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fiirion des exercices propres à endurcir le corps. VT. 139. h,
cli,.ngement fait aux foriiticarions depuis l’invention de la
poudre. VII . iy:2. a. Autres eficts qui en ont rclulté dans
l ’art de la guerre. 986. a. XIII. 98. b. De la maniéré de faire
la poudre; moulin à poudre. X . 817. a. Théâtre dans les
moulins. X VI. 238. .r. Réfultats des cflais faits pour déterminer
les dift'éreiis degrés de la force de la poudre , felon les
diliérentes proportions du charbon, du foufre & du falpé-
vre. VI. 641. b. Table des efl'ais qui ont indiqué la meilleure
juoportion pour compofer la poudre. 642. Obfervations fur
la qualité du falpètrc qu’on doit employer. X IV . 379. a, b.
Maniéré de le préparer. 380. a. Bois dont on fait le charbon
pour la poudre. II. 367. ti, b. Battage pour faire la pondre.
146. b. Pour la fabrication des poudres, voye;^ dans le
vol. \ ’l des planch, ['nriidc fravjil du falpân. Moyens em ployés
pour éprouver la bonté de la poudre. V . 839. b. Barril
dont on revêt celui qui contient la poudre. ï l l . 160. b. Magafins
à poudre. IX. 843. u , b. Sac à poudre. X IV . 470. u. Dif-
trlbution de la poudre aux troupes. Proportion de la poudre
pour la confommation des boulets de l’artillerie d’une
arméOji XVI. 323. b. Maniéré d’eflimer la force d’ une charge
de po.'dre fur une bombe. VIII. 322. b.
Po ud re. ( ) Difteremes maniérés dont on emploie
l.'i poudre à canon dans les artifices. Comment on la réduit
en poulhere. Ufage de cette partie de la poudre qu'on nomme
nlien. XIII. 193. b. ElTais qui ont été faits pour con-
noitre la meilleure proportion des matières pour compofer
la poudre. Réfultats que ces elTais ont donnés. Moulins 8c.
jnortiers de bois pour le travail de la poudre. Détails fur
la fabrication de la poudre au moulin. Ibid. 194. a. Préférence
qu’on donne à celle qui fe fait en Suifl'e. Deux moyens
de former la poudre ronde. Ibid. b. Dans les grandes fabriques,
c’eü par le moyen d’une machine. Defeription 8c ufage
de cette machine. Procédé pour former à la main la poudre
ronde. Ibid. 193. a. Table des cflais qui ont indiqué la
meilleure proportion pour compofer la poudre. Épreuves
faites au moulin à poudre d’Effoiine , le 12 février 1736.
Ibid. b. Réfultats de ces épreuves. Proportions de la poudre
la plus propre pour le fu fll, 8c de celle qui convient le mieux
pour l'artillerie. Ibid. 196. a.
P o u d r e //«c, {ArtUL) Son ufage. XIII. 196.^2.
P oudre fulminancc, (^Fortifie.) Coinpofiiion de cette poudre.
Défonatio.n prodigieufe d’un gros de cette poudre enflammée.
Deux effets particuliers, dlfférens de ceux de la
poudre à canon. X III, 196. a. Pareils cfi'ets de l’or fulminant. Ibid. b.
P o ud re gnnée. ( Anill. ) Son ufage. XIII. 196. b.
P oudre muette. ( fortifie. ) C e l l une erreur de croire qu’il
y ait de la poudre vminient imietre. Origine de cette erreur.
XIII. 196. b. — Voye^ A rquebuse a \ T n t .
Poudre , ( Phyfiq. ) préparation d’une poudre combulllble,
tirée des papiers de M. de Mairan. Suppl. IV . 310. a.
Po u d r e , {^Ecriture') celle qu’on emploie pour fécherrécriture.
XIII. 196. b.
Po u d r e , {^Mtréch.) cheval qui bat la poudre au terre-à-
terre , aux courbettes 8c au pas. XIII. 19Â b.
Poudre I cheveux. {Guntier-Purjum.) XIII. 196.^.
Poudre à cheveux. Origine de cet uiage en France. Louis
X IV ne la pouvoir fo'.iflrlr. Marguerite de Valois étoit fâchée
d’avoir les cheveux noirs. Les anciens fe teignoient les
cheveux en blond , ouïes couvroieut de poudre d’or. Suppl,
IV . 910. h.
P oudre de fenteur. i^Parfunu') XIII. 196. b.
P o u d r e . {Tannerie) X l î l . 196. b.
PO U D R E U X , Cour des pics. {Jurifpr. Angl.) IV . 372. b.
X II. 339. a.
POUGEOISE ( Mann.) petite monnote. En quel tems elle
fut d’ufage en France. Conunent elle ell tombée. XIII.
197-
POUGUES , ( Géogr. ) paroiiTe du Nivernois. Fontaine
minérale de Pougnes. Qualités de fon eau. XIII. 197. a.
Fougues. Cette fontaine rétablie 8c ornée en 1 7 6 6 , par
le prince de Conti. Monumens d’antiquité trouvés près de
Fougues en 1730. Suppl. IV . 310. b.
FO U IL L E , U {G cogr.) villes qu’elle comprenoit anciennement.
VII . 919. h.
F O U IL L É , (Géogr.) étym. de ce mot : regiftres ainfi
nommés. Pouillés gènéranx 8c particuliers. Q u e l ell le meil-
lettr ouvrage que nous ayons pour la connoiiTance des égli-
fes de France. ImprelTions de divers pouillés, tant généraux
que particuliers des bénéfices 8c des églifes de France. XIII.
197. b. Auteur qui a donné le catalogue des pouillés imprimés
8c manuferits. Utilités des pouillés pour les poirefleHrs
de bénéfices. Ibid. ig8. a.
PO U IL L Y en. Bourgogne, ( Géogr. ) bourg de l’Auxois ,
autrefois place fo r te, bâtie fur la montagne. Suppl. ÏV . 320.
a. Chapelle de Notre -D ame qui efl au bas de la motte.
Prince qui bâtit le château. Autre prince qui fit fortifier'la
motte. Point de partage qui devoit s’y faire du canal projette
POU
pour joindre rYonne à la Saône. Méjnoires où',l’on a démontré
l’utilité de ce projet. Avantages que ce canal prè-
curcroit .à la France. Élévation du clocher de Pouilly. Hommes
célébrés nés dans ce bourg. Ibid. 321. a. Fuye^ Suppl.
I. 163. a.
P O U L A IL L E R , ( Archit. ) comment ce lieu doit être
conflriiit 6c fitué. X l l l . 198. .î.
P O U L A IN , ( Maièch. ) diverfes obfervations fur les poulains.
XIII. 198. rf.
Poulain, il ne faut point, l’expofer à naître dans les
grands froids 8c les grandes chaleurs. III, 302. b. Moyen
de le tirer du corps de la jument par l’incifion ctuciab
pratiquable en certains cas. V. 362. a , b. Education des
poulains : opération de les hongrer : en quels pays on ne
la pratique point : effet de cette opération fur le caraélere
de l’animal. III. 305. b. Dentition du pouiain, VI. 443.
b , &c. Comment il cil poflible d’etre trompé en achetant
un poulain d’un an ou deux pour un poulain de quatre ans.
446. a , b. Attention qu’il faut avoir ])our gagner le confen-
tement des poulains. V, 723. b. Voyci Ha r a s .
Poulain , terme de charpenterie , de marine, 8c de tonnelier.
X l l l . 198. i.
Po u l a in , {H iß .mod.) épitliete qu’on donna vers le m ilieu
du treizième fiecle aux chrétiens métifs, qui s’etoient cantonnés
fur les côtes de Syrie. XIII. 198. b.
Poula in , ( Médec. ) voyci B ubo n.
PO U LA IN E , ( A/jrine) partie du vaiffeau. XIII. 198.^.
Foyc^ Eperon.
PoULAlNES, {H iß. des modes) longues pointes de certains
fouUers , qui furent défendus du tems du roi Charles V I .
Arrêt fur les poulaines, qui fe trouve parmi les arrêts d’amour
compofés par Martial d’Auvergne. Ce que dit fur les poulaines
M. de Mézerai.XllI. 198. é
VOVL'EgraJfc, {Bosan.) V alÉRIANELLE.
Po u l e , (Or/jîMeô ) parure des poules des plus belles efpo-
ces. Poules étrangères que nous avons accoiitiimées à nos climats.
XIII. 199. a.
Po u l e , (À y ? . nat. Econom. riißiq.) nombre des poules
pour un coq. IV . 178. b. Effets de lu mue chez les poules:
pourquoi elles ne pondent pas en h iver. X. 848. b, D e l’en-
rreiien des poules. X V II . 442. a. Les poules fans queue n’ont
point de croupion. 767. a.
VoviS., Poularde , {D icte, Mat.médic.) application fur l ï
tête ou fur le côté , d’une poule qu’on a ouverte en vie. Poudre
faite de la membrane du gefier de poule : remede peu
eflimé. Propriété de la fiente de poule. XIII. 199. a.
Poule d'Inde , {D iète) éloge de ce mets. XIII. 199. a.
Poules d’Inde farcies de ttuSes. Ibid. b.
P oule d'eau , {Omith.) divers noms de cet oifeau. Sa d efj
cription.Lleu où il fait fon nid. XIII. 199. b.
Poule d’eau , ( cfpece de) appellee aguapeca. Suppl. 1 . 223. <7.’
Poule d'eau , ( Diete ) défaut que ces oifeaux ont ordinairement.
Cet aliment ne convient qu'aux bons eflomacs.XIII.
199.4.
Poule noire des montagnes de Molcovie. IV . 178. b:
Grande poule faiivage du Bréfil. IX. 839. a. Poule de Nl^
midie , Peintade. Poule de bruyere. Suppl. I l,
594. a.
Poule fultane. Oifeau que M. Perrault croit être le même
que le porplûrion des anciens, 8c l’oifeau pourpre des modernes.
Sa defeription. X III. 199. b, Foye^ vol. V I des planch.
Regne animal, pl. 31.
Poule , cul */<;,( Maréch.) X in . 200. a.
Po u l e , ( Jeux) XIII. 200. a.
Po u l e ,/>/c de,{B otan.) XII. 360.41.
PO U L E T S , Four à , ( Invent, égypt. ) defeription de ce îif-
timent. XIII. 200. a. Comment les oeufs y font échauflés, juf-
qu’aii terme où ils êclofent. Le direéleur du four ne répond
que des deux tiers des oeufs. A qui appartiennent ceux qui
réufliiTent au-delà. Il n’y a que les feuls habitaos du village
de Berme , fitué dans le delta, qui aient l’indullrie de diriger
ces fours : quelle en efl la raifon. Ibid. b. Détails fur la police
établie par rapport à ces fours : diverfes obfervations fur cet
objet. Cette maniéré de multiplier les oifeaux domefliques
efl de la plus haute antiquité en E g y p t e . 201. a. Comment
il feroit facile d’enlever aux Berméensla fcience qu’ils
fe font réfervée à eux feuls. Degré de chaleur propre à faire
éclorre des poulets. Ibid. b. Pofiibilité de former en Europe un
établiflement femblable à celui des Egyptiens. Lumières que
nous tirons des voyageurs fur la conllruélion des fours. Ob-
fervation fur la maniéré d’y entretenir le feu , 8c fur le terme
au bout duquel on doit cefler d’en faire. Nouvel arrangement
qu’on donne aux oeufs à ce terme. Ibid. 202. a. Précautions
qu’on prend alors. Obflacles qui nous empêcheront
toujours de prendre la métljode des fours d’Egypte pour y.
faire éclorre des poulets. Ibid. b.
Poulets, fur la manière dont on les fait éclorre en Egypte
vt>ye{ Iss planches d’économie ruflique, vol. I.
Pû Ul ï t , {H iß, nat. ) de l’origine du pquiet. Éüyy/. U L 64.’
i li
POU
h Sa nourriture dans l'oeuf. Suppl. IV . 122. i. Comment il fe
forme. XL 404' b. Rudimens du poulet dans l’oeuf fécondé.
or.d. Son développement pendant l’i n c u b a t i o n . I . 123.
b 8ic. Suppl- III. 66. b , Sic. Du mouvement du coeur. Suppl.
IL495' f’' A élivitc 8c fenfibilité du coeur du poulet dans fes premiers
momens. Suppl. III. 66. a. Etat des arteres dans le
poulet. Suppl. I. 603. a. Mouvement du fang dans le coeur
du poulet afFoibli dans l'oenf. Suppl. II. 718. a. Expériences
fur la ténacité du tibia du poulet pendant l’incubarion.
Suppl- IV. 931. i , 8cc. Monflruofité dans un poulet. Suppl. II.
55TPoulet, Poule, Poularde , ( Dicte , M.it. médic. ) leur
ufa^e à titre d’.dinient 6c à titre de médicament. Obfcrvation
fur l’e.iu de poulet. X ill. 202. b.
Poulet. Aiialyfe de fa chair 8c de celle du poulet d’Inde. I.
067. b.
Poulets facrés, { Divinat. des Romains) manière dont
on ptenoit les aufpices des poulets fiifiés. D ’oii l’on tiroit
tes poulets. A Vi. mure depuis laquelle on ne donna plus de faux
aufpices tirés des poulets facrés. XIII. 203. a.
Poulets facrés, augure qui en avoit foin. XIII. 363. .1. Mépris
de Claudius Ptilchcr pour les prefages qu’on en tiroit.
Suppl. II. 436. b.
Poulets , ( Hiß. mod. ) lettres de galanterie : origine de ce
in ot.XV. 808.i.
POU LE T TE d’eau , petite poule d'eau, ( Omith. ) deferip-
lion de cet oifeau. XIII. 203. a. Diflerence entre le mâle 6c la
femelle ; qualité de leur chair, übiervatiotis fur le uid Sc les
oeufs de cet oifeau. Ibid. b.
'VoVLZITZ ,{H iß . nat.) voyf^; TÉRÉBRATULITE , 8c vol.
,VI des planch. Regne animal, planche 67. Poulettes folfiles,
regne minéral, planche 3.
P O U L IA S , ( Hiß. 'Hod. ) clafle d’hommes dans le Malabar
qui vivent du travail de leurs mains. Mépris qti’oii a pour ces
hommes utiles. Inhumanité qu’on exerce envers eux. Origine
de cette conduite qu’on tient à leur égard. X III. 203. b.
Poulias , prêtres de cette tribu du Malabar. XVI. 823. b.
PO U L ICH IS , {H iß. mod.) claiTc d’hommes encore plus
déteflés chez les Malabares que les poulias. Vie miférablc de
ccsgens'là. Q uel efl leur culte. X III. 204. a.
PO U L IE , {Médian.) une des cinq principales machines
dont on traite dans la flatiquc. Théorie de la poulie. Utilités de
fon ufage. XIII. 204. a. Démouftrationdes propriétés de la poulie
félon M. Varignon. Utilité de la réunion de plufieurs poulies
ou des moufles. Théorème fur lequel e fl fondé leur eflét.
Ibid. b.
Poulie. Chape de poulie. III. 160. a. On doit préférer,
autant qu’il efl poflible, les grandes poulies aux petites. IV .
aog. a. Les poulies niouflées ne peuvent jamais avoir tout
l ’eftét que promet la théorie. Ibid. D e l’ufage 6c des propriétés
d’uuaflemblage de poulies. X . 780. a , b.
Poulies plates de boulines, ( Marine) explication des difFé-
rentes fortes de poulies en ufage dans un vaiffeau. X lll.
205. a.
Poulies. Aiguillette établie au cul des poulies pour joindre
Êcfaire communiquer le dormant de la m aiioeuvreavcc la poulie.
Suppl. I. 232. b.
Poulie, terme d’horlogerie, de riibanncrie, Sedu métier d’é-
toft'esde foie. X l l l . 203. <2.
P O U L S , { Médéc. Econ. anim.Phyfiol.Sémciot.) étymologie
de ce mot. Sa fignification chez les anciens 8c chez les
modernes. Avant Hippocrate on connoiflbit peu le pouls : 6c
kii-même a beaucoup négligé cette partie intéreflimte de la
médecine. Hérophile fit des progrès dans cette connoifi'ancc ,
mais fes ouvrages ne nous font pas p.irvenus. XIII. 203. i.
On prétend qu’il exigeolt que ceux qui s’appliquoient à la
connoiflauce du pouls fuflént muficiens 8c géomètres. Il
eut de fon vivant 8c après fa mort un grand nombre de
partifans. Médecins fameux qui écrivirent alors fur la doctrine
du pouls. Diverfité dans leurs fentimens. Galien s’efl
beaucoup diflingué dans la connoiflauce du pouls. Ibid. 206.
a. Les médecins chinois s’y appliquent particuliéremenr.
Découvertes de Solano 8c de M. de Borden fur le pouls.
Peu de connoiiTance qu’on a du fyflême de Galien 8c de
celui des Chinois. Eloge de la doélrine de M. de Borden.
Dccifion des médecins de la faculté de Paris fur cette doctrine.
Ibid. b.
Doélrine de Galien fur le pouls. Livres qui nous relient
de cet auteur fur cette matière. Dans l’extrait qu’on en
donne ic i , on expofe , i®. les caraûeres ou dift’érenccs du
pouls; Ibid. 207. a. 2®. les caiifes des pouls; Ibid. 209. b.
3". les préfages qu'on peut tirer du pouls. Ibid. 2 1 1. b. A u teurs
galénifles qui ont écrit fur la même matière. Réflexions
fur la doflrine de Galien. Ibid. 214. b.
Expofition de celle des méchaniciens. Auteurs qui ont co n - .
fidéré le pouls méchaniquement. Leur doélrine , i “. furies
diftèrences des pouls ßlbid. 213, />. 2”. fur les caufes du pouls.
Ibid. 2î6.rf, b. 3". fur les préfages qu’on en ùce.ibid. 217.6. Réflexions
fur la doélrine des méchaniciens. Ibid. 218. b.
Tome il,
POU 503
Doélrine du pouls fuivant la nufique. Hérophlle efl le premier
cjui ait fait aaention nu rapport qu’on ponvoit établir
entre les battemens dc.s arteres 6c les notes de nuifique.
Médecins qui ont écrit fur cette matière. Expofition de la
doi^rine de M. Marquer, médecin de Nancy , par laquelle
il enfeigne à connoitre les poul'i de Tliomine p.'.r les notes
de la nuifique. Ibid. 220. a , b. Obfervations fur cette doélrine.
Ibid. 221. b.
Expofition de celle des Chinois fur le pouls. La connoif-
fance du pouls cfl la^ partie fondamentale de la médecine
cliinoife. Ibid. b. Ancienneté do la médecine parmi les C h inois.
Ouvrage traduit en francois de Ouang-chon-ho, dans
lequel il efl fait mention de plufieurs uaiiés fur le pouls ;
la doélrine cliinoife fur ce fujet s’y trouve expofée fort e.n
détail. Auteurs européens qui ont travaillé à nous faire con-
nuître la médecine chinoile. Ibid. 222. a. Ce qui fuit n’efl
qu’un extrait de ce que ces difFèrens auteurs out écrit fur
ce fujet. Doéliiiie des Chinois, 1°. fur les différences des
pouls. Ibid.h. 2”. Sur les caufes du pouls. Ibid. 224. a,b. Sur
les préfages qu’on tire par le pouls. Ibid. 223. a. Précautions
que les Chinois exigent de la parc de celui qui tâte le pouls.
Ibid. b. Réflexions fur la doélrine des Chinois. Ibid. 227.
Doélrine de AL de Bordcu fur le pouls. Cette doélrine ne
comprend encore que Thifloire de diverfes modifications du
pouls qui precedent 8c annoncent les crifes. Combien M.
de Bordeu a furpaflé Solano dans fes découvertes 8c fes
obfervations fur cette matière. Ibid. 229. b. Avant Solano ,
la doélrine du pouls étoit meprifée par le médecin praticien
, 8c Ton ii’imagiuoit pas qu’on put en tirer le moindre
parti pour la prédiéllon des criiès. Hiffoire de la maniéré
dont Solano fit cette découverte. Ibid. 229. a. Ouvrages
dans Icfquels ce médecin publia fes obfervations. Soins que
fe donna M. Nihell , médecin irlandoii, pour mettre dans
tin nouveau jour les idées du praticien cfpagtiol. Ouvrage
qu’il compofa fur ce fujet. Les travaux de M. Bordcu 8c
lés obfervations le mirent bientôt en état de confirmer,
de pc) feéliomier 8c d’étendre les découvertes de Solano.
Eloge du traité qu’il rit à cette occafion ; intitulé Recherches
fur le pouls par rapport aux crlfcs ; 8c d’un autre ouvrage
de iM, Michel qui parut peu de tems après fous le titre de'"
Nouvelles Obfavaiions par rapport aux crifes. Ib.d. b. Méthode
qu’a fiiivie M. Bordcu dans fon ouvrage. Doélrine
de ce médecin fur les différences 8c les préfages du pouls.
Ibid. 230. a. Caraéleres d’un pouls naturel, Diflérciiccs que
les âges y apportent, Caraéleres de celui des femmes.
b. Intlueuce des temperamens fur le pouls. L’auteur dlfiin-
gue trois tems dans les maladies, qu’il appelle d’irritation,
de coélion 8c d'excrétion. Différences que ces trois tems
apportent dans le pouls. Pouls d’irritaiion au commencement
des maladies. Pouls développé, qui i'e fait appercevoir dans
le fécond tems. Pouls critique, qui annonce la vléloire de
la nature. Ibid. 231. a. Divifion générale du pouls critique
en fupérieur Sc inférieur. Sous-djvifion de ces deux forces de
pouls en plufieurs efpeces. On compte trois Cortes de pouls fu-
périeurs critiques fimples , favoir le pouls peéloral , le guttural
, 6c le nafal. Leurs caraéleres. Ibid. b. Quant au pouls
inférieur , comme il n’eft pas rare d’obferver les excrétions
critiques partagées entre plufieurs organes inférieurs , les
différences qui naiffent de ces modiheations font difficiles
à faifir. Ibid. 232. b. Pouls fimplc de la crife qui s’annon#e
par le vomiffemenr. Pouls qui précédé le dévoiement fpon-
taiié criyque. Ibid. 233. a. Préfages qu’on peut tirer du
pouls dans les maladies du foie. Caraéleres du pouls, lorf-
que les maladies doivent fe terminer par un flux critique
d’urine. Ibid. b. Crife hémorroïdale. Caraéleres du pouls
qui l’annonce. Les regies des femmes font quelquefois une
évacuation critique. Ibid. 234. a. Etat du pouls qui la précédé
6c l’accompagne , particuliérement chez les jeunes filles
qui commencent à être réglées 8c chez les femmes qui ctf-
feiu de Tctre. Caraéleres du pouls de celles qui ont les
fleurs blanches. Des fuppurations critiques : état du pouls
dans ces cas. Ibid. b. Des pouls critiques dans les maladies
qui fc terminent par diftérentes excrétions, 6c que l’auteur
appelle pouls critiques compofés. Ibid. 233. a. Autre cfpece
de combinnifon des pouls qui réfulte du mélange du pouls
critique avec le pouls d’irritation. Ib'id. b. Des exceptions
aux regies générales qui viennent d’etre données , 6c des
précautions à prendre dans leur application. Anémions qu’il
faut avoir pour fentir exaélemenr les modifications du pouls.
Ibid. 236. a. Différentes circonflances qui , outre l'effort
critique , peuvent changer le pouls, 6c même empêcher ou
déguifer les modifications critiques. Ibid. b. Autres précautions
à prendre quand on veut juger de l’état critique du
pouls. Ibid. 237. a. Caufes du pouls felon M. Bordeu.
b. Réflexions fur la doiSrine de cet auteur. AvL. 238. «j. Des
caufes de la dilatation 8c de la contraélion des arteres dans
la circulation du fang. Caufe méchanique des variétés du
pouls. Ibid. 240. a. Ouvrages à confulcer. Ibid. b.
M M M m m m
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