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rentes de l'iiâtcl de ville de Paris. X. %oC. h. Lettres de ratification
que doit fe urociircr l’acquéreur d'ime rente fur
le roi. X l l l . 825. b. Contrôleur des rentes iur la ville de
Paris. IV. 156. ./ , b. Rentes dues par le roi Sc le clergé
en 157Ô. IbtJ. b.
R E N T I , ( Géoÿ-. ) ville de France en Artois. Evénement
qui r.t rendue Remarquable. Suppl. IV. 506. a.
RENTIER , i^Econom. Politup) Un rentier eft un fiijet
inutile , dont la pare'rte met un impôt fur l’induflric d’autrui.
Vers la rin de la république romaine , on oppofoic aux
riches rentiers do ce tems-là , un Qiuncus Cincinn.,tus, qui
avoit préféré l'oEfcurité de fes occupations rufiiques à l'éclat
de fon triomplie. i’ eimurc qu’en fait Florib. Défuuéref-
l'ernem de ce grand homme. X IV. 121. b.
Jicnr/er , dirtérentes acceptions de ce mot. X IV. 121. b.
R EN TR A N T , <mg!e , ( fortifie. ) I. 464. a.
REN VERbAi T , en {^Algebr.') invenendo , changement
que l'on fait dans les termes d’une proportion. X IV .
122. h.
RENVERSÉ , ( Chir. ) fe dit dos plis qu’on fait faire à
«ne b.inde dans un point de la circonférence d’un membre
inégal, arin que la circonvolution de la bande, qui ne por-
teroit que par un de les bords , ne falfe point de godet.
Comment fe fait ce bandage. X IV . 122.
R e n v er s é , ( Blafon) X IV, 122, u.
K Ei.\ VERSEMENT , ( ) cliangemeiu d’ordre dans
les fons qui accompagnent les accords. Circonliances qui
obligent quelquefois ù ce rciiverfemerir. Renvcrièment de
l’accord. Renverfement des parties. Par-tout où un accord
eft bien placé , tous les renverfemens de cet accord feront
bien pl.icés aulH._ D u rcnve.femuit des accords par fuppo-
fition. L'inteilig,.nce parfaite du renverfement ne depend que
de récude 6c du tr.ivuil ; le choix ell autre choie , il y taut
l’oreille &c le goût. X IV. 122. b.
R env ersemen t , [^Horiog. ) méchanique dans les montres
par laquelle on borne l'étendue de l’art du fiipplénient. En
quoi elle conlille dans les montres à éehappemeni à palette ,
d.iiis ceUes à cylindre dedans celles à vibration lente. X iV .
' R e n v o i , (Jurifpr.) renvoi dans un aéle : les renvois
doivent être approuvés des parties contraftantes Sc des ncr-
taires 6c témoins. Renvoi en fuit de jurifdidion. Il n’y a que
le juge fupérieur qui puiffe uier de renvoi à régmd d’un
juge inférieur. En quel cas la partie peut demander renvoi
à un autre juge. Difpofuions de l’ordonnance de 1667 fur
les renvois devant d’autres juges. Renvoi devant un ancien
avo ca t, devant u.i notaire, 6cc. X IV . 123. b,
Reavol , déni if<;,lV. 825. b>
R e n v o i , ( Comm. ) marchandifes de renvoi. Sur qui
tombent les frais de ces marchiuidifes. X IV . 123. b.
R e n v o i , {Mujiq.) X iV . 123. b.
R e n v o i , ( Imprm. ) obfervaiions fur les renvois qui fe
trouvent dans Je corps de l’Eiicydopédie. V . 642. c. d.
RÉÜ RD IN AT JÜ N , ( Thcolug. ] Le facrcment de l'ordre
imprime un caraétere indi'acable , 6c ne peut être réitéré,
Cependant il eft parlé dans 1 hilloirc eccleîiaiuque de quelques
réordinations. Mai> il elt de principe parmi les théologiens
qu’aucune ordination n’a jamais été déclarée nulle
quant au fonds, mais icuicmtni qu^lqueiois quant a l’exercice
de l’ordre, i,niorte que ces réordmations n’ctoienc qu une
réhabiliiaiion. Fanage de S. Thomas liir ce lujet. X iV . 124.
û. L ’ufage prélent de féglile romaine elt de réordmer les
anglicans. Et ceu.x-ci font dans l’ul'age de reorüiner les mi-
niiircs luthériens ou calvmiftes qui pailent dans leur communion.
Cet ui'age forme un des plus grands obllaclcs à
réunir les luthériens 6c calvmilles avec les anglicans. Les
anglicans en ufent de même à l’égard des prcires catholiques
qui apoÜafient. Ibid. b.
REPAIRE , ( Archil. ) marque qu’on fait fur un mur ,
6cc. Divers ul'ages de ces marques. Repaires que font les
xnenuifiers. X IV . 124. b.
REPAMER les toiles , terme de blanchilTerie. II. 273. a.
RÉi AN D RE , Vtrfer , (^Synonym. ) diftérence cime ces
deux verbes. XIV'. 125. u,
R É PA R A T IO N , ( Jurifpr. ) Différentes fortes de réparations
de bàtiniens.XlV. 123..».Des réparations concernant
un bien faill réellement. Ibtd. b.
Répuraiion. Des moyens par lefquels les crimes font éteints
6c réparés. IV . 469. a , b. Des réparations d’injure. V l i l .
7^2. é. D e là réparation des fautes contraires à la jiiffice
6c de celles qui bleffent la charité. IX. 88. b.
Réparation civile , à qui revient la réparation civile adjugée
pour un homicide. a IV . 125. b.
Réparation d'honneur. X IV . 125. h.
REPARER, ( Medaiil. ) maniéré de réparer des médailles.
X IV . 123. b.
Réparer, terme de doreur fur b o is , de ferblantier, d’ouvrier
en bronze , de fculpteur , de graveur-cizeleur , d’or-
fe vre en grolTerie,de potier-d’écain , 6cc, X IV , las -
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RÉPARTIE , ( Xi/;. ) celle de Catiilus à PJiiKppe. X IV
126. il. A'oy<?? R éponse.
RÉPARTIR Lang, franc.) deux maniérés de conjuguer
ce v e rb e , lelon les deux lignilications dont U ell fuf
cepcible. XI. i z i . a.
RÉPA RT IT IO N , ( Comm. ) Répartitions que la compagnie
des Indes orientales de Hollande lit à fes aétionnaires
en 1610 Sc en i6 i6 . X IV . 126. b.
R e.»>a r t it io n s , {Blafon) divifio.is de l’é a i , ou figures
compolecs de plulieurs partitions. Suppl. IV. 606. b.
REPAS , ( Jdijl. des Hébr. ) Etym. du mot repas. Ceux
qui lotit rapportés dans l'écriture font voir que les premiers
hommes ne connoilîbieiu pas beaucoup les rafineinens en
lait de ciufuie , mais qu’ils fe dédommageoient de la qualité
par la quantité. Quelques-uns penlent que chez les anciens
, les repas étoient trés-fouvent des facrifices , 6c que
c e ll pour cela qu’ils éroieiit fouvent préparés par dos rois.
X r y . 126. b. On peut juger des mets les plus ordinaires des
anciens Hebreux , par les provilions que donneront eu divers
rems à David . Abig ail, Seba , Berzellai. On ne voit
guère chez eux de lâuces , ni de ragoûts ; mais ils coni-
ptoiciu pour les plus grandes délices le lait 6c le miel, Il
y avoir auili cliverles pàiilferies connues dès le tems de
Mülle. Les Ifraéhtea mangeoient alfis à tab le, mais depuis
le regne des Perlés , ils mangeoient coucliés fur des lits
Ibid. 127. a.
J<EP.\S de clurité , { B iß . ccd. ) Voye^ A g a p ES. Ces
lorces de repas étoient fort communs cliez les païens. 1 '• -
tauts que S. Paul , 6c enUiice Theodoret , reprochenr au.x
premiers cliréticns dans leurs repas de chanté. X lV .
^Repa^ de confédération , {H ifl. anc.) Ouvrage à coiJ'ul-
R.PAS par ta t , {Amiq. gtteq. & rom.) Cette forte de
repu. .ONiiui de. anciens Grecs üc des Roinuins. Diflinction
de trois lories de lepas chez les Grecs. X IV . 127. b.
R epas , { 'H fi. une.) don: les anciens fe lcrvoient
dans leurs repas , voye^ CuUPE 6c V a se . Des repas des
aucuns Grecs. I. 112. b. Repas des Athéniens. XI. oc8.
b. Comment les Grecs buvoicm à la famé les uns des
autres. XII. 515. b. Infpeilcur dans les repas qui vcilloit à
ce que chacun bût égaluiiem. V . 695. Directeur des repas
chez les anciens Grecs. X V . 742. a. Des repas publics
cher les atteiens. XII. 501. n , b. X V . 48 .. 4, Repus à la fuite
des faciihces. X V i i. 228. b. Loi.x des anciens contre le luxe
des repas. IX. 674. a , b , 6cc. Auteur qui a traité des repas
des anciens. X V i l. 747. b. Voye^ Festin.
R epas des francs , (B ifl. des u/ages) Leur nourriture la
plus commune etou la chair de porc. Leurs boifi'ons étaient
la biere , le poire , la * taue , 6c diflérens mélanges de
vin. ils avoicni la coutumv de boire abondamment , & ils
faifoient tenir par leurs domeftiques les chandelles dont leurs
tables étoient éclairées. Iis uloiem des mêmes uflenfiles
groihcrs qui font en iifage de nos jours. Ils venoient à
table armes, 8c les meurtres étoient fréquens dans leurs feC-
tins. X IV . 127. b.
R epas funéraire , {Aniiq. grecq. 6- rom.) X IV . 128. a.
, {Critiq. fa cr.) Les Hébreux auroiént
cru le lüuiller en mangeant avec des gens d’une autre religion
ou d une proteffion décriée. L’on remarque dans les
repas des anciens Hébreux que chacun avoit fa table à part
Avant que de fe mettre à table , ils fe lavoient les mains!
Leurs feltins étoient accompagnés de mufique, 8c les odeurs
précieufes y régnoient. X IV . 128. a.
R epas de réception , ( Lut. ) ceux qu’on donnoit lorfqu’on
étoit promu à la charge d’augure ou de pontife. XIV, 128. a.
R epas des Romains , ( Ujag. des Rom. ) Dejeûne-r 6c dîner
des Romains. XIV. 128. a. Quatrième repas qu’ils fiii-
foienc quelquefois après le foiipcr. Suétone 6c Dion font
mention de ces quatre repas dans la vie de Vitellius. Ibid. b.
Repas des Romains : laüe où ils mangeoient. X V I . 634.
b. Leurs tables. X V . 803. a , b. Lits qui environnoient ces
tables. IX. 584. U, b , 6cc. X V I. 634. b. Vafes des fefiins,
Vtiyr^ V ase. Trois fortes de perfonnes dans les repas des
Romains. IV. 168. b. Nom qu’on donnoit à ceux qu’un convié
amenoit de fon chef ii un repas d’invitation. XI. 466.
a. Gens qui ne fe metioiem point à table qu’après s’être
parfumés d’effence. X V I I . 379. b. Robes de repas. XIV.
309. b. X V . 7Ö4. h. Défenfe de paroître en robe noire dans
les fellins. X V I. 369. a , b. Les convives portoiem leurs
ferviettes avec eux. XI. ao. a. X V . 122. b. Libations dans
les repas. IX. 457. b. 458. a. On y fètoit les mufes & les
graces. XVII . 797. b. Maniéré dont les Romains traitoient
leurs convives. IV . 168. b. Difiribution des fervices. XV.
121. f>. D e la délicateffe des tables chez les Romains. IV.
537. b. Defferts à la fin des repas. 892. b. De la maniéré
dont ils biivoient aux famés , voyeç ßoiRE. Gladiateurs
employés pour divertir les convives. X IV . 597, a , b. V o mitifs
que les Romains prenoient quelquefois avant & après
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les repas. XVII . 468. a. Loix des Romains comte le luxe
des repas- IX. 674. a , b , 6cc. Frugulité de leurs diners
ordinaires. IV . l o i i . b. fur les repus des Romains, vuyt^
F estin , So u p e r , T aule.
Rep.is du mon, cérémonie funéraire en ufage chez les anciens
Hébreux , luiin bien que chez pluficurs autres peuples.
Fiiffagc de Banidi l'ur ceux des païens. Deux forces de repas
puiu' morts chez les anciens. Ufage de mettre de
la nourriture fur les fépiiltres des morts. X IV . 128. b.
R epas tfr noces ,{A n u q . grecq.) Defeription qu’en a donnée
Lucien dans un dialogue intitulé les Lapitlies. X lV .
129. -i.
R epas , ( H fi. mod. ) Pourquoi , félon Montaigne , les
déjeûners 6c les collations étoient moins fréquens de fon
teins qu’iiuparavant. X l l l . 850. b. Pourquoi l’on chante ordinairement
fur la fin d’un repas. X. 903. b. Divertilfe-
meiis qui étoient deüinés à occuper les convives dans l'intervalle
des fervices. V . 731 . b. Loix des François contre
le luxe des repas. IX. 674. b. Pricre des pauvres Arabes
après le repas. XVII . 648. b.
R e p a s , {Phyfolog. MrV/cc.) accroilTement produit après
le repas par l’aélion des vailîeaux. 1. 90. b. L ’exercice doit
précéder le repas, VI. 246. b.
REPASbER , terme ulité dans pluficurs arts 8c métiers.
XIV. 129. a.
Repefier les ch.ipeaux. III. 172. b. 173. b. Suppl. II.
323. d.
R E P EN T IR , {Morale). Foye^ R emoRDS.
REPERCUiiblFS , {Mac. mèdic. externe) En quel cas
ces reinedcs peuvent être appliqués avec fruit. Deux clafl'cs
de répercullits , les rafraichilf.ms 6c les affringens. Dodrine
des aii-'ieiis fur l’ufage des répcrculTifs. X iV . 130. a. Examen
de lix principaux cas où leur ufage cil dangereux. Leur
utilité dans les comufions. Ibid. b. Après les amputations des
membres , on fe lérvoit anciennement de réperculfifs pour
fortifier la partie fupérieure. Repereuflifs à employer au
commencement des tumeurs inflammatoires. Ouvrages à
confulter. Ibtd. 131. a.
RÉPERCUSSION , { d u r . ) adion des réperctiffifs. Explication
de la manière dont ces remedes agiffent. Incon-
véniens auxquels ils peuvent être fujets. X lV . 131. a.
R épe r c u ssio n , ( Mtfiq. ) répétition fréquente des mêmes
fons. Efpece de modulation où elle a fur-tout lieu. X lV .
13 1.1 1.
REPERTOIRE , {Comm.) Voye^ T able.
R é p e r t o ir e , ( Luiér. ) fo y e i R ec u eil .
R ÉP ÉT IT ION , {Gramm. ) Il y a trois fortes de répétitions
1 1°. des répétitions nécelTaircs , tellement qu’on ne
fauroit les omettre fans faire une mauvaife conlirudion ;
ou d’autres fois la régularité du ftyle , ou la netteté l’exigent,
a ”. Des répétitions élégantes, qui contribuent à la politelîe
8c à l’ornement. X lV . 131. b. Réglés fur l’emploi des répétitions
dans notre langue, f . Il y a des répétitions vi-
cieufes. Ibid. 132. a.
Répétition , celle de l’adjedif ou de l’adverbe a tenu lieu
du fuperlatif dans certaines langues. X V . 663. b. 664. a.
R é p é t it io n , { A n oral.) Exemples de cette figure tirés
des poètes f'rnnçois , X iV . 132. <i. 6c de quelques auteurs
anciens. S’il y a ûes répétitions de mots pour donner
de la force au difeours , il y a des répétitions d’une
même penfée fous des ornemens différens, qui tendent au
même but. Exemple. Ibid. b.
Répétition , figure de mots. V I . 770. é. 744. b.
R é pé t it io n , {Jurifpr.) Répétition de retrait. Répétition
de témoins. X lV . 135. a.
Répétition , terme de mufique 8c de théâtre j effai particulier
d’une piece. X IV . 133. <j.
Répétitions dans le chant de l’aria. Suppl. I. 554. b.
239. a.
R é p é t it io n , ( Horlog. ) On doit aux Anglois l'invention
de celte lorte de pendules 6c de montres. Hilloirg de cette
invention. Différence entre les répétitions de Barlou 6c
celles de Quatre. X lV . 133. <î - Defeription d’une pendule
à répétition , appellée par les horlogers fans tout ou rien.
Ibid. h. Iiiconvcnient de cette forte de piece. Defeription
d’une pendule à répétition à tout ou rien. Ibid. 134, b.
Répétition , cadrature de la répétition. II. 526. a. Cre-
maillere. IV . 452. a , b. Limaçons. IX. 536. i. Obfervation
fur la réfiftance qifoppofent quelques parties de la cadrature.
VU . 331. b. Rouage de la répétition. X IV . 390. b.
Volans dans le rouage. X V I I . 442. a , b. Calotte. 11. 564.
h. Sourdines. X V . 413. b. Voyc^ les planch. d'horlogerie,
vol, IV.
R ÉP IT , celui qu’on donne aux debiteurs de bonne foi.
Lettres de répit, {^oye^ L ett r e s. IX. 428. a.) Répit par
arrêt. X lV . 13«;. b.
R é pit , {Jurifpr.) Ces fortes de furféances étoient ufi-
tées chez les Romains. X lV . 133. b. A qui appartient en
France le pouvoir d’accorder des lettres de répit. Terme
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que les juges peuvent accorder en condamnant au paiement
d'une fomme. Caufes par lefquelles on accorde les lettres
de répit. A qui elles s’adreffenr. Leur effet. Caufes pour
lefquelles elles font refulées. Elles font préfcncement peu
ufitées. Ibid. 136. a'.
RÉPLÉTION , ( Médec. ) Remèdes contre les maladies
du repletion. Toute réplécion efl mauvaife , celle du nain
cil la pire. X IV . 136. b.
R e pl et io n , {Jurifpr.) en m atière bénéficialc. X IV .
136. b.
REPLIQUE , ( Jurifpr. ) ordonnance qui abroge les dupliques
, tripliqiies , 6cc. La réplique à l’audience cA regardée
comme de grace. X lV . 136. b.
Répliqués , elles étoient en ufage chez les Romains. V .
169. b. Elles ont été abrogées en France , 6c font rarement
pennifes./éïû.
R É PO N D AN T , {Jurifpr.) Le répondant eff tenu du
dommage caufé par celui pour lequel il a répondu. XIV.
136. b. Défenfe de prendre des domclliques qui n'aient des
répondans par écrit. Ibid. 137. a.
REPONDRE , ( Critiq. facr, ) Acceptions de ce mot dans
l’écriture. X IV . 137. <t.
R é po n d r e , ( Comm. ) cautionner. X IV . 137. a.
R é po n d r e , ( Marîch. ) Répondre aux éperons. Répondre
a l’éperon, Répondre à la main. X lV . 137. a.
REPONS , ( H f i. eccl. ) Fùyeç G r a d UEL. ,
RÉPONSE , Répartie , ( Synonym. ) Différences fignifica-
tions de ces mots. X lV . 137. a. Il y a différentes cfpeces
de reponfes 6c de réparties. 11 y en a de fentcncieufes , de
jolies, de fatyriques, de galantes, de flatteufes, de nobles,
de belles, do bonnes , d’heureufes , d’héroïques. Exemples.
Ibid. b.
R é p o n s e , {Jurifpr.) Réponfe cathégorique. Réponfes à
caufes d’appel. Réponle par crédit veL non. Réponfes de
droit. Réponfe à griefs. Réponfe de vérité. X lV . 138. b.
R é p o n s e , {Comm.) cautionnement. X IV . 138. b.
REPOS , ( Phyfiq. ) Définition du repos 8c du mouvement
abfolus & relatifs. X IV . 138. b. Un corps peut être
dans un repos re la tif, quoiqu’il foit mu d’un mouvement
commun relatif. Il fe peut auffi qu’ un corps paroilTe mu
d’un mouvement relatif propre , quoiqu’il foit cependant
dans un repos abfolu. Axiome de philofophie , la mattere
eil indifiérente au repos ou au mouvement. Le repos des
parties ell la caufe de la dureté des corps, félon les Car-
téfiens. Dans quel fens on peut dire qu'il n’y a point de
repos dans la nature. Il n’y a point de degré dans le repos
ni dans le mouvement. Un corps en repos ne commence
jamais de hii-méine à fe mouvoir. Ibid. 139. a. Ouvrages
à confulter. Ibid. h.
Repos , comment l’ame apperçoit le mouvement 8c le
repos des objets vifibles. X V II . 342. b. Difpiites des phi-
lolophes fur cctre queliion , fi le repos cft une pure privation
de mouvement , ou quelque chofe de pofitifi X ,
832. b. Conditions nécelfaires pour qu'un corps foit en repos
fur la furface d’un fluide. XI. 880. a. Pourquoi des
corpufcules plus pefans ou plus légers que le fluide , s’y
foutiennent long-tems en repos , fans s’élever ou fans s’a-
baiffer. 882, <1. Pourquoi les corps qui fe meuvent extrêmement
vite paroiffent en repos. X V ll, 342. b.
R e po s , ( Critiq. facr.) Acceptions de ce m ot dans l’écriture.
X IV . 139. b.
R epo s , ( Myth. ) déeffe qui avoit deux temples à R om e.
X IV . 139. b. Voyei Qi/i£S.
R e po s , {Poéfie) Ufages de ce mot en poéfie. X lV .
139. b.
Repos, voye^ CÉSURE, H em ist ic h e . Repos au milieu da
vers alexandrin. X V I I . 160. a. Repos dans nos vers en g énéral.
Suppl. IV . 984. b. 985. a , b.
Repos dans la déclamation. IV . 683. b.
R epo s , ( Mifiq. ) Le repos ne peut s’établir que par
une cadence pleine. 11 y a autant d’efpeces de repos que
de forte de cadences. Il ne faut p.as confondre le repos
avec les filences. X IV . 139. b. Point de repos, voye^ C o u r
o n n e .
Repos dans la mufique appelle céfure. Suppl. II. 301.
a , b.
R e po s , ( Méd. Dicte ) Ses effets fur la fanté. X lV .
139. b.
R e po s , {Morale Médec. H fi. anc. ) /ours de repos chez
les Romains. V I . 506. b. Charmes du repos. IV . 784. a.
Le repos eft le but de tous nos mouvemens. VII I. 276. a.
Mauvais effet de l’excès du repos par rapport à la fanté.
Suppl. II. 914. a.
R epo s , ( Peintur. ) Contrafte des clairs oppofés aux
bruns , 8c alternativement, des bruns oppofés aux clairs.
Deux maniérés de produire ces repos , l ’une naturelle, 8c
l’autre artificielle. X lV . 140. a.
R epos , {Blafon) animaux en repos. Suppl. II. 807. a.
R epo s d’efcalier, {Charp.) XIV, 140. b.
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