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ccptiblcs. Difference entre le ncceffuirc &. le contlngcm. Dll'-
linflion entre la nécclîité d’clfcncc 6c la ncceirité tlcxillence.
IbU. b.
diAinftion entre l’infaîlüblc & le noceffaire. V II.
205. b. L’enchaîncmciu des cailles qui aniencm lev-énemein,
ne rendent point cet événement nécelVaire. VI. 415. b.
Voyc'^ NiXESSITÉ.
N É C E S S IT É , {M iu p h y f .) Deu.x fortes de néceAltés,
l ’iinc altfoliie, l’autre hypothétique. Différence entre la né-
celTité ék la contrainte. Nécellité phyfique, 6c néeeflîté morale.
XI. 68. />. Néceinté fimplc, & néeeflîté relative. Ibid.ßg. a.
NècejJlfciXw\c cflence. V . 996. b. Différence entre la nécef-
fité abfolue & l’hypothétique. IV^ SiipplA. 62. b. Sentimenr
de Hobbes lur la néeeflîté. VIII. 233. b. IX. 462. i , &c.
Celui de Spinofa. IbiJ. Syflème des Turcs fur la néeeflîté. Ibid.
La néeeflîté morale, & la néeeflîté hypothétique, fedon Leibnitz
, ne font point oppofées à la liberté. 460. b. Le principe
de la raifon fufiîlantc détruit la contingence de l’univers. X V .
633. i. Réflexion fur la néeeflîté. V l l l . 865. b. — Vuye^
Fa t .4lisme & Liberté.
N écessité, Bcfouiy D i feue, Indigence, Pauvreté. ( Synon. )
II. 213. b.
Nécessité, triple- {H iß . d’J n g l .)X V l . 658.a.
nécessité ,{Myihol.') divinité qui tenoit fous fon empire
l ’univers 6c les dieux. Son temple à Corinthe. Comment on
la repréfentoit. XI. 69. a. — Foye^ VIOLENCE, ( A/yr^v/. )
NECHLASEN, {Médec.) terme particulier à Paracelfe,
tel que ceux de Niaßrori, de Aébulgen, que vous trouvez
expliqués dans leurs articles. X I. 69.
N £ ( illO LO G E , (H.'jl. mod.) étymologie du mot. Nécro-
logc des premiers chrétiens , des moines. N écrologe des faines.
C e nom conviendroii mieux que celui de martyrologe. X L
69. b.
NÉ CROM AN CIE , ( Divinat. ) cérémonies que prati-
quoiciii les G recs , 6c fur-tout les TlielTaliens dans l'évocation
des morts. Deux fortes de nécromancie felon Delrio. Peines
qui ffjrent décernées contre ceux qui exerçoient cette partie
de la mag:e. Sentiment de T^riullien fur l’apparition des morts
évoqués. Autres fentimens furlemèmcfujet.Xl. 69.é. Paflage
dti pfeaume CiV. 28. ou ileff parlé de cette efpece de divination.
Sacriricos que les anciens pratiquoient dans les funérailles.
Etpecc d’alliance 8c. de familiarité que l’on crut contraéler
avec les morts par ces facrifices. Ainfi ces cérémonies furent
enfuite deflinées à toniulter les morts./üt/, 70. e. l a nécromancie
réduite en art par les prêtres. Etymologie du mot
r.écromaneie. Ibid. 70. b.
Nécromancie, fon origine. V'I. 630. — Voye^ EVOCATION,
NÉCYO-MANCIE 6c Psycho.mancie.
N E C TA IR E , éveque de Conffantinople. X V . 91$. h.
N E C T A R , {Myth.) boifl'on des dieux. Echanfons qui le
leur verfoient. Efpece de neélar que buvoient autrefois les
moines de l’ordre des chartreux. XI. 70. b.
N E CYO -MANCIE , {Divinat.) divination par les évocations
des âmes des mort.s, E>es cérémonies iiiirécs dans ces
évocations. D ’où Homere a tiré l’idée de la nccyoniancie
dont il parle clans rOdyffée. Origine de cette divination chez
les Grecs, 8c du partage quîls ont admis du gouvernement de
l ’univers entre difterentes divinités- XI. 7 1 . u. Foye:^ Nécromancie,
Évocation.
N E D A , ( Géogr. .7/7C. ) fleuve de G rec e, auquel les jeunes
gens confacroienr leurs cheveux, comme les jeunes troyennes
leur virginité au fleuve Scamandre. XI. 71, a.
NEEDHAM , ( Tukcrvitle ) anatomille. Suppl. I. 4 1 1 - ^j. Sc
pliyfiülogiffe. Suppl. l\ '. 360. a. Ses obfervations microfeo-
plqiies. I. 473. a. Suppl. I. 738. a. Son fyflcme fur l'orga-
nilàtion. Suppl. IV. 182. b.
Needham , ( G.mtier) anacomifle. Suppl. I. 309. b. 6c phy-
lioioglfle. Suppl. IV . 332. a.
N É E T O , ou Néétho, { Oéo'^r. une. & mod.) riviere d’Italie.
Origine du nom de cette riviere, qui flgnifie embréfemem des
vaijfeaux. Trois fortes de plantes remarquables qui crcilToiont
fur les bords du Nééto. X L 71 . b.
N E FAST E , jou r, ( Hijl. anc. ) comment ces jours étoient
marqués dans le calendrier des Romains. XI. 71. b.
Aef.:ße,jour. Foyet^i'ui ce fujet, VI. 418. é. 419. i>.\ i l l .
S90. b. 8y I. a,
N l F FLIER, {Bot.in.) taraéleres de ce genre de plante.
Defcriptlon de cet arbre. Maniéré de le multiplier Ce de le
cultiver. Qualités de la nèfle. Teins de recueillir ce fruit.
Maniéré de le conferver 6c de le préparer pour la table.
Qualité Si uiage du bois de nefliier. XI. 72. a. Trois efpeces
de cet arbre, le neffÜcr faiivage, celui de Hollande, 6c le nef-
flier fans noyaux. Ib'ul. b.
Neffeier , ( Bot. Jardin. ) noms de cet arbre en différentes
langues. Enuméraiion de vingt-trois efpcccs. Suppl. IV. 23. b.
Obiervations fur leur culture, leurs qu.ilicés 8c différens
ufages. Ibid. 24. b.
nommé a z é ro lie r .I .q ii. b. Nefflier duJapon. X V.
483. b. D e la greffé du nefflier. Suppl.X. 284. <t.
N E G
NEFFLlBR,(D/«ti 6« Mat. ttiéJic. ) Qualités des neffles avant
leur maturité, 6c lorfqu’elles font nuîres. Maladies dans lef-
qiielles on peut les employer. Autres ufages que la médecine
tire du nefflier. X L 72. b.
N É G A T IF , {Algcb.) notions peu exafles que quelques
auteurs ont données des quantités négaiives. X L 72. b. Ces
notions reflifiées. Ibid, j-^.a. Dans la foluiion d’un problème
géométrique , les quantités négativc.s ne font pas toujours
d’un coté oppoié aux pofitives ; mais d’un côté oppofé à celui
oil on les a fiqipolées dans le calcul. En quoi les racines négatives
des équations different des racines imaginaires. Paflage
du pofitif au négatif. Ibid. b. — Positif.
Négatif , ( Gru//j/7j.) condition négative. III. 838. E Fait
négatif. VI. 383. b. Propofition négative. X l l l . 478. b. Suppl.
l. 184, b. Termes négatifs. X V I. 137. .2. Théorème négatif.
232. b. Jugement négatif. Suppl. I, 183..!.
N É G A T IO N , {Lo ftq. Gramm.) difliiiiffion que font les
méiaphyficiens entre négation 8c privation. Ce que les grammairiens
entendent par négation. La négation d,figne l’ab-
fence d’un attribut, non comme conçue par celui qui parle ,
m. ùs comme un mode propre à fa penfee aituelle. Diüin-
élion que font les grammairiens entre les mots négatifs 8c les
mots privatifs. XI. 74. a. Auteurs à conliilter fur quelques
oblervaiions par rapport à nos négations françoifes non 6c ne.
Ibid. b.
Négation,adverbes de. I. 148. b. Obfervations fur les nega-
tio ns ne pas, ne point. 73 4. b.
NÉGLIGEN CE qui plait dans la parure 8c dans l’efprit.
VII . 766. a.
NÉ G L IG ER , {Algeb.) omettre certains termes dans le
c.ilcul 3 méthode lur-tont en ufnge dans les calculs d’approximation.
Principe fur lequel elle eff fondée. On ne doit remployer
qu’avec précaution, il eft certaines qneffions où une
très-petite quantité négligée produit de grandes erreurs. Une
antre erreur à évite r, c’eft de fuppolér clans le calcul, qu’une
quantité doit être fort petite, Xl. 74. b.
N É G O C E , {Comm.) le négoce efl une profcflîon très-
houoniBle en orient. La qualité de marchand trés-confidé-
rée en Perfe. Courtiers que les Perfans nomment delai 8c
vikilû. Le moyen le plus fur de ruiner le négoce dans un
roy'aume, eff d'autorifer lu finance à fon préjudice. XI. 73.
N É G O C IA N T , il efl plus utile dans le cas où le commerce
feroit borné, d’avoir beaucoup de négocians riches,
qu’un moindre nombre de irés-richcs. III. 699. a. Semimens
que le négociant doit à la fociété dont il efl membre, Ibid. b.
Le corps des négocians doit avoir entrée dans l’alTemblée des
état.^^ X IV . i 43-p2-
N tG O C IA T E U R , {Politiq.) caraélcre du négociateur,
d’après la Rruyere. XL 73. b.
N É G O C IA r iÜ N . { Société civile) Le but de toutes négociations
efl de découvrir ou d’obtenir quelque thofe. M oyens
de découvrir les hommes. Moyens de les gagner. Les négociations
importantes ont befoin de teins pour mûrir. XI. 73. b.
La hardidïe tient mal la place des talens réels. Il vaut mieux
géncrnlement négocier de bouche que par lettres, 8c piutôc
par perfonne tierce que par foi-môme. En quel cas les lettres
font bonnes. En quel cas il efl faon de négocier par foi-même.
Quelle forte de perfonnes on doit employer dans les iiégo-
ciarions. Ibid. 76. a.
Négociation, {Comm.) commerce des billetsSc lettres
de change. XI. 76. a.
N ÉG OC IER une lettre de change, négocier au pair, avec
profit, avec perte. C e qu’on entend par avance pour U tireur^
6c perte pour le tireur. XL 76. a.
NEGRES , ( Géogr. ) pays des negres en Afrique. Suppl. L
193. b. Différence encre les maures 8c les nègres ; différentes
nations de nègres en Afrique. V l l l . 346. b. Negres de Jiida.
Suppl. III. 673. a. Foye{ JüDA. Réflexion fur les negres en
général. 347. a. Idée que quelques negres d’Afrique fe font
de l’écrc fupréme. IX. i i i . b. Culte qu’ils rendent à des
cfprits ou revenans. 112. a. VIII. 447. b. Divinités dos negres
d'Afrique. X V . 108. b. Monnoie en ufage parmi eux. IX.
623. b. Divers ufages que certains peuples negres tirent de
l'arbre nommé baobad, Suppl. I. 799. a,b. 8oo. .1, b. Efjrecc
de jongleurs parmi eux. 800. a , b. Efpece de ver auquel ils
font fuje'cs. X V lI . 4 1 . Iiillrumeiis de muflque en ufige panni
ces peuples, tambours, Suppl. IV . 929. b. trompettes , 979,
b. flutes. Suppl. III. 62. a. Danfes des negres d’Amérique.
IL 360. a. X V . 874. é. Pourquoi les negres ont le nez camus
6c les lèvres groffes. XI. 127. a. D e l’uitéraùon qu’ils fouf-
frentdnns leur couleur. Suppl- I. 343. a.
N-.GRE, {Hijl. nat.) caraéleres diflinéiifs des negres. Variétés
enir’eux felon la diverfité des pay.s qu’ils habironc. Variétés
entre les hommes des diflerentes nations par rapport à la
couleur ou à la taille. XI. 76. b. E.xamcn de la quefticn , com-
jnent d’un feul h omme, pere du genre humain , il a pu naître
tant d’efpeces différcnics. Ibid. 77. a. Caufes de la noirceur
des negres. Deux conjctîtircs formées fur ce fu je t, dont
l’une attribue la caufe de la noirceur à la bile, 8c l’autre i
N E G
Mntmeur renfermée dans les vaiffeaux dont le corps maqueux
efl rempli. Expofition 6c examen de la premiere hypotiiefc.
Ibid. b. Explication de La fécondé. Pourquoi les negres ont
les cheveux crêpés. Ibid. 78. b. Foye:^ Peau de negres.
Negres b l a n c s , (J/iyE/iur. ) efpece do negres, qui quoique
nés de parens noirs, ne laiflént pas d’être blancs, 8c de
conferver cette couleur tome leur vie. Defcriptioii de cccte
efpece d’hommes. Lieux oii on les trouve en plus grand nom-
Lre. Divers noms qu’on leur donne. H.ûnc mutuelle cncr’eux
6c les noirs de Loango. Places qu’ils occupent auprès des rois
tic ce pays. XI. 79. a. Leur religion. Divers fentimcnsfiir
la caufe de la blancheur de ces negres. Lictix de l’A fic oit
il s’ci) trouve./élÉ. b. — Voyc^ A lbinos, 6 c III. 331. u.
Ne g r e s , {Comm.) comment on tâche de juflifier ce que
le commerce des negres a d'odieux 8c de contraire au droit
iiaturel._ Nations européennes qui font ce commerce XI.
79. b. Epoque a laquelle les François l’ont entrepris. Compagnies
françoifes qui fè le font réfervé. D'où fe tirent k s
mcdlcurs negres. Q uel en efl le prix. Différentes manières
dont CCS cfclaves le font. Nourriture ddlinéc aux negres
dans les vaiffeatix qtii en font la traite. Ibid. 80. a. Amour
que témoignent potir leur patrie cc.s mallicureux, lorlqu’ils
font fur le point d’en être éloignés. Comment on les amufe
duram le voyage. Prix des negres à leur arrivée aux illcs. Ils
font la principale i icheffe des habitans des colonies. Comment
on doit les traiter. Ibid. h.
Negres, U traite des negres cmplovée par les Efpagnols
pourpeujilcr l’Amérique. Suppl. J. 346. h. Dos marehandifcs
d’échange 8c monnoics uficées dans l’achat des negres. X.
636. a. XVI. 420. b. Ce qu'on entend dans ce conimerce p.ir
negi-c pièce d’Inde. XII, 367. m C e qu’on entend par tète
d ene gic. X'Vl. 202. b. Quel ctoit vers le commencement
de ce ficcle le prix des negres de Lampy 8c de Jucla. I. 39, j.
Commerce des negres d’Angola. I. 463. b. Partage qui fe fait
des negres arrivés dans rAmérique ci'pagnoie ; évaluation de
chaque negre fdon ce partage. 769. b. Captiverie oîi ou les
tient en attendant qu’on les embarque. IL 640. a. Loi que
k s Portugais d’Amérique font obligée de fuivre dans leur
commerce de negres. XIV. 296. b. Réikxious fur la traite
des negres. X V I. 332. é. Detail, fur le commerce des negres
pour l'iflj de France. Suppl. l i l . 668./'.
Negres, confdtrés comme ejd.ivcs d.ins les colonies de CAmérique.
Changement do climat qui rend aux negres la vie ani-
inale beaucoup meilleure en Amérique que dans leur pays.
Nom qui diftinguc leurs enfans nés en Amérique. A qui
appartient en France le commerce des negres. x i . 80. b.
Pays d’Afrique d'où fe tircr.flc s pius cflimés. Religion &
langage des Sénégalais, Leur emploi dans les colonies, ü b k r -
vations fur le, negres des autres nations d’A frique : leur
figure, langage , religion, caraftere, genre de travail auquel
ils font ]3ropres, érc, Ibid. 81. a. TraHCnient des negres lorf-
qu’ils arrivent d<ms le» colonies. Leurs travaux fiir les
Itabitations. Ibid. b. Car..élcre des negres en général. Leurs
logemens, leur noun iiurc 8c leurs ufages. Ibid. 82. a. Ciiâti-
mens des negres, police &. réglement à cet effet. Dilpofltion
de l'édit diiTol concenian: les negres, anpellé le code noir.
Ibid. b.
JVfgrej, pourquoi Louis XIII confemit à leur efclavagc.
XIII. 93. b. Du nombre, des divers emplois, de la police
des negres dans les fucrcries. X V . 618. b. 619. a. Nourriture
que les habitans dos ifles françoiiés doivent leur donner.
X. 39. b. FonéHons du commandeur lîir les negres. III. 688. a.
Précaution à prendre pour la confervation des enfans. X lî.
216. b. Des negres qui fuient de la nraifen de leurs maîtres.
X, 134./’. Inflriimcnt dont on (’e fert pour marquer !es
negres dans l’ifle de S. Domiiigue.XV. 491. b. D e l'aflran-
diiflement des negres dans k s ifles françoiks. X . 6 3 . Code
concernant ces efclaves. III. 381. b. Réik-.xions lîir l'efclavage
des negres. IX. 471. b. X V I . 332. b. (vc- Du traitement quîls
reçoivent dans l’illc de France. Sup.pl. ill, ÔCS. b. 669. a.
Negr e s , . u.;/gr.cf ou M.iigrots.{Péehc) ti'pccu de polffon.
XL 83. b. Maniéré dont les pètheurs de S, Paiaci, dans le
teflbrt de ramirauté do Maixnnes, fur l.i côté du Ponant,
prennent ce podîbn. Ibid. 84. a.
N E G R E PO N T , ijle de { Géogr. ) ifle de G r c c e , VEiibéc des
anciens. Son étendue. V .lLs qu’un y vo yo it riiitrcfbis. Jeux
qui s’y cclébrokiu, Origine du nom de Aîg/v/io;;/. X I. 84. .r.
Promontoires de cotte ifle. Sou\ cr. ins au.xquels elle a apoar-
temi. Fécondité du tenvin. Son dcpériffcnik n tious la iiulfl-mce
du grand fclgneiir. Ibid. b.
Né g r e p o n t , {Géogr.) ville de Grece. Ses habitans. Son
gouverneur. Prife de cette ville par Mahomet II. Sa pofition
géographique. Sa fiiuation. Pont tic pluie qui joint l'iHe à la
Négrepont. XI. 84.
tA-or. ) arbre des Indes orientales , dont
XI s f ? “ " ^ ‘leCcription.
NEGUS, ( jy ÿ ? .) foiiverain des Eihiopiens& des Abyfllns.
Comment ces vois prétendent defcemlre de la reine de Srtba
N E M 28
qui alla vifiter Salomon. IVnivoir exceflif que k s prêtres
exerçoient autrefois dans l’Eihiopie, & furies lois meme.
A l .^83. a. Foye:^ Preste-Je a S 8c-A bis s inie,
N EHALENN IA, {M yth.) comment on fit li découverte
cic cette deeffe 6c de fon temple, clans fifle de Valdicreii des
P.iys-Bas en 1646. Obfervations iiir les flatues dcNelialennia
XL 83. a. Des lieux ou cette déeffe étoit adorée. 11 paiou'
qu’elle ctoit invoquée pour la navigation. D.vers fentimens
fur ce qu’otoit cette divinité. Ibid. b.
^ NFJ-IEMIE Livre de {Critiq. facr.) l’autClir de ce livre
n efl.pomt Ncbémle. Infertions cju’ajoiitoicnt aux l.vrcs fiicrés
ceux qui en compofoient le recueil. Q uel efl celui qui ua-
valjla k dernier à ce recueil. Addition du diapitie la de
Neheimc, faite par une main étrangère. XL 83. />.
^ Néhcmie, foin qu’il prit des livres fiicrcs. II. 229. a. Humanité
dont il iifa envers k s débiteurs infolvables. XVII . 349. a.
Fcte en mémoire de la dédicace des murs de Jérufalein iiar
Nehemie.V. 332.É D uEv re qui porte fon nom. 948. b. Pourquoi
il n’y a puiiu dc^irgum fur ce livre. X V . 912. a.
N E IG E , (/-'/n'//^,) nature des nuées. Formation de la
neige. Figures des flocons de neige. Xi, 86. a. Les differentes
cfpcces de flocons réguliers ne font prefque jamais confondues
dans la même neige. Longs rilamens tl’cau glacée
quoi! apperçoit dans la ncige, quelle que Ibii la flpuie de
k s flocons, qui paroiffent dépendre de la figure cles'^parties
iiitegiantcs de lean. Difterentes caufes qui peuvent coiiiri-
biicr à faire tomber dans cert.tins tems une efpece de i!ei»e
plutôt qu’une autre. La neige efl beaucoup plus rare 6c plus
legere que la glace ordinaire. Son évaporaiiim efl très-coniî-
déi able. Forte co.mpreiîion dont elle ei! cajiabJe. UiJ. b. Caufes
de fa blancheur. Ckite blancheur éblouhliuitc nuit a la
vue des voyageurs. La neige 8c la glace lom égaiemeiit froides.
Lorfqu'eik a féjoumé fur la terre, elle comraefle quelque
cliofe de mordlcant qui fe fait femiriiu la l.m 'ue. On
attribue à l’eau de neige Ibiuliie ko goeires des liabTtano des
Alpes. Des principes dont la neige peut être chargée, üofbr-
vatlons fur la quantité Je neige qui tombe dans certains pays.
Ibid. 87. .7, Pourquoi le froid exceflif diminue io rfqiie la
neige furvient. 11 neige auflî quelqu.-lois par un froid très-
v if , qui augmente lorfque la neige a celTé de tomber. Quel
efl k vent qui amené le plus fouvent la neige en Provence
8i dans le bas Languedoc. Exemples de neiges accompagnées
de tonnerres. Homere critiqué mal-à-propos par Scahger lur
ce qu il as oit rafleinblé ces cieux phenonienes dans un meme
tems. Ibid. b. Les neiges des montagnes eiureiieimeiu le froid
dans k pays. Comment k s neiges dvS montagnes d'Auvcigne
6c de Daupliiné influent fur k n.ui:re des Gems du Languedoc.
Effets do la neige fur k s plantes. La neige peut e:re
employée au défaut de glace dans la préparaiion d’une infinité
de boifl'ons rafiMÎchiffjnces. Ibid. 88. a.
A’r/ge, diftéremes figures des punies de la neig e, vol. V
des planch. Phyfiqae, planch. a.Haurciirà laqticdle comnu iice
fur les momagiies la neige permanence. Suppl. III, 230. a , b.
317. a. 1 errein fur lequel la iicige fe confe'ivc le mieux.
250. é- Utilité de la neige qui couvre les montagnes. 232. b.
L’eau de neige fur-tout propre à fcnilifer la terre. -ïo.a.Sunul
IV . 692. b. ‘ ‘
N e k ;e , {Mat. médic. & Dicte) ufage que les peuples du
nord font ck la neige pour rappdlcr la chakur 8c la vie dans
k s membres gelés. Engelures guéries par la neige. UTajc
d’éteindre le fentiment par l’application de la neige' dans une
partie fur laquelle le cluruigion doit opérer. XI. 88. b.
Nage, fon ufage pour dégeler les fruits ou k s membres
gelés. VIL 683. b. D e la qualité de l’eau de neige. V. 191
b. 192. ,7. Sa compofition doit varier par différentes caufes!
Ibid. Elle paffe pour la principale caufe des goctres ck des'
écrouclies. 194. b.
N e ig e , oijeau de {Hiß. n.u. ) o\Çcd.w du Spitzberg. S ad tfr
eruption. Familiarité de ccr olkau. Qualité de fa chair. X.
NEKIR ou Neker , ( Hiß. mod. ) ange q u i, felon l’alco-
ran , examine les morts dans k fépulcre. Nom dos deux anf>cs
qui font cette fondion. Qneffions qu’ils font aux âmes des
morts. Etat des aines, félon Mahomet, en attendant le jour
du jugement. XI. 89. a.
NELLENBÜURG , ( ) province de rAiii.ricIib antérieure
, en Allemagne. Scs bornes. Üiigine de fon nom.
Principaux lieux qu'elle renforme. Acquifitioii que rAutriche
en fit en 1463. Baillif qui en a l’adminillracion. Principale
richeffe du \12ys. Suppl. IV. 23. a.
N E L SO N , le p o u , { Géogr. ) port de l’Amérique fc-pten-
rrionale. Fort du même nom. Commerce qui s’y fjjt. Les
rivieres de ce pays fort poiffonneufes, 8c la chaffe abondante
dans k s environs. Pelleteries qu’on v apporte. XI. 80. a.
N r .M A U S ü S , {Géogr. une.) ville de» Gaules. C e f l aujourd’hui
la ville de Nimes. Fontaine de même nom, qui
s’appelle aujourd’hui k Fißre. XI. 89. b.
NEMBROD rebelle, ( Hiß. facr. ) fils de Ch u s , petit-fils
de Chain. C e que l’écriture nous en rapporte. Siryp/. IV. 25.4.
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