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telle on dc lépns. f'oyci ces mots. Del'criptîon dû ce poîfibn &
de la coquille. XI. 395. i.
OEil t^c iccujf {^Phyjiq.') Lc cap de Bonne Efpérance cft t;i-
tneiix par fes tempêtes & parle nuage liiigulier qui les produit
, que les matelots ont appelle oeil dc bccuj. Delcription
que Kolbe a donnée de ce plténoincne & dc fesefiets. XI. 396.
O. Hypoiliefe qui explique toutes les circonBances de ce phénomène.
Ibid. b. f ’oyc{ T yPHON.
(Eil dc chut , ( Hifl. nut. Mincr/ti ) efpece d’opale. Sa
defeription. Ditlêrcns noms que les lithographes ont donnés
aux pierres qui affei^oient la figure d’un oeil. XI. 397. a.
(Eil du monde, [Mincml. ) efpece d’onyx, l-’hénomenc
fingnlicr qu’elle piéfeiite. XI. 397.
(Eil de ferpcnl, ( Mincul. ) C rAPAUDINE.
CEil , ( Mctull. ) ouver[ure qui ell au bas du fourneau dans
les fonderies. Maniéré de fermer & d’ouvrir ee trou. Ce
qu'on entend y/tix fondre pur l’ail. XI. 397.0.
CEil , ( Arcbh. ) oeil de boeuf. XI. 397. a. (Eli de dôme ;
ceil (le volute : oeil de pont. Ibid. b.
(B-iU de hauf. Différentes forces. XIII. 38. b. vol. II. dos
planch. Ch.irpcnterie , planch. 13.
(Eil de pie, ( Murine. ) XI. 397. b.
(E ils-YEUX, ( Murine. ) XI. 397. k
(Eil , ( Manujubi. ) luffre , éclat. XI. 397. b.
CEil, (Terme d 'u n ifim .) oeil d’un étau , d’une lonve ,
d’une meule, & c. XI. 397./’.
CEil , (Éperonn.) XI. 397.^.
CEil , ( CuruH. d'Imprim. ) XI. 397. h. Différence entre la
tète & l’oeil de la lettre. II. 657. b. X VI. 203. b.
CE i l , ( Foiirb. ) XI. 3 97. b.
OE il d'un rejfort, ( Horlog. ) XI. 397, b.
(Ei l , (Jûuuill.') XI. 397. i.
(Eil , ( Terme d'huprim.') XI. 398. rf.
(Eil de cheval, (Marich.') qualités que doivent avoir les
yeux du cheval. (Èil verron. (EU de cochon. Vitre de l’oeil.
XI. 308. a.
(Bil du chev.rl. Suppl. III. 384. a. 386. a. 394. b. Scs maladies.
402. a. 408. b. 413. a.
CEil & butte, ( Terme de marchand de poiffon. ) le brochet a
deux pics entre oeil & batte. XI. 39S. a.
(Bil de perdrix , inlirument du métier d’étofle de foie.
Defeription & ufage. XI. 398. a.
(E i l , (Tireur d’or.") XI. 398. a.
. (Eil de hauf, ( Verrerie. ) XI. 398. a.
CEILLET, (Botan. ) carafteres de ce genre de plante.
Nombre confidérable de fes efpeces. Defeription de l’oeillet
coniimm. Defeription dc l'oeillet de la Chine. X L 398. b. Manière
de multiplier les oeillets. Syrop d'oeillet. Fleurs d’oeillet
macérées dans le v ■ Inaigre./4 / i 399..«.
(Eillet, (J.irdin.) divifion du genre des ccdlets en cinq
claffes, les oeillets piquetés, les daines-peintes , les bizarres ,
les étincellans, & les flambés. Qualités que doit avoir un
ccillet pour être réputé beau XI. 399. a. De la forme de la
coffe des oeillets. Tems de leurs fleurs. Les oeillets doubles
portent rarement de la graine. Difpofition que les fleuriftes
donnent aux oeillets dans leurs jardins. (Eillet de la Chine à
fleur limplc & à fleur double. Choix à faire dans les graines
des oeillets de la Chine. Maniéré de les multiplier- Obfervation
fur les marcottes , & fur d’autres foins de culture. Ibid. b.
(Billet amiral. I. 360. b. (Eillet frangé on de mignartiife. X.
498. a. OEillet de (erpho. X V . 113, b. Maladie des oeillets ,
nummée blanc. II. 271. b.
OEillet, (Phann. Mut. medic.') fyrop fsmple d’oeillet. XI.
399. J. Maniéré d ele préparer. Analogie entre Todeur des
oeillets & celle des clous de gèrofle. Ratafiat d’oeillet. Propriétés
de CCS reniedes. Utilité du vinaigre , où l’on a fait
infiifer des pétales d’oeillets. Ibid. 400. a.
OEillet d’Inde, ( Botan. ) carafteres de ce genre de plante.
Xî.400. d. Toye^; T agetes.
OEillet de mer, (H if. nat. ) efpece de madrépore. XI.
400. a.
(Billet de mer , vol. V I des planh. Regne animal, pl. 90.
OEillet , ( Marine ) XI. 400. a.
OEillet , ( Tailleur) XI. 400. a.
OEilLLETS , (Emui/lcur) XI.400. a.
OE IL L E TO N , (Aflron. Médian.) piece ronde de cuivre
qui fe met dans les télefeopes à l’extrémité du tuyau des
oculaires. Son ufage. IV. 116. é. OE L ÇELAND, (Gèo^r. Hifl. nat.) ifle de la mer Baltique.
Marbre d'OEland : defeription & ufage de cette pierre. XL
400. b. CE N
(EN AN TH E , ( Botan. ) caraélcres de ce genre de plante.
Ses efpeces. Defeription des deux principales , favoir ,
i'^. de l’oenanthe à feuille ci'ache ou de perfil , X L 401. a.
qu’il faut foigiaeuièmem diftinguer de l’efpece vénéneiife
qui eft à feuilles de cerfeuil ou dc ciguë : a'^. defeription
de cette efpece. Lieux & contrées où elle croît. Exemple
des fu n d k s eft'ets de ce poifon. Ufage que le peuple du
pays de Galles en Angleterre fait de fa racine, il eft très-
aifé dc confondre l'oenante venéiicufc avec la ciguë atpiati-
que. Ibid. 401. a. Méthode curative à employer pour
ceux qui ont mangé des racines de l’ime ou de l’autre
Ibid. b.
OE NÉE , (M yth .) roi de Calidoine dc la famille des Eor
lidcs. Piinclpaux événeinens de fa v ii. Suppl. IV . n 6 .b .
(B A E LÆ U M , ( Phurm. ) mixtion pharmaceutique. Ufage
qu’en font les chirurgiens dans les fraélures avec plaie , où
l’os n’cft pas découvert. XL 401. b.
OE N O É , ( Géogr. anc. ) ifle de la mer Egée. X V . 190. b.
OENOiMAUS , philofoplie cynique. IV . 599. <î.
(Eno.m aü S , (M yth.) roi de Pife. Dure condition qu’il
jvopofa aux amans de fa fille Hippodamic pour les écarter.
Il crt vaincu par Pélops. Sa mort. Suppl. IV. 117. <1.
OE N O N E , ( Geogr. anc. ) ifle de la mer Méditerranée ,
voyc^ Egine .
OEn o n e , (Myth. ) fille du fleuve Cebrene, en Phrygie.'
Hiftoire de fa vie. Suppl. IV. 1 17. a.
OE NÜ PIE, (Géogr. anc.) aujoiird’lnil Angia, ifle de la
Grèce , prés d’Athenes. Caraftere des anciens habitans.
Abondance de perdrix rouges dans cette ifle. Veftiges qu’oa
y voit de deux temples. XL 402. a.
OE NOPiON , ( Myth. ) fils de Thcfée & d’Ariadne. Suppl.
IV. 1 17. A.
OE NO THERA , ( Botan. ) caraftere de ce genre de_ plante.
En quoi il dift'ere de répilobium. Ses efpeces. Defeription
de celle qui a été tranfportée d’Amérique en Europe &
qui s’y eft nattiralifée. Ufage alimentaire qu’on en tire. Suppl.
fV . 117.A.
OE NO TRIE , ( Géogr. ) l’un des anciens noms de ritalie.
Etabliffement que forma dans ce pays OEnotrus , fils de Ly -
caon , roi d’Arcadie. Suppl. IV . 1 17. A. Origine du nom d Italie
qui lui fut enfuiie donné. Ibid. 118. a.
(É/to;ric. Villes quelle comprenoit. V IL 920. a. OE O
(EONUS , ( Myth. ) fils de Lycîmnius, frere d’Alcmcne.
Comment Hercule vengea fa mort. Suppl. IV . t i8 . rf, CE R
OEREBRO , ( Géogr. ) ancienne ville dc Suede. Son rang
dans les dictes. Sa defeription. Obfervation fur fon commerce.
Suppl. IV . 1 1 8 .47.
OE R EG RU N D , ( Géogr. ) ville de Suede. Suppl. IV . 118.
a. Sa fondation. Ses révolutions. Son rang dans les dietes.
Ibid. b. OE S
OE SE L , (Géogr.) ifle de la mer Baltique; fon étendue.
Piraterie de fes anciens habitans. Révolutions dc cette ifle.
Suppl.lW .w 'è.b.
CESOPHAGE, ( Ariat. ) defeription de ce canal & de fes
tuniques. DireéUon qu’il fuit dès ion origine jrifqu’au ventricule.
X L 402. A. (Bfophage. Tous les animaux qui ont un eftom.2C & des
inteftiiis ont un oefophage. Variétés de fa flrufture dans différentes
efpeces. Sa fituatlon dans l’homme. Suppl, IV'. r i 8.
A. Srruélure dc ce canal : fibres qui le compofem. Sa dilatabilité.
Sacs extrêmement amples qu'il forme quand il eft
contraélé dans quelque point dc fa longneui:. Ccllulofnè
qui fe trouve fous les fibres charnues de l’oefophage. Sa
tunique nerveiife. Tunique interne ou épiderme. Ibid. 119.
a. Liqueur exhalante dont l’intérieur de l’oefophage eft ar-
rofé. Miicofité glanduleufe. Glandes oefopbagiennes. Artères
8c veines qui appartiennent à ce canal. Ses nerfs. Irritabilité
de l’oe fophage. Caufes qui le rendent paralytique.
Influence du diaphragme fur cette partie. Ibid. b. Dans
riiomine bien portant 8c fobre , aucune liqueur ne remonte
de l’eftomac. Fibres qui lui tiennent lieu de fphiiiéler./Aluf.
120. 0. (Bfophage. Miifdes cèphalopharyngiens , à l’orifice de
i’oefophage. IL 832. a. Glandes oefophagiennes. VIII. 271.
h. Suppl. IL 735. a. OEfophage des animaux riiminans.XIV,
43 5'OE
so ph a g e , maladies de T. ( Médcc. ) énumération de ces
principales maladies. Leurs remedes. XL 403. æ.
OEsophage : corps étrartger dans roefophage, (Chir.) ces
accidens rangés par M. Hévin fous quatre claffes , pour
chacune defquelles cet auieiir indique les différens moyens
à employer. V o y e z Mémoires de l’académie royale de chirurgie ,
vol. 1. Détails fur quelques inftmmens d’ufage- en pareils cas.
XL 403. <».
(S U F
(Bfophage. Corps étrangers arrêtés dans ce canal , qu’on
ne peut ni retirer ni enfoncer : opération à faire en pareil
cas. IL 4 3 5 - Moyen de déboucher l’oefopliagc. IV . 756.
.i, XL 403. A. Inftriiment inventé par M. Petit pour pouffer
les corps étrangers qui font engagés dans l’oefopliage. l i. 600. A.
OE SOPHAGÜTO.MIE, (Chir.) cas dans lequel la bronchotomie
a difpenfé de l’oefophagotomie. Ouvrn‘'e à con-
fulter fur la poffibilité 8c la manière dc cette fécondé opération.
XL 403. A.
OE STAM M A R , (Geogr.) ville de Suede. Obfcrvations
hiftoriques fur ce lieu, 8c fur fes habitans. Nouvelle OEftam-
mar bâri à une petite diftance de l’ancienne ville. Occupations
8c commerce de fes habitans. Suppl. IV. 120, a.
OE S TR E , (H iß.nat.) infcéle diptere. Sa defeription. Larves
de cet animal. Suppl. IV. 1 20. a.
OES'FPE, (Cotnm.) efpece de graiffe ou axonge , auffi
nommé fuirn , adhérente à la laine de montons 8c de breb
is , &c. XL 403. A. Comment elle fe recueille. Provinces
de France qui en fourniffent davantage. Choix de cette
drogue. Changement fingulier qui arrive dans fon odeur;
en la confervant, Ibid. 404. a.
OEsype , ( Mat. méd. ) ufages qu’on fuifoit autrefois de ce
remede. XL 404. a. OE T
OE T A , (Géogr. anc.) longue chaîne de montagnes dans
la G rcce. Diverles confidérations qui la rendent renurcruablc.
XI. 4 ^4 ' -
OE T T IN G E N , ( Géogr.) état d’Allemagne dans la Sonabc
orientale. Ses bornes 8c fon étendue. Sa divifion. Sa ville
capitale. Suppl. IV. 120. a. Religion qu’on y profeffe. Des
comtes d’OEttingcn. Leur rang dans les affemblécs du cercle
do Souabe 8c à la dieic de Ratisbonne. Taxes qu’ils
paient à l’empire. Obfervations fur OEttingen , ville capitale
de ce comté. Ibid. A.
’ ( Géogr. ) portion du comté
d OEttingen qui appartient à la branche de Baldcrn. Suppl IV
120. A.
^ Géngr. ) portion du comté
d OEttingen qui appartient à la branche de Wallerftein. 5 «op/.
IV . .120. A. OE U
OE U F , (H iß. nat.) ftniélure des oeufs dc poules. Difl'é-
remes parties qu’on y remarque. Comment les poulets s’y
engendrent. Difiérence entre l’efpcce d’oeufs qui vient d’etre
decme , 8c ceux qui ne peuvent édorre que dans la ma-
tnee ! ce qu’on entend par un oeuf proprement dit. Principales
diflevence» qui fe trouvent entre les oeufs de cette
derniere lone : les uns font appelles parfaits, 8c les autres
impartairs ; JbnJ b les uns loin fécondes , 8c les autres ne
le lont pomr Otffervaiion microfeopique des rudimens du
poulet dans l oe uf fécondé. Le plus grand nombre des modernes
penlent aujourd’lun que tous les animaux & les homme.
meme lont engendrés par des oeufs. Véficules dans
k s ovaires des femmes , qu’on regarde comme des oeufs
Obftrvanons & expériences qui concourent à confirmer ce
fylleme. Ifd . 405. .r. U n y a pas )iifqu’aux plantes, dont Ls bo-
taniltes n aient prétendu que la génération fe fùit par des
oeufs. Exemples d'animaux ovipares qui ont produit leurs
petits tout vivans 8c fans oeufs. Les phyficietis rapportent
des exemples de males qui ont jeité des oeufs par le fondement
: comment ils peuvent avoir été trompés dans
leurs oblervations. Méihode pratiquée en Egypte pour faire
«dorre les oeufs de poules. Manière do conlerver les oeufs
à Tunquin, Ibid. b. Des oeuf. de tortue 8c d’autrucJie
Exemple d’oeufs emboîtés l'un dans l’antre. OEufs à double
coque. Chez les anciens, l'oeuf éroit le fymbole du monde Ibid. 406. a.
OEuf , (A nat. Phyfiol. ) la diftinftion d’animaux ovip.ares
& vivipares tient à peu do chofe , 8c ne fiiffit pas même
pour feparer des efpeces. IV. 120. A. Obfervations fur
CCS deux claffes d’animaux. Des oeufs des oiferaix. Coque
dans laquelle ils font renfermés. Vaifl'oaux qui répondent
aux trous dont cette coque eft percée. Defeription des
difterentes parties qui compofem l’oeuf. Chaiigcmens fuc-
cellits qu opère rmcubation. Ibid. 121. Nourritiire du
poulet dans l’oeuf. Ibid. 122. A.
OEiuf Defeription de fes parties intérieures. XL a in A
Nature du blanc 8c du jaune dc l’oeuf. Suppl. HL 70.' h.
R oe uf contient, avant la fécondation , toutes les parties du
co iïv ir ' ' 'J ? “ ° ’'*'*'"'’' P'"'-’ «” «'” fie
eltomac favoiable à l'mcubatioii. XVII . 31. .1 , 4. D e l’in-
éclorr8”en‘’E g yp !i.‘*Xlî[’. ''jo y '^ - °'.'
puulet dans 'l’oe u f . C o u u um f 't e " w i f e
(E U V 3 2 3
mâles fécondent les oeufs de leurs femelles l 86 a OEufs
de la carpe H. 696. u , A. Vcftcules des ovaires'dcs fem-
mes auxquelles on a donné le nom d’oeufs, XI. 697 A.
(Jblervanon qui prouve que ces véficules ne font point
des oeufs. Suppl, ill. ,97. , A. 198. .1. Syftéme de la génération
par les oe u ft, veycj O vistes. Rapports entre les
oeufs des ovipares 8c des vivipares, VII. 369.41.
OEVP de vac/ic, f Hiß. nul. ) efpece de béfoard. XL 406. a.
OEuf , ( Archit. ) forte d’ornement, XL 406 a.
OEuf , (Ehyfq. gêner.) OEuf nain , le dernier de la faifon
que la poule ponde. OEufs qui finpaffent de beaucoup les
oeufs communs en groffeur. OEufs à double coque • divers
exemples à ce fujet. Ib,d. 406. 47. OEufs fans jaune. OEufs
lans coque. 1 rejugé répandu parmi le peuple fur des oeufs
qu il pretend pondus par des coqs. Corps étrangers trouvés
quelquefois dans des oeufs de poule, Ibid. b.
(Euf hu'de, (H iß.nat.) ou oeuf de poule fans coque. Pré-
cautions qu’il hmciroit prendre pour faire édorre le poulet
cl un oeuf ians coque. XL 406. A.
^^^^yJonJervationdes,(Phyfq.génér.) Plus l’oeuf tranf-
pire, plutôt il fe gate. Preuves dc cette tt anlpiration. Conduits
par iefquels elle fe fait. Precaution que prennent les payfans
pour arrêter cette tranfpiraiion Scconferver les oeufs. Moyens
inventes par M. de Réaumur. XI. 407. a. On peur par ce
moyen tranfportcr dans les divers pays un grand nombre
doeiifs d’oifeatix étrangers. Ibid. b.
CEu f , (D icte, Phann. & Mat. rnéJic.) Différentes fortes
d oeufs employés en qualité d’alimens. XI. 407. A. Les obicr-
vatioas fuivantcs regardciu particiiHérement les oeiils de
poule. Choix de ceux qui conviennent le mieux comme
alimens. Leurs propriétés diététiques. De la meilleure façon
de les préparer. Qualité des oeufs trop vieux. Les nhis
mauvais font les oeufs vieux cuits durs. Ibid 408 u Ma-
mere de conferver les oeufs frais. Moyens imaginés pac
M. de Reaumur. Qualités diététiques <lc la partie glaireiife.
Celles du jaune. Funeftes eiibts que produit dans“ le corps
animal la partie glairetifc ou atbnmineufe , lorfqu’elie eft
portée à la putretàdion. Ibid. A. Vertus mcdicamcntctifes
attribuées aux oeufs , & à leurs différentes parties prifes
icparement. Union des jaunes d'oeufs avec les baumes 8c
les huiles effencielles. Efpece dc looch d’oeuf. .Taune d’oeut
triture avec la térébenthine pour en compofor les digeftifs
ordinaires des chirurgiens. Jaune d’oeufemployé â la baifon
des fauffes. Propriété de l’huile tirée par exprcffion des jaunes
d’oeufs diiicis. Propriétés chymiques du blanc d'oeuf
îbid. 409. a. Compofuions oii il eft employé, Propriétés
des coquilles porphyrifées. îbid. b.
(Bufs confidérés comme alimens. V I. 5 26 A
OEufs des infeBes , ( Hiß. nat. ) Variétés entre ces oeufs.
Matière quiis contiennent. D e l’cfpacc dc tems que les in-
leftes demeurent dans les oeufs. D e la confiftance de ces
oeufs. A rt avec lequel l’infca« eft plié dans l’oeuf. Soins
des inicétes pour leurs oeufs. XL 409. A.
OEufsdesinjeâfes,\m. 784, A. des papillons. XL 873. A. 8-6,47.
OEuf, blancd', ( A n s ) fes ufages. II. '
OEuf de ferpent, ( L itt.) Une grande fuperftition des
druides regardoit 1 oeuf des ferpens. Quelles étoienc leurs
opinions (iir ces oeufs. Propriété-s mcrt cilicufes qu’ils leur
attribuoient. XL 410.4z.
OEU F de mer, ( Hiß. nut. ) XL 4 10. A.
OE ufs d ’iKce cl’om-f„is nitrifiés
XL 410. O.
OE uf phdofophique , efpece de petit matras : fon ufage XI
410. A. ®
OEuf desdiwdcs, ( H iß..-me. ) répétition de ce qui a été
dit a 1 article OEuf de serpent. XL 410. A.
(^(^^dO rphee, ( Hiß. anc.) fymbole myftcrieiix dont fe
fcrvoit Orphée pour défigner le principe de fécondité dmit
toute la terre eft imprégnée. Les Egypiiens 8c les Phéniciens
.avoient adopté le même fymb o le , mais avec quelque
augmentation. Sens qu’ils y aitachoient. XI. 410. A.
OE vP d O fris, (H iß. anc.) fymbole par lequel les Egyptiens
exprimoienc l’oppofition des deux piincipes du bien 8c
du mal qu'ils admectoient. XI, 4 1 o. A.
(Eufs , ( Mcttcur-cn-ceuvrc ) XI. 410. A.
OEu f , (Rufin, de filer.) bout du pivot du grand tambour
dans les moulins à liicre. XL 410. A.
OE U V R E , (Gramm. Cniiq.fiacr.) diiî’érentcs acceptions de
ce mot dans récrliure XI. 4 1 1 ,47.
OEuvres de furcrogtarioo. XL 6 8 8 .47.
OEuvre, (A!éi.i)l.) plomb qui par la fonte s'eft chargé
de l’avgent qui ètoic contenu dans la mine, &c. Céomment
on dégage enfuite l ’argent du plomb. Plomb d’oeuvre
lcieolnu.i qui découle du fourneau dans l’opération appellee ligu-^ XI. 411,47.
OEuvre, grand.(Alchym.) vojc^Phîlosophale, Pierre,
OEuvre, (H ydr.) OEuvre d’un bafl'm d’eau. XI.411.
OEuvr e , (A rchit.) Diftéreiues iignifitaiioos de ce mot
X I .411,.!,