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felon les reeles cle I'art. De, etjelifrr lefyaeb le, mideems on:
de, reppore, i faire. &:,ufe,um leur rumfiere , eter.d. Pen de
relToiirces qu’ont les midctius pour atteindre a la certitude
oui donne la pleine conviiSiou. Jbtd. b. D elà la rareté des cas
où il leur eft permis d’affirmer iur des objers qui ne tombent
pas fous les fens. Impoinbilité de faire un traite dogmatique
qui embralTe tout, en affignant à chaque objet le degré dimportance
qui lui convient. Principales queihous de médecine
qui donnent lieu à des rapports judiciaires, politiques ou
économiques. Ibid. 886. Dans les rapuorts judiciaires, le
témoignage des fens mérite la premiere place. Mais li elt en-
fuite permis à l’expert, de rélumer les chofes q in io b fc r v e ,
& d’en déduire les confeqnenccs naturelles. Loriqu eu ulam
de fes lumières, il apprécie des figncs & remonte à la con-
noiflimee des caufes, U devient juge lui-méme. Plan dun
traité de médecine légale. Imperfeaion de ceux qui ont ete
publiés jufqu’ à préfent./éiV. b. Efprit de préjugé , attachement
aveugle aux anciens qui s’oppofe encore à la perfection de
cette partie de la médecine. Importance d’un travail fur cet
objet. L’auteur confidéraiu l’homme dans fes rapports, i®. avec
les loix naturelles, a®, avec les loix civiles , 3'’ . avec les loix
religieufes, trouve danscette divifion celle du traite dont il
donne ici le plan 8c le projet. — Quellions que le mécleun eft
sppellé à examiner,relativement à certains cas ou il doit
»lier de moyens violens qui femblent attenter aux loix de la
nature. Ibid. 887. a. Objet du médecin dans les caufes criminelles.
Des queftions relatives aux caufes civiles , & aux
caufes cccléfiaftiques./éi.^. b. Intervention des piiyficiens pour
décider fi certains événemens rentrent d.ins le cours de la
nature , ou doivent être attribués à des caules (urnaiurelles.
— Celle des médecins pour décider de l'incompatibilité de
certains devoirs avec les befoins 8c les infirmités de la n.-ture
humaine. Ibid. 888. a. Leur obligation d’avertir les malades
en danger de mort, ou leurs patens pour 1 admimllration des
facremens. Quepons à élaguer. Abfurde barbarie qui fiégeo.t
autrefois fur les tribunaux de juftice , 8c qui créa des loix qui
fiibfifiem encore dans nos codes, 8c fervent quelquefois de
prétextes à de nouvelles atrocités. On a quelquefois
quefiioniié les médecins fur la relfemblance ou diffeniblance
des enfans avec leurs peres. Ibid. b. 11 feroit abfurde de vouloir
établir l’adultere fur une preuve de cette efpece. — C’efi
par \es conjeftures les moins fondées qu'on a cru pouvoir
déterminer dans des cas où il a fallu règLr le droit cl heritage
; quels fout ceux q u i, ibuniis aux mêmes caules de mo rt,
ont lurvécu aux autres. — Les épr. uves du feu , de leau
froide, de l’eau bouillante, 6cc. ont aulfi exigé quelquefois
le témoignage des médecins. Ces tems de dél re fiipeillicieux
font inconcevables dans le fiede où nous vivons. Les hémorrhagies
des cadavres , en préfence de ceux qu'on foup-
qonnoit coupables de meurtre, ont exercé l'efpric des auteurs
de médecine légale. Ibid. 889. a. L’examen des philtres, les
prétendues polfcllions, les maléfices, les fortilegcs, ont fait
jadis une partie de l’apanage des médecins. C eft à la honte
de notre fiecle 8c de la radon qu’on cil encore autorifé à
réfuter férieufement les amulettes , bracelets, lachets, ce.n-
tures, remedes fympaiiques , & c. employés de nos jours
pour la giiérifon des maladies. 11 ell trille de trouver à côté
des fiiblimcs efforts du génie , de la philofophie 8c des a rts,
le contrafte de l’ignorance Si de la grolTiere crédulité. Ibid. b.
Médecine, médicament, purgatif. X. 2t;i. a.
MEDEClNt\JKlV£RSELLE, {Medcc. 6-CAym. ) X. 292. d.
MEDECINS AN C IEN S , {Medec.) principaux médecins
g rec s , romains 8c arabes, qui ont vécu jiUqifà la découverte
de l’imprimerie. X. 276. a. Enumération de ces médecins
felon l’ordre des terns' où ils ont vécu. Détails particuliers
qui les concernent, rangés félon l’ordre alphabétique des
noms de chacun. Âbans ; tout ce qu’on en raconte ell fabuleux.
Jbulhiij'en-lbnu-Telmid, médecin .irabc. A~.efias , médecin
‘>rec, malheureux dans l’exercice de fa profelfion. Autre
médecin de ce nom. Ibid. b. Acron , né à Agrigente. Aaua-
rius, ou Jean, fils de Zacarias. Ses ouvrages de Thérapeutique.
Analyfe de ce qu’il a enfeigué fur les palpitations du
coeur. Divers autres ouvrages de ce médecin. Ibid. 277. a.
Adrien. Ægimius. Ælius Promotus , deux médecins de ce
nom. Æmiiius Macer. 'Vers d'Ovide fur ce médecin poète.
Ibid. b. Æfchriùn, médecin grec , de la fefle empyrique.
Remede de ce médecin contre la morfure d’im chien enragé.
Ætius y trois médecins de ce nom , lavo ir, Ætius Sicanius,
Ætius d’Antiodie , Si. Ætius d’Amida. Agaiarchides, furnom-
xné Gnidien. Agathiuns. Ibid. 278. a. ALbucafis , médecin
ar.ibe. Alexandre Trallian. Alexion. Regrets de Cicéron fur la
mort de ce médecin. Ibid. b. Alcxippe. Andréas. Andromachus.
Appollonides. Aventure qui le fit périr, 8c qui ne fait honneur,
n ia fa mémoire, ni à fa profelfion. Archagaihus, il
paffe pour .avoir introduit la médecine à Rome. Ibid. 279. a.
Archigenesy paffage de Juvenal fur ce médecin. Jugement
qu’cii porte Galien. Aretée. Ibid. b. Efpeces de maniaques
dont parle ce médecin. Anorius, comment il fauva la vie
d ’Augufte dans la bataille de Philippes. Ajclépiades, celui qui
remit en ciédit A Rome la médecine qu’Archagathus y avoît
introduite cent ans auparavant. Ibid. 280. a. Le témoignage
de l’antiquité ell.prelque tout à l’avantage de ce médecin.
Afdepiades, àe(cüudms d’Efculape. Ecoles établies p.ir les
Afclepiades, Ibid. A. Méthode des Afdepiadcs de Gnidc, 8c
de ceux de Cos. Athenée , premier foiitiatcur de la l'ede pneumatique.
Ses principes, , médecin arabe./éid. 281.
a. Averrhoès, obfervation fur les paffages que Bayle a recueillis
de différens auteurs au fiijet de ce médecin. Avicenes.
Calius Aurelianus. Ibid. b. Callianax. Celje. Ibid. 28a. <1. Chri-
Jtppe. Critoit. Démocede. Ibid. b. Démocriie d’Abdere. Diodes^
Èi/ipédode. Erafipate. Art avec lequel il engagea Selcucus à
céder fa fécondé femme Stratonice à Amiochus ftm fils qui
en éioit devenu éperdument amoureux. Ibid. 283. a. Ejeu-
lapc y hilloire de ce médecin. Ibid. b. Etrabarani, medecia
arabe. Eudeme y pliifieurs médecins de ce nom. Euphotbus.
E^arhagui, médecin arabe. Galien, {CLiude ) Ibid. 284. a.
Détails fur ce médecin 8c fur les ouvrages. Ibid. b. Garwpon-
tus. Glaucias. Haly-Abbas. Héradide. Hennogene, deux médecins
de ce nom. Ibid. 28^. a. He'odicus. Hérophilc. Hippocrate
, obfervations fur cet illullre pere de la médecine , fur
fa vie & l'ur fes ouvrages : éditions, traduélions, commentaires
qui en ont été faits. Ibid. b. Ibnii d-Baitar, mcdetiii
arabe. Ibid. 287. a. Ib/m Thophail , médecin arabe. Ibnu-
Zohar. Joanna , médecin arabe. Ifaac , médecin juif. Lucius
Apulée. Machaon. Ibid. b. Podalyre. Menccrate, celui qui vi-
Vüit fous le regne de Tibere. Mifuach ou Mejué. Ibid. 288. <t.
Moj'Juon. Aluja , (A n to in e ) . A/yrtp/ij ( Nicolas ) . Or-hafe.
Ibid. b. Palladius. Paracdje. Paul Eginete. Ibid. 289. a. Pluli-
îius de Cos. Praxagoie. Prijdanus , (T h ccd o ru s) Ibid, b,
Quintus. Rhasès , médecin arabe. Rujiis , d’Ephefe. Ibid. 290.
U. Sérapion , deux médecins de ce nom , l'un d’Alexandrie ,
l'autre arabe. Soranus, quatre médecins de ce nom. Ibid, b,
Symmachus. Themtjon de Laodicée. Théophile, fiirnommé
tafpatharius. Th.JJ'alus, difciple de Tliémifon. Ibid. 291. a.
Thograi. C. VaLgius. yeRius Païens. Vindiciamus. Xenopion ,
médecin de Claude. Ibid. b. Si l’on vient .à comparer le bien
qu’ont fait aux hommes les bons médecins, & le mal qu’ont
tait les m.iuvais , on conclura qu’il vaudroit mieux qu’il n’y
eût jamais eu de médecins dans le inonde. Ibid. 292. a.
Alédecins cliniques. III. 536. b. Auteur de la médecine clinique.
VII I. 2 1 1. fl.
Médecins , les premiers médecins s’étoient peu appliqués à
l’anatomie. IV . 1047. Hilloire des premiers médecins.
VIII. 2 i i .é . Comment les fucceflêurs d’Hippocrate ont défiguré
la médecine. XI. 316. a. ignorance des premiers médecins
par rappor? à l’économie animale : anciens qui l’onc
étudiée. 362. b. 363. f l , b. Principe fur lequel les plus célébrés
médecins ont établi leur méthode de traiter les maladies :
conduite qu’ils ont tenue en conféquence. V . 409. a , b.
Coniment doit fe conduire le véritable médecin. IV , 488 a.
Queftions importantes que doivent tâcher d’éclaircir tous les
médecins qui ont à coeur les progrès de l’art. Ibid. b. Que! cft
le médecin auquel on doit donner fa confiance. 573. a. D i-
verfes réflexions fur les médecins empyrlques & les médecins
éclairés. V . 587. a , b. 588. a , é. Danger des mauvais
médecins. VIII. 387. a. Travaux auxquels devroient s’appliquer
les médecins obfervateurs 8c les médecins praticiens.’
738. E Connoiffance qu’il devroit avoir du méclianifme des
mouvemens du corps humain. Suppl. III. 876. a , b. L’efpric
géométrique utile au médecin. X. 221. b. D u médecin obfer-
vateur. XI. 31 1. a ,b . — 313 - 'ï- Utilité de l’aftronomie Sc de
la connoiffaiice de l’air 8c des faifons pour un médecin. X IV .
531. a.
Médecins alchimifles , vtiy^{ ce dernier m o t , & MEDECINE
UNIVERSELLE , PiERRE PHILOSOPHALE. Ces médecùis attachés
à I’aftrologie. VIII. 7 3 1. a , A.
Médecins animips ou édeéliques. V . 270. fl. Fonélions qu’ils
attribuent à l’ame pour conferver ou rétablir la fanté ; leur
doétrine fur les caufes de l’inflammation. VII I. 712. a , b.
Sur les maladies inflammatoires. 722. a. — Voyc^ St a h l ia -
NISME.
Médecins arabes, voyeçce dernier mot : leur doélrlne fur
la faignéc. X IV . 503. a.
Mtdedns chymips, diftingués eohiimoriftes & fermcnt.i-
teurs. VI, 519. fl , b. V llI . 353. a. Obfervations fur ces médecins.
III. 434. b. Leur düélrine contraire à celle des anciens
fur les crifes. IV . 476. b. Leur doftrine fur la digeftion.
1000. b. Par qui la chymie fut introduite dans la médecine.
X. 272. b. Syftême des chymiftes fur la caiife des inflammations
, 8c en général fur les caufes de.s maladies du corps
humain. VII I. 710. b. Principaux médecins chymiftes : leurs
principes. X . 273. a , b. Doélrine des chymiftes fur l’économie
animale. XI. 363. b.
Médecins chirurgiens. 111. 3^^. a.
Aîedecins confultans. IV . 109, a.
Médecins dogmatiques. V . 12. b. ■
Médecins écïeHiqucs. Voyet^ MEDECINS ANIMISTES.
Médtdns empyriques. V . j86. b. V I ll. 2 1 1, b.
Médecin^
M E D
.Médecins épifynthéciqucs.S'. 8 1 1. a.
Médecins galénifies. Foyc^ Gai.lnisME 8c HUMORISTES.
Médecins humonps. Voyc^ Galénimes 8c H umoristes.
Médecins méchaniciens. Voye'i MÉCHANICIENS , MÉTHODIQUES
, Syncrétistes , 8c T héorétiques.
Médecins méthodiques. Voyc^ MÉCHANICIENS, MÉTHODIQUES,
Syncrétistes, 8c T héorétiques.
Médecins fyncréiijles. Voye^ MÉCHANICIENS, MÉTHODIQUES,
Syncrétistes, 8c T ueorétiques.
Médecins theorétiques. Voyc^ MÉCHANICIENS , MÉTHODIQUES
, Syncrétistes, 8c T héorétiques.
MÉDÉE , {Hijl.grecq. & Myth. ) hilloire de cette femme;
fes v en u s ; fes malheurs. Euripide payé par les Corinthiens
pour calomnier dans fa tragédie la mémoire de Médée. X.
292. fl. Auteurs tragiques, qui fe conformain à ce poète,
n’om pu s’empêcher de reconnoitre, que née vertueufe , clic
n’avoit été emraînée au vice que par une forte de fatalité.
Ibid. b.
Médée y comment elle rajeunit Æfon. X III. y6z. a , b. Son
amour pour Jafon : expedition de la toilon qu elle favorila.
X V . 38Ö. fl.
M edÉE , pierre , ( Hiß. nat. ) X. 29 2. b.
M ÉDE LLIN, ( Géogr. ) ancienne ville d’Efpagiie. Son fondateur.
Obfervations hiftoriques, 8c anecdotes fur Fernand
Cortez , né dans cette ville. X. 292. b.
MEDEMBLICK , ( Gf'ogr. ) ville des ProvinCes-Unies.
Origine de f'on nom. Obfervations fur un lac de ce nom , pré-
fentement confondu avec le Zuyderzce. X. 292. b. Malheurs
qu'aelfiiyés Medemblick. Avantages 8c privileges de cette
ville. Sa fituation. Ibid. 293. a.
MEDES , ( Géogr. ) Les Medes 8c les Perfes confondus par
les anciens auteurs grecs. Ecbatane, capitale de M id ie , étoit,
auffi bien que Suze , la réfidence du roi de Perle. X. 293. a.
Medes y du royaume des Medes. V. 582. a. X IV . 421. a.
M ED IÆ , Munis, ( Géogr. anc. ) defci iption qu’en donne
Xenophon. X. 293. a.
M E D IAN , Afec/ifl/if, ( Anal.) nerf du bras , appelle de ce
nom. X. 293. fl. Veine médiane ; médiane céphalique.
Ibid. b.
Médianes, veines. Suppl. 823. b. Ncif-médian. Sz/ppÉ
IV . 42. b.
MÉDIAST IN , i^Anat.') cloifon fermée par la rencontre
des deux facs qui rapift'ent la poitrine, 8cc. Sa dclcripùon &
fon utilité. X. 293. h.
MÉDIASTIN, (^Anai.') duplicature des pleures, qui tapif-
fent toute la capacité de la poitrine, laquelle p.irtage cette
cavité en deux parties oblongiies 8c inégales pour loger les
deux lobes du poumon. Defeription de ces deux efpeces de
facs. Le médiallin eft l’adolTement de ces facs, qui font appliqués
l’un à l’autre à la partie fupéricure , moyenne 8c antérieure
de la poitrine. Stmélure du médiaftin antérieur. Suppl.
n i , 890. fl. & du médiaftin poftérieur, Ibid. h.
M É D IA T E U R , ( Théol. ) dans les alliances entre les
hommes, Dieu eft le témoin 8c médiaieur de kurs eiigage-
mens 1 éciproques. Lorfque Dieu fit alliance avec les Hébreux,
Moife fut le médiateur de cette alliance. Jefus-Chrift médiateur
de rédemption dans la nouvelle alliance. Cette qualité de
médiateur relevée dans l’épître aux Hébreux. Médiateurs
d'incerceftion reconnus par les catholiques. X. 294. a.
Alédiauur, alliance de Dieu avec les hommes par la médiation
de Jefus-Chrift. 1. 285. b. Idée que d’anciens peuples
avôieut conçue d'un médiateur cntie Dieu 8c les honunes.
X IV . 454.-^. . ,
MÉDIATEUR , (Pûliriq. ) Conditions qui rendent une mediation
légitime. Qualités d'un médiateur. X. 294. a.
Alédiauur. Les termes de médiateur 8c de pacificateur ne
font pas toujours fynonymes : exemples. X I. 73 6. a.
Médiateur, (Hifl.de Conßantinople) niimftre d'état fous
l’empereur. Grand médiateur. X. 294. b.
Médiateur, {J eu.) Defeription 8c regies de ce jeu. X.
294. b.
Médiateur. Couleur favorite au médiateur. IV . 334. a.
Tirer les places dans ce jeu. X ll. 674. b. Quadrille avec le
médiateur. XIII. 645. fl. Médiateur folitaire à trois. X V .
32y fl.
M É D IC A G O , ( Botan. ) Caraéleres de ce genre de plante.
Scs efpeces. X. 295. a. Defeription de la plus commune.
Ibid. b.
M ÉD IC AM EN T , ( Thérapeutiq. ) divifion générale des
mcdicamens en externes 8c en internes : troifteme diftinflion
de médicamens moyens que quelques pharmacologiftes ont
ajoutée. Cette diftinftion regardée comme fuperflue, Il feroit
plus cxaél Sc plus lumineux de diftinguer les remèdes en iini-
v crfe ls , 8c en topiques ou locaux. Autre divifion des médicamens
fondée fur leur aélion méchanique. X. 29^ b. Du vrai
principe d’aél'ion dans les médicamens. Vaines tiiéories des
médecins fur la réaélion du corps animal, fur la fucccflioii
des changemens qui amènent le rétabliffement de l'ordre des
foniftions animales, 8c fur l’aélion élcélive des médicamens
Tome II.
E D 2 0 5
6c leur pente particulière vers certains organe«. Ibid. 296. a.
Relativement aux elfecs immédiats des médicamens, on les
dlllingiie en aUérans üc en évaeuans. Enumération des différons
ahérans. Les médicamens diftingués encore en doux ou
bénins, S cenaé tifsou forts. Ces derniers ne dUl'eicin des
poifons que par la dofe : les bénins exercent à peine una
aétion direfle 8c véritablement curative. Médicamens nommés
alimentaux. Médicamens diftingués eu iiniplcs Sc com-
pofés , officinaux , magiftraux , cliymiques , galéniques.
Ibid. b. — Voyc:^ ces mots.
Médicament, difi’érence entre renicdc 8c médicament. XIV.
93. fl. Divifion générale des médicamens en évaeuans 8c en
ahérans. V I. 112. b. Explicaiioii de leurs vertus 8c de leurs
effets. 362. fl. Des heures propres à prendre les médicamens.
X. 297. a. Analogie que doivent avoir ceux dont on fait mélange.
3 1 1 . fl. Obfervation fur la préparation des médicamens
odorans. XI. 333. b. Médicamens parégoriques, 93 .2, b.
fpécifiques , X V . 444. b. fiippiiratifs. 681. b. Eoye^ Re-
MEDE.
MÉDICAMENTEUSE. Pierre. XII. 379. k
M ÉD IC IN A L , heures médicinales, ( Mal.id. ) quelles font
ces heures propres à prendre les médicamens, üans les divers
genres de maladies. X. 297. a.
Médicin.iles , plantes. Voyei MATIERE MÉDICALE.
MÉLTC.INIeR , ( Botan. ) caraéleies de ce génie dé plan-
, appelle ricinoides. X. 207. a.
MÉDICINIER, ( Botan. ) ou pignon. Defeription de cet
arbufte de l’Amérique. Ufage de ces pignons ; leurs propriétés.
Huile qu’on en tire par exprelîion. X. 297. a.
Médicinier d’Amérique, Voyei RlClN Sc R ic in Oïde.
Mèdicinier d’Efpagne, Voyc^ RiCiN 8c PlGNüN d'indE.
M é d ic in ie r , {Mat. tnédic.) propriétés de la graine de
cette plante , de riuiile qu’on en tire par expreifion , 8c des
feuilles prifes par iufufion. X. 297. b.
MÉDICIS. Obfei valions fur les Médicis V I. 877. a. 5izpp/.
III. 34. fl. Suppl.l. 88. b . Colleélions de médailles, mamifcrits ,
ftatues, 8cc. fûtes fous les Médicis. VI. 877. a. X. 229. b. La
gr.ivure en pierres fines rétablie par Laurent de Médicis. X II.
388 fl. 389. b. Colonne de Médicis. III. 632. a. Vénus de
Médicis. X V ll. 37. fl.
M ÉD IE , {Geogr. anc.') hiftolre ancienne de ce pays. La
M cdie , dillinguée en grande Médic , 8c en Médie Atropa-
tèiie. X. 297. b.
M édie , Pierre de , ( Hiß. nat.') X. 297. b.
Medie , huile de, "VIll. 339. b.
M ED J I , ( Botan. ) efpcce de bananier. Suppl. I. 781. b.
M t .D IN A -C E L I , {Géogr.~) ancienne ville d’Efpagne dans
la Vieille Callillo. X. 297. h.
Med ina -del-Cam po , ( Géogr. ) ancienne ville d’Efpagne
au royaume de L é o n , patrie de BahliafarcI Alamos 8c de
Gomez Pereyra. Obfervations fur ces gens de lettres 8c fur
leurs ouvrages. X. 298. a.
M ed ina -de-la s -T o r re z , {Géogr. ) ville d’Efpagne. X.
298. fl.
Medina-del-r io -seCO, {Géogr. ) ancienne v ille d’Efpagne
, au royaume de Léon. X. 298. a.
M edina-Sid o m a , ( Géogr. ) ancienne ville d’Efpagne
dans l'Aiulaloufie. X. 298. a.
MÉDINE , (Géogr. ) ville de l’Arabie heureufe. Signification
du mot arabe medinah. Fameufe mofquée de cette ville
où les mahométans vont en pèlerinage. Tombeaux qu’elle
renferme. Defeription de celui de Mahomet. Pofiiion de Médine.
Son gouverneur. Son enceinte, 8cc. X. 298. a.
Médine , fouverain de cette ville. X V . 635. b. Préfentque
le fultan y envoie. Suppl. I. 308. a. Montagne de fon voift-
nage, 233. b.
M ÉD IO C R IT É , {Morale.) éloge de cet heureux éta t,
qui tient le milieu entre l'opulence 8c la pauvreté. X. 298. a.
Apoftrophe à ceux que l’avarice Sc l’ambition tyrannifent.
Ibid. b. ^
Médiocrité. Defeription de la vie ruftique d’un homme qui
vit dans l’état de médiocrité. X V II . 369. a , b.
Médiocrité des taUris. Réflexions fur ce fujet. X. 601. b.
M E D IO L A N U M , Injubnx, {Géogr. anc.) ville d’Infu-
brle , aujourd'hui Milan. Ancienneté de cette ville. Obfervation
fur les villes nommées Mediolanus. Comment quelques
auteurs latins ont parlé de Milan. Diverfes confidérations qui
l’ont rendue remarquable. Aventure de Céfar avec les ma-
giftrats de cette ville. X. 298. b. ^
Mediolanum , anciens peuples dont cette v ille etoit la capitale.
XL 466. b.
Me d io l a s u m o r d o v ic vm , ( Géogr. anc ) ancienne
ville de la Grande-Bretagne. Les favans d’Angleterre ne s’accordent
point fur le nom moderne de cet endroit. X, 298. b.
Mediolanum , en Bourgogne. Suppl. III. 619. a.
Mediolanum , Saintes, appellée autrefois de ce nom. X IV .
322. b.
M ÉD IOM A TR IC E S , anciens peuples du pays Meffin. X .
4 0 8 ...
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