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V M i r U l ' i
750 T A Y
T A Ü R O P O L E , {Jnriq.^rcc^i-) épithete donnée à Diane
pai lesbnbitans deViflc Nicarùi. XV. 945. ^7.
TAU ROPO LIES, (Lin.) fête en l’honneur de D iane ôc d A -
pollon , célébrée dans les ifles Icaries. Autres lieux où Diane
tauropolc étoit honorée. XV. 94^,^.
T J C ’RL^S y ( Geosr. auc. ) 1“. grande montagne dAfie.
Origine de fon nom. Différens noms qu’elle prend , (uivant les
pays où fes branches s'étendent. Ces branches étoient appellees
par les Grecs monts Cîrauniens, Les divers palTagesdu mont
Taurus l'ont nommés portes ou pyles. z “. Montagne de Germanie.
3". F leuves de ce nom. 4". Lieu de Sicile nommé Tiiunis.
X V . 945. é.
T.iurus, montagne d’A fie , fes différentes branches. X. 677.
ô .X I I .4i 3,é.
T A U T , ( Hiß. egypt.) voyqHERMfes ê- T heUTH.
T A U TO CH ^ O N E , (ALWj. ) étymologie du mot. V i brations
tautochrones. Courbes taiitocbrones de deux efpe-
ce s , dont l’une eft appellee tautochrone en defeendant , &c
l'autre tautochrone en montant. X V . 945. b. M. Huyghens
a trouvé que la cydoïde étoit la tautochrone dans le vuide.
Newton a aulR fait voir que la cycloide étoit encore la
tautochrone dans les milieux réfiflans. M. Euler eft le premier
qui ait déterminé la tautochrone dans un milieu réfil-
tant, comme le quarre de la viteffe. M. Jean Bernoulli a
aufti réfolu le même problème. Enfin M. Fontaine a réfoUi
ce problème par une méthode toute nouvelle , dans un
écrit qu’on peut regarder comme un des plus beaux qui fe
trouvent parmi les mémoires de l'académie des fciences de
Paris. Réflexions fur les méthodes à einpjoyer pour la recherche
des tautochrones dans les milieux réiiûaiis bc non réfiflans.
Ibid. 946. tf.
Tautochrone. Expériences fur le problêinedes tautochrones.
V I I . 34Î. é.
T A U TO G R AM M E , (Poéfte) étymologie du mot. Poeme
tautogramme, celui dont tous les mots commencent par une
même lettre. Exemples de tels poëmes.XV.943. b.
Tautogrammes yvers. XVII . i6 i.é .
TA U T -SE , (H iß .mod.) feéte de la Chine, fondée par
Lao-Kiun. Ouvrages & morale de ce philofophe. Attachement
de fes difciples à l’alchymie. Crédit dont ils jouiifent.
La ville de Kiang-fi eft le lieu de la rcfidence des chefs de la
feéte. Impoftures dont ils ufent pour attirer l’argaiu des per-
fonnes crédules & fuperftitieufes. X V . 946. h.
T A U V R Y , (D a niel) homme de lettres , IX. 308. a.
anatomifte , Suppl. I. 402. a. Ôc phyfiologifte. Suppl. IV .
3ÎVT
A U X , Taxe, Taxations, ( Lang, franc. ) figüifications de
ces mots. X V . 947.
T a u x du roiy(Jurifpr. ) X V . 947. a.
T.AUX , (Police decomm. ) XV. 947..7.
T A X E , (Jurifpr. ) Taxe oucoted’office. Taxe feche. Taxe
des dépens ;éommenioii rétablit. X V . 947.^7. Appel de la taxe.
Lb/d. b.
Tj.re des dépens. IV. 8 57. 858. *7, /'.Demandeur & défendeur
en taxe. 734. é. 803. a.
T a x e , (G üuvct/2.Pv////(/. ) voyt^ Impôt , Subside. Il faut
éviter foieneufement dans toute impofuion, des préambules
magnifiques en paroles, mais odieux dans l’e ffet, parce
qu’ils révoltent le public. On doit chercher dans tous les
états à établir les taxes les moins onéreufes qu’il foit poffible
au corps de la nation Projet propofé en conféquence de cette
maxime. X V . 947. E l’ouvrage intitulé Conf deration Jur
Us finances.
Taxe, aide. Différence entre l’une Si l’autre. 1. 192. h.
Diftinélion de trois fortes de taxes ; les impôts, les contributions,
Si les droitsfurles marchandifes. XVII, 868. a.
T AXt de contribution y (A r t milït.) droits que le général
fait payer aux places Si pays de la frontière , pour fe racheter
des infultes & du pillage. X V . 947. b. Deux fortes de
conirlbtuions ; celles qui le tirent en fubftances ou commodités
, Si celles qui fe tirent en argent. Mefures qu’on
doit prendre pour que la levée des contributions de la premiere
efpccc fe faffe de la maniéré la plus équitable Si la
plus fage. En quels cas on exige des voitures , foit par terre,
folt par eau ; dans quelles vues fe font les impofitionS de
bois; ouvrages exigés des pionniers. Comment fc tire l’uften-
Cle pour les troupes. Maniérés d’établir la contribution en
argent. Etat de toutes les contributions qui fe lovent. Ibid.
948. a. Le prince doit avoir une grande attention fur les
gens qu’il en charge. Ibid. b. Voye[ C o ntr ibu t io n s . IV .
144, a , b.
T a x e des terres, ( Hifi. d’Angl. ) il n’y a point en Angleterre
de taille ni de capitation arbitraire, mais une taxe réelle
fur les terres, qui furent évaluées fous le roi Guillaume III. La
taxe fubfifte toujours la meme , quoique les revenus des terres
aient .augmenté. RichelTe parmilespayfans de la Grande-Bre-
tagne.XV. 948.é.
Taxe foncière y établie en Angleterre. IV. 621. <7.
T A Y ,/ c , ( Geogr. ) riviere d’EcolTc , qui partage ce royaume
T E C en Ecoffe feptentrionalc & méridionale. Defeription de fou
cours. Villes qu’elle baigne. X V . 948. b.
T A Y AM O M , (Hijl. mod. Superfi.) efpecc de purification
ordonnée par l’alcoran. Comment &. par qui elle fe pratique.
X V .949. a.
T A Y -B O U -T O -N I , ( Efty?. 7770i/. ) jongleurs du Tonqiiin.
Leur maniéré de procéder à la guérifon des malades. X V .
949. a.
T A YD E L IS , ( Hifi. mod. ) devins du Tonquin qui s’occupent
à chercher les endroits les plus avantageux pour enterrer
lesmorts. XV , 949, J.
T A Y G E T E , (Géogr.anc.) montagne du Péloponnefe ,
qui couroit depuis l’A rcadie jufques dans la Laconie au bord
de la mer. La ville de Sparte étoit bâtie au pié. Divinités
.a qui elle étoit confacroe. Chalfe abondante fur cette montagne.
Defeription du mont Taygete. Noms modernes de fes
diverfes branches. X V . 949. a. Chine d’une partie de cette
montagne , fur Lacédémone , 469 ans avant Jefus Chrift.
Ibid. b.
Taygete. Le voifinage de cette montagne funefte aux Lacédémoniens
en deuxoccafions. XVII .633 . a.
T A Y L O R . Ouvrage de cet auteur fur les vibrations des cordes.
IV . z io . a.
T A Z A R D , ( Ichthyolog. ) poiiTon fort commun fur les
côtes de l’Amérique. Sa defeription. Qualité de fa chair. XV.
949. b.
TAZZATA,7j7« ri"«, ( Geogr.) aujourd'hui nouvelle Zemble.
Suppl. I. Ö36. a.
T C
T CH A -H O A , ( Botan. ) genre de plante d’un grand ornement
dans les jardins de la Chine. Defeription de quatre ef-
peces de ce genre. X V . 949. b.
T C H IG IT A I , ( Hiß. nat.) animal quadnipede. Sa defeription.
Lieux où on le trouve. X V . 9^0. a.
T CH O U EN , (^Marine chinoife) voyc^ SoME.
T C H U C H A , (Minéralog. ) efpece de minéral. Lieu d’où
on le tire. U faeeciue les Chinois en font enqualité de remede,
X V . 950. b.
T C H U K O T S K O l, (Hifi. mod.) peuples de l’Afie orientale
, qui habitent les confins de la Sibérie , fur les bords de
l’Océan oriental. Habitations & nourriture de ces peuples.
Leur religion Sc leur morale. X V . 930./'.
T E
TE A N UM y (Gèogr. anc.) 1°, ville d’Italie dans la Campanie
aujourd’hui Ttano. Elle a été furnommée Sidkinum :
elle étoit la plus belle ville de la Campanie après Capoue. 2°.
Tcanurn ville d’Italie dans la Pouille aujourd’hui Civitatc. Ruines
de Teanuiu encore fubfiftantes. X V I . i. a.
T E AR U S y ( Géogr. anc. ) fleuve de Thrace, infeription que
D arius , fils d'Hyftafpe, fit graver auprès & en l’honneur de
ce fleuve. X V I. i. a.
T E A T E , ( Géogr. anc.) ville d’Italie. Son éloge par Silius
Italiens. Sa fituation. Son nom moderne eft Tieii, ou Chieei.
X V I . i.rt.
T eate , ( Géogr. mod. ) ville du royaume de Naples , qui
donna le nom aux Th;atins. X V I. 1. a.
T E B A , (Bo l. ) efpece de bambou. Suppl. I. 7 7 1 . b.
TE BETH , (CaUnd. des Héb. ) mois des Hébreux. Fêtes
qu’on célébroit dans ce mois. X V I . 1. b.
T E C A , ( Bot. exot. ) forte de blé des Indes occidentale?.
Ufage qu’en font les fauvages. II ne faut pas le confondre
avec le Theca. XVI. i.b .
T E CH N IQ U E , ( ) étymologie du mot. Vers
techniques pour la chronologie , la géograpliie & i’hiftoire.
Vers qui renferment toutes les circonftauces qui peuvent nous
rendre complices d’un crime. Vers par lefquels k P. Buffier
commence l’iiiftoirc de France. X V I. o..a.
Technique , du langage tedinique, I. 716. b. Réflexion fur
l’invention des termes d’art. V I. 97. L’emploi des termes
techniques dan.s l’Encyclopédie juftifié. V . 181. a.
T E CH N O LO G IE , (Litü ra t.) objets de cette étude. IL
763. a , b.
TE CM E SSE, ( Mythol. ) fille de T e le vra s , captive ,
enfuite époufe cl’Ajax. X V L 2. a. Difeours tendre & pathétique
que Sophocle lui fait tenir pour détourner Ajax du defficin
de s’ôter la vie. Ibid. 2. b.
T E C TO SA G E S , Us ( Géogr. anc. ) peuples do la Gaule
Narbonnoife, qui faifoiein partie des Voleté : pays qu’ils oc-
ctipoient. X V L r.b. ÉtafalHfement que les Teélofages formèrent
dans l’Afie mineure 230 ans avant Jefu.s-Chrill. 11 s’éta-
rentaufllen Germanie aux environs de la forêt licrcyniennc.
Les Teélofages qui refterent dans leur patrie , pillés par Ser-
vilius Cépon. X V I . 3. a.
TE CU ITLES , ( Hifi. mod. ) efpcces de tjievaliers ciiez
E I
les Mexicains. Ceremonies obfervées h la récenflon Ac‘
TE D tU M y (H ifi des rus eccl.) nciutxtv de ce cantique.
En quel tems on e chante dan.s l’égl.G romame. Fameufe
eau e qm fut pla.dee au parlement de Paris , & q ,e l’on nomma
la caufi. du Te Drum laudamus. Le te Deum fe chance extraordinairement
a la fuite d’une viéloire. Le te Deum des rois
d.^une dame d’efprir, eft le de profunats des particuliers!
Te Deum : ceux auxquels le châtelet de Paris a affiflé III
0.
T a DMOH.
d i m h '1 rayftérieux »ppellés
dm . I r ' r ' " tu m de leurs pneres. Parole"s é' c rites fur ■ c'‘"efs* pHjr»c"h'-e'n"'i lns Ma!<-!
U.cre do„,_ils les dypofen, ft,r la réte 8c fur les „„i™ . x T l
4 0. 8, Jerom e en fait m ent on dans fon cominem airc fur S
î l h h - f l ’ ° “ ' / phylaaeres. Il ,,’y a que les luifs
I a c t Ère pratique. Jiid. 1 ôoyr; Ph y -
’ *■ ^ Gurgifian. Sa def-
T E F T A R D A R , ( K,mt d, Rdjuon ) tniforier des finances
Ainslcmpirc Turc. Obfervaiions fu r ie idiarclar dPgyp.e.
''■ lie du Péloponnefe. Obferva-
tions hillonques fur cette v ille , appdlée tuijourd'luii MucUi
Wonumerteleve par les habirans de Tcgéc à Jafius, Temple
de M,nerve dans cette mèn.c ville. Arillarque, p„üte trad-
que eioii d eT cg e e . Oblervattons fur le pliilofoplic Evite-
mere ne clans ce lieu X V I e i Ri l'n.* tv. ^ • i <
y f P'“ C publique de cette ville.
dara^nidbfr*^''^^'''’ ^’ *■ bourg de Natolie, célébré
dans Ibu lotrc , parce que Maltome, 11 y fini, fes jours en
14S1 . Oblervat.ons fur Ion caraclere & fur fon régné. X V I .
^ ^ d'Amérique. Suppl. II.
^ ) ' 'P ' “ de rats qui fe tronces'"
„ T , ,™ r ‘x V T t " : Hdtone naturelle de
T E H A vÎa ^ T : ■ ' '■ “ y “ ''’ " “ ■ -Sf'devnc, r.mukuU.
-Tp lÔ t i d'Arabie, Suppl. 505. i.
I ’ 'G ." e '- ) ''d ta g e du royaume d'Oriims,'du ôté
î : ce*;,em X ^ Ï T e ” “ ^
T p G N E , ( hifi. nat.) infeile ilu genre des chenilles.
Differentes eipeve, de t e g n e . TJ gnes domeftiques. Teignes
qui reftent lur le> am-e> Tetnes a-;tK.riques. XV. 6 b Te ignes
qui reheiK lur les mur . fa i iik , ceigue. ; les p: mcipales
iontcelles des abe les tic celles du lié. Jbid. b
Teignes qui attaquent le bU.dnppl. I. 918. Les teignes
COir,pi.ies d-na Lt diiinDucion desinleftes leuidoiJtercs vyv<.tr
ce d.rmer mot. > a a
Ti lGKE, { a im , . ) forte de lèpre, ainC appellee parce
qtielle rel.eiobleaux nous q. e f„:, au papier l'mfeéledcce
nom. traitenieiit t e la teigne. XVI. 7. O igiieiit propolé
contre cetre maladie par Ambroiie Parc, A,lire rei.redc- dit
doéieui- Cook , médecin anglois. Ibid. b.
Trig^: différence entre les croûtes de b it & b toic^ne I
p . é. 1 roincme degré de cette maladie app-.dlc uciiore! 1 07.
0. bette maladie loumife au niouvciuent de la haie. V l l l
737^ <7. Onguent pour la teigne. V i l, 380. b.
T e ig n e , (A/47W/I. ) X V I j b
T u C ,V î ., ( a a r p e n i . )X \ l . 7. h.
if T il le r .
l E lM , W « 7am'e )diftin6lionétabl,e en France du grand & dit peut ta n t. X V L 7, b. ®
I ™ ‘ . ' y ' ” " « ƒ« p ri« -X II. 4Ô6. a. f iy a ; T ein tu r e .
• t.'.yonsde b lune fur le
teint. V l i l . 733, .2. Gaule d’un teint grolfier ; moyen d’y
reniedier. X U i . 336. é. Différence dans b parure des feiti-
mes lelon leurs diflerens teints. Suppl. I l 244.4; b. R e mèdes
pour le t a n t , voye^ Cos.MÉTlQUE. ’
TITO.'” ” ’ ^ ^ “ C a RNAT
eint , ( MhoUkr ) mettre une glace au teint. XVI. 8. a.
8*’ " " " ‘"U PttfcElptioit de cetra-,
V tl. X V 11. i „ . i . v „ , . v m des plauclt. Miroitier, pl. ,. a.
Planclles donton fe fe ,j d,„5 „ travail. VI. 8 a ,.i .T a b le où
é m i S i f ''y-argent des glaces qui viennent d'être
etamées. V. 431. h. E-avrj Fiameic.
^^TE INTES, rferat - (P r in t '^ ttltfervatlon fur leur effet, IV.
l r o Y '^ b ™ ^ ’ " °";* .“ "''ttra 8< nuances pour les riraps,
étoiles do lame, poil de loies & cotons, X V I . S. a , i . Noms
T E I 731
Î n , ° ? a ' , ' l ; , T f E ' ” ^ "«"-celorans, qui entreur
& ‘yp é « ,tè ù .: r ! ' d " . " T i
faites pom'b'difi
tu >iu uon lemr. l^roitnes co oranre-n n.,. a - ’
■ es de bots. Bourre ou fo,l de clivV e 0 » , ^ " ' ' ' : " ' ‘° ’':
en provient e« appelléi carat de boùrre Caire,,,! i i ' i j i f
feremes fortes de cettdres. Ccrufe. D tfi'é ren re fi: e„ i f
Urravd e. Cutltle. Ind.go ; maniéré de le préparer Ibid b
Ion. Vutaigre. Lifte deviennes ulltés chez les teiniiitiors Ibid
b lô o ’rrô " ' T ' ' ' * ' ' ’,” l " T " ' l ’ ' ‘’ P''esé lateinture./ifft.iq.n.
D „ co u l,u - s du p u n i 6- bun u m E u quoi confifle toute la
raechanique de la temtiire. Ibid. b. Du éi». Préparation à
donner aux lames ou étoftés de laine avau, que rie les tein-
dre eu bl-au. Preparation appellee le bouillon. Couleurs qui en
ont brfom Trots ingredreits qui (ervent à rem,Ire en bleu
’ ° ^ ‘ 'indigo D efcipiion de la manier^
don, les teinmncrs les préparent. Ibid. b. Tons les autres
Meus dont les pemues font ufage, ne peuvent fervir et.
fo n ',T '’i P " ''é ‘P>'“ ‘ ‘" tes de rouge , qui
font la büfe ce tous les autres. Ibtd. i6 . a. Prépai^tinn à
donner aux laines avant que de les plonger d.ans la
couleur. DeCripuon de la teinture eu écarlate. Ecarlate
de grame ou de-V emIe, Attention de ceux qui l'acitetem poù? 1 envoyer-dans 1 etranger. Uid. b. Ecarlate demi-graine La
quantité d ingretliens qui entrent dans la teinture de toutes les
etofi-es en général, ne doit poiu, être auffi confidlmMe en
é p id au poids, pour 1 étoffé fabriquée, que pour la laine
fi é et, totfon II „ y a point dé couleur înedlenre f pTs
mile que leearlate de grame on kermès. De(crip,i„„ de là
tenture écarlate couleur de feu. !b,d. b. Méthode en uf,
ge pour le cramoifi. Ibid. 20. a. Pour les éc rlnrevc A ”
me W t e . /étd. é, Man.ere de telt.dr; S
- K. Nuances de ),iunc les plus connues. Maniéré de
temdre le jaune 6c leverd fur le fil (k cotott en bot. teim
d. 1 1 .4. 1,'e a teinture en fauve. « ,d. ae.é. £>«„„.0. Sesnti in-
ces. Manière de faire le beau noir fur la lame. Ib,d a , , Deux
manières de faire les gris fi,„pies , conf,dérés comme les
nuances qm der.veur du noir, Ib,d. b. D ,s „uU um p u , donZ
U m d.n p de bleu & du ,„„gu. Ibid, aq q. D „ du bleu
& A, jaune. Ou bleu 8e du fauve. Des méla„ges“ du roug.
U du jaune. Du meluige du ronge & du fn„ve. Du mèbnee
Ou melange du fauve 6e dunjir. Des principaux mélanges des
couleurs primitives prifes trois à tr.-,i.i, fJJd , , q ° 0 , la
tan,un d,s lu.na ,n p,,i, uin,. Diftinflion ties é to fe 'q u i doivent
recevoir le grand teior. Se de celles qui ne re v iv e n t
que le Item te,nt. Avantages de cetre fécondé forte de tein-
lure. ibtd b. De la te,mure de bourre. D e l'orfeille. Du
bots dinde ou de camped,e ./ iid . a6. a. Du bois de BréCI.
Du fuftel du rocom Ibtd b. De lag,aine d'Avignon. De la
terra tnenta InftrUs^on lur le débouilli dé! laines & étoffes
de laine. Ibid. 27. b. De la teinture des foies. Ibid. 29. a b Teind
r e du noir pour la foie ; maniéré desGenois, des Florentins
& des Napolitains. Ibtd. 30, u. Teiniure de fii. Ibid, b Des
nouvelles decouvertes qui fe font dans l'art de la teinture
Avantages de certaines nations fur d’autres dans certaines
pâmes de cet art. Ibtd. 31. 47.
Teinture , couleurs dont on fait ufage dans cet art
i T } a '^U' ^ Couleur’.
Ufages de differentes fubftances pour la teinture ; de l’alun.
J. 312. a. ü ii tartre. X V . 927. b. O'jq. a o u b Du
t^niirne-fol. X V I. 480. a. D e l’urine. XVII . 313. .7. Cuves
des temtuners. IV. 384. .7. Enclume. V. 629. Méthode des
teinturiers pour faire prendre b teinture aux bines récentes
encore g a ffe s , II 231. .7. & pour teindre les étoffes tachées
d huile ëc les fils de foie qu on tire des capfules glutineufes
qui fe trouvent dans la bouche des vers à foie. Ibïd, Pbh