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LIO N , ( Zoolog. ) Dvlcripiion clc c t t animal. Pays liahitès
pm-leslions. En qiKls lieux ils font le plus vigoureux. G e l a tion
<Jü la lionne. O n apprivoile uif6mentces nniinaux.On les
fait hiir par le moyen 'lu feu. Curaftere du lion. IX. .i.
Lion, delcription de cec animal. V I. vol. des planclies,
Rétine animal. VI. pl. 8. Stru^lure de fes ongles. XI. 47p. a ,
b. Detcnption poétique dit lion. X V I l. yay. n.
L io n , {Mm. mcJic.) Prétendues vertus attribuées à différentes
parties du corps du lion. IX. ^59. b.
L ion , ( Lin. ) Il ctoit confacré à Vulcain. On portoit une
effigie du lion dans les facrifices de Cybele. Signe du lion
dans le zodiaque, fon origine. IX. S5y-^-
L io n , {IcIuJiyol. ) forte de cruftacée. IX. 5^9. b.
L ion marin, {Hifl. n.it.') gros animal amphibie. Lieux
oil on le trouve. Defeription qu’en a donnée l'amiral Anfon.
Abondance de fa graiffe. Cet animal eft d’ailleurs fort fan-
guin. IX. 559. b. En quoi il différé des veaux de mer. Hif-
tüire naturelle des lions marins. Qualité de leur chair. Facilité
de les mer. Danger de s'expofer à leur fureur. Ibid. ^60. a.
L io n , {^jironom.') Conffcllation, figue du zodiaque. IX.
560. .Z.
Lion , moyen de connoitre cette confteilation. Suppl. II.
^66. b. Principale étoile du lion. Snppî. I. 824. a. Suppl. II.
566. b. Voyc{ Regu lu s .
LiON,/ ’tfr/f ( jljlron. ) Conffellatlon fcptentrionalc. Nombre
de fes éioiles. Longitude ü. latitude de la principale.
SapM. m . 761. a.
L io n , ( Boun. ) muflo de lion. I. 496. a. Dent de lion.
IV, 840. Patte delion. VU . 723. b. XII. i87.iz.Piédeiion.
XII. ^^9. b. Queue de lion. XIII. 707. b.
L ion , goljc de , ( Géogr. ) V i l . 733. a.
L ion ( Marine) ornement de l’éperon du vaiffeau. Grandeur
de cette figure dans les bâtimens liollaiiclois. IX. 360. b.
L io n , {h la jo n ) dlverfes épithètes qu'on lui donne. IX.
560. a.
L ion , (Bbfcn) différentes épithetes qu’on lui donne , félon
les mat’ icres de le repréfemer dans les armoiries. Signification
de ceue ligure fyinbolique. Suppl. III. 760. b.
Lu-r ^ iéopardé- Suppl. III. 274. a.
L ion d'or, ( Monn. ) ancienne nionnoie de France. Lions
d’or lie Philippe de Valois. Autres lions d’or fous Francois I.
IX. s6o. m
L IO N C E A U , {Blafon) animal repréfenté dans les ar-
ino,rit.v Suppl. III. 761. a.
LIONS , ( Geogr. ) ville de France en Normandie. Obfer-
vations lur Bcnferadc ( Ifaac ) , né dans cette ville , 6c fur
fes ouvrages. IX, 360. b.
L fP A R l, {Geogr. ) iflc de la mer Méditerranée, Son circuit.
Ses productions. Qualité de l’air. IX. 361. a.
Lipari, ville capitale de l'ifle du même nom. Antiquité de
cette ville. Origine des Liparlens. Diverfes révolutions de
Lipari. IX. 361. (Z.
LIPARIS ,( Ichthyoll) Defeription de ce poifTon. IX. 361 a.
U V i^ , Pierre d e, {H iß . nat.) pierre qui fe trouve dans
le Potoli prés de la ville de Lipis. Defeription de ccitc pierre.
Scs propriétés. IX. 361.
LU'O.ViE, ( Criirur. ) loupe graiffeufe. IX. 361. a. Exemple
d’un homme qui en avoit une monftreufe. Etvmoloeie
du mot. Ibid. b. ^ 6
L ÎPO TH VM IE , ( AL'iffc.) Compofition de c e mot. Pre-
mli-r degré de fyncope. Moyen de diffiper cet état. Vove?
É v anou is sem en t ,
LIPPE , ( Géogr. ) coincé d’Allemagne. Obfcrvatioiis fur
Lutiulphe Kuffer, tmdes premiers grammairiens de ce fiecle ,
né dans le comté de la Lippe , 6c fur fes ouvrages. Les principaux
qu’il amis au jour Ont des ouvrages fur Suidas, Hcfy-
chius , Mill , Arifiophane 8c Sophocle. Auteur qui a fait
l’éloge de Kufier. IX. 361. b.
L ip p e , {Géogr. anc. & mod. ) riviere d’Allemagne en
Wcllphalie. Son cours. Mort de Driifus aux bords de la Lippe.
Ses expéditions germaniq UC5. Combien il fut cher à Auguile.
Honneurs que Rome rendit à fa mémoire. IX. 362. a. °
LIP P I , {B o t.) Foyei A d a l i .
L IP P ITU D E , (Afe'A’c. 6* Chimr.) autrement ophtalmie.
IX. 362. b. Foyei ce mot. LlPPITUDE, OU CllASSIE , vovf^
ce dernier mot 8c Sclero phtha lmie. Remcde à employer.
IX. 362. b.
L iP SE , {Ju ße -) voye^Juste.
LIP T AU , ou Lypiü, Comté de, {Géogr.) province de la
baffe Hongrie. Ses bornes 8c fon étendue. Sa divifion. Ses
Villes principales. Qualité 8c produCIions du pays. Suppl. 111.
761 . a. Singularités qu’il offre dans le régne minéral, ibid. b.
L I P T ü fE , {Rhct.) figure appellée autrement diminution.
F.xemplcs de cette figure. IX. 561. b. voyer L itote 8c d im inu
tio n.
LI-PU ou Li-pou, {Hiß. mod. ) grand tribunal de la Chine,
‘'’ji'qifff'tion d’état. Objet de ce tribunal. IX. 362. b.
LU 1 R IE , ( Médec. ) efpccc de fièvre. Scs caufes.lX. 361.
b. Ses iymptômes. Méthode curative. Ibid. 363. a.
L I O L 1 v.>
Lipyrie, voye.i efpcce de fievre. V I . 737. a. VII..
323. m
L IQ U A T IO N , ( Mitallurg.) opération par laquelle on fé-
pare du cuivre l’argent qu’il peut contenir. Importance de
cette opération qu’on nomme R a fr a îch ir (voyt:^ ce m o t),
par laquelle on joint du plomb avec le cuivre noir. Comment
elle le pratique ; pains ou pieces de r.ifraichijjément qu’oil
forme par cette opération. Comment on fait couler le plomb
de ces p.ains, qu’on appelle alors pains ou pieces de liqu,irion.
Opération appellée reJJ'uagc. Comment on fépare l ’argent du
plomb d’oeuvre. IX. 363. a. Epines de liquation. Eliaisqu’on
doit faire avantl’opération de liquation. Comment on règle la
quantité de plomb qu’il convient de joindre au cuivre noii\
Il vaut mieux fe fervir de bois 8c de fagots pour la liquation
que de charbon. Ibid. h.
Liquation , fufion partielle. VIT. 298. b.
L IQ U É F A C T IO N , Fiijion , { Synon. en Cbym. & Mélall. )
VU. 398. A
L IQ UEUR , {Hydraul. ) Liqueurs cîiflinguées en craffes
8c en maigres. IV . 363. b.
L iq ueurs fpiricueufes,{Ckymic& Dicte) De la maniéré de
les préparer 8c de les parfumer. IX. 363. b. D e l’iifage de
colorer des liqueurs. Différentes maniérés d'extraire le parfum
des fubffances, 8c de l’introduire dans les liqueurs.
Jbid. 364. a , b. Les liqueurs ne font dans leur état de perfe-
élion que lorfqu’elles font vieilles. En <|ucls lieux on doit
les tenir. Des qualités médicinales des liqueurs fpirinieufcs.
IX. 363. a. Les liqueurs font des cfpeccs de vins doux artificiels
j mais l’art n’imite en ceci la nature que fort groflié-
rcment. Ibid. b.
L iq ueur , (/ ’ /ly/z^.) Pourquoi cerrrdnes liqueurs ne s’ii-
niffcncpas, II. 629. a. Diverfes obfervations fur les coiilcu.rs
dans les liqueurs. IV . 330. b. 33 i. a. Moyen de trouver les
rapports de deiifité entre les différentes liqueurs. IV. 833. b.
Divcrfités obfervées dans l’élévation de différentes liqueurs^
V. 505. h. Liqueurs qui s’évaporent avec le plus de rapidicév
VI. 124. b. Diverfes liqueurs qui refroidiffent la glace en la
fondant. VU . 319. a. Inffrumcnt qui fert àféparer deux liqueurs
de pefantetir diftérente. XII. 123.«. Moyen de fép.->,-
rer par filtration deux liqueurs mêlées. VI. 807. b. Table des
pefanteurs fpécifiques de différences liqueurs en été 8c en
hiver. XII. 448. a. Infiniment appelle pefe-liqueur , voyc:^
A réomètre , B a lance h y d r o s t a t iq u e , 8c Pese-li-
QUEu r . Moyen d’eflimer la fomme de la ténacité 6c du
frottement dans une liqueur. Méthodes pour trouver par l’a-
réom.ctre les parties du mélange d’une liqueur compofée dé
deux autres , dont les pefanteurs fpécificjucs font domiées.
Suppl.Vd. ■ ^oc). a , b. F u yq Fluide.
L iq ueur , {Chym. Pluirm.Dicte. ) t®. Partie thèorciicqiU f i r
les liqueurs. D c la fermentation des liqueurs. XV II . 283. b,
8cc. D ’où dépend le degré de confiftance propre à chaque
liqueur fermentée. 283. i. Les liqueurs concentrées font plus
durables. 286. a. Les principes retirés d’une liqueur fermen*
tée ne peuvent refroidir cette liqueur en les mêlant de nouveau.
Ibid. b. Toutes les plantes rendent une liqueur vineufe.
309. J. Effets de la foudre fur certaines liqueurs. VIL 214. a.
Suppl. III. 103. i î , i . 2". D e la congélation des liqueurs fpirit lieu*
fes.VIl. C77.L Manipulation. Dillillattondesliqueurs. Voy. DISTILLATION.
De l’art de faire des liqueurs douces. X V II . 204..z.
Clarification des liqueurs. III. 303. -z. Concentration des liqueurs.
S02. h. Concentration des liqueurs fortes faites avec le
malt. XVII . 293. b. D e l’art dc glacer les liqueurs. VII. 686.
a. Moyen d'adoucir les liqueurs faites avec le m alt, qui tournent
à l’aigre. X V II . 297. a. Méthode |>our découvrir dans
certaines liqueurs falines le csraélere particulier tlit fel dominant.
316. b. Séparation des liqueurs mêléc-s. V I. 807. b. XII.
123. a. Aromatifation des liqueurs. IV . 272. b. V t lî. 333./'.
3". Propriétés & tifage. D e l’ufagc des liqueurs fpiritucufes, aromatiques,
acides, relativement à la nuciirc du climat. IIÎ.
33 3. U, XVII . 289. a. D c l’iifage des liqueurs fpiritueufes. X.
222. a , b. Danger des liqueurs fortes. Ibid. X VU, 289. a.
Propriété foporifique des liqueurs fermentées. X V . 333.
a. Propriété enivrante de ces liqueurs. XV II . 681. a ,b. 68 :.
a , b. l'oye:;_ Ea u X DISTILLÉES, S u c s , 6c l’art. SpiiurUEUX.
Liqueur de caillou. Foye:^ II. 336. .1.
L iq ueur de corne de cerf fuccince, ( Chym. M.n. méJ}.-. ) nature
du fcl contenu dans cette liqueur. Propriétés attribuées à
ce remcde moderne. IX. 363. b.
L iqueur i/fcry/îu/, {C/tymie) voyci^ L iq ueur DE c a il lo u .
L iqueur yîzz/zzi/j« ou e/prit fum.inlde Libaviiis, {C/iymie)
lieurre d’étain. Origine dc fon nom. Manière de la préparer.
Cette liqueur attire puiffammeut l’humidité dc l’air. Exulic.i-
tion des vapeurs qu’elle répand. IX. 363. b. La liqueur de
Libaviiis précipite l’or de fa diffolution dans l’eau régale, De
plus elle eft propre à la prodiiélion d'un éther, décoiivcne
importante au chymifte. Ibid. 366. a.
L iq ueur minérale anodyne d’Hoffman. ( Chym.Mat. médic. )
Hoffman n’a point obtenu d’éther de fon ]jrocédé, mais feu-
Icmeut un cqzrit doux de v itrio l, un cfprit fulpliui jii.x, \ 0-
latil & l'ne huile éihercc. C ’efl ce dernier produit qu’il célébré*
uniquement. On convient que l’iiuile douce dc vitriol
entre dans la compofiiion d’Hoffman ; ô-c. Suite des recherches
fur la méthode qu’Hoffman a pratiquée. IX. 366. a. Quelle
efl la liqueur minérale anodyne d'Hoff'man qui fe trouve
dans les boutiques. Propriétés que Hoffman atiribiioit à la
fienne. En quelle dofe on la prend. Ufage de l’éther de Fro-
benius./i'iiî'. b. Foye^ Ho f fm an .
L IQ U ID AM B A R , ( Hijl.nat. des droguesexotiq. ) fuc réfi-
neux , liquide, gras , fre. Lieux d’où on l'apporcoit autrefois.
IX. 366. b. Noms de l’arbre qui donne la réfine ambrée.
Sa defeription. Suc qui découle de fon écorce. Huile qu’on en
féparoit autrefois. Autres ufages qu’on tiroit autrefois de cet
arbre. A peine aujourd’hui connoiffons-nous de nom ce parfum.
Ibid. 367. a.
L iq u id a m b a r , {Bot. Jardin.) noms de cette plante en
differ entes lanizues. Son caraélere générique. Defeription 8c
culture de- deux cfpeccs. Lieux où elles croilîént. Suppl. 111.
y S i. b.
L]quidainl:ir, article fur l’arbre dont on tire :eite réfine.
X V i l.6 3 6 . b. C y rrî St y r a x .
LIQUIDE. ( Phyfiq- ) Idée que M. Mariotte donne du
corps liquide. IX. 367. a. Selon plufieurs phyficiens , les li-
üuitles font dans un mouvement continuel ; preuve tirée
lie la diffolution des corps durs par les liquides. Différences
entre les liquides 6c les fluides. Comment les uns peuvent fe
transformer dans lés autres. Doéirine des Carcéfiens fur la nature
des liquides. Ibid. b. übjeftions Sc réponles fur les principes
dcces philofophes./i’izf. 368. a.
Liiiuidc. Différence entre liquide 8c humide. V I. 890. b.
8 9 2 ,-Z. Définition des liquides. 111. 412. a. Coagulation des
liquides. 111. 3 34. b. Mouvement de deux liquides qui fe croi-
feut. 838. U. Mélange de deux liquides d’où fe forme un fo-
lide. 607. a. Séparer d’un iiquide compofé une partie de l’eau
qu’il contient. IV. 860. b. D e l’évaporation des liquides. VI.
124. b. D c la congélation des liquides différons de i’enu. V i l.
684. a. Expériences qui prouvent que les liquides font poreux.
X IIL 124. a. Foyci^FLVlDES.
L iq u id e , {Jurifpr.) fe dit d’une chofe qui eff claire, 8c
dont la quantité 6c la valeur ell déterminée. On entend auffi
p a r c e qui eft aéliiellemcju exigible. IX. 367. a.
Liquide, dette. IV. 906. a.
'L\QV\0E articulation , ( Graiiim.) IX. 367. a.
LIQ UID ER. ( C'o//z//z.) Liquider des intérêts. Liquider fes
affaires. IX. 369. a.
L IQ UID ITE . {Cliymic) C ’eft des événemens ordinaires
de la dnfolution chymique opérée dans le fein des liquides ,
que ‘e déduit l’identité de la fmiplc liquidité 6c de l’ébullition ,
6*0. La liquidité diilinguée par Beccher en mercurielle ,
aqueufe 8c ignée. IX. 569. a. Obfervations fur cette diftiuc-
tion , à laquelle l’auteur préféré la diftinélion de la liquidité
en primitive , immédiate ou propre , S e en féconJairc, médiate
ou empruntée. Explication de la premiere : obfervations
fur la liquidité du mercure. Pourquoi il a été trouvé jufqii’à
piéGiit inconcrefcible. Ibid. b. Conjeflurc fur la concrefeibi-
lité de l’air. Explication de la liquidité empruntée. Tous le.-
liquides aqueux compofés 8c chymiquemcm homogènes, ne
coulent que par la liquidité qu’ils empriinteiude l'eau. Liquidité
qu’on procure à certains corps concrets , à certains tels ,
par une chaleur artificielle très-légere. Ces Tels la doivent à
l ’eaii qu’ils retiennent dans leurs cryftaux , 8c que les chy-
miftes appellent eau de ayjtaUiJation. t iifihillte du nitre lo r f
qu’il a été privé de cet te eau. Ibui. 370. z/.
Liquidité ,C:icciulc. UI. 412. a. Différentes fon es de liquidités
confidérées comme aidant ia diffolution. X. 340. b.
L IQ U O R fdicum , vuyiq LiQUEUK DE CAILLOU.
LInE ou Liera , ( Geogr. ) ville des Pays-Bas autrichiens.
Obfervationsfur.lcsouvragcs de Nicolas de L y re , né à Lire ,
bourg de Normandie. IX, 370.6.
L IR E , Lyre ou Licrc , {Geogr.) Origine de cette v ille , de
fon college de chanoines, 8c dc fa chartreufe. Obferva: Ions fur
Giimmare Flyghcns, célébré doéleiir, né dans ce lieu. Suppl.
III. 762. a.
LIRIS , ( Géogr. anc. ) riviere d’Italie. V II, 316.6.
LIS. ( iloz<z/i. jCaraéteres dcc eg enrcdc plante. IX. 370. b.
Lis ,asfodeles. Caraéleres dc ce genre d<. plante. IX. 370, b.
Lis-blanc , la plus commune des efpeccs de iis. Dcfci i|iiion
dc cette plante. IX. 370.6. Lieu d’où elle eft originaire. Ülage
médicinal de fes fleurs 8c dc les oignons. Ibid. 371. .z.
Lis de Saint Bruno, Us-narcife. Caraéieres de ce genre de
plante. IX. 371, <z.
Lis-jacint/ie. Caraélercs de ce genre dc plantc.IX. 371. <z.
Lis narciffe. Caraélcres de ce genre de plante. IX. 370.6.
Lis des vallées. Caraftere de ce genre de plante. Elle n’a
luicun rapport aux Ifs. Le petit lis des vallées ivappartient point
a ce genre. La principale efpccc du lis des vallées eft le lis des
vallées blanc. IX. 371. a. Foye:^ Mu g ul T.
Lis du Japon, appelles jama-juri,yiU.. 40,0. a. S(. kanako-
iiiri. IX. 1 1 1 . d.
1 3 i
l i s orangé, nommé licmé.-oc.ille. VIII. 1 1 1 .6, Lis qui ne fc
U-ouve qu'en Sibérie Sc dans le Kannfchatka. X IV . 644.6.
hls-lsLAnc. {Chym. P/iarm. Mat. médic.) Obfervations fur
l’eau de hs , 6c fur l’Iniile de lis. Ufage des cacaplafmes de fleurs
ou d’oignons de lis. IX. 371. 6.
L is de pierre. {Hiß. nat. ) Pierre fur laquelle on voit en relief
un corps qui rcflêmble à un lis. Divers femimens fur cette
pierre. Fragment de pierre d'ammon que Scheuezer appelle
pierre de lis. IX. 371. 6. En crinu s Ô'Enck in iTes.
L is OuNotrc-Damedulis,{Htj}.mod.) ordre militaire fondé
par Gardas IV , roi de Navarre. Miracle en rcconnoilfancc duquel
il in flituacet ordre, Marques que porioientlesthevallers,
IX. 571.6.
L is , ( Hiß. mod.) ordre de chevalerie, inftiniéparlc pape
P a u lin . Dans qiiêl but il le fonda. IX. 371, 6, Nombre des
chevaliers. Revenu qui leur fut affigné. Marque de l’ordre-
Diftinélion que les chevaliers reçoivent du pape./6zc/. 372.4.
Lis. {L'Ordredu) Inftimiion 8c confirmation de cet ordre.
Privilege des chevaliers dans les cérémonies oii le pape afùfte-
Marquede l’ordre. Suppl.lW. 762. a.
Lis dé argent, monnoie dc France. Son évaluation. IX. 372. a.
Lisd'or , monnoiede France. Son évaluation. IX. 372.4.
L i s , ßeur de. ( Blafon ) Nouvelles réflexions à ajouter à ce
qui a été dit fur l’origine des fleurs de lis dans les armoiries dc
E’rance. IX. 372. a.
Lis , fleur de, voye^ F leu r. V I . 839.4. 860.6. 863. <z, 6.
L is. {Blafon ) Lis de divers émaux. Lis au naturel. Suppl.
III. 762. 4.
L i s , {OurdiJf.)\X. 372.6.
L i s , {Géogr.) riviere desPays-Basfrançois. IX .372.6.
LISBONNE , ( Géogr. ) capitale du Portugal. Obfervations
furia longitude d- c a ie ville. Divers avantages qu’elle rcimif-
loit avant le tremblement de terre qui la ruina en 1753. Son
ancienneté. IX. 372.6. Diverfes révolutions qu’elle a fouffer-
tes. Combien fes rois s'étoient plu à l’embellir. Pei tescaufécs
par le tremblement de terre. Ibid. 573, a. Secours envoyés à
les malheureux liabitanspar le roi d’Angleterre. Peribnliages
dirtingucs dans les lettres , dont Lisbonne a été ia patrie. R.
Jfaac Abarbanel. Antoine de Govea , jurifconfulte. Jérome
Lobü, jéliiiie. Le Camocns, poète céleb; e. Obierv.itions fur
l.i v ie 6c les ouvrages de chaeim d’eux. Ibid. 6.
Lisbonne, ülage des dames portiigaifesde foritr rarcmem de
chez elles. Population dv. Lisbonne, btzpp/. III .762. a. Des cm-
belliffemeiis que le roi Jean V fit à cette capitale. Ibid. b.
Lisbonne, anciennement nommée Olyfppo. X I. 438. a. D efeription
d’une fête publique donnée en 1610 dans cette ville.
V I. 378,4. T remblement dc terre quirenverla Lisbonne. X V I .
382. b.Suppl. 111. 632. a, 6.
LISERON. ( Boian. ) Caraéleres dc ce genre de plante, appelle
en botanique convolvulus. IX. 373. 6, Foye^ ce mot.
Nombre des efpeccs qu’il renferme. Defeription du grand life-
ton commun à fleurs blanches. Lieux où il croît. Propriété dc
la racine. C ’eft unedeslierbcs les plus funeftes aux jardiniers
curieux. Moyen de la détruire. Ibid. 374. a.
Lijeioii, grand X V II . 437. a. Petit lifei'on. Ibid. Efpecc de
lifeion ü’Aiiiériqtie , dont la racine eft nommée inechoacaji:
defciiption de ia racine 6c de la plante. X. 227. a , b.
L iseron é p in e u x , {Botan.) IX. 374. S1MILAX.
LIS)ERE , diftérence entre lifiere, bande Sc barre. IT. 37. a.
Peut ornement qui s’exécute fur les lifiercs de plufieurs ouvrages.
iV . 843. 6. Danger dc foulcver les enfans par la lifiere.
V. 736. 6.
L IS IEU X , ( Géogr. ) ville de la haute Normandie. Origine
de ion nom. Pays dont elle a été la capitale. Seigneur temporel
de cette ville. D e l’évêché de Lifieux. Situation delà
ville. Obfervations fur Pierre Valtier, né à Lifieux ,8c fur fes
ouvrages. IX. 374. 6.
L i s ie u x , (Géo^’ r. ) fa pofition. Fondation de l’abbaye de
N. D . du Pré. Chanoines nommés comtes par le chapitre de
S. Ürfin. Conciles tenus à Lifieux. D es colleges dc cette ville.
Suppl. 111. 762. 4.
Lijkux , anciennement Noviomagus. Suppl. IV. 62. a.
LISLE, au comté Fcnaißhi, ( )chefflieu de la deuxieme
judicature du comté. Avantages dc fa fituaiion. Fondations
dans cc lieu. Sa réunion à la France. Son commerce. Juifs
'qui l’habitent. R ivière qui traverfe cette ville. Suppl. 111. 762. a.
LlSM O RE,(G tv^ r.) ville dc Hollande. Oblérvucions fur
Robert B oyle, né dans cette ville. IX. 374- 6.
L lS O L A , ( Françoisbaronde)zutcuï politique, X IV . 369. a.
LIS SA , ou Jffa,{ Géogr.) ifle du goUc d e 'V en ife , qui quoi-
UC petite n’a pas laiffé d’etre célébré dans l’hiftoire ancienne.
LIS SAG E, voyei L isse. Liffage des étoft'es qu’on glace. "VIL
309. 4.
LISSE, méch. ) acceptions dc cc mot chez les ouvriers
en papiers. IX. 373. a.
L isses, ( M.mne) vo yq C eintes ou Préceintes. Liffc de
vibord. Liffc de plat-bord, fesdimcnfions,6'c. Liffc d’hoiirdy.
; ; I Jri