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M amelons , {jUlntrabg.) concretionsplcrreufes & mmé-
raks, X. 5-
Mam e lo n , (Concltyolo!:.) X. 6. a.
M amelon , { J.:rJ:n. ) X. 6. a.
Mam e l o n , {Art mcch.) X. 6. a.
MAMERTINS. En quel terns les Meffaniens prirent ce
nom. X. 399. b.
M AM IL IA , loi. IX. 664. b.
M AMMAIRES, vuifeaux , {A r u t .) trou du fternum ou
du cartillage xipKuïdc par où pairent ces vaifTeaiix. XVII .
’^Mammaire, arten. Branches qu'elle donne au foie. Suppl.
III. 76. U.
MAMMELUC , ( Niß. d'Egypt.) forte de milice. Par qui
elle fut innituéc. Combien elle devint puilTante. Signification
du mot mammeluc. Ufage des orientaux de donner aux princes
les noms les plus pompeux, &. à leurs lerviteurs les noms les
plus humbles. Oblbcles que les Mammolucs oppoferent à
Seliin I , lorfqu’il entreprit de foumettro l’Egypte. Ils étoient
les maîtres de l’Egypte depuis nos dernières croifades. Gouvernement
qu’ils y éiabllrent. Dernier roi Mammeluc ; fingii-
larlté qui l’a rendu remarquable. X. 6. a. Etat de l’E.gypte
depuis la conquête de Sélim. Ibid. b.
MAMMEY , {Bot rxot.) Caraêleres de ce genre de plante.
Sa defeription. Lieux où il croit. Liqueur qui fort de cet
arbre par incifion. X, 6. b.
M AM M IL LA IRE, {Anat.) partie du cerveau. X. 6. b.
MurnirtilLùres, caroncules. II. 693. a.
M ammi.LLAires , {H iß .e cc l.) fefte d'anab.aptillcs formée
à Harlem. Origine finguliere de cette fefte. X. 6. b.
MAM.MONA, {Critiq. Jdcrée) nom fyriaqiie qui fignifie
Iss richeites. Les richellés appellees injußes dans S. Luc. Beze
a traduit les memes paroles par richeßes uompeufes. Cette inter-
pk-étation juflifiée. Oblervation qui ptoiive que la premiere
doit cependant être prétérée. X. 7. a. D e l’origine du mot
mamnuona. Ibid. h.
M AM M O TH , 0/A-, {Minèraiog.) olTemens fofllles trouvés
en Sibérie. Sentiment de M. Gnwlin fur ces os. X. 7.
b. Voyee IvoiRE FOSSILE.
MAAÎOERA , {Botan.') Deux efpcces de cet arbre du
B ré fil, l'une mâle , l’autre femelle. Leur defeription. X. 7. a.
M.AN , ( Myth. ') divinité des anciens Germains. Comment
ils l'honoroient. X. 7. b.
M an , ou Mem , ( Comm. ) poids dont on fe fert aux Indes
■ orientales. Deu.x fortes de man. Leur évaluation , & leurs
ufages. Troificme efpece de man en ulage à Goa. X. 7. b.
Divers autres poids appelles de ce nom. Ibid. S. a.
Man , iße de, ( Giogr. ) Obfervations fur l’évèque de cette
ifle d’Angleterre. Etendue de cette ifie. Ses principaux lieux.
Ses produRions. Auteur à confultcr. Sa fituation. X. 8. a.
M.m , arbres fouccireins dans un marais de cette ifle. X.
92. b.
M A N A C A , {B o t.e x o t.) arbrilTeau du Bréfih Sa defeription.
Propriété & ufagc médicinal de l'a racine. X. 8. a.
M A N A K IN de Cayenne , {Omirh.) oifeau rcpréfeiité ,
vol. VI. des pl. Regne animal, ])1. 32.
M A N AN T . Origine de ce mot. X, 54. <?.
M AN A S SA T E , {Géogr.) A n a z et a .
M A N A S S É , oubli, {Hiß. fa c t.) fils a'mé de Jofeph , Se
petit fils de Jacob. Origine dé fon nom. Hifloire de ce patriarche
& de fa tribu. Bénédiélion myllérieufc & prophétique
que Jacob adrelTa aux deux fils de Jolcph. Suppl. 111. 838. a.
,{H tß . ja c r .) ‘Svn adoption par Jacob. 1.
M A N A T I L A P I S , {Hiß. nat.) os qui fe trouve dans la
tête de la vache marine ou du phoca. Propriété de cet os
calciné. X. 8. b.
M A N Ç AN A R È S , le , {Géogr.) Cours de cette rivière
d’Efpagne. Ce n’cfl à proprement parler ni une r iviere, ni un
ruUTeau. Pont que Philippe 11 fit bâtir fur le Mançanarcs.
X . 8. b.
M an ç an a r è s , ( Géogr. ) petite ville d’Efpagne. X. 9. a.
MAN C EN IL LIER , {Botan.) caratlcrcs de ce genre de
plante. Lieux où cet arbre eft commun. Sa defeription. Attrait
& danger de fon fruit. Remcde pour ceux qui ont eu le
malheur d’en manger : cauflicité du lue laiteux que renfer-
iiKm l’écorce 8c les feuilles. Danger de recevoir l’eau de
pluie tombée fur cet arbre , 8c de s’endormir à fon ombre.
Obfervations fur le bois du manccnillicr & fur fon ufage en
menuiferie. Précautions à prendre en coupant cette forte d’arbre.
X. y. a. Rcmede contre les inflammations des yeux eau-
fées par le fuc du manccnilHer, Trois efpcces de ce genre de
plante. Ibid. b.
Mancenillier, fon fuc em]>loyé à cnipoifonner les fléchés.
Suppl. III. 49. b. Contrepolfon par lequel on s’en garantit.
Ibid.M
AN CH E , ( Conchyol. ) manche de couteau ; coquillage de
mer. Sa defeription. Comment ces coquillages fe logent au
fond de la mer. Moyen de les faire fortir de leurs aous. X,
9. b.
Manche de couteau, {Conchyol.) autres obfervations fur
ces coquillages. Moyen de faire fortir le poiflbu de fa coquille
pour l’examiner & le defliner. X. 9. b. Comment on les coti-
lérve vivans. Herbe dans laquelle ils doivent être enveloppés.
Ibid. 10. a.
Manche , ( Arc milit. ) marcher par manches, dcmi-maii-
ches, quart de manches. IV. 108a. b. Défiler par manches ou
quart de manches. 744. b.
Manche , ( Coutelier. ) manche faux à tremper ; manche à
émoudre ; manche à polir. X. 10. a.
Manche à eau, on pour l'eau, {Marine.) ufage de ce
tuyau de cuir pour conduire l’eau que l'on embarque, du
h.iut d'un vailieau jufqu’aux futailles. Manche de pompe.
X. 10. a.
Manche , ( Marine.) machine très-commode pour porter
l’air dans les fonds des vaiffeaux. Inconvénient de cette machine.
Suppl.Wl. 838. a.
Manche , ( Luth. ) manche de violon , de luth , de gui-
tarre , & c . Son ufage. Suppl. III. 838. b.
Manches , ( Pèche. ) terme ufité dans le re/Tort de l'amirauté
de Mareniies. Defeription de cette forte de rets. Comment
on s’en fert à la pèche. X. 10. b.
M a ü CKZS , Maniolles on. Sanet. Voye^ ManiOLLE , (Pe-
che. ) defeription de cette forte de péclie. X. 10. b. — Voyei
les planches de pèche dans le vol. V lI I .p l. 2.
Manche , ( Potier de terre. ) X. 11. a.
Manche, ( P/4/Ô/J.) X. ii .u .
Manche, la , {Géogr.) contrée d'Efpagne, Ses bornes.
Rivieres qui ont leur fource dans ce pays. Ses principaux
lieux. Cette contrée rendue fameufe par Miguel de Cervantes.
X. I I . a.
Manche , / j , ( ) détroit entre l’Angleterre 8c la
France. Horace en parle dans une de fes odes. X. i i .a .
Manche, détroits de ce nom. Suppl. II. 168. b.
Manche de Brißol, la , ( Géogr. ) X. I I . a.
Manche de Danemarck, la , { Géogr. ) X. 11. a.
Manche deSaint-Georgcs,la,{Géogr.)X. 11 .a .
M A N CH E S T E R , ( Géogr. ) ville d’Angleterre : canal près
de ce lieu. Suppl. II. 168. b.
M A N C H O N , {Pelleter. ) opérations du fourreur pelletier
pour la fabricaiion des manchons de renards, de chiens,
d’ours, d’ourflns, de ioups-cerviers. V II . 260. a , b. &c. Manchons
de renards qu’on portoit autrefois. X IV . 104. b. Manchons
de plumes. Vol. 'VIII. des planch. Plinnaflïer, p!. 4.
M A N C IN I , ( Hortenfe) duchefle de Mazarin. Somme pro-
digieufe de fa dot. V . 64. a.
MANCIP IUM ou Mancupium , ( Antiq. rom. ) droit qu’a-
voient les citoyens romains fur les fonds d’Italie & leurs
appartenances. Quelques obfervations fur ce fujet. X. 11 . 0.
Mancipium , fmnification de ce mot. III. 375. b.
M A N D A G O T , {Guillaume de) cardinal : traité qu’il a
publié. IX. 628.
M AN D A ITE S. Voyct^ Chrétiens de S. Jean , Sabaïs-
M£ 6c Sabiisme.
M AN D A R IN , {Hiß. mod. ) nom que les Portugais donnent
à la lioblelTe 8c aux magiftrats, paniciiliérement à ceux
de la Chine. Nom que les Chinois donnent à leurs grands,
que nous connoùTons fous le nom de Mandarins. X. i i . b.
Neu f fortes de mandarins Sc leurs marques. Nombre total des
mandarins. Tribunaux mi-partis depuis I’invafion de la Chine
par les Tartares. Palais des mandarins. Rcfpcél qu’on a pour
eux. Ibid. 1 2. a.
Mandarins , livres qui font l’objet de leur étude. IX. 129. b.
Grands-mandarins de la Chine. i'^4. a. Chàtimens qu’ils infligent
dans leur audience à ceux du petit peuple qui ne leur
rendent pas en public l’hommage qui leur ert dû. XI. 830.
a , b. Un mandarin ne doit être attaché à aucun culte particulier.
XIII. 93. a , b. Sépulture des mandarins. X V . 76. a.
Mandarin, {LitUr.) langue favantc des Qiinois. Per-
fonnes qui la parlent. X. 12. a.
M A N D A RU , ( ) efpece de ce genre, nommée
aatenarchede, dans le Malabar. Suppl. I. 3. b.
M A N D A T on procuration, {Jurïfpr.) ce contrat appelle
mandatum étoit du nombre des contrats de bwnne-foi. üiité-
rence entre mandat 8c procuration. Double aélion que produit
le mandat. Il peut être contraélé en diverfes manières;
X. 11. a. Comment il finit. Ibid. b.
Mandat, royc^ PROCURATION. Fautes dans ce qui concerne
le mandat. VI. 458. b.
Mandat apoflolique , ( Jurifpr. ) la maniéré de conférer
les béncfiL.,a par mandats apoftoliqiies, introduite en 1134.
Les fuccefleurs d’Adrien regarderont ce droit comme attaché
à leur dignité. Comment cesmandats, qui n’étoient au commencement
que de Amples prières, devinrent dans la fuite
des injonéltons 8c des mandetiieiis. Exécuteurs nommés pour
conférer les bénéfices aux mandataires. Oppofitions que les
mandats ont fouffertes en France. Difpofiiions dti concile de
Bafle fur l’ufage des mandats. X. 12, b. Regiemens fur les
matidats renouvcllés par le concordat, entre Léon X Sc
MAN François I. Les mandats abolis par le concile de Trente. D ifférentes
fortes de mandats apoftoliques. Ibid. 13.0.
m a n d a t a i r e , reyfç Procuration.
MANDELSLO , ( Jean-Albert ) fes voyages. X IV . 768. b.
MANDE.MENT, (Getter,)diflriél, territoire, 8cc.X. 13. a.
M and ement , {LHß- ) l’expérience h montré plus
d’une fols que rattention du gouvernement fur les mande-
mens des évêques n’auroit pas été fuperflue. X. i ) .b .
Mandement, ( ) fignifications de cc mo t.X. 1 3 .i.
~ Voyeti Procuration , Mand.at.
MÀNDIL', ( Hiß. mod. ) efpece de bonnet on tnrban que
portent les Perfes. Comment U fe forme. Obfervations fur
l'on ufage. Changement de mode par rapport au mandil.
X. 13. é.
M A N D IN G O S , {Hiß. mod. Géogr.) peuples de brigands
qui habitent le royaume des Faulis en Afrique. X. 13. b.
Mandinges, efpece de fantômes dont ils fe fervent pour
tenir leurs femmes dans la foumiflion. X. 860. b.
M A N D IN G U E S ,/« , ( Géogr.) peuple deNigritie. Obfer-
vatiens fur ces Negres 8c leur religion. X. 1 3. A
MAN D O R E , ( anc. 6* mod.) Defeription de la
mandore des modernes. Defeription de celle des anciens.
Comment ils en jouoient. X. 14, a.
M A N D R A G O R E , {Botan.) caraéleres de ce genre de
plante. X. 14. a. Defeription des deux principales efpeces de
ce genre, favoirla mandragore blanche ou mâle, 8c la mandragore
noire ou femelle. Comment on les multiplie. Combien
leurs racines fc confervent, X. 14. b.
Mandragore , ( Pharm. 6» Mat. médic. ) on ne doit point
preferire intérieurement les feuilles Scies racines. Leur ufage
dans les applications extérieures. X. 14. b. Huile de mandragore
: fes vertus. Obfervations fur le fruit de cette plante.
Compofitions de la ph.rmacopée de Paris où la mandragore
entre. Fables débitées fur la mandragore. Ibid. 13.0.
MAND RE , ( Hiß. eccl. grecq. ) couvent, monaftere. Origine
de ce mot. Signification de ce mot mandrite. X. 1 3. a.
M AN D R IN , {Arts /neV/t. ) mandrin de porte-moiichette,
X. 1 3. d. Sc mandrin à égulcre , en terme d’argenreur. Mandrin,
terme d’artillerie , de chauderonnier, de doreur, de
fourbifleur, Ibid. b. d'horloger, d’orlèv re , de potier d’éuin ,
de l'errurerie Sc taillanderie , de tableticr-corneiicr, Sc de
rourneur. Ibid. 16. a.
Mandrins, outils de fourbifleur. XV II . 789. a. D e ferru-
rler. 828. b.
M.VNDUCUS , ( Littir. ) marionnette hideufe que les
Romains produifoient. Origine du mot manducus. X. 16. b.
My\NEGE, ( M.iréch. ) objets reufermés dans cet art. Manege
par haut. Manege de guerre. X. 16. b.
Manege, des academies de manege ; utilité des exercices
de cet art pour la faute. I. 27. a , b. Projet d’établilîcmeiit
d’académie où l’on etifcigne l’art du cavalier. V I . 249. a , b.
Hau te , moyenne Sc balTe école dans les maneges.V. 333.é.
336. a , b. Penfionnaire qui apprend l’art du cavalier dans une
académie. I. 37. b. Piller dans les maneges. XII. 621. b. Hi('-
toire de l’art. V. 883. b , Scc. Comment les anciens montoient
à cheval. VI. 77. a , b. Leçons de Xenophon fur l'art de
monter à cheval. IbiJ. a. Comment on fe tormoit à l’art du
cavalier dans le tems de Henri III Sc de Henri IV. VI. 247. a.
Des hommes célébrés auxquels la France efl redevable des
premiers écuyers qu’elle a eus. Ibid. b. Principaux maîtres
dans l’art du manege qui ont paru en France. X. 683. b. Des
mouvemens du cheval. Suppl. III. 39Ö. a , b. Des leçons du
manege, fur l'art de drefl'cr un cheval. III. 303. b. D e le
monter. 304. a , h. Et fur les allures de l’animal. 303. a , b.
Machine qui peut préparer les enfans aux premiers élcmcns
du manege. Suppl. II. 830. a , b. Obfervations Sc préceptes
importans fur l’art du cavalier. V . 239. b. — 242. a. Cet art
efl'entiel à un militaire. 3 12. d. Chcvail de manege. V I . 810. b.
Planches fur l’art de l'équitation 6c du manege contenues dans
le vol. VII.
M A N EQ U IN , terme de commerce, ancienne mefiire
dont on fe l'ervoit en Angleterre ; terme de jardinage, efpece
de panier, fon ufage ; terme de peinture , modele de cire ou
de bois , fon ufage. X 17. a.
Manequin , defeription de cette machine. V o l. III. des
planch. Dcflein , pl. 6, 7. Il efl dangereux d’en faire ufage.
iV. 109. a.
MANES, ( Mythol. ) divinités domcfllqucs. Diverfes
idées que les païens s’en formoient. Ce mot a été pris pour
les enfers en général. Différentes étymologies données au
mot mânes. X. 17. a. Pjffage d'Apifléc , qui efl , de tous les
anciens, celui qui parle le plus clairement de la doéliine des
mânes. Les anciens croyoiein que toutes les âmes des honnêtes
gens devcnoieiit autant d’cfpeccs de dieux. Les mânes
invoqués à Rome. Ceux qui avoicm de la dévotion pour les
mânes s endormoient auprès des tombeaux, afin d'avoir des
longes prooliétiques. Efpece de corps trés-fubtiis que les
païens attribuoient aux âmes des défunts. Obfcrvatien fur
1 erreur des Antropomorphytes. Ibid, b.
M AN 175 Mânes, leur évocation. VI. i6 i . b. Fête que les Romains
célébroient pour les mânes des morts. 4Ö2. a. Les Grecs accordèrent
un culte aux mânes des héros. VIII. 183. a. Formules
des Romains pour appaifer les mânes. XIII. 362. a.
Prêtres confacrcs au culte 8c à l’évocation des mânes chez
les Grecs. 342. b.
MANÈS. Poye^ Manichéisme. Prctcnduc difpuce de Mânes
avec Archelaüs, évêque de Chafear. XV II . j e i . a , b.
M A N E T , {Pêche. ) Vol. VIII. des planch. Péclie, pl.
9 , 10.
M A N E TH O N , prêtre Egyptien. IV. 981. j . VIII. 104. <ï .
Dyiiaflies égyptiennes, félon cet auteur, V . 176. a.
MANFAÏ.Ü , ( Géogr. ) defeription qtie le fleur Lucas
donne de cette ville de la haute-Egypte. Garnifon que le
g and feignetir y tient. X. 18. a.
M A N G A B A , ( Botan.) grand arbre du Brefll. Defeription
de cet arbre 8c de fon fruit. Liqueur qu’en tirent les Brafi-
liens. X. 18. a.
M AN G A IBA , Botan. exot. ) arbre du Brefll pruniferc. Sa
^fer^^ption. Sa fécondité. Defeription du fruit. Ses propriétés.
M AN G AN E SE , Magalaife , Magneßc, Magnefe , {Mine'-
ral. ) fubflance minérale allez fembla'ole à l’aimant. Quatre
efpcces diflinguées par 'Wallerius. Lieux oit elle fe trouve.
Autres fubftances avec Icfquellcs on l ’a confondue. Ufage de
la manganefe dans les verreries. Direéfions fur cet ulage.
Subflances appellées magneßes par les alcliymifles, 8c qui
n’ont aucun rapport avec celle que l’on vient de décrire. Il
ne faut point confondre la manganefe avec la magnélie blanche
des chymifles. X. 18. é.
M.tnganefc, il eft parlé de cette fubflance. X V I I 127 a'
128. <2.
MANFREDI , ( £üy?u/Aio ) fes obfervations de quelques
inégalités des étoiles.^Kpp/. 11.893./>. Ses tables de la parallaxe
annuelle des fixes. Suppl. IV . 910. b. 921. a, b.
M A N G A S , {Botan.) fruit des Indes orientales. Son goût.
Arbre qui le produit. Defeription de ce fruit. Propriété de
fon noyau. Autre efpece de mangas. X. 19. _ Poyer
Mangue.
MANGER , { Phyfiolog. ) l’aftion de manger conftfle dans
la maflication 8c la déglutition. ces mots. Pourquoi
nous n'avons pas befoia de manger lorfque nous dormons
X V . 332.22.
MANGEUR de fourmis , ( Hiß. nat. ) yoye^ F o urmil lier .
Defeription de quatre efpeces de foiirmilliers. X. 19. b.
Mangeur de fe u , { Hiß. nat.) célébré Anglois qui fe
jouoit avec le feu. En quoi confifloit fon fecret. Celui d’Ain-
broife Paré jtour exécuter les mêmes merveilles. X. ly . b.
— P~oyei F eu.
M À N G iN , ( A ’. ) abbé. Suppl. III. 702. b,
M A N G L E , {B o tan .) caraéleres de ce genre de plante.'
IX. 19. b. Lieux où cet arbre efl commun. Trois efpeces de
ce genre. Defeription dit mangle ou palétuvier. Comment il
fe provigne de lui-même, julqu’à former une épaifle forêt
d’un feui arbre. Efpece de mouches qui rempliflenr les lieux
où cet arbre croît. Huîtres dont fes racines 8c fes branches
font chargées. Qualité & ufage de fon bois. Ibid. 20. a.
Mangle, plantes paraficcs qui croilfem fur cet arbre. Suppl.
I. 43 2. h. 48 5. b. Huitres qui s’y attachent. Suppl. III. 462. a.
M A N G O C A P A C , premier inca du Pérou. VIII, 641. é.
M A N G O N N E A U , {Art. mihe.) vieux mot qui fe difolt
des pierres qui étoient lancées à la guerre , Sc de la machine
qui les hinçoit. Tems auquel les mangonneaux furent en
ufage en France. X. 20. a.
M AN G O U S T AN , ( Bot. ) arbre pomiferedes Indes orientales.
Combien il inériteroit d’être préféré au maronnier d'iu-
de pour la décoration 8c l’ufage, s’il pouvoit être cultivé
dans nos climats. Defeription de cet arbre 8c de fon fruit.
Amande qu'il contient. Qualités qui font eflimer ce fruit.
Ufage de la décoélion de foa écorce. Mangouflan fauvage
d'Amérique. X. 20. b.
MAN G O U ST E , ( Zoolog. ) ichneitmon. Defeription de
cet animal. Lieux où il fe trouve. Animaux dont il fe nourrit.
On le garde dans les maifons comme un chat. X. 21. a.
M A N G U E , ( Botan. exot.) arbre étranger, nommé man-
gao. Poyet^co mot. Defeription du mangue cultivé, 8c du
mangue fauvage. Comment on multiplie le premier. Defeription
cie fon fruit. Efpece de ce fruit fans noyau. Différentes
maniérés de le préparer. X. 21. a.
M ANGU ERA , ( Botan. exot. ) arbre des Indes orientales.
Diverfes obfervations fur fon fiuit. X. 21. h.
M A N IA , ( Hiß. anc. ) femme d’un gouverneur de TEolie,
qui gouverna cette province avec gloire après la mort de fon
mari. Suppl. III. 838. b.
MANIAQ UE. Poye^ Man ie : efpece de maniaques fanatiques
dont parle Arétée. X. 280. a.
M AN H ISE T T I , ( Jacques ) phtlofophe. Suppl. IV . 308. b.
M AN IC A , ( ( Géogr. ) royaume, riviere, v ille 8c mines
de ce nom, en Afrique. X. 22. a.