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jv».r y & mode itiineui". Noms cic toutes les notes, l'clativc»
ment à leur mode. X . ^95. t. Note appellee fenjible. Ciia-
que intervalle e(l déterminé rcbtivemeiu au mode : regies
établies pour cela. On peut compter vingt-quatre manieies
ou modes dift'erens dans lefciuels on peut compoler. Clian-
gement de ton & de mode pour varier le chant ou pour
ajouter a rcxprellion. Ibhi. 596. .1. E.\nmen de la tlicorie
des anciens fur les cléfinitionb , les divilions les noms de
leurs modes./éi>/. i . Dans notre ancienne nuillquc, onap-
pellolt modes par rapport à la indure ou au tcm>, certaines
manières de déterminer la valeur des notes longues fur
celle de la maxime , ou des breves fur celle de la longue,
&c. Il y avoir deu.x fortes de modes ; le majeur & le mineur
: l’un & r.uitre fe divifolt en parfait & imparfait, &c.
lbi.1. 597. b. aii-X mots l'ondiimcntal, Gamme y Echelle,
la manière donc Rameau imagine la formation de deux
modes. Maniéré plus finiple de former le mode mineur. Regie
pour tiouvcr le nombre de dieles &. de bémols de chaque
mode ou ton , foit en montant, foit en defcendanc. Ouvrage
à confultcr. Ibid. ■ ;98. J.
Mode. Le mode dilVmgué par les anciens en parfait &
imparfait. XI. 94O. a. Mode authentique. Suppl. I. 724. <i.
Mode béotien. 879. i\ Caraûere du mode dorien : Platon
en permet l'ufage dans fa république. V . <,')■ b. Suppl. II.
734. b. Mode éolien. V . 739. b. Suppl. 11. 813. a. Mode
lydien. III. 817. a. Mode plagal. Suppl. I. 724. a.
Mode nomiqiie. Suppl. IV. 39. b. Modes phrygien & do-
rien. X .9 0 5 . XII. 331. b. Mode fyntonolydicn. XV.
764. b. Table générale de tous les modes de la nnifique ancienne
, vol. VU des planches, Mufiquc , planche a. Com-
paraifon des modes de notre muüque à ceux de la nuifi-
que grecque. X. 901. a. Origine des modes majeur &
mineur, felon M. Janiard. Suppl. IV . 860. a , b , & c. Dos
modes majetir ôc mineur , frelon un anonyme anglois. 870.
b'y &c. Caraftercs de ces deux modes. Suppl. II. 923. b.
Autres modes felon M. Jamard. Suppl. IV . 864. b. Modes
relatifs. Suppl. II. 927. a. Suppl. IV. 603. .J, b. Du paOage
d'un mode à un autre pour donner de l'exprefTion à l'harmonie.
II. 927. .i.Suppl.V^'■ Go'^.a y b. Formule générale
pour iranfportcr la clé convenablement à un ton on
mode quelconque. III. 317. a , b. Propriétés particulières
des différentes efpeces de tons majeurs 8c mineurs. X. 908.
i7. Mode régulier. X IV . 42. a. Expreiïioti propre de chaque
mode. X VI. 404.^.
Mode , ( Junjpr. ) Ce qu’on entend par mode dans les
affes accompagnés de conditions, i l l . 836. b.
Mode. Les modes françoifes portées chez plufteiirs
autres nations. Ridicule attaché à l’inconilanee de la
mode. X . 398. a.
Modes. Pourquoi nous changeons fi fouvent de modes.
IL 174. b. Utilité de l'inconllance des mocle,s. 111. 696. b.
Des modes par rapport aux habits. V I ll. 11, b , &c.Suppl.
IV . 92S. a. Les hommes 8c les femmes ont toujours cherché
dans leurs modes à paroicre plus grands qu’ils ne font.
131. b. Comment l’empire de la mode s’étend jufques fur
les fcicnccs. 228. b. Bizarrerie de la mode qui tranfporce
quelquefois des ornemens du profane au facré 8c du facré
au profane. X. 583. i. Modes par rapport aux odeurs. XI_
349. a.
Alode y tout ufage introduit dans la fociété par la fan-
taifte des hommes. Effet de la mode fur les mccurs 8c l’ef-
prit de ce ficcle. Réflexion fur les modes dans les ajuffe-
inens des femmes. X. 398. b.
M o d e s ,m.irchii/ids & marc/uindcs de, (^Comm. ) communauté
de ce nom dans Paris. Objets de leur travail 8c de leur
commerce. X. 398. b.
Modes, marchandes de. Ouvrages ([u’elles font. Coupe 8c
façon du mantelet, 6c de fon coqueluchon. Travail de la
pdiffe. Suppl. III. 941. a. Travail de la mantille de cour ,
efpecede manteler. Ibid. b.
M O D E L E , ( Gramm. ) ce mot pris au fimple 8c au figuré,
au phyficjLie 8c au moral. X. 399. a.
MODELE, {Morale) VIII. 569. u. Différence entre regie
& modèle. X IV . 20. a.
MODELE, {Beaux arts) regies qii’on doit fuivre dans
l’imitation des modèles. VIII. 368. a. Comment nous nous
formons un modelé intelleffuel auquel nous rapportons les
ouvrages de l’art que nous examinons. IV . 492. a.
MODELE, {Archit. ) acceptions de ce mot. X. 399. a.
Modèle, ( Peint. ) acceptions de ce mot. X. 399. a.
MODELE, {Sculpt.) Les modernes ontfuljfiitué l’argille à
la cire dont les anciens faifoient leurs modèles. Cependant
les modèles en argille n’om pas été ignorés des Grecs. A nciens
artilles qui inventèrent ou pratiquèrent cet ufage en
Grcce. Inconvéniens attachés à l’ufage de l’argilb. X. 391.
a. Moyen de donner au modèle en cire la fuiface unie de
la chair. De la maniéré dont les Grecs travailloient en marbre
d’après leurs modèles. Inconvéniens de la méthode des
oiudernes. Ibid. l>.
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Modèle , dms les ouvrages de fonce. Différentes matières
dont on fait ces modèles. X. 399. b, Foye^ B ro n ze 8*
C ire.
Modelé y ancien terme de monnoyage. X. 399. b.
MOD ELER en terreau en cire , {Sculpt.) X. 399. b. D é tail
fur la maniéré de faire ces opérations. Ibid. 600. a.
M O D E N E , {Géogr.) ancienne ville d’Italie. Scs révolutions.
Cette ville peu remarquable en elle-même : fameu.x
fceaii qui a été le fiijet d’une longue divifion entre les Pé-
tronü 8c les Géminiani. Palais du duc. La citadelle. Situation
de Modene. X. 600. a. Hommes iUuftves dont elle a été la
patrie. Gabticl Fallope. Jacques Sadolet. Charles Sigonius.
Louis Cailclvetro. François-Marie Molfa. Tarqninia Molfa.
Alexandre le Talfone. Obfervatioiis fur ces perfonnes célébrés
8c i\ir leurs ouvrages. Ibid. b.
Modene. Cette ville anciennement nommée Mutina. X.
910. b.
Modene , U duché de, {Géogr. ) ércâion de cet état en duché.
X. 600. b.
A/üic-ntf, duché. Sources qui fe trouvent aux environs de-
Modene. 'VII. 84. b. 94. a. X. 93. a. Differentes com-hes
dont la terre près de Modene cil compofée. X. 93. a. Huile
de pétrole qui abonde dans le Modenois. XII. 471. 472.
Volcan du duché de Modene. X V II . 696. a.
Modene. Etendue du duché de ce nom. Révolutions de
fa capitale. Agrémens 8c commodités qu'on y trouve. Suppl.
III. 940. b.
M O D E R A T , philofophe pythagoricien, X I ll. 623. a.
M O D É R A T IO N , {Mor-tle.) cette vertu eff un eflét de
la prudence. Elle efl inféparable de rintegritc 8c de la diligence
ou de l’application. Elle ell la fource du plus graTid
bonheur dont on puifle jouir ici bas. PalTage d’tlorace fur ce
fujet. X, 601. a.
Modération des defirs de Defeartes. IL 720. b. Réflexions
fur les caraifferes modérés. VIII. 276. a , b. 286. b. 287. b.
Différence entre abftincnce & modération. Suppl. I. 64. b.
Modération , ( Jurifpr. ) adonciflemenc, diminution. X.
601. a.
M O D ERN E , auteurs latins modernes. Moderne fe dit en
matière de goût, par oppolition à ce qui éioit de mauvais
goiit autrefois. X. 601. a. Sur la comparaifon des anciens 8c
des modernes, voyr^; Anciens.
Moderne. Affronomic , géométrie, phyfique, modernes-
X. 6 o i. b.
Moderne , ( Comm. ) étofte de ce nom. X. 601. b.
M O D E S T IE , {Morale. ) un liomme vérittiblement mo-
delle , l’eft feu l, comme en compagnie. Défauts oppofés à la
modcllie. Cette aimable qualité eff comme un vernis qui relevé
les t.ilcns naturels, Sc qui nous attire les applaucliffe-
mens des autres. X. 601. b.
MoJejUe, différence entre modeftie & humilité. VIII. 333.
a. Entre modeftie 8: fimplicité. Suppl. IV . 794. b. Trait de
modeftie de Cicercius. XIV. 812. u. — Foye^ Retenue.
M O D IF IC A T IO N , Modifier y M o d fic itif, Modtfuible.
( Gramm.) fignification.s Sc ufages de ces mots. X. 60 1 .é. Les
propoficions morales doivent toujours être énoncées avec
quelque modificatif. Il n’y a pas un atome qui ne puiffe être
modifié par une infinité de caufes diverfes : il n y a donc pas
deux atomes rigoureufement femblables. Les modifications
qui nous ont été imprimées, nous changent fans reflburce.
Ibid. 602. a.
Modfic.nion de fiibftance, examen du fens de cette ex-
preflion dans-le fpinofifme. X V . 468. b.
M O D IL LO N , ( Archit.) ornement de la corniche de
l’ordre corinthien. Maniéré de placer les mudillons. Diffance
entre les modillons. X. 602. a.
M O D O N , ( Géogr. ) ancienne ville de la Morée. Ses révolutions.
X. 602. a. Sa lituacion. Ibid. b.
M O D R IN G O U , ( Botan. exot. ) arbre des Indes orientales.
Defeription de fon fruit. Ufage que les Indiens font du
fruit 8i des racines de cet arbre. Autres obfervations fur ccr
arbre. X. 602. b.
M O D U L A T IO N , ( Mufuj. ) en quoi confiftem les loix
de la modulation. — Etendue de cet article jufqu à La page
604. b. Réflexions de M. Jamard fur la modulation. Suppl,
IV . 866. b.
M O DULE , ( Alg. & Géom. ) ligne qu’on prend pour fous-
tangente de la logarithmique dans le calcul des logarithmes.
X. 604. a.
Module , {Art numifm.) toutes les grandeurs des médailles
(C bronze réduites à trois modules. Abréviations par
lefquclles on les indique. X. 604. a.
Module, ( Archit. ) diamètre ou dcmi-diainetre du bas
de la colonne. Ses divifions. Autres maniérés de prendre les
modules Deux maniérés de déterminer les mcfurcs 8c les
proportions des bâtimens. X. 604. b.
M O E L L E , {Phyfiol.) nature de cette fnbffance : véficu-
les où elle eff renfermée. X. 604. b. Détails fur la diflribiition
du fuc médullaire dans les o s , fa fccrction , fon abondance ,
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M O E
fon fentîment, fon ufiigc , 8c fes maladies. Dfirlhuùon de la
moelle dans la fubflance des os. Autgiir qui a parfaitement
traité cette mariere. Trois maniérés diftoremes dont l'huile
médullaire peut fonir des véliciiles qui la contiennent. Secrétion
de la moelle. Maniéré artificielle d’imiter la nioélle. Ibid.
603. .J. Membrane dont la moelle eft environnée, qui fert
comme de pérlolle aux os intérieurement. Ufage J e ce pé-
riollc. Strndure des vaifl'eaiix qui contiennent la fubflance 8c
l’huile médullaire. Abondance Je la moelle & du fuc médullaire.
Tranfpiration continuelle de cette huile. Précaution à prendre
pour que les os des fquelettcs ne jauniffem pas. IbtJ. b.
Sentiment dont la moelle e]l fufceptible. Expériences par lefquclles
M. Duverney s’eil afl'urc que la moélle a un fenti-
inenr tres-exquis. Le principe de ce fentiinent ne peut être
que dans les petites véficules membraneufes qui contiennent
la moelle. Uftges de la moélle. Hippocrate Sc Galien ont cru
qu’elle fervoit de nourriture aux os. Obfervations contraires
à ce fentiinent. Ibid. 606. a. Il penfoit que l’iifagc de l’Iuiilc
médullaire eft de lubrifier les jointures, 8c de faire entre les
parties terreftres des corps ofleux l’office d’une^fpece de glu.
Raifons fur lefquclles cette conjedure s’appuie. Maladies
que produit la moélle altérée. Détails fur ces maladies. Auteurs
à confultcr. Contes faux fur la mo elle, fur les prétendus
chaiigemens que la lune lui fait fouflVir, fur la moélle dit
lio n , f'iir celle dn cheval. Ibid. b. Dans les animaux, la moelle
cfl toujours liquide pendant leur vie. Pourquoi elle acquiert
de la confiflance après leur mort. La moedle eft émolliente
comme la graifle. Obfervations fur quelques ouvrages qui
traitent de cette matière. Ibid. 607. a.
Moelle , ( Anat. ) analogie entre la grailTe 8c la moelle.
Incertitude fur l’exiflence d’une membrane qui tapille la cavité
médullaire de l’os. Suppl. 111. 941. b. VailTcaux de la
malTe médullaire , les mêmes que ceux de la fubflance de
Los. Couleur jaune qui infeéle tout l’os , lorl'quc la moelle
e ll corrompue. Doutes fur rexiftcncc des nerfs de la moelle.
Jbid. 942. a. Nature de la fubflance médullaire. Raifon de
croire qu’elle ne fert pas de nourriture à l’os. La moélle rentre
dans les veines de l’animal dont la circulation efl accélérée.
Elle peut contribuer à rendre les os plus flexibles. Son
fuintement au travers des os 6c des croûtes cartilagineufcs.
Jbtd. b.
Moélle. Différentes efpeces de moélle par rapport à la
confiflance. V IL 838. b. Partie la plus fubtile de la moélle. X.
300. a y b. Membrane qui l’enveloppe. XII. 364. b. Infenfibi-
licé de la moélle. Suppl. l'y . 776. b. Expériences fur la moélle
des os Sc fur le fuc moelleux. IV. 8 3 6 .4 ,^ .-8 3 8 ./ ? .
Moelle des nerfs. 26. a.
Moelle des plantes, {Botan. ) D e fa nature Sc de fon ufage.
X. 607. a. Foyei Parenchyme.
M oelle des pierres y {N f i .n a c .) X. 607. a. Foyci Ml -
v u l l a S a x o r u m .
Moelle du cerveau & du cervelet, ( Anat. ) X. 607. a.
Moelle alongée, ( Anat. ) Defeription de cette fubflance
8c des parties qui l’environnent. X. 607. a.
Moelle alongée , ( Anat. ) partie de la moelle de l’épine ,
qui efl renfermée dans le crâne. Defeription des corps cannelés
8c des couches des nerfs optiques j ce font ces deux paires
de colonnes médullaires qui compofent la moelle alongée.
Suppl. III. 942. i». Jambes de la moelle alongée, ou piliers
médullaires du cerveau. Ibid. 943. a. Eminences papillaires.
Pont de 'Varole. Piliers médullaires du cervelet. Ibid. b. D e feription
du troifleme ventricule. Région de la moelle qu’on a
nommée ifllime. Naiès 8c teflès. Ibid. 944. a. Glande pinéale.
Quatrième ventricule. Aqueduc de Sylvius. Corps olivaires.
Eminences pyramidales. Ibid. b.
Aloélle alongée y voye^ AlOngÉe. I. 288. b. Ses branches
antérieures. IL 393. a. Eminences de cette moélle , appellées
corps pyramidaux. Suppl. IL 6 1 1, b. Elle efl le principe du
mouvement mufcnlaire. Ibid. 141. a.
Moelle alongée , {Phyfiolog. ) cet article efl deflinc à ex.a-
miner les réfultats des obfervations 8c expériences qui ont
porté quelques phyfiologiftes à faire de la moelle alongée le
ficge de l’ame. Suppl. III. 944. b.
Moelle de l'épine, {A n a t .) Continuation de la moélle
alongée : fa defeription. X. 607. b. Tuniques dont elle efl
couverte. Exemple d’un foetus né fans cerveau, fans ce rv elle ,
ni moelle de l’épine. Ibid. 608. a.— Voye:^ Épine.
Moelle de l ’épine, ( Anat. ) elle efl une continuation de la
moelle alongée : elle le trouve dans les animaux qui n'ont
point de cerveau. Defeription de cette fubflance , telle qu’elle
■ efl dans l’homme. Pie-mere de la moelle de l’épine. Sa membrane
arachnoïde. Son ligament dentelé. Suppl. III. 943. b. Sa
«lure-mere. Ses arteres , Ibid. 946. a. 8c veines. Fondions 8c
ufages de la moélle de l’épine 8c des nerfs qui en naiflent.
Suites des accidens qui l’attaquent, 8c des irritations qu’eUe
peut éprouver. Ibid. b.
» Anus de cette fubflance. Suppl. IV . 798,
b. Morts fubites caufées par de legeres atteintes à la moélle
de lepine. 834. b. 836. b.
xM (E U 2 3 9
M O E L L O N , {Mafon.) ufage de cette forte de pierre.
X. 608. J.
Moellon , ( ManufaÛ. de glaces ) pierre qui fert à acloti-
cii- les glaces. Moellons d'affietto 8c moellons de charge. X,
60S. a.
M Ü EM O E , efpccc de plante. Suppl. 1. 877, a , b.
MOE.RES , unies , f.uinces , brochées , à bandes , ( Soierie )
moère fimple Sc moeic douille. La figure que la calendre imprime
fur la inoére , n'efl liclle, qu'autanr que l'étoffe ell
garnie en chainc. De la fabrication de ces étoflés. X. 608. b.
— Ftiy«3; Moirer.
MCSRIS, lac y { Géogr. ) lac d’Egypte. Son circuit. Pyramides
élevées au milieu de ce lac. Canal par lequel il coni-
mimiqtioit au Nil. Son milité. A quelle hauteur devoir s’élever
le Nil pour annoncer la feriiliié. X. 6 1 1. 4.
Maris y lac. Suppl. II. 184. a. Ifle dans ce iac. Suppl. I.
I I . 4.
MCESIE, ( Géogr. anc. ) contrée à l’orient de la Pannonie.
Frontières de la Moefie. Haute 8c bafle Moefie. X. 609. b.
MCESOGOTHIQUE , alplubec, vol. Il des planches.
Caraéleres , pl. 9.
MCEURS, {Morale. ) caufes de la dlverfité des moeurs
chez les diflérens peuples. Quelles doivent être les iiiceurs
d’une république , d’une monarchie limitée, 8c d'une riche
monarchie abfoliie. X. 6 1 1 . b.
Aloeurs. Des différentes caufes qui influent fur les moeurs.
Il faut aux hommes des regies pofitivcs 8c déiermiiiécs pour
affiirer 8c fixer leurs moeurs. VI. 137. 4, b. Influence du climat
fur les moeurs, felon M. de Montcfquieti. 111. 554. a.
Effet de lamouiTur les moeurs. 1. 369. a. Celui de la galanterie.
VU . 428. 4. La plus forte imprelTion qui (léteimiue le
caraflcre des hommes, vient de la maffe générale des moeurs
de leur tems : dans toutgouvernement, les moeurs dépendent
infiniment de fa fituation aéluelle. VIII. 278. a. Principe des
bonnes moeurs dans les petits états. 289. a. Efl'ec du luxe fur
les moeurs. IX. 763. b. — 7 7 1 . 4. Tableau des moeurs des dif-
férens ordres d’une nation gâtée par l’abus du luxe 8c la mau-
vaife adminülraiion. 768. a. Tableau des moeurs d’une nation
chez qui le luxe efl contenu par une fage Sc vigoureufe admi-
niflration, ibid. b. Influence des maniérés fur les moeurs. X,
34. b , 6cc. Celle de la mode. 398. b. Effet que le polythéifme
pouvoit produire fur les moeurs. XU. 963. b. 964. a , b. Ca-
raélere des moeurs des grands. III. 682. b. De la licence dans
les moeurs. IX. 481. b. 482. a. Dépravation des moeurs chez
un peuple en qui l’on n’entretient point l’amour de la patrie
8c les pallions utiles. 770. a. Dégénéraiion des moeurs d’âge
en âge. X. 631. a. Caiife de la corruption des moeurs publiques.
IV . 278. h. Obfervations fur cette queftion ; files moeurs
dégénèrent à mefure que l’cfprit fe pertcélionne. X IV . 849.
a. D e la maniéré de punir les crimes contre les moeurs. IV .
466. b. IX. 638. b. Les bonnes moeurs avolent chez les Germains
plus de force que n’en ont ailleurs les meilleures loix.
V . I l 8. 4. Fouélions de la police p.ir rapport aux moeurs.
XII. 9 1 1. b. C ’efl des moeurs que les loix civiles tirent letir
force. X V l l . i j8 .b . i7<).a. Moeurs qui étendent la durée de
la vie. 234. b. Cautions établies pour les moeurs par les loix
d’Alfred. 387. b. — Foyc:^ C aractère. Vous trouverezauflî
d’utiles obfervations fur les moeurs dans l’article des Supplé-
mens, Moeurs , ( Belles Leur. )
Moeurs , ( Poéùq. ) caraftere , génie , humeur des perfon-
nages qu’on lait parler. X. 6 1 1. b. L’égalité des moeurs doit
régner d’un bout à rature de la piece. Traits que Racine emploie
pour peindre les moeurs d’Orefle. Il faut que les moeurs
fbient convenables. Moeurs nationales qu’il faut bien caraélé-
rifer dans le poème dramatique. Confeils de De.lpréaux fur
ce fujet. Magnificence de fentimens que Corneille tnet dans
la bouche de Cornélie , lorfqu’il la place vis-à-vis de Céfar.
Ibid. 612. a. On n'introduit point des moeurs comme des
modes , Sc il n’efl point permis de rapprocher les caraéleres ,
comme on peut faire le cérémonial Sc certaines bienféances.
Ibid. b. — Voye:^ POLME DRAMATIQUE.
Moeurs, { BelUs-Lettr.) En quoi coiffiflent les moeurs
poétiques. Trois objets d’étude que doit l'e propofer celui
qui veut peindre les moeurs ; favoir , la nature , l’habitude 8c
la paflion. Comment le poète peut étudier la nature , même
au fein de la fociété. Suppl. III. 947. a. Etude qu'il doit faire
des effets du climat 8c des diflérens âges de la vie fur les
moeurs. D e l’influence de l’habitude. Ibid. b. La meilleure
maniéré d’étudier les moeurs, c’efl d’obferver les hommes
en fociété, d e les voir agir, de vivre dans le monde. La
différence la plus marquée dans les moeurs fociales, efl celle
qui diflingue les caraéleres des deux fexes. Q u el efl le fond
des moeurs du fexe le plus foible. Ibid. 948. a. Caraéleres des
moeurs qui diflinguent le fexe le plus fort. Différences des
moeurs des peuples felon leurs occupations. Différence entre
le peuple des campagnes 8c celui de%. villes. Influence des
conditions de la vie furies moeurs. Inépuifable variété qui
réfulte de la combinaifon des moeurs avec les divers accidens
, les différentes circonflances de l’aélion dramatique ; de