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360 P A J
<lc pois & <lo fives. S„epL m. 7. P.Ó.. *
poinmes de terre mêlée avec celle do froment. IhJ. l 'iitc-
rentes methodes de faire le pain de pommes de terre. ^upp‘.
TV. 480. a , L 493. .J, l>- &c. Du pain de glands tic
ch.iuignes. Suppl. 1 1 1 . 233.-’ , b. Qualités du pain depau-
tre. Suppl. IV. 409. U. Du pain d’avoine. ’
pain de rima , 649. b. de fagou. 693. >
- ' de diiférentes qualités de blés. Suppl. 1 . 9 ^^-
Produit CU
du foi
e , Ib,</. b. de l'orge. 923. .t. Do h quantité de
e produit une quantité déterminée de fiirinc félon
h qualité. Suppl. 1 1 1 . f). U. Poids du pain qui réfulte don
feptlcr de blé. Su/wl. IV. 7S1. u. Obfcrvations fur 1 ulagc
du pain relativement à la fanté. XI. 220. b. Qualité dn pain
bis que font les boulangers aprc.s avoir fait remoudre leur Ion.
Su'-’pL III. 6. U. Danger du pain de farine de blé nouveau
ou de blé germé. 7. De la façon 5 c de la vente du
pain. II. 361. <r. Du pétrilfage , voyc^ ce mot Sc ! article
P é trir. D e l’arc de cuire le pain, voye^ B o u l an g e r . Chapelet
le pain. 111. 173. b.
Pain , ( Jurifp. ) être en pain ; être hors de pain ; tneitrc
liors de pain. X L 730. b.
P.-UN i/'ndff, ( C’uwOT. ) }fl. 731. J.
Pain d',tßin.igc, {Füudcrie) XI. 731. u.
P.AlN , arbre c ( Batan. ) do fou fruit. Suppl. IV. 649. b.
P ain béni , ( Hifl. ccd. ) Ufages des premiers ficelés ;_tous
k s hdeles purticipoient à la communion du pain coiuacre.
Changement établi à cet égard. Dépenfes confidérables occa-
fionnécs par l’iifagc de donner au lieu de pain des gâteaux
iLlicacs. Réforme propofee , foit lur cet ^ objet , foit fur
rul'age des cierges 6c luminaires dans les cgliles. XL 731.
a. Vraie idée de''la religion à laquelle on hiblticuo une piété
grod'iere 5 c trompeufe. Ibid. b.
P.iin béni, dit agnus-dei. L 179. a. Il cft démontré que
le pain béni coûte en France plufieurs millions par an. V.
7-;7. b. Pain facramental que les Grecs tliftiibiient à ceux
qui r'oni pas communié ; origine de l’ufage du pain boni.
V L 15S.
Pa in , (CirUr) XI. 731. b.
Pa in , {^BlancliiJJ'.'\ XL 731. h.
Pain de bougie , (_Cirerü) XL 73I. b.
Pain à chanter, ( OKW/?«r ) X L 73 i . b.
Pa in de chapitre, (^Termc eccléjî.ijl.) celui qu’on diflri-
bue aux chanoines dans quelques églifes. X L 751 . b. 1 1 étoit
autrefois fi excellent , qu’on appellolc pain de chapitre les
ineilleuves chofes. 732. j . Pain conjuré, pain d'épreuve, en ufage autrefois chez les
Anglo-Saxons dans les caufes criminelles. XI. 332. a.
Pain .i c o u c o u , { B o t . ) X L 732. a . V o y e i A l l e l u i a .
Pain d e c r a ie , { A m i d o n . ) XL 732. a . P.nn-d'èpice , u’’age dn pain-d'épice en qualité de cata-
plafme matunuif. XL 732. a.
Pains-d'spice , moule pour les faire. X. 789. a. Pâte pour
les pains d'épice. X ll. 166. b.
Pain-d'epicier ,cs\m qui fait 8c vend du pain d’épice. XL
732. a .
Pain fojßlc, {Hiß. nat.) pierre qui a la forme d'un pain.
Lieux ou il s’en trouve. Poids confidérable de quelques-uns.
X I. 732. a.
Pain de lie, (^J^maigr.) XL 732. b.
Pain de liejuation , {Metallurg.) X L 732. b.
Pain de munition, {A n milit.) XL 732. b.
Pain de munition, comment il doit être fait. III. 710. a.
Du pain néceffairc à une armée. X V . 38-3.0. Projet d’ac-
comumer les foldats à fe nourrir de bifcuic. X. 863. b.
Pain de pourceau, {Botun.) caraéleres de ce genre de
plante. Ses efpeces. Defeription de lapins commune. X L 73 2. b.
Pain de pourceau , {M ut. médlc. ) faveur de la racine. XL
732. b. Elle eft un t ré s -violent purgatif hydragogiie.
Propriétés de cette racine pour l’iifage extérieur. Compofi-
tion 5c propriétés de l'onguent appeliè de arthanitâ. Ibid.
733. a.
Pains de propoßtion, {Criliq facr.) il étoit défendu aux
laïcs d’en manger. Comment les Hébreux cuifoient leur pain.
X LP a7i3n3s. dae. propoßtion. XIII. Table des pains de
propofition. X V . 799. a.
Pains de Rheims. XL 733. a.
Pain de rive, {Boulang.) X L 733. a.
Pain de rofes, {Pluinnac.) en quels cas 6c comment on
le fert de ce remede. XL 733- a.
Pain de rofes, {Parfum.) X L 733. b.
Pain , {Potier de terre) XL 733. b.
Pain de favon , ( Savonn. ) XL 733. b.
Pain de fucre, {Rafin.) XI. 733. b.
Pa in b lan c , ( Géogr. ) village de Bourgogne près de
Nuys. Obfcrvations fur les ouvrages de dom Clémencet,
de la congrégation de S. Maur. Suppl. IV . 218. b.
PAJOMIRIOBA , {Bot, exot.) arbrilTeau duBrcfil. Sa defeription.
XL 733. b.
P A I
P A JO N , {Claude) théologien. X IV . 334. b.
PAJON ISTE S, {Hiß. ecci.) feftateurs de Pajon parmi
les réformés. XI. 733. i.
PAIR , {Ariihm .) tout nombre pair cft determine vers
h droite par un chiffre pair ou par 0. Un nombre pair
étant combiné avec un autre a , l’effet de cette combi-
naübn fera de même nom que ce nombre a. On demande
h y eft pair ou impair. On ne peut s’empêcher de reconnoitre
que, comme ligne ou chiffre , tous les caraélercsdc
pair lui conviennent. D e quel nom doit être confidéré c» ou
l'infini. XI. 734. a.
P.iirs, nombres. X L 102. b. Nombre pairement pair. 767. a.
Pa ir ou non, {Jeux de hafard) Lorfqii’on vous préfente
une main fermée pleine de jettons, 6c que l’on vous demande
li le nombre en eff pair ou non-pair , M. de Mairaii
a trouvé qu’il y avoit de l’avantage à dire non-pair plutôt que p.iir. Raifons liir lefquelles ce fentiment s’appuie. XL 734.
Pa ir de France, {Jurifp.) premiere dignité de l’état.
L'origine des pairs ell plus ancienne que celle de lapainc.
Acception 8c ufage du nom de p.iir fous les deux premieres
races. Premier âge de la pairie. XL 733. b. Liage
établi chez les F ancs , 6c dans les premiers tems _ de la
monarchie, d'être jugé par fes pairs. Les Anglois prati([uent
encore aujourd’hui la même choie. An commencement de
la monarchie , les didinêlions perfonnellcs étoieni les ieules
connues, 6c le clioix des juges ne pouvoir éire pris que
fur le grade de l’accnfc. La valeur militaire fut toujours
la bafe'^du fyHeme politique fous le gouvernement féodal.
Ibid. 736. a.' Second dgc de la p.tirie elle ctqit alors une
dignité attachée à la poffeffion d’un riet. To ut rief avoit les
pairies, ou ricf's mouvans de lui. Il falloir quatre pairs pour
rendre un jugement. Il fe forma dans la luice trois ordres
ou claffcs -, favo ir, de la religion, des armes ^ de la jiil-
tice : tout officier royal devint le l'upérlcur & le juge de
tous les fujets du r o i, de quelque rang qu’ils tuflent. Vclhges
qui relient encore de l'ancien nfnge fuivaiu lequel chacun
étoit jugé p..r fes pairs. Troißeme âge de la pairie : celui où
les pairs de France commencèrent à être diilingnés des antres
barons. Premier aéte où l’on voit cette diüinélion. yln-
ciens pairs. Les plus anciens p-airs font ceux auxquels on
donnoit cette qualité du tems des deux premieres races , 8c
même encore au commencement de la troificme. Jbid. b.
L’origine de la pairie réelle remonte auffi loin que celle des
fiefs. Sentiment de Boulainvilliers fur ce qu on eniendoic
par pair de France du tems de Hu gu e s-Capet. On entend
coininnnément par le terme d’anciens pairs de France , les
douze barons auxquels feuls le titre de pairs de France ap-
partenoit du tems de Louis VII. Le royaume difiribué en
fept grandes provinces fous Charles III. D ’où fe formèrent
les fept pairies qui fubfirioient à l’avénement de Uuges-Ca-
pet à la couronne. Ibid. 737. a. Plufieurs tiennent que ce fut
Louis VI. qui infiitua les douze anciens pairs. Examen de
ce fentiment. Lettres d’érebîion. Les pairs n’avoienr point de
lettres d’éreélion de leur terre en pairie. ê. Premieres
lettres que l’on trouve d'creélion en pairie. Plufieurs des
anciennes pairies laïques étant réunies à la couronne , on
en créa de nouvelles par lettres-patentes. Mécontentement
de la Bretagne lorlque ce duché fut érigé en pairie. Erections
fiicceülves de quelques pairies en faveur des princes
du fang. Les fix pairies eccléfialliques font les plus anciennes
de toutes celles qui fiibfiftent préfentement. Créations de
pairies en faveur de princes étrangers 8c d’autres feïgneiirs.
Ibid. 738. a. Enumération des pairs de France aéluels. Pairs
eccléfiaftiques. Ibid. b. Pairie mâle. Pairie femelle. Anciennement
les femelles ne fnccédoient aux fiefs qu’au défaut des
mâles , ou lorfqu’elles étoient appellees à la fucccffion par
leurs pere Sc mere ; elles fnccédoient ainfi aux plus grands
fiefs : exemples. Depuis long-tems les pairs femelles n’ont
pins entrée au parlement. Pairies femelles en Angleterre.
premier pair de France. Avant que les princes du fangeulTeiit
été déclarés pairs nés, c’étoit le premier pair eccléfiaftique
qui fe difoit premier pair de France. Qualification que fe
donnoit l’archevêque de Rheims. Ibid. 759. a. Aujourd’hui
le premier prince du fang, autre que ceux de la famille
royale , a feul droit de prendre ce titre. Doyen des pairs.
Hommage. Les rois 6c les autres princes étrangers ne font
pas difpcnfés de l’hommage pour les pairies qu’ils poffedent
en France. Ibid. b. Forme de l’hommage que le comte de
Flandre rendoit au roi. Reception des pairs. Ibid. 760. a.
Serment des pairs. Préfentation des rofes. FonBions des pairs.
Ibid. b. Quelles font ces fondions au facrc des rois. Anciennement
les pairs étoieni appelles aux aéles publics de leur
feigneur, pour les rendre pins authentiques par leur fouferip-
tion. Le roi faifoit de meme figner les Chartres 8c les ordonnances
par fes pairs. Ibid. 761. a. Ils doivent afiifier le
roi de leurs confeils, 8c lui aider à rendre la juftice dans
fa cour , de même que les autres pairs de fiefs y étoient
obligés envers leur ieigneur. Séance au parlement. Ibid. l.
: Cours des pairs, appellee aiifiî lu cour de France ou la conr
P A I
du roi. Comment la cour dn roi fut compofée fous les deux
premieres races. Depuis que le pailctnent 8c la cour du roi
ont été unis, le parleinenc a toujours été confidéré comme la
cour des pairs. Ibid. 762. M.ds c’ell fur tout lorfqu’il
»•„git de juger un p a ir , que le parlement efi qualifié de
cour des pairs , avec la cour pariiculiere de chaque pair
qu’on appelle aujourd’hui les juflices des pairies. Cour l'uffi-
iamment garnie de pairs: c’efi la conr du parlement , lorfqu’il
s’y trouve au moins douze pairs , qui efi le nombre
neceffau-e pour juger un pair, lorfqu’il s’agit de Ton état.
Exemples qm appuient cette maxime. Ibid. b. Les pairs
lî'étoieut pas feuls juges de leurs pairs , mais ils étoient
juges par tous les membres dont la cour étoit compofée : il
fidloit leulement qu’il y eût un certain nombre de pairs. Il
a auffi toujours été d’ufage que les rois aient préfidé'au parlement
, quand il étoit quefiion d’affaires criminelles concernant
les pairs. Origine de la forme qui s’obferve en pareil
cas. Cependant il Tu t obferver que quand les pairs fe-
roient abfens an jugeménr d’un pair, il fuffu qu’ils aient été
appell.s. 763. a. Caufes des pairs. Aiicienncment, les
pairs avoienr le droit de ne plaider, s’ils vouloient, qu’au
pitrlcmern, tant en matière civile que criminelle. Aiijour-
dhiii , en matière civile , les caufes dvS pairs, quant au
domaine ou patrimoine de leurs pairies, doivent être portées
au parlement. Et en matière crimiiKlle , toutes les caufes
qui jjouyent toucher l.i perfonne des pairs, doivent
etre jugées la cour fuffifamment garnie de pairs. Ibid. b.
Convocation des pairs. Exemples qiii prouvent l’ancienneté
tie 1 ulage de convoquer les pairs. Cérémonial qu’on obCerve
pour convoquer ou fcmoiicer les pairs. Ibid. 764. a. Ajournement
des pairs. C é to it autrefois un privilege des pairs de
ne pouvoir être ajournés que par deux autres pans Ce-
p^endant cela hit pratique diverfemenr en plufieurs occafions.
Jinriii, peu-a -peu , les ajournemens en pairie ont paru fi
peu necellan-es , qffen 1470 le duc de Bourgogne fut affigné
pai un fimp c juufficr du parlement. Comment fe pratique
aujonrdhm 1 ajournement des pairs. Ibid. b. Ran^s des p.nrt
Alimens des pairs. Douaire des veuves des pair“ . Amortif-
lement. Extmihon de pairie. Ibid. 763. a. Continuation de
paine. Julhccs des patries. Reffort des pairies au parl--
UomKsazei des pairies. Sieges royaux es pairies.
P.iirs eccléfialliques qui ont confervé leur fénnee an parlement.
IV. 27. y. Jufiice par pairs. IX. 96. y
P airs , elumbre des ,{ H if. d 'A n g l.jin . c i . y , b. ee.a.
P a ir s , {H if. d’Angl. ) citoyens du même ordre. li n’y a
en Angleterre que deux ordres de fujets ; les pairs du
royaume & les cotirmines. Ce qu’on emend être jugé par
fes pairs. XI, 763. h. Tout pair du royaume a droit de
donner fa voix au jugement d’un antre pair, an lieu que
les gens des communes ne font jugés que par douze per-
fonnes de leur ordre. Obfervez que ce jugement ne regarde
que le fait. Ancienneté de cct ufage. Le.s jugemens de douze
liommes exprelTémem mentionnés dans les loix d’Alfred
C e droit des Aiiglois cil un des plus beaux qu'une nation
puiffc avoir. XL 766. a. Foye{ JvRÉ.
Pairs bourgeois. XL 766. a.
Pairs de Champagne. XL 766. a.
Pairs eccUf.ifliqucs. Ceux du pape. Ceux qu’avoient les
évêques. XL 766. b.
Pairs de Hainault. XL 766. b.
Pair des monnoies réelles. XL 766. b.
P.iirs ou prudhommes. XL 766. b.
Pairs de Fenn.indois. XL 766. b.
P airs des villes. XL 766. b. Foyc^ ÉCHEVINS.
P A IR E , {A/tatom .) affemblage de d.ux nerfs qui ont
une origine commune. Paire v.igue. Origines des dift'érentes
paires de nerfs & leur nombre. XI. 767. )i.
PAIREM EN T, {A n thm .) nombre pairemenr p air, nombre
pairemenr impair. Propriétés de ces nombres. XL 71S7, ,1.
PAIR IE , {Jurifpr.) liifioire de la pairie, voye? Pa ir
EÆ F r an c e . Comté-pairie. III. 801. b. Duché pairie. V. i ? c.
n. F ief tenu en pairie. VI. 713. e. Juge depairic. IX. 14.
Jullice pairie. 96. a.
PAIRLE, ( Blajon ) définition. Etymologie du mot XI
767. U.
Patrie, piece d’armoirie ; meubles ou pièces en pairie
Etymologie du mot. Suppl. IV. 218. b.
PAISSÜN , ( Jurijpr. ) droit de pacage ou exercice de
ce droit. Difpofitions des ordonnances par rapport à ce
droit. X I.767. b. Foyci aiilîi rarciclc Pa c a g e .
P A IT a ’^ Pe.!tijfur) vyyt^ Pa l ISSON.
rAmérlque méridionale. Def-
P ^7 4 t- XI. 678. (7.
708,
loijeau, {Fjuconn.) maniéré de le faire. XL
PJ1TKE { ^ J , ) obftrvatiom fur Tufage du laiffer
ri»!' “ *■“' "‘’r f"“’ ‘'■‘"B“ “i'
PAL lalITcr paitre de trop près la luzerne, le fain-foln , le t-efle
VI.634 .il. ’ ‘
P A IX , {Drohnat.policiq. Ce moral) examen du f.ntiment
de Hobbes, qm a prétendu que les liommes étoient fans
ceffe dans un mat de guerre de tous contre tous. La paix
e/1 K tat de fa rue du corps politique , comme la guerre
en efi la maladie. St la railun avoir fur les chefs des nati.ms
1 empire qui Im ell du , on ne les verroit point fe livrer in-
conlidèrcmuu aux fureurs de la guerre. Mais par une faia-
lue deplorable, les nations vivent entr’elles dans une défiance
réciproque ; 8c les princes peu occupes du bien de
leurs fujets , ne cherchent qu’à grofllr le nombre des hom-
mes qiiils rendent malheureux : l’cpuifement feul fcmble les
forcer a la paix, XL 768. b. Dans un gouvernement mili-
tane, les jinnces pacifiques font expofés fans celfe à la h.iine
ce aux cenfures. Le repos efi pour trop de guerriers un état
violent ô< incommode. Les prétextes ne leur manquent point
pour exciter ie défordre. Ccjsendant les princes qui .aiment
leurs peuples , favent que la guerre la plus néceffairc eft
toujours fimelk , 8c qu’elle n’efl utile qu’autunt qu’elle
afiuie la paix. 1 nrole du gr.md Gufiave fur ce fuiet Ibid
769. .7. ^
Pa i x , Calme, Traquillhé, {Synon.) XVI, 344.E
I M X , traité de, {Droit polit.) les conventions qui mettent
hn a In guerre, dilhngiiées en principales 6c en accefioires.
Combien les traités de paix doivent être inviolables 8c fàcrés.
XL 769. .7, Examen de la quefiion , fi un fouverain doit
tenir les traités de paix qu’il a faits avec des fujets rebtiles.
Auire quefiion , favoir fi un roi prifonmer pourroit conclure
un n.-!ité de paix valable 8c obligatoire pour la nation. Pour
connoiire de quoi un roi peut d'ifpofer parmi traité, il faut
faire attention à la nature de la fonverainvtc, 8c à La maniéré
dont il la poffede. Quels font les biens qu’il peut ou
ne peut pas aliéner. Ibid. b. Pour bien interpréter les clau-
fes d’un traité de paix, 8c pour en bien déterminer les
effets, il ne faut que hiire attention aux regies générales
de 1 mterprét.ition , 8c à l’intention des parties contraélan-
tes. Details fur ce iiijer. Quel cfi le plus beau traité de
paix dont l’iiifloire ait parlé. Ibid. 768. a.
Pa ix , ( H lf. anc. & mod.) officiers appelles chez les Grecs
confervateurs de la paix. VIU. 143. b. Les anibaffadeurs
charges de traiter de la paix .à Rome portoiem un caducée.
IL 327. èz. Officiers que les Romaim chargeoient de négocier
la paix. VI. 462. b. Jamais les Romains ne firent
de traités de paix que fous la coiu'ition que leurs enfei-
gnes leur feroient rendues. 42. a. Officiers en prél'cnce de
qui fe fait dans Paris la pu lication des traités de paix. IX.
311. a , b. Le châtelet tient le premier rang dans ces cérémonies.
III. 245. b.
Pa i x , {Ju/ijpr.) loi de paix publique; loi de paix reli-
gietife , en Allemagne. IV . 71. b. Homme de paix. V IIL
280. b. Ville de p.nx. XVII . 280. é.
^ ‘f'e^'flisP ufe, {H if. mod. poliiiq.) traité conclu entre
CIiar.e.s-Qiiinr 8c les états protefians , en 1533 Ce traité
violé par l'empereur Ferdinand II en 1629. Cnufe de la
giiCM-e d^ 30 .ans, terminée par la paix de Wefiphalie.
Pa i x , {Cntiq,facr.) fignifications de ce mot dr.ns récriture.
XL 770. a.
Pa i x , U baifer de , ( Hifl. eccl.) comment fc donnoit ce
baiier dans la liturgie gallicane. XL 770. b.
P.iix ,baijer de->C[. 681. a
P a i x , {Myt/jol. ) les Grecs Sc les Rom.ains honoroient
la paix comme une grande déeffe. Tem pk de iaPaix.i Rome.
Cette déeffe eut à Rome des autels, un culte 8c des fia-
tues, avant que d’y avoir un temple. Comment elle a été
repréfentée fur des méd,uiles. XL 770. b.
Pa i x , {Alyih. Lut. ) {ymbole de la paix. X V . 728. b.
731. a. Temple de la paix, XIV. 331. a. XVI. 77. a , b.
Tems de paix 8c de tranquillité cléfigné chez les anciens
par le nom de jours alcyoniens. VIU. 293. a. Bon mot de
Baiitru fur un tableau, où pour exprimer ie bonheur de la
France, on avoit peint la juflice 6c la paix qui s’einbraf-
lüient tendrement. IX. 89. b.
Pa i x , {Jconolog.Monum. Antiq ) différentes maniérés dont
cette divinité fui repréfentée chez les Grecs 6c les Romains.
XL771..Z.
Pa ix ou treve de Dieu , ( Hifl. mod. ) cefî'ation d’armes depuis
le mercredi foir jufqu’au lundi matin. XL 771. a. Foyer
T r e ved e D ieu,
P A K , {Zoolog.) defeription de cet animal. Lieux où il fe
trouve. Qualité de fa chair. XL 771. a.
P A L , {Bl.ifon) piece honorable de l’écu. Regies de bla-
fon fur cette piece. Pal cometté 8c fl imboyant. Pal contre-
pale, palifié. E yinoiogic du mor. XI. 771. j ,
P.Ü. Piece honorable. Divülon de l’ccu à 2 pals, 8c à 3
pals. Signification de cette figure fymboJique. Etymologie
du mot p.il.Suppl. IV, 119. n.
Pal. Piece honorable. Suppl. IV . 367. a. Deux pals ; trois
Y Y y y
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