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Opiiqiie , pi. I. Ouvrages à confiiltcr fur la lanterne magique.
Principe fur lequel la théorie en eft fondée. Ihid. 277. a.
L anteunE èURrique, {Phyfiq.) Suppl. II. 293. b.
Lanterne, (^Méck.) roue dans laquelle une autre roue
engrène. En quoi clic diffère du pignon. IX. 277. a.
L anterne, /,z ( ) inlirument pour charger le canon.
Sa defeription. IX. 277. a.
L anterne de corne, ( Hifl. des inventions. ) L’auteur e.xa-
jnine fi ces hneerne-s étoient connues des anciens. Leur invention
attribuée à A lfred , roi d’Angleterre. A quelle occa-
fion elles furent inventées. IX. 277. a.
Lanterne , ( Balancier. ) IX. 277. a.
L anterne, (^Boutonn.) defeription 8c ufage. IX. 277.^.
Lanterne, terme de gazier, de g raveur, d’horloger , d’ef-
fayeur à la monnoie , 6c d’orfevre. IX. 277. b.
Lanterne de l’ourdiffoir, {Ruban.) cage pour loger le
moulin à ourdir. Defeription. IX. 177. b.
Lanternes, fêtes des {Hijl.de la Chine) ce que cette
fête a de merveilleux. D efeription des belles lanternes qu’on
voit dans cette fête. Combien les feigneurs fe piquent de
magnificence ce jour-là. IX. 278. a.
L A N T H U , {Hijl. mod.) fefte de la religion des Tunqui-
nois, voye^ Lançu. Vénération des Tunquinois pour l’auteur
de cette fefte. Hôpitaux qu’il fit établir. IX. 178. 0.
L A N U V lU M , ( Giofr. anc. ) aujourd’hui Civita indovina.
Petite ville d’Italie dans le Latium. Temple de Junon Lanu-
vicnne. Champ de divination nommé Solontus campus, qui
fe crouvoit dans le territoire de cette ville. Cérémonie qui
s 'y pratiquoit. Repréfentation de ccctc cérémonie fur une
pierre gravée qui fe trouve dans le cabinet du roi. Obfer-
vations fur Quirinus ( Publius Sulpicius,) 8c fur Marc-An-
tonin , nés à Lainivium. IX. 278. b.
Lanuvium, temple de Junon dans cette ville. IX. 61. a.
L A O , ou Laos , ( Gèogr. ) royaume d’Afie au-délà du
Gange. Difficultés d’y arriver de toute part. Ses bornes. Commerce
de ce pays avec les Cambodins. Prodnélions qu’on
en tire. Pouvoir defpoiique du roi de Lao. Ses rares apparitions
en public. V ice-rois qui gouvernent en fon nom. Religion
des Langiens, leurs prêtres. Comment font écrits
leurs livres de cérémonies. Polygamie établie dans ce pays.
Ufage pratiqué lorfqu’une femme eft nouvellement accouchée.
Leurs fêtes funèbres. IX. 279. a. Figures des Langiens.
Le roi fe diftingue par le vuide des trous de fes oreilles.
Marque diftinélivc des femmes qui ne font pas mariées.
Comment les hommes fe font peindre les jambes. Ibid, b,
Laos, prêtres de ce royaume. X V . 86o. a , b.
L A O C O O N , ( Sculpt. Aniiq. ) un des plus beaux morceaux
de fculpiure Grecque que nous poffédions. Sculpteurs
qui l’ont travaillé. Où 8c dans quel tems cet ouvrage a
été trouvé. Defeription de cct ouvrage. Cette ftatue fupé-
rieuve en beauté à la defeription de Laocoon donnée par
Virgile. Jugement brillant qu’en porte un moderne con-
noiffeur en ces matières. Carafteres des chefs-d’oeuvre des
Grecs. IX. 274. b. Eloge que Pline fait de Laocoon. Copies
qui en ont été faites. 1°. Dans le livre des ancienne ftatues
de la ville de Rome. a"". En bronze à Trianon. 3°. Sur une
gravure antique du cabinet du roi. 4'’ . Sur un améthyfte par
le célèbre Sirlet. Ibid. 280. a.
Laocoon , cette ftatue repréfentéc. III. vol. des planch.
Deffein. pl. 35. 8c 36. Elle a été réparée par Bandinclli.
X IV . 829. b.
L A O D IC E , ( une. ) femme d'Antiochus. Suppl. I.
880. b.
L A O D IC É E , ( Geogr. anc. ) fept villes de ce nom. IX.
280. a.
Laodicée fur le L y cu s , ville d’Afie dans la Carie. IX. 280. a.
Son premier nom. Pourquoi elle fut appellee Laodicée. Il en
cft parlé dans le nouveau teftament. D e quelle maniéré Cicéron
8cTaciteen parlent. Médaille de l’empereur Commode
où Laodicée 8c fes rivieres font fpécifiées. Ruines de cette
ville. Conciles qii’on y a tenus Ibid. b.
Laodicée j près du Liban. IX. 280. b.
Laodicée fur la mer, v ille de Syrie , fituée au bord de la
mer. Son port. Fertilité fon territoire. Médaille de cette
Laodicée. Sa fituufion. Comment Ammicn Marcellin la dif-
tingne. Villes qui faifoient l’ornement de la Syrie. D ’où elles
avoient tiré leurs noms. IX. 280. b.
Laodicée, fiirnommée la brûlée. Sa fituation. Origine de fon
furnoni. IX. 280. bi
l.aodicée, ville aux confins d e là Perfe propre. IX. iZo.b.
Laodicée, \\Wo de Mefopotamie. IX. 281. a.
Laodicée, ville du Péloponnefe. IX. 281. a.
LAO-K IU N , ( Hip. mod. & Philof. ) fcifte Cliinoife qui
porte le nom de fon fondateur. Hiftoire merveillcufc tie
Lao-Kiun. Doélrlne de ce philofophe. Obfervations fur fes
ouvrages. Pourquoi fa fcéle fut appellee la fefte des immortels.
La religion de Lao-Kiun adoptée par phifienrs empereurs
, dégénéra peu à peu en un culte idolâtre. Superni-
jjons des prêtres. IX. 281. a.
LAP Z jö-Uu«, obfervations fur ce philofopheOimois. X V . 04. hi
L A O M E D O N , ( Myth. ) fils d’Ilus & pere de Priam ,
régna à Troie vingt-neuf ans. Explication de la fable de
Laomedon. Suppl. III. 705. a.
LaOMedon, {M y th .) fes chevaux. II. 393. a , b.
L A O N , {Géogr. ) ancien nom de cette ville de France.
Obfervations hiftoriques fur cette ville. Abbaye de filles
au bas de Laon , connue principalement par la Véronique
ou fainte face de Jefus-Chrift. IX, 281. a. Anecdote fur l’inf-
cription qui fe lit au bas de cette image. Charles I. duc de
Lorraine, né à Laon en 933. Quelques traits hiftoriques fur
ce prince. Ibid. 281. b.
Laon , fon college. Suppl. IV . 366. a.
Laon , ( Géogr. ) fa cathédrale. Suppl. III. 705. a. Ses
abbayes, fon bailliage, fa fociété d’agriculture. Mamifaélures
de cette ville. Vin du pays. Autres produêlions. Foffiles 8c
minéraux. Ibid. b.
Laon, fon college. Suppl. III, 666. a.
LAON N O IS , ( Géogr. ) petit pays de France. Ses bornes,
fes principaux lieux. Arrêt du parlement de Paris de 1303,
contre les habitans de Novion le Vineux dans le Laonnois.
IX. 281. K
L A P A , ( Luth. ) trompette dont les Tartarcs fe fervent
pour fonner la charge. Suppl. III. 7Û3. b.
L A P HIST IUS M O N S , {Géogr. anc.) montagne de Grece
en Béotie. Diverfes obfervations fur cette montagne 8c fur
les lieux facrès qui l'ont rendue célébré. IX. 282. a.
LA PHRIENNE , {L it t .) fiirnom que les habitans d’Aro é
donnèrent à Minerve. Soins qu'ils prirent en différens tems
du culte de cette déeffe. IX. 282. a.
L A P ID A IR E , ( Art méch. ) ouvrier qui taille les pierres
précieufes. Les François , Sc en particulier les lapidaires de
Paris, ont porté l’art de tailler les diamans à fa plus haute
perfeilion. Méthode de tailler 8c de polir le diamant, les
rubis orientaux , les faphirs, les topafes, les émeraudes, les
jacinthes, lesaméihyftes, les grenats, les agathes, la nirqiioi-
fe , le lapis, le girafol 8c l’opale. D e la gravure fur les
pierres précieufes 8c les cryftaiix. IX. 282. a. Ancienneté
de cct art, Quelles font les pierres fur lefquelles nous v oyons
les figures les plus achevées. Difficulté de graver en creux.
Renouvellement de cet art au commencement du quinzième
fiecle. Quels furent les premiers graveurs de ce tems. D é tails
fur la maniéré de travailler le diamant. Ibid. b. Les
rubis , faphirs 8c topafes d’orient. Maniéré de tailler 8c de
polir les rubis balais, efpinelles, émeraudes , jacinthes amé-
rhyftes, grenats, agathes 8c autres pierres moins dures. Comment
on polit la turqnoife , le lapis, le girafol 8c l’opale.
Maniéré de former 8c de graver les vafes d’ag.athe , de cryf-
tal, de lapis, ou d’autres fortes de pierres dures. Ibid. 283.ùz.
Comment on polit les pierres gravées. Ibid, b.
Lapidaire, divers inftrmtiens de fon art. Cadran. II. 323^.
b. Moulin. IX. 816. b. Machine pour faire des moulures fur
des pierres dures. 819. Omil plat. IX. 719. d. Roues. X IV .
391. a. Ciment pour attacher les pierres à un manche. IX .
387. Ce qu’on entend par hacher la roue. VJII. 19. b.—
Voyex Diamantaire , Pierre gravée , Pierres pre^cieu^
SES , Pierre , ) T aille et T ailler.
Lapidaire, Jiyle , vo ye z Inscription. La langue françoife
peu propre à ce ftyle. IX. 266. b.
L A P ID A T IO N , ( Théolog. ) crimes fournis à cette peine
félon les rabbins. Defeription de ce fupplice 8c des formalités
qui le précédoient. Lapidation qui avoit lieu, lorfqu’em-
portes par leur zele , les Juifs accabloient de pict res un blaf-
phémaieur, un adultéré ou un idolâtre. IX. 283. b. Voyer
Jugement du zele. Exemples. Ce qui fe pratiquoit à l’égard
(lu cadavre de celui qui avoir été lapidé. Ibid. 284. a.
Sur la lapidation , voya^ Supplice.
L A P ID IF IC A T IO N , différence entre la lapidification 8c
la pétrification. LX. 284. a.
LA P IN , {Zoolog.) defeription de cet animal. IX. 284. hs
Lapin appelle riche. Lapin d’Angora. Hiftoire naturelle du
lajiiii. Qualité de fa chair. Les lapins font originaires des
climats chauds. Comment ils ont été répandus en Europe.
Ils aiment la chaleur, même exceffive. Rcffemblance du
lapin au lievre. Ibid. b. Signe que les lapins donnent du
preffentiment qu’ils ont des orages. Ennemis des lapins. Lorf-
qu’on détruit les animaux carnaflîcrs, il faut détruire auffi
les lapins. Ibid. 283. a. Q uel en eft le moyen. Ibid. b.
Lapin, jaloufie des vieux lapins fur les petits. III. 323.'
a. Maniéré d’élcvercc s animaux dans un clapier. 304. <z. Dans
les garennes. VII. 313. b. Comment on les prend à la fumée
du fonfre. 363. a. Manière de fureter les lapins. 376.
b. Moyen de jouir des lapins de garennes 8c d’en ôter le
fiiperflu. 313. é. é-c. Lapin des Indes occidentales appcllé
tapen. X V . 893. b. Lapin faiivage du Pérou, XV II . 337. b.
hA Pitt, { Dicte &• Mat. medic. ) Différence entre la chair
du lapin faiivage 8c celle du lapin domeftique. Le bon lapin
cft mis par les experts en bonne chere au rang du gibier le
plus exquis. Rappons entre les propriétés de la chair du la-
L A Q A R 99
pin & celle du lievre ; préférence donnée h celle du lapin.
Ufa-’ es que les pharmacologiftes ont attribués à diftércmes
parues ou à certaines préparations du lapin. IX. 283. b.
* ' Lapin , Peaux de, ( Pellet. ) Ufages de ces peaux revêtues
de leur poli. On les appelle quelquefois , niais improprement,
pfriî-gri/. Ufage du poil de lapin. Quels font les
lapins dont le poil eft le plus eftimé. IX. 283. é.
Lapin , ufage de fa peau dans l’art du chapelier. III.
162. b.
Lapin, {L it t .) figure fymbolique. X V . 733. b.
L A P IS , {L ite .) voye^ Jupiter lapis. IX.. 286. a.
Lapis, efpece de marbre. IX. 813. b.
Lapis de Bourbaco, efpece de bézoar. X. 633. a.
Lapis fabalis, {H ij ln a t . ) quelle étoit cette pierre. Ou
elle fe trouvoit. Pierres de feves connues des modernes.
Mine de feves ; voye^ P o is martiaux. IX. 283. a.
Lapis Judaicus. VI. vol. des planch. Coquilles foffiles.
^ LAVl^laiuli.{Hiß.nat.) de quel métal font les pointsbril-
lans parfeinés dans cette pierre. On a trouvé de l’or dans le
lapis. D ’où lui vient fa couleur bleue. DiftinéHon entre le lapis
oriental 8c l’occidental. Le lapis ne doit point être mis au rang
des marbres ; c’eft un jafpe qui prend un plus beau poli que
celui de marbre. Manière de lui enlever fa couleur. C ’eft du
du lapis que l’on tire le bleu d'outremer. Tùyrç cet article. I^-
286. a. Obfervations fur l’ufage médicinal du lapis. Nom que
lui donnoiom les anciens 8c celui que lui donnent les Arabes.
Maniéré de contrefaire le lapis. Extrait des expériences
de M. Marggraf fur le lapis. Conléquences qu’il en a tirées
fur lu nature de cette pierre. Ces expériences détruifent prei'-
que tout ce qui avoit été dit jufqu’ici fur le lapis lai^uli.
Ibid. b.
Lapis laïuU ou pierre d’azur. XII. 379. b. Ancien nom
de cette pierre 8c de fa couleur. IX. 329. b. Comment on
s’affiire de fa qualité ; maniéré de la préparer pour en tirer
le bleu d’outremer. II. 283. a.
L apis lebetum , {Hijl. nat. ) IX. 287. b.
L apis LUCISon luminis. ( Hiß. nat.) IX. 287. b.
LAPITH ES , les , ( Géogr. ) talent particulier de ce peuple
; témoignage qu’en donne Virgile. La vanité des Lapi-
pitlies avoit paffé en proverbe. IX. 387. — Foyc^ Suppl.
H. 391. b.
L apitHES , ( Géogr. anc. ) peuple de Theffalie, aiiquel on
attribue , de même qu’aux Centaures , l’art de dompter les
chevaux. Cet art eft beaucoup plus ancien dans l’Egypte 8c
en Orient. Combat des Lapithes 8c des Centaures. Suppl. III.
703. b.
Lapithes, danfe des. IV . 626. b.
LA PON IE , ( Gtegr. ) divifton de ce pays. IX. 187. b.
Premier auteur qui en a parlé. En quel tems la Laponie
commença d’être connue. Les anciens géographes avoient
défigné les Lapons fous le nom de Cynocéphales , de Himan-
topodes , de Trogloûtes 8c de Pygmées. Différentes obfervations
qui font conclure que ces peuples ne viennent
point des Finlandois, des Norweciens, des Ruffes, des Suédois,
ou des Iflandois. Ibid. 288. a.
L aponie, {Géogr.) aurores boréales fréquentes en ce
pays. Obfervations fur la nation Lapone. Auteurs qui en
ont parié. Suppl. III. 706. a.
Laponie, aurores boréales qui paroiffent dans ce pays. I.
888. b. Froid qu’eprouverent en 1737 les académiciens qui
pafferem l’hiver en Laponie. V i l. 317.^ .687. u. VIII. 308.i.
Maladies de Laponie 8c leurs rcmedes. 310. b. Neiges de
ces contrées. XL 87. b. Montagnes gjacées de Laponie.
S'Mpp/. UI. 232. a. Defeription d’une montagne de la Laponie
Siiédoife , nommée Niemi. XI, 139, b. Autre dite PiiUin-
gi. XIII. 363. a. Obfervations fur les Lapons. VIII. 344,
b. Plante dont ils fe nourriffent. I. 439. b. Patins dont les Lapons
fuédols fe fervent pour courir fur la neige ; leur adreffe
ù ces coiirfcs. XII, 172. b. utilités que les Lapons tirent des
rennes. X IV . 109. b. Moeurs des Lapons Mofeovites. 442.
a ,b . ' ï rois idoles des Japons nommées B a ive, IL 23. b. Scy ta,
X V . 139. i . Sc Stoor-jimkare. 333. b. Obfcrvatioii fur les
verbes de la langue lapone. 667. b.
LAPS de tems , relief de , { Jurifp. ) X IV . 67. a.
LA PU R D UM , {Géogr. anc.) ville cie la Gaule. Il paroit que
cette ville cft Bayonne. Origine de mot Lapurdum. Le canton
où cft B ayonne s’appelle encore le pays de Labourd. Tandis
que certaines v illes ont cédé leurs noms aux p.ays dont
elles étoient capitales, d’autres capitales ont tiré leurs noms
des peuples du pays auquel elles appartenoient. Exemples.
Auteurs à confiiltcr fur Lapurdum. IX. 288. b.
LAQS , ( terme de Chir. ) Pourquoi l’on ne fert pas de laqs
de laine. Réflexions contre l’ufagc des laqs. IX. 208. b. Traité
d’Oribafe fur cette matière. Règles générales 8c particulières
de l’application des laqs félon M. Petit. Ufage des laqs pendant
la cure. Leur ufage dans la fraélure oblique de la ciiiffc,
8c dans une frafturc de la jambe qui cm lieu avec déperdition
confidcrable d>i tibia fracaffé. Ibid, 289. <î.
L A Q U A IS , fonélionsd'lin laquais. ÎX. 289. a.Maux qu’entraîne
la grande multiplication des laquais. Avantages qui ré-
fultcroient d’>m impôt fur la livrée. Ibid. b.
L aq u a is , valet ,{S y n o n .)X \ \ ’ . 817. a.
L A Q U E , ( Hiß. nat. Chyin. ) gomme on réfinc rouge ,'
dure , cla ire, tranfparciite , fragile , qui vient du Malab^ar,
(le Bengale 8c de Pegn. Son origine. D ’où lui vient fon nom.
infedes qui la prodiiifem. Quelles font les fourmis qui font
lapins belle laque. Maniéré de préparer la laque. Son ana-
lyfe chymique. IV. 289. b. Laque fine de Venife. Manière
de la préparer. On la fait à Paris aufti bien qu’à W nife. Laque
commune, plate ou colombine. Comment elle fe fait.
Celle de V enife cft la plus cftimée. Laque liquide. Subfianccs
colorées appellees improprement du nom de laque. Gomme
laquciife. Ibid. 290. a.
Laque. IX. 168. a, b. 169. i. Laque tres-finé dont on fait le
carmin. 11.688. a , Z>. Efpece de vernis qui fert à imiter la laque.
Suppl. 1, 849. A Méthode pour teindre les écarlates de gomme-
laque. X V I . 20. b. Teinture de gomme-laque en pharmacie.
33. rt. LaCQUE.
L A R , {Géogr.) ville de P er fe , capitale tin Larißan, autrefois
réfidence du roi , 8c aujourd’lmi du khan ou gouverneur
de la province : fituation de Lar ; çe qu’elle a de plus
remarquable. Différences dans la manière dont les géographes
en écrivent le nom. IX. 290. b.
L A R A CH E , {Géogr. anc.) ancienne 8c forte ville d'A friquc-
Scs révolutions. Nom que les habitans lui donnent. IX.
290. b.
L A R A IR E , {L itt.) chapelle domeftique cleftinéc chez les
Romains au culte des dieux Lares. Quels étoient les dieux
Lares de l’empereur Marc-Aurelc. IX. 290. b.
L A R A N D A , {Géogr.) ville d’A fie en Cappadoce. Sa
fituation felon les anciens géographes. Larendo moderne. IX.
291. a.
LA R CH E V Ê Q U E de P.mhenai, {Anne) femme célcbrc,J
Suppl. IV. 468. a.
L A R C IN , ( Jurifp!. ) Le larcin a quelque r.apport avec c e
que les Romains nominoiont funtim nec manifcjhim , mais il
Il’cft pas précifement la même cliofe. IX. 291. a.
Larcin. Différence entre larcin Sc vol. XVII . 439. b. Des
peines dont il clevoit être puni. IX. 638. b. Premiere loi de
rigueur publiée en Angleterre contre ce crime. Suppl. 11.
769. a. Mauvaife loi en France fur le larcin. IX. 667. a. Èfpcce
de larcin appelle péculat. XII. 232. « , b. Larcin des chofes
faiiitcs. X IV . 483. a.— Foyc:(_ VoL .
L A R D , ( Diète 6* Mat. médk. ) En quoi le lard différé des
antres graiffes dans l’ufage diététique. Quelles font les per-
fonnes auxquelles il convient, 8c celles qui doivent s’en abfte-
nir. Propriétés du lard fondu. IX. 291.^1.
Lard de baleine ; maniéré de le fondre. II. 3 4, b.
L ard , pierre de , {Hiß. nat. ) Defeription de cette pierre,'
Elle eft du nombre des pierre ollaires. IX. 291. a. Elle eft argil-
leufc. Différens noms que les naturaliftes lui ont donnés. Lieux
où elle fe trouve. IX. 291. b.
L A R D E R , terme de cuifine, de marines fie maréchalle-
rie , 8c de riibannerie, foierie. Sec. IX. 291. b.
L A R D O N , terme de cuifine , terme d’horlogerie. IX.
291. b.
Lardons , ( Anific.) fevpcntaux un peu pins gros que les
ferpentaux ordinaires. Ils fout faits d’une , de deux ou trois
cartes. IX, 291. b. Leur compofiiion. ibid. 292. a.
Lardons, {Serrur.) IX. 292. a.
L A R EN T A L E S , ou LaurentaUs, ( Litt. ) fête des Romains.
Ses divers noms. Tems auquel on la célébroit. Origine de fon
nom. IX. 292. a.
L A R E S , ou Pénates, ( Myth. & Litt. ) Coutume ég}'pticnne
qui donna lieu au culte des dieux Lares. Qui étoient ces dieux.
Dieu Lare à qui Plaute fait faire le prologue ci’unc de fes co.mé-
dics. Comment s’étendit le nombre de ces dieux donieftiques.
Leur culte ordonné par une loi des douze tables. Les peuples ,
les v ille s , les provinces euren taufl'i leurs dieux tutélaires. E vo cation
que les Romains faifoient de ces dieux, avant que d’af-
ficger une ville. Différentes dénominations par lefqiielles on
(liftinguoit les dieux Lares. Temple des Lares de Rome. Leur
fête. IX. 292. b. Comment on repréfcntoit les lares fiomef-
liques. Lieu où on les plaçoit. Culte qu’on leur rendoir. Lampe
confacréc à ce c iilr t , trouvée fous terre à Lyon en 1303. Les
enfans pendoient au cou des dieux Lares les bulles qu’ils
avoient portées. Les bonnes gens leur attribuoient les biens
6c les maux qui arrivoient dans les familles. Mauvais traite«
ment que leur fit Caligula. Ufage des Yoyageurs par rapport
à ces dieux. Viélime qu’on leur facrifioit, Augufte mis au rang
des dieux Lares. Pourquoi on les appelloir pratßites. Ibid. 293.
a. Le mot lar fignifie quelquefois une famille entière. Auteurs
à confulter. Ibid. b.
Lares. Fêtes en leur honneur. I lî . 762. b. Diftimftion entre
les Lares familiers 8c les Lemures. IX. 384. a. Rapport entre
les Lares 8c lesPénates. XII. 291. b. Lares des anciens Get-
mains. I. 298. b.