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674 S E T
palTivc , pcrfonnclle , prcclialc , rccipioquei ferviuule réelle,
comment s’acqulcreac les I'ervinicies, commem dies s’étcL-
nem i I'ervitucle niilitiue , llrviriide urbaine, ibid. b.
ServUuJes auxquelles un propriétaire alTujettit quelques
parties d'un corps de bâtiment à un autre contigu qui lui
appanieiH. IV. b‘p6. b. Servitude latente. IX. 300. b.
SaviiUih, lynonyme iXejeUvage. Oiigine de la fervitude
civile & politique. XI. 374, b. 376. a. Du droit de réduire
en fervitude un peuple conquis. III. 900. a. Servitude de
peine chez les Romains. X. 727. b. Homme de lervitude.
VIII. 281.
S E R V IU S -TU L L IU S , {Hijï. rom.) fucceffeur de Tar-
qnin l’ancien. SuppL IV. 783. a. Defeription de l’on régné.
ibiJ. b.
Servius - Tullius , liifloirc de fon règne. X IV . 326. b.
Changement quM fit dans l'ordre civil & militaire. XVI.
621. a.
SE R UM du funp, voyez SÉROSITÉ.
SES.A.C, {^Myth. orient.') divinité des Babyloniens, .à ce
que peiifent la plupart des critiques facrés, dans l'explication
qu’ils donnent d'un palî'agc du prophète Jérémie, ch.
XXXV. 15. X V . 125. é.
SesaC , {jHij'l. d'Epypt.) évcnemcits de la vie de ce roi
d’Eg ypte , que les hilloriens facrés nous out fait connoiirc.
Suppl. IV . 783. b.
SESAM E, ( Beta/t. ) caraéleres de ce genre de plante.
Lieux oit croît le fclame, ufages qu’en tirent les Egyptiens
ik les Arabes. X V . 125. b.
Scf.ime , efpece de ce genre nommée carelu. Suppl. II.
236. b. Clanification du léfaine. 237. a.
SESAM OiD E, ( Bot. ) caraéiores de ce genre de plante.
X V . 125.
Sesa.m o ïd e , {Ànatom.) os fefamo'ides dans le pouce de
la main &c du pié. Os fefamoides dans les autres articulations
des doigts. X V . 123. b. On rencontre quelquefois de
ces os fur les conduits <lu fémur à la partie inférieure du
péroné, fur l’os du talon, &c. Caufes de ce jeu de la nature.
Ces petits os ne font autre chofe que les ligameos des
articulations, ou de forts tendons des mufclcs, on l'iin ik
l'autre devenus olTeiix par la violente comprelHon qu'ils éprouvent
dans les endroits où ils font placés. Remarques de M.
"Winilow fur ces ûs. Ibid. 126 a.
Sefiimoide de la premiere phalange du gros orteil : diver-
fes obfervadons fur cet os. 1. 243. b.
SESELI, {B o t.) caraéleres de ce genre de plante. Sefeli
rommim. Sefeli de C.mdic. Sefeli de Marl'eille, fes caractèr
e s , ufages de fa femence en médecine. X V . 126. b.
SESO'STRIS , roi d'Egypte. Education de ce prince. XIII.
89. b. Cavalerie qui l’accompagna dans fes expéditions. V.
885. U. Comment il embellit l'Egypte. XL 298. b. Perfidie
de fon frère envers lui. Suppl. I, 331. b.
SESQ UÎA LT ERE, {Mufuj.) voye z Hémiole. Morceau
de ch:mt dans la niufiqne fclqtiiahere. X. 901. b.
SESSIA, Us vallées de {Géogr.) petit pays finie fur les
bords de la Soflia. Defeription du cours de cette riviere.
Lieux principaux de ce pays. Suppl. IV. 7S4. a.
SEST ER CE , {Monn. rom. ) peiitc piece d’argent qui valoir
le quart du denier ou deux as Ck demi. Marque du fellerce.
Valeur du feilertius Ck du l'ellertium. Remarques l'ur la
manière dont les Romains employoient ces mots. Valeurs
de l’as romain , du denier, du grand tk du petit feiterce ,
réduits à notre monnoie. X V . 127. b.
Sejlcrces d’Italie., leur évaluation. X. 651. a. Valeur du
grand & du petit feflerce. IX. 142. b.
S E ST ER T IUM , ( Topogr.iph. de Rome ) lieu oit l’on jettoit
les cadavres de ceux qu’on avoir fait mourir. XV. 128. a.
SESTUS ou Seßos, ( Géogr. une. ) ville de la Cherfonnefe
de T h r a c e , cél-ebre par les amours d’Héro 8c de Léandre.
Elle étoit fitiiée vis-à-vis de la ville d'Abyde. XV. 128. a.
Obfervation fur la manière dont Léandre alloit vifiter fa
jnaîtretTe. Les géographes croient ordinairement que les châteaux
des Dardanelles font bâtis fur les ruines de Sellos 6c
d'.Abydos, mais ils fe trompent manifertement. Largeur du
détroit entre ces deux ville s , par lequel Xerxès lit palier fes
troupes d'Afie en Europe. Ibid. h.
S E T H , obfcrvaiions fur ce patriarche & fur fes defeen-
dan«. I. 494. b. Colonnes érigées par les defeendans de Seilt.
III. 63 2. U.
SETHIENS, ou Sethiniens, (Hiß. eccl.) hérétiques fortis
de Valentin, ainfi appelles du nom de Sech. Leur doflrine.
Auteurs à confulter. X V . 129. a.
Sethien's , {H ß . ccd.) anciens hérétiques. X î. 303 a
X V L 813. è. .
S E TH llO N , ( Gtfogr. ) ville d’Egypte. XII. 662. ENome
fétiiroite. Ibid.
S E T IA , {Géogr. anc.) D. ville d'Italie dans le Latium,
X V . 128. é. Sa fttuation. Vin qu’on rccneilloit dans fon territoire.
Etat préfent de cette ville & de fes environs. 2.°.Setia,
fieux villes d’Efpagnc qui portent ce nom. Obfervationsfurle
S E V
pocte Valerius Flacciis, natif de Setia dans le Latium. Ibid
SET iNE S, veye^ A tiienes moderne,
SETON , ( Chir. ) bandelette qui fert à entretenir la com-
iminication entre deux plaies. Etymologie du mot. Comment
fe fout ces bamleleues. Lcius ufages. XV. 129. b.
Séton, aiguille à. I. 206. a.
Seton , ( Chir. ) opération faite a dellein de procurer une
fontanelle ou ulcere dans une partie faine. Übfervations
pour 8c contre rufage des cautères. Maniéré de faire l’opération
du fétou. Avantages que la fontanelle procurée par
cette métliode a liir le c-iutere. X V . 130. .1.
Selon, obfervations fur cette opération. X \ ’II. 203. a Le
fetou employé à l’égard des bellianx dans les cas de putridité.
Suppl. 111. 807. b.
SETSCH-A, {L u ) fortorefl'e dans une iile du BoriHhene.
Suppl. II. 61 1. b.
SE TU B A L , {Géogr.) ville de Portugal bâtie des ruines
de l’ancienne Cetobriga. Sa fmiation. Accroiffemensde cette
ville. Sa deliruéiion en 1733 par un tremblement de terre.
X V . 130. b.
SEVE ,{Bo t.tn .) de la caufe de l’ciéyacion de la feve dans
les plantes. M. Haies n’admet dans la feve qu’une forte de
balancement. Rétlexions fur lefquelles il établit fon hypo-
thefe. X V . 131.
S’t'vf, en quoi confifte le fuc nourricier des plantes ; altération
qu'il fubit en s’élevant dans les vaideaux. XII. 713. b.
Formation de la feve. X l l l . 746. a. Tcnis où les arbres ont
le plus de fe ve , 8c où elle a le plus de force. X V I, 132. é.
Vailleauxquicomienuenr la fe ve ; fa circulation. X V I. 96t.
a , b. Uoyei C ir cu l a t io n . Préparation que les feuilles Ôc
leurs différentes parties donnent à ce fuc. XII. 714. a. Deux
liqueurs différentes connues fous le nom de f'eve. X V I . 93 8. b.
959. d. Seve afeendante & defeeudante. I, 387. b. Mouvement
de la feve 8c de fes caufes. I. 749. a. XII. 713. j . X V I .
960. b. 961. a. Quelques-uns prétendent que c’eff fur-tout
par les fibres lignetifes de la racine que la 'feve monte dans
la plante. V I. 662. a. L’abondance Sc la vigueur des feuilles
entretient piiifl'ammcnt le cours de la feve. X V I . 937. a.
Des ufages de ce fuc. I. 387. a. X V L 938. b. 939. rf. Maladies
caulees aux plantes par fa trop grande abondance, 8c
par fon défaut, XII. 723. b. par fa niauvaife qualité , par l’a
diffribution inégale dans la plante. Moyen do remédier à ces
quatre vices de la feve. 724, a. Eft'ets de la feve dans la végétation
du blé. Suppl. III. 220. a.
Se ve, ( Bot.) M. Corti,profelIcur à Roggio, ayant découvert
dans certaines plantes, & particuliérement dans le ch.tr.i
jlexilis de Linntcus, un monvement inconnu aux obfervateui s
qui l’avoient précédé, M. l’abbé Fontana a vérifie 6c rediffé
cette obfervation par les fiennes, dont cet article renferme im
détail trés-circonffancié , extrait d’une lettre de ce célébré
phylicicii. C e mouvement n’eff point une véritable circulation.
Suppl. IV. 784. a. On voit dans toutes les parties du
chara un fluide, ou de petits corps plus ou moins irréguliers
, plus ou moins grands, plus ou moins agglutinés enfem-
b le, qui montent 8c del'cendent entre les noeuds ; comme fi
dans un tube cylindrique de cryflal fermé hermétiquenienc
aux deux extrémités,une moitié du fluide donc il feroit plein,
defeendoie le long du tube , pendant que l'autre moitié def-
cendoit par le cité oppofé. Chacun de ces cylindres terminés
par deux noeuds eü abfolument privé de vaiffcaiix. Le moii-
vemem du fluide dans l’un des cylindres eff tout à-fait indépendant
des cylindres contigus. Ibid. b. Autres obfervations
très-fingnliercs faites fur ce mouvement. Ibid. 783. a, b. Il
ne fuit pas de cette découverte qu’on doive établir un fem-
falable mouvement dans les autres plantes. Le grand argument
de l’analogie, toujours fi aifé à contenter, peut jetter
auffi trés-aifément dans l’erreur, quand on l’emploie incon-
fidcrémcnt. Mouvement d’humeurs qui exlfie dans toutes les
plantes. Il ne rciTemble en rien à la circulation du fang dans
les animaux. Ibid. 786. a. Le mouvement du fluide dtî chara
ne rcllcmblc aulTi ni à la circulation des fluides dans les animaux,
ni au mouvcmein d’afcenfion £c de defeente dans
les plantes. L'ana^igie du mouvement du cliara, pourroit, ce
femble, être afflpiquéc avec probabilité aux autres plantes,
fl l’o;ganifatio"en étoit la même que celle du chara. Cependant
il y a des plantes qui,, par leur flruflure iotcrieûre ,
font analogues au chara, 6c qui n’ont pourtant pas le même
mouvement dans leurs fluides, ce qui prouve combien il cfl
aifé d’être trompé par l’anaiogie. Ibid. b.
Se v e , {Géogr.) village de France. Pont de bols d’ime
feule arche, que M. Perrault avoit projette pour traverfer
la Seine en cci endroit, fans incommoder la navigation.
X V . 131./'.
Seve. Mamifaflure de porcelaine dans ce lieu. Suppl. I\'.
306. b. 307. a. Defciiption du lourncau conflruit pour cette
manufaélurc. 311- b.
Seve , {March, de vin ) faveur que le fcp a commimitiné
à la grappe, & la grappe au yin. X V . 131. b.
SEX
SEVER, 5.iwt- ( Géogr. ) Saiiu-Sevcr Ca p , Sc Saini-Sever-
tle-Riifl.in, deux petites villes de France. Ouvrages de D.
Martianay , né dans la premiere. X V . 132.
Se v e r e , Außere, Rude, {Synon.) I. 892. é.
SÉvÉRE, {Lucius Septimiiis) il combat pour l’empire contre
Albin. Suppl. I. 234. b. Hiffoirc du regiie de cct empereur.
X IV . 336. a. Oblerv'ations fur le nom do fa femme.
Suppl- 11.732. b. 734. i>..Arcs de Sepiimc Sévere. I. 6 o i. a.
Cüliféc qui porte fou nom. III. 621. b. Retranchement élevé
dans la Grande-Bretagne, par cet empereur. XVI. 824. a.
Suppl. IV. 75 3. b. Sepüzoïie de Sévere, vol. 1. des planch.
Aiuit|uités, pl. 7.
SEVERIE, ( Géoffr.) province de l’cmptre RulTicn. Ses
forêts. Scs bornes. Scs rivieres. Hiltoire de cotte province.
X V . 132. U.
Se v e k ie , (Géogr.) province de la haute Pologne. Ses
principales villes. Ducs de Severie. Suppl. IV. 787. a.
SEVERIENS, {L lß - c cd.) hérétiques qui avoient pour
clief un certain Sévere, qui commença à doginatii'er fur la
fin du deuxieme ficcle. Sa doéliiiie lur l ’origine du bien 8c
du mal. Suppl. IV. 787. a.
SE V E R IN I , {Marc-Aurek) anatomlfie. III. 3 34. <r. Suppl.
I. 396. b.
S É V É R IT É , 7?/g-«rür ( 5y;.’ü/i. ) différence entre ces mots.
X V . 132. U.
S E V I , {Zab,iihei) faux meffie. X. 407.^2, b.
SÉVIÉLE , ( Géogr. ) v ille d’Efpagne, l’une des premieres,
des plus belles, Sc des plus conlutcrablcs de ce royaume.
X V . 132. b. Sa defeription. Origine de fon nom. Sa cathédrale.
Son archevêché, Son univcrfitc. Autres édifices 8c
lieux remarquables de cette ville. Le palais ro y a l, la bciirfe,
Ibid. 133. a. le cou rs ,la boudieric , la maifon de i'o r , les
hôpitaux. Revenu que cette ville fournit au roi. Produit du
pays. Efclaves dont on fe fert à Séville. Obfervations fur
quelques hommes célébrés dans les lettres dont cette ville
a été la patrie. Avenzoar, médecin arabe. Louis de Alcafar,
jcfulte; fon livre fur l’apocalypfc. Ibid. b. Nicolas Antonio,
chanoine de Séville. Barthclemi de las Gazas, évêque de
Cliiapa. Miguel de Cervantes de Saavedra: particularités fur
fa vie 6c fur fes ouvrages. Ibtcl. 134. a , b. SébaOien Fox de
Morzillo ; U eff du nombre des enfans devenus célébrés par
leur génie 6c par leurs études. Ibid. 136. b. Nicolas Morna-
dès, médecin. Jean Pineda, théologien. ILid. 137. a.
SÉVILLE, {Géogr.) ville d’Amérique. X V . 137.
SE V IN , {Fr.inçois) membre de l’académie des belles-lettres.
XVII . 281. ^ Soins de M. l’abbé Sévin pour la biblio-
tJieqiie du roi. IL 240. a.
S EU L , Unit}ue {Synon.) X V II . 386. b.
SEVR ER, moyens que doit employer une femme qui
veut fe v r e r , pour prévenir l’épanchcnient de lait. IX. 212. a.
Du fevrage des enfans. Suppl. 1. 294. a. 293. a.
S E X A G E S IM A LE , {Arithm.) fonélions fexagéfinules.
Leur ufage dans l’affronomie. X'V. 137. b.
aiithmétiquc. I. 675. a. Fraélion. V IL 266. a.
SEXE,/c {Mor.ile) quelles fout les vernis du beau fexe,
d’eù il tire fa gloire 8c fon pouvoir. XV. 138.,;.
Sexe, {Phyßol. Moral. Medcc.) variétés par rapport aux
fexos des animaux, voye^ ACCOUPLEMENT, Hermaphrodite
, 8c Suppl. 111. 10. b. Chaque fexe a fon caraélere moral
propre. V . 404. tr. Avantages mutuels qui font l’égalité des
deux fcxcs. V L 472. b. Régime convenable à chaque fexe.
X IV . 12. b. Organes de ta génération des deux fexes, vuyt-
Génération {organes de U ) . Amour des fexes. I. 369. u.
Appétit qui porte les deux fexes à fc réunir. VII. 361. a. III. 39. a. Principe de cct inffinél. V I. 374. b. Comment les
poètes re.xpliquem. I. 448. a. Les manichéens rcg.irdent la
tliffinélion des fexes comme l’oeuvre du diable. V l . 470. b.
Sexe des plantes ; {B o t.) les payfans le diffinguenc eux-
mêmes. Suppl. IV. 787. a. Le fyffème de Tournefort l'oiulé
fur la fruéîihcation ou génération végétale. Syffêmc fexiiel
de Liiinanis. Ce qu’il entend par fleurs mâles, fleurs femelles
, fleurs hermaphrodites ou androgynes. Parties fexiielles
des plantes nommées étamine , anthère, piffii. Defeription
des noces du regne végétal. Ibid. b. La graine ou fcmcnce
préexiffante dans le germe, n’cft développée que par la fécondation
qui vofultc du contaff des poufficres 8c des étamines
fur le pillil ou le ffigmate. Gaules qui font avorter la femence.
Comment on rond une ileiir llérile. Origine des plantes-
mulets. Do la caffration des plantes. Origine des cfpeccs
bâtardes 8c variées. Fondement des divifions du fyffcme de
Linnoeus. Il reffraint les caraélercs des efpcces aux parties
vifihlcs de la plante, &c. Ibid. 78S. a. l'oyc:^ Sexuels , Organes.
S E X T A N T , (.<4/?7-c»/i. )di-fci iption de cet inff rument.5«pp/.
IV . 78S. a. Sextant de Hadley. Conffellation boréale de même
nom , introduite par Hévelins entre l’hydre 8c le lion. Ibid. b.
SEX TE , ( terme de Bréviaire) heure canoniale. X V . 138. it.
Raifon de fon inffitution. Pfeaiimes que les anciens chan-
toient à cette heure. En quoi confillc aujourd’hui fon fcrvice.
Ibid. b.
S H I 675
Sexte, heure de. XIII. a.
ST.XTE,{/urifpr.) collection des décrétales faite par Boniface
VIII. Ailleurs ([iii furent employés à cet ouvrage. Le fexte
n'a point été reçu en France. XV. 138. é.
SEXTIUS, ((2(i;7jura)philofophepythagrjricien. XIII. 624.^.
S EX T IL IS , {CdU/uir. rom.) vo ye z A o UT.
SEXTUMVIR A U G U S T A L , {Anùtj.rom.) prêtre confii-
cré au culte de l’empereur Auguffe , par Tibère. Temple
fameux élevé à Lyon en rhonneur d’Augufte. Diiî’crcnce
entre les Icxnimvirs augiiftaiix établis à Rome , 8c ceux des
autres villes. XV. 139. a.
SEXTU PLE, {Mufuj.) nom donné improprement aux
meliires à deux teins, compofées de lîx notes égales. Cini[
elpeces de ces mefurcs. La plupart de e c dlftindions font
abolies aiijourtflnii. XV. 139. a.
SE X T ü S EMP IR ICU S,philofopl'.e pyrthonien. I. 7S7. a.
SEXUELS, org.ines , voyez Génératiü.n de !.: )
Ceux des végétaux. Suppl. IlL 221. a.
SEYAH , ( Hip. mod. ) efpccc de moines turcs. Leur genre
de vie. XV . 139. b.
SEYMENY-BASSY , {Milic. turq.) premier liemenant-
géiiéral. Suppl. IV. 788. b.
SEYSSEL, ( Géogr. ) petite ville de France clans le Bugey.
Ohfervations fur la vie 8c les ouvrages de Claude de Seyffel.
X V . 139. b.
Seyjfd, projet d’un canal de Verfoix à Seyjfd. Suppl. \l.
183. b.
SH Y T A , {L-Up. mod. Superp.) idole adorée des Lapons.
Culte qu’ils lui rendent. X V . 139. é.
SEZZE, {Géogr.) ville d'Italie. Sa population. Ses vins célébrés
par quelques poètes anciens. Reffes qu’on y voit d’itn
temple de Saturne. Précipice derrière la ville. Tableau remarquable
dans l'églife des Fruncifeains. Fécondité des femmes.
Droits que la comimimuté pale à la Camera. Dune ecclé-
fiuffiquc. iV . 7S8. b. S F
S FO R C E , {François) duc de Milan. X. 301. b.
Sfo r C.':, {Louis) citadelle ou il fut ernenne. Suppl. IV.
61. U. S H
SHA-AB.VS î. Ses foins à embellir Ifpahan. VIII, 928. b.
SHAFTESBURY , ( Antoine-AskUy-Ccoper , comte de )
comparaifon de Locke 8c de- ce ])liilufo|ihe. VII. 383. b. Principaux
mobiles des aêlions huiiiaines ielon cet auteur. N'Ilî.
819. J. Préface qu’il a mife à la tète des fennons de Wiiiehcoc.
X V . 144. b.
SHAKE SPE ARE, ( GullUmnc) obfervations fur ce célébré
poète anglois 8c fur fes ouvrages. X V . 341, b. — 544.
X \T . 315. b. 316. a. Suppl. IV . 433. b. Foyci l'article
Hamlet, Défauts d’unité dans fes jùeces. X \ ’ II. 403. a, b.
SHA.MMANES, {Hip. une. & mo.!. ) vo ye z Sa r m a .ves.
SHA RP, {J c.ri) archevêque ü’Yorek. X \ l l . 673.
SLirp , affronome. Sun catalogne d'étoiles auffrales. Suppl.
IV . 913. a.
SIIASTIRIAR., {H ß . mod. ) bramlncs de l'indoffan. IX.
137. b.
SH ASTER ou Ch.jßcr, { Hiß. mod. Superp. ) livre facré des
idolâtres de l’Indolbn , qui l'ert de commentaire au v^dam,
qui eff le fondement de leur croyance. Signification du mot
Sh.ßer. A qui appartient le droit de lire le vedam, le sh.-i-
ffer, 8c le puran. Analyfe du shaffer. lh-incij>aux préceptes
d-e morale coiuenus dans la premiere partie de ce livre.
Cérémonies preferites aux banians dans la iccondc partie.
Les peuples de l'indoffan divlfés en quatre tribus dans la
truificme partie du Shaffer. Üiiginc du shaffer felon les bramlncs.
X V . 140.
6'/i.3/?i.’r , commentaire du véd.am. X V L 868. a. Livres qui
coiuicniicm l’c.xplicatioii du shaffer. XIII. 373. é.
SHELD ON, {Gilbert) archevêque de Caiitorbéry. X V .
489. a.
SHERIF, {H ß .m o d .) inagiftrat d’Anglcrcne. Comment
fe fait la nomination des shérifs. Durée de leur cliargc.
Deux fortes de cours que tiennent les shérùs. Leurs autres
devoirs. Shérifs de Londres. X V . 142.
Shérif, établiff’cmcnt des grands shérifs par Alfred , X V I I .
588. a. Fonélions des shérifs. IX. 691. b. Cour du shéril’.
X V I . 461.
SHERLOK , ( Guillaume ) théologien Anglois, X V . 423. b.
SHIITES , ou Chiites , {H ß . mod.) leurs adverfaircs Ibnc
les Sonnitos. Qualification odieiife que fe donnent réciproque-
nient CCS deux principales feéles du MahomérÜ'me. Prétentions
des Shiites feffateiirs d’Ali. X V . 142. .7. Leur rcfpecl
pour ce genrlre de Mahomet. Haine implacable des Shiùes 8c
des Sonnites. Ibid. b.
Shiiies, feiffe de Mufulmans. X. 909. b. X IV . 763. b.
Suppl. I. 281. b- En quoi ils different c e 5 Sonnites. IbiJ.
il I