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5^1. 1’ . Oes caufcs des [nogrè,. on cic l;i iluc.iclencc clcs fcicH'
CCS &. ties arts, Pr'o g u ÈS. (Critique dans les fciences.
IV. 490./-'. Sciences particuliérement cultivées dans chaque
elpece de «j;oiiverncineiu. I. xxxiij. Difc. pn’Iim. Ouvrages
du ch.iiicdrer Bacon , intitulés , l’un, ile l'.icaoißctncnt & de
lu. dlg'iilc des Jlunccs : l'autre , nouvel or^.jrie des fàenccs. H.
9. ti. Ouvrage du ])ero Burficr, cours des fcicnccs. IX. 639-
h. Moyens uiperllitieux d’acquérir les Icicnces. I. 717. h-
7 1 8 . Sur le>(cicnces, veyr;- CüNNOlSSANCES HUMAINES.
S cience en Dieu , ( Theolo-^. ) Trois lortes de IcicnccS en
D ieu ; i . l.i J'cicnce de/impie inielli^c/icc , par laquelle Dieu
V(,;r les choi'cs purcmciu pod'ibles. Du nombre iinmenfedcs
poinbies. Pour arriver par la contemplation de la nature , à
une forte de détcrminaiion de nombre des poHililes, il faut
faire attention tant aux cliofes qui co-exillcnt enfemble dans
cet univers , qu’à celles qui s’y (ucccdont les unes aux autres.
XIV’. 789. b. Calcul liypothéi’que du nombre des grands
corps de runivers, & de la grandeur de cet univers ; d’où
il réfiilte que le nombre des fixes iroit à 5 175000 , Ck celui
des corps, tant fixes que planétaires , à 77625000; & qn’eiitin
le cube du diamètre qui égaie toute l’éteiulue de la fpherc
obfervable foroit de 478601103401885491200000 diamètres
tcrrcilrcs. Ibid. 790. a. Admiration qu’excite l’idcc de
la fcicnce divine, qui embraffe non-l'eulement cet univers,
niais encore tons les mondes |>ofibles. Coiifidération de ce
qu’emporte la rcptéfcnratlon difliniïc de tous les pofTibles
dans l’cntcndciiient divin. L’auteur comparant l'ctcndiie des
cntenderiKiis aux gramleurs des efpaccs, établit par te
moyen la proportion de l'entendement humain à celui qui
compreiidroit difinéicment le globe tcrrcllre , & celle de
ce dernier à celui qui comprend tout le iydême planétaire.
Mais convaincu enfuiie de l’iintioflibilité de fonder les profondeurs
de riiK.’ lligencc liivine , il abandonne fes calculs
ik finit par conclure que c'efr allez connoitre D ieu , que de
fentir combien ii eû au-deffus de nos connoifTatices. 2''. Scic?tce
de vifion en Dieu , celle par latiuclic il voit tour ce qui a
tx if lé , exilie ou exigera dans le tems. Examen de la quellioii,
fi la l'cicnce de vifion cft la caiife des cliofes qui arrivent.
Ibid. b. 3'’. Science des conditionnels , que quelques tbéolo-
giens diAingiient en Dieu. Doéfiine des aiigultiniens, tboniif-
ics &. molmiflcs fur cette fcicnce, appellee dans les écoles
ß i cncc moyenne, Ibid. 791. n.
Science en Dieu, fentimeiit des tbomiftes fur la fcicnce des
conditionnels, attribuée à Dieu. XIV. yc)i.u.
.SçiENCE Jccrcie, {ddijl. de l'èglifc) celle q u i, félon C lé ment
d’Alexandrie , n ccoit communicable qu’aux parfaits.
C e perc de l’églll'e e(l un des premiers qui a taché de l’in-
truduire chez les chrétiens. X IV . 791. u. Ancienne cotuunie
des liigcs , tie voiler la lagc/l'e au peuple. Clément d’Alexandrie
ttaiiiporta Cette méthode dans le chriftiaiilfme. En quoi
confilloii la fcicnce fecrene de ce doffeur. Avant lu i, les
chrétiens n'onr jamais caché leurs niyflercs aux infidèles.
Ouvrage à confultcr. Ibid. b. DoBrine fecrcite. Mv s-
TERE.S.
Scien c e s , jeux inßruBifs pour apprendre les , (^Littcr.it. )
Tiionias Murner, le premier qui ait enfeigné les fcicnccs
par des figures, cnf'eigna la dialeéfique cil forme de j:u de
cartes. Ob;.'rvations fur cette nitihode. X IV. 791. é. i ‘'. Jeu
des lettres ou de l’alphabet. 2". Jeu royal delà langue latine.
3'’. Cliuri.x lujorice curn quatuor illußnum poetnium j'eruentus.
4". Jeu de cartes pour la logique, 5 '- pour les matliémati-
ques 8c la médecine. 6“. Jeu pythagorique. Ibid. 792. ,1.
7®. Autre femblablc. 8®.— i2°.Jcvix de cartes pour la géométrie,
l’aflrologic, la géographie , riiifloirc , le bb.fon ; jeu
iatro-maihématique. 1,3". Jeu du monde. 14". Jeu de lilal'on.
15". Pour la politique & la morale. 16°. Pour la théologie.
17". Pour apprendre aux enfans Icsdléniens du clirlAianifinc.
ï8". Le combat de M.aladoife avec fa dame. Autres jeux
d'amufemeiit. Ibid. b. Mauvaifes affaires que fc fiil'cita .M. de
Brianville par un jeu de cartes qu’il fit fur le blafon en 1660.
Ouvrages à confultcr fur les jeux des fcicnccs. Réflexions
contre cette méthode d étudier, 793.
S C IE N D UM de la chancellene. Ancien jciendum. Nouveau
feiendum fait en 1621. X IV . 793. b.
Sciendum de la chancellerie. l i l . m . . / , l>. V i l . 851. a.
SC IE N T IF IQ U E S , mois. Ohfervations fur leur ufage. IV.
259. i . V . 494. b. Suppl. II. 453. a.
SCIERIES , ( Nifl. anc. ) fêtes qu’on céléhrolt dans 1 Arcadie en l’honneur de Bacchus. Autre fête de ce nom que
l ’on cclébroit à Athènes. X IV . ,793. b.
S C IE U R , {^Art mccb . ) maiiicrc de feier la pierre &c le
marbre. X IV . 793. i.
SC.IG LIO , (6'cogr. ) voyo’ ScVLEA. X IV. 845. é.
SCILLE , ( Botein.) caraftcrcs de ce genre de plante. Dcf-
cription de deux efpcccs de fcillcs connues dans les boutiques
, la blanche & la rouge. X!\L 794. rf.
SciLLE, {Mat. mc'dic.) Propriétés 8c ufages des btilbes
des deux cfpcces de fcilles décrites d-deffus. X IV . 794. a.
Manière de préparer le vin fdlliiique , le vinaigre fcilliiique.
S C L
l’oximel fcillitique ,1e miel fcilütique, les trocliifqiics de fdllc.
Manière de faire la deffication & la cuite des fcilles. Ibid. b.
S C IL LU N T E , {Geo^r. anc.) ville du Péloponneie. Hifé
toire qu’en donne Paufanias. Environs de cette ville. Exil
de Xenophon à Scillunce. X IV . 795.^7.
S C ll.O , ( Crir/ty./rtcr.) les interprétés enremient par Iç
Scilo dont il ell parlé, Genef. xlix. t o , le Mcfile. Objections
contre cette explication. X I V . n.
, Scincjuc, Sguinqiie, Since, Stine m.trin, {Z o oh " .)
efpeccde lézard amphibie qu’on trouve en Egypte. X IV .795^
U. Sa doicription. Ibid. b.
Seine : c c t animal repréfonté vol. V I . des planch. R.egne
animal, p!. 28.
SciNC marin, {Pharrn. Mat. me./ic.) Propriétés qu'on
lui amibuc. Ufages qu’on en tire en pharmacie. XIV. 795. b,
S C IN D A PH E , ( Mujiq. inflr. Aniiq. ) inllrument à cordes,
femblablc à la lyre. Suppl. IV. 754. b.
S C IN T IL L A T IO N , {Ajlro/wm.) explication de la fdti-
tillation des étoiles. Elle eff prefque infenfibic dans les pays
où il n’y a point de vapeurs. IV . 75 5.
Scintillation, voy ez Ètincellemeni, Etoile.
S C IO , ( Geogr. anc. & mod. ) ifle de l’ArcIiipel, la Chios
ou (Jiio des anciens. Noms que lui donnent les Turcs 8c les
Porfaus. Anciens habitans de cette illc. XIV. 795. b. Sou
iiifloire depuis les tems les plus anciens, jiifqu'à ceux où
legiaiid-feigneur en e(I devenu le maître, llnd. 796. a. Parmi
les grands liommes que cette Hic a produits, on compte T lico-
pom|>e l'hiPorien , Théocrite le fophiflc , 8c Léon A lla z i,
connu par pliifieurs ouvrages. Defeription de l’ifle Si d e là
ville de Scio. Scs protluflions. Son gouvernement. Sa population.
Obfervation fur les femmes 8c les ecdéfiafliques de
cette ifle. Ibid.ycjj. .1, b.
Scio. Diane de Scio. VI. 86. h. MaAic de Scio. X. 180.
b. Des vins de Scio. XVII. 300. a. Eoye^ C h io .
SCIOPH.4R O il ScHOPHAR , {MuJlq. inftr. des Hébr.)
Recherches fur cet infiniment. Rapport entre le feiophar ik.
ik le keren. Suppl. IV. 755 . a. Suppl. III. 684. .1.
SC IO P P IU S , {Gafp.ird) obfor valions fur fes ouvrages.
XL 776. b. ^
SCIPION. Influence qu’eurent fur le caraûere & les
moeurs des Romains, les génies fupérieurs que produifit l’il-
luflre famille des Scipions. X L 567. a. Comment on diflin-
guoit les deux Scipions furnominés africains. XI. 20:. u.
Noble & généreufe harcÜcffe du premier africain , lorfqu’il
voulut attirer Sypltax dans le parti des Romains. VIH. 45.
b. Exercices auxquels il formoit fes folcints. VI. 244. a. Comment
il répondit .à une aceufation injufte. XII. 233. a. X V .
191. b. Retraite & mort de Scipion à Linterne. Sa tombe.
IX. 558. Zt. 891. b. Momimeiit que lui érigea fa femme Emilic-
Suppl. III. 760. a. Peu de cas que l’im dcs Scipions faifoit de
l’iionneur des rtntues. X V . 498. a. Bataille entre Scipion
l’abaiique 8c Antiochus. IX. 860. a. Deftruélion de Carthage
par Scipion le fécond africain. XIII. 57a. b. 573. a.
S U R k . {Lang, latin, Litt.) Oblervations fur te vers de
Perfe ;
Sclre luurn ni/iil ejl, nift te feire hoc feint alter. X V , C2. a.
SC IR O N , fameux brigand , tué par Tliéféc : Rochers d«
Sciron. X IV . 314. a. Voye'^ Scironides petra:.
SCIR ON IDE S P E T R Æ , ( Géogr. anc. ) rochers de Grece.
Cruauté que Sciron cxcrcoit en cet endroit contre les paf-
fans. X IV . 798. U.
SCIR ONIS v ia , {Géogr. anc.) c\\em\'n delà Grèce. Roche
nommée Moluris , qui borde ce clicmin dans cet endroit. T emples
& autres nionumcns qu’on vo yo it prés de ce chenÙBw
XIV. 798. a.
S C IR O S , {Géogr. anc.) bourg de l’A ttiquc. Origine de
fon nom. XIV. 798.
SCIRPUS ou Jonc des marais, {B o t.) caraélcrcs de ce
genre de plante. Ses cfpeccs. Defeription de la principale.
Ses rapports avec le papyrus. XIV. 798. b. Ufages qu’on
tiroit du feirpus en Italie 8c i Rome. Flambeaux de medics
qu’on faifoit avec cette plante. Manière de tirer la moëllc
des tiges du feirpus. Ufages qu’on p ou vo it, félon Pline, tirer
de cette plante pour en faire ^m beau papier. Plnficurs auteurs
out confondu le fcü pus avec le papyrus, 8c lui en
ont donné le nom. Ibid. 799. <7. C ’efl ainfi que Strabou rapporte
que dans les lacs de la Tofc.anc, il croifToit une [liante
appellee papyrus. Les lits des morts qu’on portoit fur le
bûcher, écoient remplis de papyrus. Il ne paroît pas que le
papyrus dout parle Strabon , foit de l’efjiecc qui fe trouve
communément dans les marais de Sic ile, de la Calabre 6c
de la Ponille. Ibid. b.
SCISSURE,yZ-u/çA/e, {Anatom.) (lifTércncc entre la feif-
fiire 8c la finuofité des os. XIV. 800. a.
Scij/urc, nvirûcs renfermées dans la région de la gr.inde
fciffurc. V IlI . 272. a.
S C L A V O N S , [Géogr.) royr^ E.scLAvON.s 8c S laves.
Bible en langue fclavoniie. II. 226. a.
S C L E R O T IQ U E
&
S C O
S C L ÉRO T IQ U E , ( Anatom.) portion opaque de la cornée.
Defeription 8c utilité de cette tunique. XIV. 800. a.
Nature de cette partie de l’oeil dans les oifeaux Sc dans la
plupart des gros poiflbns. Ibid. b.
Sclérotique: fa defeription. IV. 250. a. Suppl. IL 607. a.
Suppl. iV . 109. a. Ses canaux aqueux. II. 584. a.
Sc l é r o t iq u e , {Médeci) forte de médicament. X IV . 800. b.
SCO ou Sa n SJO , poivrier du Japon: {Bot.) defeription
de cet arbrifTeau. Ufages qu’on en tire. XIV. 800. b.
SCO CK IÜ S , fon livre fur le beurre 8c fur l’avcrfion du
fromage. IL 218. a.
S C O D A , {Géogr. anc.) ville dc rillyrie. Rivieres qui
l’eiivironnoient. Elle devint colonie romaine. Son état pré-
fent. X IV . 800. b. Uoye^ Scutari.
S CO D IN G , fr , ( Géogr. ) Pagus Scodingonum. Signification
de ce nom. Suppl. IV . 755. a. C é to it un canton qui s’éten-
doit fur une partie des bailliages de Salins, Arb o îs, Poli-
gui , Lons-le-SnuInier Sc Orgelet. Quel en étoit le principal
lieu. Obfervations hilloriques fur ce pays 8c fur les lieux
les plus remarquables qu’il renferme. Ibid. b.
S C O L E C IA , {Mat. médite, anc.) efpcce de verd-de-gris.
Les anciens en diuinguoient deux fortes , l’une fofiile , l’autre
faflice. Manière dont ils préparoient celle-ci. Origine du nom
fcolecia qu’on lui donnoit. XIV. 801. <7.
S C O L IE , { L ia .) noms que les Grecs donnoient à leurs
clianfons à boire. Dans les fefiins des Grecs , ceux qui cban-
loient tenoient une brandie de myrte qu’ils faifoient pafTer
aux autres convives. Origine du nom fcolie donné à leurs
chanfons. Inventeur des Icolies. Q u el en étoit le fiijet. XIV.
801. a. Foyei COTTABE 6c CHANSON.
SCO LO PEN D RE demer, (//i/èZZo/og.) defeription de cet
iiifeéle, -auqud on donne en Normandie le nom ùc taupe de
mer. X IV . 801. b.
Scolopendre, vuyq MiLLEPIÉS, 8c vol. V L des planch.
Rcgne animal, pl. 83. En quoi cet infeéte dirfere de Viule.
Suppl. III. 675. a , b.
- Sco lo pend re , ( Botan. ) voye^ Lan g u e de cerf. Sa graine.
X IV . 945. Efpece de fcolopendre de fin e de Madagafcar.
XVI. 729.
SCO LO POM A CHOE R IO N , ( Chir. anc.) bifiouri dont
les Grecs faifoient ufage. Etymologie du mot. On ne fe fort
plus aujourd’hui de cet iiilirument. X IV . 801, b.
S C O P A S , fculpteur célébré de l’antiquité. XIV. 826. a , b.
S CO R B U T , {Médec.) le fcorbiit proprement dit cft une
maladie à laquelle les habitans des côtes du nord, font fort
fujets, 8c qui cftla fource de plufieurs autres maladies.Quelles
font les perfonues que cette maladie attaque. Symptômes de
ce mal dans fon commencement, dans fes progrès 8c dans
fa fin. X IV . 802. b. Ses caufes. Son traitement. Suc anti-feor-
butique. Ibid. 803. a. Efprit anti-fcoibutiqnc. Préparation
d’un vin médicinal. Moyens de prévenir le feorbut dans ceux
qui en font menacés. Remedes extérieurs. Ibid, b. Le feorbut
devenu commun dans Paris : quelles en font les caufes. Comment
l’afl'eftion hypocondriaque difpofe à cette maladie. Différence
du feorbut des riches 8c de celui des pauvres ,dans
leur caufe 8c dans leur traitement. Ibid. 804. a.
Scorbut. Caufes de cette maladie. I. 233. IL 293. a. Fièvre
feorbutique. VI. 738. b. Hémorrhagie feorbutique par fclles:
comment on la dHHngue du flux liéniorrlioïdal. VIII. 125. b.
Pluliific feorbutique. XII. 533. b. Diffolution du fang dans le
feorbut putride. III. 641. b. Chancres feorbutiques dans la
bouche. iII. 122. b. Les iilccics feorbutiques fujets à la gangrene.
V IL 471. b. D e la cure des ulcères, voye:^ ce dernier
mot. Apozeme aiui-fcorbutique. 1. 5 42. a. Le feorbut de mer
guéri par l’ufage des citrons. III. 492. a. L’iilage du riz pré-
Icrve de cette maladie. Siiqipl. IV. 652. a.
SCO RD ISQU ES , ( Géogr. anc. ) peuples de la biilTe-Pan-
noiiic, m.ais qui n’eurent pas toujours une demeure fixe dans
ce pays. Leur hUloire. X IV . 804. b.
SC'ORDIUM , { Botan. ) efpcce dc germandrée aquatique.
Defeription dc cette plante. Lieux où elle croit. Ses propriétés.
X IV . 804. b.
ScoRDiUM, {Mat. méd. ) préparation nommée diafcorditim ,
dams laqiiellc le feordium entre. lV ,9 5 i../ .
SCORIES , ( Chym. 6- Métalltirg. ) Leur nature. X IV . 804.
b. Comment elles font produites. Souvent les feories contiennent
une portion des métaux. Ufige qu’on en tire lorfqii’elles
font bien vitrifiées. Scories pures ou impures. Scories tendres
ou dures. 805. a. 5rer/f.( ; leur formation Scieur ufage. X. 433.<t.
S CO R IF IC A T O IR E , {Docimajliq.) écudle à vitrifier ,
propre fupporter le feu le plus violent. En quoi ce vaifîeau
tlifterc des coupelles. Choix dc l’argille thmi ou doit le faire.
Maniéré dc la préparer. X IV . 805. a. Manière de faire les
fcorificatoires. Ibid. b.
Scorificaiüire rcpréfeilté vol, III. des pl. Clvymie , pl. 13.
S CO R O D O N IA , {Botan.) efpcce de gerinandiée faii-
rage. Defeription de cette plante. Lieux où elle croit. X IV .
806. a.
S CR 649
SCO R OD O PR ASUM , { Botan.) d’ail. Etymologie
du mot. D e fcrip tiond c ce ttep lan te .L ieu xoù c llccro it.X lV .
806.
S CO R O D O -TH L A S P I , {Botan. ) efpece de thlafpi. Dcf-
cripiion de cette plante. X IV . 806. a.
SCORPION. {InjeBolog. ) Férocité que les feorpions
exercent entr’eux 8c même contre leurs petits. Defeription
du feorpion. Defeription pntticuliere de fou aiguillon. X iV .
806. b. Lieux où cet animal cfl commun. De quoi il fc nourrit.
Deux fortes de feorpions en Languedoc, Commerce
^u’en font les payfans. Scorpions d’Amérique. Eftets attribués
à la piqimré dc cet infeéle. Ibid. 807. a. Expériences de
M. dc Maiiperuiis à ce fujet. Ibid. b. Remedes prétendus
contre la piquure du feorpion. Ibid. 808. .1. Indication dc remedes
plus miles. Contes fur les feorpions. Ibid. b. D e la
fécondité du feorpion , 6c de fa haine pour l’araignée. Ibid.
809. a.
Scorpion: deux efpeces dc nile de Madagafcar. XVI. 731.
a. 829.0. Scorpions repréfentés vol. V I. des planch. Regne
animal, pl. 79 8c 83. Remarque fur ceux qui ont été piqués
du feorpion. X V ll, i. b.
Scorpion de mer, poHTon. XIII. 813. a.
Sc o r p io n aquatique , punaife d’eau , punaife à aviron.
{ InfeBolog.)\n(iàQ ailé. Defeription des deux efpeces de cet
infefle connues de M. Linnæus. X IV . 809. a.
Scorpion ■ mouche, appelle panorpe. Suppl. IV. 231. a.
Sc o r p io n ; {Crïiiq. facr.) differentes fignificaiions de ce
mot dans l’écriture fainte. X IV . 809. b.
Sco r p io n , {Mythol. ) figne du zodiaque. Origine que les
poètes lui attribuent. X IV . 809. b.
Sc o r p io n , {Aßronom.) nombre des étoiles contenues
dans ce figne du zodiaque. X IV . 809. b.
Scorpion : moyen de connoitre cette confiellation dans le
ciel. Suppl. II. 567. b. Foye:^ les mots A ntares & Z ubenel ,
qui font les noms des principales étoiles dc cette confielLa-
tion. Etoile double au front du feorpion. Suppl. II. 897, b.
Sc o r p io n , {Fortifie.) machine de guerre des anciens. X IV .
809. b.
SCORSONERE , ( Bot. M.it. medic. Dicte. ) carafleres de
ce genre de plante. Nombre de fes efpeces. Defeription de
la feorfonere commune. Lieux où elle croit fans culture. Suc
qu’elle couiicut. Cet aliment cft généralement reconnu pour
innocent ou indifférent. Obfervations l'ur les qualités médicinales
attribuées à cette plante. X IV . S io . a.
.SCOSSi. ( Academie de GU ) Suppl. I. 8y. a.
S C O T , {Jean ) hibernois , précepteur de Char!es-le-
Chauve , le premier auteur qui a attaqué le dogme de la
préfence réelle. VI. 132. a.
Sc o t , {Jean) ou Jean Duns, théologien francifeain. I.
663. b. XL 231. a. X IV . 775. a. 8 1 1. d. Reflexion fur là
pliilofophie. II. 640. b. Foye^ Sco t is t e s .
S C O T ! , {Géogr. anc.) peuples de-la Grande-Bretagne.
Claudien eft le premier qui en ait parlé. Anciens peuples
qui ont liabité TEcolle. Du tems auquel les Scots font vcnirs
l'occuper. Origine du nom de Scots. De quel pays fortoient
les Scots qui vinrent habiter l'Ecollc. Moeurs 8c tifages de
CCS peuples. Leur hifloite depuis leur ctablill'ement dans la
Grancic-Bretague, X IV . 810. b.
S C O T IA , ( Géogr. ) Hifioire ancienne de i’Ecoffe. Retranchement
ou rempart que Severe fit conrtruire dans ce pays.
Monumens d’antiquité qu’on y remarque. Suppl. IV. 755.
b. Obfervation fur les anciens peuples qui l’ont liabitcc. Union
dc l’Ecoffe avec l'Anglctene. Du tems peiulant lequel la
maifou Stmirt a régné en EcolTc. Ibid. 756. a.
S CO T IS T E S , {Théolog. & PhilofocLD^Hc de philofo-
phes & d e théologiens fcholafiiqiies. FTuTSifcide Jean Duns,
i'urnommé Scot, chefs des Scotilfes. Titrc.s qu’on lui a donnés.
XIV. 8 1 1. d. En quoi les Scotiftes 8c les Thomilles dift'éroient
cntr’eiix. Ibid. b.
Scorißes : leur fyftéine fur la difiinflion. IV. 1059. b. 1060.
a. Preuve qu’ils donnent en faveur de l’éternité fucceffive.
V I . 48. a. Leur doftrinc fur l’immenfité de Dieu , VIII.
575. <7. fur la préclefiinatioii pliyfique. XIII. 279. u. Difpute
entre les Scotilles 8c les TiioniHles fur les uuiverfaiix. X V I I .
406. a , b. Foyer RÉAVX , SCHOLASTIQUES.
S C O T O P IT E S , {Hifl.cccl.)voyei C irco ncell ions .
S C O T T , {Jean) chanoine de Windlôr. X V II . 620. b.
SCRIBA , ( Gouverrt. rom. ) officier fubalterne de juffice.
En quoi confilloit l'office dc feribe chez les Romains. Cet
office étoit plus confidcrc chez les Grecs. X IV . 8 t i . b. C e pendant
ou a vu quelques feribes parvenir aux grandes dignités
parmi les Rom.ùns. (Exemple de modeflie de la part
d’un feribe nommé Cicercius.) Mais ils ne pcmvoient les
obtenir à moins qu’ils 11c renonçaffent à leur profeffion.
Avantages que letir procuroit le recours qu’avoir à eux la
jeune noblefi'c pour s’iiiffruire du droit 8c des loix. Leur arrogance
réprimée par les loix que fit Caton. Scribes des pontifes.
Sous les empereurs, les feribes turent appellésnerd-ri.
Ibid, ÿ i i .a .
B B B B b b b b