
m
55^ Q U I
elles fe trouvent dans le «IdHis. En quels cas on permet ou
folcre les quintes cachées i>c les quintes do fuite. Suppl. IV.
^6o. b. Quels lotit les cas oii la quinte devient une dilfo-
nanee. Diverics oblervations lur l'ulago & l'einploi des quintes.
JbiJ. J.
accüi-d qui porte le nom de quarte 8c de qiihnc.
X I ll. 676. b. Quintes cachées. Suppl. 1 1 . yo. b. Emploi de
la qiiimc lupertluc,vol. VU des planch. Mullque, pl. 14.
Q uinte fausse, {MuJî.j.) X llI . 711. j .
(^u//i!c JjiiU'i', il huit la dillinguer de la taulTe quinte. IV.
!0^o. b. VI. 4^4.
Q uinte Je jhiic J bec, ( Luth.) forte d’inftruincnt. XIII.
Q uinte Je flûte traverfiere, (Luth.) forte d’inftrumcnt.
X lil. 721. J,
Q uinte Je violon,{Luth.) forte d'inllrumeiu. X III. y a i .
Q uin t e , {Muréch.) famaifie du cheval. XIII. y a i . i».
Q uinte, (A-u Je piqua) XIII. 72 1. b.
_ QUIN TE-E SSEN CE , ( Chym. & MfJec.) rcmede le plus
sùr en qualité de cordial de tous cetix que l'on connoilfe.
Pré’caution avec laquelle on en doit ufer. XIII. 7 1 1 . b.
Q UIN TE -F EU IL L E , ( 5 ot.) caraéleres de ce genre de
plante. Ses efpeces. Defeription de la plus commune. Lieux
où elle croit. XIU. 72 1. b.
Q uinte-feuille , (AUt. méJk.) préparation de fa racine.
Scs propriétés Sc fes iifagcs. X l l l . 722.
Q U IN T EU X , Cupricieu.x , Furitjfque , Bourru , Bi{Jrre,
(Synon.) idée générale que préfentc chacun de ces mots.
En quoi ils different les uns des autres. X l l l . 722. j . Foyc^
B izarre.
q u i X T U , loi. IX. 650. b. ()68.
Q^UUIINN’T’ l..L..l..E...N... .,.. .(.. .A...l jrcür Eeé"i iti ') caraélere de ce rhéteur
& de fes oiivTages. XI. ^73. a. Scs réflexions Inr l’éducation
publique. UI. 506. U , b.
QUIN TIL IENS ,{H ifl.anc.) ordre desLuperques àRome.
XllT, 722. b. loye^ Luperques.
Q uintiliens {B iß. ecdcßjß.) branche des montanifles.
Origine de leur nom. Doctrines unguliercs qu’ils enfeignoient,
relatives aux femmes, Xlll. 722. b.
Q U IN T IL LE , {Jeu) defeription du quiiuille nouveau,
Ôc du quintüle ancien. X l l l . 722. b.
Q U IN T IN IE , {Jeun delà ) obfervations fur cet auteur Sc
fur fes ouvrages. V l l l . 459. b. XII. 893. a.
Q U IN TU S , médecin. X. 290. u.
Q U IN Z E -V IN G T , {B iß. mod.) hôpital des quinze-vingts.
XI. 948. b. FrereS'Voyans & femmes voyantes dans cette
communauté. XVII . 478. j .
Q U IN Z IEM E , {Jurifpr.) ancien tribut établi en Angleterre.
Détails fur ce fujec. ibid. 724. u.
Q i)lO C O ,{B iß . mod. idole desfauvages de la Virginie.
C'eft un efprit malin qu'ils adorent fous ce nom. Culte
qu'ils lui rendent. Ils admettent un dieu infiniment bon auquel
ils croient inutile de rendre aucun fervice religieux. Pyramides
de pierres que les Virginiens adorent. XIII. 724. b.
Q U IPO S , noeuds de laine qui fervent aux Indiens de l'Amérique,
pour tenir un compte de leurs denrées 8c de leurs
afl'aires, XIII. 724. b. voyc^ C orde nouée. Ufage que l’in-
génieiife Zilia failoit de fes quipos. Paffages des lettres péruviennes.
Ibid. 72^. a.
Q U IP R O Q U O , {Gramm.) méprifes d’apothicaires Sc
de médecins. Différentes fortes de quiproquo. XIII. 725. a.
Q U IR IN A L , mont, { Géogr. ) X. 678. b.
Q UIRIN A LES , {Antiq. rom.) fête inftituée par Numa
en l'honneur de Romulus, nommé Quirinus après fonapo-
théofe. XIII. 725. b.
Q U ÎR IN I , ( ) cardinal. Son bufte dans la cathédrale
de Brcfcia. Suppl. \L 52. 0.
QUIRINUS, ( PubliasSulpicius)cQTi(ü\romzia. IX. 278. b.
Q uirinus , {Antiq. rûm .& M yihol.)onpnc de ce nom
donné à Romulus. Culte qu« Numa lui afligna fous ce nom.
Q U V
Circonffances qui procurèrent l’apothéofe à Romulus. Temples
qu’il eut dans Rome. X l l l . 72^. b.
quiriniis, temple de ce dieu. X V I. 78. a. Il fut adoré
fous la forme d’une lance. IX. 238. a.
q U lR lT E S , ( Antiq. rom. ) nom que prirent les Romains
dans l’accord que paflerenc Romulus 8c Tatiiis. Diverfes
opinions fur l'ctymolugie des mots Cures 8c Quiriies. Vers
d'Ovide fur ce fujet. XIII. 716. a.
Q U IT O , ( Géogr) gouvernemeiu de l’Amérique méridionale
an Pérou. Ses bornes 8c fon étendue. Qualité du pays.
XIII. 7 2 6 . Sa divifion géographique. Oblervations fur fa
capitale, de même nom. Ibid. b.
Q u ito , {Geogr.) capitale d’une grande province du
même nom dans l'Amérique méridionale. Agrémens du climat
de cette ville. Suppl. IV. 6 6 1 . Inconvemcns qui balancent
ces avantages. Salubrité de l'air, Fertilité 8i produirions
du pays. Population de la ville. Moeurs des liabitans. Ses
mines d’or 8c d'argent négligées. Ibid. b. Quito ne fournit
au commerce d’Ei'pagnc que du quinquina. Defeription de
l’arbre d’oii l’on tire cette écorce. Ibtd. ^62. u. L’ul'age de
ce remede renouvelle par Julfieu, botaniltc français. Efpacc
le mieux cultivé de la province de Quito. Célébrité des
cordilieres. Ib:d. b.
Q.VÙO, ficuation de cette ville : température de la province.
IV. 214. b. Pluie qui tombe annueltemcin Quito.
Suppl. IV. 418. b. Chemin de Cufco à Quito. 1 1 1 . 276. b.
Carte de la province de Quito. VU. 6 1 1 . b. Elévation de
Quito aii-dell'us du niveau de la mer. Suppl. IV . 307. b.
Q U IT T A N C E , le créancier peut valablement
donner quittance fans avoir reçu. Une quittance peut être
donnée fous-feing-privé, ou pardevant notaire. En quel cas
le créancier peut le faire donner une contre-quittance. Terme
accordé pour fe plaindre du défaut de numération du contenu
en la quittance. Des perfonnes qui peuvent donner
quittance. XÎII. 726. b. Dift'érentes conditions qui rendent
une quittance valable. Effet de la quittance. Ibid. y i j . a.
Quittance, différente entre quittance & décharge. IV. 877. b.
Quittance comptable & non comptable. III. 779. b. Débet
de quittance. IV . 649. b.
quittance de finance. XIII. 727. a. <
Q U IT T R É E , {Nicolas) maître écrivain. IX. 907. b.
Q Ü IV IR A , (Géo^r.) en Amérique. Son emplacement,'
Suppl. II. 134. a.
Q U O C O L O , on Cuogolo, ( Verrerie) pierre qui fert à
faire le verre. Ses caraéleres. Lieux où elle fe trouve. XIII.
727. b.
Q U O D L IB E T A IR E , ou quodUbétique ,quefiîun., thefe que
les théologiens fcholalliques propofoient plutôt par forme,
d’exercice que pour approfondir des matières utiles. XIII,
727. b.
Q U O I , {Lang.franc.) nature de ce mot. XIII. 453. b.
Q U O J A , {Géogr.) royaume d’A frique; efpece de communauté
où l’on éleve de jeunes filles dans ce pays. X IV .
610. b.
Q U O L IB E T , réflexions fur l’ufage ridicule 8c méprifa-
ble de ces pointes qu’on emploie trop communément dans
les converfations. XIII. 728. a.
Q U O T ID IE N , Journalier, ( Synon.) différence dans l’u-
fage de ces mots. XIII. 728. a.
Q U O T ID IE N N E , Fièvre {Médcc.) fes différences d’avec
d’autres fievres. Ses figues. Scs caufes. XIII. 728. b. Ses
prognoftics. Sa méthode curative. Obfervations pratiques. Ibid. 729. a.
q U O T , qUOTUS, {Lang, latin.) obfervations fur ces
adjeétifs. X IV . 60. b,
Q U O -W A R R A N T O , {Hifi. d’Anglet.) ordre de produire
le titre en vertu duquel on jouit de tel ou tel p rivilege.
Origine du quo-warranio. XIII. 729. b.
Q U V A R N B A K A en Suede; aciérie établie dans ce lieu,
I. 105. b.
553
R
, ( Gr.zmm. ) .articul.ition repréfentée
par cette lettre. Coininutabilité des
articulations r Sc f La lettre ,
füuvent muette dans la prononciation
de notre langue. XIII. 731. a.
R , obfèrvatioi] fur cette artieuh.
lion. IX. ^57. a. Du gr.aireyement de
1 r. VII. 8(>i. 1'. Quelle doit être la
prononciation de l’r des Grecs. V
639. c. L’articulation de l’r dcllincc à marquer la rudeffe.
6: à déterminer le nom des cliofes qui vont d'un mouvement
v ite , accompagné d’une etnainc force. XL 485. b.
Conimiitabilité de 1 ’^ avec l’r. X IV . 451. a.
R , lettre numérale cliez les anciens. XIII. 731. a.
r , figniftcation de cette lettre fur les monnoics de France.
XIII. 73 1'. b.
R , abréviation ufitée dans le commerce & en médecine.
XIII. 751 . b.
R , {Ecriture) formation de cette lettre. XIII. 731. b.
Il A
R A A G D A E R , {Comm.) officier en Perfe qui reçoit les
droits qu’on exige fur les inarchandifes pour la fureté des
grands chemins. Autres fonélions de ces officiers. Comment
ils s’en acquittent. XIII. 731. b. Voye^ RaTtars.
R A B A IS , {Jurifpr.) Adjudication au rabais. XIII. 72 1 . é. Rabais , enchère au. V. 621. b.
R.zk.iis, ufage de ce mot dans le commerce. XIII. 731.-7. R.ibais, efpece de rabais appelle tare. X V . 90^. a.
RAI3 A N A ,{Luth.) tambourin à l’iifage des femmes d’Am-
boine. Defeription de cet inffrmnent. Suppl. IV. 563. a.
R .AB AN -MAU R, {Magnentius) Son ouvrage fur l’ante-
chriff, I. 492. b.
R A B A T , partie du vêtement des eccléfiafllqucs. Autrefois
tous les hommes portolcnt le rabat. Differens ordres
de gens qui le portent aujourd’hui Origine du mot r.ibat. XIII.
732. é. — Sur la maniéré de le fiire , vo ye z Suppl. III, 760. a.
Rabat , ( Géogr. ) ville d’Afrique, très-brillante autrefois
du vivant d'Almanzor, fon fondateur. XIII. 731. b.
Ra b a t , {Comm.) terme iifité à Amfierdain. Le rabat
s’eftime par mois, 8c s’accorde feulement par certaines fortes
de marchandlfcs. Prix auquel cil fi.xé cet intérèr. Pourquoi
il a été introduit d:.ns le commerce. XIII. 7 3 -. b.
Rabat , terme en ufage dans plufieurs arts 8c métiers
X i l l . 7 3 2 .L
Ra b a t , clutjfe au. { Vénerie) XIII, 733. a.
Rabat. {Jeu de paume ) X lll. 733. a.
R abat. ( A u jeu de quilles ) X lll. 733. a.
R a b a t t e m e n t Je décret, {Jurijpr.) efpece de rachat
dont ufc celui qui a été évincé de fes biens, au moyen
d’une adju.ücaiion par décret. Cet ufage n’efi point généralement
admis. Il n’a lieu proprcmeiu que dans le Languedoc.
Déclaration du 16 janvier 17 3 6 , qui a fi.xé la jurifprudcnce
fur cette matière. XIII. 733. b.
R A B A T T R E , {Jurifpr.) Rabattre le défaut à l’audience.
Il dépend de la prudence du juge de ne point rabattre le
defaut en certains cas. Voie qui reffe au défaillant, quand
le défaut n’cfr pas rabattu. Ordonnances où il eff parlé du
rabattement des defauts. Ouvrage à confiiltcr. XIII, 734. a.
R.ib.nire, ufages de ce mot en plufieurs arts 8c métiers.
X lll. 734, a.
R A B B A T H , puijfanic, {Géogr. fie r.) ville capitale des
Ammonites. Ses révolutions. Le nom de Philadelphie donné
à cette ville. Suppl. IV. 363. a.
R.ibbat M oal, capitale des Moabites. Ses révolutions
Suppl. IV. ^63. -7.
RABBI ou Rabbin , {FJfi- des Juifs ) Signification Sc iifa-
ges des mots R.tb, Rabbi, Rubùoni, Rabbin. XIII. 734. b.
Divers degrés par Icfqiiels il falloit puffer pour parvenir à la
qualité de rablà. Refpeél 6c autorité donc jüuiffent les rabbins
modernes parmi les Juifs. Obfervation fur Icsécrins des rabbins.
Divifion des rabbinscii plufieurs feftes. Des regies qu’ils
obferventen interprétant l’écriture. Ce qu’on doitprincipale-
inent à ces dofteurs, c’eft l’aftrologie judiciaire. Ibid. 73 a.
Rabbins , v o ye z Philofophie des Juijs. IX. 25. b. — ^ i. a.
Rabbins nommes Gaons. VII. 477. b. Séburcens, XIV.
85^, a. Rabbins qui cnfeigneient jufqu’au tems de la Mifna.
XV.^ 8S7. b. L’ufage des abi'éviations fréquent parmi les
rabbins. 1 . 37. a. Queftions qu’ils ont agitées fur Adam. I.
126. a , b. Leur fentimciu fur le jugement 8c l’enfer. V.
6 j6 . b. Sur la réfuiteéUon des Juifs. V II . 661. b. Lcursdoc-
irines frir le mefiie. X. q o i.é . — ^07-A prenoiejll
R A C
v l / ' y g i ’ * territoire de Babylonii„
KABBINISTFS au T halmui jistes , {B ill, des Juifç)
lede O e z les Juifs, qui reç-m les trad,lions ; elle fe d iilfc
en rabhiniües limples, qui expliquent l’écriture félon le fens
naturel , 8c cabahlles , qui l’expliquait filon les principes
de la cabale. IL 486. .7, b. Epoque ,,u (é formèrent les
le«.{es des rabbinifte.s 8c des caraiiei. 670. a. I Luiie qu’ils fe
portent : oppofitiun entr’eux dans l’mterpréiatlon de- quelques
p.illages de 1 ecrimre. Ibid. b. Diflérencc entre ees deux fcc-
tes. 671. a. Fables des rabbinilles fur quelques êtres zi-
gamefques. Suppl. III. 1^2. a. ^
_ I lA ifB O T H , ( Bifi. des Juifs) nom que les Juif, donnent
a certains commentaires allégoriques fur le Pcniati-iifitie. U
a etc prouve que ces livres n’ont pas l’aniitiuitc que fis Juifs
’"«f A a iW t . X lll. 7-,r b.
I lA B D üM A N C IE , {D ivinat.) par des verges ou bâtons.
Liym. du mot. Paflages des prophètes Ezéelu.l 8c Üfée
ou Ion croit qu’il cft fait mention de cette forte de divination.
Et^hearions du paffage d’O féc , di. IV , f . 12, XIII.
7 3 5 - b. On confond affez ordinairement la rabdomancic avec
la belonuncie. Divers peuples qui ont fait ufage de cette
maniéré de deviner. Paroles de Tacite fur la rabdomaiicie
oes Ccrin.uns ; 8c d’Ammicn Marcelin , fur celle desAlains.
Un peut rapporter a cette efpece de divin.uion, la fameufe
rlechc dAba ris, 6c la baguette divinatoire. Ibid 7-0 a BÉLOMaNCIE. ' / 7 • •
De il baguette divinatoire. Différentes maniérés dont 011 a
fait cette baguette. Effets qu’on lui attribue. Découvertes
que prétendit frire 'par ce moyen Jacques A ym ar , jjayfrn,
ne en Dauphiné, en 1622. bon impofttire découverte par
le prince de Comlé. 0 ,i ne fauroit aceufer d’impofture toutes
les autres perfonnes t|ui ont frit ufage de cette baguette.
8on effet cqnftaté par divers témoignages. XIII, 736. b.
Recherches lur les cauies du tournoiement de cette baguette.
Différentes maniérés dont l’ont expliqué i" ceux qui l’ont
regardé comme naturel, Ibid. 737. a. 2° ceux qui l’ont attribue
à des êtres imelÜgcns fupérieurs à l’homme ou au démon.
Ibid. b. — Voye^ BaGUETTE.
R A B E L , eau de. {Chymic) X VIL 288.
R A B E L AIS, {François) de fes contes. Suppl.W. •^Cç). b,
. , terme en ufage dans plufieurs arts 8c métiers*
XIII. 738. a.
plufieurs arts 8c métiers.
A l i l . 738. b.
Rabot : defeription des différentes fortes de rabots de me-
mufiers. X. ■ ^q'^. b. 356. ,7. XI. 719. .7. vol. V li , des pJnnch.
Memiilene en batimens, pl. 8 , 8c mentiiferie en voitures
pl. î8 ,9 . Fers de r.iliot. VI. 505. ,i. Indinalfon qu'on leuj
donne. U. i i6 . b. Rabots appcllés bouvets, 387. a. galères
, VII. 441. b. guillauines, 1007. a. riflars, XIV. 28g. a.
Varlopes. XVI. 848. .1. Rabots des ébéniftes. V. 214. a.
R A C A , ( Critiq.^ fier. ) mot fyriaque qui renfermoit une
injure pleine de mépris. Ce mot qui le trouve Math. v. 2 2 ,
a été confervé dans la plupart des cratluftions du nouveau
teftament; mais le P. Bouhours l’a traduitpar l’expreffion.,
homme de peu de Jens , qui ne renferme point le reproche
injurieux exprimé par le mot rac-a. XIII. 770. b
R.AC AGE , flu x . — {Marin. ) VI. 449. b.
R-ACAN, ( Bonorat de Beuil, marquis de ) obfervation.? fur
ce poète Sc fur fes ouvrages. V. 427. b. XII, 846. b. X V I .
466. b. 467. a , b. De fes bergeries. Suppl. I. 881. b.
^RACE. ( Géné-ilog.) Vanter fa race, c’eft louer le mérite
d autrui. Réponfe d’Iphicrate à Hermodius , qui lui repro-,
choit la b.ilTcffe de fa naiffance. XIII. 749. b.
Race, noblejfe de. XI. 179. a.
Race, {Bi(}.nai.)fu: quoi peut être fondé l’iifage de croifer
les races, même d.nis l’efpece humaine. III. 302. é. Une des
caufes delà dégénération des races humaines Suppl. I. 749.4,
Race. {M.iréch.) XIII. 740. b.
R A C H A T , ( Jurijpr. ) Dift'érentes fortes de mehats. XIII.
740. b.
Rachat ou réméré en cas de vente d’un héritage ou autre
immeuble. Claiife fans laquelle La faculté de rachat n’a poin:
lieu. X m . 740. b. Par cette ciaufe , la vente n’eft que conditionnelle.
Quelle eft la durée de la faculté de racliar, quand
le contrat ne l’a pas déreniiinée. Prorogation de la faculté de
raciiat. Auteurs à coiifulter. IbiJ. 741. 4.
Rachat, reinbourfemcnt d’une rente ou penfion. Obfervations
fur les rentes rachecables 8c non rachetables. X i l l . 741.
* — Voye^ Rachetable.
Rachat ou Relief, {Mat. féodal.) droit que le nouveau
vaffrl paie au Icigncur pour Ic^ mutations fujettes à ce droit.
A A A a a a a