R1 . 814 T R U T S î
. j ;
r
fations des bergers par rapport aux laines. Précaution à
prendre avant la tonte. Comment on peut connoitre la qualité
des laines eu les voyant fur le corps de l’animal IhiJ. t>.
T R O U P IA L , ( Ornitk. ) oüeaii du Mexique. Sapfl. I.
ISO. b.
TROU SSE AU , ( nrme de Fondeur ) X V I . 718. o.
T rousseau , ( tirmed'onden Monuoy.t^e ) c’etoit lorl'qu'on
monnoyoit au marteau , le coin oîi étoit l’empreinte de
l’elHqic. X VI. 718. <1. M.iniere dont ou en faifoit uiage. Ibid. b.
T rousseau, ( Linger. ) linge que le pere de la mere
donnent à leur fille en la mariant. S'up/’A III. 753. b.
TROUSSURE gabicnne , ( ü/teVj;. ) VII. 413. b.
T R O U V E R , , ( Aynti/i. ) difterences entre ces
mots. X V I. 718. b.
'ïn.O'üW.K , Découvrir, ( 5y«o/i. ) IV . 706. b.
TROUVERE, Proveiiçale) voyc^ T kOUBADOUR.
Les trouveies compofoient les chanfons , & les clunteres les
cliaatoient. Ils s’aiîembloient & alloienc dans les châteaux ,
ikc. Souvent aulfi ils recitoient des contes qu’ils avoicnc
compofés , & qu’ils appelloicnt/ùW/nn.-v. X V I . 718. b.
T R O Y ,{Jeon-Frartçois de) peintre. V . 322. b.
T R O Y E S , {Géogr.) ville de France en Champagne. Sa
defeription. Son commerce. Produftions de fon terroir. Son
évéché. Origine du nom de Troyes. Hifioire de cette ville.
Obfervatlons lur les hommes de lettres qui y l'ont nés.
Salomon Jarcln ou Jarhi, autrement nommé Ifiaacites, ra-
bin célébré du douzième fiede. X V I . 719. j . Nicolas Caul-
fin , jéluite & conf'efi'cur de Louis XIU. Charles le Con ue,
prêtre de l’Oratoire. Nicolas Henrion. Euflaclte le Noble.
Jbid. b. Jean Paflerat. Pierre & François Pithou. L'abbé
Boutard. Ibid. 720. a.
Troyes , grands jours de. VIII. 894. b.
T royes , blanc de ( Arts ) blanc d'Orléans , blanc (TEf-
pagne , &cc. Détails infiriiflifs fur la nature, la préparation ,
&. les ut'ages du blanc , (k lur-tout de celui qui le foie à
T r o y e s , & de celui qu’on prépare à Levereau , village à
neuf lieues d'Orléans, que l’aiiieur compare cnfemble. Lieu
où fe trouve la m.-uiere du blanc de Troyes. X V I. 720. E
T R U A N D , ( J.ang./ranç. ) Truand, Truande, Truander,
Truandaille. Significations & origine de ces mots. X V I . 722.
k. Foyei T rUS.
T R U B L E , ou Trouble, ( Pêche ) voycç Ét iqu et t e . D e feription
de ce filet de pécheur. Son ul'age. — la trentième
pbneh. de pèche, vol. V l l l .
TR U CH EM EN T , ( ifij? . rom. ) les gouverneurs de province
, quoique inllruits dans la langue Grecque , avoient
toujours avec eux un truchement, même dans les provinces
où on parloit Grec , parce qu’il leur étoit défendu de
parler une autre langue que k latine. X V I . 723. a.
TR U C H E T , {Jean ) célébré méch.aniden. IX. 778. a.
TRU'CHSES, {U ijl.m o d .) l'une des quatre anciennes
principales cliarges de Umpire de Conllantinople , & de
celui d’ALemagne. Foiidion de l'archi-truchfes en A lle magne,
au couronnement de l’empereur. Mailbns éledora-
les qui ont polî'édé cette charge. X V I . 723. a. Voye^ A r -
CHIDAPIFER.
TR U F hE , ( Bot.) caradere de ce genre déplanté. X V I .
723. b. Extrait d’un mémoire de M. Geoffroi fur la nature
des trufl'es. Defeription de cette plante. Il ne paroit pas que
les anciens aient connu notre truffe. Extrait de ce qu’ils
ont écrit de celles dont ils faifoient ulagc. 724. <j. Dif-
férens lieux où croiffent celles d'Europe. Comment on doit
les chercher. Saifon de l’année où l'on cueille les truffes
blanches. Defeription de ces truft'es. Végétation de cette
plante. Ibid. b. Saifon de l’année où l’on touille les bonnes
truffes. Efpece de ver qui s'y attache. Petits infocles qui les
rongent./iid.725. a. La terre qui produit la truffe neporte point
d'autre plante au-delî'iis de la trufi'iere. Caraéleres auxquels
les payfans reconnoiffent les truffières. Maniéré de fouiller
les truffes fans les couper. Defeription des efpeces de truft'e
reconnues par Tourneforr. La truffe ell une véritable plante
& non point une terre conglomérée , felon le fentiment de
Pline. Ibid. b.
Truffes des anciens appellees udnon & Cyrénaïque. XVI.
866. b. Efpece de truffe des. déferts de Numidie. 154. a.
Plante nommée hydrophillon , qui croît près des truffes.
VIU. 376.
T ruffe, ( D icte ) On n’obferve point que les truffes
foient difficiles à digérer. Mais l’inconvénient de leur ufage
eft d’échauffer confidérablement, cependant fans exciter la
foif. X VI. 726. a. Elles ont aiiffi k propriété d’exciter l’appétit
vénérien. Il paroît par i’obfervacion rapportée , XllI.
199. b. que le principe aromatique de la truffe eft anti-
feptique ou affaifonnant. Ibid. b.
T ruffe de cerf, {B o t.) efpece de champignon. Sa defeription.
Lieux où on le trouve. X VI. 726. b.
T ruffes , vt'rr dcj ( Ff/j?. «dt. ) efpece de vers qui fe tranf-
forment en mouches , & qui avant leur métamorphofe,
vivent dans les truffes & s’en nourriffeat. Leur dei'criprion.
X V I . 726. b, Obfei vation fur k u r coque. Autre efpece c!c
vers qui mangent les truffes. Ibid. 727, a.
iR U i T E , {Ichthyol.) poilîon d’eau d o u c e , 6cc. qui
varie un peu pour k couleur, felon les dift'érens pays. Sa
defeription. Lieux oii il fe pluie. Qualité de fadiair. X V I .
727. a.
Tiuiit /uumonéc, pouToii d'eau-doiice. Qualité de fa chair.
X V I . 7^7’ Truite des lacs de Geneve 6c de Locarno.
; Ibid. b.
T ruite, qualité de fa cliair. Propriétés de fa
graiffe. X V I . 727. b.
T ruite , ( Pêche ) maniéré de pêcher les truites. X V I .
717. b.
Truites , defeription de leur pêche aux grands vcrvciix,
X IV . 716. b.
Truite , terme de brafferie , terme de manege. X V I.
727. h.
T R U L L E , ( Pêche ) forte de grand havener dont on fe
fert clans k Garonne. Oelcriptioii 6c ufage de cet inflru-
ment. X V I . 727. b.
T R U L L O T T E , {P ê ch e ) forte de cliaudicre ou d’engin
avec lequel on prend du poilToii. Sa defeription &. fon iifa<'e,
X V I . 728. r O
TR U LLUM , {H iß . eccl.) mot barbare qui fignine dôme.
Concile tenu en 692 à Conffantinople dans le dôme du palais
des empereurs , nommé pour cette raifon , concile in
triillo. Grandeur du fallon où ce concile fut affcmblé. Etymologie
du mot milium. X V I . 728. a.
Trullum. Concile in tnillo. XIII. 713, b. Suppl. III. 34. b.
Ses difpofitions fur le célibat des prêtres. X V il. 644. b.
T R UM E A U X , ( ^rc/iir.) proportions dans les mimeaux.
IV . 506.d. Trumeaux efpacés, tantpleins que vuides. X V I I .
374. <j.
TR U SQ U IN , ( Arquebuf. ) defeription 6c ufage de cet
outil. X V I . 728. a.
T rusquin d'affemhlage, { Menuif.) defeription 8c ufage
de cet outil. X V I. 728. b.
T R Y CN U S , ( Bot. anc. ) ou Strichnus, nom du folaniuri
ou morelie. Différence que met Diofeoride entre le try-
chryji 6c le flrychnos. Autre efpece de plante dont Théo-
crite parle fous le nom de trychnus. Trois efpeces de itycA-
nus diffinguées par Théophrafte. Ibid. 729. a.
T R Y P H E R A , ( Phamiac. ) compofiiion Sc ufage de la
grande tryphere. Etymologie du mor. Trypliere foraceni-
que 6c tryphere perfienne. X V I . 729. b,
T S
T SA R , ( Hiß. de Ruffle ) mot qui fignifie roi en langue
Sclavonue ; k s étrangers lui ont fubffitué le mor de q ar.
Premier prince qui prit le titre ÙQpowelitel.'K.'Wl. 729. a.
Ce titre changé par Pierre I. en celui d’empereur. Ibid. b.
TSCHIRN AU S , ( Ernjroi Walter de ) de l’académie royale
des fciences. Ses découvertes 6c lés ouvrages. 1.62t b 626
II. 792. IX. 749.
T S C H Ü U K T S K I , {Géogr.) pays au nord-eft de l’Afie.
Suppl. I. 637. b, 538. a , b.
TSE -KIN , ( Porcelaine de la Chine ) efpece de vernis, qui
donne à la porcelaine une couleur de café. Préparation de
ce vernis. X V I . 729. b.
T S E -SO N G , ( ßoian. exotiq. ) nom Chinois d’un arbre
qui tient du cyprè-. 6c du genievre. Sa defeription. X V E 729. b.
TSH IN Ca , ( Botan. exot. ) efpece de giroflier des Mo-
luques. Les nobles de ces iffes en font une efiime qui va
julqu’à la fuperftition. Defeription de fon fruk. X V I , 730. a,
TSJA-T S /A R , ( Botan.) efpece de bambou. Suppl. I.
7 7 1 . b.
T S T CH U , ( Botan. ) arbre qui fournit aux Chinois la
liqueur dont ils font les vernis fi ellimcs par les Européens.
Maniéré de tirer cetie liqueur. Les émanations qui partent
de cctre liqueur font très-dangereufes. X V I . 730. a, Voye^
Bela-wa.
T S J E L A , ( Bot. exot. ) arbre du Malabar. Sa defeription.
X V I . 730. «t.
T S IEM -T A N I , ( Bot. exot. ) arbre du Mnkbar.Propriétés
de fon écorce. X V I . 730. <1.
T S E JER IAM -CO T T AM , ( Bot. exot.) arbriffeau du Malabar.'
Ufage de fes feuilles Sc de fon écorce. X V I . 730. a.
TSE JERO E-K ATÜU , {Bot. exot. ) arbre du Malabar.
Sa defeription. Ufage qu’en tirent les leinturiers. X V I .
730. b.
TSEJEROE-POEAM , {Bot. exot.) arbre du Malabar. Sa
defeription. X V I. 730. b.
T SE JEROM-CARA , ( Bot. exot. ) arbriffeau du Malabar;
Sa defeription. XVI. 730. b.
T S IN , {Minéralog.) fubftance minérale, dont les Chinois
fe fervent pour peindre en bleu leur porcelaine, 6c
ils l'emploient comme un fondaiu qui fait pénétrer les autres
couleurs dans la pâte delà porcelaine. Ulâge qu’en font aulÏÏ
T U D
les peintres en émail. Maniéré de préparer cette fubflance 8c
d’en faire ufage. XVI. 731 . a.
T sin , ( Minéral. ) fur cette pierre dont les Chinois fe
lervenc pour peindre la porcelaine, voyrç XIII. \ i i . b.
TSIN-SE , {Hiß. Chin.) lettrés du troifieme ordre. Examen
à fubir pour obtenir ce grade. Honneurs & privileges
que reçoivent ces lettrés dès qu’ils ont été admis au grade
de tfm-fe. X V I, 731. d.
T S JO C A T T I , ( Bot. exot. ) arbre du Malabar. Sa defeription.
X V I . 131, b.
T S O N G -M IN G , ( Géogr. ) iïle de k Chine. A quelle
occafion cette ille auparavant llérile, habitée par les bandits
qu’on y reléguoit, a cdmmencé d’être cultivée. Qualité de
l’air 6c produdions du pays. X V I . 731. b.
T U
T U , V O U S , ( Synonym, ) ufage que nous faifons aujourd’hui
du mot tu. L’avantage de pouvoir employer le tu
6c le vous , felon les circonftances , eff une vraie richefle
dans nos langues modernes , dont les anciens étoient privés.
Regle que iiiivent les tradudeurs des ouvrages anciens dans
rufoge de ces deux mots. Exemples. X V I . a. Foy erT u -
TOYtMF.NT.
TU B A L C A IN , {H iß . /der.) ce patriarche regardé comme
chymifte. III. 422. b.
T U B A N T E S , ( Géogr. anc.) peuples de kBalTe-Germa-
nie au-dela du Rhin, üiv e rfes contrées qu’ils ont habitées.
X V I . 732. b.
TU B E , ( Phyffq. ) extrait d’un mémoire de M. Varignon ,
fur les proportions néceffaires des diamètres des tubes, nour
donner précifement une quantité déterminée d’eau.— Tubes
capillaires , voys^ ce dernier mot. Tubes des baromètres 6c
des thermomètres ; voye^ les articles de ces inffrumens. Tu be
de Torricelli. X V I . 732. b. Voye^ T o r r ic e l l i .
T ub e , {HydrauL) voyei A queduc , Can a l, Conduite
, T uyau.
T ub e , { Aßronom.) conftrudion d’un tube pour un té-
lefcope. X V I. 733. a.
Tube, terme d’cmailleur , terme de luuetticr, terme de
lutherie. X V I . 733. b.
Tubes de lunettes : maniéré de les faire. X. 789. a.
T ubes de baromètre .-{verrerie) diHéremes opérations pour
filer ces tubes, les couper, 6cc. vol. X. des pkneh. Verrerie
, p l 21.
TU B E R A IR E , (Bot.) efpece d’heliantheme. Sa defeription.
Lieux oil elle croit. Ses propriétés. X V I . 733. b.
TUBERCU LES quadrijumeaux , { Anal ) XVI. 733. b.
T ubercule , {Médecine) concrétion lymphatique obfer-
v ée dans les poumons des perfonnes mortes de phtlufie. Mof-
ton pcnlé que ces concrétions font la caufe k plus ordinaire
de plnhifte , fur-tout de celle qu’on apporte en nailfant. Signes
extérieurs qui fervent le plus communément à juger de
leur préfcnce. Difficulté de diliinguer quelquefois ta phthifie
du catharre 6c des dérangemciis du foie. Danger de confondre
ces maladies. Trois états ou périodes difiingués dans les
tubercules. X V I . 734. a. Caufes des tubercules. Leur traitement.
La méthode commune boèrhavicnne condamnée.
Autre méthode fubffituée. Ibid. b.
Tubercule , terme de conchyliologie 6c de jardinage. X V I .
TUBEREUSE , efpece d’hyacinthe. Sa defeription. IntVo-
duRion de cette plante en France. X V I. 733. a.
T ubéreuse , {dard, ßeuriße) maniéré de multiplier 8c
de cultiver cette plante. X V I . 733. a.
T ubéreuse, racine, ( .Bar, ) X V I . 733. h.
TU B É R O ID E S , {Botan. ) plante paraiîte, qui s’attache
à l ’oignon du fofran 6c le lait périr. Sa defeription. X V I.
733. b.
TU B ERTU S , ( Poßhumius ) conful romain par lequel
commença l’ovation. XI. 700. a.
TU BILUSTRE , ( Antiq. rom. ) fête dans laquelle on pu-
rifioit les inffrumens de mufiqne deffinés à k religion , 6c
l ’on célébroit atilTi la naiffance de Minerve. X V I . 633. b.—
Foye^ XIII. 381. a.
TU BIN GEN , ( Géogr. ) ville d’Allemagne en Souabe.
Obfervations hifforiques fur cette ville. Prociuélions de fon
territoire. X V I . 733. b.
TU B U L IT E , ( Litholog. ) efpece de lithophyte ou de
corps marin. Sa defeription. On en trouve aulTi dans le fein
de k terre qui font pétrifiés. On en rencontre aiillï dans la
mer. X V I . 733. b.
TU B Y , {Jean-Baptiße) dit le Romain, fculpteur. XIV.
833. a.
T U C A , ( Bot. ) efpece de bananier. Suppl. I. 738. a , b.
T U C H É , { Mythûlog.) ou k Fortune. Homere ne lui
attribuoii aucune autorité , aucune fonélion. Statues de
cette déeffe. X V I . 736. a. ^
T ü D E L A , i Géogr. ) ville d’Efpagne dans la Navarre.
T U L 8r 5
Obfervations fur le rabbin Benjamin deTudclle & fur u
ouvrage qu’il a publié. X V I , 736. a. ’
T U D E SQ ü E langue, {Ht/l. des lang. mod.) tangue que
1 on parloit à k cour ajrrès l’établiffcmcm des Fiancs tlatis les
Gaules. Soins que prirent les rois de la pcrf'célionncr L mes
que Chilpénc fit ajouter à l’alphabet de cette-langue. Cor-
reuion que notre alphabet trançois cxigeroit encore. Progrès
que firent les langues Romaine 6c tudefque, tandis
que k langue latine ne fut plus d’ufage que pour les a£les
publics 6c les myfferes de la religion. La langue tudefque
fubfiffa encore à la cour long-temps après le régné deC.har-
lemagne : mais enfin k langue romaine l’emporta infcnfible-
inent. X V I . 736. b.
TU E-LO U P, {Mal. médic.) efpece d’aconit. Suppl. 1. 131. a.
T U E R , détruire , ( Peint. ) ufoges de ces mots en peinture.
XVI. 737. a.
TUERIES ou échaudoin , { Boucher)\\eux où il convient
le mieux de les établir. II, 331. b.
TU F , ( Litholog. ) pierre légère , fpongieufe , dont k cojl»
leur 6c la confiilance varient. Formation du tuf. Variétés de
cette efpece de pierre. Couches que forme le tuf dans k s endroits
qiii ont été autrefois inondés. Terres labourables qui
fe font formées par la luire des ceras fur ces couches de tuf.
Manicre de les labourer. Uiage du tuf en maçonnerie. X V I .
737. b.
T uf , {Draperie) forte d'étoffe. X V I. 737. b.
TU G EN U S , pagus.{ Geogr.)YVA. 109. a.
T U G U S , {B o t. exot.) plaHte d’un doux aromate, que
le II Cameiii croit être le véritable amomum des anciens.
Defeription de cette plante. Les naturels du pays où elle
croit fon: auffi amateurs de fes graines que les anciens l’é-
toient de l’amomiim. Efpcces de bracelets 6c de colliers que
les femmes en font, X V I . 738. a.
1 U IAPUTEJUBA , {Orniih.) efpece de perroquet du
Brcfil. Sa defeription. X V I . 73S. b.
T U lE T É , ( Ornith. ) efpece de perroquet du Bréfil. Sa
defeription. X V I . 738. b.
T ü iG K H IA A , (,5ot.) efpece de bambou. Suppl.L a.
T U IL E , {Art meeh.) étymologie de ce mot. Difpofitiora
d’une Ordonnance d’Edouard IV. fur le lems 6c k maniéré
de préparer la terre de k tuile. D e l’ufage qu’on fait des
tuiles après k cuiffon. Différentes façons de tuiles. Tuiles
plates ou à crochet. X V I. 738. b. Tuiles foitieres ou courbes.
Tuiles cornières ou gironnées. Tuiles de gouttières ou
creufcs.Tu'iks courbes ou de Flandre. Tuiles lucarnieres. Ibid.
739. a. Tuiles allragalas. Tuiles traverlieres. Tuiles holkn-
doilês ou riamandes. Détails fur k fabrication, k forme,
les ufages de ces différentes fortes de tuiles./éiiï. b.
Tuiles. Manière de les fabriquer, voyeç BriQUE, BriqüE-
quetier, T uilerie. Des toits de tnde. Suppl. II, 646. b.
Tuile, terme de tondeur , d'o rfevre en grofferie Sc de
faélcur d’orgue. XVI. 739. b.
TU ILE R IE , ( Arehit. ruffiq. ) bâtiment où l’on fait la
tuile. XVI. 739. Tuyq Briqu e tier .
Tuilerie, repréfentée vol. l. des planch. Avehiteélure. Art de
faire k tuile. Ibid.
T uileries , {Hip. mod.) jardin du Louvre Sc palais donc
la façade répond à toute k largeur du jardin. Galerie qui
joint ce palais nu Louvre. En quel tems ce palais fut conf-
truit 6c le jardin reçut fes embdlilfemens. XVT. 740. a.
Tuileries, palais des. XL 947. b. Diamètre du grand baffiti
des tuileries. 341. b. Pian de k fille desmaciiines aux tuileries,
vol. X. des planch. The,itres,
TU IS T O N , ( Myth. ) iégillateur 6c dieu des anciens Germains.
XVI. 740. a.
TU IT IR IC A , ( Ornith. ) efpece de perroquet du Bréfil,
Sa defeription. X V I . 740. a.
TULIPE , ( Bût. ) caraéleres de ce genre de plante. X V I .
740. a. Ses nombreufes efpeces. Première tulipe apportée de
Conllantinople en Europe en 1390. Origine du mot tulipe.
Obfervation fur cette plante, qui femble prouver k préexif-
tcnce des germes 6c leur cmboiiement. Ibid. h.
Tulipe, defeription des parties de fa fleur. XII. 714. a.
Efpeces de tulipes nommées agates. Suppl. I. 197. a , b. Baguettes.
749. a.
T ulipes , ( Jard. fleuripc) caraâeres que doit avoir iina
belle tulipe. X V I . 740. b. Les tulipes divifées en deux
clafl'es, favoir les printanières 6c les tardiv es. Avantages de ces
dernières. Diverfes fortes de tulipes panachées. Tulipes jafpées.
Ibid.ja,!. fl.Tulipes doubles ,parangonées. Caraéleres des plus
belles panachées. Ouvrages à conlultcr fur l.a culture des
tulipes. Trafic fuigulier de tulipes qu'on vit en Hollande v ers
l’an 16346c k s cinq fuivantes. Marché extravagant fait par
un particulier pour une feule tulipe nommée le Fice-Roi.
Autres particiilariiès fembkbles. Ibid. b.
TULIPIER ; ( Botan. ) caraéferes de ce genre de plante.'
Miller en nomme deux efpeces ; le tulipier de V irginie , Sc
le tulipier à feuille de laurier. Hifioire de k culture de la
première efpece en Angleterre, 6c des progrès que cett«