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fL-rmcntation ac^'teufe quo tourne co;r.muncment le petit laic 1
fcpnrj do foi-même. On penfe qu'il n'efi: pas poilible dc
ménager cette altération, de maaicre à e.xciter dans le lait
h fermentation vineuie. L.i fermentation commence dans le
lait & même s’y accomplit, quant à Ion principal prodme,
celui de l'acide, avant que le beurre Sc le fromage fe fe-
p.aient. Les principes immédiats du lait fc dclumiîent aulîi
par l’ébulliiion. On peut épuifer par cette opération le lait
de fa partie bmireufe. Facilité de conferver le lait qu’on a
f.tit bouillir. U U. b. Coagulation du lait par l’application de
dirf'érentcsfubftances.Deux parties qui relient après la coagulation.
On ne connoit aucune matière qui mêlée au b u en
empêche la’ coagulaiion. Les eaux, foit minérales foit communes,
mêlées au lait, en retardent un peu l’altération Ipon-
tanée. Odeur que donne le phlegme du lait dlilillé au bain-
marie. Efpece de lait concentré qu'on obiiom par cette dif-
tilbtion. IbU. 200. u. Produits du b it par la dillillation poulTée
jiifqu’à fes derniers degrés. Cette dillillation no donne, félon
l'oblerv-acion d'Homberg aucun fel volatil concret ; inexaili-
tnde de cette obfervation. Les aliinens tires des vegetaux
ou de fubllances animales, donnent très-peu dc différence
à b conipolition du lait. Los quadrupèdes font très-bien
nourri-, avec le b it de quelque autre quadrupède que ce
foit. Cette identité générique ii’empcthe pas que les laiis
desdifférens animaux ne ibient di/lingucs uur'eux par des
qualités fpécifft[iies. E.xamen des diff-rciKCS proportions des
principes dans les cfpeces de lait qui ont des iifagcs mcdld-
naiix ; favoir le lait de vaclie. IbU. h. b lait de chevre , le
lait d'âneffe , le lait de femme. Inexaélitude ik négligence
avec biqnclle ont été faites les expériences par lefquolbs ces
proportions ont été établies. Cependant ces proportions,
toutes incertaines qu’elles font, fufflfent pour fi-xerTidée des
médecins fur les différences ellentielles des efpeces de b it
qMÎ fourniffent des alimeiis ou des remedes. Nature de lait
de brebis Sc du lait de jument, /éii. pot. a. Ufage diététique
& médicamenteux du b i t , & preniierenient du lait de
vache , de chevre Ck de brebis. Eloge des deux premiers. Le
lait dc brebis fupplée très-bien à l’un i!k à l’autre dans les
p.iys où l’on manque de vaches & de clievres. Effets de Tu-
fjg e journalier du bit fur le tempérament ik le caraélere.
Ibid. b. Des perfonnes auparavant très-voraces , s’accoimi-
inent bientôt àla fobriété que cette diete exige. Le lait pur,
certains alimens folides, Ôc quelques boUTons albifonnées
avec le bit , ont l’inconvénient üe lâcher le ventre. Eff.t
différent du café au l.ùr. C e relâclienunt fe fait fur-toiit ap-
percevoir fur les perfonnes robulles, ou accoutumées au
lait ; au lieu qu'il conllipe les gen» foibles. Le b it pntfe
mieux lorfqu’on le prend pour toute nourriture, ou qu’on
n'en combine l’ufage qu'avec celui des farineux termemés
ou non fermentés. Le melange du lait & du vin , dans quelque
ordre qu'il fe falTe, eft toujours monitrucux aux yeux
de la médecine rationnelle. Ibid. 202. 1. Conleils fur l'ulage
du lait dans l’état de fantc. D e l’emploi du lât dans le cas
de maladie. Aphorifme d’Hippocrate où font renf-rmies les
loix thérapeutiques fur Tufage du bit. Ibid. b. On donne
allez communément le lait dans les grandes hémorragies. On
ne craint pas de le donner d.ms la ffe v re , fur-touc la fie-
vre lente ou heélique. S’il réufiit rarement dans ce cas, ce
n’eft pas parce qu’il nuit, mais parce que la maladie eft trop
grave pour qu'il puiffe la guérir. Plufieurs penlent que ce
pourroit bien n’êcre qu’un préjugé que de redouter l’ulage
du b it dans les maladies aiguës. La doélrine clinique prel-
crit aujourd’hui l'ufage du lait dans tous les cas de fimple
menace des maladies, contre Icfqiielles Hippocrate ne l’ordonne
que iorfqu’elles font confirmées. Ibid. 203. a. Auteurs
qui ont fait l’éloge du bit. Obfervatlons fur les médecins
modernes qui ont combattu les vomis les plus célébrées du
lait. Ibid. b. Réfultat de l’expofé précédent : il paroit qu’on
a dit en gén-éral du lait trop de bien & trop dc mal. Le
lait ne guérit vériiablemcnt aucune maladie grave , nommément
les phthifies décidées , lors même qu'il paife très-bien.
Son défaut dans la petite vérole. L’inconvénient de fon ufage
diététique eff de devenir néceffaire pour la vie. Autres in-
convèniens. Son ufage dangereux dans les cas de fiippura-
tion interne. Autres reproches qu’on lui fait. Obfervatiuns
qui montrent que d’un autre côté on a dit du lait trop de
mal. Différentes maladies où l’on le volt réuflir. Ibid. 204. a.
Toutes les petites incommodités prefques particulières aux
grands & aux riches font affez bien affoupies par I’lifagc
du bit. Reflburce du lait dans les cas défefpérés. Quels font
les fujets aufquels on peut le prefcrlre. Saifon à choifir
pour fon ufage. Heure de la journée. Préparation du fujet
à qui on l’ordonne. Régime à obferver en prenant le lait.
Diete laftée capable de fouteiiir les forces Si l’embonpoint. Ibid,
h. Quels font les effets du lait evidemmenr mauvais , 6c
qui doivent engager à en fufpcndre ou même à en abandonner
abfolumeiit l’ufage. Ibid. 203. a. Remedes des acci-
dens caufés par le la it , foit qu’ils exigent qu’on en fufpende
l'ufag e, foit qu’on fe propofe d'y, remédier, afin de con-
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tinuer le b it avec moins d’inconvénient. Purgation néceffaire
loill'u’on fe détermine à y renoncer. Remedes contiC
b coiiffipation caufée par l’ufage du lait. Diverfes préparations
bites au lait par iefquelles on remédie d’avance ,
autant qu'il efl pofTible, à fes autres mauvais effets. Ibid. b.
Cliülx du lait. Ibid. 206. j . Ufages extérieur du lait, Ibid. b.
L.Mf. {Ph)f!ül. Chym. ) Conduits laiteux dans ies
maminclles. II. 541. b. Suppl. IV. 839. a. Par oii fe
fait la réforpiion du lait dans le fang. Ibid. Caufes de fon
affluence dans les mamelles. Suppl. 1. 287. b. 288. a. Circulation
du lait. Parties vers Iefquelles il fe porte en plus
grande abondance pendant b groffeffe & après l’accouchement.
Suppl. II. 699. a. Des caufes qui augmentent la formation
du lait dans ces circonftances. Suppl. IV. 840- , b.
Théorie de l’excrétion du lait. Suppl. 1. 290. a. Caufes
qui le font foriir des mammelles. Ibid. Le fucement d’un
enfant psut foire naître le b it dans les perfonnes des deux
fexe.s ÖC de différens âges. Suppl. IV . 240. a. Caufe de fa
blniichjur. II. 232. j . Trois fubllances dont ü ell compofé.
V l l l . 3 33. U. Diverfes obfervations fur le b it à l’article Mam-
melU. A. 2. , i , b. 6-c. Fait très-curieux qui montre que le
lait peut fortir par la cuiiTo. 4. b. Caufes qui lui font con-
tMéler une qualité plus ou moins vicieufe. Suppl. II. 699. a.
Terme au bout duquel la femme s’en trouve naturellement
débarraffée. Ibid. Analyfe du bit de femme par J. Rejoins.
Suppl. IV. 364. b. Pourquoi le tonnerre fait aigrir le lait.
Suppl. III. 105. a , b. EtFei d’un mélange de fang & de lait.
VI. 525. U , b. Recherches fur les caufes de b coagulation
du b it dans les premieres voies des enfoiis. V. 662. a. D épravation
du lait dans leur eftomac. XIÜ. 788. u. L ’eau de
chaux mêlée au b it le rend plus propre à certains ellomacs.
III. 270. U. Liqueur fpiritueufe & enivrante que peut fournir
le lait. I. 371. b. XVII . 681. a. Efprit ardent que les
Tarrares en retirent. 287. a. Ufage du lait pour clarifier les
vins. 293. U.
Des uja^es médicinaux du lait d’âncjfe. Maniéré de l’admi-
niflrer. IX. 206. b. Maladies pour Iefquelles on le preferit.
taifon de l’année qu’on doit préférer pour fon ufage. Maniéré
de nourrir l’ànelfe. Des ufages médicinaux du lait de
femme. D e l’ufage défaire tetter le malade./i-ii/. 207. d. O b fervations
fur la méthode dc foire coucher de jeunes hommes
ablolumenc exténués , réduits au dernier degré d’éti-
fie , avec de jeunes nourrices , jolies, fraîches S: propecces.
Ibid. b.
Du petit lait. Le petit lait elff difFérem , felon qu’on le fépara
par l'altération fponcanée du bit , ou par la coagulation.
Ufage du premier. IX. 207. b. Du petit b it ordinaire. Manière
de le clarifier. Obfervations i'ur l’ufage du petit lait
clarifié 6c non clarifié. Troifieme efpece de petit lait, celui
d’Hoffman , appelle auffi petit lait doux. Maniéré de le faire.
Ibid. 208. a. Ses propriétés. Obfervations fur la quantité du
fel concret ou fucre de lait produite par l’évaporation. Vertus
ou ufages médicinaux du petit bit. A Paris on diftingue
dans l’ufage, le petit b it de vache & le petit b it de ciievre.
L’auteur ne parle ici qfie des vertus communes à Tun 6c
à J'aucre. IJ n’y a point d’inconvénient de mêler le petit
lait avec des acides. Ibid. b. Maladies dans Iefquelles il ell
employé. Analogie du petit b it avec le b it d’âneffe. Obfer-
vatiuns à foire dans Tufage du petit bit. Ibid. 209. <2. Petit
b it à l’angloife ou préparé avec les vins doux. D e Pu-
fige de mcler une petite quantité de vin d’Efpagne à du
petit b it déjà préparé. Sel ou fucre de lait.Vr&miQTH auteurs
qui en ont parlé. Quatre efpeces de lucre de bit que com-
pofoii T elli,médecin Vénitien.Chymifte Suiffe nommé Creu-
fius qui a un fccret admirable de compofer le fucre de
lait. Eu quoi confiffc vraifembbblement ce fccret. Ibid. b.
Expofé de b meilleure méthode connue de préparer le fel de
la it , foit en cryftaux , foit en forme de tablettes. Quels font
les bits les plus propres à fournir un fel effentiel. Le différent
degré dc chaleur de l’eau employée comme menftrue fait varier
confidérablcmentbproportion dans laquelle fe foit ladiffo-
lütion du fel de lait. Vertus médicinales de ce fel. Ibid. 2 to .a.
Petit lait: vertu diffolutive de celui qui ell aigre. L 99.
b. Édulcoration du petit lait. V . 403. b.
Lau difhllé. Ses vertus médicinales regardées comme nul-
les. Eau dillillée de limaçons avec le petit bit, Eau de b it
alexitere. Ces eaux également inutiles. IX. 210. b.
Eau de lait alexitere. I. 238. a. Lait d’amande. 313. a.
Lait d’ammoniac. 363. a. Lait de chaux. III. 264. b. Lait
du cocotier. 363. b. Lait de foufre. X V . 400. b.
L a it , croûtes de , (Médec. ) IV. 316. a.
L a i t , herbe aU f{B o t.') VIII. 146. h.
L a i t , pierre de, (^Minéral.') ,W \ . 384. a.
L a it v ir g in a l ( Chymie. Mat. méd. ) Différens moyens
dc préparer des liqueurs de ce nom, Succès fort médiocre
de ce cofmétique. Vinaigre de foturne précipité par l’eau.
Ufage de ce remede. IX. 210. b.
Lait virginal, fa préparation ÖC fon ufage. II. 205. a. IV .
291. É X IV . 173. a.
L a it maladies qui dépendent du {^Médtc. Patholog.') celles
qu’il occafionnc dans les femmes. IX. i to .b . Celles quecaufent
à un enfant les dérangemens d’une nourrice infeélée , ou trop
emportée dans fes paffions , ou enceinte.— J'oye^ Maladies
des enfuns. Des maladies que le bit caufe dans les femmes.
J b id .z i i .a .
Fievre de lait. Sa caufe. Erreur d’Hoffman fur ce fujet.
Cette fievre fert .à diffiper & a foire paffer le bit. IX. 211. n.
Prognollics. Secours que cette fievre e x ig e , lorfqu’elle cil
conicinie dans ies bornes ordinaires, lorfqiie la fievre miliaire
fe met de la partie , 6c enfin lorfque le cours des vui-
danges ell dérangé. Ibid. b. Foye:^ Suppl. I. 288. a.
Lait répandu. C e n’cll pas une maladie particulière qui
ait fes fyinpromcs propres , mais c’ell la fource d’une infinité
de maladies différentes, Sc ordinairement rebelles. Caufes
dc répancheinent du bit. IX. 2 1 1- b. Moyens que doit employer
une nourrice qui veut ceffer de l’écre, afin dc prévenir
cette maladie. Remedes à employer dans le cas d’épanchement
de lait.//"iA 212.-2.
Caiüement de lait ; poil dc la it, accident affez ordinaire
aux femmes qui ne veulent pas nourrir 6c aux nourrices qui
biffent engorger leurs mammelles ; autres caufes de cette maladie.
Oblervations qui montrent avec quelle rapidité les
vices des alimens fe communiquent au lait. Confeil aux nourrices
6c aux médecins, d’après ces obfervations. Signes extérieurs
du caillement de bit. C e qu’on entend par poil de
lait. Sentiment fabuleux d’Ariflote fur le poil de lait Suites
funelles de ces accidens négligés. IX, 212. a. Moyens d’y
remédier. Ibid. b.
Z.2Ù griinimelé dans le fein : remedes. Suppl. I. 291. é. Depot
laiteux. Suppl. II. 698. b. &c. Caufes qui peuvent en un inf-
tant fupprimer le cours du lait dans une nourrice. Suppl. IV.
840. a , b.
Lait de lune. ( Hifl. nat. ) Efpece dc terre calcaire. Lieux
& difpofitions dans lerqiiellcs on la trouve. Diiî'ércns noms
que les auteurs lui ont donnés. Origine du nom ds lait dc
lune. Cette terre foit eft'ervefcence avec tous les acides. On
la regarde comme un excellent abforbant. On b nomme aufli
ficT'e de lait. IX. 212. b.
LA IT E de Merlus: animalcules que M. Leuwenhoek y a
obfcrvés. X. 390. b.
LAITERIE. Econom. rußig.') Situation, difpofitions 6c
uflenfiles d’une laiterie. IX. 212. b. — Foye^ les Planches
d’économie rullique. i. vol.
LAITEUSE terre, autrement nommée unlcornu füjfilc.
XVII . 380. b.
L A IT IE R , {^Métall.) matière cciimeufe qui fort du fourneau
où l’on fait fondre b mine. D ’où vient cette matière.
On a foin de piler les laitiers formés dans b fonte de fer.
IX. 213. a. Voyei FORGES.
L A r fO N , (^Métall.) Compofition du laiton. Ouvrages
à confulter pour ce qui concerne les procédés fur le laiton.
I. De l’exploitation de la calamine. Lieux voifins de
Meiife où cette fe trouve. Details fur b maniéré de
l ’exploiter d’après les manoeuvres en ufage dans la montagne
de Lembourg. IX. 213. a. Tableau d’une mine en exploitation.
Prix que paie le maître fondeur au propriétaire du
fol. Etat de b calamine exploitée. Ibid. b.
II. De la calcination de la calamine. Procédés à fiiivre clans
cette opération. Qualités de la calamine de Lembourg, de
Landenne 6c de Namur. Prix de b premiere. Mélange de
ces calamines. 7^2»^. 214. <1. Trituration. Blutage de la calanii-
re . Poids 8c couleur de b calamine dc Lembourg 6c de celle
de Namur paffées au blutoir. Augmentation qui provient de
l ’alliage de b calamine avec le vieux cuivre 6c b rofette.
III. Fonderie.TDtlcù^ùon d’une fonderie 6c de tout ce qui
en dépend. Ibid. b. Des voûtes 8c des ilHa. Des moules.' Ibid.
313. b. De la fonte. Ibid. 216. b. Oblervations générales
fur le travail de b fonderie. Ouvriers qu’on y emploie ,
leurs fonélions 6c leur fobire. Confommatioii du charbon.
Ibid. 217. b. Proportions des matières qui entrent dans b
compofition du laiton. Calcul à faire pour avoir le produit
d ’un fourneau. Efpece d’enduit appelle tuiie , formé par l’évaporation
qui fe fait dans les fourneaux. Propriétés de b tutie.
Poids 6c dimenfions des tables. De l’opération de jeiter les
tables. D c l’opération de les couper à b cifaiUe. Ibid. 218. a.
D e b dillribution des tables, relativement au poids. Comment
on tire parti des craffes qui proviennent des creufetsSc
qui contiennent beaucoup de cuivre. C e qu’on appelle l’-trco.
IV . Des ufines. Deux fortes de machines dont elles font
compofées. Ibid. b. Des batteries : leur defeription 6c celle de
tout ce qui en dépend. Ibid. 219. a , b. Détails fur les opéra-
dons des batteries. Maniéré de préparer une fourrure. Ti-avail
des chauderons. Ibid. 220. a. Comment on répare les pieces
percees. Ibid. b. Comment on donne le dernier poli aux ouvrages
de cuivre : maniéré dc couper une lame en filet pour
r de laiton. Trifilerie: defeription de cette pflrtie dc
lufine , 8c de tout ce qui s’y rapporte. Ibid. 221. a. Etat des
«cnamiUons qu’un nafuralifte qui vifite une manufoélure ,
91
^Ile que celle qui vient d'être décrite , fe procurera. Ibid. b.
Premiere batterie inventée en 1393, C e qui fc pafi'a de la
parc des ouvriers fondeurs 6c batteurs de cuivre à l’occafion
dc cette invention. Récompenfe qu'on doit ncceffaircmenc
aux inventeurs de machines utiles, inconveniens d’un privilege
cxclufif. Réflexions fur la nature de b calamine & l’effet
de fon alliage au cuivre rouge. Pourquoi celui-ci devient jaune
par l’additiou de b calamine. Ibid. 222. a.
Laiton ou cuivre 'jaune. Manière de le foire. S.i qualité diftin-
élive. I. 237. b. Maniéré dc le faire avec la cadmie. II. 3 17. a.
Pefonteur qu’acquiert le cuivre par cette operation. Ibid. b. Le
mélange par Icqtiel on fait le laiton , eff un des phénomènes
de cliymie les plus remarquables. II. 339.^. Autredcfciipiion
<le la maniéré de faire le cuivre jaune. VI. 917. b. Le laiton 6c
rorichalqiie des anciens font deux chofes très-différentes. XI.
641. a , b .h c laiton de calamine d l diidilc , celui dc zinc cil
caffant. XVII , 716. b.
LA ITR O N . ( Boian. ) Caraéleres de ce genre dc plante.
Defeription du bitron rude ou épineux. Ses nomsen Ijotani-
que.Defcriptions 8c noms en botanique du laitron doux 8c uni:
lieux où ils croiffent. Sels qu’ils contiennent. Leurs propriétés
en médecine. Soin que les jardiniers ont de le san ach crdc
leurs jardins. IX. 222. b.
Laitron du Bréfil. X V . 901. a.
LA ITUE. ( Butan. ) Carafleres de ce genre de plante. IX.
222. b. Origine du mot laitue. D e la laitue que l’on cultive :
trois efj)eces diffinguées ; defeription de la laitue commune ,
de la pommée 8c de la romaine. Les btitaniffes connoiffenc
plufieurs fortes de laitues fauvages. Defeription de celle qu’ils
nomment fimplemeni laBuca fylveflris ; lieux où elle fc trouve.
Ibid. 223. a. Sel qu’on tire de b laitue. Ufage que les Romains
en foifoient ftir leurs tables. Propriétés de la laitue. Tempé-
ramens auxquels elle convient. Augtifte guéri de riiypoconcire
par l’ufage des laitues. Les pythagoriciens croyoiei.t que les
laitues éteignoient ies feux de l’amour. Ibid. b.
Laitue, difiinpuée de la mâche. IX. 792. a.
L a itu e , (/un»/;.) Auteurs qui ont traité de fa culture. Des
moyens de fe procurer la meilleure graine de laitue. IX, 223. i.
L a itu e . ( Dicte S- Mat. médic. ) Ufages diététiques des
laitues de jardin, Propriétés de la laitue. Tempéramens auxquels
elle convient. IX. 223. b. Ses propriétés médicinales.
Diverfes préparations où elle entre. V e n u narcotique de cene
plante. Son fuc regardé comme un poifou par Galien. Cette
prétention démentie par l’expérience. Autres erreurs fur la
laitue. Semence de laitue , l’une des quatres femenccs froides
mineures. Inutilité de l’eau difiillée de laitue. Compofitions
dans Iefquelles font employées les feuilles 6c les femenccs dc
cette plante. Ibid. 224. a.
L A IZ Y , ( Géogr. ) paroiffe de Bourgogne , fur l’A no iix ,
à une lieue ouefl d’Autiin. Obfervations fur le château d«
Cliafeuil, dépendant de ce lieu. Suppl. III. 700. b.
LA L A de Cizique , femme diffingiiée dans b peinture.
XII. 266. fl. .
LALTA , efpece de plante. Suppl. T, 166. b.
L A L L EM A N T , ( Pierre ) chanoine dc faintc Genevieve.
X IV . 246. b.
L A L L I , ( M. le général de ) Suppl. IV . 673. b.
LALLUS , ( Mythol. ) divinité qui étoit invoquée pour
faire dormir les enfons.Versd’Aufonne fur ce fujet. IX. 224. a.
LALO UB ERE, {Simon dc ) homme de lettres. XVI. 433. a.
LAM A , ( tertne de relation) les binas font les prêtres des
Tnrtares afiatiques , dans la Tartarie chinoife. Détails fur ces
prêtres. Supérieur général des lamas, nommé dalai-lama. Son
autorité. Vénération qu’on lui porte. Il ell fouverain temporel
8c fpirittiel du Tibet. Comment il reçoit ies adorations
qu’on vient lui offrir. Prérogatives des deux cens difciples qu’il
met au rang de fes favoris. Q uel ell celui en qui il efl cenfé
revivre après fa mort. IX. 224. b.
Lama. Prêtres tartares , défignés par ce nom. Grand lama ;
refpeél qu’on lui porte. I. 733. fl. IX. 224. b. XVI. 314. é. Lieu
de fo réfidence. IX. 299. a. X V . 886. b. Idole des lamas. V f.
460. b. Les lamas font une branche ou une dépendance de la
feéle des fomanéens.XIV. 391. a, b.
LAMANEUR. (iV/.m'Hr) Pilotesbmaneurs. Difpofitions de
l'ordonnancede la marine de i6 8 r fiir ces pilotes. IX. 223. a.
LAM AN T IN , {H ijî.nat.) animal amphibie. Sa del'cri-
ption : diverfes obfervations d’hiffoire naturelle fur cet animal.
Pourquoi il ell appelle lamantin. On croit qu’il a donné lieu à
b fable des firenes. IX. 223. a. Lieux où on le trouve. Scs
ennemis. Qualité de fa chair. Ufage de fo graille. Pierres qu’on
trouve dans fa tête. Manierede le prendre. Ibid. b.
LAMB A L E , (GcD^r.) petite ville de France , dans la haute-
Bretagne. Le fameux François de la Noue , furnoinmé bras
de f e r , rué en 1391 au liege de Lambale. Divers traits hiffori-
qiies en l’Iionnciir de ce général. Auteur qui en a parlé le plus
dignement. IX. 223. h.
Lambale. D iverfes obfervations fur ce lieu. Suppl. III. 700. é.
LAM B E CIU S , {Pierre) fovant hambourgeois. VIII. 34.^.
X V I I .7 3 9 .fl, b.
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