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346 O R G
anciens. Pi-iiparations ufitécs parmi nous. Propriétés de la farine
c i ' o r g e . 632. J.
, diverfes utilités qu’on en retire. Suppl. IV. 4 1 1.
a. l'aiine d’orge appellee gruau. VIL 971 . a. Pain dorge.
XI. 749. b. Eipece de pain d’orge que faifoicnc les anciens.
X. 218. .1. Poleiua , eCpecede piéparation d’orge. XII. 903.
b. Préparation de farine d’orge pour nourrir les malades. Suppl.
III. 7.
O r g e , (Sucre d") XI!. 301. b. X V. 617. b.
O rge, Jicoâiond' (D ietc) Oeftription de deux décoctions
d’o rg e , l’une fiinple , 1 autre conipolée. XI. 632. u.
Leurs ui'ages. IbiJ. b.
O r g e grue, ( Dle/e ) ou orge mondé. Comment fe fait ccite
préparation. Qualité alimentaire de cet orge. XI. 632. b.
O rge mondé, (Dicte médicin.') Comment le font avec
l’orge inondé le lucre d'orgo Si. le fucre tors. Propiiciés de
ClS préparations. XI. 632. b.
O r o ï. pjJJé , (D ie u ) crème d'orge des anciens. Comment
on le prépare. Son iilage. X I. C32. b.
O rge, Divination par l’orge. 1. 298. a.
O rge perU , (Agricuit.) Orge dcpouillè de fa premiere
enveloppe. Cette préparation ell peu différente de cc que
les anciens appelloieiii crimuus. Bouillies qu'eu font les A llemands.
XI. 633. a.
O rge , grain d '( TiJJciand. Imprim.) Futaine à grains d’orge.
Le terme de grain d'orge employé par les cifeleurs Scies
imprimeurs. XI. 6 j 3. t.
O r g e , (Gro^’r.u/ir.)fomnine des Gaules, So r q u e .
Herbe qui cioiffoit dans fon eau. XI. 633. a.
O R G E A T , (D iète) Différence entre l’orgeat & l’émul-
fion. XL 633. b. l'oyci t,Ml/l.slON.
Orgeat , voyeg_ La it d 'am aNDE. I. 315. a. 8c A m a nDÉ.
Ib'iJ. %.
OaCHAT, yÿrop r/’ (Pharmac. Mat. médic.) Maniéré de
le préparer. X L 633. a.
Otge.it, fyrop d'. La décoélion d’orge , au lieu d’eau commune
, nuit à l’agrément de ce fyrop , laus ajouter à l'a
vertu. Ce fyrop fert à préparer fur le champ, une émulliou
nuin lalutaire que celle qui ell tirée inimédiaiemem des leniences
éimiifivcs. XL 653. b.
ORGEOLKT , (Cbirur.) Maladie des paujiieres. Soins
qu'exige cette forte de tumeur. X L 633. b.
O R G IE S , ( Antiq. grec. 6- rom. ) fetes de Bacchus , auffi
.appellees bacclianalcj 8c dtouyjiaques : voye^ ces articles. Le
nom d'orgies étoit cûiniiuin à pluûeurs autres tètes. Les tètes
de Bacchus étoieiit appelléo orgia inierica. Leur origine. Caille
de leur abolition à Rome. E.Kcès dont elles ètotent accoai-
pagnéss. xViorc de Fanthée..VaI'e fur lequel oa voit une repré-
lentacion de ces orgies XI. 634. a.
Orgies , BACCHUS , BACCHANALES Si DlONYSiENîiES,
Orgies appellees nyilelies. A l. 291. b. Orphiques.
<>63. b. Phalliques. A ll. 483. b. 486. .1. Defeription des orgies
grecques : ces fêtes bannie» tie Rome Sc d’Italie. XIV.
87. b, Miniilres des orgies nommées ityphallores. VIII. 936.
t. Prix de mufique qn’on donnoi; à Athènes pendant ces
Éèies. X. 903. a. Médailles tr.;ppées à leur fujet. 232. a.
Figures lymboliques des orgies. X V . 729. X Eipece de bacchanale
des fauvages d'Amérique. 338. b.
ORGUE , ( Injbum. à vent) Etyra. du mot. Tems où l’u-
fiigc des orgues a commencé dans les églifes. Defeription de
l ’orgue. XL 634. a. Qualit.'is des bois dont on fc fert dans
Va fabrique des orgues, v^uahté de l étain de du plomb. Ma-
aiere de couler les table» d’étain ou de plomb qui fervent
à faire les tuyaux, ièid, b. Détails furie travail de ces tables.
ibui. 633. a. Cuivre dont on fe fert. Ufages du fer dans les
orgues. Emploi des différentes matières dont on vient de
parler. Explication des différentes parties qui compofent un
orgue. Fût d’orgue ou buffet. Polîiif. Ibid. b. Situation des
orgues dans les eglifes. Sommiers. Claviers. Abrégés. Comment
le vent l'orii des foufflets, eff communiqué à l’orgue.
Ibid. 636. a. Arrangement des tuyaux. De la fabrique des jeux
de l’orgue. Des jeux qui fe font de bois. Formation du fon
dans les tuyaux , foit ouverts, foit fermés. Ih'id. b. Pourquoi
les tuyaux bouchés defeendent à i>eu prés à i’oéfave du fon
qu’ils rendent étant ouverts.//»iif. 637. a. D e la fabrique des
jeux d’éuiii ou de plomb. Ib'id. b. De la fabrique de» jeux d’an-
•ciics. Ibul. 638. b. Comment fe forme le fon dans ces fortes
de tuyaux. Regie pour trouver le vrai diapafon des anches.
Ibid. 639. a. Caufés phyfi^ues qui jettent de la variété dans
le fon des anches , & qu’il eff impollible de mefurer. Moyen
de trouver les diamètres proportionnels des anches. Jeux dont
un orgue complet eft compofé. Ibid. b. Etendue des fons
de i’orgiie. Ibid. 640. a. Ordre dans lequel les jeux font rangés.
Defeription de la maniéré de jouer de l’orgue. Ibid. b.
Sur la maniéré d’accorder un orgue, voye^ Partition 6c
A ccord.
Orgue , parties de l’orgue indiquées par ordre alphabétique
; abrégé. I. 36. a , b. Bafcules. IL 113. a. Billots. 236.
Boues dans les orgues. 313. a. Clavier. 512. b. Demoi-
O R I
felles. IV . 820. h. Entailles. V . 7 17 . a. Fût. V I . 338. a. 'Vil,
401. a. Jeux. VIII. 640. b. Noix ou noyau. XL 268. a.
Pactes. XIL 188. a. Pédales. 235. a , b. ?ié. 363. a. Piece
gravée 3 pieces d’addition. 368. a. RegiBres , XIV. 19. b.
pieces par lefqiielles on les ouvre & on les ferme. X. 841.
b. 842. a. Poliiif. XIII. 160. b. RelTorts. X IV . 191, Sommier.
X V . 337. .î , é , &.C. Soufflets, 395. b , 8tc. Moyen
que les anciens employoient pour faire jouer leurs orgues ,
•au lieu des foufflets , VIII. 360. b. talons , X V . 869. b.
tuyau.x, X V I . 769. b. 770. <r. oreilles des tuyaux, XL 623-
a. anches des tuyaux. I. 439. a. Accord de L’orgue ; ordre à
fuivre pour accorder fucceirivement tous les jeux. I. 79.
b. Moyen d'accorder les tuyaux. XL 623, a. Inftrmnent dont
on fe fert pour accorder. 1 . 80. b. Quelques inliruniens &C
matières dont fe fervent les faveurs d'orgue ; fers à fou-
der , X V , 389. a. foucture , 393. b. blanc propre à blan-
d i i r , II. 271. a. bnmilloir , 431. b. compas, l lL 760. a.
table des fadeurs d’orgue. X V . 802. b. b’oycg_ de plus grands
détails dans les planches. Vol. V. Lutherie.
Or g ue , (Mufiq.) D e l’accompagnemtnt fur l’orgue. I.
77. a. Préceptes fur la manière de doigter. V . 16. b. Point
d'orgue. IL 434. u. IV. 393. a. XII. 873. a. X lll. 849.
a. Suppl. IL 96. b.
O rgue , (Mufiq. inpr. des anc. ) Efpeces d’orgues très-
anciennes. Orgue dans le temple de Jérufalem. inftrument
chinois femblable à notre orgue. Suppl. IV. 183. a.
Orgue hydraulique, XL 640. b. Poyei^ Suppl. IL 466. a.
Orgue d’une fabric^ue finguliere. 1 1 1 . 142. u.
Orgues dans la fortification. XL 641. a.
O rgues de morts , (A n ill.) Orgue dans l’artillerie. X L
641. J.
O RGUEIL , définition. Préfervatifs contre l’orgueil. XI.
641- **•
O rgueil, Vanité, Fierté, Hauteur, (Synort.) Différentes
Lignifications de ces mots. Suppl. IV. 183. a.
Orgueil, figne d’orgueil dans la conformation extérieure ,
felon Plutarque : pafiage de Job qui le rapporte à ccite opinion.
IV. 319. b. Orgueil eftimable. V IIL 277. b. Orgueil
iofolent. 791. a. Du mépris que l’orguùlleux témoigne aux
autres hommes. X. 337. b. Volupté de l'orgueil. X V l l . 460.
u. Comment il faut prévenir l’orgueil dans un enfant. "VU.
786. .7.
O rgueil , (A rchit.) XI. 641. a.
ORGUEILLEUX , Fier , Avantageux, Glorieux, ( Synon. )
VIL 716. b.
O R IB A SE , médecin. X. 288. h. Sa doflrine fur la fai-
gnee. XIV. 302. b.
O R ICH A LQ U E , (Littér.) L’orichalqite des anciens 8c
le laiton des modernes font deux chofes fort différentes.
XL 641. a. ElHme générale ou écoit l’orichalque. Eleêlrum
des anciens , efpece d’orichalque. Métal dont il eft parlé
dans Ezéchicl. 1 . 4. Obfervailons fur une f.irte d’orichalque
dont les Caraïbes font ufage, appelle caracol'i. Ibid. b.
O R itU M , ( Gèogr. anc. ) Ancienne ville d’Epire. Par
qui elle fut bâtie. Elle fe nomme aujourd’hui Orto. XL 641. b.
O R IE N T , (Ajlron. & Géogr.) Etym. du mot. XI. 641.
b. Orient des équinoxes, orient d’é té , orient d’hiver. Ibid.
643. a.
Orient , différence entre orient 8c le vant, en termes de
géographie. IX. 434. a, Orient équinoxial. V . 881. b. Orient
d’été. 'VL 40. a. Figure fymbolique de l’orient. X V . 732. a.
Orient, (Critiq. fa ct.) Différens ufages de ce mot dans
l’écriture fainte. XL 642. a.
O rient , Empire d ', (M jîo i« ) Quelles furent les fuites
de la tranfiation de l’empire de Rome à Conftantinople. Ob-
fervaiions fur le régné de Juffinien. Moyens qui furent employés
pour monter fur le trône. XL 642. a. Caraélere
des A rabes. Leurs progrès dans l’empire. Invafion des Turcs.
Ib'id. b.
Onent, empire d'. V . 382. b. Invafion des peuples du Nord
en Orient. XL 689. a , b. D e l’églife d'Orient, vt»y«{GRECS
modernes. Il eft manifefte par l'écriture & l’iiiftoire profane,
que l’Orient eft la fource commune des nations &. des belles
connoiffances. IX. 234. b.
O rient , ( Comm. ) Différence entre les pays d’Orient 8c
ceux du Levant. XL 64-. b.
O rient , pon de l’ ( Gèogr. ) port de France en Bretagne.
X L 642. b.
O RIEN T A LE, Philofopb'ie ,( m p . de la Phiîof.) Sefte de
philofophes qui fe forma peu de rems après Jefus-Chrift
dans les contrées les plus connues de l’Afic 6c de l’Afrique.
XI. 642. b. Origine des Gnoftiqiies, Gomment ils corrompirent
la fimplicité de l’évangile. Il ne nous refte de leurs
ouvrages qu’un petit nombre de fragmens peu conftdérables.
Pourquoi ces philofophes fe donnèrent le nom de gnofliques.
Diverfes feftes d’hérétiques auxquelles on le donna. Le gno-
fifine n’a pas pris naiffance parmi les chrétiens. En quel tems
les philofophes orientaux prirent le nom de gnoJHques. Ibid.
643, a. Divers lieux où ce«e fefte pénétra. Reproche qu®
OR I flic Plotin aux gnoftiques fur le mépris qu’ils inarquoieiit
pour Platon , Sc fur l'orgueil de leur feéic. Cependant la doctrine
des gnofUques étoit un mélange de plaronifme 8c de
nydia‘’ orifme. Précis de cette doftrine. Ib'id. b. Leur divifion
en pluficmrs feftes dift'^reiites. Différences fortes de phito-
fopiiies dont ils avoient compofé le corps de leur doftrine.
Extrait de la doilrine de Zoroaftre, qui montre la conformité
de leurs idées avec celles de ce philofophe. Ibid. 644.
a. Obfcurlté effentiellemont attachée à la pliilofophie orientale.
Ib'id. b.
Orientaux. D e rcxtériciir des orientaux: obfcrvation fur
leurs paupières. XII. 203. b. Rapport de leur religion avec
celle des Egyptiens. Suppl. IV . 810. a. Différens points du
ciel vers leiqiiek le» différentes fcéles orR-males dirigent
leur culte, IX. 1 16. b. Du dcfporifme oricnial. XI. 367. a ,
b. 383. b. L’efprit des orientaux plus pÂieffeux , moins avide
de nouveauté que l’efprit des occiclcmaux. III. 347. b. Permanence
qui en réfulte dans le gouvernement 6c les ufages.
348. .1, Avantages que nous avons fur les orientaux qui
nous furpaffoicnc autrefois. VIII. 433. b. Ufage des orientaux
par rapport aux titres. X. 6. Leur amour pour les
titres. XVI. 359. b. Origine des offrandes qu’ils prél'entent
à'leurs fouverains lorfqu’ils paroiffeue di.vaut eux. XI. 377.
b. La qualité de marchand très-conlidérée parmi eux. 73.
a. Les Orientaux toujours infatués de l'aftrologie judiciaire.
ITL 22. a. Goût que les rois d’Orient avoient pour les énigmes.
V . 690. a. Du ftyie oriental. I. 2:80. a. V I . 763. b. 783. b.
V l l i . 88. b. 8<).a, h. 90. a , b. X V . 334. b. Obfervacions
fur le langage lymbolique des orientaux. IX. 242. b. O rigine
de leur langage figuré. 243. a. La maniéré d’enfelgner
par difeours figurés fort ufitée chez eux. XL 884. b. Do
leur poéfic. X il. 839. b. Leur fyftême mufical. 'Vol. VIL
des planches, Mufique, page 3. pl. 16 bis. Sur les Orientaux,
■ vçyfî A siatiques, Indiens, 8cc,
O r Iï.'HXXï., (Comm. S’ H'.ji. nat.) Qualité particulicro des
pierres précieiifes orientales. X L B44. b.
O R IF LAM M E , (H iß. de France) étendard de l'abbaye
de Siiini-Denis. Sa defeription. Louis-le-gros eft le premier
roi qui ait été prendre l’oriflamme à Saint-Denis. A qui ap-
partonoit l’honneur de la porter à la guerre. 11 eft affez vrai-
femblnble qu’il y avoir dcu.x ori.ffammè:. Dcmiere cccafion
où l’oriflamme parut dans nos ami-écs. Etym. du mot. A u teurs
à confulcer. XL 643. a.
Oriflamme , bannière de Saint-Denis. V . 710. h. V L 42.
a. Figure de l’oriflamme , vol. IL des plandi. Blafon , pl.
14. Depuis quel tems il n’en eft plus quelti-Jii dans l’iftftoire
de France- Suppl. IV . 679. b.
O R IG A N , (Botiin.) Carafteres do ce genre de plante.
XL 643. a. Ses cfpoces. Defeription de la fauv.age commune.
Lieux où elle croît. Defeription du petit origan ou de la
petite marjolaine fauvage. Ibid. b.
Origan, efpece qui lui appartient , nommée tragoriganum.
X V I . 322.
O rigan , ( Pharm. ALit. méd'ic. ) grand Sc petit origan.
On peut les fubftituer à la marjolaine. Errhiii fait de la poudre
de leurs feuilles. Ufage extérieur de ces plantes. Coiupofi-
tions clans lefquelles on les emploie. XL 643. b.
O R IG IN E , hexapiesd’ (Critiq. f.icr.) Diriércmes traductions
faites de l’écriture en langue grecque. Ordre dans lequel
Origene difpofa ces traductions avec le texte, dansfes
hexaples.^Tiet o iivn g e ne fut d’abord compofé que de quatre
v erfious, raffemblées fous le nom de téirapU. Pourquoi les
hexaples ont été quelquefois appellès oBaplcs. XL 646. a.
Q u el étoit le but d’Origene en raircmblam toutes ces ver-
fions avec l’original. Obfervations fur les verflons trouvées
l’une à Jéricho, l’autre :'i Nicopolis , 8c fur une trolfieme
q u i, felon quelques aiiteiirs, ne contenoic que les pfcaiimes.
boins que prit Origene pour rendre la verflon des feptante
aiiiTi correfle qu’il lui fut poffiblc. Figure qui nous donne une
idée de la maniéré dont Origene avoit dilpofé fes hexaples.
Ibid. b. Différentes efpeces de marques dont il fe fervoit
pour fa corrcélion de la verflon des feptante. Lien où fut
dépofé l’orkinal des hexaples. .Comment les copies s’eu multiplièrent.
Dans la fuite, on fe contenta de faire copier fim-
■ plement la cinquième colonne , ou les feptante , avec les
marques qu’Origene y avoit mifes. Ibid. 647. a. En quel teins
6c comment l’ouvrage entier a été détruit. Fragmens que
quelques autems en ont recueillis 6c publiés. Ibid. b.
Origene, fur les différentes tradiiclions qu’il a données de
la bible. Voye^ O ctaples , Hexaples 8c T étraples.
O RÎGENISTES, (H 'fl. éccl.) anciens hérétiques qui ti-
roient leur origine d’un autre Origene que celui dont on
vient de parler. Leur doéirine. XL 647. b.
Or'igèn'ijlcs , fcâateurs d’Origene Aclamamius , auteur des
hexaples. Leur doftrine. Véhémence avec laquelle quelques
doftems de l’églife ont déclamé contre Origene. Chrétiens
qui s’attachèrent à l’origénifme. XI. 647. h. Opinions bizarres
flu’ils adoptèrent. Condamnation des livres d’Origene. ib'id.
»48. b.
ORL 347 Origénifles, obfervationS fur les ouvrages, le caraélere,
VTi^^ '^“’ ^ùnens d’Origenc Adamamius; durée de rorigénifme.
XII. 341. a , b. Son fentiment fur fame. I. 330. b. Opinions
des origénifles fur la nature 6c la durée des peines de
Ic-nfer. V . 668. b. XIL 231. a. Regle d'O rlgenc fur l’iiitcr-
précation de l’écriture. VI. 763. a. Obfervations fur fa doctrine.
VIII. 318. J , i. Son fentiment fur la nature do D ieu ,
des anges 6c de l’ame humaine. 571. b. But de la création
felon ce dofteur. X. 444. PalTages d'Origeiie qui prouvent
quit croit imiveifaliftc. X l l l . 874. a , b. On lui attribue
1 opinion de la tranfmigrarion des urnes. X V I. 336. b. Branche
d'origenifles appelles liochriftes. V IIL 926. b.
O RIGINAU X , éaiis. Divers fens dans lefqucls cc terme
peut être reçu. XI. 648. a.
O riginal , ( P.jint. D.£in. Gr.iv. ) Difi'crenics acceptions
de ce mot. XL 648. b.
Originaux, en terme de l’échiqulor. XL 648. a.
ORIGINEL,/7tVé«' ( Théo log.) Divers femlmens fur la nature
du péché originel. XL 648. b. Sentiment le plus commun
parmi les théologiens catholiques. Divers l'entimens fur la
maniéré dont ce péché fc communique. Celui du P. Mallc-
branche. Celui de S. Auguftin. Autres femimons de Tcrtul-
lien , Apollinaire, 8cc. Ib'id. 649. a. 8c de quelques théologiens
catholiques. Effets du péché orig'mel. l'Fid. b.
Originel, péché. Confidèrations fur ce fujet, L 123. a. XII.
226. b. Du péché originel felon le P. Mallebranche. 1 1 1 . 852. .1.
Si la circondfion avoit été inftituée pour fervir de rcmede
au péché originel. 460. b. D e l’imputation du péché d’Adam.
V IIL 640. a. Doftrine de Pelage fur le péché originel. XII.
280. b. Celle des Sociniens. X V II . 390. a.
O R IG N A L , (H 'fl. n^r.) defeription de ce quadrupède
qui fe trouve d.ans les parties feptcmrionaies de l’Amérique.
XL 649. </.
Orignal, chaffc que hit fait le quincajou. XIII. 714. .t.
O R IG U E LA , (Géogr.) ville d'Efpagne. Ancienneté de
cette ville. Obfervations fur l’églife d’Origiula. XL 649. b.
O R IL LO N , (Fortifie. ) dans quelle vue ou fait des orillons
arrondis. On ne les fait qu’aux places revêtues de. maçonnerie.
Les ingénieurs avancent plus ou moins leurs orillons.
XL 649. b. Orillon de M. de Coéhorn. Manière de tracer l ’o-
rilion,iuivant M. deVauban. Son parapet.Poccrncspratiquécs
dans le revers de l’orillon. Embrafure que l’on peut pratiquer
dans la partie du flanc couverte par Vorillon. Ikid. 630. a.
Orillon , terme d’éguillctier Sc de foierie. X L 630. a.
O R IO N , (Aflron.) conftellarion. Influence qucluiattri-
buoient les anciens. XL 630. A
Orion, cette conftellation appcllée jugulans dans quelques
auteurs. Suppl. III. 674. b. Des étoiles qui la compofent. V I .
62. b. Manière de la connoitre dams le ciel. Suppl. IL 366. b.
Heures du puflage au méridien de l’étoile t de cette conftc-lla-
lation. Suppl. IL 894. a.
O rion, (M ythol.) fils de Neptune. Ce qu’en racontent
les mythologues. Pourquoi Virgile Un donne une taille pro-
digieufe. Obfervations fur un mémoire de M. de Fourmont,
où il rappelle l.i fable d'O rion à l’lnftoire corrompue du
patriarche Abraham. XL 630. b.
Orion, fon origine 8c fa naiffance. VIIL 224. h. Examen de
ce que dit Pline fur la taille 6c la grandeur d’Orion. VII.
'0RITF .S , ( H fl. nat. ) pierre dont parle Pline, Sc qui nous
eft incomute. Trois différentes efpeces d’orites felon les
auteurs modernes. Propriétés que les anciens leur attribuoient.
XL 631. .2.
O RI f H YE , ( Mythol. ) fille de Pandion 6c d’Eriflhée , roi
d'Atlienes. Son hiftoire. Comment Plucon a expliqué la fable
d'Orithye. Obfervations fur Borée regardé dans l’aiuiquitè
comme un prince de Thracc. L’cnlevcment d’Oriihye repré-
fenté au jardin des tuileries. XL 631. a.
O rithye, (Myth. ) fille d’Ereciée , fixieme roi d’Atlienes.
Son enlevement par Borée. Explication de cette fable. Groupe
qui reprélénte cet enlevement dans le jardin des tuileries.
Suppl. IV. 183. b.
Ü RLAMUN DE , (Géogr.) ville d’Allemagne dans la
Haute-Saxe. Ses anciens comtes. Suppl. IV. 183. b.
O R LE , ( Blafon ) dift'érence entre i’ûile Sc la filiere. Suppl.
III. 46. u.
O RLEANO IS, (Géogr.)gouvernement d’Orléanois. Oi d anois
propre. Etendue de la forêt d Orleans. Revenu annuel
des ventes de cette forêt. XL 631. A
O R LE AN S , ( Géogr. ) ville de France. Son commerce en
vins. Origine Sc révolutions de cette ville. Conciles 8c fynodes
d’Orléans. Son école de droit. Obfervations fur fon évêché 6c
fur fes évêques. XL 631. b. Obfervations fur le roi Robert
né à Orléans en 9 7 1 , 6c fur François II mort dans cette ville
en 1 360. Etat de la France fous le regne de ce dernier. Savans
illuftres dont Orléans a été la patrie. Amelot de la Houflaie.
( Nicolas) JacquesBongars.EtienneDolct./AE 632. <2.Gerard
Dubois. Nicolas Gedoyn. Siméon de Muys. Denis Pétau.
Nicolas Thoynard. Michel le ValTor. Obfervations fur ces
fol
là J
f ' I