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53Ö P T E
PSORA LE A., {^Botan. ) caraiftcrcs de ce genre de plante^
Scs cfpeccs. Dcfci iptioji de In principale. Lieux où elle vient.
Ul'agc médicin.al de (a racine. XIII. 341. b.
Pjbratc.1. Singuiarité d.ins cctie plante. Obfcrvations fur
fes eïpeccs. Ufige médicinal de l’iiiie d ’elles. Suppl. IV. 5 30. b.
P,SORE , ( McJtcine ) maladie de la peau , autrement appellee
gale. Defeription qu'en donne Cd fa . Ses caufes. Son
traitement.XIII. 342.u. /'oyc^GALii.
P SORO PHTH ALM IE, ( A/cdrc.) maladie des paupières,
qui confide dans l’inflammation de leur membrane interne.
X III. 541. a. Ses caufes. Son traitement. Ibid, b.
P S Y CH A G O G E S , {H îfl. anc. ) prêtres chez les Grecs
conficrés au culte des mânes , & qui taifoient profedion
<1 évoquer les ombres. Leur inflitution avoit quelque chofe
d’impofuit Sc de refpcélablc. X llI . 542. b.
PSYC H É , (Myrbol.) auteurs qui ont décrit les amours
de Pfyché & de Ciipidon. Edampe où leur mariage ed re-
préfenté. Récit de leur pompe nuptiale par Pétrone. Les anciens
repréfentoicnt la nature & les propriétés de l’ame fous l’emblème
de Pfyché. XIII. 543.U.
P SYCHÔ LO G IE , ( Métaphyf. ) dlvifion de cette fclence
^ pfychologie expérimentale , & ufydiologie raifonnéc.
Traité de pfychologie de M. Wolf. La pfychologie fournit
des principes au droit naturel, à la théologie naturelle , à la
philoloplùe pratique , & à la logique. XIII. 343. a. Avantages
itt.ichés à l’etudc de la pfychologie. Ibid. b.
PJ'ychologie. Principes pfydiologiques des cclediqiies, V.
287. a, b. 288. a , b. de l’auteur de l’article Evidence, VI.
146. b. & c .d ’Aridote. XII. 368. b.
P SYCHOM ANC IE , {Divination) évocation des âmes
des morts. Etymologie du mot. Lieux où fe faifoient les cérémonies
de la pfychomancie. Les chrétiens aceufés injude-
ment_ de cette fuperdition par Julien l’apoftat. Temples où
le retiroient, félon le témoignage d’Ifaie , ceux qui vouloient
con d ilterle srao rts.xill. 343.i. Voyc^ N écrom anie.
.J ^ Y L L E S , les, {Géûgr. ana. 6» ) peuples qui guénUoient
la morfure des ferpens. Situation de leur pays en
A.rique. Privilege dont ils jouifToient de vivre fans péril
au milieu de.s ferpens & des cérades. Comment ils éprou-
voient la fidélité de leurs femmes. La légitimité d'Evagon
démontrée par l’épreuve des cérades. Comment les pfyiles
gnendoient la morfure des ferpens. Dedrudion de cette
nation. XIII. 344, a. Examen critique des témoignages fur
lefquels on a attribué aux Pfyiles les propriétés merveillcu-
tes dom on vient de parler. Autres peuples 6c charlatans
qui s attribnoient les mêmes vertus. Ibid b. Auteurs qui n'ont
confidéré les Pfyiles que comme des impodeiirs. Tout ce
qu’on peut conclure de plus raifonnable fur ces peuples, c’ed
qu’ils failüient des guérifons par le moyen de la fuccion ’ Ibid 543..;.
Pfyiles, réputation qu'ils avoient de ne point craindre la
morfure des <erpens,l. 766. b. & de guérir cette morfure
par la fuccion. X V . 608. a. Epreuve par laquelle ils didin-
guoicnt les enfans légitimes des adultérins. XI. 502. b.
P SY L L IU M , {Botan.) defeription du pfyllium vivace.
Lieux ou cette e fpeccfe trouve. Choix de fa femence. üfaee
medicinal de cette femence. XIII. 343. a. *
M 7 - b.
* ^T-M - . V petite ide du golfe faronique.
Elle eioïc d clerte, pleine de rochers , & dangcrciife
pour les vaifleaux qui cherchuient à entrer au Pirée XIII
5 4 5 - A P T
P TA RM IQ U E , ( Botan. ) carafteres de ce genre de
plante. Ses elpeces. Defeription de la plus commime. Lieux
plan«. S u ffi IV. 5,0.4. Ddeription de d e ,,, cfp e c e^ L i™ ,
o u j lle s ero,IIen,. Leur cul,ure. Leurs quell,és & uûgës
n o s p e ,s .4 Vp / . IV. „ . . I Sou
PTERO.SPERMADENDRON , (Bu-.unA j
ce genre de plante. Erymologie de ce mot. X III 546 „ Efnc'
ces de ce genre. Ibid. b.
P T E R ŸG IO N , {Chirurg.) maladie de l’oeil excroHTmr
membraneufe qui fe forme fiir la conionaivé ’ Celfe d”^mK
aulTi ce nom a une excroilTance charnue , qui vient aux on
m e n f ? T ' ” *’ maladie ; accroifTement
de 1 ongle vers fes p.-irties latérales. Comment on vné-rir
' " ? T T O m Ï E N ' ' h ^ ' - " x r X "
* , ) tfou Ptéryeoïdien Mnf
Ptérygoidienne^XIIL '347 ,, Pterygoid,en. Artere de ce nom. Suppl. H , . 7 /
Suppl. III. 862. . .n e r f SuppTlV ^ j . , :
PUB
PTISANE ufagesde'ee mo” d ;S
les anciens. Dclcnptjon de la manière dont le.s Grecs emn
pofoient leur ptil.uic. Ufege qu'ils eu faifoient d.ms les
ladres argues DrSérenres fortes de prlfanes qu'ils e„',-
ployorcnr. X l l l , y , b Rdlexious fur r„i:,ge des l,o„Hl„, .
a“ ” ''* P'“ ''‘ '’ «desanc,e„.s./4 ;./. ,48 ,
P TO LEM A ÏS , ( G,og, uuc ) cinq villes de cc non, ; î „ „ e
en Egypte , 1 autre dans la Cyréna.que, une rroif.dnc cë
E,hmp,e,u„e qua,r,e,ne<la„slaPampl,ylie, & b cinquième
en Phenicie. Obfcrvations lur ces villes X l l l 348 . Rè
f ië c î ë r jw '4 >1^ '■ = >reidc,në
Ptolémaïs en Phénicie, voye;' A cre.
PTOLÉiMAl'TES, ( H lf.eul. ) anciens fcflaires gnoRiques
Sentuirent de Prolémoe leur d i e l , lut la loi de Movfc X lll
5.48.4. 4 • .
PTO LOMÉE Lupus ou , roi d'Egypte : confiance
q u ,l •e.uomna aux /.„fs. IX , ap. u. Temple qu'il bririr à
Sérapis. X V . 78. 4 . Pourquoi .1 fit venir de Sinopc la llarue
de ce dieu. 7^. é. ' ^
PTOLOMEE P kU a d d fk, roi d'Egypre : efpece de pompe
quaffeao, ce ro,. II. a , , , u. ProredHon q„',l accorda au ,
0 * 7^ ' I-®’” «icnt i! enrichit la bibliothèque
riAlcxandne. II. a jo u. Liberté don. les Juifs jouirem fous
ce prmee. IX. ap. a. Verl.o,, de la bible fane par fes ordres.
X V. 6 6 . . , 6. hemme de Ptolomee, voye^ A rsinoé
Ptolomée Evergetes deux rois d’Egypte ainfi furnommés
I 88Î^f' Ptolomée Evergete. Suppl.
Ptolomée Philopator , efpece de bâtiment dans lequel .1
failoitfes promenades fur l’eau. XVI. 218. .. Sa foeiir & fon
epoule, voye^ A rsinoé.
Ptolomée £pip4u„e, évenemens qui réfultcrent de fon
manage avec Ueopatre . fille d’Antiochus, roi de Syrie
Suppl. II. 463... ^
Ptolomée £verjri„ H , dit Ptifion. Sa conduire envers
Uéopatre fa première femme. Suppl. III. 463. b.
Ptolomée Lm4»r, ou Lathy,, , ou Sour il. Suffi. I,
265. U. Sa condiiue envers fa mere. S u ffi II. 46,. 4,
Ptolomee Aulete, l’article A ulete.
PTOLOMta (a ,« d e ) aflronome. Obfervations fur ce
ph.lofophe & fur fes ouvrages, I. 787. u. XII. ipo. 4. fon
almagefte , 1. apo. u. fon traité d’optique, XI 5,8 4 fes
ouvrages géographiques. VII. 6.0. u, 4. Erreur defes'ear-
tes fur la longitude des lieux de l'Afie. S u ffi I. ,4 ,. J, Tra-
duflion de (es ouvraps XIV. 746. u " 4, s lV o u v Z
fur la Germanie , 'VU 645. u. fes râbles allrouomiques.
S u ffi IV. paa. U. Ptolomee repréfenté avec une lunette
l u r ; f x ^ r , V : " 4 . ‘ ‘" ' “ “ ‘ “ ■ ■ s-""’ * ava„.l'mve„rio„dcs
Ptolomée , d, , ( Ajlmn. une.-) fphere de Prolom.
e. X V 454. U. Expolition de fon fyftcme , 778. 4. vol
V des planches, Aftrouomie, planche 4. CiériLde c r y l t j
dans ce fyfieme. IV. 527. u. Cercle de l’excenrrique.^vï
2.8. U. Epicycle. V. 785. 4. Faulferé de ce fyftême démoni
t ip par les nmuvemens de mercure, X. 370. 4 & par les
phénomènes de Vénus, X V I I . 3 3. J. ^ ^ P U
) tleftription <!„ quadrupède de ce
CONEpéT" *■ ^”^'1 P“™'» ‘5-
tes^’m 5 9 5 ,^0 ^ ^ ' ^ P“ “" '- " • 3 ° 9 ' P I ' " « P“ « '’
teor h ““ ' ' >'l'»l=i"'puante5 v»ycî FÉteor.
Caufede la puanteur du nez. XIII. 545. i. Voy„ Ptoais
4 !. “ v ' / ' I* tranfpirarion des ailTellesélë 240. a ,
cet Piy/ioloe.) lignes moraux qui caraflérifent
m, >' pneeedem & qui l'aceompagnenr. Ceux
xiii. 4„“' ""rr
ù h puberté plutôt que les mâles. Mais^cherTeT d"!fféraï
S v L ’ ' JilTércncc
üblervee a cct egard entre les gens de la ville & ceux de
^ pauvres. Ralfoii
^ u r q 101 les filles arrivent plutôt à cet état que les garçonc.
h 'éhm “ ‘ i ' " ” mi'“ ' la plupart des filles (ont pu bLè™re''s' à^ d i'xi ' &l’A m^fêrimquee à, neuf ans.
nrënrhë f ” " ''' " '''; . ' ’ ‘ *8' P"I>'riÉ quc le corps achevc de
prendre fon accroiflcmenr en hauteur Ibid b
P‘ l-,rtL De-fcrÿrioo de cer âge. V I I .' 560, 4 . S u ffi P.
200 O Sigrrcs fk fenfauonspa, lefquels la pnberré s'annonce
dans les hommes & dans les femmes. VIII. 258. 4 .
X I V 939. 4 . Age auquel elle arrive. VIII. 259. 1 Ac-
croilTémen. dn corps à cer âge. /4 ,L 4 , Cbangemlm qui ar-'
rive
P U D
rive aux parties fexuellcs. X V II . 327. b. D e la c<infe du
changement qui furviem à cct âge à la voix des enfans
^â les . VI. 160. a. Régime à übferver dans la puberté. XIV.
t2 . J. Exemples de jeunes gens qui ont atteint la puberté à
tro is, quatre, ou cinq ans. Suppl. I. 134, a.
Puberté, âge de ,{C riiiq.fjcr.) c’étoit l’âge du mariage
chez les Juifs. Divers palTagcs oii ce mot fe trouve. X lll.
Ç49. b. Depuis l’âge de puberté , qui éioit à treize ans &
demi, les enfans éioient réputés hommes ; & les filles parvenues
à cct âge , un .an pluiôt, étoient réputées majeures.
ibid. 3 50. a.
Pu b e r t é , {H iß. anc.) à quel âge les Romains fixoient
cette époque de la vie. Cérémonies qu’ils pratlquoicnt à cette
occafion. X lll. 530.
Puberté. Les jeunes gens qui cnrroiciit dans cct âge fc fai-
foient couper les cheveux. IV. 273-é.
PUBIS , ( Anatom. ) une des trois pieces dont les os inno-
minés font coin pofés dans les jeunes fujets. Defeription du pubis.
xm .5 5 0 . ,, .
P u b i s , os, ( Cy?t't>/o^, ) les femmes chez les Hottentots
ont une efpece de pe.m qui leur vient au-defTus de l’os pubis.
X in . 350. a. En 1743, une fille natpiit à Arra s, qui avoit une
fcmblaiile excroiiîimce que l’on coupa. Singularités übfervées
dans cette excroiffance./éit/, b.
Pubis, os. Examen de In queflion s’il fc fait un écartement de
ce.sosdansl’accüudicmciit. I. 83. a. Prolongement de rosjui-
bis dans quelques femmes. 1.814. .1.
PUB LIC, ( Lin. ) lorfque l’intéiêt jniblic fe trouve en concurrence
.avec celui de quelt[ucs particuliers , le premier doit
être préféré. Officiers chargés de v eiller à l’intérêr public. Dans
les .affaires qui iiuércffeiit le public, il faut des coneluftons du
miniflere public.Xlll. 330./’.
Pub lic, ( Z.;t/cr. ) cas qu’on doit fiire du jugement qu’il
porte fur une jùece de theatre. XI, 720. a.
Public , adj. {Morale) corruption publique. IV. i ‘j%.b.
Pu b lic , adj. {Jurifpr.) charges publiques. III. 199. b.
choies publiques. 373. b. Convention publique. IV. i6.p a.
Corvée publique. 283. a. Cri public. 462. a. Crieur public.
466. a. Crimes publics. 468. b. 470. a. Dépôt public. 863.
a. Dette public|ue. X V II . 769. a , b. Droit public. V . 133.
a. Ecriture publique. 370. b. Foi publique. V i l . 27. j . Juge
public. IX. 13. a. Puiffance publique, X lll. 338. (j,A. Seigneurie
publique. X IV . 89S. b. TcffamciKpublic.XVI.-193.
/t. Traité public. 533. Ä. Bien public , befoiiis publics, voye^;
Bien & Besoin.
PUBL1 CA IN . Deux fortes de fermiers chez les Romains ;
les uns confidérés, le.s autres méprifés. Parmi les Juifs, le
nom & la profelhon do publicain étoient en lioneur plus
eju'en aucun lieu du monde. Il y avoit plufieurs publicains
<Jans la Judée du teins de notre lauveur. XIII. 330. é.
Publicains ou Poplicains, {H iß.ecel.) branche dema-
jiichéens qui, dans le onzicme fiecle, répandirent leurs erreurs
■ en France. XIII, 331. a. Poyc^ Pauliniens.
Publicains, '{Hiß. anc.) fermiers des impôts chez'les
Romains. Cicéron en fait l'éloge, mais Tire-Live & Plutarque
n'en font pas un portrait li avamageux. Ils étoient fur-
lout en horreur chez les Juifs. XIII. 331.4».
Publicains, les chevaliers le devinrent à Rome. III. 3 11.
Loix de Néron contre les publicains. VI. 313 à.
P U B L IC A T IO N , {Juiifpr.) voyez Cri Public.
PUBLIUENNE-S, loix. IX .éôS.a.
PUCE , ( H iß.run. ) defeription & hiffoire naturelle de cet
infetRe. XIII. 331. é.
Puce, repréfemée vol. V I des planches. Regne animal ,
planche 83. Force de ces iiifeéles. Suppl. 1 1 1 , 980. a. Efpece
de puce duBréfü. III. 348. b. XI. 141. a. X V I . 403. j .
Puce , ( Botan. ) herbe à la puce, 6c herbe aux puces. VllI.
P U C E L A G E , {Conchyl.) voyc:^ PORCELAINE, monnaie
de Guinée. Efpece de pucelage nommé bitou , I, 904.
U , b. carte géographique. Suppl. 1 1 . 231, a.
PUCELLE , ( Langue fiançoife ) nos pores appelloient de
tonne foi pucclles toutes les filles. Exemples. XUI. 331. b.
PuCELLE d'O/léins, voyei A r C , {Jeanned' )
Pu c e r o n , ( Hiß. nui. ) différentes efpeces de pucerons,
tc iir defeription. Iliffoire naturelle de ces infeélcs. X Ul. 332. a.
Pucerons d’orme, efpece d'infeéles. XI. 636. b. Pucerons
qui attaquent les aibres. Suppl, l. 322. b. D e la reproduction
des pucerons. Suppl. III. 64.a.
Pucerons fa u x , iiifcCIes qui ont beaucoup de reflcniblance
îivec les pucerons. XIII. 332. a. Deux efpeces de ces iiifeCtes.
En quoi ils dirterent des pucerons. J/'irf. b.
PUCHIRI, ( Botan. ) arbre aromatique d’Amérique. XVII.
633. b.
P U CH O T ou Trombe , ( M.irine ) defeription de ce phénomène.
Crainte qu’en ont les matelots. X l l l . 332. b.
Jâjye^ Dragon, Pompe de mer , T rombe , Eschillon.
P U D E T , {Lang, latin. ) obfervations fur te verbe. VIL
587. rt.
Tome IJ.
P U 1 537
PU D EU R , {Morale) iiontc naturelle, fage & honnête.
Combien elle convient aux femmes. L’idée de la pudeur
n’cft point une chimere, un préjugé populaire , une troitv
peric des loix & de l’éducation. Sageffe de la nature eu
imprimant ce fentiment dans les femmes. XIH. 353. a. Il
eff abfiirdc de violer les regies de la pudeur dans la pmii-
lion des crimes, comme 011 en trouve des exemples chez
les Orientaux, les Japonnois , & fous le rogne de Tibere.
Il y a des pays où le phyfique de l’amour a prcfqii: une
force invincible, rattaque y eff sure , la réfiffance nulle. IbU.b.
^ Pudeur. C e qui ne feroît rien fans la nmicur devient
d’tin prix infini par elle. VII. 766. Inlpeélems établis
d-ms les gymnafes des anciens pour maintenir les jeunes
gens dans la pudeur. VII. 1019. Z>. De la rougeur que la [)u-
deur excite. XIV. 403. b. X V . 32, <i , b. La pudeur néccffaire
aux plaifirsde l'amour, X V ll.3 6 .^ . La pudeur defigncc par
le nom particulier de venu. 183.4/.
PUD IANO , {Ic/itliyol.) defeription d’un poiffon du Bréfil
auquel ona donné ce noni-XIIi. 333. b.
PU D IC IT É , {Myiliol.) les Romains en firent une déeffe,
qu’ils diffingucrent en patricienne 6c en piebeienne. Origine de
cotte diffinition, Comment clic étoit reijréfentée fur les médailles.
XIII. 3 33./..
Pudicité. Tenijîles decette divinité. X V I . 78. a. Symbole qui
la rcpréfetue.XV. 73 i. J.
PUÉRILITÉ. Apologie des peres qui parlent des puérilités
de leurs enfans. XIII. 334. a.
PUFFEN DORF , ( Samuel de) obfervations fur fes ouvrages.
X. 377. ,/. 702. ,ï. A iu ty fe de fon traité du droit
de la nature 6i des gens. V . 128. b. Sou traité de iurif-
priidcnce univcrielle. 133. a. Des devoirs de l’Iiommc &
du citoyen. Ibid. h.
PUFP'IN , ( Ornitli. ) defeription de cet oifeau. XIII.
U 4 . b. _
Puffin. Ce t oifeau repréfenté vol. V I des planches , Règne
animal, planche 30.
PU G E T , ( Pierre ) fciilj>tciir. XIV, 832. a.
PuGET , (fycan) anatomiffe. Suppl, i . 404. a.
P U G IL A T , {A n gymnajliq. ) les combatians ne fe ier-
voient d’abord que du poing. Ils s’armèrent dans la fuite d’armes
ofténlives nommées certes , & ils fe couvrirent la tête
d’une calotte appclléc amphotidc. Defeription du ceffe & de
fes différentes efpeces. Defeription du combat du pugilat, un
des plus rudes & des plus pénibles combats gymniques. Pourquoi
cet exercice étoit peu effimé. Le pugilat faifoit partie du
pancrace. XIII. 5 34. b.
Pugilat, voyc;; PANCRACE. Armes défenfives en ufage dans
le pugilat. I. 378. b.
PU G IL E , ( aIo gym/t.) athlete qui combattoit au pugilat.
Il y a des médailles qui repréfeiitcnt ces pugilcs. Les Sa-
miens pnffoient chez les Grecs pour les meilleurs pugiles.
X m . 3 3 , . . . ,
PU ÎN É , {Jivifpr. ) voye^ Par A GEUR.
PUISE.ÔUX, ( Gcegr.) obfervations fur un avcugle-né,
de Puifeaiix , qui étoitchymiffe & muficicn. Adreffe du fieiir
Barthe , organiffe de la cathédrale de Rieux , quoiqu’avcugle
de nailiance. Suppl. IV . 333.é.
PU IS SAN C E , Empire , Autorité, Pouvoir, {Synon.) I
8y8. ./. V. 382. a.
Puissance , ( AJr't.'/p/iy/. ) définition de ce mot. I. 176. a.
Puifl'aiice ou faculi.és des objets. VIII. 491. a.
Puissance, {Mèchan.) on en dilVmgue deux fortes; la
puilfancc mouvante & la puifîuncc réfiffainc. Les fix machines
fiiiiplcs font appellees du nom de puiffiance. L’aétiou
mutuelle des puiffances n’eff autre chofe que l’aftion mênfe
des corps animé.s par les vîceffes qu’elles leur donnent, ou
qu’elles tendent à leur donner. XIII. 333. b. Ainfi l’aélion
des puiffances n’eft que le produit d’un corps par fa viieffe ou
par fa force accélératrice. Théorèmes qui réfultent do cotte définition,
Ouvrage à confultcr. Ibid. 336. <?.
Pu/ffiance. Des puiffances niéchaniqiics. VII. 120. a. X.
223. a , b , 6’f. D e l’aflion d’une puiffance contre un obf-
lacle. XI. 326. b. 327. </. Puifi'ance néceffaire pour foutc-
nir un corps fur un plan incliné. VIII, 631. b. Puiffimees
concourantes & confpiraiites. III. 826. b. IV. 38. a. D e l’équilibre
.de puiffances. V . 873. a , b , 8ic. (ÿiand on dé-
compofe une puiffance, il faut obfcrver que la fomme des
puiffances compofames cil toujours plus grande que la piiif-
fance compoféc. IV. 699. b. Une puiffance étant donnée ,
déterminer le degré dent il faudra l’augmenter, pour produire
un effet donné dans un tems donné. V . 844, a. Les
puiffances de différons agens étant données , déterminer le
tems dans lequel ils prodiiiroiu un effet donné, étant jointes
cnfemble. Ibid. b. Calcul de la puiffance qui fait agir la pompe
à feu. VI. 607. b. De celle qui fait agir les pompes afpirantes.
Ibid. — Voyei FORCE & Levier.
Puissance , ( >4 m/iOT. ) explication de ce qu’on entend
par i*", a"', 3- 6c 4 ' puiffance. Expofnnt d’une puiffairce^
V V V v v ï
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