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n a g e , ftanc ;i la more, germanique , Ibid. h. de glebe, de
main-morte, à la mort, piiTené, de pouriiiite, lervagicr,
teftaincmal, à la v ie , à vie & à nu rt. Ibid. 84.
SKRGE, ( Comm.) celle qui a le plus de reputar.on cit
la ferce de Londres. l')erciiption du travail de ia inanutac-
nire de cette ville. X V . 84,. b. t v 1 /t
Diftérenies ctofies de ce nom. IX. 195. b. 196. a.
Efpccc de ferges appellees corda, IV . ao i. a. cordelieres,
114. J. drapades, V. 106. b. impériales, V llI . ■ 591../,/'.
pindiina, X ll. 639. Serges à un ednim, à deux ellaims.
Suppl. II. 872. b. Voye^Xes planches de draperie. Vol. lU. 5frg f, ctofe de foie. Armure d'une ferge à Tix liiTes. Serges
petites, moyennes & fortes. X V . 85. a. Armure dune
Verge il quatre lilTcs. Ibid. b.
Serge. Efpcces de ferges appellees Icipzis, IX. 380. i>. ras,
XIII. 8 i 2. b. 813. a. cinq-quarts. III. 4^6. b. Travail des
ferges , décrit dans les pl. de foierie. V o l. XI. ferions 2 & 3.
SERG ENT, (Juri/pr.) étymologie du mot. Préfentement
nrcfquc tons les fergens fe font attribué le titre à'huiffier.
Le titre de ferviens ou fergent leur étoic commun anciennement
avec tous les nobles qui fervoient à la guerre fous
les chevaliers. X V . 83. b. Obfervations hiftoriques fur
l’état 6c l’office de fergent. Ibid. 86. <r.
Sergent. Origine de ce nom. VIII. 340. b.
S:re,ens des aides , tailles & gabelles. X V . 86. b.
Sergent appariteur. X V . 86. b.
Sergens archers. X V . 86. b.
Sergens d ’armes. X V . 86. b.
Sergent b.iillager. X V. 87.
Sersent b.:ionnier. X V . 87.
Sergent blavier. X V . 87. a.
Sergens châtelains. X V . 87. a.
Sergent au châtelet. Obfervations hiilorlques fur l’état S:
l’office des fergens de ce tribunal. X V . 87. a.
Sergent des ch.efs-feigneiirs. X V . 89. a.
Sergent chevalier. X V . 89. a.
Sergens .i cheval. X V . 89. a.
Sergens chevaucheurs. X V . 89. a.
Sergens collefleurs. X V . 89. a.
Sergent crieur juré. X V , 89. a.
Sergens dangereux. X V. 89. b.
Sergens de la douzaine. X V . 89. b.
Sergent de l'épie on du plait de l épée. X V . 89. h.
Sergens extraordinaires des Uentenans ctimineU. X V . 89. b.
Sergent fermier. X V . 89. b.
Sergent /codé. X V. 90. a.
Sergent fieffé OU du fief. X V , 90. a.
Sergens des foires de Champagne 6’ de Brie. X V . 90.
Sergentforefiier. X V. 90. a.
Sergent franc. X V. 90. a.
Se'gent à garde. X V. 90.
Sergent garde-pêche. X V . 9O. b.
Sergent gardien. X V . 90. b.
Sergens de garnifon. X V. 90. b.
Sergens generaux. X V . 90. b.
Sergent à loi. X V . 90. b.
Sergens louvctiers. X V . 9 1. ^7.
Sergent maicre.W’ .c)\. a.
Sergent à rn.tffe. X V . 91. a.
Sergent mcjfurou mejfilier. X V . 91. a.
Sergent des métiers. X V . 91. a.
SergerU de la paix. X V . 91. J.
Sergent dup.irloiraux bourgeois. XV.qi.«^.
Sergent du petit feel de Montpellier. X V . 91. a.
Sergent à pié OU à verge. X V . 91.^.
Sergent du plait de l'épée. X V . 9 1. i.
Sergentprairier. X V . 9 1. i.
Sergent prévctairc. X V . 91. b.
Sergent de ejuerelle. X V . 91. b.
Sergens routiers ou traverfiers. X V . 91. b.
Sergent du roi. X V . 9 1. i.
Sergent royal. X V . 91.
Sergentfeigneuriai ou fubalternc. X V. 92. a.
Sergent fimple. X V . 92. a.
Sergent à verge. X V . 92. a.
Sergent, {J r im ih i.) X V .9 2 . <1.
Sergent. Salut des fergens. X IV. 388. a. Marque diftinc-
tive des fergens dans les dragons & l’infanterie. VIII. y.
h. Vifitc qu’ils doivent faire des bcfaccs & havrcfacs. 8. a.
Sergens d'armes, voye^ HinSSIER.
Sergent de bataille. X V . 92. b.
Sergent en lo i , ( Hifl.mod. d’yinglu. ) X V . 92. b.
Sergens dangereux , ( Eaux 6» F o r ê t X V , 92. b.
Sergent , ( Outil ) defeription & ultge. X V . 02. b.
SERIAI) , terre de, ( Geogr. anc. ) terre où coule le fleuve
Sirls, c’efi-à-dire l’Egypte dont le fleuve eft ai>pellé
sians les auteurs profanes. Dcüi le nom de Sirius donne a la
canicule , dont le lever a unit de rapport avec l’accroiila»
ment du N il.XV. 93. a.
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SERIANE , ville ancienne. Ses ruines. I. 369.«.
SÉRIE on Suite, {^Igcbre) férié convergente. Inventeur
de la théorie des fuites infinies. Leur ufage pour la quadrature
des courbes. Nature, origine & ufages des fuites
infinies. X V . 93. Ouvrages à confulter pour s’infirnirc à
fond de la théorie des fuites. Ibid. 93. b. Extraftion des racines
d'ime fuite iiifiine , voye:^ EXTRACTION UES RACINES.
Retour des fériés on des fuites , voyc{ R eto ur. Fraétiou
continue, dans la doflrine des fériés. Interpolation des fé riés.
Ibid. 96. a.
Séries. Deux afpefts difl’érens fous Icfquels on peut regarder
une férié. Suppl. IV. 781. a. Différentes formes de
fériés les plus communes. Jbid. b. Du rapport qu’il y a
entre la forme du terme général d’une fé r ic , & la fonction
génératrice. Ibid. 782. a. D e la reduélion des fontlions
déterminées en fériés.//’/rf. é.
Sérié, vovei SutTE. Développement d’une quantité algébrique
en férié. IV. 908.rf , b. Fraélion continue, efpecc de
férié. Suppl. 111. 1 10. a , b.
SÉRIEUX, Grave, {Synon.) X V ll. 799- ‘*-
SERIN , Cérifin , Cedrin, {Ornithol.) deux efpeces d’oi-
feaux de ce nom 3 l’une vient des ifles Canaries , l’autre fe
trouve en Siivie. Leur defeription. X V . 96- u. Traite a confuT
ter pour les lerins de Caiiarie. Ibid. b.
Serin , le , { Geogr. ) riviere de France. X V . 96. b.
Serin , ( T.fi'érand) infiniment qui fert h féparer la filaffe du
clianvre. XV. 96. b.
SERIN ET TE, (Z/nAme) petite orgue de Barbarie. Son
ufage.Sa defeription. X V . 96. b.
Serinette repréfentée vol. V . des planches, Lutherie ,
planche 4.
SERINGUE, Jibre ,{Botan. exoc. ) arbre de la Giiiane,
dont on retire la réfine caontchoue; voye^ Résine. Defeription
de cet arbre. Ufage que les Indiens tirent de fes amandes.
Qualité de fon bois. Maniéré d’en tirer le fnc laiteux ,
ou la réfine, & d’employer cette réfine pour en faire certains
vafes on vaifi'eaiix. X V . 97. a. Pourquoi la réfine tirée
de CCI arbre efi préférée pour l’ufagc à celle des autres arbres
de la Guiane. Moyen de difToudre la réfine caoutchouc.
Ibid. b.
Seringue, (O i r . ) defeription de différentes efpeces de
fcringucs en ufage dans la chirurgie. Seringues qui fervent
à faire des injeflions dans la v effie , dans la poitrine , dans
les abfcès , é’c. X V . 97. b. Seringue oculaire. Seringue pour
injcéler l’oreille ; defeription détaillée de cet inflruinent. Etymologie
du mot feringue, Ufage de veflies an lieu de feringucs.
Ibid. 98. .7. ,
Seringue repréfentée vol. V IIIdes planches, Potier d e tain,
planche 3.
SE R IPH U S , {Géogr.anc.) ifie de l’Archipel, Time des
Cyclades. Montagnes & rochers de cette ifie. Romains relégués
dans ce lieu , que l’on regardoit comme propre à
faire mourir de chagrin les malheureux & les fcclérats
mêmes. Quelques auteurs ont afînré que les grenouilles
étoient muettes dans Sériphe, & qu’elles recouvroient leur
voix fi on les tranfporioit ailleurs. Obfervation fur cette
fauffe relation. Le nom moderne de Sériphe eft Serpho. X V .
98. b.
S ER IQ U E , la , {Géogr.anc.) comeoe de l’Afie , fameufe
clier les anciens, 6c qu’ils n'ont point connue. Ses bornes
félon Piolémée, qui cfi celui qui en a le mieux parlé. X V .98 .é .
Erreur des cartes qui mettent la Sérique dans la Scytliie. Celles
de Pcolcmée par rapport à la Chine méridionale. Ibid. 99.
a. Voyc^ SÉRES.
SERMAN ICOM AGU S , ( Géogr. ) Chermez , lieu fitue
entre deux petites rivières , au nord-ouefi de Manie, élection
d’Angoulème. Sa population. Confidérations qui proi^
vent que Chermez efi bien le Sermarficomagus dont^ il eft
parlé dans la table Théodofienne. Antre lieu nommé C«^-
nomaÿts , ( Chaffenon ) à treize lieues de Chermez , où l’on
trouve pliifieiirs pièces d’antiquité. 6'77/7’É IV . 783.77.
S ERM EN T , Jurement, ( Synon. ) différence dans la figm-
fication & l’ufage de ces mors. X V . 99. b.
Serment, Vceu, (/^r/ig.Afürj/c) différence qui fe trouve
entre ces deux aftes religieux. Le ferment fe rapporte principalement
à quelque homme auquel on le fait. Le voeu cll
un engagement où l’on entre dircélement envers D ie u , 6i
un engagement volontaire. Difiérence dans les conditions
qui rendent légitime le voeu on le ferrnent. XV. 99. La
validité du ferment a une liaifoii ncceflaire avec lavalidiié
de l’engagement, pour la confirmation duquel on le prête,
enforte que celui qui viole fon ferment doit être puni premièrement
comme violateur de fes engagemens. Ibid. \oo.
Serment,voye^ JUREMENT. Il perd de fon efficace par la lié -
quencc.XI. 147. <7. ,
Serment, { l u t . ) l’ufage du ferment fut ignore des premiers
hommes , 6c ne devint néceffaire que lorfque l’intérêt
perfonnel eut divifé les coeurs. Les Perfes dans leurs
fermeus atteftoiem le folcil : ce même ferment prit faveur
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chez les Grecs Sc les Rom.iins. Les Scythe.? juroîent par l’air
& par le cimeterre. Les Romains par la déefié Ftdes 6c le
dieu Fidius. Les dieux ciix-mémcs jiiroient par le Styx. Appareils
& formalités que les hommes ajoutèrent à l’aéle du
térment. Cérémonies parricnlieres aux Hébreux, aux Scy-
rlics , Ibid. b. aux G rec s, à Certains peuples de Sicile. Sévérité
de la murale de quelques anciens fur le ferment.
Dans toutes les grandes occafions, les anciens féfetvoient
du ferment, au-deliors & au dedans de l’état. Infamie qui
étolt attachée h rinfraétion des fermens. Réflexion philofophi-
qiie fur ce qui vient d’être dit. Ibid, lo i .a .
Sennens prêtés par les anciens eu face des aiircls. Suppl.
I. 723. b. Celui que prêtoient les héliaffes clans Athènes.
V llI . to i. a. Soleinnité du ferment que les Grecs ÖC les
Romains prononçoicnc par Jiiplrer pierre. IX. 67. a. Serment
particulier du l'cnat de Rome envers rempereur. 83.
a. Serment des Romains p.ar Callor & Pollux. II. 734. .1.
X V I. 69. a. Serment de calomnie chez les Romains. IX.
19. b. Epreuve qu’on faifoit autrefois fur un lac de Sicile
de la vérité des fermons. XI. 783.77. 786, 77. Serment qu’on
prèioit à Rome fur un autel placé fur un puits couvert.
XIII. 383. a. Serment des Romains par le dieu Fidius. VI,
687. b. par Hercule. IX. 928. b. X. 306. b. Serment des dieux
par le Sryx. X V . 339. 77. Sermctisdes Juifs. I.439. b. royer
F idélité. ^
Serment des foldats , ( ArtmUit. des Rom.tins) anciennement
, les citoyens enrôlés jiiroienr de ue point voler dans
Je camp ni aux environs. Ils s’engageoient par un fécond
Icrinent à le trouver au rendez-vous, s’ils netoient pas retenus
par des enijjèchcmens légitimes. Lorfque les foldats
étoient partagés par bandes, ils le jiiroiem de ne point fuir ,
de ne point ibrtir de leur rang. Quelques mois avant la
bataille de Cannes, les tribuns de cliaque légion commencèrent
à faire prêter juridiquement ce fermenr que les foldats
faifüient entr’eux. Formule de ce ferment. X V . l o i . b.
Les armées prêtèrent ferment aux empereurs, comme elles
avoient fait aux généraux. Mais il faut remarquer, i". que
fous les empereurs , la prefiation du ferment fe renouvelloit
chaejue année le jour des calendes de janvier, déplus aux
anniverfaires de leur nailfance Ôc de leur avènement à remplie
, 6c enfin avec plus de folcmnité de cinq ans en cinq
ans : 6c alors les empereurs donnoient à chaque foldat une
fomme (i argent ; 2''. qu autrefois en prèranr en général ferment
de fidélité , l’armée le pretoit nommément 'à la nation -,
Ibid. 102. a. mais que depuis l’an 68 de Jefus-Chrilt , l’oii
jieprêt»it pins le ferment qu’à l’empereur, changuii-nt dont
l ’époque^rcmonie vraifêmblablement jufqu’ati temsde Jules-
Céfar. Formule du ferment donc on fe l'ervoit Ibiis V a lentinien
U. Tl ois ibrtes d’engagemciis que comraéloient
les troupes fous la république. On les dillinguoit par les noms
de Jacrumentum , cunjur.itio 6c evueatio. Ibid. b.
i'i.r/TtMj-queles foldats prêtoient chez les G rec s, Suppl. III.
932. b. chez les Romains. Suppl. IV . 673.77.
Serment, {PoUcuj.) danger d’avoir dans un état des
corps qui prêtent lénnent de fidélité à iin fouveiain étranger.
U, 666. b. Serment que les rois de France ont fiiit
quelquefois, 6c ont exigé des principaux du royaume, d’ob-
lèrver certaines ordonnances. XI. 391. a , b. Serment que
Louis-le-germanique prêta à fon frère Charles-ie-cliaiive.
XIV. 344. a , b. Serment des feigneurs François fiijets de
Cliarles-le-cliauve. Ibid. b. Serment que les Anglois prêtent
au roi. I. 279. b. Sermens en iiliige en Angleterre fous le nom
de teft. XVI. 189. u , b.
Serment , ( 7/7/i/p/,) exemples les plus anciens de l’u-
fage du ferment. Hiffoire de cct ufage en France. Des per-
fonnes obligées de prêter ferment. En quelles circonfiances on
XV. 103.77. Formes oblervées dans cette preffation.
Serment. Les fermens les plus ordinaires des anciens François
le faifoient fur les reliques des faims. X IV . 90. a.
Epreuve par le ferment ufitéc autrefois. V. 837. a IX. 69!
b. XIII. 379, a , b. Suppl. II, 333. h. Sermens en ufage en
Angleterre fous le nom de teff. X V I. 189. .7 , b. .Serment
par kqiiel on fe jnfiifioit en Angleterre de l’acciifation d’un
meurtre. XVII. 397. b. Des déclarations faites avec ferment.
I. i6 t . b. Condition de jurer ou de faire ferment. III, 838.
U , b. Serment de fidélité du vaffid envers le feigneiir. VU.
24. a , h. Efpeces de fermens appelles ferme 6c contreferme.
M . 510. i . Sermens de fidélité qui ont fuccedé aux hom-
™ g e s des eccléfuUiques. VIH. 254. J. D ifpc.fe du ferment.
IV. 1041. b. Sur la punition des faux fermens, voyez Parjure.
•' '•
Serment tTallégeance. X V . 103. b.
Segment par l'ame.XV. 103.^.
Serment de calomnie. X V . 103. b.
Serment corporel. XV, 103.
Seirnc/it dcciJbire.X\. 103. b.
Serment déféré. X Y . 104. a.
Serment fur tes évangiles. XV, 104.,?,
S E R 671
Serment àe fidcïité-. celui des fujets au r o i, des v.affaiix à
formule de celui que les évêques prêtent au
Serment à jufiiee. X V . 104. tj.
Serment in litem. XV. 104. a.
Serment la main niife au p,r. X V. 1O4. b.
Serment cn i7 la id s .X Y .io \b .
Serment référé. X V . 104. h.
Serment fur des rcli^ues.XY. 104. b.
Serment fuppléiif. X V . 104.^.
Serment de Juprérnatie. X V . 104. b.
Serment de lejl. X V . 104. b.
Serment par la tète & les cheveux'dc Dieu.XY. 104. b.
ce dernier mot.
de Jefus-Chrifi, {Critt^. facr.) on appelle ainff
^ difcours dn Sauveur contenu en S. Maith. chsu. v — vij.
Coinme ce difcours renferme phifictirs préceptes , qui, s’ils
étoient pris à la lettre , feroient itnpraticables , à 'caufe des
confequcnces qui en réfiiltcnt néceffairemenc , les interprétés
ont chcrdic diverfes explications pour accorder ces préceptes
avec la prudence 6c ia jufiiee. X V . 103.77. Mais peut-
etre auroicni-ils mieux faifi rimention du Seigneur 6: le feus
de les paroles , s’ils avoient pris garde, que quoiqu’elles s’a-
cirelfent^ en général à tons les chrétiens, pluficursdes maximes
quelles renferment font particulières aux apôtres , 6c
leur ont été données pour l’exercice du minifiere dont ils
furent revêtus. C ’efi ce qui paroît, foit par les circonfian-
ces dans Icfqticllss J. C. prononça fon difcours , foit pat
l’examen de divers palfages de ce difcours même./é.ù/. é.
Sermon , ( Théol. ) voye^ Prédicateur , Prédication ,
Eloquen'Ce. üiriércnce entre le fermon 6c l’homélie, VIII.
249 é. entre le mot fermon & le mot prédication. XUI. 280. .7.
SERONGE , ( Cornm.) cfpece de toiles peintes qui fe fabriquent
àS é rong e, ville de l’indoftan. L’eau où on lava
ces toiles a la vertu de faire tenir les couleurs 8c de leur
donner pins de vivacité. On fait à Séronge une forte de
toile peinte, qui efi fi fine, que l’on voit la chair an travers
quand elle efi fur le corps. XV'. 106. b.
Séronge, ( Géogr. ) ville des états du Mogol. X V . 106. b.
SÉROSITÉ , ( Médcc. ) luimetir qui efi mêlée avec le fang.
Il ne faut pas la confondre avec la lymphe. XV. 106. b. Voyez
Suppl. III, 819, é. Suppl. IV, 721. b, 8cc.
SERPE , ( Oual ) divers ouvriers qui s’en fervent. Maniéré
de forger une ferpe à deux bifeaiix. X V , 106. b.
Serpe, façon cl une le rpe , vol. IX. des p lanches, Taillanderie
, planche 2.
SER P EN T , {Flifi. nat. deux claffcs de ferpens, celle des
couleuvres, elles font ovipares 6c leur morlurc n’efi pas
v tnimeufcj 6c celle des vipères , elles font vivipares , 6c
leur morftire efi très-dangereufe. Lieux qu’habicent les ferpens.
Serpens d’une grandeur extraordinaire. X V . 107. a.
Serpent. Chaleur de ces animaux. III. 38. a. De leur digefiion.
Suppl. II, 877. h. Vertu qu’on atiribuoit à leur dépouille.
IV. 863. b. Serpent d’une grofieur monfirueiife dans
le Rrcfil. XI. 902. 77. D e l’oiiie des ferpens. Suppl. II. 185. 7i. Poiuquoi les ferpens peuvent jeûner long-tems. VI. 374
77. Ufage d’une racine d'Amérique nommée aplnel contre
les ferpens. I. 326. a. Plantes qui font le contre-poifoii des
ferpens venimeux. Suppl. 1, 103.77. 319. b. Plante dont l’ombre
les engourdit. I. 766. b. Rajeunifiement des ferpens.
XIII, 763. 77. Reiiréfentation de quelques ferpens, vol. VI.
des plandi. Rc-giie animal, planche 28. 29. 3 3.
Serpent aimorrous. I. 224. 77.
Serpent ammodyie. 1. 363. a.
Serpent amphifbene. X V . 107. a.
Serpent anacandef, I. 394. a.afpic. 761. t2 , b.
Serpent des ijles Antilles. Les feules ifles de la Martinique
6c de fainte Aloufie notirriffent une multitude de ferpens v e nimeux.
On rencontre des ferpens de 8 .à 10 piés de longueur
fur quatre pouces de diamètre. Leur defeription.
X V . 107. a. Manière de traiter ceux qui ont eu le mal-
iteiu- d’en être piqués. Remede de M. Juffieii contre la pi-
qiiure des viperes. Qualité diététique de la chair du ferpent.
Nourriture de ce reptile. Ibid. b.
Serpent tête de chien , efpecc qui fc trouve dans l'iHe de la
Dominique. Sa defeription. Ufage médicinal de fagraifl'e. X V .
107. b.
Serpent argus. Suppl. I. 333./'.
Serpent aveugle , voye^ O r v ET.
Serpent boa. II. 289. a. boibi, 293. b. boicin'mg.î, Ibid,
boitiapo. 3 14 .77.
Serpent boigacu. Suppl. II. 3. a.
Serpent cornu, cérafie.XY. loS.a.
Serpent cérafie. II. 852, b.
Serpent de Sainos & d e Lemnos, nommé cenchrus. a.
Serpent nommé courejfe. IV . 390. b.
Scipeni cübella. Suppl. II. 477. a.
Serpeni-cobr.z-capdla. Suppl. II. 477. b. Efpeces qui appartiennent
il cc genre. Ibid. 6c 478. a . b.