5^ J O U J O U
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cciTioii, font obligés do rapporter aulTi les joiiifTances-, du jour
de roiivcrnne de h fuccellion , 6\\ VIII. 889. é.
lO U L lS , ville de l’ilc de Ccos. XVII . y i o .a , b .— Voyci
Ivus.
JOUOSS , ( cfpece de plante. Suppl. W. ^0. a.
JO U R , Ich'oni}!. .ijlron. H ijl) Jour artificiel, & jour
mturel. VIII. 889. é. Par mu; révolution de la terre autour
de Ibn axe , qui fait la mefure du jour naturel, on ne doit p.ts
entendre le teins qu’iin méridien de la terre eniploie à parcourir
3Ö0 degrés 3 maisle rems qui s'écoule depuis le pallage
du foleil à un méridien , jufqu'afl pull'agc fuivant du foleil par
ce même méridien. Pourquoi l'on a dû préférer de faire commencer
le jour naturel à minuit ou à midi, plutôt qu'au mo-
jiient du lever ou du coucher du foleil. En quoi il peut être
commode de compter le jour depuis ce lever ou ce coucher.
Quels font les peuples qui commencent leur jour au lever du
foleil. Ceux qui le commencent au coucher. Jbid. S90. u. Peuples
qui le commencent à midi ; autres qui le comptent du
moment de minuit. Inégalité des jours naturels caiifée par
l ’obliquité de l’écliptique & l’excentricité de l’orbite cerreitre.
lbi.l. b.
Jour. D e l'origine des noms des planètes donnés aux Içpt
jours. Suppl. IV . 763. U, Premier jour de chaque mois fclon
les Romains. Ibid. Jours caniculaires. 397. b. De la longueur
des jours félon les différens climats, III. 53a. /-._ Jours concur-
rens. 833. .1, b. Divillon du jour ch ci les Catayoïis & les
Turcs. VII, 653. a. D e la divifion du jour eu heures. VIII.
193. b. Origine de la divifion du jour en vingt-quatre heures.
Suppl. IV, 763. b. Pourquoi les Juifs commencent leur jour
le loir. X. 196. b. Moyen de trouver jiar l’ul'age du globe la
longueur des jours de différons lieux de la terre. X. 303. b.
Jours planétaires. XII. 703. De la longueur des jours fous
les différentes zones. V o y e z ce dernier mot.
Jour , { Hiß. rom. ) Noms que les Romains donneront aux
différentes parties du jo u r , félon la divifion qu’ils en firent.
Ils diviferem les jours dont chaque mois efl compofe en faites,
jours de fê tes, jours ouvriers ik fériés. VIII. 890. b. Four ce
qui regarde la vie privée des Romains, pendant le cours de
la journée , wvrj V ie privée des Romains.
Jour civil t/« Romuius. Noms qu’ils donnoient aux différentes
parties de la divifion qu’ils en faifoient. V l l l . 890. b.
Jours appelles/^/?i & profeßi. Sur les premiers, Fêtes
4 1 '9 Ro.mains. Les féconds fe divifoient en jours faffes 8c
néf'allcs. Jours appelles intcreiß Si. endoeß. Quelques-uns confondent
mal-.à propos les jours néfafles avec ceux où l'oii fc
faifoit un f'aupule de travailler, à caufe de quelque malheur
arrivé à pareil jour. Jours appelles comuiuUs. Jours de marché
appelles nundina. ou novendiua. Autres diftinélions de
jours \ ceux qu’on nommoit pndïjres , non prxliures , atri.
Jours noirs £c jours blancs, chez les Grecs & chez les Romains.
Différence entre les jours néfafles 8c les jours malheureux.
Jours appelles innomin.ilcs. On trouve dans le droit
Romain des jours nommés comperendini , ß.ni SLjußi. Ibid.
891. a.
Jours. De la maniéré dont les Romains contptoient les jours,
voyc^ C alendrier. Regle du comput des jours de chaque
mois félon ce peuple. II. 330. b. Jours fades 6: néfafles. VI,
.418. i. 419. , é. X f. 7 1 . é. /ours faftes, néfafles , & comi-
li.aux. Supvl. II. 116. *. 117. rt. Jours appelles f e ß i , profeßi,
inrereß. V I . 364. b. Jour nondinal. XI. 284. b. Occupations
des Romains dans les différentes heures du jour. XVII .
^33' ‘‘ >
Jo'VK , {Jconolog.) Comment les anciens perfonnirtoient
& repréféntoient le jo u r , le crépufcule, l’aurore , le midi, le
fo i r , & le crépufcule du foir. VIII. 891. b.
JoUiR heureux 6" malheureux, ( Lut. anz 6’ rnod. ) D e tems
immémorial, les plus célébrés nations ont donné dans l’opinion
fiipe-rflitieufe qu’il y a des jours heureux Sc des jours nial-
lieuneux. Jours malheureux félon les Egyptiens. Cette dif-
tinéliim défendue par Moïle. Jours malheureux ou apophrades
chez les Grecs. VII I. 891. h. Ces diflinélions de jours établies
dans le s poèmes d’Héfiode 8c de Viegilc. La même opinion
reçue cliez les Romains. Pourquoi le lendemain des calendes,
des n o n c s , 8c des ides fut regardé comme funefte , & marqtié
do noir. Ordonnances de VitelKus mal reçues du peuple pour
avoir été publiée.s dans un jour noté malheureux. Divers jours
de l’année e flimés mauvais par les Romains. Outre ces jours-là,
il y en avoir d’autres que chacun cfUmoit malheureux par rapport
à fol-même. Obfervations hiftoriques qui contribuoient
à favorifer ces diftinélions fiqjcrffitieufes. Exemples tirés de
rtintiquité , ibid. 892. a. Sc de riiiftoire moderne. Divers faits
qu’on peut leur oppofer, 6c qui montrent qu’une même jour-
tree nous peut être également inere 8c marâtre. Le choix fu-
porflitieiix de certains jours méprifé par Alexandre-le-grand ,
par Lucullc, Si par Dion de Syraeufe. Si la diflinélion des
jours paroît aujourd'hui auffl abfurde qu’elle l’efl en effet , il
n’ell pas moins vrai qu’on volt régner dans la cour des monarques
des opinions auffl puériles que celle-ci. Ibid. b. Difeours
contre la fuperüition cjui vient d'être attaquée, qui fe trouve
dans le mercure de juin 1688. Obfervations fur l’auteur de
ce difeours. Ibid. 893. .1. l'oyei FuNE.STE.
Jours funefies : réflexions fur les jours regardés comme tels.
VII. 373. b. Pourquoi les prêtres établirent la diftinélion des
jour» m.ilheureux. XI. 533. a. Jours heureux 8c malheureux
félon les Romains, voye^ Calendrier.
Jours de férié , ( Hifl. ecd. ) dies féri.iles , ffgnification attachée
préfentement à ces mots. Jours de lu f'emaine déffgnés
d.m.s les brefs ou calendriers eccléfiaffiqucs, par les noms de
feri.: prima, fecanda , terùa , V i l l . 893.
Jours cccléfi.ifiques. X V ll. 267. l. Jours maigres : projet
d’économie relativement à ces jours. VI. ^68. a. 371. a.
Jour-de-l’an , ( llifi. anc. ) Il a varié chez différens peuples
; mais il a toujours été en gmiuie vénération. Le premier
8: le dernier jour de l'an confacrés à Janus par les Romains.
üfages qu’ils oblervoieiu le premier jour de l’an. Comment
Pline 6c ü v id c en parlent. Amiquité de ces ufages. V l i l .
893.
Jour-de-r.in, vciyq Etrennes 6’ JANVIER. Jour-de l'an. I.
391. rf, b. Déguii'cmens autrefois en uf'age ce jour-là. II. 839.
b. Fête du premier jour de l’an en France. III. 462. a. Quêie
qui fe faifoit en quelques diocefes ce jour-là. I. 191. b. On
donnoit des etrennes en France au premier de janvier, avant
que le commencement de l’année eût été fixé à ce jour. X IV .
414. b. Fête du jour de l’an chez les Juifs. X IV . 371. b.
Jours ALCYONIENS , (fff-i/h anc.) tems de paix 8c de tranquillité
: drigine de cette exprelTion. En quels tems de l’année
les jours alcyoniens arrivent, felon l'ancienne tradition. VIH.
85,.
Jours , Grands-jours, ou H.iuls-jours, (^Jurifpr.) Dans quel
but fuient établis les grands-jours royaux. Par qui ces com-
miffions étoient compof'ées. Quels font les grands-jours les
plus anciens, i’cancesdes parlemeiis nommées autrefois
jorirs. C i qu’on entend aujourd’hui par grands-jours dans les
parlemens. Derniers grands-jours royaux. Grands-jours accordés
aux princes du fang dans leurs apanages 8c pairies. Des
grands-jours feigneiirian.x. Grands-jours d’Angers ou du duc
ijd’Anjou. VIII. 893./'. Grands-jours d'Angouléme. Grands-
jours de l’archevêque de Rouen. Grands-jours d’Auvergne.
Grands-jours de Beaumont. Grands jours de Beaime ou de
Bourgogne. Grands-jours de Berry. Grands-jours du duc de
Bretagne. Grands-jours de Brie, Grands-jours de Clùtellcraur.
Grands-jours de Cilermont en Beauvoifis. Grands-jours de
üombes. Grands jours de Limoges. Grands-jours de Lyon.
Grands-jours du comté du Maine. Grands-jours de ia ville de
S. Michel en Lorraine. Ibhi. 894. a. Grands-jours du ducl-.é
de Montmorency. Grands-jours de Moulins. Grands-jours de
Normandie, Grands-jours d'O rléans. Grands-jours de Paris.
Grands-jours de Poitiers. Grands-jours des reines. Grands-jours
de SoilTons. Grands jours de Tours. Grands jours de T r o y e s ,
^pelles auff'i la cour de Champagne. Grands-jours de Valois.
Grands-jours de Vertus. Grands-jours d’Yvetoc. Ouvrages à
confiilter. Ibid. b.
Jours, grands-. V IL 843. é. Chancellerie des grands-jours.
III. 116. U. Grands-jours pour les duchés-pairies. V. 136. b.
Grands-jours des princes. 239. b. Grands-jours de l’archevêque
de Rouen. 260. a. Grands-jours de Beaune. XII. 41. b. 46. b.
Grands-jours de S. Laurent. 47. a. Grands-jours de Bretatjne
48. b. de Touloufe. 64. a , b. Sceau des grands-jours. X iv !
748. a.
Jours , ( Médecine ) DiffinéKons que les anciens faifoient
entre les jours de la durée des maladies. IV. 472. a, b. &c.
Jour, dans le commerce de lettres de cliaiige. VIII.
893. a.
Jours de grace , (Cam/w.) Quels font ceux qu’on accorde
en différentes places de commerce. VIII. 893. a.
Jours de délai. IV. 7 7 3 .4 , é. Jours de faveur. V I. 434. a.
Jour nommé, (Cvmm.) bâteau de diligence, S-c. VIII
893. 4.
_ Jour de planche , ( Comm. ) terme ufité dans les Pro-
vinccs-Unies ; féjoiir que le maître ou batelier d’un bâtimenr
frété par des marchands , eff obligé de faire dans le lien de
fon arrivée, fans qu'il lui foit rien dii au-delà du fret. Comment
on convient de ces jours de planche. VIII. 893. 4.
Jours , reg/e des vingt- , ( Chancell. rom. ) XIV. 23. b.
Io \n \ , Journal, i^Arpentag.) dénomination ufitée en Lorraine.
VIII. 893. 4.
Jo u r , (^Archit.) Jour droit, faux-jour, jour d’en-haur
VII I. 893.4. Jour à plomb, jour de coutume, jour d'efcalicr.
Ibid, b.
Jour, faux-jour. VI. 444. b. Sur les jours en arclilteélure,
voyei[ XVII. 371. a , b.
Jour , (^Horlog.) efpacc entre deux rou e s, ou entre
les platines Si. ces roues. Obfervations fur ces jours. VU I.
894. b.
^ Jour , [Peinture) Tableau dans fon jour. VIII. 893. b.
Jours , ( Rubann. ) Ouvrages à jours dans les galons.
Obfervations fur la maniéré de travailler ces jours. VIII
893. b.
J O ü JO U R D A IN , ( Geogr, ) aujourd’hui fcliérl.i. Defeription
(Tiie Pline fait de fon cours. Autre defeription plus détaillée.
VIII. 893. b. Etym. du mot Jourdain, fclon le P. Hardouin.
Aridité de U plaine qu’il arrofe. Il n’y a point de fleuve plus
célèbre dans les livres facrés. Divers miracles opérés dans le
Jourdain. Vénération que les chrétiens ont eue pour cette
petite riviere. Ibid. 896. a.
Jourdain. Pentapole du Jourdain. XIL 313-4. Source de
cette riviere. 300. b.
Jourdain , [Aßron.) petite conftcllation boreale , du
nombre des conlldlations nouvelles formées en 1679. Son
étendue. Suppl. III. 634. b.
Jo u r d a in , {D o n ) Suppl. IV. 471. b. ^
JO URD AN , ( le Pire ) Son feiuiment fur les titres Si les
diplômes. IV. 1020, J.
JO URNAL , ( Comm. ) livre ou regiftre dos marchands.
VIII. 896. 4. Foyei L iv r e -jo u r n a l . _
Jo u r n a l , { L in .) ouvrage pénochquc. Le premicf de
cette efpece qui ait paru en France , eff le journal des favans.
Enumération de quelques autres ouvrages de la mémo efpece.
Les mémoires, commentaires , Si. hiftoires , &c. de differentes
académies , ne font point des journaux dans lefquels
on rende compte des ouvrages nouveaux ; mais des collections
de mémoires faits par les favans qui compofent ces fo-
ciétés. VIII. 896. 4. Bibliothèque de Photius regardée com-
mimément comme ayant fourni la premiere idée des journaux.
Premier auteur 8c continuateurs du journal des favans.
Difterens journaux f'rançois qui ont paru depuis ce tems en
France. Journaux français que l’on fait dans les pays étrangers.
Ibid. b. Journaux angiois anciens. Journaux italiens.
Quel eff le premier des journaux latins. Enumération de ceux
qui ont paru enfiiite. Journaux hollaïulois. Principaux jout-
naiix d’Allemagne. Ibid. 897. 4. Ceux qui s’impriment maintenant
en France. Du cas que l’on doit faire des jiigemens des
joiirnaliftés. Ibid. b.
Journal. Origine des premiers journaux. V IL 334. u. Inventeurs
des journaux. IX. 601. b. Réflexion fur les feuilles hebdomadaires.
VIII. 73. b. Journal économique. V . 730. a.
Suppl. I. 217. b. Comment les journaux ont mu au progrès
des fcienccs. Suppl. I. 97- Coye^ Journaliste.
Jo u r n a l des fiv.tns , ( Hiß. Litt. ) commence a Pans en
1663. Divers avantages qui lui donnent le premier rang
parmi les journaux. Hiffoirc de cet ouvrage tirée d’un iné-
moire hifforiqne, qui fe trouve à la fin du tome X. de la table
qu’en a faite M. de Clauftre. Suppl. III. 633. b. M. deSallo
premier auteur de ce journal. Ibid. 636. b. Ses fiiccellenrs ont
été M. l’abbé G allo is , ibid. b. M. de la Roque ; M. Couffn
Ibid. 637. 4. Compagnie de gens-dc-lettres 8c de favans qm
fe chargèrent enfuite de cet ouvrage. Ibid. b. Liffc des jour-
naliftcs qui ont travaillé depuis 170 2 , où ce journal fut confie
à cette compagnie jnfqu’à l’annee 1773. Ibid. 638. a , b. Journaux
les plus célèbres auxquels cet ouvrage donna naiffaiice.
Nouvelles de la république des lettres. Mercure favaiit de
Blegny. Journal littéraire de Bayle. Ibid. 639- a. Journal de
Trévoux ; hiftoire abrégée de cet ouvrage. Sav.ans Sc gens-
de-!cttres qui y ont travaillé. Ibid. b. Journaux frauçois les
plus accrédités aéliiellcmcnt. Ibid. 660. a. . , ,
Journal, {Marine) regiffre que le pilote eff oblige de
tenir. Ufages qu'on tire de ces journaux. VIII. 897. b.
Journal d’une navigation , appelle périple par les anciens.
XII. 374. 4 , b. é ’C.
Journal, ou arpent. VIII. 893. a. Voye^ A rpent. Journal
de Bourgogne , Suppl. I. 366. b. de Turin. Ibid
JO U R N A L IE R , quotidien, {Synonym.) XIIL 728. 4.
JO U R N A L IS T E , {Litiér.) Un journal ejubrafle une fi
grande variété de matières, qu’il eff impoff'ible qu un fciil
homme fafTe un médiocre journal. Un journal doit être 1 ouvrage
d’une fociété de favans. V l l l . 897. b. Diverfes qualités
SLi’iin jmirualiffe doit réunir. Maximes qu’il doit oblerver.
ibfervatlons fur le journal 8c les journaliffes de Trévoux.
Ibidi 898. 4. Voyet;^ l’article C r it iq u e .
JournJiße : réflexions fur les extraits que les joiirnaliffcs
doimem au public, 8c fur la maniéré dont ils doivent être
faits. V L 334.4, />. &c. Portrait du critique jouriuliftc. Suppl.
II. 633. 4 , b. Réflexions fur les extraits malignement tournés*,
qu’on a lieu de reprocher à quelques-uns, 928. 4 , b. Du
journaliffe de Trévoux. VIII. 3 13 - Vrye^ Journal.
JOURNÉE de U Saint-Barthélémy, ( Hiß. mod.) Réflexions
fur cette journée 8c fur fon apologifte. VII I. 898. b. P'oyei
Barthélémy.
Journée , {Comm.) Gens de journée. Travailler a la
joiirncc , par oppofitiou à travailler à la tâche 8c à la piece.
Différence mile par la plupart des communautés des^arts Sc
métiers, entre travailler à la journée, 8c travailler à l’année.
VII I. 898. b.
JO UT E , ( Hiß. de la cheval. ) Différence entre les joutes
8c les tournois. Joutes à tous venans, grandes 8c plénières.
Les chevaliers ne tenninoient aucune joute de la lance , fans
faire une dsrnicre joute à l’honneur des dames. VIII. 898. b.
I P E 5 9
Les joutes paffcrcnt en France des Efpagnols , qui prirent tics
Maures c t t exercice, 8c rappellcrent juego de carias, on jeu
de cannes ; raif’on de cette dénomination. C'eff cct amuic-
ment que les Turcs appellent lancer le génd. Etym. du mot
joûte. Ibid. 899. 4.
Joutes pratiquées autrefois en France. V I . 244. a. Quelle
étoit la plus noble des joutes. IX. 237. b. Quadtillcs dans
les joutes. X lll. 643. a. Voye{ Combat 6* T ournois.
JO U V EN C E , jontaine de. Lieu où elle fe trouve fclon
Dcodatiis. XIII. 763. 4.
JO U V E N E T , (/<.-4/i) peintre. V . 321. é. Suppl. VJ. 683. 4.
Ses ouvrages lorfqu’il fut devenu gaucher. X ll. 2 73.4. Obfervations
fur cet article. Suppl. I. 90. b.
JO U X , ( Géogr. é* Hifl. nat. ) nom d’une chaîne de montagnes
, d’une vallée , 8c d’un lac du pays de Vaud. Mont-Joux,
partie riu moiit-Jura. Différens noms particuliers que picnd le
mont-Jnra dans fon étendue. Partie tlu Juraappcllée/•’irrre-;?«'/'
tuis. Ville 8c village appellés du nom de joux. Vallée du même
nom. Lac de Joux. Différentes vallées Sc lacs remarquables
dans ce voifinage. V l l l , 899. a. Abbaye de Joux. Malgré la
quantité d’eau qui entre dans le lac de Joux , aucune rivicre
n’en fort extérieurement. Bouches au fond de l’eau où elle
s’engouffre 8c fe perd. Dcfcri])tion de ce que tous ces lieux
offrent d’iiuérelTanc 8c de remarquable. Origine du nom 8c
de la ville de Romain-Môtiers 8c de l’abbaye. Hermitage de
S. Romain 8c de S. L o u p , deux freres, dont Grégoire de
Tours a écrit la vie. Trou Si caverne remarquables fitucs à
une lieue de l’abbaye fur la montagne. Origine de la rivicre
d'Orbe. Projet à exécuter pour les lacs. Induftric des habi-
tansde cette vallée. Ibid. b. Diverfes curlofités naturelles qui
fe trouvent dans des montagnes voifines. Ibid. 900. a.
J O Y A U X , {Jurifpr.) Bagues 6- joyaux , de deux fortoS.
Quelques maximes de jurifprudence fur ce fiijec. VIII. 900. 4.
Voye;^ Ba g UE.
Joyaux, maître des. IX. 894. a.
JO Y EU X A VÉN E.M EN T , {Jurifpr.) droits de joyeux
avènement à la couronne \ les uns font utiles, les autres lio-
norifiques. Exemples qui montrent l'ancicnnété de cct ufage.
Le droit de confirmation des offices 8c des privilèges accordés
, foit à des particuliers , foit à differentes communautés
, eff un des plus anciens droits de la couronne , 8c a été
payé dans tous les tems à l’avénement des nouveaux rois.
Exemples depuis François I. jufqu’à Louis X IV . VII I. 867.
b. Détails fur la perception du droit de joyeux avenement
payé à l’occafion de l’avénement de Louis X V . à la couronne.
Ibid. 868. a.
Joyeux avènement, droit que le roi a de nommer un clerc
pour être j)Ourvu de la première prébende qui vaquera dans
chaque cathédrale. Dignités 8c prébendes d'eglifes collégiales
affujetties au droit de joyeux. Rapport entre le droit de
joyeux 8c celui de premières prières, exercé par les empereurs
d’Allemagne. Origine du droit de joyeux, Dos brevets
de joyeux avènement. Auteurs à confulter. V l l l . 868. a.
Joyeux avènement, droit dont quelques évêques jouiff'cnt.
VI. 143. h. brevets de joyeux avènement mis au nombre des
droits royaux. 286. b.
I P
IP É C A C U A N H A , {Botan.) Defeription faite par M.
Linnreus de la plantn qui jette en terre la racine nommée
ipécacu.tnha brun du B.réfil. Defeription de la plante qui poiilTc
en terre l'efpcce de racine du Bré fil, qu'on appelle ipecacuanha
blanc de Pifon. V l i l . 900. a.
Ipécacuanha. Premier Européen qui a mis cette r.idnc en
ufage. Auteurs qui en ont écrit. XII. 610. b. Avantages de la
cafcarille fur l’ipécaciKmha. II. 740. b.
Ipécacuanha , ( Af4r. me'dk.) racine du Bréfil. Defeription
des deux efpeces d’ipécacuanha, le gris 8c le brun. Réfinc
8c extrait imicilagineux p u r , qu’on retire de l’une 8c de l’autre.
Ces principes réfident dans l’écorce de leurs racines. En quelle
proportion Us y font contenus. Propriétés de la refine 8c de
l’extrait. On donne rarement l’im Sc l’autre de ces principes
féparés. On donne feulement quelquefois la décoÆon
non filtrée de deux gros d’ipécaciianha. Propriété de cette
décoâion. Moyen de corriger, felon Cartheuftr , la violence
de l’ipécacuanha pris en fubftancc. VIII. 900. b. O b lt iv a -
tions fur l’ufage 8c la manière d’adminiflrer ce vomitif. Scs
effets admirables dans les dylTeiitcries. Comment on doit l’employer
dans cette maladie. Différence entre les propriétés de
l’ipécacuaiiha blanc de Pifon , Sc un autre ipécacuanha blanc
des boutiques. Ibid. 901. a.
IPÉC A-GU AC A , ( Omit.) efpece de canard du Bréfil. Sa
defeription. Moyen de l’engrailTer. VIII. 901. 4.
IP É C A T I -A PO A , {Orniih.) autre canard du Bréfil. Sa
defeription. VII I. 901. a.
IP ECU, ( Omit.) pic-Ycrd du Bréfil. Sa defeription. VIII.
901. 4.