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fav-ans & fur leurs ouvrages. Sur Marie To uchct,née à
Orléans, iiiaîtren'c de Charles iX. Ibi-!- é.
O ku ans , ( ) ûblervatioii^Aiv quelques favansorléanois
dont il n’eft pas parlé dniisi’E iicydopédie. Robert-/ofeph
Potier, juriicoiiùilto. M. dcGuienue, avocat au parlcmeiic.
M. Beauvais, aiiiiqiiaire. Suppl. IV. 1S4. u.
Orlé.ins, canal d’Orléans. 1 1 . 583. <j. Vin d'Orléans. XVII.
1 9 1. a. Crèncion pour le duc d'Orléans d'un chancelier Se
autres officiers, lll. 100. *r. 103. b. Armes du due d'Orléans,
vol. II. des planch. Blaibn, pi. itH. ])rivilcges particuliers au.x
évêques d'Orléans. VI. 143. b. V il. 803. b.
O U LÉ ANS , Ij nouvcUi ( Gi'ogr. ) XI. 632. é.
O klÉan.s, {^Jeanne d'Are ^ dite lu pucelle d") vo ye z A llC ,
{U,ru,c d‘).
O rléa.ns, Philippe, petit fils de France, duc d’Orlcans,
régent du royaume, l'oyc^ Philippe.
OR.ME, [Boi.}ri.) caraéleres de ce genre de plante. Lieux
où cet arbre croit. XI. 652. é. Sa dcfcripiion. Obl'crvatioiis lut'
l'on bois.Terreins qui lui conviennent. Détails l'ur les maniérés
de le multiplier. Ibid. 633. a, h. De la tr.inl'phmtalion & de la
taille de l'orme. D e la dillance qu’on doit donner aux ormes
pour les aligiicmens. Ibid. 63.4. a. Dlvcrl'es obCervatlon.s fur
cette forte d’aibrc. RelToiircc qu’on en tire pour la décoration
des jardins. Qualités & iifages de fou bois. Utilité qii’oii
peut tirer des feuilles. Ibid. b. Différentes efpcces d’orme.
Ibid. 633- û.
O rme , ( Bot. Jurd'n.') fes noms en différentes langues, Son
caraélerc génétique. Enumération de lix cfpcccs d'orme.S’;//’/^/.
IV . 183. Leurs variolés, Cuinire, propriétés 6c ufages de
cet arbre. Ibid. b.
0 -rnc, obfcrvations fur fes racines. XIII. -j^C.b. CulitiK;
des ormes en pé|)iiiiere. X ll. 323. a.
OiKt>ïE, féco/idué de r {Fh)jLo-Bof.!ri.) obfervation générale
fur la fécondité des pl.mtcs. Calculs fur la fécondité de
rorme en fait de graines. Petits embryons de brandies dont
tout le tronc eff plein jufqu’à la naUlance des branches. XI.
63 3. i. Calcul immenfc fur le', germes contenus dans un feiil
arbre, & renfermés les uns dans les autres. Ibid. 636. a.
Orme, vejjîe d' ( Hijl. n.it. ) tiibérolité formée fur la feuille
de cet arbre, par la piqmire d’un infeélc. Détails fur ces vcf-
fic s , tirés des obfervations de M.ilplghi & de M Geoffroi.
Venu s attribuées à l’eau de veffie d’orme. XI. 636. u. Obfcr-
vatrons fur les infeéfes qu’on trouve dans cette veffie , Sc fur
les moucherons qui fe forment de ces infeéles, appelles pucc-
tons d’orme. Ibid. b.
Orme , {Mut. mcdic.) propriétés de la décofllon des feuille
s , de l’écorce &. des racines d’orme. Qualité de la fiib-
fl.mce balfamique trouvée dansles veffies d’orme. XI. 636. u.
O rme. {Juge foiu 1’) IX. 14. b.
ORMESSO.X,( Géogr.) paroiffe & château dans le Gâti-
nnis françois. Obfervatious fur Olivier le Fevre d'Ormeff'on.
Suppl. IV. i8d. U.
D RM ü S , {Géogr.) petite iffe d’Affc. Chaleur exceffive
qui y régné. Souverains à qui clic a appartenu. XI, 636. i.
Ormus, {Géogr.) ville d’A fiCjà l’entrée du golfe perfi-
que. Obfervations Iiifforiqucs fur cette ville. Agrcmens qu’elle
offroic aux etrangers qui venoient y commercer. XI, 636. u.
Oimusy difféicncc remarquable entre la mer d’Ornuis &
celle du cap de Rofalgate. V l l . 32a. b. Chaleur du climat
d’Ormus. XVII. 733. U.
O RN AN S , ( Gt'jgr. ) ville de la Franche-Comté. Puits
fmgullcr aivprés d’Ornans. Autres ciiriofités naturelles qu’on
trouve dans Ton bailliage. Suppl. IV. 186. b.
O RNEM ENT, ( Grumm.) le grand principe , c’eft que les
parties cffenticlles & principales fe tournent en ornemens.
k l . 637. K.
O rnemens funèbres ,{Litt.)çtn\-;i àcs anciens défignés par
le mot hTuçitv. Effigie d’Alexandre que donna Ptolomée ,
accompagnée de divers ornemens. Manteau qu’Apollodorc
apporta à Socrate dans fa prifon, afin qu'il ne fût pas privé
des ornemens funèbres. XI. 637. a.
O rnement des armes, ( Hijl. milit. ) ceux des cafques. XI.
637. a. Ceux de la cuiraffe. Eperons d’or ou d’argent. Armoiries
fur le bouclier. Ornemens à la mode aujourd’lriii. Ibid. b.
■ O rnement, ( Archit. & Sculpt. ) ornement de coins. Orne-
mens de relief. Ornemens en creux. Ornemens maritimes.
D e la corrupiion du goût en fait d’ornemens d'architeéiure.
XI. 637. é. Ornemens d’architcélurc, règles à obfcrver fur leur com-
pofiiion. I. 182. a. Ornemens arabcfqiies. 36p. b. Comment
les ornemens doivent être ménagés dans les clifférens ouvrages
de l’arc. Suppl. II. 910. b. 91 1 . b.
O rnement, {Peiniur.) dépravation du goût en peinture
comme eu archltcélure. XI. 637. b.
Ornrrocnr, draperies St autres objets accelToires dans la
compofition d’un tableau. III. 773. b.
Orne,MENS, dijl’-iburion d’ {A/ckit. Décor.) XI. 637. b.
O rnemens, {Hydrauluj.) XI, 637. b,
O k NEM£NT, (.ff/j/èn) XI. 638.*;.
O R P
ORNITHOL ITE S , (//ly?. HÆ/. ) forte de pétrificationi.
Comment il eft aifé d'y être trompé. XI. 638. a.
ORN ITH OLOG IE , nw..) partie de l'Iuffoiré naturelle
([ui tiaitedesoUeaiix.ObjctsquVlle doitcmbraffcr.Hilloire
des progrès que les naturaliiles ont faits dans cette partie.
Ornithologie d’Ariilotc. Suppl. IV, 186. b. Celle de Pline.
Cette fcience ab,mdonnée enfiiite , n'a commencé à fortir de
l’oubli qu’au milieu du feizieme iieele. Travaux des phyfi-
ciens modernes pour la pcrfeflionncr Sc l’étendre. Ibid. 187. a.
O RN ITH O LO GU E , ou 0 /nitlwlogiile , {Hiß. nat.) émi-
mération de pliilieurs auteur» en ce genre , avec l'indication
de leurs ouvrages. Poyci eu même tsiiis le mot Oiseau. X L
638. ./.
O RN ITH OM AN C IE , (D ™ / . ) o i r c a u x dont on conful-
tolt le cri. Ceux dont on ne confultoit que le vol. XI. 638,
b. Vers de Pacuvefurles devins qui confiiltoiem le vol ou
le cri des oifeaux. Selon Montaigne , de toutes les prèdi-
élions, les plus certaines font celles qui fe tirent du vol des
oifeaux. Virgile , meilleur phyffeien , n’attribue qu’à la diver-
fité de l’air les changemens réglés du mouvement des ailes.
Vers des Géorgiques fur ce fujer. Ibid. 639. a.
O R N ITO PO D E , {Botun.) lix efpecos de cette plante.
Deferiptiou de la grande ornithopode. XL 639. d. Lieux où
elle croît. Ibid. b.
O R O B A N CH E ,( 5 ofdrt.) caraéleres de ce genre de plante;
Principale cfpece d’orobanche. XI. 639. b.
O RÜBE , {Botun.) caraileres de ce genre de plante. X L
639. b. Ses efpeccs. Defeription de la principale. Lieux où
elle croit. Üfage auquel onl’cuiplo'ie. Orobe deCandie. Orobe
fiiuvage. Propriétés & ufage en médecine de la l'eineiice
d'orobe. Ibid. 660. a.
O R O D E , {Hiß. anc.) roi des Paitlies, fucceffeur de
Miihiidatc. Se', guerres avec les Romains. Suppl. IV. 187. b.
Fin inalheureufe de fou regne -Sc de fa vie. Ib^d. b. V o y ez
Suppl. IV . 849. b.
OROPE , ( Géogr. anc. ) plufieurs villes de ce nom. Oi'f>pe
en Béütie. Diverfes obfervations hlfforiques fur cette ville.
Sou état aéluel. XI. 660. b.
Oiope, aujourd'hui R o p o , petit village. X IV . 361, a.
ÜROSE , {P.U1I) .prêtre de Tarragone. XV. 917. .a.
O ROSM AD E ÖC ARI.MANE, {Philofoph. orient.) principes
du mal & du bien félon les anciens mages : origine de
cette doélrine. X. 22. a, b. XII. 423. 7.
O RPAIL LEURS, {A n s) en quoi confifle'leur travail.
b llP H E , {Ichthyol.) defeription de ce poiffon de mer.'
XI, 661. a.
O R PH É E , {M yth. Hiß. L in.) effets merveilleux attribués
à la mélodie de ce poète & rmificien. Précis de ce que
quelques auteurs grecs nous ont'confervé d’hiftorique fur
Orphée. XI. 661. U. Divers fentimens fur fa mort. Obfervations
fur fes pocfies. Ouvrages à confulter fur Orphée.
Ibid. b. Examen du fenciment qui révoque en doute fi Orphée
a jamais exiftè. Ibid. 662, u. Vie orphique. Voye:^ O rphique.
Oiphée, Ififtoire de ce légiflateur ik muficien. VII. 90Ö.
a, b. 907. il, b. Refus qu’il fît d’entrer dans la lice pour le
prix de la pocfie. VIII. 397. a. Effets merveilleux de fa lyre
& de fon chant. IX. 779. k. XV II .72 3 . i. Lieu oii il mourut
de regret fur la perte de fa femme. Suppl. I. 479. b. Le
pouvoir de la mufique dépeint dans l’hiftoire d’Orphée. X .
903. b. Genre de vie établi par Orphée. I. 44. a. XI. 663.
a , é. Ce philofophe fit fentir aux hommes l’inliimlanité de
l’antropophagie. I. 498. b. C'eft de lui que vint l’idée des
champs élifées & ffii tartare. V . 670. b. 6 ji. b. Symbole
myftérieux appelle oeuf d’Orphée. XI. 410. b. Orphée inventeur
de la magic théurgique. XVI. 278. b. Hymnes d’Orphée.
VIII. 393. a. 396. a , b. 503. b. 304. a. 732. a. XI, 786. a.
Fragment de théogonie d’Orphée. VIII. 302. i. D ’un Orphée
repréfenté jouant d’un inftruinent qui reffemble à notre violon.
Suppl. III. G lj.b. Puye^ ORPHIQUE.
ORPH ELIN, ( Gram/ti. 6' Antitj. grecq.) foin particulier
qu’on prenoit à Atlienes des enfans dont les peres avoient
été tués à la guerre. Belle formule dont le héraut fe fervoie
pour les renvoyer dans leurs maifons, lorfqu’ils avoient
atteint l’àgc d’nuolcfcence. XI. 661. a.
O rphelins, {Hiß. arc.) ceux qui ctoient élevés dans
Athènes aux dépens de l’état. VIL 369. a. XIII 838. Zi.
ORPH EON, ( Mufiq. ) defeription de cet in finiment, vol.
V . des planch. Lutherie.
ORPHIES, {Pêche) manierede faire la pèche de ce poiffon
à la ligne & ,à pié. XI. 662. b.
O rphies , ( /c/n/jyo/. )pêdie de ce poiffon. V. 433. i. V L
4 1 1. a , b. vol. V I l l des planch. Pêche, pl. 1 3 & 16.
ORPHILIERES, ou huranguiercs , {Pêche) filets qui fervent
à la pêche des orphies & des iiarangs. Leur defeription.
Maniéré dont on pêche encore les orpines au feu & pendant
la nuit, avec le dard ou la 'fouaiinc. XL 662, b.
ORPHIQUES & ORPHÉES, {Linér. & H iß.) poèmes
orpliiques ou attribués à Orphée. Le recueil le plus complet
il
O R S pJèt de ces poèmes n’a paru qu’en 1764. Pièces l'cnfcrmies
dans cc recueil. Obfervations fur les principales, l'avoir,les
Argonniitiqncs, poème fur l’expédition des argonautes.
IV . i^y.b.ïuts hymnes qui font les invocations que le lâcri-
ficaieur prononçoit au moment qu’il répandait l'encens fur
l ’autel allumé. Ibid. 188. a. Un poeine fur les propriétés des
pierres piccieufcs. Des fragmens recueillis des écrits de divers
auteurs anciens. Ces difiéieiis ouvrages regardés comme f'up-
polés. On n’en doit pas conclure cependant avec Aiillote
qu’Oi phée ne foil qu’un pevfonnagc imaginaire. Ibid. b. D ifférentes
conlldèntions qui prouvent qu’il n réellement cxillé.
Obfervations fur fon rom Ck fur le lieu tie fa nailî'ance. Ses
voyages en Egypte. Ibtd. 189. a. Cniife de l’erreur d’Ariffote
fur l'exillence d Orphée. Dos fables p.ir Icfqnclles on a voulu
iliullrcr fcMt hillüirc. Ex))licaiion de fa delcente aux eufers.
Sou abffinence du vin. Obfervacioiis f'ur fa mort. Ibid. b. Du
icms oil il a vécu. Son voyage en Colcliide. Ibid. 190. a.
O lxPH iQ U E , vie {Lit:-} lotte de vie pure, religieufe ,
6c dour une des pratiques eonfiüoit à ne point ui.mggr la
chair des uninuiix. Orphée célébré par les poètes comme
ayant adouci les meenns féroces des hommes. Platon dit que
les .anciens Grecs n’auroient pas o(é tuer un boeuf, et. ne
lacvliioi.-ni point d'animaux aux dieux. Origine de In vie
orphique. Pourquoi ce genre de vie fut appelié dv cc nom.
Rvprociie que fait I héféc à Hippollte de cacher fous les apparences
de moeurs nufteres un coeur criurinel. Trois points qui
confliuicient la vie orphique. Les livres d’Orphée cirés par tous
les anciens auteurs. Xi. 663. a. Peinture allégorique <le la \ ie
ürjihiqucau comincucemeiu de l'Hippolired’Eiinpide. Ibid. b. ■
Oiphiqiie, vie. Son origine : en quoi elle conflltoit. I. 44. u.
O r ph iq u e s , u..j. ( Z,.n/. ) pourquoi les orgies de B.icduis
•furent appellees orphiques. X i. 663. b.
ORPIMENT , {M'.nêt.ilog.) lieux oii l’on trouve cette
fubfhmce minéialc. En quoi 1 orpiment naturel difi'cre de l’or-
pimciK faélice. Ufage que lespciiurcs font du premier. XI.
663. b. 1/orpimcm eion le fcul arfciiic que coninni'.nt les
anciens. Supplément ù l'anide A rsenic du premier volume de
l’Encyclopédie. Propriétés8ccaraêlcres de l’nricnic. Différentes
formes fous IcfqueJles il fe trouve dans la terre, ibtd. 664. a.
C e l l l’arfenic. auffi-bicn que le f'ouf'ro , qui fait pre.ulre aux
-métaux dans les nrincs des forir.es touc-à-tàit étrangères. C e lt
;i lui que font ducs eu partie les fuueftcs etleis des exlui-
lailons minéral s. Comment 011 fopare l'arl'enic des fiibllan-
ves auxquelles il 'e ll joint. Formation de l'arfenic appelié
cryjîullin. Ibtd. />. M.micre de faire de l'arfenic jaune ou
faétice, 6c de l’arfenic rouge. ConibinaÜon de cccte fubflance
avec le lotitie , avec les métaux. Comment on fait ce qu'on
appelle aimant d'arjenic: fon ufage 6c fes propriétés. Pyro-
pliore fait avec l’arfenic 6c d’autres lugrédieiis. Eiiài par lequel
on .s’afi'ure fi une fiibüance contient de l’arfenic. Comment
on réduit la cliaux d’arlenic. Moyen d’effayer une mine d'ar-
fenic dans un vnilfeau ouvert. 663. a. Celui de fépa-
rer le foiifre d’avec rarfenlc dans l’orpiment. Detonation du
régule d’arfeuic avec le nitre. Aricnic fixé. Beurre cl'arfemc.
Foie de loufre arfenical, ou encre de fympathie. Moyen de
connoiire par ccue liqueur, le vin frelaié avec la litharge.
Dépil.atüire fait avec l’orpiment 6c la chaux vive. Prccan-
lions avec lefquclles il faut traiter 6c euqiloyer l’arl'enic.
Symptômes qu’éprouveut ceux qui ont été empoilonnés par
de l’arl'enic. Ibid. b. Antidotes contre l’arfenic. Caule des
maladies 6c de la décrépitude prématurée des ouvriers qui
iravaillcn: aux mines. Ibid. 666. a.
Oipiment. "V. 634. a. XV II . 694. b. Caligula a tâché de
tirer de l’or de cette lubffancc. i. 249. a. Différentes fortes
d’orpiment naturel. Lieux où on le trouve. Ses iilages. Suppl.
L 380. a, b. Matières dont il paroïc compofé. 382. b. il y
auroit de l'imprudence à le faire prendre iinérieuremcnr. Ilnd.
Orpimem des Indes orientales nommes 1 uty-pundoc , XIV.
449. a. 6c raulac. X V . 938. a. Difféience entre l'orpiment
naturel 6c l’arfenic jaune, fadice. Suppl. I. 382. b.
O RPIN, {Botun.) caractères de ce genre de plante. Ses
efpcces. Defeription de la ])Iiis commune. En quoi l'orpin
clifiere de la joubarbe. Lieux où il croit. XL 666. a.
Grp//r, cfpece d’orpin appellee racine de Rhodes. X !11.747.,ï .
O r p in , {Mut. medic.) ufages extérieurs du cette plante.
Eau diflillée d'orpin. XI. 666. b.
O r p in -r ü s e , {sMat. méJic.) propriétés 5 c ufage extérieur
dû la racine de cette plante. XI. 666. b.
ORSEILLE, ( Teinture ) ef'pece de pâte , qui délayée »fournit
un grand nombre de nuances. Orluille de terre, 5 c orfeille
tl lierbe : celle-ci préférée à rauti c. Comment fe font ces deux
fortes d'oifclile. Manières de les employer. X 1 . 6 6 6 . EObl'er-
vaiioivs liu le peu de ténacité de cette teinture. Couleurs
quelle donne felon diiî'éicnu's ptéparatious. Moyen de don-
net avec 1 orfeille d'iicrbe on des Canaries une belle couleur
bleue 6c rres-lolidc au marbre blanc. Avantages de cette
couleur. Obfcrvatiun fur la qualité plus friable 6c plus tendre
ijuehe donne au imnbrc. lb,d. 667. a.
O'/n//«,ingrédient pourlaieimure,XVI.i2.4,Son iiface,26.j. Tome II. ^ ”
O R T 3 4 9
ancienne de rEiniric. Suppl. IV.
190. ./.Son origine, fes difierens noms. Obfervations liiffo-
riques fur ce lieu, La fameiifc Proba Faltonia Hortina a fait
liqnneur à fa patrie au miatricine lîccle par fes poéfies. S.
Callieii paroit en avoir été évêque fous Jovien. Ibid. b.
O R T E IL , {A nal.) os féfamoïde du gros orteil. I. 243. b.
Extenfeiirs 6c ffcchiffeurs des orteils, voyei^ ces mots. Excroif-
lances cornues formées aux extrémités des orteils. IV. 246.
b. Obfervations ftir quelques maladies de l’ongle du gros
orteil. XI. 479. a. 480. a b . XIU. 546. b. Jeux dc la nature
fur 1 CS orteils, Suppl. 1 1 1 , 533../.
O R T E L SBO U R G , ( Gtvgr. ) ville dc Piuffe. Son cliâteau.
Son bailliage. Caiifesqulla rendent floriffante. Suppl. IV. 190./’.
()RTENAU , {Géogr.) contrée d’Allemagne en Soiiabe.
Obfervations fur le bailliage 6c le canton d'Ortenati. Sun-!.
IV'. 190. b.
^-^XÉLNBOL'R , ( Gâ>gr. ) état immédiat du Saint-Empire,
fitué dans I.a Bavière intcrieiire. Religion du pays. Rang de
fes comtes aux diètes. Suppl. IV. 191. a.
riK THEZmi ürtez , ( Gcbgr. ) ville du Béarn. Sa population.
C. cfl do ccue ville qu'étoic le vicomte de la Braue ,
comimndam de Bayonne eu 1372.53 réponfe à Charles IX,
fur l'ordre qu’il en avoir reçu d’exécuter le uraffacrc dc la
S. Barchclcmi. Autres commandeius 6c gouverneurs qui imitèrent
f'a modération. Suppl. IV. 191, j .
OnTHL7. , {Le viromie d') refuie cIc prêter fon miniffere
pour le mafiacre dc la S. B.irthelcmi. V. 1004. a.
O R F IIiEN N E , ou O rthî.a , {Myihol.) pourquoi l’on
donna cc f'iirnom à la Diane de Lacédémone. Cérémonies
pratiquées devant l’aiitc-l de cette déell'e. XI. 667. b.
^ DR rH O C £ R A T IT £ ,( Hül.nat. ) forte de coquilles pétrifiée,
dont l’analogue vivant nous eff inconmi. XL 667. b. S.i
dçlcripnnn. M.arhres dans lefquels elle fe rroiive. Tiuis
efpocts d’onhocératites. Ibtd. üto. a.
Orihocérutitcs, repréfcncécs vol. VI. des planch. Coquilles
füfHles, planch, 8.
O K I H O D OX IE , ( Théolûg. ) pureté de doflrine. Fête
de ce nom dans l’églilé grecque. XL 668. a.
ORTHOGR.A.PHE, é tymologie du mot. XI. 668. a. Qiioi-
quil n’y ait qu un fcul lyffême de principes pour peùuire
la parole , qui foit le meilleur , cependant ou donne ie nom
(iort/iogruphe à tous les fyffcmcs d’écriture que diiVéreus
auteurs ont publiés. Mais on n’iionorc pas de ce nom Li
manière d’écrire des gens non inllruits.
Des curaêîeres auxquels on doit dijlingucr le fcul fyjlcme d'or~
thographe admifible. Ü ’oii vient la néceffité de ne reconnoitre
dans les langues que les décifions de l'inage, Pourquoi
l’écriture eff dans le même cas. Ibid. b. C ’eft une préicntioii
chimérique que de vouloir mener l’écriture parallèlement
avec la parole : c’ell vouloir donner de la mobilité aux choies
clTemiellemenr permanentes, 5 c de la fiabilité à celL-s
qui font cflentiellement variables. Avantages qui nous reviennent
dc cc que l’orthograplie eff moins fujette que la voi.x
a fubir des thangemcMis de forme. Ibtd. 669. </. La fixité
de rorthograpjic facilite la connoiffaiicc des étymologies.
L on doit regarder les articulations comme la partie effen-
tielio des langues, 6c les confonnes comme la partie eiRn-
ticlle de l’orthographe. Précis de deux ouvrages où Je néo-
grnpUif'mc ci't attaqué. Le traité dogmatique de l’orihographe
le div ik eu lexicographie 6c logographie. Ibid. b. Autre mé<
thode imliqtiée. Oolervations fur ces deux méthodes. Moyen
de tirer de l’Encydopcdie les siatériaux ncceffiiires pour former
un traite d’orthographe françoife. Ibid. 670. a.
Oniiograpnc. De la différence entre la prononciation 5 c
l’orthographe. 1. 296. a. IV . 962. a. V . 183. ^.639 ,w.Xl.
94. Les lettres inutiles dans l’orthographe ne changent
pas lu nature du l'on fimple. V . 183. b. Regies d’orthographe
françoU'e. Suppl. lU. 130. b. Regie qu’oii doit f'niVre
liir l'orthograplve dans un diéiionnaire. IV'. 9Ó2. a. D e la
réforme de notre orthographe. Ibid. b. V, 639, a. Plan d’an
traité d’orthographe. V l l . 843. a , b. Manière d'écrire nouvelle
8c contraire à l’orthographe reçue. XL 93. a , b. 94. a.
O R TH O G R A PH IE , {Perjpeâivc) art dc reprefencer la
pai lle antérieure d'un objet. Etymologie du mot. XI. 670. a.
O rthographie, {Archis.) plan ou deffm d'un bâtiment,
Orthographie externe 6c interne. Xl. 670. a. Comment
on décrit l’orthographie externe d’un bâtiment./ôte/, b.
Orthogr,iphie. En quoi elle différé dc I’iclmographie 8c de
la fccnograpliic. XIV. 75 3. a.
O R TH O G R A PH IQ U E , { Jfron.) projeéfion orthographique
de la fphere. Etymologie du mot. X L 670. b.
Orthographique , projeêlion. XiII. 44O. a.
O rthographique , adj. {Pei/peêliv. ) X I .670.Z>.
O R TH O LO G IE , ( Gramm. ) le corps entier des obfervations
grammaiicales divlfé en deux claffcs , défignées par
les noms d’onhologïe 8c d’ortographe, XI. 670. b. Sur l’oriho-
loglc, voycq^ Gr-^mmaire.
Onhologie. Dillribution 5 c plan d’un traité fur cette partie
dc la grammaire. V II . 843. n , i , 6cc.
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