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lit
Ionie romaine. Infcripcion qui fc trouve Air un arc de triomphe
qui a été autrefois une des portes de la ville. HiAoire
des révolutions de Vérone. Savans illiilircs qu’elle a produits
fous l'ancienne Rome. Cains Valerius Catullus. Obfervations
fur fes ouvrages. Ihid, b. Son cpigramme fur les deux adulteres
, Céfar ik Mamurra. Emilius Macer ; Cornelius Ne-
pos ; Marcus Vitruvius Pollio j îbiJ. 86. a. Cains Plinius
Seciintlus. Cot auteur nous a donné dans une de fes lettres
riiilloirc des ouvrages de fon oncle , &. dans une autre lettre
1.1 relation de fa morr. Les gens de goût ne fc plaindront
p.is de trouver ces deux lettres tranferites en entier
dans cet article. Ibid. b. Obfervations fur l'IiiAoire naturelle
de Pline l’ancien. Ibid. 88./’.
V É R O N E , ( Gr'ûgr. mod.') ville d’Iralie dans l'état de
V'^enife. Sa defeription. Celle de fon amphitheatre. Autres
luoiumicns d’antiquité qu’on y remarque. X V II . 88. b. O b fervations
fur qtielques hommes de lettres dont Vérone a
été la patrie ; François Bianchini ; Matthieu BoA"us ; Ibid.
89. J. Jérôme FracaAor J Jean Fratta; Guarini ; Onuphre
Panvini ; Henri Noris ; Jules-Céfar Scaliger; /■ . Paolo
Emilio. Ibid. 90. a.
Vérone. Obfervations fur V^érone ancienne. X V II . 85.
b. Des baAions de cette ville. V'Il. 192. j . Société des Incate-
njii à Vérone. V II. 644. b.
VÉRONE, {^Jeandc) on lui doit l’invention de teindre les
bols pour les ouvrages en marqueterie. X. 138. a.
V ÉRON ESE, ( F jw/ ) peintre. V . 333. a , é.XI. 394.i’.
V É RO N IQ U E , ( Bau». ) catadle tes de ce genre déplanté.
Ses efpeces. Defeription de l’efpece commune. X VII . 90.
Lieux où elle croît./éit/. b.
VÉRONIQUE, ( M.U. médic.) véronique mâle, efpece la
plus commune. AffeéHon Anguliere que les pharmacologiAes
modernes ont prife pour cette plante. Autres plantes dont
l ’analogie médicamenteufe avec la véronique cA à-peu-près
démontrée. Propriétés 8e ufages de la véronique femelle.
X V II . 90. V e lvo te .
VÉRONIQUE, terme formé de Lon, vraie image. On
l ’applique aux portraits de notre Seigneur, imprimés fur des
mouchoirs. Les véroniques font des imitations d’un célébré
original que l’on coiiferve dans S. Pierre de Rome , 8c qui
pafle pour le mouchoir qui fervit à couvrir le vifage de
Jefus-CluiA dans le fépulchre. Premier ouvrage où il eA
fait mention de la véronique. Comment les peintres repré-
fentent la véronique. Femme nommée Véronique, que quelques
uns ont imaginée avoir préfenté fon mouchoir à notre
feigneur comme on le menoit au calvaire, fur lequel mouchoir
, l'image de Jefus-ChriA s’imprima miraculeufemcnt.
XV^II, 91, a. L a o n .
V E R Q U EU X , Alofieres o\i Brians, {^Pêchc ) Maniéré
dont les pécheurs de Bayonne fe fervent de ces filets qui
font tramaillés. DiAerence entre les rets que les pécheurs
de Bar onne nomment brions , 8c ceux que les pêcheurs
de la riviere de Seine nomment aloficrs verqueux & rets ver-
quans. Defeription delà pèche qui fefaic avec ces filets. X V II .
V E R R E , ( Hiß. des Arts & Litt. ) l’invention dti verre ,
due , felon Pline , à des marchands qui traverfoient la Phénicie
, & allumèrent du feu fur les bords du fleuve Belus
pour faire cuire leurs alimens. Cliofes merveilleufes que Jo-
fephe raconte du fable de ce fleuve. Son fable naturellement
mêlé de nitre , plus propre par ce mélange à faire du verre.
Quoique quelques auteurs prétendent qu’il eA parlé du
verre dans le livre de Job xxviij. 17. XVII . 92. a. cependant
il cA certain qu’il n’en eAfait mention dans aucun endroit
de l’ancien teAament. Quelques favans auAi fe trompant
fur le fens du mot uaXs«, qui fignirie du cryA.1l, employé
par AriAophane, ont cru que cet auteur avoit parlé
du verre. Deux problèmes qu’AriAote propofe fur le v er re ,
ferqient, s ils font de lui , les plus anciens monumens de
l’exiAence du verre. Lucrèce eA le premier poère latin qui
en ait parlé. Pline prétend que Sidon eA la premiere ville
fameufe par fa verrerie, que fous Tibere on commença à
faire du verre à Rome, &. qu’un homme fut mis à mort
pour avoir trouvé le fecret de le rendre malléable ; mais
ce dernier fait eA une chimere. Avantages que la chymie
a tirés de la découverte du verre. Ibid. b. Trois ouvrages
de verre dont l’antiquité fait mention , un ordre d’architecture
en verre dans le théâtre de Scaiims , une colonnade
de verre dans un temple de l’ifle d’Aradus , 8c un globe
^leAe inventé par Aichimede. Epigramme dans laquelle
Claudien fait l’éloge de ce dernier ouvrage. Ufage que les
Romains ont fait du verre. Degré de perfeélion^auqiiel il
eA aujourd’hui parvenu./é/i/. 93. Nouvelles lumières que
le verre a fournies k la phyfique. Invention des glaces 8c
des miroirs. Imitation de la porcelaine chinoife par le moyen
du verre. Ibid. b.
Verre. Origine de l’an de faire le verre. I. 714. b. Evénement
qui donna la premiere idée de la façon du verre.
Beaux ouvrages que les anciens ont faits avec cette maticre.
Premiers miroirs qui en ont été faits. X. ç y i. a , b. Sable
dont les anciens fe fervoient pour le verre. X V I. 880. a.
Opinion de M. Henckel fur le verre malléable des anciens.
IX. 741. b. C eA une erreur de croire qu’on ait jamais rendu
le verre malléable. 947. b. Ufages qu'on avoit fait du verre
dans Herculanum. Suppl. III. 3^2.
\ e r r e , Hifl. nat. Phyjîq.) Je verre paroît être la v é ritable
terre élémentaire : le verre fe change naturellement
en argille par un progrès lent Sc infenfible. I. 646. a. Comment
il fe dècompofe. Ibid. b. DuAilité du verre. V. 157.
b. L’eau ne peut le pénétrer. 187. a. Pourquoi un 'v e rre
^ épais 8c vuidc qu’on approche fubitement du feu fe caAe.
'V I . 600. a. Comment on pourroit décompoferleverre X V I1 '
366. é.
V erre , {Verrerie & Vitrerie ) verre blanc. IV . 5 26. a b
XVII . 153. a. Verre cordeii, IV. 213. /-.cafdicux , IL 741"
b. ambicé. XVII . 107. b. Verre de cryAal. 134. b. Verre
commun , verres de couleur. 133. a. Verres dans la com-
pofition defqiiels on fait entrer l ’arfenic. Suppl. I. 3S2. a.
Pierre qui fort à faire le verre. XIII. 727. b. Verre da Lorraine
ou table de verre. X V . 803.^. Maniéré de couper le
verre. IL 837. a. X \ II. 63. b. Sur 1 art de faire le v er re , voyez
V errerie.
V e r r e , fil de verre. V . 137. h. 13 8. a. Parallèle de
la porcelaine avec le verre. XIII. 1 17. a. Cimenr propre à recoller
le verre. III. 433.11.
V erre, ( Lunetier ) comme la bonté des lunettes d'approche
dépend de celle des verres , cet article eA deAiné
à indiquer le choix que l’on doit faire de cette mattere
aufii-bien que la maniéré de la préparer. Qualités du verre
propre aux télefeopes. Maniéré de l’examiner. Comment
on le coupe pour former les objeéiifs 8c les oculaires. XVII .
94. U. Defeription des opérations fubféquenies pour préparer
le verre au travail. Le bien monter fur la molette. Faire un
bifeau tout autour du verre. Ibid. b. Maniéré de travailler
le verre , 8c le conduire fur la forme à la main libre 8c
coulante. Ibid. 93. a , b. Maniéré de polir les verres à la main
libre 8: coulante. Ibid. 96. a. ConAriiéfion d’une machine
Ample pour concaver les formes , 8c travailler fphérique-
niem les verres convexes. — Sur le travail des verres , vyyi-r
Lunetier. Maniéré de centrer un verre de lunettes. Ibid,
b. Voyez Centrer.
V erre, {Optiq.) formule générale pour trouver le foyer
des verres convexes des deux côtés. Formule algébrique
générale pour déterminer les lieux des foyers , foit réels Ibit
virtuels, d’un verre de figure quelconque. X V II . 97. a.
Verres. Quels font ceux qui prodiiifent la convergence ,
& ceux qui produifent la divergence des rayons. IV . 16'*
a. Verres concaves, leurs différentes fortes, leurs propriétés.
III. 802. b. Verres convexes , leurs propriétés. Ibid.
Verres convex es, convcxo-concaves. IV . 168. a. Verre
plan-concave 8c plan-convexe. XII. 697. a. Verres dont on
le fert pour les lunettes achromatiques , nommées crown-
g laff, Suppl. 11.636. b. 8c flint-glaff. Suppl. III. 33. a. Centrer
un verre. Suppl. IL 288. a , b. Réfr.-i(Aion des rayons
en paffant de l'air dans le verre. XIII. 893. æ, />. 8cc. — L oyer
Lentille. ^
V erre ardent, ( Pbyfiq.) Lbyrç A rdent.
V erre à facettes, {Optiq.) defeription de cette forte de
verre appelle aiiffi p o lyliedre.XVll.97. a. Voy. ce dernier mot.
V erre lenticulaire , ( Dioptriq. ) propre à aider les vues
affoiblies. L’origine de ces verres remonte à la fin du 13*=
fiecle. Il eA allez vraifemblable que ce furent les ouvrages
de Bacon 8c de Vitcllio qui leur donnèrent naiffance. On
a cru trouver dans Plaute, dans Pline le naturaliAe , 8c dans
AriAophane , des preuves , que les lunettes lenticulaires
étoient connues des anciens. Mais le prétendu paffage de
Plaute n’exiAe point ; 8c il eA certain qu’on s’eA trompé
fur le feus des termes employés par les deux autres auteurs
, en les traduifant par celui de verre lenticulaire. X VII.
97. b. C ’cA dans l’Itaiie qu’on indique les premieres traces
de cette invention. Paffage d’une lettre de Redi à Paul Fal-
conieri, fur l'inventeur des lunettes. Ibid. 98. a. Divers
témoignages qui fixent l’époque de cette invention. M.
Manni l’attribue k un nommé Sahino de gU armati. Il prétend
en avoir tiré la preuve d’un monument de la cathédrale
de Florence. Ibid. b. L'iiyeç Besicles.
Verre lenticidaire. IX. 742. b. Manière de le travailler, voyez
Lunetier.
V erre tourné, {A rts) Pline parle du verre qu’on tour-
noit de fon tems , 8c que l’on gravoit comme de l’argent.
M. de Ca ylu s , dans fon reciieil^’antiquitcs, a inféré la maniéré
de tourner le verre , qui lui a été communiquée par
M. le doéfeur Majauld , 8c que l’auteur de cct article a tranf-
crit ici mot k mot. Defeription des moyens dont on s’eA
fervi pour tourner deux gobelets de cryAal faftlce, fur un
dcfquels on a formé de pentes moulures très-déliées , qui
produifent un fort bel effet. XVII. 98. b. Préceptes fur la
maniera de travailler le verre au tour. Choix 8c prépara-
V E R tlon de l'émérll. Ibid. 99. a. Celle du iiiaAIc. Ibid. b. Des
outils à employer. J/’it/. too. a.
V e r r e , manière de dejj'mer fur le , { A r ts ) on indique ici la
maniéré de defliner fur le verre , 8c d’y appliquer l’or 8c
l’argent, communiquée par M. Majauld, docteur en médecine
, à M. de Caylus. Verre antique l'ur lequel eA repré-
fenté le buAe d’une jeune perfonne, fur lequel l’or 8c l’argent
font également employés. £11 quoi confiAe toute la
manoeuvre de cet ouvrage. Du choix du verre. X V I I . 100.
a. Du choix de l’or 8c de l’argent, 8c de leur préparation.
Ibid, b. Maniéré d’employer l’or 8c l’argent, foit en feuilles,
foit en poudre. Ibid. lOi. a. Variété qu’on peut donner k
l’ouvrage en laiffant mattes quelques parties de l’or 8c de
l ’argent, 8c en bruniffant les autres. Ibid. b.
V e r r e , peinture fur le , { A n s ) I. 33Ó. b. XII. 270. a.
Maniéré de donner au verre un rouge iranfpaicin. XIV.
403. a.
V erre , pâte de , ( Grav. en pierr. ) XII. 1 6 3 . 1 6 6 . a.
V erre <j éo/rf , ( Verrerie) XV II . lOi. b.
V erre de R uße, {H iß. nat. ) efpece de talc qu’on emploie
en Ruffle 8c en Sibérie pour taire les vitres des fenêtres.
Il fe trouve fur-tout en Sibérie dans le voifmage
des rivieres de Witim 8c de Marna. Ditpofition dans laquelle
on le trouve. Quel cA le plus eAimé. Prix de cette
marchandife. Inconvéniens attachés à fon ulage comme vitre
de fenêtre. Talc de cette efpcce dans la Carélie 8c près d’A r changel.
X V II . 1 0 2 . f'oyezTALC.
V erre de Venife, talc de , { Verrerie ) X V . 863. a.
V e r r e , {Càymie) verre des métaux , ariencion qu’on
doit avoir lorfqu’on les fond. VI. 920. b. Verre formé par
le mélange de la licargo avec des pierres viircfcibles triturées.
913. '0. Verre de plomb. XII. 775. a. Verre d’antimoine. I.
503. b. X IV . 40. a. Verre d'antimoine ciré. I. 306. a. Expériences
qui prouvent que les acides agiffent fur les verres
formés par le mélange d’une terre calcaire avec de l’argille
ou du caillou. X V . 194. a. SubAances réduAibics en verre,
voyez ViTRESCiBLE 8c ViTRiFiABLE. Sel de verre dit ana-
t ran, I. 438. b. 8c axonge. I. 909. a , b. Obfervation fur
l ’ufage du fel de verre confidéré comme fondant. VI.
916, .7 .
V e r r e s , mußqued es,{A rts) X V ll. i<^6. a , b.
V E R R ER IE , {Ariméchan.) il y a un verre qui convient
à chaque ouvrage. Cet article aura donc amant de dtvifions
qu’i l y a d’ufinesde verrerie. Or il y a , i" . la verrerie en bouteilles
6c en charbon. 2". La dift'crcnce des verreries en bois
& des verreries en charbon. 3“. La verrerie à vitres. 4". La
glacerie en glaces coulées & en glaces foulHées. i “. La verrerie
en cryAaLX VlI. 102./>.
x°. Verrerie en bouteilles en charbon. Matières k faire le verre.
Maniéré de faire le varech. X V II . 102. b. Bois les pins propres
à faire de bonnes cendres. ConAruAions des caves né-
ceffaires dans toute verrerie où l’on fe fert de charbon de
terre. G rilles. C riye rs ou niouffe. Dégager la grille. Foyer.
Tonnelles. Tifonniers. Chambres. Lunettes. Corniers. ibtd.
103. a. Couronne , calotte ou voûte. Chemife ou demi-
chemife. Arche à pot. Actremper un pot. Arches-cendrieres.
La glaie. Margeoir. Fourneau ou arche à recuire les bouteilles.
Caffetie. Place. Loge. Tour. Crochet. Ibid, b. Terre
à pot. Pots. Fonceau. Batte ou pilon. Maillet ou battoire.
Moulin. Ibid. 104. a. Manière de faire les pots. Ibid. b. Fours
Jbid. 105. a ,b . Mefures du four en toutes les parties, ibid.
■ 106. E V erre ambite./i/i/. 107-/’. Effais pour trouver la meilleure
compofition de cemire Sc de fable. Ibtd. loS. Ta-
raifon. Tuilette. Canne. Cordeline. Ibtd. b. Molette. Pincette.
Ferre. Cifeaux. Marbre ou mabre. Paiipoire. Moule. Baquet.
Cachere. Banc. Crochet. Fer à maclcr le verre. Ibid.
109. a. Verre cordelc. Ferret à écremer. Larmes. Buche ou
grande barre k mettre les pots. Rouleau. Crochets. Grand
crochet. Bodée. Pelle. Barre à porter. Bâton à porter. Brouettes.
Outils de la cave. Perches. Ibid. b. Grande barre à dégager.
Petite barre à dégager. Fourche. Outils de tifeurs.
EAraquellc ou pelle à enfourner. Poêle. liable. Pelle à remuer
ou à recuire les cendres, Pelleà tifer. Balai. Braffarts.
Maître tifeur. Fonte. Compagnons tifeurs. Deux tamil'curs.
Meilleurs qui font les bouteilles. Serviteurs ou garçons, Ibid.
110. a. Gamins. Tifeur. Fouet. Rccuireou annelcr. Defour-
ner. Macler. Raffiner. Ecremer. Meure le feu aux tifminicrs
ou tonnelles. Ibid. b. Lever les pots. Ibid. m . a. Torcher
ia grille. Faire la braife. Dreffer les cannes. Ibid. b. Cueillir
le verre. Paraifon. Jbid. 1 :2 . a. Comparaifon des verreries
angloifes 8c françoifes. Ibid. b.
2°. Dißirence des verreries en bois & des verreries en charbon.
Ibid. I l 3. a. Biliettes. Débralfer. Dêfouriier. Atre. Arches.
Bonichon.
3'’. Vetreries à vitres ou en plats. Defeription de toute la
manoeuvre./iit/. 113.^.
4". Art de la glacerie. D e la pofition des lieux Sc de remplacement
propre k établir une glacerie. Ibtd. 113. d. Matières
en tout genre néceffaires k la fabrication. Ibid. b. Des
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terres 8c de la maniéré de les travailler./é;V. 1 16. a , E ConllruAion
des foui i. de fiifion 8c fiibrication des pots, Ibid. 118.
a , b. Pieces de four. Ibid. iz i. a , b. D e la recuiffon 6c l’at-
trempage des fours 8c des creufets. Ibid. 124. /-.Choix des
matières viinfiables 8c leur préparation. Ibid. 127, a, b. Maniéré
d extraire les felsde (oütlit. Ibid. IV). a,b. Machine à ex- tr.nce. Ibid. Defeription d’une nouvelle machine. Ibid.
130. Son ufage 8c fe.s inconvéniens. Ibid. 131. a. Def-
cnption d’une troificme maniéré d'extraire , meilleure que
les deux précédentes. Ibid. b. Procédé pour la purification
des Icls. ibtd. i^z.a . Des compofitions. Ibid. b. C e que c’cA
que fritter. ConAruAion des fours à frirte. Ibid. 134, a b
D e la préparation du bois propre au tifage , 8c de la maniéré
de tifer. Ibid. b. Opérations de la glacerie & defeription
de divers outils. Ibid. 137. b. Des apprêts des glaces. Ibtd.
1 50. J , b. Du poli. Ibid. 1 5 2 .0 ,* . L'étamagu. Glates foufflees. Ibid. 133. b.
3“. Des verreries en cryjïal. ConAruAion des fours. Les
pots. Ibid. 134. b. Différentes fortes de verres qu’on fait
dans ces verreries, outre le cryAal ; le verre blanc le
verre commun , les verres de couleur, Sc les émaux. Epreuves
des compofitions. Différentes compofitions pour les cryf-
tauxSc les verres blancs. 13 3 .*j, é. Opérations de la v er rerie
en cryAal./iit/. i<^6.a,b.
Verrerie. Connoilfance qu’en avoient les tsweiens. Suppl. III.
i i .é .3 3 2 .t f . Des fourneaux. V IL 2 4 3 .a. Arches du four ,
i. 603. a , b. Banc, II. 34. b. Barres. 92. b. Cachere dans
les verreries en bouteilles. 304. a. Crochets. IV. 300. b.
Ulage de la foiigere en verrerie. VIL 219. a , b. Attrem-
per un pot. I. 856. a , b. Comment le tifeur fait la braife.
IL 393. b. Manière de couper le verre. 837. a. Cueillage,
cuoilleur, cueillir en verrerie. IV. 333.-1, /-. 334. <7. Moven
de faire un beau verre blanc. 326. a. Ufage de la magne-
fie. X. 18. b. Ce qu’on appelle ponty dans les verreries : en
quoi confiAe l’art de s’abAenir de faire du ponty. XIU.
86. a. Pierre appellee q iiocolo, qui fert à faire le veire.
717. b. Operation de dreffer les cannes, V . 112.-i, d'écra-
mer. 334. a. Planche de verrerie dans le volume X. Verrerie
en bois , ou petite verrerie à p iv e tte , 29 planches.
Petits ouvrages en verrerie. Ibtd. Verrerie en bois, ou
grande verrerie à pivette , 24 planches. Verrerie en bouteille
, chauffée en charbon de terre r verrerie françoife,
10 planches Verrerie angioife , 3 planches. Verrerie eu
glaces, voyez Glaces de miroir 6- Glacerie.
\ ERRES , mufique de, { A rts) nouvelle efpcce d’harmonie
, produite à l’aide des verres. Defeription de l’inAru-
ment dont on fe fert pour cet effet. XVI. 136. a. Maniéré
à-peu-prés femblable de produire des fons, connue des Pci-
fans. Ibid. b.
{C. Licinius) citoyen romain : defeription de
fa galerie. VII. 441, b. 8fc. Ses déprédations en Sicile. X IV .
VE R R EU X, fruits. VIL 336. b. 8/c.
VERRIER. ( Communauté ) Comnmnaïué de march-mds
verriers ou fayancicrs , établie k Pans. Ses Aatiits. XVI.
VERRERIE , nohlejfe. {Jurifpr.) XL 179. b. 180. -r.
V E R R O C H IO , {André) fuilpteur. XIV. 833. b.
V E R R O U , ( Serrur. ) différentes fortes de verroiix.
Defeription d e s.ve r ro u x à pignons qui fe ferment k clé par
le dehors, des verroux plats qui ne fontpas montés furpla-
line , 8c des verroux montés fur platine ou à reffort. X V I I
156. b.
Verroux, ouvrages de femirerie. XVII . 826. b.
VERRUE. {Chirurg.) Il n'y a rien de plus fûr pourTex-
traAion des vernies que la main du chirurgien. Defeription
des méthodes qu’il emploie. De l’ufage des corrofifs pour les
verrues. Manière d'extirper les verrues par l’applicarion d'un
fer rouge. XVII . 137. a. Méthode particulière aux empiriques.
Efpece de verrues livides ou bleuâtres, qui fembient
tendre k un carcinome ou k un cancer. Ibid. b.
Verrue appellee acrochordon. Suppl. I. 133. a.
V errue des p.2upieres, {Médec. Chirurg.) diiîérentes cfpe*
CCS de ces verrues. Premiere forte de vernie pendante, à
tète large 8c à bafe grêle. Seconde forte de verrue pendante
appellee tiuiale. Troilicine efpece k bafe large, qu'on peut
appeiler fourmilière { Voyez " " '‘^0 - CaraAeres des verrues
extérieures, 8c de celles qui attaquent la fuperficre intérieure.
XVH, 137. b. Des fuites qu’entraînent quelquefois les
verrues pendantes , 8c leur extirpation. Les verrues à bafe
large ne doivent point être coupées. Les verrues malignes
8c chancreufes ne guériffent point par des reniedes. Les re-
medes ne conviennent qu’aux verrues <{iii font k la fuper-
ficie extérieure des paupières. Remedes à employer pour ces
verrues. Ibid. 138. <1. D e la ligature des vernies pendantes.
Manière de couper les verrues intérieures, les extérieures *
6c celles qui pendent au bord des paupières. Traitement qui
doit fuivre l’opération de la ligature Sc de l’ampiuatlon. Ibid, b.