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668 SEP
6c line reinmc non commune. VI. 476. /■ . Femme féparée
47S. b. Séparation pour caufe de démence. IV. 808. b. Em-
pcdieinens diriinans. V. 573. b Lettres de féparation. IX.
429. .1. Pour ordonner la Réparation de corps., il faut qu’il
y ait des lévices de la par: du mari. X V . 132. b.
SÉPARATION, D'ißnHion^ Divcrjjré. ( Synon. ) IV. 1039. b.
Sé par a tio n , ( Chymk ) Deux Ibrtes de réparations 3 celle
des corps unis ciiymiquemenr, Si celle des parties des corps
aggregés. Voyci OPÉRATIONS CHYMIQUES. Les deux inf-
trumens généraux d e là féparation chymique, proprement
d ite , font le feu Sc la précipitation. Inflnmiens des lépa-
laiions difgrégatives. X V . 61. u.
Scpjr.:iion. Vaiffeau pour féparcr des liqueurs. Vol. III.
des pl. Chyniic , pl. 13.
S e p a r a t io n , ou départ par la voie fcchc. ( Metall. Chymie ,
&• .■ ins. ) La maniéré dont l’or uni avec l’argent s’en iépare
par la voie humide , eft décrite au mot départ. Cet attielc-
ci eft extrait d’un mémoire de M. de Ju(H, dans lequel il
décrit avec beaucoup de clarté les procédés à liiivre pour
faire le départ par la voie feche , 6c obtenir par là une malTe
réguliiie, alTcz pure. X V . 6 i. <r.
SÉPARATION, {^£conom. animale') difference entre la fc-
paradon 6c la fecrction des liqueurs. X V . 63. é.
SÉ P A R A T IS T E , {Hiß. ecd .) nom commun en Angleterre
à toutes les feéles qui ont établi des égliles féparées ,
par oppofition à la religion anglicane, b feule autorilée par
la loi. Hiffoiredes féparatiftes. Chefs qu’ils ont eus. XV.
63. b.
SEPARER, Ecarter, Eloiper , {Synon.) V. 222. .2.
SÉPHARITES . ( Hiß. mod. ) feéle de Mahometans. Leur
doéirine C>ux d’enire les Mahometans qui leur font le plus
oppofés, font les Moata:;^ii!ites. X V . 64. a.
SÉPHIRO TH S, ( réco/üg. ) noms des dix féphiroths des
cab.illffes, par Icfqiiels ils entendent le.s perfeélions de l'ef-
fence divine. Maniéré dont ils les repréfcntent. XV. 64. a.
Canaux qu’ils ont imaginés, par où les influences d'une fplen-
deur ou d'un féphiroih fe communiquent aux aunes. D éveloppement
de cette doélrine cabaliflique. Ibid. b. Tableau
des relations des léphiroths , avec les noms de D ieu , les
anges, les planètes, 6cc. Ouvrages à confulter. Ibid. 65. a.
Sephhoths de la cabale expliqués. IL 481. b.
SÉPHORA , rrorapcT/e, {Hiß. facr.) fille de Jethro, &
femme de Moife. Quelques événemens de fa vie. Suppl.
IV . 779, b.
SÉ P IA , ( Géogr. anc. ) montagne du Péloponnefe. Serpens
que cette montagne engendroir, X V . 65. a. Tombeau d’E-
jiytluis qu’on y remarquoit. Ibid. b.
SEPS, {H iß . rat.) animal qui tient le milieu entre le
ferpent 6c le lézard. Sa defeription. Sa fécondité. Lieu où
011 le trouve. X \ '.6•). b. Hoye^ù figure , vol. VI. des pi. Regne
anima]. pl. 28.
S E P T , ( Critiij. facr. ) nombre myfiéricux chez les Juifs.
X V . 65. b. de là vient que pour s’accommoder à leurs préjugés
, les auteurs facrés l’ont fi fouvent ramené dans l'écriture.
11 étoit conl'acré aux cérémonies de la religion. Il
entroit dans certaines exprclTions proverbiales. Ce même
nombre étoit affcéfé chez les païens, tant à l'égard des
autels, que des vlfliines qui dévoient être immolées. V enu
magique qu’on lui attribuoit, Ibid. 66. a.
Sept. Propriétés de ce nombre félon les Platoniciens, IV.
474. b. 6c felon les Pythagoriciens. XI. 203. b. Combien
il étoit t-n honneur parmi eux. IV . 474, i . La confidéra-
tion attachée à ce nombre, fut caufe que Juflinien divifa le
digefle en fept parties. 996. a.
S E P T A N T E , vcrßon des. {Critiq. facr.) Le livre le plus
ancien ciii parle de cette verfion, porte le nom d 'Â 'ifé e ,
6c eft parvenu jufqu'à nous. Extrait de fa relation. XV , 66.
a. Ariltooulc, juif d'Alexandrie, efl le fécond qui en parle,
mais il ne nous refle de fon livre que quelques frngmcns.
Après Ariftobule , vient Phüon , autre juif d’Alexandrie. Ibid.
b. J ofephe qui a écrit vers la fin du premier fiecle , s’accorde
fur ce fujet avec Ariflée. Merveilleux que Jiiflin martyr a
ajouté à la relation du même fait, & que le gros des peres
qui ont vécu depuis, ont adopté. Eplphane , évêque de Sa-
lamine en Ciiyprc , en 368, a donné enfin une relation
fur cette traduélion , différente de toutes les autres. Obfer-
varions critiques de l’auteur fur ces différentes relations,
6c fur la verfion elle-même. Le livre qui porte le nom d’A-
riftée eft une fiélion manifefte. Ibid. 67. a. Le récit d'Arif-
tobule n’ell tiré que de celui d'Ariftée. Ibid. b. Remarques
fur cet Ariftobule. Quant à Pliilon , fes additions à l’hif-
toire d'A riftobulc font tirées des traditions reçues de fon
icms parmi les juifs d’Alexandrie. Crédulité des peres de
l'églife qui ont adopté ces traditions. Ibid. 68. a. Preuve
particulière de la crédulité de Juftinmartyr. Obfervations
fur In relation d’Epiphane. Hiftoire de la verfion des fep-
tame, plus vraifemblable que les relations précédentes.
b. Il falloit que l’exemplaire de cette verfion qui apparte-
noità labiblioilieque d’A lexandrie, fût bien négligé, puif-
,S E P
qu’aucun des auteurs grecs ou latins qui font parvenus jul-
qu’à nous , n'en a jamais parlé. La cmiofité p ur cette verfion
fe borna à la feule nation juive , 8c les cxemplairesue
s’en répandiient que quand l’évangile fe fut étendu à toutes
les nations. Mais à mefiire qu’elle gagiioit du crédit parmi
les chrétiens, elle en perdoit parmi les Juifs, qui fon-
gerent à fe procurer de nouvelles verfions de leurs livres
facrés. Ibid. 69. a. Editions que firent les anciens, 6c qu’ont
faites les modernes de la verfion des feptame. Ibid. b. Verfion
latine de ce même ouvrage. Quel eft le plus ancien 6c le
meilleur manuferit des feptame. Hiftoire de ce maïuifcrir.
Edition entreprife fur ce maiiufcric , mais qui n’a pas été
achevée. Ibid. 70. .^. Ouvrages à conl'ulter. Ibid. b.
Septante, verfion des. IX. 29. a. Comment elle différé des
textes facrés fur la chronologie ancienne. III. 394, n. Moyen
de la concilier avec eux. 393. a. Coi reélion de cette vcifioa
par Origene. XI. 646. b. 647. a ,b. Edition que Bos en a donnée.
XVII , 641. b. Jeûne des Juifs en mémoire de cene verfion.
V n i , 343. b.
S E P T -D O R S ,o u maille de fept doigts, {Pèche) forte de
filet. Sa dei'cripiion 6c fon ufage. X V . 70. b.
SEPTEMBRE, {Lalend. rom.) Maniéré dont on repré-
feiitoit ce mois perfonnifié. Fêtes des Romains dans ce mois.
X V . 70. b.
Sep tem bre, {A g r k .) mois du calendrier romain. Suppl.
II. 122. Travaux du laboureur en ce mois. I. 187. a.
SE P TÉN A IR E , régent , ( Junfpr. ) Celui qui a profelTé pendant
fept ans dans i’univerftté de Paris. Privileges des régens
lepténaires. Ouvrages à conliilrer. X V . 71. a.
Septénaire, régent, VU . 810. a. gradué. 811. a.
SE P TEN TR IO N , {Hß/on.) La conftellation du nord,'
ou le nord même. Ufages du mot fepte/iirional. X V . 71, <2.
Septentrion. Etymologie de ce mot. IV . 600. b. X L 226.
b. Foyei No r d .
S eptentrion , ( Amiq. rom. ) nom que l’on donnoit à une
efpece de mimes ou daiifeurs.Defcnption de ces fortes de gens
d’après un bronze antique. XV, y i. b.
Septentrion , ( Geogr. ) l'un des quatre points cardinaux.
Origine de ce nom. X V . 71, b.
SEPTERIE, {Anciq G.’-ecç. ) fêteqii’on céléhroit à Delphes
tous les neuf ans, en mémoire de la viétoire d’Apollon fur
le lerpent Pytlion. Tradition des Delphiens fur ce combat. C érémonie
de la fête. X V . y i.b.
SEPTFO NT S , ( Géogr. ) abbaye de l’Autunois. Suppl. I.
7 1 1 , J.
SE P T ICO L L IS , {Géogr. anc.) Diverfes augmentations
fai'es à la ville de Rome, depuis Romulus, jufqu’à Servius
Tu llius, fous le regne duquel elle niérica le nom de SepticolUs.
X V . 71. b.
SEPTIEME , {Mußq. ) Quatre forte.s d’intervalles de ce
nom. Trois accords de feptieme, X V . 72. a.
Septième. Différentes clpcces d’accord de fcpticmc. Regies
fur leur ufage. Suppl. IV. 780. a.
Septième, accord de. IV. 1030. V IL <7. h.Suppl.V,. 333.
l.Supp!. IV. 874. L 8 7 3 . .2 , /r.
SEPTIER , mefure jcche, {Cûmm. ) contient 7940 7 pouces
cubes. Ufages de cette inefiire dans le commerce. Poids
d’un leptier de bled. Quantité de farine qu’il rend par fa mouture.
Poids du pain qui en réfuite. Confommation moyenne de
bled par an pour chaque homme. Du prix du feptier de bled à
Paris ; celui de diftérciues années. Ouvrages à confulter. Q uel
étoit le prix du blcti en 1304, fous Plnlippe-le-Bel.SKp^iI. IV .
^ S E P T IM AN E ,/ r v re , {Médec. ) V I. 738. b.
SEPTIMANIE , {Géoj^r.) partie de l’Aquiraine dont s’empara
Euric , roi des Viligoihs. Diocefe qui étoit compris dans
cette province. H iftoire de la Septiinanie.J owr L an g u e d o c .
X V .72, b.
S E P T IQ U E , {Mdt.méd.extcrne)rimnàs qui corrode les
chairs. Etymologie du mot. Mémoires à confulter fur les re-
medes feptiques. X V . 73. a. L ’ean de chaux 6c le quinquina
font d’excellens anii-feptiques. Ibid, b.
Septique, vertu : celle de la craie & des fubftances teftacées.
X lll, 388. b.
SEPTIZONE de L’empereur Severe. { Antiq.) Vol. I
des ni. A nt iqu ité s .
SEP TU AG É S IM E , {Théolog.) troifieme dimanche avant
le carême. Origine de Ion nom. L ’excrcice de la juftice étoit
fufpendu en Angleterre , depuis la feptuagéfmic jufqu’à la
quinzaine de pâques, 8cc. X V . 73. b.
Sepcuagéfime, cems de la. VI. 372. <2.
Se p u l c h r a l . ( Amlq.) Lampes fépulchrales. IX. 233. k.
234. a. Statues fépulchrales. X V . 300. a. Voûtes fépulchrales.
X.VII, 514. Niches fépulchrales. III. 661. i. XVII . 4S9. A
S E PU L CH R A L IS pecunia. {Anc. droit anglois) XII.
234. a.
SÉPULCHRE , ( Hiß. ) voyej^ T omb e au. Différens
noms qu’on donnoit autrefois aux fépiilchres , felon la
dignité des perfonnes qui y étoieni enfevelies. Colonnes
fépulchrales
S E R
fépulchrales qu’on nommoit columcllce. Lieux appellés exqui-
lies. Pierres ou tables affifes fur de petites tombes. Pierres fé-
piilchrales creufées en forme de baflin. Niches appellees
baria. d e Rome où l’on voyoir des fépiilchres de petites
gcii.s c i d clclaves. Signification des mors tacito nomine, qu’on
Iifoit fur quelques fépiilchres. Ibid, y a,, a.
Sepulchre de la jaime Vierge. ( Hiß. cccl.) Différentes tia-
ditions fur le lieu de ce fépulchre , toutes également incertaines.
X V . 74. i .
SÉPULCHRE des Juifs. { Critiq. facr.) Les Hébreux crcii-
foictu leurs tombeaux dans le roc , lorfqu’ils ctolent en plein
çiiamp , ils metroient une pierre taillée pài'-dcffus , 6c ils les
icblanchifloicnt tous les ans. Habiter les/c/ttt/c/rrw, pratique fii-
' pcrftiiieufe reprochée aux Juifs. Acceptions figurées du mot
/ç>///c/;;vdansrécriture fainte.XV. 74.^.
Sii'PtdLQWVCL,Ordre du faint {Ordre milit.) Son inftitution.
Reunion de cet ordre à celui de S. Jean de Jérufalem. X V .
y 4. b.
SÉPULCHRE, {H iß . eccl.) advQué du faint-fépulchre. I.
133. <2. Garde du Ihint-féptikhre. V IL 482. b.
Sepulchmm, Monumentuni, {Anliq. rom. )
Differentes fignifications de ces mots. XV. 74. b. Les païens
ne sinquiétoienr pas du fépulchre, mais beaucoup de la fé-
pulture. Les inonumens viiides écoient appellés cénotaphes
par les Grecs. Ibid. 73. a.
SÉPU L TU RE, Le droit defcpulnire eft fondé
lur la lot d e l humanité, 8c en quelque façon même fur la juftice.
Principe fur lequel font fondées les loi.x qui privent de
la fepiilture ceux qui ont commis de très-grands crimes. XV.
73. il Les loix de la guerre ne s’étendent pas jufqu’à refiifer 4a icpulnire aux morts de l’armée ennemie. Ibid. b.
S epultup.e , {Anriq. grecq. & rom.) L’aiuiqiilic a regardé
la lepiiltme des morts comme un devoir inviolable, Coutume
lies Egyptiens à régarti^de cenx qui avoicnc mal vécu.
En quel ^nis l’iifi-ge de brûleries corps fut établi chez les
K-Oiiiains. Fciaonne 6c meme les criminels, nepoiivoiciu être
pnves de la lépiilture parmi les Juifs. La loi des douze tables
ne permit la fepiilture dans la ville de Rome qu’aux
vsüales ^ .a un petit nonibre de particuliers. X V . -re. b.
L oi c! Aonen contre les fépultiires dans la ville. Lieux où
les Koraams établirent leurs tombeaux hors de l’enceinte de
Koine, ibid. 76. a.
Sépulture. Sort des ombres de ceux dont les corps étoient
fans feinihure. XI. 466. a.
Sépulture ifcj C/titioir. {Hiß. delà Chine) Lieux de leur
iepiiliure. Defeription de leurs fépiilchres, tant des pauvres
que des grands 8c des mandarins. X V . 76. a.
Sépulture des Chinois. D u lieu de leur fépuitiirc 8c de celle
des Tonqiimois. VII. 372. a. X V . 949. a.
Sépulture que \cs Parfis donnent à leurs morts. XII. 84. .2.
Sepul tu re, ( Critiq. facr.) La féptilture étoit chez les Juifs
un offee de charité. La privation de la fépuinire eft une menace
faite par les prophètes aux Juifs impies, X V . 76. a. Tombeaux
oes Juifs. On croit que du tems de Jéfus-Chrift après
avoir préparé les co rps , ils les pofoieiu liés de bandes Sc enveloppés
d’un linceul, fur de petits lits, 6c les plr.çoient ainft
dans lesgrottes qui étoient leurs fépulchres. Dès qu'un homme
etoïc mort, fes parensdéclùroientleurs habits, fe frappoient
la poitrine , 8c mettoient de la cendre fur leurs tètes. Ibid. b.
S épulture , ( Hiß. eccl. Jurifpr. ) lieux qui fervent à la fé-
pultuve des fideles : différence fur ce point entre les anciens
Romains 6c nous. IIL 373. é. Comment on enteiroit les corps
des perfonnes excommuniées. VIIL 366.U. Droits de féptti-
ture. IV. 416. b. Droit.s 6c devoirs dc.s curés par rapport aux
fépultiires. 373,12. Voye^ En t e r r e r , Inhu.mer.
) Celles des Mahometans. X V . y6.b.
oEQ U A N O lS , les ( Géogr. anc. ) peuples de l'ancienne
Oaule. Jiornes de leur pays. XV, 77. a.
S EQ U E ST R E , {Jurijpr. ) Difi'érence entre le fcqueftrc 8c
le commiffaire ou gardien. Maximes de jurifprudence fur la
nomination 8c les devoirs du fequcflre. X V , 77.^.
Sequefire ,fentence de. III. 764-/2.
S ER A I, ou Séray. ( Terme de relation) nom du palais du
grandfelgneiir, qu’on appelle mal-à-propos/ér/-^tfi De ce mot
eft forme celui de caravanferai, hôtellerie publiciiie X V
77. h.
S E R A N ,5<r/27t « r , ( Tifierand) Defeription des ferans, outils
a preparer les chanvres, 6c de la manière dont fc fait cette
preparation. X V . 78. a.
SERAPÉON , {Anriq. d’Egypte) temple de Sérapis cti
Egypte. Sa defeription. X V . 78. a. Ce temple bâti par Ptolé-
m e e , fils de L a^ s , fut détruit par rcmpcreiir Tliéodofe, à la
lollicitation de Théophile , patriarche d’Alexandrie. Relation
dclcmciiteaiTivcç à cette occafion. Bibliothèque de Sérapéon.
Ibid b^^ 'e leptieine fiede par les Sarraffns.
Defeription du fameux temple de Sérapis , repré-
feme en mofi.que, X. 748, 4 Bibinnhoqne de Sfmpion. II.
230. d. I emple deSerapis. X V I . 78 ^
Tome II. ' ' '
S E R 669
SÉRAPHINS , ( r//eo/e^.) anges du premier ordre, Etymologie
du mot. Paflage unique de l’écriture où il en eft parlé,
fignifications de ce mot dans l ’ancien teftament. XA-.
■ infula ( Géogr. anc.) iffe fur la côte de l’Aramc
hcitreufe. Sa largeur. Scs anciens habltans. On croit que cette
nie eft aujourd’hui X V . 79. a.
S É R A P lO N , peintre de décoration chez les Grecs. XII.
264. b. Deux médecins de ce nom. X. 290. b. Do£trine de Serapion
8c de Pliilinus fur 1a faignée. X IV . 301. b.
SÉRAPIS , {Myth. Médaili. inferip. Monum. Pierres gravées
O* Littér. ) grand dieu des Egyptiens, connu , fdon toute
apparence, par ce peuple, long-tenis avant les Ptolémées.
C étoit le dieu tutélaire de l’Egypte en général, 6c de plufieurs
de fes Villes, en particulier. On l'adoroit principalement à
Alexandrie. Q uel étoit ce dieu ; comment on le repréfentoit.
X V , 79. a. Les païens piiblicrein que les Juifs Sc les Egyptiens
adotoient Sérapis. Temples de ce dieu , voyc^ Sérapéon. Relation
du tranfport de faftatue, de la ville deSinope dans le Pout,
à Alexandrie. Vefpnfien va confulter ce dieu , 8c paffe pour
avoir fait des miracles par fa puiffance. Ibid. b. Le culte d’ifis
& de^ Sérapis établi par les Athéniens dans la Tlirace 8c fur
les cotes du Pont-Eiixin. Autres lieux où Sérapis fut révéré.
Comment fon culte fut introduit chez les Sinopiens. Combien
ce dieu fut accrédité dans Rome. Ce Sérapis figiiroic
Jupiter qui commande au ciel 8c .à la terre , 8c le dieu
Plutiis ou Pluton qui prefide aux enfersà & tous les lieux foti-
terreins, fur-tout aux mines. Co.mment on le rejjréfentoic
fur les médailles. Ibid. So. a. Ouvrages à c o n f u l t e r . b.
Sérapis. Du tems où ce dieu fut apporté en Egj'ptc. XL
332. /2, Deux oracles de Sérapis; I’mi en E g yp te , l’autre
à Babylone. 339. b. Ce dieu adoré à Sinope. X V . 216.
b. S.tm temple à Cnnope. Suppl, i l . 213. b.
SLRARIUS ( Nicolas) favanc jéfuite. XIII. 782. a.
SERASKER, ou fiéraskier, ( Hiß. mod. ) nom que les Turcs
donnent à leurs généraux. On les choifit parmi les .hachas
à deux ou trois queues. Q uel eft leur jioiivoir. Le bacha
de Siliftrie porte toujours le titre de fiéraskier. X V . Sr.
^ SE llp EN - G IE C H D I , {H iß . mod.) milice turque qui
n’eft point fur un pied fix e, mais qui eft levée -bu caffée
au gre du fultan. Valeur des foldats de cette milice, Récom-
penp de ceux qui ont fervi dans ce corps. X V . 81. <2.
SERDZKAMEN , cap au iiord eft de l’Afie , A s ie ,
SEREIN, {Médecine.) voye^ RosÉE.
SER EN A , la {Géogr.) ville d’Amérique au Ch ili, que
les Efpagnols ont enfuitc appellee Coqiiirnbo. Sa defeription
8c fon origine. Son port. Dépopulation du pays par les Efpagnols.
X V . 81. b.
SÉRÉNISSIME, (Hiß. mod.) Princes 8c républiques à
qui ce titre appartient. X V . 81. b.
Sérénifftme. Premier prince qui a pris le titre d’altefte féré-
ntlnme. I. 304. b.
SÉRbNITÉ de l ’ame, {Morale) vertu momie qui a fa
foiirce dans l’innocence 8c le tempèrarneiu- Defcripcion 6c
éloge de cette aimable difpofition. X V . 82, a.
Sérénité. {H iß . mod.) Princes aiixquek a appartenu ou
appartient aiijourd’lnii ce titre. XV. 82. a.
SÉRÉNUS, faux meftic. X. 407. a.
SERES, les {Géogr. anc. ) Les Seres occupoient la Chine
feptentnonale 8c une partie de la grande Tartarie orientale.
X V . 82. a. Erreurs des anciens fur ces peuples. Ils font les
premiers qui ont travaillé la foie. Quand 8c comment l’u-
fage en a été connu eu Europe. Ibid. b. Fove^ Seriqu e.
SERF. {Jurifpr.) Les fervitiides perfonnellcs abolies ou
mitigées fous les rois de la fécondé race. Serfs de la glebe
chez les Romains 8c en France. Q uel fut l’état des ferfs du
roi 8c des feigneiirs dans ce royaume. Il eft refté des vertiges
de cette efpece de fervitude dans les provinces régies
parle droit écrit, 6c dans quelques-unes de nos coutumes. Dans
quelques pays , les hommes font ferfsde corps. XV. 82. b. Dans
d autres , ils ne font ferfs qu’à caufe des heritages qu’ils tiennent
du feigneur. Differentes maniérés dont cette fervitude fe
forme. Droits des feigneurs fur leurs ferfs. Etat civil des ferfs.
Ouvrages à confulter. Ibid. 83.0.
S erf L’état de ferf m oyen entre celui d'efclas^e 8c d’homme
libre. V . 940. A II y a encore lians quelques coutumes, des
ferfs de main-morte. Ibid. Serfs d’Allemagne. XV II . 408,
a , h. Etat des ferfs en Pologne. XII. 930. a. 931. h. 932!
/2. Efpece de ferfs qu’on appelloit cuverts. IV . 366. A Anciennement
, un roturier qui étoit franc dans un lieu , deve-
noit quelquefois ferf dans un autre. V . 729. a. Serf coutumier.
IV . 419. b. Serfs défignés par le nom d'hommes 6c
femmes de corps, VIII. 280. a. Habitation des ferfs. lîL
299. a , b. Suit« de perfonnes ferves. X V . 649. b. Tadle
ferve. 843. b.
Serf abonné , X V . 83. a. bénéficia!, café, de corps Sc
de pourfuite , coutumier, de dévotion, de douze deniers,
cccléfiaftique, fifcal ou fifealin, fonc ier, de forma-
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