i 8 E U fKiuc le çenre dirometlquc. V l l l . ' " f j ? ^ f " '
Jeux M- Ce/!er fi' Jc Pollux, {Auu.,. re»,.) Quelle tu. 1-occef.on dc cesje.ix- Cérémonie qui s y pouquon. > »j'rj
Ca-Stok et Pollux. V m . 517. P
Jeux C»,»/«, »»,».) \ÜI. sV- *■ ... . ^
hux a e om le s ,! . 180. i. aéliaques, i i 7' apo'
„ I . .,. Je-nx dn cirque. III. 4- 6- nommes chryfantina,
célébrés i. Sardes. XIV. 653. i. Jeux calii.olams, 11.
dai. coufuales. IV. 100. .r. Jeux clcuihencns célébré, a
Platée. Vlll. Î18. .,. Xn.719. a. Jeux tlnraux VI. 873. ie
Jerrx funèbres. VII. 694. J-'eyr-FuSEitAlLLES Jeux syntm-
ques. VII. 1019. i. Jeux ifélaffiques, V l l l 911. t- ‘ -Ih-
mieus, 950. i. iuveuaux. IX. .0;. ». Jeux eu honneur des
dieux infernaux. XV. 941. é. Jeux Lucnlhens, IX. 714. P- lydiens,
774. t. martiaux, X. 165. ». mégal.fiens, 301. t. ne-
rnéens, XI. Sii. b. 90. ncroniens, ,03. J. olympiques. 436.
» , 4. 4 3 7 .» , 4. Jeux ofqucs chex les Rouiauls. VIH. 684.».
appelles pancarpes , 8 i i . a. paneüciiiens. Sap/?/. IV . 230.
Jeux périchore.SyXIl. 337- plcbeieus, III. 438. XII. 734-
i. pyilmuies. XIII. 632. a-Jeux quinquennaux. 716. Jeux
roniains, ou eramls jcu.x. X IV . 340. b. Jeux facres, 476, è.
fcéniques. IX. 333. b. X IV . 734. iecula.res,
illuminations dans ces folemmtés. VI. 637..^- Differentes lortes
d'animaux que l'empereur Philippe fit paroitre dans ces jeux.
X IV -30. b. .irticies fur ces fê tes, 882. j , b. 6>c. Jeux
fth én ien s ,X V .3 iS . u. Jeux filves, 723. b. tarpeiens , 913-
b. taurillens, 941. b. tércntlns, X V I. 1 34- .a. troyens, 688. b.
trophonlens. 70Ö. b. Jeux de la viitoire. X V l l . 243. u ,
b. Jeux votifs. 472. b. X 1 •
Jeux des enfuns de Rome. ( Hiß. rom. ) efpcces (le jeux
des enfans de Rome qui marquent le caradere de la nation
Romaine. Jeu qui coufiffoit à reprelenter un jugement dans
toutes les formes. Trait de Caton d'ütique dans un de ces
jeux. Anecdote qui montre que ce Caton tenoit deja clans
Rome le premier rang parmi les cntV.ns de fon âge. \ 111.
^ Jeux é/t/.I /iirrfJ, {Antiq.^reeei.) jeux qui fe célcbrolcnt
à Platée. Ces jeux établis par Ariffote. Ils étoienc encore
célébrésclu teins de Plutarque. MH. 338. n. voye^ Lleu-
THERE & Platée.
Jeux modernes, voyc^ JoUTES & TOURNOIS.
Jeux inflrunifs , pour apprendre les fciences. X IV . ycpi.
Jel^de ihèutre, jeux mixte ou compofé. IV. 684. 683.
éi. Jeu muet. Ibid, u , b. Jeux fatyricmes. X IV . 703. b.
Jeu de fie f, {J iu ifp r .) VIII. 33S. a. , ^ r ^
Jeu de fief. Différence entre démembrement de h e t , oc
jeu cxceffif d’un ffef. IV . 806. b. V I. 697. b. C e qu’on entend
par fe jouer de fon fief. IV . 807. b. Origine du jeu
de fie f V I. 692. U. Détails fur ce fujet. 6 9 7 . Petne du jeu
exceffif Ibid.
Jeu de quintaine , établi dans quelques coutumes. A l ll .
^ Jeu-p a r ti, {Comm. de mer. ) V l l l . 338. u.
Je u , ( //or/oç. ) liberté de mouvement dans un p ivo t,
& c . VIII. 338.'/.. . , ^
Jeu , ( Eferim. ) L’affaut comprend deux jeux ; le Icnlible
6c l’infenfible. VIH. 338. b. • j i> r
Jea infenfible.'Dhi^As fur ce qu’on doit pratiquer dans lal-
faut du jeu infenfible. VIII. 338. b.
Jeu fenfiblc , Détails fur ce qui fe doit pratiquer dans
l’ aflaiit du jeu feufible fur les armes ou fous les armes. V l l l .
^^hv',{Orgue.) tuyaux d’orgue rangés fur le même regiftre.
Différence entre les tuyaux d’ un môtne jeu, 8c entre pu j“^!' ^
un autre jeu. Nom par lequel on difUngue les jeu x, tire de la
longueur de leur plus grand tuyau. Table du rapport des jeu x :
explication de cette table. Montre de felze pies toute d etain.
Bourdon de felze piés. Bombarde d’étain ou de bois. Bourdon
de quatre pies bouché fonnant les huit piés. VIII. 240.
b. Huit piés ouverts ou eu réfonnance. Preffant. Flûte.
Gros Hazard. Double tierce. Nazard. Quarte de nazard.
Doublette. Tierce. Larigot. Grand cornet. Cornet de récir.
Cornet d’écho. Flûte allemande. iî-tV. 341- -î . Fourniture.
Cimbalo. Trompette. Voix humaine de l’orgue. Cromorne.
Clairon. Voix angélique. Trompette de récit. Comment ces
jeux font accordés entr’eux , voye^ A ccord 6c les articles
parneuliersde ces jeux. Pédale de quatre piés. Pédale de clairon.
Pédale de huit. Pédale de trompette. Pédale de bombarde.
Ibid. b. Comment l’organific laiffe aller le vent à tel
jeu qu'il lui pbit. Comment on forme des jeux compolés.
Principal dos jeux compofés. Voye\ les planches de Uuhé-
rie , 6c cherchez chacun de ces jeux dans fon article par-
liciilier. 342. â.
tails fur Cli fujet. VIII. 342. a.
Jeux ou1 tours de ca rte s, X VI. 463. b.
Jeu, tile de , {Géogr.) VIII. 342. a.
JEUDI , nom de ce jour chez les peuples
J E Z 197. a. Jeudi-faim : excommunication dos hérétiques ce jour-
là. H. 463. .r, b.
JEU N E , {L it t .) abffinencc reiigieufe. Antiquité de cct
iifagc. Peuples orientaux chez lefjiiels il étoir établi. Divers
jeûnes établis chez les Romains. Jeûnes des Chinois 6c des
Mahométaiis. Origine naturelle de cct ufage dans les affli-
ilions particulières 8: publiques. VIII. 342. b. Comment
cet ufage s’eff introduit dans la religion. Dans quel efprit
le jeûne doit être pratiqué parmi les chrétiens. lb:d. 543. a.
Jeûne , obfervations d’économie par rapport aux jours
maigres 6c aux jeûnes ordonnés par l’églife. V l. 368. <2.571.
a. Jeûne des quatre-tems. XIII. 693. a , b. Jeunes du mercredi
6c du vendredi. X V . 496. <2. Jeûnes des Chrétiens de
S. Thomas. X V I . 283. b. Origine des jeûnes appelles vigiles.
XVII. 268. <2. Du jeûne du carême 6c de la leniame
faintc chez les premiers chrétiens. 639. u. 633. <;. Jeûnes
des Coptes. Suppl.W. 393. n.
JEUNE.S des Juifs. {Hili. ß c r .& prophane) Prix que ce peuple
artachoir aux jeûnes'. Jeûne fplemnel inffitiié par Moife
dans le déferr. Quatre grands jeûnes que les Juils cio la captivité
obfervoient. Les Juifs les obfervem encore aujourd’hui.
Q u i ell l’auteur de leur prélent calendrier. Quelle eioit leur
année ancienne. VIII. 343. <2. Autres jeûnes de furérogntioii
qui étoienr obfervés deux fois par (emaiiic. Jeûnes des vieilles
6c des nouvelles lunes. Jeûnes de l’anniverfaire de quelque»
mort; jeûne en mémoire delà vcrfion des Septante. Détail des
obfervances qui accompagnoient ces humiliations. Auteurs à
confulter. Ibid. b.
Jeiines f.icrès , chez divers peuples de l antiquité. I. 44. h.
Jeûne établi anciennement à Tarente. XI. 106. <2.
Jeune. (i^fr'</<fe.) Utilité du jeûne en certains cas 6c pour
certains tempéramens. En quel lens le jeûne que pratiqiient
les chrétiens à l’entrée du printems , peut être en lui-même
agréable à Dieu. Le jeûne convient plus à la vieilleffe qu’aux
jeunes gens. VIH. 348. f>. D iete 6* Régime. ^
Jeûne. Animaux qui peuvent foutenlr de longs jeunes. \ 1.
374. a. Pourquoi im long jeûne fait perdre l’appem. Ibid. b.
Exemj)lcs de certaines perfonnes qui put vécu long-teim fans
manger. 376. <2. Pourquoi lorfqu’on a jeûné long-ic.-ns l’iirino
eft fort jaune 6c âcre. X IV . 46. b. Qualité de ia falivc dan»
ceux qui jcCinenc. 372. i.
Jeune, {J e.mle) fameux miffionnaire. Suppl. IV. 47t. b.
Anecdote fur ce prédicateur. X V . 22. a.
JEUNER , {faire) un arbre, {Jardin. ) Eu quel cas cette
pratique a lieu , 6c en quoi elle confiffe. Ses bons effets. V l l l .
^’' j e u n e s s e . {L itù ru l.) Les Grecs appclloient cet âge
/’u22tô2K,le-; exemple tiré de Pindarc. Les Latins fuivirent les
mêmes idées : exemple tiré d’Horace. Nos poètes , nu contraire
appellent la jeunefle te printems des beaux jours. D efauts
de cet âge , VIII. 344. a. malgré lefqucls il eft encore
le plus aimable 6c le plus brillant de la vie. Les im-
perfeaions de la vieilleffe font en plus grand nombre 6c
plus incurables que celles de la jeuneffe. Divers avantages
de la jeuneffe fur la vieilleffe. Rapidité du tems de la jeuneffe.
Combien il importe de la bien employer. Ibid. b.
jeunefe, folie des jeunes gens. V IL 43. b. Caractère de ia
jeuneffe. 111. 93a. <2, i.
Jeunesse , prince d e là, { Anliq. rom. ) voye^ PrinCE.
Jeunesse, {D e e p de U ) chez les Romains. VIH.
3 13. il. IX. 103. a.
Jeunesse. (£tro/202;2. anim.) Comment on déterminé ce
qu’on appelle le teins de la jeuneffe. V QL 344. b.
Jeunesse. {Jurifpr.) Les jurilconfultcs ne font qu'un
feul âge de la jeuneffe 6c de la virilité. XVII . 330. <1.
Jeunesse , ( Maladies de la ) à cet âge les yilceres de la
poitrine deviennent plus lujets à être affeéfés 6c à éprouv'cr
des engorgemens. Diverfes maladies <[ui en icfultent. Sur
leur traitement, voye[ les articles de 1 Encyclopédie qui
leur font propres: voye3;uiiffi. Nature , Fluxion, (Economie
animale. Eloge d’une differtation d’Hoffman qu on
peut aiiffi confulter. VIII. 543. a,
JEVIl2^SCHKA, ( Zoolog.) nom que les Rufles donnent
à un quadrupède commun aux environs de la ville de Jakusk
en Sibérie. Defeription de cet anunal. Sa maniéré de vivre.
JÉZAb Él , ifie du fumier, {H iß . fie r .) femme d’Achnb ,
roi d’Ifracl. Ses crimes 6c fes impiétés. Sa fin malheureiife.
Le nom de Jézabel paffé en proverbe pour marquer une
femme cruelle 8c impie. 5 k/7/>/. n i . 339. rf.
Jézabel, culte de Baal qu’elle imrodmfit en llrael. lA.
'■ ^"j ÉZÎDE ou Jéûdéen, {Théolog.) nom qui hérétique
chez les mahométans. Origine de ce nom. Defcnption que
quelques-uns donnent d’un peuple qu'ils appellcm Jeitdes.
Haine des Turcs 8c des Jézides. Affeaion de ccux-ci pour
les chrétiens. Détails fur les moeurs, la Roanne , a religion
, le culte des Jézides. Jézides noirs 6c Jezides blancs._
VIH. 543. b.
î G N
I F
I F , {Bûtan.) caraacre de ce genre de plante. Sa def-
crijirion. Terreins qui lui conviennent. Maniéré de le imil-
tipher. Récolte de la fcmence. Tems & maniéré de la fe-
mer. V l l l , 346. a. En quel teins les plants doivent être
mis en pépinière. Tranfplnntation. Soins qu’ils exigent dans
la pépinière. Maniéré de nuiltijjlier V if de brandies cou-
t iié e s, 6c de boutures. D e la tranfplantation à demeure.
Qimlités du bois de cet arbre. Ibid. b. L’agrément de l’if
ne vient que de la figure que l'art lui impofe. Comment
on l’emploie aujourd'hui dans les jardins. C ’efl; l’arbre qui
fouft're la taille avec le moins d’inconvénient. Propriété
miifible qu’on lui a attribuée, mais qui paroit n’appartenir
qu’à une efpece d’if qui ne fe trouve que dans les contrées
méridionales de l’Europe. Cependant il y a lieu de foupçon-
ncr qu’il eft dangereux pour les animaux de manger des rameaux
de notre it. Ibid. 347. a. Deux variétés de cet arbre.
Ibid. b.
If , {Botan.) noms de cette plante en différentes langues.
Son caraélere générique. Lieux où elle croit. Sa def-
cripiion , fa culture, fes qualités 6c ufages. Suppl. III. 539.
a , b. Obfervations fur le reproche qu’on fait à l’if de nuire
aux autres arbres par fon voifmage. Ibid. 360. a.
I f , efpece d’if du Japon appelle kaïa. IX. 106. b.
If. ( Médcc. ) prefqiie tous les anciens naturaliftes 8c quelques
modernes mettent r ifau rang des poifons- La plupart des
modernes s’accordent à rabfoudrede ces qualités iiernicieufcs.
V l l l . 547. £
, i j l e d ' , {Geogr.) ifle devant leport de Marfeillc. Fort
qui la défend. Origine de fon nom. VIH. 347. b.
IFRAN ou Ujaran 6c Ojin , ( Géogr. ) canton d’A frique
fur la cote de l’Océan. Obfervations fur ce pays 6c fes habitans.
VIII. 347. i. I G
IG C IG A , {Botan.) arbre du Bréfil. Liqueur qu’on en
lire : fes ufages. Autre arbre delà meme claffe appelle fgrui-
gcica : ufage de fa réfmc. V l l l . 347. b.
IG N A C E de Loyola , fa patrie. Suppl.\. 631. b. Précis de fa
vie. V IL 1010. £ VIII. 312. .2, b.
IGN AME , {Botan.) efpece de patate d’Amérique. Def-
cription de cette plante. Ufage alimentaire de fes racines. V II I
548. <2.
IGNÉE , matière. X. 191. a , b , 8cc. Feu.
IGN ITIO N . ( CTiy/nù’ ) Le mot latin candcfaélio exprime
aflez bien le degré extrême d’ignition. Le degré moyen pour-
roit s’appcllcr rougpment. VIH. 348. <7. L’ufage ordinaire du
mot ignition exclut la flamme de l’idée du phénomène qu’il
exprime. L’iguition dans un corps combuftible s’appelle
embrafement. Moyen de l’exciter & de l’entretenir. D e l’i-
gnition des corps incombuftibles. Moyen de l’exciter 6c de
l’entretenir. Ces deux phénomènes fouvent confondus par
les plus grands phyficiens. La confommation de l’aliment du
feu par l'ignition demande le concours de l’air ; exception.
Ibid. b.
IGNOBLE. ( Gramni. ) Ce qu'on entend par un air ignoble
dans un homme. D ’où nait ce jugement que ncus eu portons.
VIII. 348. i . Rapports entre le caraélere 6c le .maintien.
Maniéré, lemimens, ton de coiivcrfation , ftyle ignobles.
Ibhl. 349-<2-
Ignoble. (Zf2y?.<222c.) Diftineftion établie chez les Romains
entre les hommes nouveaux, les nobles 6c les ignobles. VIH.
tiy<).a.
IGNOiMINIE. ( Gramm. Moral. ) Ignominie de l'aélion.
Etat Ôc reffource de rbonime tombé dans l’ignominie. Sur
qui retombe l’ignominie d'un homme qui en a été ablbus.
Sur quelle forte do crimes doivent tomber les peines iguomi-
nieufes. VIII. 349-<2. Flétrissure.
IGN ORANC É. {Métaphyf.) Caufes de notre ignorance.
VII I. 349. <2. Combien peu nous pouvons avoir de notions
certaines. S’il nous ctoit poflible de connoître par nos fens
les parties déliées Sc fiibtilcs, qui font les parties aélives de
la matière , nous diftinguerions leurs opérations méchanique.s,
avec autant de facilité qu’un horloger peut connoître la rai-
fon pour laquelle une momro va ou s’arrête. Mais le défaut
do nos fens ne nous laifle que des conjeélures fondées fur
des idées qui font peut-être faufles. La difficulté de trouver :
la connexion de nos idées, eft la féconde caufe de notre
ignorance. Enfin une troificme eft notre pareffe, notre peu
d’atcenfioü à réfléchir. L’ignorance invincible uttadiée à notre
nature ne doit rien avoir d’affiigeant pour nous : mais
celle qui vient de pareffe eft feule condamnable. Ibid. b.
Ignorance. Différence entre le cloute 6c l’ignorance. V.
88. b. L’erreur eft pire que l’ignorance. I. 46. b. L ’ignorance
fource d’athéifme. 798. b. Etude propi e à faire fccoucr peu-
à-peu chez un peuple le joug de l’ignorance. VIII. 628. b.
I L I 19
Ignorance des peuples d'occident depuis la dcftruaion de 1 empire romain. 630. b. Sieeles d'ignorance. XV . 171. a.
Ig n o r an c e . (AJoor/f) Différence entre l’ignoi-aiicc 6c 1 erreur, conficierées runc Si l’autre comme printijies de
nos aélions , elles fe trouvent pour l’orcllnnirc mêlées eii-
femble 6c comme confondues. L’ignorance 6c l'erreur font
de phificurs fortes. On diflingue l’erreur de tlioit 6c l’erreur
de fait, 1 ignorance volontaire ou involontaire , l’er-
rciir vincible ou invincible , l’erreur eflentielle ou accidentelle.
Eli general ou n’eft point refponfable cIc ce qu'on
fait par ignorance invincible. VIII. 330. a. Jugement qu’on
doit porter de l’ignorance 6c de l'erreur vincibles. D e l’ignorance
& de l’ei reur en matière de loix. Ibid. b.
K5R A 1GE1C A , ( Botan. ) arbre du Bréfil. VH l, 347. b.
IGU AN A , ( Zoolog. ) forte de lézard amphibie des Indes
occidentales. Sa defeription. VIII. 330. é.
IG U A R U C ü , ( Zoolog. ) animal amphibie du Bréfri, Ce
qu il a de commun dans fa maniéré de v iv r e , avec les poiffons,
les quadrupèdes 8c les ferpciis. Sa dcfcriptio:i. On mange fes
oeufs. Qualité de fa chair. VIII. 350.£ I H
IHOR , ( Géogr.) v\][c d’Afie dans le continent de Mataca.
Oblervations fur les habitans. Tribut qu'ils paient au roi de
Siam. VIII. 330. b. J I
J I T O , { Botan. exot.) arbre du Bréfil. Reffemblance de
fes baies aux grappes deraifin. Vertu médicinale derécorcc de
fa racine. VIII. 331. a.
} \Y A ., {Zoolog.) efpece de loutre amphibie d’Amérique.
Sa defeription. Sa nourriture. VH l. 331. .2. I L
IL. ( Gramm. ) Obfervations fur le pronom U, VIH. 396.
b. 6c fur les adjeélifs françois terminés en il. XIH. 334. <2.
ILCFIESTER, {Géogr.) ancienne ville d’A ngleterre,
patrie de Roger Bacon religieux : furnom donné à ce fa-
vant : fes découvertes dans les arts 6c les fciences. VILI. 3 31 - é.
IL E O -C O L IQ U E , ancre , Anatom. ) Suppl. HL
909. b.
, , ^ -^aaiom. ) Os des iftes ou des hanches. Pourquoi il
aété ainfi nommé. Sa defeription. VIII. 3 3 1 .é.
ILEUM . {Anatom.) Defeription de cet inteftin. VII I.
841. b. Suppl. III. 632. h. Valvule qu’on y découvre. X V I .
828. b. ^
ILFO RCOMB , ( Géogr. ) ville maritime d’Angleterre ,
dans la province de Dévon. Son port. Defeription de cette
ville. Comptoirs dont elle eft pleine. Suppl. III. 360. <2.
IL IA D E , {Liuérat. ) poème épique compofé [larHomere.
Origine de ce nom. Sujet de l’Iliade. Leçon qii’Homere s’eft
propofé de donner aux Grecs dans cct ouvrage. Pline parle
d’une copie de l’Iliade qtii pouvoir entrer d.ins une coque de
noix. Auteurs à confulter fur la conduite de ce poème.
Langage des admirateurs de l’Iliade. Ufage c/u’en a fait Arif-
tote. L’Iliade attribuée à Salomon. C e que dit M. de V o ltaire
fur ce jmeme. VHL 332. a. Réponfe aux reproches
qu’on fait à Homere. Eloge de quelques-unes de fes ridions,
übfervacions fur les défauts de ftyle ou de détail qu'on
trouve dans l’Iliade. Tradudions de l’Iliade par madame
Dacicr 6c M. de la Mothe. Ibid. b.
Iliade. D u fiijet 8c de la moralité de ce poème. Suppl.
III. 961. b. Fable qui en fait le fujet. Suppl, i. 160. a.
Pioblème de l’Iliade. 138. a. D e l’aélion de ce p o ème ,
Ibid. 6c V. 826. a. Principe finiple 6: naturel d’où réfulte
toute cette adioii. Suppl. IV . 1003. a. Cette adion trop
compofée. 990. b. Expofirion de ce poètne. VIII. 843. b.
Des moeurs de fes héros. Suppl. I. 4 iy . b. Du caraélere
d’Achille. V . 829. i. Examen de quelques paiiages de riliade
par rapport à l’ufage que les Grecs failoiem des chevaux à la
guerre. 887. b. Pourquoi Homere n’a point décrit de com-
b.its de cavalerie. 890. a. Giotte où l’on a cru que ce:
ouvrage avoit été compofé. X. 313. a. Du merveilleux
employé dans ce poème. 393. a , b. Achèvement de l’Iliade.
Suppl. I. 144. b. Obfervations fur fes beautés 6c fes iléfauts.
XII. 827. <2, b. Voyci dans les articles relatifs à l'jpopée
diverfes obfervations fur cet ouvrage.
ILIAQUE. (y^/i<22om.)Artere iliaque : fa diftribuiio.:. Muf-
cle iliaque. VIH. 332. é. f^oye^ Py r if o r m e .
Iliaque interne. Veine de ce nom. VH L 410. a. Airere iliaque
poftérieure. Suppl. III. 484. a.
Iliaque, y.2#u«, {MéJec.) Obfervations fur les noms
de cette maladie, bon nom vulgaire eft miferere. Symotomes
qui ia caraedérifent. Cette maladie eft quelquefois ‘ conta-
gieufe & épidémique. On la dit endémique dans la Jamaïque.
Diverfes caufes qui la produifent. VIH. 3^3. a. Dé-
lordres obfervés dans rintérieiir des cadavres de ceux qui