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784 T O L
T oiseUR de plâtre. {Offic. de police) X VI. 385. b.
TO ISO N d'or. {Mye/iobp.) DiifércntGS mnnieres dont
on a explique la table de la toilon d’or. X V I. 385. b. L e x -
plication de 13ocliart prctercc. Ibid. 386. .1. ^
Toifon d'or. Etymologie dii mot veilus. IX. 182. b. Hii-
toire (le l'expédition de la toifon d’or. Suppl. III. 306. a , b.
Explic.ition de cette fable. I. 647. b. 111. 421. b. Suppl.
III 506. a , b.
T oison , ordre de U , {H iß . des ordres) ordre que conféré
le roi d’Efpagne comme duc de Bourgogne. X V l. 386.
a. Son inlVitution en 14 30 , par P h ilip p e-le -B o n , duc de
Bourgogne. Ouvrage à confulter. Ibid. b.
Toifon d'or, ordre de Ij . XI. 605. a , b.
T O I T , {Archie.) v o ye z Comble, Couverture & Couvreur.
Deux fortes de toits des Romains. X V I . 3. a. Chevrons du
toit. III. 323. a. Maniéré de conflruire les pannes pour
quelles foutiennent le to it, de façon qu'il ne tléclûlTe pas.
XI. 820. b. Toits couverts en lave. Suppl. III. 712. b.
TO L A B O , efpece de plante. Suppl. I. 868. b.
TO L A N D . {J cçn ) Obfervations fur fou ouvrage de l’o rigine
de l’idolâtrie. XII. 953. u.
T O L A S S I , {B o t.) efpece de ce genre nommé bouka.
Suppl. 11. 38. a , b.
T O L E , {Botan.) fubftance végétale dont les habitans
des Antilles fe fervent au défaut d’amadou pour fe procurer
du feu. Elle provient d’une plante nommée karai.is,
que les botaniftes rangent au nombre des aloes. Defeription
de cotte plante. X V I . 387. a.
T ô le , (Srrrur.) fer mince ou en feuille. Son tifage.
XVI. 387. d,
Tôle, voye[ T aule. T ô le de fourneaux , voye^ Fourneau.
T O L E D E , ( Grogr. ) ville d’Efpagne , capitale de la nouvelle
Caftille. Sa defeription. Archevêché de Tolede. Obfervations
fur l’églife cathédrale. X V I. 387. a. Infcription
tirée desreftes d'un amphitheatre découvert hors de la ville.
Hilloirc de Tolede. Ibid. b. Obfervations fur les plus célébrés
écrivains, dont Tolede a été la patrie depuis la re-
iiaiiTance des lettres , & fur leurs ouvrages. Le rabbin
Abraham Ben Meir , appelle communément Abcn - E^ru.
Ibid. 388. a. Jeaii-LQuis de la Cetda. Diego Covarruvias.
Gardas LaiTo de la V e g a , célébré p<aéte efpagnpl. Jb'id. b.
Aphonfe Salmcron. Ibid. 389. u. Louile Sigée , connue fous
le nom âLAldifio Sigie.i. Ibid. b.
Tolede. Conciles tenus dans cette ville fous Chintila.
Suppl. IL 402. a , b.
TO L E N T IN O , ( Géogr.) ville d’Italie , dans la Marche
d’Aucone. François Philelphe , un des plus célébrés écrivains
du quinzième lîeclc, naquit dans cette ville. Lide de
fes principaux ouv(ages. Caraiiere moral de cet auteur.
X VI, 389. b. , ,,
TO LÉ RAN CE. {Théolos;. Moral. Politiq.) La tolerance
cil en général la vertu de tout être foible, delliné à vivre
avec des êtres qui lui reiTembleiit. I. Jußiee & ncceßltj de
la tolérance en mattere de religion. Premiere réflexion favorable
à l’exercice de cette vertu : iM a raifon humaine n’ayant
•pas une mefiire précife Sc déterminée , ce qui ell évident
pour l'un , ert fouvent obfcur & douteux pour l’autre. XVI.
■J 90. a. Et comme il n’ert pas d'homme qui adoi)te l’erreur
CiDmme erreur , que peut-on reprocher à celui qui fe trompe
de bonne foi Ibid. b. Mais, dites-vous, cette vérité eft
d'une telle évidence, qu’on ne peut s’y fouflraire fans s’aveugler
volontairement. Eft-il donc fi facile de marquer avec
précifion les bornes de la vérité ? Qui peut connoiire la nature
intime desefprits, & toutes les modifications dont ils font
fiifceptiblesf 2°. Pour atteindre à un but, il faut s’alTurcr
de la nature 8c de la convenance des moyens que l’on a
. choifis. Pour agir fur les corps, on emploiera des forces
phyfiques. Pour déterminer les efprits , il faut des raifon-
nemens , des motifs. Le but des pcrfécuteurs eft de convertir
ceux qu’ils tourmentent. Mais quel rapport y a-t-il
entre des tortures 8c des opinions? Ibid. 391. a. Difeours
que pourroit adreffer à fes perfécuteurs un infortuné prêt
à mourir pour la foi. L'abfiirdité de leur conduite démontrée
dans ce difeours. Ibid. b. A quoi fe rédulfent les fuc-
<és de l’intolérance ? A faire des hypocrites ou des martyrs
, des lâches ou des héros. Quand le fanatifme a fait
couler des flots de fang , on a vu des martyrs fans nombre
s’indigner 8c fe roidir contre lesobfiacles; Sc à l’égard
des converfions forcées , elles ont difparu avec le péril.
Quand la vérité feroît du côté des perfécuteurs, ce n’cll
point aux approches des fupplices 8c de la mort, que l’âme
peut fe livrer à un examen, pour lequel l'état le plus
paifible, l’attention la plus foutemie fuffifent quelquefois à
pCme.Ibid. 392. a. C e ll trahir indignement la vérité; c’eft
la confondre avec l’impofturc , que d’emprunter les armes
du menfonge pour la faire triompher ; cela feul futfiroit
pour donner des préjugés contr’eile , 8c la faire méconnoî-
tre à ceux qui l'auroient embraffée. La tolérance univerfelle
T O M
plus favorable aux progrès de la vérité qu’à ceux de l’erreur.
Ibid. b. 3°. Conféquence qui découlent du fyfiême
des imolérans. Les crimes les plus atroces., les parjures,
les calomnies, les trahifons, les parricides, tout efljuÜifié
par la caufe, tout ell fanélifié par le motif ; l'intérêt de l’é-
glife , la néedTué d’éteiidre fon re^ne , 8c de piofcrire à
tout prix ceux qui lui réfifiem, aurorife 8c confacre tout.
D'ailleurs , chaque partie , chaque feéle s’arrogera les mêmes
droits, emploiera la vio lence ; 8c la croix de Jefus deviendra
par-tout l'étendard du crime. Ibid. 393. a. Eu fup-
pofant même que les infidèles ne fuiTent point perfécuteurs
pur des principes de religion, ils le feroient alors par politique
8c par intérêt: ou les v e t ro it , avec raifon, lé liguer
contre les chrétiens, 8c conjurer la ruine de ces ennemis
du genre humain. Que les chrétiens intolérans ne s’en prennent
donc qu’à eux-mémes , fi les autres peuples , infiruits
de leurs maximes, ne veulent point les louffrir, 8c fi leur
fainte religion deniiiée à s’étendre fur la terre , en a été bannie
par leurs excès & par leurs fureurs.
H. Devoirs des fouverains , relativement aux fe^es qui partagent
la fociétc. I®. Dillinguez d'abord l’état de l’églife, 8c
le prêtre du fouveraiu. Maintenir la paix dans la fociété
contre ceux qui voudroient y porter atteinte , c’ell le droir
du fouêerain : mai.s fon droit expire où regne celui de la
coufcience. Ibid, b. 2°. Le falut des âmes n’eft confié au
magifirat, ni par la loi révélée, ni par la loi naturelle, ni
par le droit politique. 3®. Les fujets ne doivent compte au
fouverain de lêurs opinions , qu’autant que ces opinions
importent à la communauté. Palîâge tiré du contrat facial,
de J. J. Rouffeau. 4°. Les fouverains ne doivent point
tolérer les dogmes qui fout oppofés à la fociété civile. Ils
doivents’oppoferaux entreprifes de ceux qui, fous prétexte
de religion, voudroient attenter au bien ou des particuliers
ou des princes. Ibid. 394. a. Ils doivent proferire toute fociété
qui foumet fes membres à une double autorité , 8c
forme un état dans l’état. 5®. Réponfes aux objeélions ti-
Tées des inconvéniens qui rèfultent cIc la multiplicité des
religions. La diverfité des fentimens fubfillera toujours parmi
les hommes, 8c le projet le plus chimérique feroit celui
de les ramener à l’uiiiformiié d’opinions. Ibid. b. Par
rapport à la diAim^ion de la tolérance pratique , 8c de la
tolérance fpéciilative, voyc^ le commentaire philofophiqus
de Bayle.
Tolérance : examen de cette queAion , A l’on peut fe porter
à quelque aflion contre ceux que l’on croit dans l'ignorance
ou dans l’erreur. D'où vient le droit de punir ceux
qui enfeigneiu des diofes nuifibles à la fociété. III. 903. b.
Réflexions contre l’intolérance. V I. 396. b. 3^7. b. 398. b.
400. U. Leçons lur la pratique delà v ertu oppofee. 400. a , b.
Quelle doit être , felon Platon , la peine d’un homme qui erre.
Réflexion qui montre combien l’on doit fupporter les errans
en matière de religion. 11 eA lionteux de décrier jufqu’att
Ayle 8c aux vertus même des liérctiqucs. VIII. 15(9. b.
Principes qui démontrent que la doRriue religieufe n’eA
point du diArlA du magiArat. X V . 236. h. 8cc. Sentimens
de tolérance 8c de charité envers les Ariens, exprimés dans
un paRage de Salvien , prêtre de Marfeille. Les mêmes fen-
timens de S. AuguAin envers les Manichéens. VIII. 139.
a. La tolérance ell un des principes des Arminiens. I. 697.
b. PaRage de MaRillon fur la tolérance. Suppl. I. 33. a. Exercice
de la tolérance en Pologne. XII. 930. b. Tolérance 8c
charité d’A ttlcu s , patriarche de CouAantinople. X IV . 831.
a. Sefte de Mufulmans, diAinguée par leurs principes de
tolérance. 778. 4- Tolérance des Arabes. Suppl. I. 308, b.
Tolérance exercée par quelques princes tart.ires. X V II .
664. a. Comment les rois doivent procéder à l’exiirpatioii
des héréfies, fans bleRer les loix de la tolérance. VIII.
138. b. Réflexions fur la tolérance qu’un prince doit exercer
dans fes états. XI. 737. a. Matières lùr lefquelles les
Chrétiens devroient fe fupporter mutuellement lorfqu’ils
font d’un fentiment différent. 1. 731. a. Sur la tolérance,
voye^ les art. Intolérance, Pcrféciiiioii, Guerres de Religion.
TO L E R E R , Soufrir, Permettre. {Synonym.) Différence
entre ces mots. X V I . 393. a.— Permettre.
T O L L A G U IO N , (iV//?. nat.) animal amphibie de Tifle
de Ceylan. Qualité de fa cliair. X V I . 393. b.
T O L L A T , ( Bût. ) efpece d'arbre. Suppl. I. 899. b.
TO L L IU S , trois freres de ce nom. XV II . 363. b.
TO LM , {Géogr.) pays d’Amérique. Suppl. II. 134, a.
T O L U , baume de. {Mat. médk.) CaraAcres de ce fuc.
Lieux d’où on nous l’apporte. Defeription imparfaite de
l’arbre qui le produit. Maniéré de recueillir cette liqueur.
Ses propriétés 8c fon ufage. X V I. 396. a.— Baume.
T olu , {Géogr.) ville de rAnicrique méridionale. X V l.
396. a.
T O M , ( Médcc. ) efpece de ver engendré dans le corps
humain. XVII. 44- b.
TO-MAN-BET , dernier roi d’Egypte de la race des Mara-
mclucs. X, 6. a.
T O M A T E ,
T O M
T O M A T E , {D iete ) nom que porte la pomme d’amoiu'
à la côte de Guin-ée. Cette plante cultivée eu Efp.tgne , 8c
d.ins la Provence 6c le Languedoc. La romate eA encore
une efpece de morelle , mais dont le fruit n’efi: point dangereux.
Defeription de ce fruit. X V I . 3.96. b.
TOM B A ou Tombo , {H iß . rnod.) cérémonies cruelles
qui fe pratiquent aux funérailles des rois dans les royaumes
d’Angola 8c de Métamba en Afrique. XVI. 396. b.
TOiMBAC. {Métallurg. CItymie & A r ts ) Dcfuit.s de la
plupart des procédés que les livres indiquent pour faire le
tombac. Qualités d'un comb.ac bien f.iit. Procédé de .M. de
JuAi pour faire ce tombac. XS'I. 397. a. Différentes ofpe-
ces de tombac fuivant les différenies proportions dans lefquelles
on joindra du zinc avec le cuivre. Pourquoi le tombac
perd de fon éclat 8c de fa qualité chaque fois qu’on le
fond. Moyen d’y remédier. JbiJ. b.
T ombac blanc , {Metallurg.) cuivre blanchi par l’aiTe-
nic. Mnnieres de faire cette compofition. X V I . 398..*.
TOM B E , Tombeau. {Synonym.) Obfervations fur l’tifage
de ces mots. X V l. 398. b.
T ombe. {Ardtic.) X V I . 398. b.
Tombes. Caraélercs qu’on grave deffus. IL 630. a.
TOM B E AU . ( Antiq. ) Tombeaux des anciens. XVI.
w l ' ’ -
T ombeau. ( Antiq. Rom.) Tombeaux des rois d’Egypte.
Trois fortes de tombeaux chez les Romains: fepulchuim,
monumentiim 6- cenotaphium. L’idée des GCnotàphes vint de
l’opinion que les âmes de ceux dont les corps ji’éioicnt
point enterrés , erroient pendant un fiecle le long des fleuves
de l’enfer. XVI. 398. b. Les jurifconfultes ont beaucoup
difputc , R le cénotaphe croit religieux. Cérémonies
de la confécration des cénotaphes. Cette confécration étoit
néceRaire pour rendre 'le cénotaphe religieux. Los gens de
iiniA'ancc avoient auA'i dans leur palais des voûtes fcpulchra-
les , où ils inettoieuc dans des urnes les cendres de leurs
ancêtres. La pyramide de CeAius n’étoit que le tombeau
d’un particulier. Parmi les tombeaux ordinaires de la nation,
il y en avoit de famille, d’autres héréditaires, d’autres
qui n’avoient aucune deAination. On défendoit quelquefois
par teAament d’enterrer dans le tombeau de famille,
aucuns des héritiers de la famille. Ibid. 399. <j- Autres précautions
qu’on preiioit pour cela. Les tombeaux croient du
nombre des chofes religieufes. Il y avoir meme un efpace
aux environs qui étolr réputé religieux, de même que le
chemin par lequel on alloit au tombeau. Punition de ceux
qui ofoient emporter quelques matériaux d'un tombeau,
pour les employer à des édifices profanes. Ornemens des
tombeaux. Magnificence de eduf de Licinus, barbier d’Au-
guAe. Infcription iuperbe du tombeau de Pallas, affranchi
de Claude. Pvéfli-xions que fait naître la vue des tombeaux.
Ibid. b.
Tombeaux des anciens. DiAinRions accordées anciennement
aux tombe.'iux des héros. VUI. 183. a. Tombeaux
iifités chez lo,s Grecs 8c chez les Romains, lorfque ces peuples
curent abandonné l’ulagc de briller les corps. 410. b.
Tombeaux magnifiques, maufolées. X. 212. u. Tombeaux
appelles pib Arcs. X ll. 617. i . Tombeaux en pyramide. XIII.
396. a. Sarcophages. XIV. 648. b. Tombeaux des eufans.
X V . 361. b. Colonnes qu’on élevoit fur les tombeaux. 73.
b. 74. a. Suppl. II. 310. a. Ce que défiguoient les éroilc.s
fur les tombeaux. II. 898. a. Les Turcs ébvent aufiî
fur leurs tombeaux une efpece do tour ou de colonne.
X V L 730. a. Des Aatues des anciens fur les tombeaux.
X V . 300. a. De rufagedes lampes dans les fcpiilchrcs. IX.
233. b. 234. a. Amas de tombeaux à Rom e, nommé catacombes.
II. 737. b. Amas (le tombeaux dans un village
(le l’Auxcis. XIII. 664. .2, b. Tombeaux de l’ancienne Tar-
quinie. X V . 916. b. Tombeaux découverts en Sibéiie.
XVI. 403. a. Suppl. IV. 789. a. Inlcription trouvée fur quelques
tombeaux, fub afeid dedicavh. X V . 361. a , b. Tombeau
d’A drien, repréfenté vol. I. des planch. Antiquités,
pl. I. Des cérémonies que les anciens pratiquoient fur les lom-
heau.x. De la coutume de jetter fur les tombeaux des fe-
v e s , VI. 630. b. des fleurs. XII. 336. a. Libations fur les
tombeaux. IX. 43S. b. Sacrifices. V llI , 700. b. Parfums. XI.
941. a. Ufage où l'on étoit d’y mettre de la nourriture. XIV.
128. é. Ouvrage à confulter fur les tombeaux des Romains.
X V II . 489. b .— Vnyei MONUMENT, SÉPULCHUE.
T ombeaux Péruviens. {Hiß.mod.) Leur defeription.
Arrangement des cadavres dans ces tombeaux. X V L 400.^.
T ombeau. ( Tapifßer) Lit en tombeau. X V I. 400. b.
T ombeau de P,uias. {Hiß. rom.) HiAoire de cet affranchi
de Claude. Son tombeau étoit fur le chemin de Tibur,
à un mille de la v ille , avec une infcription gravée deRiis,
8c ordonnée par un décret du fénat, fous l’empire de Claude.
Termes de cette infcription traduite en fnnçois. Réflexions
de Pline le jeune fur cette infcription, Sc fur le décret par
lequel le fénat avoit décerné à cet afiVanchi les marques de
diAinélion ijont jouilToiem les préteurs, avec 13 millions
Tome IL
T O N 78$
do feAerces , ( 1300000 livres de notre monnoic. ) X V L
T ombeau , décor.u}on de , {Archit. ) vü_>v-C a^ falque.
Ufage de ni-ettrc auirefuis fur les quatre angles des tombeaux
les ccuRons des afcenclans. Suppl. IV. 339. a.
Tombeaux, violateurs des. Imprécations que les anciens
prononçoicnt contr'eux. VIT. 606. b. Dan, le pillage, les
lombcau.x doivent être refjJiélés, IV. 732. a.
t o m b é , ( Danfc) pas de d.infe. Maniéré de l'exécuter.
X V l. 401. b.
TOiMBER , ( Gi.imm. ) acceptions Sc ufage de ce mot dans
le langage ordinaire, Ses ufages en marine. X V I . 402. a.
TOM B EREAU conAruaiou de cette c-fpecé de cliariot.
Vol. ni, desplanch. Charron, planch. 6.
T ombereau.! gravier qui Je charge lui-même. {Méch.in. )
Defeription de cette machine. Suppl. IV. 948. b.
TOMBERELLE , ou Tonnelle , ( Chaffe ) efp ece de filet
pour prendre les perdrix. Defeription de cette chaffe. X V L
402. a. ,
T O M B U T , (Géogr. ) royaume d’Afrique dans la Nigri-
ne. Ses bornes. Scs produaions. Du roi de Tombut, 8e de
ia ville capitale. XVI. 402. b.
T O M E , Volume, {Gramm. ) dlA'érence entre ces mots.
XVI. 402. b. — Voyci Volume.
TOMES , ( Géogr. anc. ) ville de la baffe Moeûe vers l’cm-
bouclitire du Danube. Exil d'Ovide dans ce heu. Accroiffe-
ment de cette ville , qui du tems de Suabon , éioit peu
confidérable. C ’cA aujourd’hui, à ce qu’on <sïo\i, Kilianova.
X V I . 4C2. b.
TO.'vI.VllERES , Saint-Pons de' ( Géogr. ) v o ye z Saint-
Pons-de- Tomniiercs.
1 ON_j {Hijl. nat. S' Médcc. pratiq. ) iiifofle du Bréfil affez
femblable à la puce, mais communément beaucoup plus
petit. Il eA répandu auRi dans prcfque toutes les ifles d’Amérique
, voye^ l’article Chiques , qifi eAle nom que les bran-
çois Itii ont donné. Les tons habiteiu les tcneiii,, phnnés
de cannes à fucre, 8c delà s’élancent fur les paRans. P,.rti-
cularités fur l’elpece d’aRciftion qui fuit l’eiurée de ces animaux
dans la peau, 8c fur les remedes que l’cxpé,-ience a
confacrés comme plus efficaces. XVL 403. u. Voyez Nigua
& T ung.
T on , ( Profe & Poéfie ) il y a le ton du genre , du fujet,
des parties , de cliaque penfée , de chaque idée. La comédie
élevé quelquefois le ton , Sc la tragédie l’abaiiTe . mais quelque
cA'or que prenne la comédie, elle ne devient jamais
héroïque. X V I. 403. b. — Suppl. I. 383. b. oC rariicle
Style.
T on , { A n orato'ire) vo ye z Déclamation , Prononciation.
T on , variété de ton dans la prononciation des fyllabes.
I. 63. a. Différence du ton profodique 8c du ton jjathéiique.
I. 63. b.— Voyei V o i x {Art oratoire).
T on , (Mnjiq .) divers Dns de ce mot en mufiqiie. 1®.
Tous ou intervalles qui caraéiéril'ent le fyRénie 8c le genre
diatonique : tou majeur, ton mineur. 2“. Ton , degré
d’élévation que prennent les voix , fur lequel fout montes
les inArumens. 3®. InArumeut qui fsrt à donner le ton de
l’accord à tout un orcheAre. Moyeu de s'aRurer d’un ton fixe.
4". Son de la note ou corde principale qui fort de fondement
à une piece de mafique, Vingt-quatre modes dont notre
mufique c-A fufceptiblc. Les tons diA'ercnt foit par les
divers degrés d’élévation, foit par les altérations produites
par le temperament. Faculté d’exciter des fentimens diRé-
rens avec des accords fenibiablcs frappés en diRérens tons.
X V I . 404. a. C ’cA de cette agréable diverfité que Rameau
voiidroif priver la mufique, en ramenant, autant qu’il
eA en lui , une égalité 8c une monotonie entière dans l'iiar-
monie de cltaquc mode, par la re^le du tempérament.
Ibid. b.
T on , différence entre le mode 6c le ton.X. 393. b. Caufe
qui produit les différens tons de la voix. XVII. 428.!». Du
nombre de vibrations qu’une corde doit faire pour produire
un certain ton. 613. é. Tons qui fe font entendre lo- Ajifuna
corde ^ncée donne un ton de baffe. Suppl. I. 824. b. Suppl.
II. 600, a. Les rapports des tons 8c femi-rons dont l’échelle
diatonique eA compoféc, ne font point des cliofes arbitraires.
V, 230*. a. Douze combinaifoiis auxquelles fe bornent
toutes les variétés poRiblcs des tons. 111. 317. a. To n authentique
, ton plagal. I. 893. a. XII. 678. b. Des femi tons
dans la prnti([ue Sc dans les calculs harmoniques. X IV . 946.
b. Genre de mufique qui procédé par demi-tons de fuite.
III. 387. b. Quart de tou. XIII. 672. n. Quart de ton enharmonique.
V. 6S8. b. Du cfioix des tons pour l’cxpreffion
inuficale. Suppl. II. 923. b.
T on du quart , {Mufiq.) plagal du mineur qui s’arrête
8c finit fur la dominante, au lieu de tomber fur la tonique.
Suppl. IV. 948. b.
T ons de L'égUfe , {Mufiq. ) maniérés déterminées de moduler
le plain-chant, On compte ordinairement huit tons
N N N N U il n n ii