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460 P L A
P ljtite , snattWiie des plantes , leur organlfatîon. T. 437. a.
La plante eft un coiupolé de pUiiieiirs individus. Suppl. 111.
214. a. Des caraflcrcs qui la diilinguent de l’animal. Suppl.
I. 43 3. U, b. — 437. b. Avantages de la plante fur l’animal.
Suppl. 11. 4 î . J. Tronc des plantes. X V I. 697. u. Racines.
X III. 745. b. Parencliimc. XL 936. b. Moèlle. X. 607. u.
Poils qui les couvrent. X ll. 865. a. Ce qu'on entend par fup-
ports dans les plantes. X V . 677. u. Vrilles. X V ll. 495. b.
Ailes. I. 212. b. A iiîe lle s ,!. 240. b. branches ik rameaux,
II. 394. h. écorce, fon utilité, V . 349. b. des feuilles des
plantes & de leur ufige. VI. 632. i , 6-c. Principe de leurs
différentes couleurs. 496. u. C.itife particulière de leur couleur
verte. 85 3./>. D e leur végétation. ce mot. Nourriture
des plantes. I. 187. b. 383. b. Sels qui fervent <i leur
accroiiïement & .à leur entretien. 98. a, b. Principes de leur
nutrition. XI. 290. b. Du mouvement de la feve. X V . 131.
U, é. Il ne reffcmble en rien à la circulation du fang dans
les animaux. Suppl. IV . 786. a , b. D e la perpendicularité
des plantes. X li. 363. <»,/•, 6’c. X VI. 326. ^ , i-. Efpece de
fueur des plantes, connue fous le nom derofée. X IV. 36S.il'. De
leur germination, VII 646. u. Suppl. III. 207. u , h , &c.
D e leurs fexes. Suppl. IV . 787. a, b. D e leur fécondation.
Suppl. II. 63. a , b. P'oyc^ auin FÉCONDATION. D e leur
fécondité. XI. 633. b, l.)jlUnce confidérable à laquelle les
plantes femelles peuvent être fécondées par les mâles. XI.
797. b, Direélion que les plantes fuivent du coté du foleil.
286. a. Quelle en ell la caiife. X IV . 242. a. D e la nomenclature
& de la defeription des plantes, voyc^ ces mots. Des
moyens de découvrir leur alfinité ou parenté. Suppl. III.
239. b. Monflruofirés dans les plantes. 3 36. «J. a , b. O rigine
des plantes mulets. Suppl. IV. 7S8. a. Suppl. 111. 676. b.
Des variétés dans les plantes, X V I . 847, u. Des plantes bâtardes
& variées. Suppl. IV. 788. a. Ame des plantes. I. 3 33. b.
Irritabtliiè de certaines plantes. Suppl. I. 43 3, b. Suppl. III, 664.
Müuvemensobfervésdans quelques-unes, Suppl. 1.433.^.
Plantes ombelliferes. Suppl. IV. 141. a ,b. Papilionacèes. 233.
Pcrfoiinées. 304. .1. Sur les plantes. Voyei \ 'égétable,
V égétal, Végétation, V égétaux.
Plantes, {^Analyf. chymiq.Dicte, Mjt.méJic.) Des llfages
3ue nous eu retirons. Suppl. II. 3t. a , b. 32. a. L’analyfe
es plantes n’en fait point connoître les vertus S: propriétés.
I. 403. d. Subftance Imileufe qui lie enfeinble les parties
terrelires des plantes. III. 606. b. Sels .ilkalis qu’elles contiennent:
obfervatioii fur la maniéré de les tirer. I. 274. a. Plantes
dont on tire du fel marin &. du nitre. XI. 134. a. Les
cendres des plantes donnent une matière attirable par l’aimanr,
quertions .agitées fur ce fujet. VI. 493. /..Sels contenus dans
différentes efpeces de plantes. X IV . 914. b. Plantes qui contiennent
le pins d'alkalis, XVII. 127. b. Du fucdes plantes,
voyc^ Suc. Plantes alimentaires. 5'///’;’/. !1. 31. æ. Différentes
fortes de plantes employées diez différens peuples en qualité
d’alimens. VI. 412. b. La premicie connoiifancc que l'on
ait Cil des plantes, a été celle des ufages auxquels on les a
employées. II. 340. b. C ’eR ordinairement le hafàrd qui nous
a fuit counoine leurs propriétés, 344. u. Caiifes qui peuvent
changer ou modifier leurs vertus. I. 109. u. Plantes médicimatcs.
Suppl. II. 31. a , b. Carafteres auxquels on diflingue
les plantes malfaifames. Suppl. 1. 838. u. La refiemblance
des car„élercs botaniques des plantes ne nous affure pas
des affinités de leurs vertus, XII. 723. a. Foye^ V ég é t a l .
Plantes , {Botan. mèihod.') Etude que les anciens avoient
faite des phinies. La botanique cultivée autrefois par les feiils
médecins. Ces médecins ne prenaient aucune précaution pour
affurer la connoiffance des propriétés des plantes par celle
des plantes même. Mauvaife méthode des botaniftes du dernier
fieclc. XII. 717. U. Auteurs qui jenercntlcs vrais fon-
demens de la botanique,, en faifant des retlierches fur les
plantes d'Em ope. Recherches des boianiHes fur les lignes di-
llinélifs auxquels on peut reconnoitre chaque plante en particulier,
& fur les caraéleres qui diftinguent les genres. La
méthode de rM. de Tournefort , qui a été fuivie dans ce
diélionnaire , & celle de Linnæus, font les plus célébrés. Idée
générale des principes Se de la méthode de M. de Toiirne-
tort. Ibid. 718. «.Enumération des vingt-deux claffcs dans
lefqiidles il a compris Se diUribué toutes les plantes. Sous
ces vingt-deux dallés fe trouvent 673 genres. Boninides
qui ont adopté la même méthode , Se y ont rapporté grand
nombre de genres nouveaux. Défauts de la nicthotle de
M. Tourneront. Ibid. b. Ces défauts compenfés par pliifieurs
avantages qu’elle a fur celle des autres bocanides. Méthode de
M. Linnæus, que cet auteur appelle méthode fexucllc. Principes
de cette méthode. Claffe qu’il établir. Ibid, y 10. a. Siibdi-
vihons de ces daffes. Ibid. b. Foye^ Botanique Botanistes,
Méthode, & c.
Fiâmes, ce qu’on entend par caraélcre d'une plante. II 668
h. Sur la nomenclature & la defeription des plantes . vovez ces
mots. ^ J
Plantes , nombre des Extrait des lettres pîiilofopluqiies
de Rat fur le nombre des plantes. Examen de la quef-
P L A
tion , fl la terre a produit de nouvelles efpeces de plantes , ou f i
cite eu produit tous Us ans , outre celles qui furent créées au commencement
du monde. Ceux qui fouiiennc-nr l’affirmative allèguent
les variétés que chaque année apporte dans nos plantes
cultivées. Mais cette variété vient uniquement du climat, du
terroir ou des alimens » comme l’ou voit dans les autres animaux
, ik. ne toiilliiue point de nouvelles efpeces. Deux
moyens de produire ces différences. XII. 720, a. Caufe de la
différence dans la figure & le goût du fruit de.s arbres. Moyen
d’avoir de nouveaux fruits. A l’égard des plantes dont les
feuilles ont diverfes couleurs , elles font encore moins de
différentes efpeces, que les fleurs ik les fruits dont on vient de
parler , ce dont on fe convaincra en examinant la caiife de ces
Variétés. D ‘où vient la différence de grolléiir qui fc r. iieontre
entre-pluucurs plantes de meme efpece. Autre qucjlwn jur Us
plantes. Quelques efpeces d’entr’elks ont-elles péri ou
peuvent-elles périr ? L'affirmative ell deffiuicc ne vtaifem-
blance. M. Rai prétend qu'il n’y a pas defpcce fi particulière à
un certain lieu , qu’on ne puillé la trouver ailleins. Ibid. b. Si
quelques efpeces de plantes périffoieiit, il leroit moralement
impoffible de s’en affurer. Ibid. 721. a.
Plante , du nombre des. Dans les pl.mces, le nombre d’in;
dividus eff beaucoup plus confidérable dans ie petit que dans
le grand. I. 472. b. Chaque efpece de plante eff plus abondante
que chaque cfpccc ci'auim.il. Ibid. En comparant la
hauteur & la coiififfance de toutes les plantes , on va par
nuances de la plante la plus baffe à l'arbre le plus élevé. 380.
a. Le calcul qu’on a f.iit du nombre d’cfpeccs de plantes
ne mérite pas qu'on en fafié un grand cas. II. 341. «.
Plantls capillaires , {Botan.) celles qui n’om point de
tiges principales, & qui portent leurs femences f'ur le dos
de leurs feuilles. Plantes capillaires des boutiques de pharmacie.
L'Amérique féconde en plantes de cette forte. Cap-
Iules mcmbraneul'cs dans le repli de leurs feuilles, XII. 721. a.
Plantes céréales , ( AgrUuli. ) ik Du froment. Son caractère
généri([uc. Defeription de la plante. Sa vigueur & fa
fécondité confidérées comme un bienfait fpécial de la providence.
Suppl. IV. 406. b. Fromens hivernaux. Fromens
maifais ou printanniers. Obfervations fur les efpeces de ces
deux genres de liome-nt &. fur Liir culture. Nombreufes ef-
pcccs de froment que M. Adanfon a cultivées. Ibid. 407. «.
influences des climats fur cette plante. Quelques auteurs ont
cru qu'il n’y a qu’une feule efpece de froment & que tous
ceux que nous cultivons ne font que des variétés dues à
l’art. D ’Iiabiles naturaliffes ont prétendu que le froment dégénéré
fe convcrtilToii en feigle ou ivraie , que i’épeautre
deviendroit avoine à la longue, Ckc. Cette opinion rejettée
par les botaniffes. On n’a jamais fait des' expériences alTcz
iuivies fur ce fujet imereffant, pour pouvoir rien alTurer de
pofitif. Examen d’une plante qui portoit un épi de feigle Sc
un épi de froment. Ibid. k. Vnllériiis croit poffible ia^dége-
ncration 8c le changement d’tfpeces , & prétend que les
obfervations faites jufqu'à préfent , font infuffifanti pour
décider cette fameufe queffion. Expérience ailée à faire
qui pourroit fournir des lumières fur ce fujet. Hypotliefe
de Severimis qui explique ce changement d’cfpeces. Déf-é-
néraiion du froment lorl'qu’on ne change pas les femences
îk qu’on femc toujours dans le même fol le grain qui en eff
provenu. Ibid. b.
2 " .D a fei^lc. Defeription de cette plante. Diffinaion du
feigle d’hiver 8c du leiglc de m.irs. Avantages de cctrc pl.mre
fur le froment. Seigle blanc ou bled barbu , efjiccc d’é-
peaiitrc. Le feigle particuliérement cultivé dans les pays
feptentrionniix , où l’on en fait du pain. Culture de cctie
plante cri France. Ibid. b. Ufages de fa paille. Qualités du
pain du feigle.
3®. De Vépeatitre, ou froment rouge. S.i defeription. Deux
efpeces d’épeaiitre, l'uno fimplc & Faiitte qui a double bourre
, 8c toujours deux grains dans chaque goiiffe. Terrein qui
lui convient. Sa culture. Cas que les anciens en faifoienr.
Lieux où l’on cultive aujourd’hui ce grain. Qualité de füiî
pain. Difficulté de le dépouiller de b.ille, Ibid. 409. a.
Moulins qui ne fervent qu’à cet ufage. Qualité de la farine
d’épeautre.
4”. De l ’orge. Sa defeription. Orge d’hiver & orge prin-
taniiier. Le premier porte auffi le nom d’écourgeon. Defeription
de cette plante. Scs ufages. Ibid. b. Différentes efpeces
d’orges printaniers, favoir l’orge qiiarrc , le ris d'Allemagne
& l’orge comimiii. Foyet;^ ici une note confidérable fur une
eipcee de grain, connu fous le nom d’orge fromenté. Expériences
faites fur cette plante , qui fervent à éclairer fur
fa culture 8c fur fes ufages. Coujeftiac fur fon orieinc. Ibid.
410. a. Poids d’un feticr de ce grain , nicfure de Paris. Ôb-
fervations fur fa qualité , celle de fa farine 8c de fon pain.
Ses avantages fur l’orge ordinaire , avantages qu’auroit le
bled mondé fur celui qui ne le feroit pas. Expérience qui
prouve la prodigieufe fécondité de l'orge 8c du bled. lUd.
b. Ufages que les anciens faifoient du pain d’orge. Ses propriétés
falutaires. Ufages qu’on en fait aujourd'hui. Moyeu de
faii e
P L A
faire lever la pâte de la farine d’orge. Autre obfervation fur
l'arc d’en faire du pain. Diverfes utilités de l’orge. Ibid.
4 1 1 . a.
3'-'. De l ’avoine. Sa defeription. Avoines d’hiver Sc avoines
primanieres : leur culture. Autres efpeces appellees avoine
nue 5 8c folle avoine. Efpece d’avoine que cultivent les Ca nadiens.
D e la récolte des avoines. Le confell donné dans
l’Encyclopédie d’arrofer les gerbes s’il ne pleut pas , rejetté
comme mauvais, lorfqu’il ne feroit pas impratiquable. Ibid,
b. Précaution à prendre lorfqii’on feme ce grain. Soin de
le remuer dans les greniers pour fa perfeRioii 6c fa coiifer-
vation. Ufages qu’on en tire. Obfervations fur le pain d'avoine.
Gruau fait d’avoine inondé.
ô'b Du mais du bled de Turquie. Ibid, 412. a. Foyc:^ Maïs.
Plantes épineufes, {^Botan.) V . 800. a.
plantes éioiUcs. XII. 72 1 . a.
Plantes à phifieurs cojfes. XII. 7 2 1 . a.
Plantes exotiques, { Botan. ) Voye^ EXOTIQUE. D ’où vient
en partie la diveriité des plantes félon les climats. VU .
317. b.
Plantes farineufes , ) V I . 412. a.
Plantes marines, produélions formées par des iiifeétes. Leur
rcffemblance aux végétaux, Obfervations du comte de Mnr-
figli , qui firent conildérer le corail comme une j>roduRion
végétale. L ’erreur de ce fentiment démontrée par d’aunes
obfci vations de M. de Pey ffone l, qui a prouvé que les prétendues
fleurs du corail croient de véritables infcéles. XII.
72 Ï. b. Obfervations plus paniciilicres ftir l’infeéle du corail
, que 1 on appelle petite ortye , pourpre , polype , fur fés
organes , la maniéré dont il fe loge dans le cora il, 8cc. Ana-
lyl'e chymique du corail mort & du corail vivant. Autres
iyffemes fur la végétation du corail. Ibid. 722. a. Celui de
M. Peyffonel confirmé par les obfervations de meffieurs de
Julfieu 8c Blot , qui ont prouvé que pliifieurs efpeces de ces
prétendues plantes marines, ne font que des affémblages de
loges de polypes. On a même voulu changer leur nom en
celui de polypiers. Ouvrages à confulrer. Ibid. b.
Plantes marines, (.Hiß. nat.') Foyez PoLYPlER , ZOOPHYTES.
ï’ i.AtiTEparafites (^Botan.) plante qui croît fur d’autres plantes
ce fc nounrit de leur fuc. Ces plantes font toujours fatales aux
arbres qui les nourrltrcnt. Semences de ces plantes. Toute
lotte de plantes eff indifférente aux parafucs, pourvu qu’elles
puilTcnt s’y attacher , 8c que la dureté ou la délicateîl'e de 1 écorce des autres ne s 'y oppofe pus. Diffinflion que les
botaniffes ont établie entre les diverfes plantes paraficcs. XII.
Pl a n t e s , (_Bot. Jardin.')'iL\. 923. b.
Plantes polyfpcrmaùqties, {Botan.) XII. 934. a , b.
parties mâles 8c femelles , {Botan.)
V I . 833. «.
Plantes vafculifercs , { Bot.) X V I . 830. b.
Plante vénéneitfe , {Botan.) Difficulté d’acquérir la con-
noiffance de ces fortes de plantes par l’ expérience. La rcffemblance
des caraéleres botaniques de différentes plantes, ne
nous affure pas des affinités de leurs vertus. Rien ne nous
allure de leurs propriétés par rapport à nous, que l’ufage que
nous en faifons fur nous-mêmes. Les liantes vénéneulés
nous trompent fouvent par de féduifantes apparences. L’étude
des plantes vénéiieufes utile à caufe de leurs vertus
jucdicinales. XII. 723. a.^
Plantes vivaces, {B o t.) X V I I . 368. a.
Plantes de la bible , {B o t.) La botanique a éclairé de fes
lumières la critique facrée. Ouvrages fur ce fujet. XII.
723. b.
Plantes , culture des {Jardin.) But de leur culture. II.
343. a , b. Des moyens employés pour nuiltiplier celles
qui fout utiles. Ibid, pour en perfeéiionner la nature. Ibid.
é. Plaines adventices. Suppl. I. 177. b. Plantes que chaque
laifon fournir pour l’agrément des jardins Sc des bofquers.
Suppl. H, l'j . h. 26. a. Plantes en pot , voyci^ ce dernier
mot. Plantes à racines fibreufes : plantes à pivot : effets des
unes 6c des autres fur le terrein. Suppl, li. 871. a. Différences
dr.us la vigueur 8c la durée des plantes qui nous
dunuciu les graines 8c les fruits. Suppl. I. 913. a , b. D e lu
tranfmigration des plantes. II. 344. a , b. D e leur rranfpoi t 8c
de leur emballage. Suppl. IV. 972. a , b. D e la difpofition
des plantes à s’accommoder à un nouveau fol 8c climat,
T ransplantation. Article fur-la culture des plantes. IV.
5 31. « , i . D e leur arrofement. Suppl. 1. 376, b , 8cc. Manière
de former des plantes mulets. X. 834. b. Altération
qui arrive aux plantes qu’on élevé dans des lieux renfer-
n'^*’ culture des plantes à fleurs. 856. b.
Des diffciens degrés de chaleur qu’exigent les plantes. VII.
317. é. D e la culture dos plantes dans les pots. XIII. 1 7 7 .
<z , b. dans les potagers. 178. a. D e la multiplication des
plantes. A. 839. b. D e leur fécondité , voyez ce mot. Efters
du teins fur clics. XVI. „ 9 . Eft'ets de la neige. XL 88.
Inffiience attribuée à la luae fur les plantes. V llI . 726.
Tome i/ , ‘ r J
P L A 461
Du fuc des plantes , ray™ S u c . Art de le tirer oa
rebranon & pondion. X V I . 13 2 .,/ , /,.
Plantes , des Les caufes d e ’ .'c ém t l
ladies rapportées à cinq priiicip.des. i . L.i eniiidc ibor-
dance tlu lue noiirridor. £ 9cK de cette caille lut les .PrÀ
lnmçi,ts^t|u-cllc proilult au bout des I,tanche, dans les p'ivs'
c lands. Pourquoi les arbres à hau.e i%e iiiisquels on c ic é e
plus de bois qiiiL ne (aiii prodoifciH peu de fr„i, L e
delailt du lue nourricier. Moyen cl y reinddier. XH 7 1 ,
*. r - La inauvaile qualité de la feve. E.samen de ce vice
de la feve qui confifte dans la qualité irliirineufe m ù lle acquiert
Plantes naturellement graffes qui doivent être élevées
fur couche & dans des terres fiiblonneufes. Pourquoi
les oignons qui viennent des Indes l i e ficurilicni qu’une fois
dans notre pays. Pourquoi la plup.ir, des ni.reilles & des
laciiuhes, dont on coupe les feuilles après ciuc la fleur eff
pauec , ne flciirilient pas bien l’année d’après. 4". Lu diffil-
butioii inégale du fuc nourricier dans I.1 plante. Reniedc à
employer 3^ Enfin divers accidens extérieurs. Effets de la
grele. I k . . 724. a L). la gelée , de la brouillure fur les
plantes. 1 oiirquoi le foleii qm vient immédiaieincnt après
la pluie , biule les plantes. Remedc contre la molfiffiirc des
plantes. Des uimem-s caufées aux plantes par la piqiune des
iiileites. Des boffes qui naiffent auioiir des ‘'reff'cs. Ciaiife
du bourrelet qui fe forme fur les bords de l’écorce lothiuc
1 arbre a été taille ou émondé. Formaiioii des noeuds dans
le bois. Ibid. b.
PLwtcs nuLdies des. Suppl. II. 28. b. Foyez aiiffl M a ladie
8c V i-GiTAUx. Arrolémens propres :i différentes maladies
des plantes. Suppl. I. 378. « , b. Foyc^ Bo u il l o n .
1 Unie qui pent an pied ; curie de cet accident. Moyen de
le prévenir dans les ferres. V i l. 80.«
PLANTE.S, tranjport des ( Agüeult. ) Le rranfport des planvos
exotiques pniiiqué depuis que la botanique a f.té ciuuvée en
Europe. Aciemion qu'il f.mc a\oir à la laium , ciuund on
envoie des plantes d’un pays à i'ai.ue Muiitre de le,i em
paqueie-r. Sours pembint le voy.ige. -Xll. 725 e. Prce.i.itions
a prendre pour le tianfport des graines. U,d. b. •
Plantes, {D iv in .) Divination par le moyen des plantes.
11. 343. « ,_é.
i L A t i l E l l un arbre, {Jardin.) Planter en motte ou en
mannequin. Planter un parterre. Dircétions lur l’art de planter
les arbres fauvages. Oblcrvations par rappoit à la qua-
hte des terres. Choix du lems ôc de 1a falfoii. Proiomleur,
dritance ou Ion doit nieitic les arbres. X ll. 726. a. Pianra-
tion des portiques & décorations cliampcires. Expofuion pour
Ph‘»t;iiiuii des dpalicis 8c des builfoiis.
Ce e des arbres de fleurs qu’on éleve dans des caillés.
Celle du buis des pai terres. Celle des plates-bandes 8c de
piufienrs plantes potageres. Plamation en ritcoles de toutes
les palifratles, des bois oc des péiiiiiicres. Précaution à prendre
pour prèlerver de la pluie les troncs des bori de h.uKe-fii-
laie , qu’on voudioit rétabl.r promptement en lailiis. Plantation
des allées des boffpicrs. Artenrion par rapportait fumier
pour les arbres. A/./, b. '
Planter U vigne , ( Agrkuh. ) XV II . 269. a.
Pl a n t e r , {A r d u i.) Planter im Eitlment , planter des
pieux. X ll. 727. a .
Planter Us formes , ( R.,ffu,cur) X ll. 727 «
Planter /.■ ) Aa,™ de drelTer les formes
fur les pots dans Ls gteiiievs. Atiemioii de les iffantcr à
même liautem- , Sc le plus d’à plomb qu’il cft poffible. Né-
ceffité (l’iin tel foin. XII. 727. .1.
P L A N T E -V E R , {Hifi. nat.) nom d’une prétendue plante
envoyée de la Chine en Europe , qu’on a prii'e pour une
racine dont re.vtrénmc le termine par un ver, Obicrvations
de M. de Reaumur qui ont fait évanouir ie meiveilleux
de ce phénomène. XII. 727. a.
PLAN T IN , {imprimeur) VIII. 6aS. b.
P LAN TO IR , {Jardin. ) Deux fortes de phintoirs, le "lancl
8c le petit. X ll. 727. b. °
P LA Q U E , terme de plufienrs ans 8c métiers explique fe lon
fes dift'ércntcs fignifications. XH. ji-r. b
Plaque fa u£ c , { Horlog.) VI. 433. b.
V LAQUE de couche , {Arquebuf.) Suppl. III. 139. b.
Pl a q u e , {MonnoU) ancienne monnaie d’argent de Flan-
dres. Monnoie de même nom frappée en Fiance fuus Jg
régné do Charles V IL Plaques d'Angleterre. X ll. 728. ^
Plaques antiques , {Amiq. rom.) Il nous en eff reffé de
différens métaux. Ouvrage à coiri'ulter. X ll. 728 b
PLAQUEMINIER , (Bot. Jard.) Noms de cette plante
en différentes langues. Son caraélere générique. Suppl. IV . 4 12
a. Lieux où croiiiént les deux efpeces que nous connoiffons
Leur defeription. Leurs qualités 8c ufages. Ibid. b. Maniéré
de les cultiver. Ibid. 413. a.
PLAQUEMINIER , ( £ » , . ) Voyc^ GU-AJACANA. Efimce (le
phquoinimer qu’on croit être le lotus des anciens : diverfes
contrées oil il a été tranfporté. Suppl. I. 321. a b
P LA S EN C IA , {Géogr.) ville d’Efpagne dans’ Teffraina-
A A A a a a