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M E L
i i c s f c fti'voiciu pour pdr.rire eu bLiiic. Carnf^ercs de cette
terre. 5a (jiulité pour lu peinture. Lieux où elle fe trouve.
X. U.
ÂIÉLISSE, {^Botan.') caraftcrcs de ce genre de plante.
Sc.s cf'peces. Defcripiion de la inélifle des jardins. X. 316. b.
Tems de la cueillir. Ddeription de la mélifl'e des bois. Ibid.
317.M
llisse , ( Chym. Pharm. Mat. medic. ) MélilTc des j.ardins
ou citrotielie. Principes cju'cllc contient. Principe auquel l’in-
fufion tlicilornic doit l'a vertu. Maladies pour Icfquelles la
mélilfe peut être employée , comme remede magillral. X.
3 17. .1. Emplois ofHcinau.v de cette plante. Maniéré de taire
l'eau l'jiiritticiifc dc'jnéliPc compol'èe, ou l’eau des carmes. Sa
dofe. Ibid. b.
Mi:u .sse , (Gr'ogr./i/rc. ) divers lieux de ce nom. Village
appelle MciiJJ'e, célèbre par le tombeau d’Alcibiade. Parole
d'Alcibiade à Périclès , lorfqiie celui-ci fe difpofoic à rendre
les comptes fur l’emploi du tréfor facré. X. 3 17. b.
MÉLlSSUS , pliilofoplie de Samos. V. 4^0. b. X IV . 60a. n.
M E L IT A ( Grùgr. .i/ic.) nom latin de Malthe. Obferva-
tions fur fa fertilité ÿc fur fes laines. Erreur des anciens fur
fa pofition. X. 317. b.
MELLA , ( Gctigr.) fleuve de la Gaule Cifalpine. Suppl.
UI. 893. J. Defeription de fou cours. Ibid. b.
MELL.^N, {CLiudc) graveur. V . 7 3 3 .1>. V l î . 868. i . 889. a.
MELLINGEN, ( Gebgr.) ville dans la partie baffe des bailliages
libres, en Suiffe. Son gouvernement. Suppl. III. 893. j .
jMELOCACTUS , (Bot. e.xot. ) Caraélcrcs de ce genre de
plante. Dcfcrlinion du fru it, appelle par les Anglois melon â
chardons. Caraéleres de fa ileur. Efpeccs de inclocaffcs. C e ll
une des plus merveilleiifes plantes de la nature , 8c en même
tems de la forme la plus étrange 8c la plus bizarre. Sa defeription.
X. 318. b. Lieux où l’on voit de fes differentes
efpeccs. Terreins qu’elle préfère. Moyen de la tranfporter
faine de rAniériquc en Europe. Ibid. 319. Ce qu'on doit
obferver quand on veut l'apporter toute plantée dans des
tonneaux , Se lorfqu’clle cil arrivée en Europe. Moyens de
la multiplier par gr.iine dans nos climats. Qualité du fruit
de cette plaine. Ibid. b. ,
MÉLOÏDIE , ( Mujîq. La perfeélion de la mélodie dépend
<!c’' regies Se du goût. X. 319. b. Sens du mot mélodie chez
les anciens. La mélotlie ne fait pas une partie confidérable de
notre mufique. Ibid. 320. a. J'oye^ MÉLOPÉE, (Mufiq. anc.')
Mélodie, (Mujîq.') La vocale s’appelle , 8c l’inflru-
mcntalc s'appelle jymphonie. L'idée du rythme entre nécef-
faircnicnt dans celle de la mélodie. Elle n’eff rien par elle-
tnênie, c'cil la mcliire qui la détermine, 6c il n’y a point
de chant fans le tems. La mélodie fe rapporte à des principes
didérens, felon la manière dont on la confidere. Prife par
les rapports des fons 8c par les règles du mode, elle a fon
principe dans l'harmonie. Mais prife pour iin art d’imitation ,
par lequel on peut affefter l’efpvit de diverfes images, émou-
vo-ir le coeur de divers fentimens , exciter 8c calmer les
paffions , elle a fon principe dans l'accent. C e ft l’accent des
langues qui détermine la mélodie de cliaquc nation. Celle qui
n’a que peu ou point d’accent, ne peut avoir qu’une mélodie
languiiraote Se froide , fuis caraéleie 8c fans exprelîlon. Suppl.
l i l . 893. é. Toute mélodie qui ne chante pas, quelque harmo-
nieule qu’elle puiile être , ne peut ni toucher ni peindre avec
fes bcau-x accords. Dés que deux mélodies fe font entendre
•à la fo is , elles s’eflacent l’une l’antre, 8c demeurent de nul
ellet. Ibid. 896. b.
Mélodie. Elle cft l’ame de raccompagnement. Suppl. I. 116.
b. Examen de la queffion , fi la mélodie eft fuggérce par l’iiar-
nionie. VII. 39. b. So. a , b. &c. 11 n’y a point de bonne
mélodie lorfqu’ellc n’ell pas fiifceptiblc d’une harmonie regu-
licrc. 61. a. Si l’on doit préférer l’effet de l’harmonie à celui
de la mélodie. En quoi confiflc l’imite de mélodie. Ibid. b.
Analogie entre l'iiamionic des vers 8c la mélodie du chaut.
V l l l . 33. a. Comparaifon de notre mélodie à la mélopée
des Grecs. X. 902. a. Ce qu’on entend par phrafe dans la
mélodie. XII. 329. b. Des moyens d’cxprefl'ion qu’elle fournit.
Suppl. U. 922. b. 924. b. Pourquoi notre mélodie produit
peu d’effet. 926. u. Uoyc[ COMPOSITION musicale.
Mélodie oratoire, (A r t oratoire) En quoi confiffe la m élodie
de^ difcuurs. Précis des regies à obferver pour cette mélodie.
X. 320. a. Uoyc[ Harmonie.
M E LO N , (B o t.) Carafteres de ce genre do plante. Ses
efpcces. X. 320. a. Defeription de l’efpcce commune 8c de
fon fruit. Ibid. b.
Melon épineux, à chardons, ou melocaôiis. X . 318. b.
319. a , b. X V I. 203. b. Melons d’eau connus chez les Tar-
tarcs Üsbecks. IX. 113. b. Melons d’eau du Pérou 8c du
Bréfil. X IV . 610. b. Fleurs du melon 3 comment cette forte
de plante eff fécondée. XII. 713. b. Efpece de melon nommé
abdelavi. Suppl. I. 19. b.
Melon , ( Agricult. ) Soins de culture qu'exige cette plante.
Clioix des graines. X . 322. b.
Melons. Signes de leur maturité. X. 209. b.
M E M
Melons. Méthodes (»tir efitretenir les couches oit Pon Wt
venir des melons dans une chaleur égale , 8c plus durable
que celle que ces couches ont ordinairement. X. 321. a.
Melon , ( Diete & Mat. médic. ) Qualités des melons communs,
melons blancs 8c melons d’cati. Les habitans des pays
chauds trouvent une grande rcffoiircc dans l’ufage du melon
contre I’inriuence du climat. Comment on rafraichit les melons.
Übfervations lur l’effet de ce fruit mangé avec excès, ü n ne
laiiroit déterminer quels font les lujets qui doivent s’en ablle-
nir. D e la maniéré de le manger. Semence du melon. Con-
ritme connue fous le nom d ’écorce verte de melon. X.
3 21. i.
Melons , ( Hiß. nat. ) pierres de la forme des
melons. Leur defeription. Lieux où elles fe trouvent. X. 321.
b. Nature de ces pierres. Miracle par lequel, au rapport des
moines du mont Carmel, ces pierres ont été formées. Ces
prétendus melons yotrifiés ne reffemblent point parfaitement
à de vrais melons. L’on en rencontre de femblables en une
infinité d'endroits. Ibid. 322. u.
Melon, (Perruq.) forte d’étui. X. 312. a.
Melon , ( M. ) auteur qui a écrit fur la politique 8c le
commerce. X V I. 745. a. Suppl. I. 31. j . Extrait de ce qu’il
a écrit fur le furhauffement des monnoies. V . 967. a , b.
MELONGENE , (.ffef. ) Efpeccs de ce genre de plante.
Description de l'cfpece commune. X, 322. a. Ses noms en
différentes langues. Propriétés 6c ufages du fruit. Ibid. b.
^Melüngene, (D ie te ) Maniéré la plus ufitée en France
d’apprêter ce fruit. Ses propriétés. X. 312. b.
^ M É LO P É E , (Mu/iq. anc. ) Art de la compofition du cliunt.
X. 322. b. Principe d’où dépendent les regies de cette compofition
, indiquées dans Ariffoxene. Toute la mélopée divifée
en trois efpeccs par Ariffide Quintilicn. La mélopée partagée
en trois genres, par rapport à l’influence qu’on lui attri-
buoic fur les moeurs. Ibid. 323. a.
Mélopée. Comparaifon de notre mélodie à la mélopée des
Grecs. X. 902. a. Divifion de la mélopée en troi parties.
X ll, 474. a.
MELü S , ( Géogr. anc. Hiß. nat. ) trois différens lieux de
ce nom. Terre de Melos. X. 323. a.
M E L O T , ( Jean-Baptiße) Scs foins pour la bibliothèque
du roi. IL 239. b.
M É L O T E , (Atttiq. eccl.) peau de toute forte de quadrupèdes.
Les premiers anachorètes fe couvroienc avec une
mélote. Mélote d’Elie. Habillement des difcipl es de S. Paeôme.
X. 3 y . t.
MELPOMENE , (My th.) une des neuf mufes. Signiffea-
tion de fon nom. Les poètes la font préfider à la tragédie.
Comment ils ia repréfentent. Cette mufe n’eft autre chofe
que la poéüe même , le feu , rharmonie , rentlioufiafme. X,
323. J.
M E L T IAN U S P A G U S , ( Géogr. ) canton qui avoir pour
chef-lieu M eaux en B r ie . Détermination de ce pays. Dans le
Mulden eft le petit pays de la G o ë lle , 8c un autre petit
canton appelle la Cnllcvaffc. Suppl. III. 986. a. Voyei Meldi.
MELUN , ( Géogr. ) ville de France. Son ancienneté. Elle
a fervi de modele , dit-on , pour bâtir la ville de Paris. Son
ancien nom. Vieux bâtiment qui eff un reffe de falle de dia-
noines de ce lieu. Révolutions de cette ville. Coutume de
Melun. Précis de la vie de Jacques Amyot , né à Melun.
Obfcrvations fur fes ouvrages. X. 324. a. Obfervadons fur
les rois Robert 8c Pliilippe morts dans cette ville. Ibid. b.
Melun , édit de. V . 392. b.
MELWILLÉE en Afic : mine de diamant de ce lieu. IV .
939. b.
MEMARCHURE , (Maréch.) Suppl. IH. 404, h.
M EM BR AN E, (Anatom.) Les membranes du corps font
de differentes fortes, 6c ont différens noms. Membranes des
vaiffeaux. Membranes qui couvrent le cerveau. Elafticité 8c
fcnfibilité des membranes. Glandes dont elles font garnies.
Réfeau trés-délicat qui les couvre. Ufages des membranes.
Erreur des anatomifles qui prétendent qu’il y a une membrane
commune à tous les mufcles. X. 224. b. Membrane
propre des mufcles. Membrane commune des vaiffeaux. Membrane
veloutée : nombre infini de fibrilles que l’on voit fur
la furface intérieure de cette membrane ou tunique ; leur
ufage. Ibid. 323. a. • '
Aîembrane, (A n a t.) élémens dont les membranes font
compofées. Elles n’ont aucune irritabilité. Elles font fans nerfs
8c fansfentiment. Elles n’ont point de glandes. D ’où vient la
liqueur fine qui fuinte de leur furface. Suppl. III. 896. b.
Alembrancs. Leur formation dans le foetus. Suppl. I. 129.
a. Suppl III. 7 1 . a. Toutes les membranes réforbeiit par leurs
deux furfaces. Suppl. I. 63. b. Elles prennent avec Page plus
de denfité 8c de féchcreffe. XVII . 239. b. Membranes de
l’abdomen : membrane commune des mufcles. Suppl. II. 612.
b. Infenfibilité des membranes. Suppl. IV. 778. b.
M EM BRAN EU X , (A n a t.) Defeription d’un mufcle de
la Jambe nommé le demi-membraneux. X. 323. a.
M EM BRE, (A n a t.) Divifion générale du corps Iiumaiii
M E
en trois régions 8c en extrémités qui font les membres. X.
^^\lèmbres : leur flexibilité. V I . 874. b. Leurs jointures. VIII.
S6y- b. Proportion dans les membres. VI. 336. b. Pourquoi
H arrive quelquefois que clans la même perfonne une partie
u’eff point exaffement fembiable à la partie correfpondante.
V in . 33 3- ‘t-
Membre, ( A/yMo/.) Divinités auxquelles chaque membre
ou portion particulière du corps humain étoit autrefois coii-
facré. X. 325- 't- ^ ^ _
Membre, (Gramm.) PERIODE o’ PENSEE.
Membres d'une équation, (Algeb.) X, 323. b.
Membre, (A r ch u .) X. 323.
h^EMBRES d'un v.ûjfe.m, ( Manne) X. 323. b.
Membre, (Pe in t.) X. 323. b.
• Membre , ( Blafon ) patte de devant d un griffon , ou patte
d’un oifeau. Suppl. Ill- 896. b.
MEM BR É , (BLifon) 'Signification 8c etymologic de ce
mot. Suppl. 111. 896. a.
MÊME. Obfervation fur cct acljeftif. XIII. 434. P
MEMMINGEN , ( Géog. ) ville impériale d’Allemagne.
Révolutions, fituation , religion , commerce de cette ville.
X . 323. b.
M EM N IA , loi. IX. 663. a.
MEMNON , flatue de. X V . 773. b. Pourquoi elle rcndoit
des fons au lever du foleil. X IV . 386. b. X V . 499. b.
Memnon , général d’armée du dernier Darius. X IV . 233. b.
M ÉM O IR E , Souvenir, ReJJouvenir, Réminijccnce, (Synon.)
Différences entre ces mots. X. 326. a. Obfervations lur cpiaire
verbes latins , meminif;, recordari, memorari, 8c ranniifci , qui
jiaroiffent répondre à ces quatre fynonyines françois. Sacrifice
qu’uu écrivain doit faire quelquefois de la juftcfle de
l’expreffioii en faveur de l’harmonie. Ibid. b.
Mémoire , ( Méiaphyf. ) Les philofophes ont fouvent confondu
la mémoire avec l’imagination. X. 326. b. Erreur de
Locke fur la mémoire. En quoi different l'imagination , la
mémoire 8c la réminlfcence. Les perceptions que_ nous pouvons
réveiller, donnent de l’exercice à l’imagination ; celles
dont nous ne pouvons nous rappcller que les lignes . quelques
circnnffances ou quelque idée générale , font 1 objet de la
mémoire. Les idées d’étendue font celles que nous réveillons
le plus aifément. A v e c leur fecours nous pouvons nous
repréfenter exaélement les figures les plus fimples, ibid. 327. .r.
8c nous nous les repréfenterons d’autant pins aifcinent, qu elles
feront plus régulières. Mais il reffe bien des perceptions dont
on peut fe fouv enir, 8c dont cependant on ne fe rappelle que
les noms : celles-ci font du reffort de la mémoire. Différens
progrès qu’on peut obferver dans l’imagination , par rapport
au degré de vivacité dont elle nous repréfeme les objets.
Réponfe à deux queffions : la premiere, pourquoi nous avons
le pouvoir de réveiller quelques-unes de nos perceptions :
la fécondé , pourquoi, quand ce pouvoir nous manque, nous
pouvons fouvent nous rappeller au moins les noms 8c les
circonftances. Ibid. b. Comment nos idees fe trouvent liées
les unes aux autres , 8c ces idées avec nos befoins. Le pouvoir
de réveiller nos perceptions , leurs noms ou leurs circonf-
tanc cs, vient uniquement de la liaifon que l’attention a mlfc
entre ces ebofes , 8c les befoins auxquels elles le rapportent.
Détrulfez cette liaifon , vous détruilcz l’iinagination & la mc-
nioire. Ibid. 328. .1. Différentes qualités des efprics, iclonles
différens degrés d’imagination 6c de mémoire dont ils font
doués. Ibid. b.
Mémoire. Réflexions métaphyfiques 8c pfychologlqiies fur
la mémoire. VI. 148. a , b. 149- a , b. &e. Place infiiuinent
petite qu’elle tient dans notre cerveau. X V . 33. a. Comment
la fidélité de la mémoire nous eff prouvée avec certitude.
V I . 132. b. Des moyens de retenir fes idées. XU. 327. b.
X IV . 200. a. Inconvénietis du défaut de mémoire. Sans cette
faculté nous ne ferions pas des êtres penluns. V I . 132. b.
X V . 33. a. La difficulté d'éteudre fes conuoiffances vient du
défaut de mémoire. UI. 892. b. Les rêves , les délires , la
fo lle , l’imbécillité ne confiffent que dans l'imperlcffion de
fon exercice. V I . 1 30. , b. Cliofes qui demeurent indiffinélcs
dans la mémoire. VIII. 684. a. Utilité de cette faculté. Elle
fert à ju g e rd e la réalité des objets. V I. 132.^2, b. Combien
les divers ordres de gens de lettres font redevables à cette
faculté. I. xviij. Difc. prélim. Relation que la mémoire établit
entre nous 8c les objets abfens. V L 262. b. L’imagination ne
peut agir fans la mémoire. VIII. 361. b. Des moyens de la
perfeftionner. 718. E Exercices de la mémoire convenables
aux enfans. V I . 90. b. Baume pour fortifier la mémoire. X.
389. a. D e la perte de cette faculté : caufes qui y contribuent.
X V . 33.-2. La mémoire furchargee la fait périr. VIII.
362. b. Exemples finguliers de malades qui avoient perdu
la mémoire. X V . 33. a. Déeflc de la mémoire. X. 389. a.
MEMOIRES, (Litter.) hiffüires écrites par des perfonnes
qui ont I affaires, ou qui ■ 1 ont été témoins
oculaires. Il eff difficile que les auteurs de ces ouvrages aient
allez dépouillé l’amour propre 8c k s autres intéréts perfoir
MEN 209
nels, pour ne jamais altérer la vérité. Frivolités dont ils one
fouvent entretenu le public. Les Romains nomnioient cc*
écrits commentarii. On donne auffi le nom de mémoires aux
aéics d’une fociété littéraire. Caraélcres de ces fortes d’écrits.
X. 328. b.
Alémoires. Matières fur Icfquelles on écrivoit anciennement
ce dont on vouloit conferver la mémoire. III. 447. a. Comment
il eff poffible de faire des relations exatlcs avec des mémoires
infidèles. X IV . 63. b. Mémoires de la fociété économique
de Berne. Suppl. I. 217. b.
Mémoire , (Jurijyr.) bonne ou mauvaife réputation qu’on
laiffe après foi. Procès faits à la mémoire de certains criminels.
Appel d’une femence , à l’effet de purger la mémoire
d’un lionime condamné injuftement. X. 329. a.
Mémoire, ou EaBum, (Jurifpr.) Voye:^ Factum.
Mémoire des fra is , ( Jurifpr.) En quoi il diffère de la
déclaration de dépens. X. 329. a.
Mémoire , (Comm.) Deux acceptions de cc mot. Comment
les mémoires ou parties des marchands 8c ouvriers doivent être
dreffés. Mémoires nommés agenda. Autres mémoires nommés
failures, lettres de vouurcs. X. 329. a.
M E A iO R , immemor, (Lang, lut.) Obfervafions fur ces
mots. X V . 18. b.
A lE A lO R IÆ ,fc r in ium , (Antiq. rom.) X IV . 813.-2.
M ÉM O R IA L , livre, (Comm.) IX. 613. b.
MEMPHIS , ( Géogr. anc. ) ville d’Egypte. Autres noms
de cette ville. Memphis ruinée par Nabucîtodonofor, 8c rétablie
enfuite. Ses ruines aéluelles. Temples qu’on voyoit dans
Memphis. X. 329. b.
Memphis. Conjeffures fur le lieu où cette ville étoit fituée.
X IV . 331. a. Temple de Sérapis à Mempliis. X V I . 78. b.
Celui de Vulcain. 82. a. XVII . 373. h.
ME-MPHlTE, (U if l. nat.) Deux fortes de pierres de ce
nom. X. 319. b.
M ÉM PH IT IQ U E , danfe. IV . 617. a.
M E N , ( Lang. lut. ) Des noms latins terminés en men. V IL
173. b.
A IENA C E, (Morale) Menaces permifes. Menaces illicites.
Acceptions métaphoriques de ce mot. X. 329. b.
MÉ.NAGE, Ménagement, Epargne, (Synonym.) Différence
entre ces mots. X. 330. a.
• M é n a g e , (G ille s ) Ohlèvvations & étymologies de cet
auteur. IX. 267. b. Mot piaffant de Chriftinc fur Ménage.
X IV . 893. a.
M É N A G EM E N T , Ménage, Epargne, (Synor.yn.X.
330. a.
MénagEMENS , Egards , Attentions , Circonfpdlion , Con-
fidération , Retenue, (Synonym.) III. 463. i». V .4 1 3 . b.
M É N A L E , (G éogr.anc.) montagne d’Arcadic. L’un des
travaux d'H ercule exécuté fur cette montagne. Le mont
Ménale confacrc à Diane. Eloge qu’en a fait Virgile. Bourgs
fitués fur cette montagne. X. 330. a.
Alénale. Bichc du mont Ménale. IL 241. b.
M ÉN AN DRE , poète. X II. 634. b. 842. -2, b. X V I . 237.
a. Suppl. II. 321. a. Son éloge par Plutarque. III- 667. a.
D e l’intrigue de fes pieces. Suppl. III. 640. a.
Alénandre, difciple clc Simon le magicien ; fa doélrine.
IX. 28. b. Voyc\ Ménandriens.
MÉNANDRIENS , (H iß. ccd.) la plus ancienne fefte des
Gnoffiques. Q u i étoit Ménandre. X. 530. a. Sa doélrine.
Ibid. b. Foyei l’article MÉNANDRE.
M EN A R D , (/.eè/j) Son hiftoire de Nîmes. Suppl. IV .
^ MENASSE , dofteur Juif : fa doélrlne fur la grace. IX.
46. a.
M E N C A U L T , ou Maucaud, ( Comm.) mefure dont on
fe fert en quelques endroits de Flandres. Mcncault de froment
8c d’avoine à Landrecy. Mencaulr de S . Quentin. Celui
de Quefnoi. Celui de Cafteau-Cambrefis. X. 330. b.
M EN C IU S , philofophe Chinois. III. 343-^-
M E N D A G N A , (A lv ar de) navigateur. Lieu où il mourut.
Suppl. IV . 713. b. 1 • O
MENDE , (Géogr.) Juffice en pariage entre le roi 8c
l'évêque de Mende. IX. 96. b.
MENDÈS , (Myth.égyp.) ou le dieu Pan. Ville dEgypte
où il étoit principalement honoré. X. 330. b.
Mendès, (Géogr. anc.) ville ancienne de 1 E gypte. A .
^ ^M ^ D E Z -D A C O S T A . Sa divifion minéralogique des différentes
terres. X V I. 172. b. , . ,
Mendez-Pinto , ( Ferdinand) Ses aventures : relation de
fes voyages. X. 684. -2. XL <1. Obfervation fur fes ouvrages.
X V I . 333. b.
M EN D IA N T , (Econ.polit.) Les legifl.ateurs ont toujours
eu foin de publier des loix en faveur de ceux qui fe trou-
veroient affligés de quelque accident malliciireux. Mais ils
ont affujeiii tes fainéans aux peines les plus rlgoureufes.
Exemples tirés des Egyptiens, des loix de J.ycurgiie , de
celles de Platon , 8c des anciens Romains. X. 33!.-;. Huma