äSi S66 VIR f'iokttis , confen-e de. IV . 42. b.
V lOLETTES, icintuTc & fyrop de, ( Chym. &> Pharmac. ) ufage
que les cliymiftes font tie la reinture de violettes , pour dé-
couviir dans certaines liqueurs falines le caraflere particulier
du fel dominant. X V II . 316. h. Maniéré de préparer cette
teinture. Comment On la réduit en lyrop pour la rendre plus
durable. a.
V iolette aquatique, {^Botan.) fes caraéleres. X V II .
^ V io le t t e , pierre de, oniolitey ( Minéralog. ) forte de
pierre qui répand quelquefois une odeur de violette très-
marquée. Divers endroits d’Allemagne où l’on trouve de ces
pierres. X VII . 317. a.
V IOLIER , Giroflier , {Botan. ) caraélere de ce genre de
plante. XVII . 317. b.
ViOLiER bulbeux, {Botan.") defeription de cette plante.
Lieux où elle c ro ît.X V lI. 317.^.
ViOLiER, {B otan.& M at. médic.) violier jaune. Voye^
G irof lier.
Fioliers connus des anciens. X VII . 316. a.
V IO LO N , (Zw/i. ) defeription de cet inftrument. XV II .
3 17. b. Maniéré de le conftruire. Ibid. 318. a , b. Deferip-
lion de fon archer. Maniéré de tenir le violon pour jouer.
Ibid. 319. b. Figure du manche du violon , avec les noms
des tons que font les cordes, étant touchées aux endroits
où ces noms font écrits. Manic-re de tenir & de conduire
l ’archet. Tablature du violon. Defeription du violon ou viole
d’amour. Son accord & fa tablature. Jbid. 320. a , b.
Violon. BalTe de violon. II. 120. b. Quinte de violon.
X III. 72 1. a , b. Violon nommé fourdine. X V . 413. è. Ar-
pégement fur le violon. I. 701. b. Violon repréfenté dans
les planches de lutherie, vol. V . Il n’y a point d’inftrument
dont l’exprelTion foit plus variée 6c plus univerfelle. Suppl. II.
923. b. 927.
V io lo n , {L u tk.) violon des Chinois. Sw^y/.-IV. 988. i.
V iolons , rois des ,(_Mufîq. ) c’e llà Paris, le chef delà corn»
munauié des maîtres à daiilcr 6c joueurs d’inftrumens. X V II .
321. a. Foye^ Roi.
V IO R N E , ( Botan. ) carafteres de ce genre de plante. Sa
defeription. Lieux où elle croit. Ses ufages en inédeciue.XVII.
VIPERE , ( Ophiolog. ) nom donné à tous les ferpens
dont la morfure cR dangereiife. Nous i f en avons qu’une feule
efpece dans ce pays.Sa defeription. XVII . 321. a. Changement
de peau que les viperes fubiffent au prlntems. Différences
entre la vipere 6c la couleuvre. Diverfes obfervaiions d’hif-
toirc naturelle fur la vipere , fes dents , fon venin. Ibid. b.
Remede le plus alîùré contre la morfure de cec animal. Ibid.
322. J , b.
Vipere , repréfentée vol. V I des planches, Régné animal ,
planche 28. Effets lingnJiers de l’habitude dans certaines
viperes. X V . 43. b. Les viperes n’ont qu’une certaine quantité
de venin, qui étant une fois épuifée , a befoin d’un certain
tems pour fe réparer. X IV. 808. a. Morfure de la v ipere.
Suppl. IV. 463. b. Complications qui ont lieu à la
fuite de la morfure d’une vipere. V I . 729. a. Remedes contre
cette morfure. V II. 470. b. XI. 4^0. a. X ll. 652. a. X V . 107.
i. Suppl. IV. 463.d. M orsure.
V ip e r e , ( propriétés de la vipere regardée
comme aliment médicamenteux. Les viperes font
principalement confacrées au.x maladies de la peau. Manières
de les employer comme remede. X VII . 322. a. Doutes élevés
fur les vertus qu’on leur attribue. Defeription du bouillon
, de la gelée , de la poudre , 6c des trochifqucs de vipere.
Ibid. b. D e CCS préparations , celle qui mérite le plus de
confidération, c’elUe bouillon de v ipere. Ses ufages. Alkali
volatil qu’on retire de la vipere. Précaution avec laquelle les
apothicaires prennent les viperes , lorfqu’ils les tirent de leurs
cucurbites pour l’ufage. La morfure des tètes fcparées du corps
eR auRl à craindre que celle de la vipere entière. Syrop de v ipere
rofaorant. Ufages du fiel 6c de la graille de cec animal. Ibid. a.
Vipere , pelée de. IV . i^ j.a .
V IP E R IN E , {Botan.) caraflercs de ce genre de plante.
Defeription de l’efpece appellee p?r Tournefort, cc/n'u/n vul~
gare. Lieux où elle croit. Obfervation fur la vertu fpécifique’
qu’on lui a attribuée contre la morfure de la vipere. XVII .
323. i.
V IR A G O , {Idijî.anc.) femme d’une taille ou d’un courage
extraordinaire. Dans la V u lg a te , Eve eR appellee Virago.
XVII. 324. a.
VIRBJ C LIVU S, ( Gèogr. anc. ) colline d’Italie, où Hippo-
Ilte étoit honoré fous le nom deVirbie. X V II . 324. a.
VIR BIU S , ( Mythol.)nGm que D iane fit porter à Hippolite,
lorfqu’elle l’eut rappelle àla vie. Hifloire de la fécondé vie de ce
héros. X V II . 324. d. :
VIRE , (Géogr.) ville de F rance, en Baffe-Normandie. D i-'
verfes obfçrvations fur ce lieu, 6c fur quelques perfonnes remarquables
dont ellea été la patriejToiiÛàintDefmaresi XV II .
V I R 324. a. Jean Goffelin ; Jean-Baptifte D uhamel;Michel le Tel- h'ir.lbid.b.
Vire d’hydraulique , terme deblafon; nom d’une riviere
de France en Normandie. XVII. 323. d.
V IR E L A Y , ( Pojße) petit poèmefrançois , qui eR préfen-
tement hors d’ufage. XVII . 325. a.
V IR EM EN T , (Comwz.) terme particuliérement en ufage
fur la place du change à Lyon. Les viremens do partie font
en ufage dans toutes les banques de commerce. Etablif-
femenc qui s’en fit à AmRerdain en 1608 ou 1609. XVII.
325. d.
VIRER , ( Marine') virer au cabeRan. Virer de bord. Virer
vent arriéré. Virervent devant. XVII . 323./’.
^irer mulgréfoi. III. 177. é. Virer enquillé : voyez ./^battre
un vaijfeau. Etabliffement qu’on fait le long du vibord lorf-
qu’on v eut virer. Suppl. I. 808. b.
V IR E T , ( Pierre ) théologien. XL 375. a.
V IR E T ü N , forte de fléché autrefois en ufaee en France.
V I. S30.d.
V IR G l , ( Geogr. d/iir.) ville d'Efpagne nommée Urce , par
Ptolemée. Urci, Urgi, Virgi, Birgi 6l M urgi, étoieiit autant
de nomsfie la même place. X V II . 323. b.
V IR G IL E , {Publius Virgilius N ajo) Mantûue à jamais célébré
par la naiffance de ce poète. X. 39. a. Obfervations
lur Virgile 6c fes ouvrages. XII. 818. d , b. Son caraélere
moral. 474. a. Son adreffe à faire fa cour à AuguRe 6c à
la nobleffe romaine. X V I . 688. a , b. Comment il fut récom-
penfé pour fon éloge de Marcellus dans le fixieme livre de
l’Enéide. VIII. 468. a. Son goût pour Naples : lieu de fon
tombeau. Suppl. IV. 242. b. 262. a. Lauriers que l’on prétend
être nés fur la coupole de fon tombeau. IX. 320. b.
Virgile n’a prefque rien écrit qu’il ii’ait imité. VII I. 367. b.
Comment il fe rend original en imitant Homere. 368. b.
A rt avec lequel il prépare les paffions de fes leéleurs. XII.
148. b. Deferiptions 6c art de peindre de ce poète. SuppL
IL 704. b. Exemples du fublime tirés de fes ouvrages. X V .
566. b. Sa defeription de la tempête. X V I . 60. a. Des églo-
giies 6c paRorales de ce poète. V . 426. b. 427. a , b. 428.
a , b. XII. 139. a. A rt avec lequel il a fu exprimer en
vers nobles les travaux de la campagne. IX. 243. b. Eglogue
de Virgile fur Silene. X V . 192. b. Obfervations fur fes géor-
giques 6cfonEnéide,voy«{ces mots. Téinoignaec de ce poète
fur le tems où les Grecs connurent l’équitation. V . 890. a , b.
Sorts de V irgile. XV. 377. a. 378. A
V IR G IN A L , lait, {Pharm.) fa préparation & fon ufage.
i l . 203. d. IX. 210. b.
V IR G IN A L E , {Mufîq. inßr. Jn tiq .) efpece de flûte aiilîi
nommée parihcnienne. Suppl. IV. 988. b.
V IR GINEN SEou f 7 ^i/:d/i.’ , {Mythol.) divinité que l’on
invoquoit chez les Romains , lorfqu’on délioitla ceinture d’une
nouvelle époufe vierge. XVII. 3 26. a.
V IR G IN IE , terre de,{Hiß. nat. ) terre bolaire qui fe trouve
en V irginie. X V II . 326. a.
V ir gin ie , ( Gèogr. ) contrée de l’Amérique feptentrionale.
Ses bornes. Origine de fon nom. Premiere colonie angloife
fondée en ce pays. Obfervations fur la qualité du p a y s , fes
produélions, le caraélere, les moeurs, la religion des naturels
de Virginie. XV II . 326. a. Principales rivieres qui l’ar-
rofent. Lieux qu’occupent les colonies. Ouvrages anglois à
confulter fur ce pays. Population des colonies. HiRoire
de leur etabliffement 6c de leurs progrès, b.
Virginie. Cérémonie que les fauvages de ce pays pratiquent
fur leurs jeunes gens. VII I. 336. a , b. Coquilles qui
leur fervent de monnoie. XII. 2 14. b. De la religion de ces peuples.
X III. 724. è.
Virginie , jeune romaine : fa mort tragique. Suppl. II.
4 1 7 - «ï-
VIR GINITÉ , {Phyßol. ) peinture de la virginité par Catulle.
Efpece de folie qui a fait un être réd de la virginité
des filles. Examens ridicules 6c indécens de cette qualité.
XVII. 327. d. Signes équivoques de virginité. Changerfiens
qui arrivent dans les parties de l’un êc de l’autre fexe dans
dans le tems de la puberté. Ibid, Il y a des femmes dont
la virginité s’efl renouvellée jufqu’à quatre 8c même cinq
fois dans l’efpace de deux ou trois ans. Cependant ce renouvellement
n’a qu’un lems , 8c ne peut avoir lieu que
de quatorze à dix-fept ou dix-huit ans. D ’ailleurs les filles
dont la virginité fe renouvelle , ne font pas en fi grand
nombre que celles à qui la nature a refufe cette efpece do
faveur. Infibulation que pratiquent rérfaîns pèiiples ' d’Afic
6c d’A/rique pour s’affurcr de la virginité des filles. Ibid.
328. a. Autres nations qui méprifent l'a virginiié, 6c qui regardent
comme un ouvrage fervite la peine qu’il faut prendre
pour rôter. Ibid. b. Voye^ DÉFLORER.
Virginité. Preuve de virginité felon les anciens anatomiRcs.
IV . 730. a. De la maniéré ancic.mie de conRuter la virginité.
Suppl. III. 481. a. D e l’eflufion du fang confidérée comme
preuve de virginité., VIII. 239. a. C e qu’on doit penfer des
figues qu’on t ire 'd é l’exiRence de la membrane appellée
V I S hymen. 393. a. Marque la plus sûre de virginité, felon de
Graaf. X V I . 795- Danger des reRrinélifs employés par
des filles, à defléin de réparer la virginité perdue. X IV .
193. b. XVII . 379. a. Ufage de la grande confonde ad fo-
phijücationem virgmitatis.lV. 37. b. Comment on diRitigue
une virginité faélice de la véritable. X IV . ig s . Z-. VoyerV lUKGZ
& Fille.
V ir gin ité , {Hifl. ) diverfes opinions des peuples fur la
virginité. VIII. 259. a. Origine de i’ufage de confacrer la
virginité aux faux dieux ou à leurs prêtres. XL 372. a. Les
filles de la Troade offroient leur virginité au fleuve Sca-
mandre. X IV . 739. a. Ceinture de virginité. II. 799. a , b.
Les anciens ne faifoient mourir les vierges qu’après leur avoir
ôté la virginité, lV .7 3 0 .ii.
V ir g in it é , {N ijl.eccl.) les peres de l’églife parlent de
quatre états de filles vierges. Les une s , fans faire de voeu
public, confacroieiu à Dieu leur virginité dans le fecret de
leur coeur. XV II . 328. b. Vers le milieu du troifieme fiecle,
quelques vierges pour fe dlRinguer des filles du monde ,
prirent un habit différent des leurs. D ’autres vierges étoient
celles qui faifoient un voeu public de virginité , 6c rece-
voient le voile de la main de leur évêque. Ces trois forces
de vierges demeuroient dans le monde , ou chez leurs parens
, ou dans quelque mailon particulière qu’elles choifif-
foienc pour retraite. Mais il y avoir une quatrième efpece
de vierge , qui auffi-tôt après leur profeffion publique , le
renfermoient dans un monaRere pour y v iv re fous la conduite
d’une fupérieure ; ufage qui commença dans quelques
églifes d’Orient au commencement du quatrième fiecle ,
Ibid. 329. a, 6c en France dans le feptieme. Après l ’éta-
bliflèmenc de ces monaReres, les filles qui avoient fait voeu
folemnel de virginité, n’étoient point aRreintes à s’y renfermer.
C e ne fut que dans la fuite , 6c pour prévenir divers
inconvéniens, que l’églife les y obligea. Le voeu public 6c
folemnel de virginité étoit toujours accompagné de la réception
du v o i l e . V ier ge .
V IR G U L E , {Gramm.) regies fur fon ufage. XIII. 17. a,
h. &c.
V ir g u le , échappement à , { Horlog. ) X IV . 140. b.
V IR IL , ( Gramm. ) âge viril. Les jurifconfultesnefontqu’un
feul âge de lajeuneffeSede la virilité. A Rome lajeuneffepre-
noitlarobe virile à 14 ou 13 ans. XVII . 329. b.
'\lK li-,{P hyfioL& M édec.) defeription phyfiologique de
cet âge. Suppl. I. 2C0. b. Gaulés de la fupériorité des forces
des hommesfurcelles des femmes. V L 160. a. Maladies de l’âge
v ir il, qualité des remedes qui lui conviennent. 1 . 1 70. b. Régime
de cet âge. X IV . 1 2. a.
VïK lLt ,{Jurifpr.) fuccéder par portions viriles. En matière
de gains nuptiaux 6c de lùrvie , lorfque le conjoint
furvivant n’en a que l’ufufruit , il ne laiffe pas d’y prendre
une virile en propriété, au cas qu’il ne fe remarie pas.
XVII.330.<r.
V ir i l e , {Mufîq. injîr.Antiq.) efpece de flûtes que les anciens
divifoient en deux fortes qu’ils appelloient parfaites 6c
plus parfaites. Leur ufage. Suppl. IV. 989.*!.
V IR O LE , ( Éfor/ug. ) virole du barillet. V irole du balancier:
maniéré dont on y fixe le reffort fpiral. Avantage que l’horloger
retire de la v irole du balancier. X V lI . 3 30. d , b.
V IR TU ELLE , diJUnaion , {Logiq.) V i l . 182. a.
V IRTU O SI d’Italie, ( Mufiq. ) pourquoi ils nous plaifent 6c
déplaifcnt. VII. 763. i.
VIRUS vèrolique, ( Méiec. ) voye[ VÉROLE. Inconvéniens
de l’ufage du mercure dans le traitement de cette maladie.
Eloge (lu remede découvert par M. Agitony , chirurgien 6c
botaniRe. Suppl. IV . 989. a. Diverfes confidérations propres
à lui procurer la cônfiance du public en faveur de la méthode
pour l’extirpation radicale du virus vénérien. Divers
ufages du même remede. Ibid. b.
Virus. Sa facilité à fe communiquer. IV. 109. b.
V IS , {Méchan. ) une des cinq puiffances méchaniques.
Defeription 6c ufage de cette machine. Théorie ou c.dcul de
la vis. I®. Si la circonférence décrite par la puiffancc en un
lourde v is,eRàla diRanceentrcdeuxfpircsquiiéluivcnt immédiatement
, .comme le poids ou la réfiRaiicc eR à la puiffaïu c ,
alors la puiffance 6claréfiflanceferonten équilibre. Ibid. 3 31. j .
2®. Plus la diRance entre deux fpires eR petite , moins il faut
employer de force pour vaincre une réfiRance. 3". Si la vis
mâle tourne librement dans l’écrou , la puiffancc retpiilc
pour fiirmonter une réfiRance, doit être d’autant moindre
que le levier eft plus long. 4°. La diRance de la puiil'ance
au centre de la v is , la diRance de deux fpires, 6c la quantité
de la puilTance , étant données, déterminer la réfiRance
que l’on pourra furmonter. 3". La réfiRance qu’une puifl'ance
donnée doit furmonter étant connue , déterminer le diamètre
de lavis, b.
Vis fans fin. Théorie ou calcul de cette machine, i®. Cas
où la puiffance appliquée à la manivelle d’une vis fans fin,
fera en équilibre avec le poids ou la réfiRance. 1 1 n’eR be-
4bin que d’une très-petite puiffance pour élever un poids
V I S 867
confidérable par le moyen de la v is fans fin. 2». Etant donné
le nombre des dents de la rôue que la vis fans fin fait
tourner, la^ diRance de la puiffance au centre de la vis le
rayon de laxe 6c la puifl'ance , trouver le poids que la
machine élevera. X VII. 332. a. Voyei^ planche 2 de méchani-
q iic ,v o l.'V .
V is fans fin, {Horlog.) defeription de cette partie de la
montre , XVII . 332. 6cde fonufage. Ibid. b.
V is d’Archimede ou Pompe fpirale, {Méchan.) machine
propre a 1 elevation des e aux, inventée par Archimede Sa def-
cnption 6c fon ulage. XVII . 3 3 2. Voye[ p landie i d’Iiydrof-
tarique, vol. \'.
V i s , {H ydraul.) X V ll.'^^ i.b .
"Vi s , ( Conchil.) turbo, genre de coquille univalve. Dif-
^rences entre les vis appellécs turbines 8c les turbinces
XVII . 332. b. Vrai caraélere de la vis. Auteurs qui l’ont
confondue avec le buccin. Sept claffes de vis , favoir ,
les vis à bouche longue fans dents, dont le fût eR r a y é ’
2®. celle des vis à bouche dentée, dont le fût eRauffirayé;
3“. celle des vis faites en pyramide à bouche applane \
4°. celle des vis à bouche allongée. 3°. Les vis à bouche
applatie & fort étendue ; 6». Its vis à bouclie large 6c ovale ;
7 .le s vis à bouche ronde. Efpcces renfermées fous chacune
de ces c l a f f e s . 333. a. Del'cripcion de cette coquille 6cde
l’animal qu’elle renferme. Ibid. b. Voye^ Suppl. II. 76. a.
V i s , ( Conchyliograph.) vis d’une coquille.XVII. 353.^.
V is , ( Archit.) contour d’une colonne torfe, d’une colonne
creiife. Vispotoycre. X V II . 333.
V is d efcalier, { Coupe despierres) différentes fortes d’efea-
liers à vis. X V l l . 333. i.
"Vi s , ( Outil d'ouvriers) vis de bois , vis de fer. Leurs différences
fortes 6f leurs ufages. XVII. 333.
Vis. D e la maniéré de faire des v is , foit en b o is , foit en
métal par le moyen des filières. VI. 799. b. Filières à vis.
798. il. Pas de vis. XII. 109. b. Machine à tarauder les vis
d’étaux , planche 10 de taillanderie , vol. IX.
V is , {Arquebuf. ) vis du reffort de batterie. Vis de bafft-
net. Vis de reflbre à gâchette. Vis de grand reffort. Vis de gâchette.
Vis de brides. Vis de plaque. Vis de culaffe. Vis grandes,
XV II . 334.tf.
V i s , outil a polir les bouts des , ( Horlog. ) defeription de
cet outil. X V II . 334.d. Efpece de tenaille à boucle dont les
iiorlogers fe fervent pour polir leurs vis. Arbre à vis. Ibid. b.
V i s , (/mprimme ) piece principale d’une preffe d’imprimerie.
X V l l . 334. b.
V isa tête ronde, {Serrurerie) deux fortes dc vis de cette efpece.
XVII. 334. é.
V i s , {Serrurer.) X V I I ,818. Vol. IX des planches, Serrurerie
, planche 9.
V I S A , {Jiirifipr.) terme ufité pour exprimer certaines
lettres d’attache que l’évêque accorde à un pourvu de èoiir
de Rome, par lefquelles, apres avoir vu les piovifions, il
atteRe que ce pourvu eR capable de pofféder le bénéfice
qui lui a été conféré. XVII . 334. b. Comment s’efl intro-
ciiût l’ufage du vila. Articles que le vifa doit contenir. Le
vifa forme un titre abfolumeiit néceffaire à celui qui ,i été
pourvu. Ibid. 333. a. Formalités requifes pour l’obtention
du vifa. Du refus de vifa. Moyens que doit employer celui
qui veut fe plaindre de ce refus. Auteurs à confulter. Ibid. b.
Vifa , terme que le garde des fceaux metau bas des ordonnances
6c édits qu’ilfcelle. XVII. 333. A
V IS A G E , ( Anat. Phyfiol. Chir. Médec. ) fignes des paffions
internes exprimés furlevifage. X V II . 3 3 3 . La prodigieiife
diverfité des tr.aits du v ifag e, eR une chofe autant admirable
, qu’utile pour l ’entretien des fociécés. ImpoRure de Clo-
dius fondée fur fa reffemblance à Trebellius Calca. Attention
qu’il faut avoir dans le panfement des plaies du vifage. D ifformités
auxquelles cette partie eR fujette. Moyen dc remédier
aux taches de ronfleur qui viennent du haie. Ibid.
336. a. Moyen de conferver la fraîcheur du vifage. Cau-
fes de la groffeur du teint. Comment on y peut remédier.
It,d. b.
Vifage, voyei F ace. Beauté du vifage { veyc^ Beauté.
Scs proportions. Suppl. II. 544. b. On ne peut rien clianger
à im vifage pour le rendre plus beau. 346. a. Les graces
le'trouvent moins dans les traits du vifage que dansl’efprit
6c dans les maniérés. VII. 766. a. Effets des paffions fur
les traits du vifage. XII. 130. b. Soin que les dames romai-'
nés prenoicnc de leur vifage. X V I . 383. b. Articles de
morale 6c de médecine fur la rougeur du vifage. X IV . 403. b.
406. a. Prétendus vers qui fe logent dans la peau fur le v ifage.
X V . 887. b. 888.
V i s a g e , {Séméiotiq.) pronoflics tirés des divers chan-
gemens que les maladies fontfubir au vifage. X V l l . 336. A
V isage , maladies du , ( Médec. ) pronoflics tirés des différentes
couleurs que prend le vifage. Defeription d’un vi-
fage cadavéreux. Signes qu’on en tire. ConVulfionsôc paraly