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•<le pocic entraîiioit avec clic certaines (li/liniHons #|ui lui
cToicin particiilicrcs. Honneurs accordés au Dante , à Al-
bcrtiinis Miiflatus , à Pétrarque ^ antres poëtes couronnés,
le Mantouan , le TaiPe ; celui-ci mourut lorlque tout étoit
nréparé pour la ceremonie du couronnement : Bernardin
^C1•(■ ct[i. h iii. b. L'ulage de couronner les poètes continué en
Allemagne lorfqii’il huit en Italie. Cet iilajjc obfervé en El-
.pagne. L’Angleterre offre quelques exemples de poëtes couronnés.
Les rois d’Angleterre cnreiu de teins immémorial
•im poète à leur cour , qui prciioit la qualité de poète du
roi iSc de poète lauréat. L’empereur a auffi l’on poète d’office.
Le tire de poète couronné n’a pas été ablbiument inconnu
en France. IbU. 845. a. Honneur que Roufard re-
•çut de Ciiaiies IX. Poètes fraiiçois qui fe l'ont glorifiés du
titre de poètes du roi. IbiJ. b.
Pocic couronne : pourquoi les anciens poètes étoient couronnés
de lierre. IX. 494. ./.
PoETE épique , (Poé/îe) Enumération des pins célébrés
poètes épiques. XII. 84^. b. Poye^ Suppl. II. 830. b.
Poètefjbitlijlc. X ll. S45. b. l'oyez Fa CEE & FABULISTE.
POETE lyrique , ( Poèjïe ) Oblérvatlons fur la vie , le ca-
raélerc les ouvrages des principaux poètes en ce genre.
Piiidarc. XII. 843. b. Poètes lyriques célébrés avaiir Pin-
d:.r.'. Übfcrvatlons fur Sapho. Ânacréoii. Horace : JPul. 846.
r,. Remarques fur l’ode de ce poète fur la mort de Q “ ” ’ ’
îilius. Mallicrbe. Racan ; fa parapluafe du pfeaume 92. Ibid,
h. Quelques ürophes de l’on ode an comte de BulTy.Roiif-
Ican. Ibid. 847. a. Voyei Lyr iq u e & O d e .
PoETE Jiuyrique , i^PoéJie') cluimcration des principaux
poëtes en cc genre. Xfl. 847. Voye:^ Sa t v r e .
Poi.TZ tragique. ( Poé/îe) Foyef T k a GIQUE.
PoETFS , 'liberté des ( Piic/ie ) en quoi conlinc cette liberté.
Xli. 847. ‘I. Voyei Licence.
POE TIQ UE , orc, ( Pocjie ) règles à obferver pour plaire
dans les ouvrages d'imitation. Obfervations fur fart poétique
d'Horace; X li. 847. b. & fur deux autres tiuteurs qui ont
tniffi donné des ouvrages en ce genre , Marc-Jérôme Vida,
& Ddpréaux, Ibid. 848. .1.
Poétique { ï I. 655. b. D e là poétique d'A riflotc 8c
de celle cic P. Corneille. X V I . 313. j , é. Des poétiques de
quelques auteurs modernes, ô'-vpp/. IV. 395.
Po é t iq u e , h,vmonie, (^Poc/îe) trois fortes d’harmonie
dans la poéfie, celle du flyle , celle qui conliltc dans le rapport
des fons & dos mots avec l’objet de la penfée , XII.
848. a. 8c enfin une harmonie artificielle , qui confifte dans
aine forte d’expreflîon que toutes les fyUabes d’un vers prilès
cnfemble , prodnifent par leur l'on , leur nombre 8c leur
qnamiré. Obfervations fur ces trois fortes d’harmonie. Exemples
de cette expreinon muficale qui appartient à la poélie,
tirés de V irg ile, d'Horace & de DeljM'éaux. Ibid. b. .Sur
l'iiarmonie du v ers , voye^ V ers, f'oye:^ aiiiii l’article Ha r monie.
Po é t iq u e , (lyk- (Poé/îe) Cnnélere de cette forte de
liyle. Exemples tirés d'Horace Si de Boileau. XII. S49. a.
f'oye^ Style.
Poéti.jue, enihoufiafme , V . 719. h. Sc ficHon, VI. 679. b.
Cèz. b. imagination , VIII. 360. b . Sic, licence, IX. 482. d.
penfée , XII. 310. a. e.^preiFion. Suppl. IV’. 424. a. V e r v e ,
voyc^ ce mot. Génie poétique. Supqd. IV. 444. a , b. Pio-
fodie poétique. 985. b . Sic.
Poétique , compofuion (Peinture) En quoi confiffe celle
d’un rableau. Réglé concernant les épifodes en peinture Si
eu [loélie. Défauts à éviter dans la compofition d’un tableau
d’Illllolre. XII. 849. a. Voyir^ COMPOSITION.
Poétique ,compo/itioTiy en quoi confifte un beau choix de
compofition. III. 363. a. Différence encre la compofition poétique
&. pitiorefque. XI. 594. b.
PCKTUS, éloge de f i femme. IV . 374. h. Poeius Tbrufeu,
voyc:^ T h r a se a .
PO G G E , Florentin. Obfervations fur cc favant Sc fur fes
ouvrages. X VI. 162. b.
P O G G IO , (Géogr.) bourg d’Italie en Tofcanc. Ce bourg
fameux par la inaifon de plaifance des crands ducs. XIL
849. h.
P O ID S , (Sy,io>7.) Différence entre poids Si pefanteur,
XII. 443. U , b. entre le poids , pefanteur & gravité, 448.
U. encre poids, charge, faix Si fardeau. III. 197. b.
Poids , ( Phyüq. ) Difféiciicc entre le poids Si la gravité
d’un corps. Le poids de tons les corps à des tlifianccs égales
du centre de la terre, cfi proportionnel à la quamirc de
matière qu’ils conticnnenr. Le poids du même corps cll différent
à différens endroits de la furface de la terre. Un corps
plongé dans im fluide qui ell d'ime pefanteur fpécifiqiic
moindre que lui , perd de fon poids une partie égale à celle
d’un pareil volume du fluide. X lî. 849. b. Plus un corps a
do volume , plus il perd de fon poids dans un fluide où
on le plonge. Une livre de plomb Si une livre de liege ne
leront pins d’iin poids égal dans le vnide. Méthode pour
trouver le poids d’une quantité donnée de fluide, par exemple
P O I
du vin contenu dans un nuiid. Poids du pied cube d’ean
commune. Poids du pied cube d’eau de mer. Méthode pour
trouver le poids d’un pouce cube d’air , ou d’un pied cube
d’air. XII. 850. a. Poids de l’eau de mer. Variation dans ce
poids fiiivanc les climats. Ibid. b.
Poids de ratmol'phere. 1. 810. a , b. Poids de la quantité
d’air qui rempliroit tout i’cfpace occupe par le globe terref-
tre. 232. b. Voyei Pesanteur de l\iir. Table de la proportion
du poids de dift'érens corps ou matières réduites à la
groffeur du pied cube. XII. 3Ô2, a. Le poids des corps prouve
le vuide. X V II . 573. u. De l'augmentation du poids des
cotps par le feu. VI. 600. a , b.
Po id s , ( Cr.imm.) Différentes acceptions de ce mot. XII.'
850. b.
Poids, de la force de l’iiommc pour lever ou porter certains
poids. VIL 121. U, b.
Po id s , (Médian. ) proportion néceffairc entre le poids &
la pniffance moirice. Le centre de gravité d’un corps , d’un
bâton par exemple , Si le poids de ce corps étant donnés,
trouver le point par lequel il doit porter fur un plan horizontal
, afin qu’iin poids donné fiilpendii à l’extrémité de
ce bâton , ne piiiffe p.as faire écarter le corps de la fmia-
fion horizontale. XII. 850. Le centre de gravité d’un corps,
avec Ion poids, étant donnés , déterminer les poids, où
des appuis étant placés , les parties du poids total portées
par chacun de ces appuis foicnc en raifon Sonnée. Ibid. 851.
a. Voyei Levier.
Poids , ( Hydraul. ) Manière d’évaluer la réfiffancc de l’eau
& fon poids dans une pompe. Le poids on la pefanteur des
eaux jailÜfiantes de même forrie & conduite, avec différentes
hauteurs de refervoirs , font équilibre avec des poids qui
font l’un à l’autre en raifon des hauteurs des mêmes réfer-
voirs. Les jets-d’eau de même hauteur Si de différentes forties
foutiennent des poids par k u r choc , qui font l’ini à
l’autre en raifon doublée des diamètres des ajutages. XII.
851. a. Maificrc de mefurer la folidité d’une colonne d’eau
renfermée dans un tu yau , en meme teins que fon poids,
pour y proportionner dans mie pompe la force du moteur.
Le poids d’nne colonne d’ean Si fa réfiffaiice fe trouvent
en iiuiltiplinnt la fnperficie de la bafe du tuyau par fa hau-
cour perpciuiiculairc. Ibid. b
Poids O’ mefures des Grecs & des Romains. (Liltér.) Tables
qui iiidi([ucnt ces poids 6c ces mefures avec leur rcdufHon
aux poids & mefures angloifcs. Ces tables donnent encore
la connuiffance des anciens poids des Arabes, réduits .à ceux
de la livre de T ro y c on de douze onces. Les plus anciens
poids grecs rédtiits aux poids troyens. Rédnéfion des poids
grecs 6c romains moins anciens aux memes poids. XII. 831.
b. Les plus grands poids réduits à ceux de idonze onces à
la livre , qui en A.ngictcrre s’appelle livre de T ro y e. Les
anciens poids des Arabes réduits à ceux de la livre de T ro y c .
Les poids de France réduits aux mêmes poids. Maniéré dont
les Romains divifoient l’as , la livre ou tout autre entier
Ibtd. 852.,/, b. Mcluresattiqiics fervant à contenir des chofes
liquides, réduites h des mel'ures connues , prenant pour point
de comparaifon celles qui en Angleterre fervent à mefurer
le vin. Mefures aitiques pour les fnbffances feches réduites
aux meluies qui font d’ufage en Angleterre pour mefurer
les grains. Mefures romaines pour les fubffanccs liquides
réduites à celles d’Angleterre qui fervent pour le vin. Mefures
romaines pour les fubffanccs feches réduites aux me-
Imesangloifes pour les grains. /WC/.853. Explication des
caraéteres qui font principalement en ufage dans les auteurs
grecs & latins, pour défigner les poids Si les mefures Ibid
854. a.
Poids , niagiffrat chez les Grecs qui veilloic fur les poids
Si fur les balances en iifnge dans le commerce XV II
730.
Po ids rt'« Hébreux., (Hi/i. des Juifs) Les anciens hébreux
pefoient tout l’or Sc l’argent dans le commerce. Ils employoient
le mot pierre pour marquer un poids. Siele des Hébreux.
Poids du famffiiaire Si poids ordinaire. Prêtre chargé de l’intendance
des poids Si des mefures. Ibid. 834. a.
Poids du roi ( Criüq facr. ) Poids d’ufago dans les états
du roi de lialjylone. Obfervations fur le poids des cheveux
d'Abfalon. X ll. 834. U. Les Ifraélites portoient les cheveux
fort longs. Quelques-uns les poudroient de petites pailletés
d’or. Obfervations ffir le poids du roi. En quel tems les Juifs
le connurent. Sa réduélion au poids d’Angleterre. Ibid. b.
Poids de l ’Europe, (Comm.) Poids d’iifage dans la plus
grande partie de l’Europe. Poids parriuiliers à fes principaux
pays. Poids d’uffigc en Affe , en Amérique Si en Afrique.
XII. 835. a. Ouvrages à conl'ulter. Ibid. b.
Poids. Graine qui fert dans les Indes à pefer l’arsent. Suovl.
l \ .^ Y ) .a ,b . ^
Pouls d'Angleterre, (Comm.) deux fortes de poids dans la
grande Bretagne , le poids de Tro y e , Si l’avoir-du-poids.
Determination 6c ufage de tes poids. X ll. 833. b.
Poids ^ (Comm.) Matières dont 011 fait les poids. Des
précautions
îi:
P O I précamions pour prévenir la falfftîcation des poids en ufage.
La diverfité des poids fait un des articles les plus embar-
i-affaiis dans le commerce. X li. 833. b.
Poids modernes. Des poids emplo yés en Angleterre. Table pour
le püids-dc-uoye , pour les orfèvres 6c pour les apatlùcaircs.
Table pour le poids; avoir-dn poids. X ll. 836. a. Poids •particuliers
des monnoyeurs 6c des jouaillicrs ; des marchands
de laine. Des poids employés en France. D e la livre , de fes
Ibiis-diviffons, & de fes différences felon les différens lieux
tln'royaume. Les poids dont on vient de parler dans cette
page, font en ufage dans la plus grande partie de l’Europe.
Ibid, b.
Poids paniciilicrs de l’E fpagne, du Portugal , de l’Iialic,
lie la Sicile , de l’Allemagne 6c autres pays du Nord , de
la Mofcüvic , de la T u rq u ie , de l’Egypte , d’Alcp , de
phifit'iirs ports du Levant. X ll. 837. a. Proportion des poids
des principales villes de l’Europe , avec ceux d’Amffcrdam.
Poids des dift'érens llciix des Indes orientales. Ibid. b. Poids
d’Afrique 6c d’Amérique. Ibid.H’^S.a.
, clirtérentes fortes de poids en ufage dans le commerce
repi'éfeiués dans les planches du balancier. Vol. II.
Po id s , bon poids, ( Comm. ) excédent de poids en ufage
à Amfferdam. Cer excédent eff de deux fortes, l’nn établi
tlepiiis long tems 6c fixe , l'antre nouveau 6c Itijet à con-
luffation. Ouvrage à conffilrcr. X l l . 838. b.
Poids-du-roi ,hi\\-ince établie dans la douane de Paris. L’é-
tabllffemcm de ce poids eff d’une grande antiquité. A qui
en ont appartenu les droits. Pendant trés-long-tems, les poids
dont on fc fervoit pour pefer an poids-lc-roi n’étoient que
des cailloux. En quoi coniifte le droit de cette balance dont
il eff tenu rogiffre par les commis du poids. Poids publics
de la ville d’Âniftcrdain. Quels font les droits qu’on y exige.
X ll. 838. b. Droits de pouls Ic-roi en Angleterre. Poids du
lo i , pondus regis, nom qu’on donne en Angleterre à ce qu’on
appelle ailleurs étalon. Oiivrages à confulter. Ibid. 859. a.
Po id s , (Cuinm.) Des poids conffdérés par rapport à leur
matière. Poids de cuivre. Poids de fer. Poids de plomb. Poids
qu’on ajipeile cloches. Toils les poids des marchands Si né-
gocians tloiveni être étalonnés. XII. 839. a. Foye^ BALANCIER.
Poids donnant , ( Comm. ) XII. 839. a.
Poids étalonné.\li. 839. b.
Poids étalonné : étalonnage des poids 6c mefures. V I . i i .
12. a , b.
PeuL de m.rrc. Voyc:^ X. 81. h. 82. b.
Po id s , ( Doclmajliq.) r '. Dift’orence entre les poids ordinaire
» on réels , 6c ceux des eli'ais fiffifs ou repréfemans.
2 ’. Le poids le plus commundans les fonderies eff le quintal.
6cs divilions Sc fous-divifions. Quels font les poids au-
dclfoiis du quintal qu’il faut avoir en nature. X ll. 839. b.
3“. Différence encre le quintal des méialhirgiftes 6c celui des
eil.iyeiirs- 4'''. Un cirayeur doit f.ivoir faire lui-même fes poids
tl’ciiai. 3^". Regies fur la maniéré de les faire. Ibid. 8ôo. a.
6 “. Sur la man ere de faire un qiiinul qui pefe plus d’im
gros réel. 7''. Gommant on vérifie les poids. 8 ". Comment
ils doivent être ternis renfermés. 9” . Üblcrvation (iir les différences
qui fe trouvent en pluficurs endroits dans le quintal
réel. 10'’. Divifions Si fous-divifions du poids de marc
ou de demi-livre. 1 1". Comment on peut fe fervir du quintal
d'elVai à la place du poids de marc. 1 2“. Divifion Sc lous-
divillons d’un poids de marc r iffif, deftiné pour l’alliage du
cuivre à l’argent. Ibtd. b. 13’’. Poids de femelle en ufage en
Flandre. Ses divifions 6c fous-divifions. 14". Antre poids de
femelle pour l’alliage de l'or par l'argent Si le cuivre. O u vrage
à coiiffihcr. Ibtd. 861. a.
Poid s , ( Phannac. ) Poids dont les apothicaires fe fer volent
ainrcfois. Livre dont ils fc fervent anjonvd’hui. X ll. 861.
a. Caraiffcrcs d’abrcviatioii par lefqnels ils défignent leurs
dilïêrens poids. Ibid. b.
Poids , (Monn .) Epreuve de la bonté des efpcccs de
monnoies. Matières dont on fait ces poids. Précautions que
l'on prend contre leur falfification. Poids matrice qu’on appelle
étalon. X ll. 861. b.
Poids originaux , (Monn.) que le roi Jean fit faire en 1530.
Xll. 8ÓI. b.
Poids originaux ; la cour des monnoies eff le dépofitairc
du poids original de France. X, 639. .t. Vérification 6c étalonnement
fait pour conformer le poids du marc de rempile
pour les Pays-Bas au poids royal de France. Ibid. b.
Po id s , (A/utinuyug.) Poids originaux des principales villes
de l’Europe, comparés avec le poids de Ch.arlemagne , dé-
pofé â la cour des monnoies de Paris. Suppl. IV . 448. a ,
b. Moyen de retrouver dans la fuite des tems cc poids de
France auquel on compare ici tous les autres. Ibid. 449. b.
Table du rapport des poids des principales places de l’Europe.
Ibid. 430. a , b.
P oid s , clous au (Clouterie) X ll. 861. b.
Poid s du fanéluaire, ( Théolog. ) Divers feiitlmons fur ce
poids , 6c fur la diftinâlon du poids du fanâuaire 6c du poids
Tome II,
P O I 477
ordinaire. XII. 86i. b. La coutume de conferver les étalons
des poids 6c des mefures dans les temples étoit reçue chez les
Hebreux , les Egyjnicns ÔC les Romains. Poids du janéhutre,
expreli'ion figurée 6c morale, Ibid. 862. a.
P o ids , (Cùiiq. f i e . ) Differentes acceptions de ce mot
d?.ns récriture. X ll. 862. b.
P O IG , (Céogr.) rivière de la Carniole. Particularités fur
Ion cours. X ll. 862. */.
P O IG N A R D , (H iß . mod.) uffige qu’on en faifoit autrefois,
Q ui font ceux qui s’en fervent encore. X ll. 862. a.
Po ig n a r d on , ( A n milii.) ufage qn’on en faifoit
ancicnneincnt. Diflérens noms donnés à cette arme. Suppl.
l V . 43,..r.
Poignards des anciens. XVII . 783. b. Poignards repréfen-
tés vol. IV des planch. Fcuibiffeiir, pl. 2. Défenfe de ta lot
Cornelia contre l'nfagc de porter un poignard avec foi. V I ll.
231. b. Efpece de poignard nommé ffilet. X V . 320. Poignards
des Indiens. Suppl. II. 199. b. 816. a.
Po ig n a r d , (L n t c i.) marque du pouvoir fouverain des
empereurs. XII. 862. a. Il étoit porté ou par le prélci du
prétoire, ou par l’empereur hii-niéme. Galba le portoit pendu
au col. Mo([ueric qu’il s’attiroit par-là. Ibid. b.
POlGiNÉE. (Emb.illeiir) X ll. 862. b.
Po ig n é e , (Fourbi/feur) comment on ornoit autrefois la
poignée d’une épée. Comment on l’orne aujourd'hui. XII,
862. b.
Po ig n é e , (Gr.iv. C/yÈ/tvt/-) defeription 6c ufage de la poignée
d'un graveur en cachet. XII. 802. b.
Po ig n é e s , (FaBcur d’orgue) maniéré de faire cet inffru-
ment. Son ufage. XII. 863s a.
Poignée, terme de metteur en oeuvre, 6c d’orfevre en
grofferie. X ll. 863. a.
Po ig n é e s , (S.ilines) terme qui fignific deux morues. Les
morues fe vendent fur le pié d'un certain nombre de poignées
au cent. X ll. 863. a.
P O IG N E T , (Anatom.) voye^ C a r PE.
PO IL S , (An.uom.) le.s uns naiffent de leur propre bulbe
dans la grailTe, les autres font plus courts, Si ne percent
pas la peau. Obfervations f'nr ces deux fortes de poils. Quels
lom les hommes ffijets à être velus. Dans les pays chauds,
les animaux ont peu de poils. Diverfes remarques des ana-
tomiffes fur les poils des hommes 8c des animaux. X ll.
863. b. Principe de leur nourriture 8c de leur iiccvoiircmenr.
D ’où vient la couleur des cheveux. Traiil'piraiion des poils.
D e leur ufage. Ibtd. 864. a.
Po i l s , (A n a t.) riiommc naît couvert d’un poil follet
prefque dans tonte fa furface. Le lieu natal des poils c’eff la
ccllulofité. Nourriture 6c accroiffement de ceux fpii naiffent
de la ccliuloffcc fous la peau. Bulbe par lequel ils commencent.
Suppl. W . a. Variétés dans les poils de l'homme,
6c des différens animaux. Dureté 6c force des cheveux. Etat
des poils dans la vieillelTe. Continuel accroUrement des clie-;
veux. Produit de la diffillacion des poils. Ibid. b.
P o il, correl'pondance entre les poils 6c les parties de la
génération. VI. 160, b. Poils qui naiffent fur la peau. VIH.
263. b. Pourquoi la barbe Si les cheveux tombent dans la
vicillcffe. X lV . 939. b. Médicamens qui font tomber le poil.
IV. 861. a, b. Poils contre nature ffir la peau. Suppl. III. 3 31.
a. Poils autour du coeur. Suppl. IV. 299. a.
Po i l , (Anatom.) dift’érence entre les poils contre nature,
6c les poils naturels de la peau. Leur caufe. Xll, 864. b.
Po il , (Science microfeop.) obfervations microfeopiques
tics poils des hommes. Si de différentes efpeces d’animaux.
XII. 864, b.
P o il, examen d’un poil de ffniris au microfeope , d’où l’on
a inféré que le poil eff un organe de traiilpiraiion. III. 3 18. i-
PoiLS des in/cBes, (Scicnc. microfeop.) différences dans la
partie qu’ils occupent, dans leur couleur, leur arnmgemenc
fur le corps des infeélcs, S'c. Ufage de ces poils. X îl. 864. b.
Poils dont plnficnrs inCeffes font couverts. V llI . 782. b.
Poils dans les urines. ( Aîédec. ) X V I . 633. a. XVII. 312. é.
P o il, dépôt laiteux fur la mamelle. Suppl. 11. 700. a.
Po il , (Chapelier) III. 161. a , b.
Po i l , (Comm.) principales fortes de poils qui s’emploient
en diverfes efpeces de manufaffures. XII. 863- a.
Poils , (Jardin. ) ufage de ceux qu’on voit à plufieurs plantes.
XII, 863. a.
Po il de cheval, (Marèch.tl.) coniioift’ancc qu’on acquiert
de la famé du clieval par fon poil. Moyen de le polir 6c
adoucir. Toupet de poil qui vient derrière le boulet de
quelques chevaux. Pratique des anciens maréchaux, pour
faire croître le poil dans les places qui en étoient dégarnies.
Méthodes des modernes. Comment on fait tomber le poil de
quelque endroit. Poil planté ou piqué. Poil lavé. Souffler au
poil. Avo ir toujours l’éperon au poil. X ll. 864. b.
Po i l , fouffier au (Marich.) V I . 68. b. Poils du cheval.
Suppl, ni- 393. b. 400. a.
PoilAc bine , de velours , des étoffes en foie 6c en dorure.
XII. 863.
E L L e e e