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temporameiîs ; mais aaijourd'hiii certe do^ïrîne eft beau*
coup moins confidcrée. Los anciens diftingiioienc dtux fortes
de tcmpéramens dans un même corps, l’un qu’ils nom-
moient pondus, ^ l’autre ud juJUiiam. Le dotfteur Pitcairn
rei^arde les tempernmens Comme autant de maladies
iiaturcllès. Il peut y avoir une infinité de tempérametîs. X V I .
56. i’-
Tempérament. Diftoronce entre le tempérament & la conf-
rltution , V I. 670. b. entre l'habitude du corps & le tempérament.
VIII. 18. b. Diftinéiion que faifoient les anciens
de ([uatre tempéramens, III. 765. a. Origine de ce fyftême.
V l l i . 350. b. D ’où dépend la diverfité des tempéramens.
V . 874. b. V I. 670. b. X V . 42. b. Suppl. 111. 36. a. Principes
qui conftituent ces quatre dilférentes cfpeces. X IV . 614.
b. Qualité dn fang dans le tempérament le plus robufte.
Suppl. IV. 723. b. Caufe de l’intempérie froide des tempéramens
pituiteux. VU . 316. a. C e qui conftitue le tempérament
phlegmarique ou pituiteux des perfonnes délicates,
& le tempérament cholérique ou bilieux. Suppl. IV . 726.
a. En quoi les anciens faifoient confifler le tempérament
mélancolique. Void. Tempéramens les plus fujets aux inflammations.
'N'III. 709. b. 722. a. Du tempérament languin.
X IV . 624, b. D e la différence des tempéramens naît le plus
ou le moins de difpofition à recevoir les imprcflions du
cliaud & du froid. VU . 325. b. Particularité de tempérament.
V i l l . 497. a. Influence des tempéramens fur le pouls.
X III. 231. a. Comment la bile .peut agir fur le tempérament.
VII. 37. a. Régime convenable à chaque efpece de
tempérament. XIV. i i . a , b. Difficulté de juger du rapport
entre tels alimens' & tels tempéramens. I. 226. a. Il
importe de travailler à perfeéUonner le tempérament des
enfans. V . 632. a. Cai'fes qui peuvent l ’affoiblir. 659. a , b.
Moyen de le fortifier. 660. a.
T em p lr am en t , i^Mufiq.') maniéré de modifier tellement
les fons, qu’au moyen d’«ne légère altération d.ans la jufte
proportion des intervalles, on piiilîe employer les mêmes
cordes à former divers intervalles, &c à moduler en dift'é-
rens tons, fans déplaire à l’oreille. X V I . 36. b. Origine de
deux feéles de mufiqiie chez les G r e c s , celle des Ariftoxé-
niens, qui étoient muficiens de pratique, 8c celle des pythagoriciens
, qui étoient philofopbes. Réforme de l’ancien fyl-
tème diatonique , par Ptolomée 8c Dydime. Invention du
clavecin par G u y d’Arezze , d’où a réfuké celle de la regie
du tempérament. Auteurs du fiecle dernier qui fe font exercés
à développer la théorie du tempérament. Expofition de
cette tliéorie , fyftême de Rameau. Ibid. 57. a , b. Autre
fyftême de cet auteur. Ibid. 58. a. Difficulté propofée aux
phyficiens, fur l’origine du plaiftr qui rèfulte de la perception
des accords. Ibid. b.
Tempérament. Syftêmede M. Sauveur fur le tempérament.
IV . 6 6 ï. a. Obfervations fur la regie de Rameau. XVI.
404. /-. Quelle eft la maniéré de juger du meilleur tempérament.
Suppl. 1. 829. a.
TEM P ER AN T , ( Thérapeui.) remedesfédatifs ou tempé-
tans. X V I. 58. b. Obfervations fur le fel fédatif 8c le nitre ,
confidéré comme tempérant. Ibid. 50. j .,
Apozême tempérant. I. 341.
Tempérant. tempérant,i.541. b. Poudre tempé-
T EM P ÉR AN C E , {M om ie ) vertu qui met un frein à
rante. X III. i
nos appétits corporels; fes deux branches font la chafteté
8c la fobriétê, dont les oppofes font l'incontinence Sc la
gourmandife. Différence entre la continence 8c la chafteté.
La continence, quoique volontaire, n’eft point eftimable
par elle-même. Raifon de fageffe qui doit nous éloigner des appétits
fenfuels oppofés à la tempérance. X VI. 59. a. ^oyei SOBRIÉTÉ
, C hasteté , Modération.
T EM P É R A TU R E , {Géogr.) elle n’eft point la même
dans les pays fitués fous le même climat , cm fous les climats
placés des deux cotés de l’équateur à diftances égales.
lU . 333. b. D e la diverfe température qui régné dans les
différentes parties du globe. V IL 624. b , 6cc. V o y e z Climat ,
Zone, Chaleur y Froid, Saifons.
TEMPÉRÉ , ( Phyfiq. ) quel eft ce terme dans la graduation
du thermomètre. V i l . 316. b.
T empéré, genre, (R h é lo r iq .)V .’{■ ^O.a.VU.'^g'^.a.
T empérées , lones, ( Géogr.) X V I I . 724. a , b. 723. a.
y— a. Les peuples de ces zones défignés fous le
nom d'hétérofeiens. XI. 465. a , b. Des faifons fur les zones
tempérées. X IV . 528. b , 8cc. Rapport entre les degrés de
chaud 8c de froid que le iliennometre parcourt fous ces
zones. VII.326.
T EM P Ê T E , {Pb yftq .) endroits de l'O céan fujets à des
tempêtespériodiques.XVl, 39.é.
Tempête. Des tempêtes fous la zone torride. X V II . 729.
b. Qualité phofphoftque de la mer dans les tempêtes. X.
363. b. XI. 333. b. Oifeaiix qui paroiiTent en pleine mer
pendant qu’elles durent. X V I . 476. a. D e la néceffité de
jetter en mer pendant la tempête une partie des marchan-
difes que porte le vaiffeau, VII I. 328. a , é. 8c de couper
T E M
les mâts. IV. 331. a. Manoeuvres à faire quand un Vaîlfeait
a perdu fes mâts. 806. <i. Feux qui paroiflent ordinairement fur
la fin des tempêtes. U. 733. IV. 1016. d. V I . 613. é.
T empête , ( Myth. ) elle avoit un temple à Rome. A quelle
occafion il fur élevé. Monument ou infeription furréreéÜoa de
ce temple. X V I . 39. é.
Tempête. Prêtres cliez IcsGrecs qui ohfervoient les tempêtes.
II. 341. d. Eolea joué un grand rôle d.ansla poéfie, pour les
réprimer ou les exciter. V . 739. a.
T empête , {Peint, po'étiq.) obfervation fur les tableaux
que les anciens poètes ont faits de ce phénomène. D e l'aveu
des connoiffeiirs , c’eft V irgile qui a remporté le prix
dans cette carriete. Sa defeription , ici rapportée, eft contenue
, Æneid. l'h. I. v . 87 , Sic. Si 106 , &c. X V I .
60. a. Poètes anglois qui ont excellé dans cette forte de
defeription. Traduélion françoife de celle de Thompfon.
Ibid. b.
Tempête. Defeription de ce pliénomene. Suppl. III.
S<>7 - «• I
TEMPLE, Tempe, {Synon. Anatom. )racadémle françoife
préféré temple i tempe. Jugement oppofé de l’auteur. X V I . 6i.i
a. Foyei T empe.
T zMvle , Eglifc, {Synon.) différences dans la fignifica-
tion 8c l’ufage de ces mots. X V I . 6 1. a.
T emple, {Arck it.) defeription d’un temple bâti félon
l’ancienne architedure. Différentes fortes de temples. Temple
amphitroftyle , ou double proftylc. Temple à antes.
Temple diptere. Temple hyj>etre. X'VI. 61. a. Temple mo-
noptere. Temple périptere rond. Temple proftyle. Temple
pfeudüdiptere ou diptere imparfait. Temple tétraftyle.
Ibid, b.
Temple. Allés d’un temple. I. 212. b. Temples appelles
hypetres , monopteres , péripteres , pfeiulodipteres , voyez:
ces mots. Pinacles des temples. XU. 635. a. Ornement
que les anciens mettoient au faîte de ces édifices. V I, 421.
a , b. Efpece de citerne ou de réfervoir dans les temples.
434. b. Efpace de terre qu’on lailToit autour des temples. X IL
355-^-
T emple de D ieu, ( Crhlq.facr. ) différentes ftgnificatlons de
ce mot dans l’écriture fainte. X V I . 61. i.
T emple dé Salomon, {Hifl. facr.) defeription de cet édi-'
fice. Réflexion fur le nombre des ouvriers qui furent employés
, 8c fur les fommes que dépenfa Salomon, pour la
feule conftriiftion du temple intérieur ou proprement dit. X VI,'
61 . b. Monumens facrés qui y étoient contenus. Hiftoire
des événemens qui concernent ce temple. Hiftoire du fécond
temple dans l’article Jérusalem. Ibid. 62. a.
T emples Juifs & des Samaritains, {H iß . anc.) T emple
de Jérufalem. VIII. 311. b. Temple d’Onias. IX. 787.
b. XI. 483. a. Temple de Garizim. VII. 316. b.
T emples, {L its .) la politique fe flatta par de magnifiques
ouvMges de l’a r t , d’imprimer plus de refped dans l’ef-
prit des peuples : telle fut l’origine dos temples. C ’étoit fur
des pierres brutes ou des mottes de gazon que fe firent les
premieres offrandes à la Divinité. Les premiers temples
furent les bois qu'on appella facrés. X V I . 62. a. D elà l’u-
fage de planter des bois autour des temples. C ’eft en Egypte
que la conftrufHon des temples prit naiffance. Elle fut portée
delà chez les Affyriens , les Phéniciens, paffa dans la
G rec e, Sc de la Grece vint à Rome. Nations qui n’admirent
jamais l’ufage des temples. Obfervations fur les villes
dévouées à quelque divinité , qui delà prirent le nom de
facrées. Divers moyens qui furent employés pour augmenter
la dévotion des peuples pour les temples, Afpeft iin-
pofant de ces temples. Parties dont ils étoient compofés.
Ibid. b. Temples célébrés de l’antiquité : auteur à confulter.
Refpeél qu’on avoit pour les temples. Décorations dont ils
étoient ornés. Comme les temples étoient deftiiiés au culta
des dieux , on avoit égard dans leur ftruflure à la nature 6c
aux fondions qui leur étoient attribuées, 8c les ornemens
d’archtteéhire que l’on voyoit dans ces temples , faifoient
aiiffi-tüt connoitre la divinité qui y préfidoit. Ibid. 63. a^
Temples confacrés par différens peuples à leurs bienfaiteurs.
Ibid. b.
T emples, {L in .) origine des temples. IV . 330. b. X I ;
371. a. Pourquoi la ftatue d’Harpocratc fe trouvoit à l’entrée
de la plupart des temples. VII I. 39. Réflexion fur
les richefles dont certains temples regorgeoîent. X V II . 4 13;
b. Temple qui ne fut jamais pillé , quoique fon tréfor ne fut
point gardé. V . 368. a. Temples réfervès au culte du feu.
VI. 638. a. Temples nommés oedes, I. 134. a. fana. V I .
404. b. Petits temples portatifs. XL 133. b. 134. a. Dédicace
des temples. IV . 729. Expiation des temples. V I .
305. b. Projet d’un temple digne d’être élevé à la nature.
IL 492. b.
T emples des Egyptiens, {Antiq.égypt.) leur defeription,
felon Strabon. Magnificence de ces temples , au rapport
de Clément d’Alcxaudric. Principaux temples d’Egypte. X V L
63. b.
T E M
“T emples des Grecs , ( Antiq. grecq. ) les Grecs avolcnt
un fi grand nombre de temples, qu’on en trouvoit à clia-
mie pas dans les villes Si dans la campagne. X V I . 63. b.
Parmi ces peuples , Virnive en admiroit parriciiliéremeiii
quatre ; celui de Diane à Ephefe , celui d’Apollon à Milct,
le temple d Eleufis , 8c celui de Jupiter Olympien à Ache-
nes. Defeription des principales parties dont les temples
des Grecs étoient compofés. Un temple ne pouvoir être
confàcré fans la ftatue du dieu , au pié de laquelle étoit
Ion autel. Temples dont l’entrée étoit défendue aux hommes.
Comment on fourniffoit à l’entretien des temples 8c
de leurs ininiftres. Revenus dont ces temples jouift'oient,
Ibtd. 64. a. Temple que Xenophon confacm à Diane. Ibid. b.
Temples des Grecs. Officiers chargés de la garde 8c de la
propreté de ces temples. XI. 92. b. Temples des erands dieux
à T r ité c .X V L 6 6 3 .é .. ô
^Temples des Rom.Tms , {Antiq. Tom.) Rome 8c l’Italie
n’avoient peut-être pas moins de temples que la Grece.
X V I . 64. b. Il n’arrivoit guere d’heureux ou fâcheux fuc-
cès aux Romains qui ne fût fuivi de la conftruéKon d’un
temple. Origine du nom de temple. Premiers fondateitrs de
ces édifices. Les premiers temples n’étoient que des bois
facrés , 8c les Romains furent fans temples pendant 170
ans. Les formalites requifes pour l’ctabliffemcnt d’un temple
, étoient I autorité des loix , l'oblervation desaufpices,
les ceremonies de la cortfecration. Choix du terrein conformement
à la nature 8c aux fondions du dieu auquel le
temple devoir appartenir. Cérémonies de la fondation du
teiiiple. Defeription de la dédicace. lirid. 65. a. Cérémonies
qui fureat obfervées lorlque l’on rétablit le capitole. On
pouyoit traiter d affaires profanes dans les temples , aprê«
^ o i r tire des voiles qui couvi oienc la ftatue 6c les autels.
Temples où Ion vo yo it les ftaïucs de plufieurs dieux. Emplacement
de la ftatue du dieu auquel étoit confacré le tem-
Ibid. b. Trois autels principaux érigés dans les temples.
Offrandes, prelensSc dépouilles que l’on y confervoit.Tout
ce qui fervoit aux temples, étoit gardé dans une manière
de trefor. En quoi confiftoient leurs principaux ornemens.
La plupart étoient ouverts à tour le monde. Temples particuliers
à un certain dlftriél 8c temples communs qu’il y
avoit à Rome. Leurs miniftres. Ibid. 66. a.
Temples des Romains. Temples communs à tous les Romains
, 8c temples particuliers à chaque curie. X V I . 62 !. a.
Place que les autels occupoient dans les temples de Rome,
ï. 893. b. Lits que les Romains dreflbient dans les temples
des dieux. XIII. 370. a. Temples élevés à ceux qui avoient
reçu 1 honneur de l’npothéofe. VI. 404. ATempIes en l ’honneur
des proconfuls.XllI. 409. .t. V o y e z Te m p w m .
T emples desajjèmblées dufénat, {Antiq.rom.) on voyoit
plufieurs de ces lieux d’alfemblées dans les differentes parties
de Rome : on les appelloit curies. Mais ces affemblées furent
le plus fouvent tenues dans certains temples dédiés à des
divinités particulières. X V I . 66. Le fénat s’affembloit auftl
en certaines occafions dans des lieux découverts. But de la
politique en rendant les temples propres {à l’ufage du fénat.
Chaque fénateur, ayant que de prendre place , adreffoitla
priera à la divinité du temple où le fénat étoit affemblé.
En quelles occafions le fénat s’afTembloit hors de Rome.
Ibid. b.
Temples des principales divinités païennes : voye^ les articles
fuivans Si ceux de chacune de ces divinités.
T emple d Adonis, ( Antiq. égypt. 6- grecq.) divers lieux où
ce prince de Bybîos eut des temples. Réflexions fur fon apo-
théofe. X V I . 6 6 .b. ^
T emple d'A lexandrie, ( Antiq. égypt. ) X V I . 67, a.
T emple d Anaitis , ( Antiq. Cappadoc. ) il eft vraifemblable
que cette déeffe des Cappadociens eft Diane ou la lune. Les
Lydiens avoient un temple de Diane fous le nom d'Anaitis.
Anecdote fur le pillage du temple d’Ana'ùis dans une expédition
que fit Antoine contre l’Arménie. X V I . 67. a.
T emples d Apollon , {Antiq. grecq. rom. ) principaux temples
de ce Dieu dans la Grece & dans l’Italie. Defeription
de celui qu’Aueufte lui confacra, fur le mont Palatin, après
la bataille d’Aétium. Chofes précieufes qui y furent dépos
e s . X V I . 67. a. Ode qu’Horace compofà pour fa dédicace.
Bibliothèque bâtie près de ce temple. Affemblées remarquables
convoquées dans ce même lieu. Confécration que
y ^ifoient de leurs ouvrages, après que le public
les avoit couronnés. Médaille que fit frapper l’académie
françoife lorfqu’elle fut placée au Louvre. Ibid. b.
T empiæs de Bacchus, ( Antiq. ) caratfteres auxquels on
reconnoilioit les repréfentaiions 8c ftatues de ce dieu. XVI,
07. h. Son culte étoit fouvent uni à celui de Cérès. Divers
lieux de la Grece où il eut des temples. Il fut auffi ho-
qu’on lui rendoit dans une petite
ifl^ituée a 1 embouchure delà Loire. Ibid. 68. ^
T emple de Bellone { Antiq. rom. ) X V I . 68. tf.
lEMPLE * Belus, {Antiq.babylon.) cet édifice fut élevé
par Belus lm-ra«me, que plufieurs croient être le même
T E M 755
que Nemrod. DimenfionS 8c defeription de cette fimeufe
tour , communément appelléc la tour de Babel. X V I. 68.
a. Embelhffcmcns que ^abuchodonolbr ajouta à ce temple.
Iillage qu’en fit Xerxès. Statues d’or 6c autres nchcffes
q u il y trouva. Lu magnifique qui croit placé au plus haut
de la tou r, 8c où il n’étoit permis à perfonne de coucher.
Il ce n'cft à une femme que le prêtre de Bélus choififfoit
I f T ] , ^ honorée de la préfcncc du dieu.
T emple de bonus eveiitus, ( Antiq. romaine) ftatue du
dieu du bon fuceès, qui fe voyoit dans ce temple. XVI,
69. a. ‘
T emple t/e Cardia, (.<^/7/ùy.rom.) XVI.69. <7.
T emples de Caßor & Po llux, {Antiq. grecq. & rom.) fiât
e s que renfermoit le temple qu’ils avoient à Corintlie,
Principal temple des Diofeures à Rome. Serment que les
Romains faifoient en leur nom. Obfervations fur le portique
d’un temple de ces divinités, qu’on voit encore dans ua
quartier de Naples. X V I. 69. a.
T emples de Céres, ( Antiq. grecq. & rOm. ) obfervations
fiir les principaux temples que cette déeffe avoit dans la
Grece , la Sicile 8c 1 Italie. X V I . 69. a. Bon mot de
Léotichidas au prêtre du temple qu’elle avoit à Sparte.
Ibid. b. ^
T emple de la Concorde -, ( Antiq. rom. ) on en voir des
débris à la defeeme du capitole. Il fervoit de lieu d'affem-
blée du fénat. Statues dont il étoit enrichi. Sa defeription.
X V I . 69. b. Autre temple de la concorde , où les ambaf-
fadeurs envoyés vers le fénat attendoienc fa répoiifc. Ibid.
70.
T emples de Cybele, ( Antiq. grecq. & rûrn. ) cette, déeffe
honorée en Phrygie , particuliérement à Pcffmunte , d’où les
Romains, l’an 348 de R om e, firent venir fa ftatue, qui
confiftoit en une groffe pierre informe. P. Cornelius Scipion
Nafica, fut envoyé avec les daines romaines au port d’OlÜe
pour la recevoir. Ereftton du remple qu’on lui confacra. XVI,
70.
T emples de Dagon, ( Antiq. phénicien. ) X VI. 70. a.
T emple de Delphes , ( Antiq. grecq. ) il poffédoit un
chef-d’oeuvre de Phidias 8c des richeffes immenfes. XVJ:
70. 4.
T emples de Diane , {Antiq. grecq. £• rom. ) obfervations
fur le temple qu’elle avoir fur le mont Aventin. X V I . 70. a.
Anecdote au fujet d’une paire de cornes de vache dont il
étoit orné. Temple de Diane élevé en Sicile par Augufte.
Autre qu’elle poffédoit dans l’ifle d’Icarie. Ibid. b. Foyer T emple
d’Ephese.
T emple de tous les dieux, ( Antiq. rom. ) fiipplément à
l’article Pantheon. C e temple eft connu aujourd’iuii fous le
nom de Rotonde. Deffin qu’en a donné le P. Momfaucon.
Hiftoire 8c defeription de cet édifice. X V I . 70. b.
T emple d’E leufis, ( Antiq. grecq. ) un des plus célébrés du
monde, élevé en l’honneur de Cérès 8c de Proferpine. Il
pouvoit contenir 30,000 perfonnes. X V I . 71. a.
T emple d'Ephefe , {Antiq. grecq.) on avoit employ*
deux cens vingt ans à élever celui qui fut brCilé par Erof-
träte. Célébrité du fécond temple d’Ephefe , conftruit par
Cheiromocrate. Ses dimenfions. X V I . 71. a, Il étoit un afyle
des plus célébrés, mais Tibere abolit cet afyle. Ibid, b Vover
Diane. ' ^ ^
T emples d'EficuUpe , ( Antiq. grecq. 6-rom.) ftatue de ce
dieu dans fon temple d’Epidaure. Occafion extraordinaire qui
donna lieu à l’éreftion d’un temple de ce dieu dans fille du
Tibre. Raifon du choix qu’on faifoit de certains lieux pour y
bâtir des temples d’EfcuIape. X V I . 7 1 . b.
T emple de la Félicité, {Antiq. rom.) prix que coûta à
Lucullus la ftatue de cette déeffe. X V I . 71. b.
TE7APLE de la F o i , ( Antiq. rom. ) bâti fur le mont Capitolin,
X V I . 72. a.
T emples de la Fortune, ( Antiq. grecq. & rom. ) obfervations
fur ceux que les Romains lui conftrulfirent. Elle eut auffi des
temples 8c des ftatues dans l’A fie mineure 8c dans la Grece
X V I . 72. A.
T emples des Furies, { Antiq. grecq. & rom.) obfervations
fur ces temples. XVI. 72. a.
T emples des Graces, ( Antiquités grecques & rom. ) beauté
du lieu où Etéocle , roi d’Orchomene , leur éleva un
temple. Autre temple que Lacédémon leur conftruifir dans
le territoire de Sparte. Divers lieux de la Grèce où elles en
pofféderent. Temples qu’elles avoient en commun avec d’.au-
tres divinités. Aucune divinité n’en méritoit davantage ,
puifqu’une de leurs prérogatives étoit de préfider à la recon-
noiffance. X V I. 72. b.
T emples SHercule,^ { Antiq. phénic. grecq. £• rom.) ceux
que ce dieu poffédoit à T y r & à Tbafe. X V I . 72. b. Cé lé brité
du temple que les habirans de Gadès lui confacrerent.
Temples qu’il eut à Rome. Ibid. 73. a.
T emples de Janus, {Antiq. rom.) obfervations fur troifi
temples que Janus avoit à Romj. X V L 73. a.