• 1
f'i J
^ ii'';
788 T O R
TO R D Y LW M , {Botan.) caraaeics d<; ce genre de plante. ,
Sesclpcccs. Ddeription de celle de nos climats. Lieux où elle
croit. X V I, 42^.
To r d y l i i -m oritru.i!,{Büt.ni.) fa delcription. Lieux ou
croit cette plante. X \ 'l. 425.
TO K è ., {A u h it.') tore corrompu , tore inferieur. XVI.
,‘’ "t ü R IC E L U , cxfincnct. {^Phyfui.') 2iS. l). P'oyi'i
T o r ric e l l i .
T O llM liN T IL L E , {Botan.) carafleres de ce genre de
plante. Scs clpeces. Delcription de la tormciuille lauvage.
Lieux où elle croit. X V I. 426. n. Tormentille des Alpes.
Clîoix de fa racine. Ibid. b.
ToRMENTiLLE , {M.u. médic.) propriétés Sc ulagcs c!c la
racine de la toniiciuillc des Alpes. X V I . 416. b.
TÜ U N E A ou Jornio, ( Gcù^’t. ) dcleriptiou (|ue donne
M. de Maupcmiis de la ville de Tornéa. Degré de froid
que cet académicien y obferva : horreurs de l’hiver de ce
climat. Speélacle que le ciel y prélente diuunt la nuit. Port
de la Tornéa. Lac èxi riviere de même nom. X V I . 427. n.
Tornc.i. Froid rigourcu.x obfervé dans cette ville. VII, 317 .L
6S7. e. VIH. 5c C.L
TORN EIL , ( AugulUn ) liivant italien. XI. 254. b.
T O R O , ( terme de ReLuion ) mets le plus délicieii.x des Illinois.
X V I . 427. a.
T o r o ou Tciuro , (Grng-r.) ville d'Efpagne au royaume
do Léon. Obfervations fur cette ville , dans laquelle fe l e-
lira le comtc-duc d'Olivarès, premier minière cl’Efpagiie ,
dans fa difgracc. X V I. 427. n. Réflc.xion fur fou niiniîiere.
Parallèle de ce miniflre ék du cardinal de Richelieu. Ibid. b.
T o r o , ( Gêo^r.) Üle fur la côte méridionale de la S.ir-
daigne. X VI. 427. b. ,
T O R O N S , ( Cordcric ) manière de former les torons.
X V I . 428. J. Teyc^CoRDERiE.
TO R P IL L E , (AÂ/é/y/. ) recherches des phyficicns fur
la caufo de la lUqjeur qu'éprouvent ceux qui roiicheiu ce
poillon. Dcfcripiion de la torpille. X V I . 428. û. Efpeces de
torpilles différentes en grandeur. Obfervations lur la torÊ
ille femelle. D e rengourdiffement que produit ce poilTon.
xplication de la caufe de cet engourdillement. Ibid. b. Le
dos de la torpille a un peu de convexité. Mais quand elle
veut fe difpofer à ag ir , elle diminue infenfiblement la convexité
des parties de fou dos, les apphtic , 8c quelquefois
même les rend concaves. Mais lorfqu’on touche cet animal,
fon dos redevient fi fubitement convexe , que le mouvement
d'une balle de moufquet n’eft guere plus prompt que
celui de lés chairs , qui reprennent leur prediiere fituation.
C'eff rie ce coup fi fublt que nail rcngourdilTeincnt qui iaifit
L b ^ leux arrangement des rclTorts que la nature
a produire cet effer. Ibid. 42^, a. Expérienci'<
' : . .•mfiM'iic l’opinion de ceux qui font dépendre l’en-
g ''.T.-.iffion des corpufcules lorporihques faite
pni .e tremble, i-es torpilles de l'Amérique pioduilént l’en-
gouvüiliemeiu comme les nôtres. Ihid. b. Pourquoi la nature
a donné ati U'emble la faculté d’engourdir. Vertus qu'onlui
a artrib’ iées contre quelques maladies. Deferipcion de la
torpilla du golfe perf'.|Ue par Koempfer. Ibid. 430. a. Elle
n’exerce fa propriété d’.engourdir que dans certaines occa-
lions , comme lorlquc ce poiffon reçoit l’impreffion de quelque
chofe qui le blelTe , ou qu’on arrête fa fuite au moment
qu’il veut la prendre. Quand on la met dans une même
cuve avec d’autres poiffons, elle ne leur fait point fentir
fa qualité torporilique. Ibid. b.
Torpille, r^prélentée vol. V î des planch. Règne animal ,
planche 32. Lfpece de torpille appellee puraque. XIII.
576.*!.
TO R Q U EM A D A , ( Jean de ) grand inquifiteur , fes
criiamés. V ! 1 1 .774. />.
TORQ^CJETÜM, {Botan.') ancien inAriiment d'aflrono-
m ie , qui reprélentoit le mouvement de l’équateur fur l’horizon
Ses ufages. Auteurs qui en parlent, X V I. 431. a.
TO R R É FA C T IO N , ( Doeimafiiq. ) elle conllfte à fepa-
r e r , à l’aide du feu 8c de l’air , les matières volatiles des
fixes , pour avoir celles-ci feulement. Moyens à employer
pour la torréfaélion des corps qui entrent en fufion pref-
qtie au même degré de chaleur néceffaire pour dilTiper la
partie volatile. X V I. 431. Comment on doit empêcher que
les parties volatiles n’cnlevent, en fe diffipant, quelque portion
de matières fixes./éiff. b. Voyct^ G rillage .
JO R .R E LA G U N A , ( Geogr. ) bourg d’Efpagne dans la
vieille CaHille, où naquit en 1437 , le cardinal François
Ximenès. Hiftoire de cet homme célébré 8c de fon miniffére
X V I . 431, L
T O k REN T , {Critiq. fa cr.) le mot hébreu qui lignifie
torrent, fe prend aillTi pour vallée. L ’écriture donne encore
le nom de torrent à de grands fleuves. Façons de parler
métaphoriques où ce mot eft employé. X VI. 433.<1.
T orrent , {Géogr.) différences entre torrent 8c fleuve.
L e mot hébreu qui fjgnilîe torrent y fe prend aulTi pour vallée
T O R
civils réciiture faiute. Les auteurs lactés donnent énebre le
nom de torrent à de grands fleuv es. XVI. 433. a.
Torrent. Couches de fable formées par les torrens. VII.
624. U.
TO RRENTINUS , ( Hcrmartus) XVII . 749.
TO R R E N T IU S , {Levtr.tns) littérateur.’VU. 463, L
TO R R IC E L L I ,/üii« de , ou expérience de Toricelli. ( Phyftq')
Delcription du uihe 8c de l’expérience de ce phyficien, dilci-
pleclu grand G alilée. X V I . 433. i. yyqToRiCELLi.
T O k R ID E , Zone. {Géogr.) Les anciens croyoient cette
zone inhabitable, mais nous apprenons des voyageurs que
la chaleur cxceilive du jour y cil tempérée par la fraîcheur
de la nuit. X V I, 434. a.
Torride, Zone. Vents alifés qui régnent fous cette zone.
I. 271. a. XVII . 22. b. Il le trouve entre l e i tropiques plus
d’ifles que par-tout ailleurs. V i l . 620. b. L « peuples de la
zone torride appcllés alciens 8c amphifeiens. XI. 464. b.
463. e. Efpece de rétrogradation apparente dans le mouvement
diurne du foleil lotis cette zone. XIV. 219. a. Des
laifons de la zone torride. 329. b. Article fur cette zone.
X V II . 724. ,1, h.— 730. a.
TO R S A C , {d e ) général du régiment de la Calotte.
Suppl. II. 144. J. Son éloge. Ibid. b.
TORSE, {A r ch it.) Colonne torfe cannclce, rudentée,
ornèé, évidée. XVI. 434. a.
Torfes, colonnes. 111. 632. a. Suppl. II. 307. a , b. Tours
dellinés à faire les torfes, vol. X des planch. Tourneur,
p'- ïî -
T orse. {Sculpt.) Beau torfe de marbre qui cll au vati-,
can. X V I . 434. a.
T O R T , Injure. ( Synon. ) Différence entre ces mots. XVI,
434. a.
T o r t . {Gramm.) Différence entre tort Sc injure. VIII.
734. .1. RedrelTeur de torts. X l l l . 879. b.
T o r e , {Droit moral) L ’injuAicG^Tuppofe un droit contre
lequel on agit librement. XVI. 434. a. Deux efpcccs de
droits; l’un naturel, l ’autre civil. On ne peut violer l’ua ,
fans orîenfer l’humanité. On ne peut blefler l’autre, fans
être mauvais citoyen. L’injullice qu’on fait à quelqu’un ,
le blelfe 8c rirrite ordinairement jufqu’au fond de l’ame.
Exemples. Ibid. b. — Voye^ Injure.
TO R T ICO L IS . {ASédec.) Dift'érentes efpeces de torticolis.
H y a une façon de porter la tète de côté qui peut
avoir été coiitraâée par mauvalfe habitude ou par affeCla-
tion. Hlfloire de la guérifon d’un enfant de douze ans, qui
dès fon plus bas âge portoic la tête penchée fur l’épaule
gauche par la contraffion du mufcle fcalene. X V I . 434. b.
Opération convenable au torticolis venant de la contraéilon
des mufcles, pratiquée à un enfant de quatorze ans. Def-
cription de l’opération propofée par M. Sharp pour hi fec-
tion du mufcle mafioïdien, dans le cas où le torticolis dépend
de la contraéilon de ce mufcle , pourvu que ce v ice
ne foit pas ancien, 8c ne vienne pas de l’enfance. Réflexions
fur cette opération. Analyfe d’une thefe que M. Maiichart
a fait foutenir dans runiverfiré de Tubingue eu 1737 fur
cette maladie, de capite obftipo. Siege de la maladie. IbiJ,
433. a. Ses caiifes. Son traitement. Ibid. b.
Torticolis. Caufe 8c rcmede de ce mal. IV . 118. a. 31?.
a. Préfnge qu’on cil tire dans les maladies. 319. a..
TO R TO N N E . {Géogr.) Defeription d’une fête donnée
en 1480, dans cette ville. V I . 376. b. 8cc.
TO R TU E . ( Botan. ) Caraéleres de ce genre de plante.
XVI. 436. e.
T ortu e , ( Zoolog. ) animal quadrupède ovipare , recouvert
en-deffus 8c en-dciîous par une greffe écaille. Deux
clalTes de tortues; les terrellres 8c les aquatiques. Defeription
d’une très-grande tortue terreftre prife fur la côte de
Coromandel. X V I. 436. a. Différence entre les tortues de
terre 8c celles d’eau. Efpeces les mieux connues, la tortue
franche , la kaouanne , le caret. Qualités de leur chair. Ponte
des oeufs de tortue. Ibid. b. Pèche des tortues. Les tortues
de terre peuvent vivre dix-huit mois fans manger. La tortue
peut vivre alTez long-tems fans cerveau , 8c meme fans
tête. Cnraéleres de ce genre d’animal lefiacé. Defeription
des principales efpeces. La tortue comimine. La jaboti du
Bréfd. La tortue de riviere ou d’eau dormante. La tortue
de mer ordinaire. La jurucua des Bréfilicns. Ibid. 437. a.
La kaouanne. Le caret. La jurura des Bréfiliens. La petite
tortue terrellre des Indes orientales. La petite tortue échi-
quetée 8c rayonnée. La grande tortue échiqueiée. La tortue
de Surinam 8c celle de Virginie. Ibid. b.
Tortues. Leur mouvement progrclTif. X, 88. h. Tortues du
Bréfil. IX. 84. b. Dimenfion des grandes tortues d’Amérique.
X V I . 849. a. Des tortues qui vont dans l’eau 8c fur
terre. XVII . 209. b. Tortue de mer nommée caouanne. II.
624. b. Ciialeur des tortues de mer. III. 38. a. Defeription
des tortues de terre 8c de mer, vol. VI. des planch. Régné
animal, pl. 23.
T ortu e , péjie de U, {Pêche marine) Defeription de
trois
T O S trois différentes maniérés de prendre les tortues .Tavoir, en
les tournant fur le fable, en les varrant, 8c avec la folle.
Manière dont les plongeurs les prennent vers la côte du
Mexique. Qualité de la chair de la tortue franche. X V I .
437. b.
Tortues. Manière de les prendre à la varre. X V I . 848. b.
849. -•
T o r tu e . {Mat. médic.) Il ne s’agit dans cet article que
de la tortue de notre pays , ou tortue de terre Sc de celle
d’eau douce. Préparation du bouillon de tortue. Obferva-
tions fur les propriétés de ce remede. X V I . 438. a. Préparation
du firop de tortue. C e llrop ne peut être conforvé
long-tems. Obiervaiions fur la préparation 8c fur fes effets.
Ibid. b.
T ortue ou Tortille. ( Géogr. ) Deux illes de ce nom en
Amérique. XVI, 438. b.
T o_r t u e , {C/iir.) efpece de tumeur. X V I . 439. a. Voye^
Te s tu d o 6c
T o r tv e . { A n milit.) Tortue béliere. Defeription de la
tortue qui fervoie à combler le folTé, de la tortue pour l’ef-
calade. Tortue pour le combat qui fe formoit avec les boucliers.
X V I. 439. a.
Tortue. Caufe de la réfiftancc étonnante de cette fameufe
tortue que formoient les folclats romains aveeffeurs boucliers,
y i i . 122. a. X. 308. a. Tortue , machine de guerre des anciens.
Suppl. I. 834.^?.
T o r tu e , {Lutér.) figuré fymboüque, X V . 734. a. 1 ORTUE (fe //!£•/•, ( Marine) lovte de vaiffeau. X V ! . 439. b.
T or tu e , ijle de la , ( Géog'. ) üle de l’Amérique fepren-
trionale, une des Antilles. Son étendue. Ses produétions.
Autre ifie de même nom de l’Amérique fcptentrionale. Elle
abonde en fe l, mais elle eû défene. iilcs des tortues de l'A mérique
fepteiurionale. X V I. 439. b.
Tortue, ijlcde la, habitée autrefois par les fiibuffiers. Suppl.
I. 699. a. Canal de la Tortue. Suppl. II. 184. j .
T O R T U O S IT É , {Orthoped.) voye^ GlUBOsiTÉ Celle
des jambes. VIII. 440. b. 441. a. Exemple d’un chirurgien
qui rendoit aux membres la configuration que le raciiitis
leur avoir fait perdre. XII. 879. b.
TO R TU R E , {Jurifpr.) voye^ Q uest ion. L’ufagc de
la torture aboli eu Angleterre. Jurifprudencc françoife fur
cet ulagc. Torture prép.iratüire, 8c torture définitive. D ifférentes
fortes de tortures. Réflexions fur cet ufage. XVI.
439. b.
TO R YN E , ( Géogr. anc.) lieu de l'Epire fur la côte. Bon
mot de Cléopâtre fur ce qu’Oétave s’écoit emparé du polie
appellé Toryne. X V I. 440. a.
T O R Y S , {fdifl. rnod.) faélion qui s’ell formée en A ngleterre
, oppofée à celle des "Wighs. Cette divifion a été
poufl'ée au point , que tout homme qui n’incline pas plus
d’un côté que d’un autre, ne fatiroit paffer pour un homme
à principes, 8c un véritable Anglois. Hilloire des deux
fadlions des Wighs 8c des To rys. X V I . 440. a. Ces deux
faélions peuvent être confidérées relativement à l’é ta t , ou
relativement à la religion. Les To ry s politiques diflingués
en violens 8c en modérés. Les Wighs politiques diflingués
auffi en républicains Sc en modérés. Les mouérés des deux
partis different peu, 8c s’efforcent de maintenir le gouvernement
fur le pié ancien. Confidérations fur les "Wighs 8c
^es To ry s , relativement à la religion. Les Anglois divifés
en épifcopr.ux 8c en presbytériens ou puritains. Ibid. b. —
Voye:^ WiGHS. Les épifeopaux fe font joints aux T o iy s ,
8c les presbytériens aux Wighs. La même perfonne cependant
peut tenir au parti des Wighs dans le politique,
8c à celui des To ry s dans la religion ; 8c réciproquement.
Motifs qui ont fait naître, 8c qui entretiennent encore les
deux faftions. Carafteres que l’on attribue aux Wighs 8c
aux T o ry s. Ibid. 441. a.
TO S A , ( Géogr. ) bourg de S icile, autrefois Alefa. Suppl.
T O S C A N , ordre. {Archit.) XI. 610. a. Chapiteau tof-
cnn. III. 179. a. Ornement du fufl tofean. 631. b. Inventeurs
de l’ordre tofean. Suppl. II. 900. a.
Tojean. Rue tofeane dans l’ancienne Rome. XV II . 380.
b. Du dialeffe tofean. 317. b. Ecole de peinture appellée
tofeane. b'ove^ ÉCOLE.
TO S C A N E , terre bolaire de. {H iß , nat.) Ses caraéleres.
Lieux oîi on la trouve. X V I . 441. b.
T o scane. {Géogr. anc.) Douze cantons de l'Hémirle.
Leur gouvernemenr. H faut bien diftinguer les Tofeans de
rHctrurio , d'avec ceux de la Campanie , 8c d’avec ceux
qui habitent au-delà du Pô. 11 faut Ic-s 'diftinguer aiiflî des
Pelafgcs qui étoient enclavés dans l’Hétrurie. X V I . 441.
l. — Yoyci Étrusques.
T oscane , {Geogr. ^ fouverain d’Italie. Ses bornes.
Son étendue. Hilloire ancienne & moderne de ce pays.
C ’efl aux rofeans qu’on cil redevable de la rcnaiffance
des lettres dans le quatorzième llccle. XVI. 441. h. La Tof-
cane deveuue florillante par le commerce. Son terroir ad-
Tomt /ƒ,
T O U 789
mlrable fon afpeft. Sa varibic & fos’ produflions. Ta -
bleau de cette conuée jjar Adiffon. Ibid. 442. a.
Tofeane. L)cs ducs de ce pays. Suppl. I li. 34. a , b. Du
caraitere des Tofeans. Suppl. ]l. oo i. b. Armes du grand
duc, planch. 16 du blafon , vol. 11.
T o s c a n e , ma-de. {Gêogr.mod.) XVI. 442. Æ,
TO SE f l , ( ) anatomifte. \ a i i a
g J ^ ^ T A T , ( Alpkonfe ) doéieur de Saiamanqu'e. IX.
T O T . {Lang, franc.) Etymologie de quelques noms de
lieux termines en tot, comme de Creiot ,Vveiot, 8cc. X V I
Tô t ou Totté, ou autant, ( Hifl. mod. ) ce qui flgnifie
autant eß dû an roi, terme Anglois. XVI. 442. a.
T O T A PH ü T , {H iß . Jud.uq.) divers feniimens des interprétés
lur le feus de ce mot qui fc trouve en quelques
endroits de l’écriture. XVI. 442. b.
T O T A Q U E S T A L , {Ornithol.) oifeau des Indes occidentales,
’Vénération que les naturels du pays avoientpouc
cet oifeau, X V I. 442. b. '
T O T 'iL A , roi des Gorhs. X V I. 609.
^ ^ ^ Pérou, Sa defeription.
XV 1. 442. b.
T Ü Ü A , {Ichihy.) poiffon de ce genre uommé botfeop.
Suppl. 11. 33. a.
1 O U A CH E ou Touapare , ( Hifl. nat. Dicte ) efpece de
vin que les habitans de Madagafcar faveiu faire avec la liqueur
qui fe tire des'cannes de fiicre. Maniéré de le préparer.
XVI. 443. a.
TO U C A N , ( Ornhh. ) genre d'oifeau qu’on range parmi
les pies. Ses caiaéleres. Defeription du toucan. Se> efpeces.
X V I . 443. a. Lieux de l’Amérique où l’ou trouve cet oifeau.
Il le flimiliarlfe, & vit avec les poules. Pourquoi on l’a
appelle mange-potvre. Ouvrage à confultcr. Ibid. b.
Toucan à gorge blanche de C.iyenne , rcpréfeiué vol. V I
des planch. Regn. anim. pl. 39. Efpece de toucan nomme
aracàri. Suppl. 1. 509. b.
T o u c a n , {Aflron.) conflellation. X V I . 443. b.
T O U C H A U , {Dücimafliq.) aiguilles d’effai appellées de
ce nom. Leur ufage. Comment l'on fait l’alliage , & l'on
établit les pioportions des touchaux pour argent, compofés
de feize aiguilles. XVI. 443. b. Manière d’unir le cuivre à
l’argent. Fabrication des aiguilles. Ibid. 444, a. Proportions
oblervées dans les aiguilles des touch.iux qui fc font en
Flandre. D e la fabrication des aiguii'cs d’effai pour or. Proportions
étaMics dans leurs degrés d'alliage avec raigcm :
Ibid. b. fk lorfqu’on les allie avec le cuivre. Ibtd. 443. a. —
Joyc^ C a u a t u r e , A igu ille d’essai.
TO U CH E . ( Luthier ) Signification de ce mot. X V I,
443. a.
T ouche , Toucher, ( Pcinture) Ufage de ces mots en peinture.
X V I . 443. a.
Touche dans la peinture en miniature. X. 331. b. T o u ches
plates dans la peinture. XII. 740. a.
T o u ch e . {Jeu de Jonchets.) X V I . 443. j.
T o u c h e , pierre de {H ifl. nat. ) pierre noire fort dure.'
Son ufage. Quelles font les pierres qui peuvent fervir à
toucher les métaux. X V I . 443. a. Origine du nom àt ba-
faltes que les anciens ont donné à la pierre de touche.
Lieux où elle fe trouve. Dift'érentes formes fous Icfqiielles
elle fc préfentc dans fon état naturel. Sa nature. Ibid. b.
Touche, pierre de, XII. 581. b. voye^ Ba salte. Efpece
de pierre de touche, dite pierre de Stolpen. X V . 334. a.
Pierre de touche dont fe fervent les Indiens. Suppl. I.
384. ^
T O U C H E R , { Phyflolog.) l’un de nos fens externes:
c'ell de tous nos lens le plus grolîier , mais auflî le plus
étendu. Quelques-uns réduifent tous nos feus au feul fens
de l’attouchement. XVI. 443. é. Les naturalilles partagés fur
la partie où réflde l’organe du toucher. Nos meilleurs auteurs
prétendent que les organes immédiats de ce fens ,
font les papilles pyramidales de la peau. Defeription de ces
papilles. Maniéré dont le toucher fe fait fentir. Ce fens ell
commun .à tous les animaux, Sc il eft auffi étendu que le
corps. Ibid. 446. a. Etonnante perfeffion de ce fens dans
quelques perfonnes privées de l’ouïe ou de la vue. Ibid. b.
Toucher, voyei^ T acT. Organe du toucher. Suppl. IV .
264. a. C e n’eft que par l’exercice du toucher que nous
acquérons la notion de l’étendue. VI. 43. b.
Toucher. Significations 8: ufages de ce verbe dans'le langage
commun, dans la marine, le commerce, l’iiiiprime-
rie & la chaffe. X V I. 446. a.
TO U C H E T , ( Marie ) maîtreffe de Charles IX , roi de
France. XI. 632. b.
TO U F F É E , {Auguflin) favam bénédiffiii. X IV . 296. i .
Suppl. IV . 631. b. ■
T O U G , ( tenue de Relation ) efpece d’étendard qu’on porte
devant le grand v ifir , les baclias, 8c les fangiaes. X V I , 44-?,
a. Poyei QuEUE DE Cheval.
O O O O o o o o *