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Suppl, n . t>9i . b. /)93- U,
tndroplic. Suppl. II. -~o.
860. b. Suppl. IV. 591.
b. Suppl. iV . 640. b. D e lu eu*
, b. D e la recoiinoilTancc. X llI .
, b. Do racliovcmcni. Suppl. I.
, /-/iXamcii tîo la quertion , s'il cft permis d'cnlan-
ï;l:intcr’ la Icenc. X IV . 733. , h. Dos clicriirs (l.iiis lu rracéilic
, voyez CO mot. Dos moeurs , voyez aiifll ce dernier
'mot. £rat d'angoiffo , que lu nai^oclio cil fi propre a exciter
& à peindre, Suppl. I. 430. </• Sur les pallions quelle
doit exciter , voye z les articles PîTiii 5c TtuREun. Des
rlifi'cicntes unités dans la tragédie. Suppl. IV. 990. u , b ,
& c . De riliufion (pi’elte doit produire. Suppl. III. 560. b.
De la Mademblance. Suppl. IV. 996. .1, b . Sic. Comment
le |)oëtc doit faire cnfortc que les fpcélatours ne falTent
qu’un même peuple avec les aileurs. Suppl. II. 586. b. Des
confidens dans la tragédie. 341. b. D e l’art du dialogue. 709.
.1, b , Sic. Des beautés locales & des beautés univerfelles
d.ms ce poème. 386. a. Comment le beau idéal lui appar-
lieiit. III. 517. a. Ton de la tragédie. XVI. 403. b.
Du fiyle qui convient au poème tragique. X V. 332. b. 354.
b. Ditî'érence entre le fiyle de la tragédie Si celui du drame
lytique. XII. 827. .1. D e l’ulage de compofer les tragédies
en vers. I\'. 682. n. V ice des tragédies, ajjpcllé déclamation.
Suppl. II. 686, />. Qualités que ruppofe la critique par
rapport à la tragédie. IV. 493. a. X lV . 146, b. Pourquoi
la tragédie fans mufique a été négligée en Italie. X II. S30.é. —
Abviy DJw\ME.
T r a g ÉUIE/-omuwe , { y4 r[ J/.wur. des R^fW.) deux fortes
de tragédies cliez les Romains difiinguées par les noms de
pulUautSide prctic.xt.ua:. X V I . 3 20. Foyc^ Scéniques, ;« « .
T r a g é d ie -A-pirVe, { Poéf. drumat. fru/u.) origine de cette
foi re de drame.XN'I. 320. .1.
r;-.7^A/;trrcpréfcntées dans les colleges. III.63Ö..J. IV. 692.
a. X VI. 320. b.
T R A ( i I -C O M É D IE ,( I i r t .) M. D.aeier prétend que l’antiquité
n’a point connu cette forte de compofition. Le plan
en cfi foncièrement mauvais. Autrefois la trngi-comcclie ré-
gnoit fur les tbéatres anglois; mais aujourd’hui elle cfi ablolu-
menr tombée. X VI, 520. u.
T R A G IE , {Botaîi.) carafleresdc ce genrede plaine.Deux
cfpeces de ce genre connues. Defeription de l’une de ces cfpc-
ces. Lieux oit elle croît. X VI. 320. b.
T R A G IQ U E , {^Pûcf. dram.) le tragique cfi ce qui forme
l’cflcnce de la tragédie. Il contient le terrible ÖC le pitoyable.
E.xcmplc tiré de l’OZdlpe de Sophocle. Le vrai tragique
regne, lorfqn’un liominc plus vertueux que vicieux , eft
vifiime de Ibn devoir ou des differentes circonfinnees oii il
fc trouve. X VI. 321. a. Q u ’on y joigne i’atroclré de l’action
avec l’éclat de la grauciciir, on l’élévation des perfon-
nages, l'afiion efi en même tems Jiéroiqiic, & produit en
nous une compallion rrélee de terreur, il n eil p.is nécef-
fiiire qu'il y ait du läng répandu , pour exciter le fentiment
iiagiquc. La punition d’un opprclTcur n'opere point ce fen-
tinient. Arifiote fe plaignoit de la mollelTe des fpcilateurs
athéniens, qui craignoieiit la douleur tragique. C ’eft aulh
cette crainte qui amollit & abâtardit le trafique parmi nous.
Ibid. b.
T r a g iq u e bunrrcois , ( Poéf. dram. ) piece dramatique
dont l’aéiion n’efi pas Iicroiquc, foit par elle-même, foit})ar
le carafierc de ceux qui la font. Il n’efi pas douteux qu’on
ne piiiiTe mettre fur le théâtre im tragique bourgeois. XVI.
321. b. Cependant , s’il cfi vrai qu’oii ne peut donner le
brodequin aux rois, il n’efi pas moins vrai qu’on ne peut
ajuficr le cothurne au marchand. L’objet des arts étant ^ de
vifer toujours au plus grand Si au plus noble, il eft é v ident
qu’on ne peut trouver le tragique parfait que dans les
rois. Jbid. 322. a.
Ti.:plqiu-. Poetes tragiques , voye^ T ragédie. Parallele des
anciens Si des modernes. 1. 417. A
T R A G O P O G O N , {Boum. ) efpcccs de ce genre de
plante. Defeription de la principale qu’on cultive dans
nos jardins fous le nom de falfifi ou ferfiri. X V I. 3 22. a.
TR AH ISO N , {Alorale) quand on n’anrolr pas afi’ez de
vertu pour détefierla traliifon, le fcnl intérêt des hommes fuf-
firoit pour la rejetter. Réponfe de Philippe à deux hommes, qui
lui ayant vendu leur patrie , fe plaignoicni de ce qu’on les trai-
toitde traîtres. Punition de la trahilon commife envers quelques
particuliers, Si de celle qui a été commife envers le roi &
l’état. X VI. 322. b. Ce qu’on entend en Angleterre par crime
de haute trahifon Si de petite trahifon.fi/rf. 323. a.
Trahifon. Statues ordonnées chez les anciens pour con-
ferver la mémoire de quelque crime contre l’état. XV.
499. a. Crime de haute-trahifon en Angleterre , pour lequel
on condamne quelquefois fans obferver les formalités ordinaires.
III. 83 4. -Ï , b. Voyei L eZE-MAJESTÉ , TRAÎTKE.
TR A J AN , Marcus-Ulpius i {Hiß. rom.) Efpagnol denaif-
fnnee , fut le premier étranger qui monta fur le trône des Romains.
Hifiüire de la vie & du regne de cet empereur. Suppl. IV.
«;63.L
Tiajan. Patrie de cet empereur. VIII. 932. b. Il fut furné
nomme leDaciquc.le 1
IV . 610. .1. Reproche que lui fait Ter-lullicn.
:n. 1006. b. Trajan loué de ce que fous fon regne 1;
caiifc du fife iic prévaloit point ordinairement. VH. 819. b.
Sa conduite à l’égard de ceux qui l’avoicm attaqué par des
libelles diffamatoires. IX. 399. b. Ce qu’il fit pour rétablir
l'amour de la patrie. X ll. iSo. a. Eloge de cet empereur,
lieu oil il mourut. XIV. 932. a. übfervations lur le panégyrique
de Trajan. XL 373. £ 816. i.
T r a jan , {Antiquites) bibliothèque de Trajan, II. 231.
a. Colonne irajane , III. 652. a. 633. b. XVI. 323. u- vol.
I des planch. Antiquités, planche 6. Marclié de Trajan. X.
83. a. XII. 674- U. Pont de Tiajan fur le Danube. XIII.
26. a , é. 72. a. Port de Trajan. X V i. 323. a , h.
TR A J A N E , colonne, { Sculpt, aric.) confidérations qui
lÆndciucc monument recommandable. XVI. 323.<t.
TR AJAN OPOL IS , {CAogr. ) voyc^ Sélinunte.
TR AJAN US PO RTUS , {Gcogr.anc.) 1“. port dfitalie
fur la cote de Tofeane. 2''. Autre port d’Italie fur la côte de
l’Etrurie , entre (S'6'<j/2r«m novum. X V I . 323. n. 3". Port
d'Italie à rembouchure du T ibre. Ibid. b.
TR AJE CTO IR E , ( GJot«. ) Léibnitz propofii en 1713
aux géomètres anglois de déterminer en général la trajcéloire
d’une fuite de courbes qui avoient le même point pour
Ibmmet, &. dans Icfquelles le rayon de la développée étoic
coupé par l’axe eu raifon donnée. Ouvrage où l’on trouve
les loin lions de ce problème. X V I. 323.
TrajcRoirc. Facilité avec laqticlleNewton rélohu le problème
des irajcélolresde Léibnitz. X V lI . 634./».
Tf.ijcPlûire icciptoquc : en quoi confific le problème fur cette
tr.ijefioire. Oiivrageoù l’on en trouveles folntions. X V 1. 323./-.
T r a je c to ir e , {M A/un.) Galilée a le premier démontré
que dans le vu id e , &c. h trajeéloire des corps pefims
ctoit une parabole. Newton a lait voir que les trajeéloires
étoient des ellipfes. Auteurs qui ont donné des méthodes
pour déterminer CCS trajeéloires. Des trajeéloires dans les
milieux réfifiuns. Géomètres qui ont donné la folution des
problèmes fur CCS trajeéloires. X V I. 324. a.
T raje c to ir e d'une pLmete ou d'une comète, {A pron.)
J'oyei O r bite. La plupart des afironomes du dernier fieclo
ont fuppofé que les trajeéloires des comètes etoieiit reélili-
gnes. Mais Newton a démontré que les cometes fe inou-
Voiem daus des ellipfes fi excentriques, que dans lapante
qui nous efi vifible , elles ne différolciu pas fenfiblement
de la parabole. X V I . 324. a. Calculs donnés par M.
Halley & par M. l’abbé de la Caille des trajeéloires de
plufieurs comètes. D e la manière de former ces calculs.
Moyen de faire paficr une trajeéloire par cinq points donnés,
pourvu que cette trajeéloire foit une fcélion conique.
Ibid. b.
TRA.IECTUM nu Ttajeflus , ( Géopr. anc. ) pnlfage d’un
bras de mer ou d’une riviere, i". Trajefium ou Tr.ijcÜus ,
de la Germanie inférieure, aujourd’lmi Utrecht. 0.“. Trajcc-
turn fupenus ad Mof.irn , aujourd’hui ALtapricht. X V I . 324.
Tr.yeflns , lieu de la Grande-Bretagne. Ibid. 323. a.
TR .A IL L E , ou Pont volant , ( Archit.) bateau qui fur
les grandes rivieres fert à palfer d'un bord à l’autre. Maniéré
dont on attache 8c dont ou fait mouvoir ces bateaux.
X V f. 323.U.
TR AIN d'artillerie ou équipage d'artillerie , {Fortifie.)
la principale partie de cet équipage cfi le canon. Inconvé-
niens d’une artillerie trop nombreufe à la fuite d’une armée.
XVI. 323. a. Proportion qu’on doit établir entre le nombre
des pièces de canon Si le nombre d’hommes dont l’armée
cfi compofée. Quelle étoic cette proportion dans l'armée
de Flandre en 1748. Du choix des d.fl'ércntcs pieces
dont on compofe le train d’artillerie d’une armée. D e la
quantité de munitions dont on doit fe pourvoir. Difiribu-
cton de la poudre aux troupes. Proportion de la poudre
pour la confommatioii des boulets. Ouvrages à confulter
pour le détail de tout ce qui compofe un équipage d’artillerie.
Ibid. b. Ordre de la inarclte de cet équipage , fuivant
M. de Quincy. Ibid. 326. a. Voye:^ X V IL 770. b.
T de bateaux, {Marine) X V I. 526. n.
T rain , {Charron) XVI. 326.a.
T r a in , ( / / oz/og.) XVI. 3 i6 .a .
T r a in de prefi'cd'imprimerie , ( Impr'im. ) X V l. 326. tf.
T r a in , (M;rA7t.) X V I .326. b.
T r a in , ^ March, de bois ) malTc de bois à brûler que l’on
fait flouer fur l'eau. Defeription de la maniéré donc le flottear
confiruiteette malTe. X V I. 326. b. La conliriiélion d’nn traira
a été inventée en J 349 , mais bien différente de ce quelle cfi
aujourd’hui. Ibid. 327. b. Voyc^ COUPON.
Trains de bois . précautions que prennent ceux qui les cqn-
duil'ent. 1. 813. é.
T rain de l ’oifeau , ( Fauconn. ) X V I . 327. b.
TR AIN -BAN D S ou Traines-hands,{Hifl.d'Anglet.) nom
des milices du royaume d'Angleterre. Détails fur cette milice.
XVI. 327. b.
TR AIN E , autrement Colorei ou Dreige, ou Filet traînaillé
f
m.iiîlc, {Pêche) defeription de ce filet pour la pèche di
mer. Manière de laireceite pèche. X V L 328. a. Pêche des luiî
très à la dreige. Sailbn dans laquelle 011 la fait. Dreige des pê
chciirs du porc des barques. Ihui. b. Defeription de la dreige
ou grandetrainctramaillce. Ibid. 329../.
Traîne, SEINE , Si Vül. Vill dcs planches. Pèche
planche 3. Grande-traîne , planche 6.
1 KAÎNE on Pico t, {Pêche) terme iifité dans le rcITorc de l’a-
niiraiicé de Caen. Defeription de cette pèche. XVI. 329.,/.
TR AIN E AU , ( Mêchan. ) defcriptl on d'un traîneau defiiné
à traiifporter des balles de murchandilés. X V L 329. a. Tra îne,
nix fur lefqueis les Hollandois tranfportent par terre des
vaificaux de tout port. Les chars tirent leur origine des traîneaux
, qui font de toutes les voitures la plus ancienne.
Ceux qui condiiifent les traîneaux. Ibtd. b. Foyc^ T raI-
NEURS.
T raîneau, {Charronage) traincaux en iifage dans les
pays feptemrionaiix. Animaux employés pour les tirer. Eipcee
de pompe qu’offrent en traîneaux fur la neige , toutes les cours
tiuNord. XVI. 329. h.
Traîneaux , du tirage des. V IL 123. E
T raîneau , ( Chajfie ) efpece de filet pour la chafle aux
oifeaux. XVI. 329. b.
Traînc.m pour la chafle aux alouettes , vol. III des planch.
Chalfe , planche 11.
T R A ÎN É E , {Ariific. & A nm ilit.) traînée de poudre que
l’on mei fur le prcmierreiifort, pour meure le feu au canon.
X V I . 3 29. Traînée de poudre pour mettre le feu aux mines.
Deferiptiondo la maniéré dont on difpofe cette traînée ik dont
on y met le fou. Ibid. 330. a.
T raînée, {yénerie) efpece de chafTc du loup, du renard ,
Â’c .X V I. 330.U.
T R A IN EM E N T , { Hifi. nat.) maniéré dont s’exécute le
traînement ou mouvement progrefiif des limaçons, vers ,
fangfiies Si autres animaux femblabtes. X V l. 330. a.
TR AIR E les vaches, {Feonom. nijliq. ) obier varions fur cette
aélion. XVI, 203. b. 206. a. 207.0 , b.
T R A I T , ( Archil.) ligue qui manjue un repaire ou un coup
do niveau. Trait biais. Trait corrompu. Trait qu arré. X V L
530./;.
Trait: autres fignifications de ce mot. X V I . 3 30. b,
T'.Tk , terme d’artillerie , de marine , de balancier. X V I .
330.E
1 RAIT , ( Art rnilit. anc. ) efpece de trait nommé eeßrofiphen-
Boniis, IL 869. b. malras. Suppl, IIL 864. a. Foyc:^ F leCHE , J a -
VELOT, &c.
Trait, terme de boucherie, terme de bourrelier. X V I .
53
797
T iX kn de feie, {Cluirpente) X V I . 351.U.
T rait 7■c b■ uis ,. U{Ja rd.i.n.... ..).. ..X...V...I.. 331. j.
Trait, terme de lainage. X V L 3 3 i.rf.
T raits , (fcmyirc ) vol. i l des planches, Ecriture, planche
12.
T RAIT, ( Peinture ) ligne que décrit la plume , le crayon ,
ou le pinceau. X V'1. 3 51. <r.
Trait fe dit encore d’un deflân d’après un tableau pris fur le
tableau même. Manière de l’exécuicr. X V L 331. a. Maniéré
de copier enfuite ce ddfin. Ibid. b.
T raits du v i f âge. { Phyfionom. ) Effets des pallions fur ces
traits. XII. 130. b.
Trait, terme de tireur d’or,terme de voiturier par eau. XVI,
Trait, terme de vénerie , de fauconnerie , de rubrique, de
blafon , de jeu d’écliecs. XVI. 33 i. b.
T R A IT A N T , ( Finances) profit des traitans. Ils reçoivent
dix à quinze pour cent (Je leurs avances , Si euf'uirc
gagnent un quart, un tiers fur leurs traités. Arrêt du confi.iI,
que fit rendre M. Co lb e r t, qui éuiblilToit peine de mort contre
ceux qui avanceroient de l’argent fur de nouveaux impôts.
X V L 331,/-.
Traitant. Différence entre un traitant & un partifan. X ll.
t)().a. y oyez Financier , Ferme , Subfide , FermierPublic ain ,
Partifan, Traité extraordinaire.
TR AIT E . Traite en terme de marine. T ra ite , commerce
du Canada. T raite d’Arfac , terme de finances. Traite de Clia-
ren tc, terme de finances. X V L 332. a.
T raite fiora'me, { Finances) précis d’une ancienne requête
fur la traite foraine, que la nation forma & préfenta au roi.
X V I , 332.(7.
Traite foraine , voyei ForAIKE , Entrée & SORTIE.
Contrôle des traites. IV. 131. h. Bureau où l’on fait payer
ce droit à rembouchure de la Sarre dans la Loire. XVI. 393.
b. J liges des traites foraines. IX. 16. b. Etabliffcmens de bureaux
des traites. 17. a.
T raite des Negres,{Comm.d'A friq.) négoce qui viole la
religion, la morale, les loix naturelles , Si tous les droits
de la nathre humaine. Réflexions d’un Anglois moderne fur
ce honteux Si barbare trafic. Droit incontefiable à la liberté
dont on ne peut dépouiller les efclaves nègres. Réponfe à
Tome II,
ces jmifconfultes qui prétendent que le.s queflions relatives
à l’état des perfonnes doivent fè décider par les loix des pays
au.xqiielsellcsappurticniKnt.XVI. 332.i. Autre oobbjiccfflliioonn.. LLeess
CO üiiics fcrolem bientôt ruinées, fi I
vage des Nègres. Réponfe : avantage
la iùpprelTioii des Negics. Ibid. 333
T raite par tare, { Fitumees de France ) la traite par terre
ou impofnon foraine d'Anjou, fut établie par Philippe-Au-
gufle en 1104. IL n r i IV y ajouta un lupplémenc fous le
nom à'impojition nouvelle d’Anjou. Funefles effets de cetteim-
pofition. X V L 333. n.
^ Traite des Nègres. Préfens qu’il faut faire aux petits rois
d’Afrique Si aux capitaines nègres pour fe les rendre favorables.
y abolKToit l’cfda-
qui réfulceroicm de
XI. 771. b. — Uoyci Esclavage.
Irajte, terme de banc|ii:ci , de moniioic , de tanneur,
m ^ iflle r , chamoifeur. XVI, 333. b.
T raite. ( Comm.) Livre des traites. IX. 616. a. Faire des
traites & remifes de place en place. XI!. 674. b.
T R A IT É l^UBLIC, {Droit politiq.) On entend ici jzar
traités publics, ceux que les fouverains, confidérés comme
tels, font les uns avec les autres, fur des chofes qui iiité-
reffent dircélemeiu le bien de l’état. Il cfi vrai que ce ne
font pas les traités, mais la necclfne qui lient les rois. C e pendant,
puilque les traités publics font une partie confidé-
rabie du droit des gens, l’aiucur en confidere ici les principes
& les l egle s , comme li c’étoit des chofes permanentes.
Avantages que les nations peuvent fe procurer au moyen
des traiiés. Obligation des fouverains à tenir leur parole,
ik être tideles a leurs engagemens. X V l. 333. b. Obligation
des fujets à être cux-mé*mes fideles aux traités que^leiirs
fouverains ont faits. Deux fortes de traités publics ; 1". ceux
qui roulent fur des chofes auxtjuelles on étoit déjà obli<»é
par le droit naturel ; 2". ceux par lefqiiels on s’engagera
quelque chofe de plus. Ces derniers fe fubdivifem en uai-
tes égaux , ou que l’on contraéle avec égalité de part
Si d’autre j Si en traités inégaux , ou dans lefqucis ce
que l'on promet de part Si d’autre n’efi pas égal. Jbid. 334,
a. Conditions des traités inégau.x. Autre divifi'on des traités
publics, en réels Si en perlbnnds. Principales regies que
l’on peut établir pour favoir à laquelle de ces deux claffes
il faut rapporter tel ou tel traité. Ibid. b. Réponfe à la quef-
[ion s il clî [zermis de l.nre des traites ék des alliances avec
ceux qui ne profeffent pas la véritable religion. Des caiifes
qui mettent fin aux traités publics. Ibid. 333. a. En quels
cas les traités faits par les mlnifircs obligent les fouverains
Si l’étar. Difference que les Romains établifibient eiuie fiv-
dus, paéle jzublic, &. J'ponfio , llinplc promeffe. De la rati-
y / v 'T cu'i^fiis par les inmifires du fouverain.
T raité, {Droit politiq. & Jurifpr.) voyez Alliance,
Lorn rat, Convention, Accord, Sic.
Traiié.LorCqiie dans le moyen âge , les rois faifolent des
traités, ils étoL-nt garantis de part 8c d’antre par plufieurs
chevaliers. V i l . 479. b. Claiile du ny? dans les traités des
princes. X L 14;’ . a , b. Des traités de paix. 769. a , b. 770, a.
T raité public. ( Lutérat. ) Auteurs à confulter fur les
c é r .monies que les anciens obfervoient dans leurs traités
publics. X V l. 333, b.
T raité d'alliance, {Antiq. grecq. & rom.) cérémonies
que les anciens pratiquoieni lorfqu’ils iraitoienc d’alliance.
T raite extraordinaire, {Finances) accord qu’un foiive-
rain fait avec des gens d’affaires pour difl’érens objets ,
moyennant des fommes d’ai^cnt qu'ils lui donnent pour fes
projets, ou les befoins preffans. XVI. 333. b. L'effet de ces
traités cil toujours de nuire au bien de l’état. Ces fones
de traités tirèrent depuis lé S q .ju fq u ’à 1 7 1 ; , des peuples
du royaume, plus de litilt cens quatre-vingt-onze millions.
Réflexions fur ces profits immenfes. Ibid. 336. a.
T raité. {Lhtérat. ) Différence entre la differtation Si le
traité. IV. 1048. a. Impcrfeélion des premiers traités des
feiences. V . 492. a.
T raité. {Comm.) XVI. 336. a.
TR A IT EM E N T des maladies. {Médec. Thérapeut.) IV .
373. (Z, b. Moyens de prévenir une maladie nailfante. VIII.
■ jSy. a. X IV . 13. b. Principes que le médecin ne doit pas
perdre de vue dans le traitement d’ime maladie. V. 409V
a , b. XV. 437. b. Quatre fortes de cures ou de traitemens,
IV. 373. a, b. Differentes méthodes curatives qui ont fiic-
cédé les unes aux autres. Suppl. I. 273. a. Du traitement
des maladies par l’expeélation. V L 321. b. — 324. b. Les
plus grands médecins ont borné leur méthode à aider l’effort
de la nature. III. 368, b. V . 409. a, b. Caufes de guc-
rifon dans les maladies aiguës & chroniques. X. 724. a
b. Réflexions fur la différente conduite que tiennent les
hommes dans ces deux genres de maladies. III. 390. a. Ob-
fervations fur l’iifago de procurer des évacuations au commencement
des maladies. V. 168. a. III, 363. b. Il n’ètoit
pas permis aux médecins égyptiens de procurer aucun clian-
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