogr. anc. ) peuples q u i, felon la tradition ,
pafferent de TiAe de Crète dans celle de Cypre , 8c enfnite
dans celles de Rhodes. XVT. 3 3.,;. Inventions qu’on leur attri-
buoic. Pourquoi ils furent accufès de magie. Minerve paÔa
pour la mere des Telchines. Temple de Minerve Telchi-
nia. Ibid. b.
T É L É , ( Anùq. Grecq. ) Ufages de ce mot chez les Athéniens.
X VI, 3 3. A .
TELECLES & Théodore , fculpteurs anciens. X IV .
827. O,
TE LE A RQ U E , ( anc. ) magÜlrat de Thebes. Epa-
minondas devenu T élèarque, releva cette magiilranire. X V I .
33. b. '
TE LEB O ID ES Injulce ,(^Géogr. ijne. )ifles qui étoient devant
Leucade. Obfervations fur ces iflcs 8c fur les peuples
qui les habitoient. XVI, 33-A f^oye^ Th l e bOÆ.
T É LEM A Q U E , ( Lut. ) Comment Hélcne difiipoit la
mélancolie de Télemaqiie. XI. 96. a. Du poème de Telema-
que. XII. 338. a. Suppl. IV. 438. b. Noeud de ce poeme.
XL 183. b. l’article Fénélon.
T É L EO LO G IE , {Phyfq. & Métaphyf.) fcieiicc descau-
fes fiiuilcs. XVI, 33. b. L’examen des caufes finales eft plus
dans l'ordre de la morale que de la phyfiquc , qui s’apau-
vrira toutes les fois qu’elle voudra étudier les faits dans les
motifs, 8c qu’au lieu de s’informer comment la nature opère ,
elle demandera pourquoi. La providence nous permet de
fuivre fes voies pour les adorer, non pas d’approfondir fes
vues. Aufli les matérialiAes connoilTent mieux la nature que
la plupart des autres phi'ofophes. Comme l’iiommc fe croit le
plus parfait de tous les êtres, il fe croit auin la caufe finale
de toute la création , Ibid. b. vayeq CAUSES FINALES.
TE LEPHANES, fculpteur ancien. X IV . 827. A
TELEPHE , grammairien-Xll. 334. b.
TELEPHiÜIDES , ( Botan. ) caraélercs de ce genre de
plante, üblervations fur fes cinq clpeces connues. X V L
36. J.
TE LEPHIUM, ( Botan. ) caraacres de ce genre de plante.
Scs efpeces. Defeription de la plus commune. Lieux où elle
croit. XVI, 36. A
Telephiurn , ufage que les Allemands font de cette plante
pour guérir les maladies par la tranfplantation. X V L
5 Î9-
TELEPHONE de S yc io iie , peintre Grec. XII. 270. b.
TÉLESCOPE. ( Optiq. & Ajiron. ) Etymologie du mot.
On doit regarder comme fabuleux ce quon dit des anciens
Egyptiens, qu’ils ont en la connoiiTauce des célefeopes. Jean-
B.iptiAe Porta , fi l’on en croit Wolfitis , eA le premier qui
ait fait un télefeope ; mais Kepler ayant examine Porta, déclara
qu’il n’uvoit fur ce fujet que dn> idées ablblumcnt con-
fufes. X V I . 3d. A Cependant cinquante ans après, on pré-
fenta au prince Maurice de NalTau un télefeope tic douze
pouces de long , fait par un Umettier de Middelbourg. Hif-
toire de la découverte du télefeope par ce Umettier nommé
Janfen. Ibid. 37. a. Aucun des artiAes qui firent des télef-
copes à rimitarion de Janfen, n’en fit de plus d'un pié 84
demi de long. Galilée fut le premier qui conAruifit de longs
télefeopes propres aux obfervations aAronomiques. Le P,
Mabilion cite une hiAoire fcholaAique de Petrus ComeAor ,
à la tête de laquelle étoit reprefemé Ptoloinée oblervant les
étoiles avec une lunette. Il y a deux remarques à faire fur
ce récit -, la premiere, que le P. Mabilion a pu prendre pour
une lunette ce qui n’en étoit pas une ; la fécondé , que cette
repréfentation de Piolomée a pu être faite long-tems apres
que le mamifcrit avoit été écrit. Ibid. A Divers favans, tels
([ue Galilée , Képler, Defeartes, Grégory,Hiiyghens, Newton
, ont contribué lucceAivcmenc à porter le télefeope au
point de perfeétion où il eA aujourd’hui. Defeription de différentes
fortes de télefeopes. ConAruélion 8c théorie du té-
L’ fcope de Galilée. Ibid. 38. a , A ConAruélion &l théorie du
télefeope aAronomiqiie. Ibid. 39. b. ConAruélion du télefeope
aerien. Ibid. 40. b. Télefeope de Huyghens qui fit connoî-
tre l’anneau de faturne & un de fes fatellites. Ibid. 41. a.
Table de proportion pour la conAruftion des télefeopes af-
tronomiques. Ibid. A Manière de raccourcir le télefeope af-
tronomique, ou de faire un télefeope qui étant plus court,
groiïira cependant autant les objets. Télefeope tcrrcAre ou
du jou r, que l’on doit au P. P%.heita. Tlicorie de ce télefeope.
Ibid. 42. a. Différentes fortes de télefeopes terreAres.
Ibid. A Du télefeope de réflexion ou newtonien. La premiere
invention de cetinArument appartient incontcAable-
ment au P. Merfenne , comme il paroît par un palTage tiré
de fa catoptrique, & par deux lettres de Defeartes .à ce pe-
re , que l’auteur rapporte ici. Ibid. 43. a. Jacques Grégorie,
géomètre écoffois, donna enfuite dans fon optica promota,
fa defeription d’un télefeope de cette cfpcce; Ibid. b. mais
il eut le chagrin, faute d’etre fecouru par d’habiles^ artiAes,
de ne point jouir de fa découverte. Il étoit réfervé à Newton
de prouver la poffibilité de cet inArinnent par des el-
fais heureux, 8c d’en montrerinconteAablcmeiit les avantages
par fes découvertes. S’il ne fut le premier qui en
ait eu l’idée, on ne lui doit pas moins, par U maniéré dont
il en établit 8c prouva les avantages , 8c par les foins qu’il
fe donna pour l’exécuter. Premiers artiAes qui 1 exécutèrent en
Angleterre. Ibid. 44. a. Autres artiAes qui les ont imités en
France. Raifon du grand efpace de tems qui s’écoula depuis
l’invention du télefeope de réflexion, jufqii’à ce qu’on parvînt
à l’exécuter. ConAruéHon 8c théorie du télefeope de
Grégorie. Ibid. b. Télefeope de Caffegraiii. Ibid. 45. *2. T é lefeope
de Neveton, Ibid, b. Table des dimenfions de quelques
T E M
ques télefeopes de la forme de ceux de Grégorie , 8c des
rapporrsdans lefquels ils groflilTent. Table des dimenfions 8c
des pofuions des deux oculaires. Ibid. 47. a , A Combien l’exécution
du télefeope newtonien doit être parfaire, pour en
obtenir l’effet defiré. Obfervation fur la muticre dont les miroirs
doivent être faits. Ibid. 48. a. Conipofitions indiquées
par M. Hadley, 8c .M. Paffemant. Pourquoi dans un télefeope
de réflexion, conAruit pour grolfir autant qu’un télefeope
de réfraiAion , l’image paroît cependant moins grande.
Recherches de MM. Enter, Dollond 8c Clairaiit, pour la
conAriuAion d’un télefeope dioptrique dans lequel les rayons
ne fe décompofent point. Ibid, b.
Télefeope. Cet iiiAruincnt inventé par Galilée, Suppl. III.
173. a. Son ufage fuhAitué en aAronomie à celui des pinnies.
XII. 643. b. ConAruflion d’un tube de télefeope. XVI.
733. a , b. Recherches de M. Hooke pour la pertéélion de
ces inArumens- X V II . 614.*/. Télefeope binoculaire. IL 238.
é. Télefeope fciotérif[iie. X IV . 797. b. Lunettes d’approche.
IX. 743. A 744. a. Télefeopes repréfentés, volume V . des
planches. Optique , pl. 4 , 8c AAronom. pl. 26. InArument
qui peut fervir de microitope 8c de télefeope. Suppl. 111.
929. a , b. 930. a , b. Pieces du télefeope appellees genou,
Suppl. III. 204. a. 8c oeilleton. Suppl. IV. 116. b.
TE LESIU S, {Bernardinus) philofophe napolitain. XII.
7 1 . a , b. 72. a.
TELESPHÜRE , {^Lht. & Aiythol.) c’étoit un dieu que
les Grecs invoquoient pour la fanré. Médailles où ce dieu,
la déclfe Hygeia 8c Efculape font repréfentés. Télcfphorc
adoré près de Sic yo n e , fous le nom d’Evamérion. Conjectures
de quelques antiquaires fur la figure emblématique de
ce dieu. Attributs qui lui furent appropriés. Auteurs à con-
fulter. X V I . 30. a.
T E L L , {Guillaume) libérateur de la SiiifTe. X V . 647. é.
Lieu oil il tua le gouverneur autrichien. V llI . 2^4. b.
TE L LÉ G IE , {Hifl. nat.) liqueur que l’on rire dans l’ifie
de Ceylan , d’un arbre appelle hétule. Sucre qu’elle fournit.
X V I . 30. a.
T E L L E N O N , ( Machin, mil. Antiq. ) ou corbeau à cage.
Sa defeription. Suppl. IV. 931. .r. Ulage qu'en fit Hérode,'
au rapport de Jofephe, pour déloger 8c détruire un grand
■ nombre de brigands qui s’écoiem retirés dans les cavernes
8c les crevaTes de cerrains rochers, 8c de montagnes inac-
cellibles , pendantes en précipice. Réflexion fur l’ufage de
cette machine. Ibid. b.
T E L L IE R , ( Michel ) confeffeur de Louis-le-grand. XVII .
324. A Ses manoeuvres contre les janféniAes. 382, é.
T e l l ie r , {François-Michel U ) marquis de Loiivois. Ses
foinsà enrichir la bibliothèque du roi. IL 239. a. MiniAre de la
guerre fous Louis XIV. Suppl. 111. 810.^.
Tellier , code le. III, 384. a.
TELLINE ou Ténille, {Conchyl.) coquille bivalve de la
famille des moules, Ses caraéleres. On range les tellincs
fous trois claAes ; les tellines oblongues 8c plates, dont les
côtés font égaux , les tellines oblongues, dont les côtés font
inégaux, les tellines applaties 8c tronquées. Efpcces renfermées
dans chacune de ces daiïcs. Defeription du poilfon logé dans
la te llin e , 8c de fes allures. X V I . 30./’.
Tellines, coquilles dé me r, IV . 188. A vol. VI. des planch.
Règne animal, planche 71.
T E L L U S , ( Mythol.) voyct' T erre, Cette décAe adorée
fouslenomdeFécondiié.Vl.463 . ATemple sde Tclius. XVI
79. <1.
TELMESSE, ( Géogr. anc. ) ville maritime aux extrémités
de la Lycie. Cette ville fut donnée à Eumeties après la
défaite d’Antiochus. Naturel prophétique de fe< habit,ms.
Reponfc que Gordius y reçut de la premiere pcrfo.nne qu’il
vit à l’entrée de cette ville 8c qu’il confulta. Origine de l’ef-
p ritde divination qui fe faifoit remarquer chez les Telmcf-
ficns. OTervations fur TelmeA'us , fondateur de cette
v i l le , XVI. 31. a. Sc fur ArlAandre dont elle fut la oatrie
Ibid. b. ^ '
T E LO N G O U , Alp h a be t,{L in .) vol. IL des planches ,
Caraélcre, pl.mche 19.
_T £M A , {Géogr. anc.) pays , diArifl , province. L'empire
divifo depuis le régné d'Hcracliiis en diflrlfls appelles
««MüTo. Cette clivifion ne regardoit que l’ordre civil. X V I
32. J.
T EM BR IO N , efpeced’infcélc , vol. V I. des planches, Régné
animal, planche 77.
T E M E m P O R T A , •( Géogr. a> JC.) ville de la Lydie. X V I. I
52../.Tombeau d’imgé.am trouvé dans ce lieu. Ibid. b.
TÉMÉRITÉ, ( Gr,/m(7j. ) différence entrehardieA'e & témérité.
VIII. 43. U. Propofition notée de témérité en matière de
foi. II. 810. a.
T EM G TD , {fetmc de Rgijiio/i) nom d'une pricre que les
Turcs doivent faire à minuit. Coimircnr ils s’en difpenfeiir.
Cette pricre ordonnée aux funérailles. X V L 52. A
TEMNOS , {Géogr. anc.) ville de l’Afie mineure dans
lEolidc. Médailles où fc trouve le nom de cette ville
Tome IL ’
T E M 7 B
ou de fes liabtrans. Autre Temnos dans l’Ionie. X V L 37, ^
TÉM OIGN AG E , ( Jurijpr. ) témoignage dom;.Ainu''
Faux témoignage. XVI. 53. a. '
Témoignage : de celui des doineAiques. V. 30. b. Du témoignage
des perfonnes notées d infamie. VIII, 697. a.
Tii"^ ^ ^ tcAimoniale. 111. 893. U, Ce qui contribue à étcmlrc nos connoifiiu.ces
par rapjjort aux fubAnnccs corporelles, c’ efl le rcmofgn.igc
des hommes. 894. a , b. La plupart des théologiens pav ent
que' la croyance , conreiiue dans le fymbole , n’>.Ü fondée
que lur le témoign.ge. IV. 317. ,7, Dieu veut que nous
ayons recours, dans une infinité de cas , au témoigimge des
autres. X V . 27. b. Comment nous devons nous conduire à
l’égard des faits qui nous font tranfmis, 383. b. XIII. 397.
b — 399-_ b. Comment lu preuve du témoignage peut conduire
lefprlt à une certitude parfaite. Il, 846. a , b, 8cc.
Degré de certitude qu’acquiert un événement peu vraifem-
blable par le nombre & la qualité des témoins. VIIL 224. a.
D e la vraifemblance qui le tire du témoignage des hommes.
XV II . 483. a , b. Confulérat ions fur les diffticns degrés
de force du témoignage, félon la nature des faits qui
en font l’objet. I. 180. a. Il n’y a jias deux hommes fur
la terre, fur lefquels la preuve du témoign.ige falTe la tnéme
imprcffion. VI. 384. a. Ouvrage oit l’on trouve le calcul
de la crédibilité du témoignage htunain. IV. 443. a. Du témoignage
desfens. X V . le^.a ,b , 8cc.
T£.MülGN.'\GE,(Crif/^./éc/-.) différentes fignifications ils
ce mot dans l’écriture. X V I. 33. a.
T ÉM O IN , {Jurifpr.) la décla ration des témoins eA le
genre de preuve le plus ancien. X V l. 33. a. Un Icul témoin
ne fait pas preuve. Des perfonnes qui penvenr, 8c de
celles quille peuvent pas témoigner. De la preuve par témoins
en matière pécuniaire. Ouvrages à confulter. Ibid. b. Témoin
auriculaire , confronté , corrompu , domeftique , faux ,
idoine , inAriimentaire, irréprochable, muet , nécefiaire ,
oculaire, recollé, Ibid. 34. a. répété, reprocliable , reproch
é , requis, témoins fmguliers , témoins en fait d’arpentage
8c de bornes. Ibid. A
Témotn. Des preuves p.ar témoins. XIII. 333. A Ce que
les Romains entendoient par clajfici tejles. Ifl. 307. a. T é moins
f'ynodanx, X V . 753../. Des inrormatioiis des témoins.
V I f l. 7 3 9 . Dépofiiion des témoins. IV. 863. b. Leurcon-
fromaiion avec raceufi. IIL 860. a. Confrontation appel'ée
figurative. 861. a. Répétition des témoins. X IV . 133. a.
Leur récollement. XIII. 837. a. Etiqueter des témoins. VI.
38. A Moyens qui ont été employés ppnr éprouver la fidélité
d'un témoin. III. 860. a. Témoins appelles autrefois
compurgateurs. II. 333. h. Serment des témoins dans
les anciennes purg.atiofts canoniques. XIII. 379. a , b. Ufa^^e
qu’on faifoit du ferment des témoins par la loi des Francl-
Ripuaires. IX. 69. A Moyens employés contre les témoins.
149. a , b. D e la fubornation des témoins. XV, 371. b. D ’un
témoin acculé d’ivrognerie. XV'II. 684. a. Rcculation des
témoins. X llI . 873,'</. XIV. 149. u,i>. D e la peine du fau.x
témoin. V I . 441. b. Commeiu les anciens délignoLcnt im faux
émoin.XVl, 134,é.
T émoin, ( CWr/^.ylicr.) articles de la loi de Moïfc fur les
emoins. Différentes acceptions du mot témoin dans l’é cri'
lire. XVI. 3 4. A
T émoins , pajfage des trois, { Criliq.facr. ) c’eA le paAage
contenu I. Jean v. 7. Obfervations fur l ’authenticité de ce paf-
fage. X V l. 34.é.
Témoins, pajfage des trois. Obfervations fur ce paffase.
XVII . 399, i . 613. é. 738. i.
T émoin, { A n ill.) morceau d’amadou demêmedimen-
fion que celui dont on fc fort pour mettre feu à la mine. Son
ufage. X V l. 33.^.
Témoin , terme de commerce de b lé , de cordeiir de bois, de
jardinage &<!erelie tr. XVI. 33, a.
T EM P A T L A H O A C , {O n h h .) defeription de cet oifeau
des Indes occidentales. XVI. 33. ,T.
TEMPES, ( ) CCS parties font particuliérement
formées de deux os appelles temporaux. Etymologie de ce mor.
XVI.53. a. Voye:;^ T e.MPLE.
TEMPÉ , ( Géo^r. ) vallée de TheAjilie. XV'I. 33. a.
Contrée de Theffalie oit elle étoit placée : citations de divers
auteurs fur ce fiijct. Defcriprions de cette vallée par Procope,
8c par Titc-Live. X V L 33. b. Délices de ce lieu félon les
poètes. Ibid. 36. a.
Tempe, vallée de. XVI. 277. a. Comment clic a été formée.
X IV . 604.
TEM P ÉR AM EN T , {Philofoph.) origine de cette expref-
fion appl'qiiée à l’iiabitnde ou difpofuion du corps. Les auteurs
diüingucnt deux fortes de tenipcraniens, l’un qu'ils appellent
uniforme 8c l'antre dift'ornie. Diverlès combinaifons
de tempéramens. XVI, 36. a.
T empérament , {Médec.) origine de la diffinflion des
tempéramens, en bilieux , fanguin , phlegmatiqne & mélancolique.
Galien introduifit dans la médecine , la doéirine des
E E E E e c e c ©