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PyiAiqtus, jcux.'LeiiT principal bur. VI. 24j. i.P r ix de poé-
fie tk de imifiquc qii’ou dilbibuoit à ccs jeux. III. 488. a , b.
XIII. 192. b.
P Y T H O N , ( Tkcolo^. ) gens animés de l’elpric de Python.
XIII. 632.*;. Ces g ens-là clialTés & punis par les rois pieux,
furent protégés par ceux qui abandonnèrent le feigneur.
S. P.Tiil diade l’eTprit de Python d’une fille de Philippes. Le
mot hébreu qu’on traduit par Python, fignifie une outre ou
s'afe de peau. Pourquoi les devins furent appelles de ce nom.
Quellion agitée entre les théologiens au fujet de l’apparition
de Samuel à S aiil, opérée par la pythonilTe d’Endor. Ibid. b.
Le P. Calmer croit que de tous les fenthnens auxquels cette
quellion a donné lieu, le mieux fondé eft celui qui établit
que Samuel apparut véritablement à Saul, non que ce fut
p.ir la force de la magie, mais par la vertu toute puiiTante
de Dieu. Comment cet interprète établit fon fentiinent.
Ouvrages à confulter. Ibid. 633. u.
Py t h o n , {M yihol.) hifioire que nous donne Paufanias
de Pythis, fils de Delphns, d’où il prétend que la fable d«
ferpent Pytlton tira fon origine. Autre tradition rapportée
par Paufanias fur l’origine de cette fable. Selon Plutarque,
tout ce que les Egyptiens contoient des combats d’Orus
contre T y p h o n , avoir été appliqué au prétendu combat
d’Apollon coiureun tyran deDelplii es. XIII. 633. é.
Python, \\iio\Tii d’Apollon liir le ferpent Python. Fête en
mémoirede cet événement. X V . 7 1 . b. Le nom de Python exprimé
par le mot Oi,dansquelquesauteursanciens. X L 297.a
PYTHON ISSE d'Endor, {^Critiq. facr.'^ trois opinions fur
riiifioire de cette pytlionifl'e. X I ll. 633. b. L'opinion la plus
railbnnable, felon l’auteur, efi celle qui établit que l’apparition
de Samuel ne fut qu’une fourberie de la part de la devi-
nerefle. Obfervations & raifonnemens qui confirment cette
opinion. Ibid. 634. a.,b.
_ Pythonijfes ventriloques. X V II . 33. b. Le nom de pytbo-
nifie exprimé par le mot Ob dans quelques auteurs anciens,
XL 297. J,
( ;
V i
54î
Q
, (Grnmm.) Articulation repréfeniée
par cette lettre. Inutilité de cette lettre
dans nn alphabet qui feroit def-
tiné à peindre les élémens de la voix
de la manière la plus fimple. XIII.
633. a. Obfervations fur ce que quelques
auteurs ont dit fur cette lettre.
Ibid. b.
Q. Obfervations fur cette articulation.
IX. 336. b. Ufage de 1’« après le q. X. 830. b. Cette
lettre fc trouve écrite quelquefois fans u. DiftinéHons que
les Latins ont niife entre le c & le q. IL 473. a , b.
Q , lettre numérale. XIII. 633. b.
Q , dan sje s noms propres des Romains. XIII. 633. h.
Q , lignification de cette lettre fur nos monnoics. XIII.
633. b.
Q , { E a it.) formation de cette lettre, XIII. 633. b.
Q U
1 " °n ' 'l''«! des beaux oifeaiix
011 IJiefil. Sa dcfcnption. XIII. 633. b.
Q U A D E S , {Géogr. MIC. ) anciens peuples de la Gcrraa-
aWourd’luii appellé en allemand, Muhren-
iund.tiiiïon-Q de ces peuples, purticuliérenient fous le reene
de Marc-Aurele. XIII. 636. «. ^
Q U A D R AG E S IM A L , {T h io l.) jelme qnacliagéfimal.
Jluandes quadragcfimales. Dimanche de la quadra^élimc.
A lu . 636. b. ^ °
Q U A D R A IN ou Q u a m a n t , {Monn. anc.) moiiuoie
ancienne. _a valeur. Injurieux fbbriquet de quodrontaria ^
Q U A D R A N SOL .M R E, {Gnomon. Jn ù q .) Divers cadrans
Iqlaircs ce rantiqiiité. L'hémicycle, dont l’iin’cntion
^ 0 '^cofe. X lI l. 636. b. L’hémifphere du cadran
dAnflaidius, Laratguec. Le plinthe ou quaireau. Le piof-
tahilloroumena. Le profparlima. Le pcllecinon. Le cône. Le
carquois. L invention des cadrans foiaires en Grecé efi attribuée
par les unsà Anaximandro, & par les autres aA irixi-
uiene.i-es cadrans foiaires paficrent de-Grece en Sicile L-ur
jmrodua.on à Rome Horloges par lefipielles on fupplcl à
I imperfcaioii des cadrans, /eid. 6 ,7 . a. Voye- C ao ran
Q U A D R A N S , i M y n n . R „ . ] \ plns^lirire “ ™oie
de cuivre, g.xccpte Ic/rvraru. D e la valeur & du poids de
cette monnoie. Ses variations en différens icins. Bains où
ie peut peuple éioit reçu pour un qnadrms. X l l i . 6 ,7 4 _
/vyi-ç Q u aDRAIN.
> (i'ü i/ rr) fon apologie des chrétiens. ï.
Q U A D R A T A R IU S , ( Littérat. ) ouvrier qui cqiiarrit de
la pienc ou ou marbre. Difîérens ouvrages pour ieiqnels on
tailloir le marbre en quarré. L’art de tailler & d’cmolover
ces pierres, s'appelloit drj XIII. 6î8. tf. ‘
Q U A D R A T IQ U E , équation, {Algebr.) ou équation du
Iccoud degre. Les equations quadratiques font ou pures &
limplcs^, ou afîeaées. XIII. O38. Méthode la plus com-
moclc ce x t ia u e les radues des équations quadratiques af-
-dccs_ y/i/sj'. b. Sur la confiruélioii des équations quadraticiiies
vq>-q (.ON.STRUCTION. ^
Q ü A D R A f lC E , {Géom.) courbe quadratrice. Quadra-
tnee de la parabole. Quadratrice de Diuoftrate. X i l l . 6-8 b. Celle de Tl'chirnbaufen. Ibid ô to a ^
q u a d r a t u r e (G .i,c r „ . ) q îi lr su ir e des figures rccmignes.
y«i.dramrc des courbes. Auteurs modernes qui fie
^S'os°xïlEÔ‘,';. U.’“'"“'"" “”‘-
Q»Wr.,"irr, moyen de quarter par approximation route
efipece de courbe. XI. 8S5. Ulage des fuites infinies pour
la miadrature des courbes. X V . 93 h *
Q u a d r a tu r e {C.dcul integral) C e qu’on entend par
meihode de quadratures. Méthodes par lcfqucl!e.s Ncwlon
a donné les intégrales algébriques de plufieurs fondionsdif-
rueiiiicncs qui contenoient des radicaux. Méthode pour iii-
i-gter toutes les ionélions raiionnelles. Ouvrages à coufiilv
A lin 'du A " ‘ T ‘ ‘ ■' fe réduit à déterminer
fontercnce on du cercle à lacir-
Nr v n l .Ô,r.; V , ‘’'" « ’"■ '■ 'f l'i"'l>oinbiliii de le trouver.
thode t'niir^ ' qu On ne poiivoit trouver une mél
’ï ï f '- V\"'' ' quelconque de
7Anl U ^ iJUitulé, h t j l L des
q u a
rcchmhts fur la ritiadramn du. ardc. XIII. 610 b Le ran.
port du diametre à la circonférence trouvé p” approximation,
par y e l l ,mede, & par Ludolphe d / c = . , ! e r ô r a
c c 'r tS n e V f e ü f ' V • principalement en employant
certaines ferics qui donnent la quadrature approchée du cer-
c le , par une progrellion de termes. Nous avons deux fuiras
nfimes qui exprune,U la raifon de la circonférence au diamètre,
quoique d une maniéré indéfinie. Maniéré de trouver
chacune de ces fériés par le calcul intégral. K d . 640 “
Quadra,u n de u r d i, rétleXioii fur ce fujet. H. g , , „
Seppl. I. 385. a b. Principe d'où Arcliimede eft parti pour
eiKreher la quadrature du ce,d e. III. 463 Foyer Q u a L r
Quadrature^ de. luuules , .roiivée for Hîppociu'eTië Ô L
modernes ont trouvé la quadrature
Ïd ie df. cê 1 M ■* ''»■ »"■ é, ludépeudiuumeni de
ccl e du cercle. Nouvelle manière de quarver les parties de
la lunule trouvée par M. le marquis de fHöpltal. X i l l
040. b. L unule.
Quadrature de ldPtpfe, on n’en a point trouvé encore la
quadmttire exacBe ; ferle à laquelle on a recours. XIII.
Quadrature de la parabole, mé.ltode pour trouver cette
quadrature. XIII. 640. b.
Quadrature de L’hyperbole, maniéré de quarrer l'hyperbole
entre les afymptotcs, fuivant la méthode de Mercator. X llI .
041. rf.— f Hyp e r b o le .
Quadrature de la cycloïde. Voye^ C y c lOiDE.
Quadrature de la logarithmique. XIII. 641. a.
Quadrature de toutes les courbes de De.fcartes , exprimée
par 1 équation, : x- :: b ~ x : y. XIII. 641. '
Quadtature de toutes gcncraU.y tn v' { x ^ a ) les courbes comprifes foUs Véquation X I I I ,6 4 i. b. ^
Q u a d r a tu r e r/c-/.Z lune, {Aßron.) le mouvement de la
lune retarde, lorfqu’eüe avance des luigies vers la quadrature
; ce qui fm que l’ovbite de la lune efi plus convexe
toutes cnolcs d'ailleurs égaies, à l'es quadratures qu’à fes fi-
zigies. Lorlque la lune ell aux quadratures, les apfidcs de
fou orbite loin retrogrades. XIII. 641. b. Son excentricité
eft la plus grande , quaud U ligne des apfides eft aux llz'-
gies. Gaule de toutes ces inégalités. Ibid. 642. a.
Quadrature de Iß J u n e , fa pefanteur augmentée dans cet
mafipe ebÿi jjaeuth olno.leil. X V . 782. a.^F oye:^ quartiers & dichotoQ
U A D R IG A , {Chtrur.) bandage pour les fraélures ou
luxations des côtes, des vericbres, des clavieuies, du fter-
mini. On l’appelle catraphraRe, voye^ cc mot. Glusû de c*
bandage d.ins le premier appareil de l ’amputation d'une mamelle
ciinccrciile. XIII. 642.,!.
Q U A D R IG A Tl , {Monn. de Rome.) premiers deniers
d argent qui lurent tu.ts à Rome. Leur v.,Uur ec leur empreinte.
X l i l . 642 a.
Q U A D R IG E , ( Agonißiqiic ) cliar à qiirtre chevaux, avec
lequel on difpucoit lepiix aux jeux de 1 ., Grcee 6c üe Rome.
Moniimens antiques lur Iclquels on en trouve la forme
A l l l 642. a. Dülcnption des quadriges. R.ipidiic de leur
courfe Inventeur de ces chars. Périls auxqucli. on s’e.xpofoit
dans leur comic. Ibid. b. A Rome dans le grand cirque on
donnoit en un jour le fpeaacic de cent quadriges. )bid.
Q U A D R IL A T E R E , ( Géom. ) différentes fortes de figures
quadrilatères. X lli. 642, a. ®
Q U A D R IL L E , {fête galante) dernier diveniffement de
ce genre quon ait vu en France. X lil. 643 a.
Quadrille, terme ufité dans les ballets. Ü, 44.
, quadrille à trois. X u de quadrille.
Deknption de ces jeux. XÜL 643. b. Q.tadrillc .avec
le médiateur fans couleur favorite. Itid. 6a < a
Q U A D R U P E D E , {H iß. nat.) Les quadnipedcs four les
moms nombreux des nniiiiaux. O h en a compté, jufciu’à
deux cens loixunte-une el'pcccs. Obfeiw-,tiens fur la diftri-
bution méthodique des quadrupèdes par Arulcte. Expofition
ÿ la méthode de Rai, XIII. 643. b. & de celle de Klein. Ibid. 646. b.
Quadrupèdes, divlfion .le la claffe des quadrujiedes par M
Klein. X . 458. é. Fondement des divifionsque M. Lmna'u-, chd
faites. 439. rf, b. Allure ordinaire des animaux de ceuc d iire
m . 305 é.D o leurs oreilles, XI. 6 ,3 . é. Je leur v o ; s . \ l n
4 3 3 - b. Les plus gi.tmls tte font ptis frugivores. Suppl. I . .Q ■ '
l'iandtcs des t|uttJru]icJes tut nombre de leire d .in s r ? ,;'!'
VI. Quadrupèdes ovip.tres, ,ï,4 . Regne animal, platuï.
Moyen de conlerver les corps des quadrupèdes d'I.ne vrardc
tatlle, & quon veut faire amver fans altération dais de,
pays eioijncs. iuppl. IV . iiq . b.
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