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t r i a n g u l a i r e , (Gf'ow.) compas triangulaire. Nomfcrcs
ri'iangiilalves. X VI. 6i?-
Tnan{u[.tircs , nombres. V I. 781. J. 782..2. Triangiüairepy-
ramiclai:Xni.5v.t.J-XVI.6i6./>.
TiUANGL'i-AiKE, {y‘l7iMom.) tflangiilaire de la poitrine
ou du llcmiiin. Triangulaire de la levie intérieure. Triangu-
hiro des lombes. l'oyc;_ QuAKRÉ. Oliriangiilaires dans les lii-
tiues du ernne. X V I. 617. J.
T riangulaire, b.tidillon , {^.4n milit.') II. 136.
T R fA N Ü N , (Afchït. mod.) pavillon ilb lé, conftniit dans
un parc, 6c détaclic d'un château. Delcriprion du pavillon de ce
nom que Louis X IV a fait conilruire dans le parc de Verfailles.
XVI. 617.^. yoyei BELVEDERE.
Trunon. Expériences d’agriculture frutos dans ce Wcxi. Suppl.
I.2 1S .4 .
TR IB A L LE S , les , ( Geogr. anc. ) peuples de la batTe Meefse.
Obfervations fur ces peiqiles. X V I. 617. b.
T R IB O C l, [Géopr. .me.) nation germanique qui s’établit
en déi,:à du Rhin dans une partie de l’AHace. La nuinicre
troxpriuier le nom des Tribocs n’ctl pas uniforme dans les
anciens auteurs. Infcriptlon d’un tnonumciu que les Tribocs
crigerenr en l'honneur de Valérien. Le nom de Tnhoc pa-
roit dérivé des mots germaniques drey buchen, trois hêtres ,
à l'ombre defqucls elle tenoit tes atfemblées. Ouvrage de M.
Schccpllin fur ces peuples. Pourquoi les peuples teutoniques
n’croieiupa-s portés .à bâtir des villes. X V I. 618. a. L’ancienne
All'ace regardée par les Romains comme un des boulevards
de la Gaule. Du teins où les Tribocs vinrent s’établir en
Alfacc. Principal lieu de la nation des Tribocs. Partie des
Tribocs qui relia dan» l'on ancienne demeure au-delà du
Nekcr. Ibid. b.
TR IBO N IEN , célébré jurifconfulte, 111. 378. .j. IV . 593.
a , b. 996. b. XI. 256. J.
T R IB O R D , rj!i.irtde,{ Marine) X I I I .6 7 1 . i.
T R ÏB O U L E T , fou de François I. Anecdote à fon fujet.
\ IT. 42. b.
TR IBU S des Hébreux , ( Hip. fucr. ) hiftoire des douze
tribus des Hébreux. X V I. 619. a.
T ribus S Athènes , ( Hip. d’Aihenes) Athènes dans fa
fpleiuleur étoit divifée en dix tribus. Leurs noms. Le nombre
de ces tribus ne fut pas le même dans tous les tems ,
mais il varia félonies accroill'emens d’Athenes. Il ne fut d'abord
que de quatre ,S c il fut porté jul'qu'à treize. Les peuples
qui les compofoieiu , étoient au nombre de 174. X V I.
619. J.
Tribus d’Athènes. L e fénat des cinq-cens, croit tiré de chacune
d’elles, 6c clics avoient tour à tour la préfeance. V.
816. a. Tribus de l’attique. 1. 844. a , b. Chef d’une tribu
dans les villes Grecques. XII. 335. b.
T ribu Roni.ùne rom.) ce mot fe prenoit pourime
certaine partie du peuple, 6c pour une partie des terres qui
lui appartenoient. I! faut bien prendre garde de confondre
l'état des tribus fous les rois, fous les conl'uls & fous les empereurs
; car elles changèrent entièrement de formes 6c d’u-
fages fous ces trois fortes de gouvernemens. X V I . 619. é. T r ibus
intliuiées fous Romulus, diüinguées par les noms de Ram-
nes , de Subins 8c de Luceres. Situation 6c étendue de ces premières
tribus. Leur force. Cbangemens qui leur arrivèrent
du côté des armes. Ibid. 620. u. Ces tribus confidérécs du
côté du gouvernement. Chefs que Romulus établit dans les
tribus. AlTemblcesou comices partagés en diftércnces clatTes;
les curies , les centuries, 8c les tribus. Ibid. b. Deux fortes de
curies à Rome , du tems des anciennes tribus ; les unes où
fe traitoicm les affaires civiles , & où le fénat s’affembloit ;
les autres où fe faifoient des facrifices publics 8c où fe ré-
gloient les affaires de la religion. Temples communs à tous
les Romains , Sc particuliers à chaque curie. MinlAres qui
les deffervoient. Chaiigemens que ht Scrvius-Tullius dans
l’ordre civil Sc militaire. Nouvelles tribus qu’il forma. Ibid.
6 2 1. U. Inffitution des centuries. Comices par centuries. Elles
ne commencèrent à avoir lieu qu’après l’établiffement des
nouvelles tribus, tant de la ville que de la campagne. Comment
ces tribus parvÎHreni à leur perfeélion fous les confuls.
Tribus de la ville 6c de la campagne établies par Servius-
Tullius. Lieux quelles occupoient. Ibid. b. Tribus qui ne s’établirent
qu’infenfiblemeut, Sc à mcfurc que les Romains
étendirent leurs conquêtes ; on voit ici en quel tems & à
quelle occafion chacune de ces tribus fut établie , 6c quelle
en étoit la fituation./Hù. 622. b. Leur nombre total fut porté
jufqu’à trente-cinq. Recherches fur l’étendue qu’occupoient
les tribus qui furent ajoutées à celles de Servius-Tuliùis. Dix
nouvelles tribus créées pour les peuples conquis, Sc enfulce
fupprknéôs./Hif. 623. ^i. Comme les tribus de la ville étoient
moins honorables que celles de la campagne , les premières
ruAiques établies par Servius l’étoient auffi beaucoup moins
que les confulaires. L’auteur rappelle ici l'état des anciennes
tribus,afin d’en examiner de fuite les changemens , & montrer
que tout ce que les nouvelles entreprirent fous les conduis,
ne tendpient qu’à recouvrer l’aiiiorité que les anciennes
avoient eue fous les cinq pictniers rois, & a fe tirer de
fa fujétion où Servius-Tullius les avoir aüérvies , en établil-
faiu les tomiccs des centuries. Ibid. b. Efforts des tribus contre
les patriciens. Comme il ell quelquefois fan mention des
tribus dans les comices par centuries, on ne fautoit douter
qu’elles ne fiilî'ciit de quelque ufage dans cette forte d’affem-
blce. Il paroit qu’elles fervotenc à favorifer la tenue des
afi'einblées par centuries dans rintérieurde la ville. Tems où
les tribus commencèrent à être employées à cet ufage. Paf-
fages qui out rapport à ce lujer. Ibid. 624. a. Dit fuffrage
de la tribu prérogative. D e la levée des l'oldacs par tribus.
Quoique les levées l'e tuffem faites d’abord par centuries
, ainli que Servius l’avoic établi, il eft fùr qu’elles fe firent
auffi dans la fuite par les tribus. Manicrc donc le fuifoieiit
ces levées. A l’égard du cens , c'etoit une des occalions
où les tribus étoient le plus d’ufr.ge. Ibid. b. Tems où l’on
commença de t.iire le cens par tribus. Les cenfeurs ne dif-
tribuoieiit point les nouveaux citoyens inciiffcreminent dans
toutes les tribus , mais feulement dans celles de la ville , 6c
dans quelqucs-inws des rulliques. £11 quelles tribus étoient dif-
tribués ceux qui venoient des pays conquis , les diticrens
peuples d'Italie auxquels on uccordoit le droit de fuffrage ,
& les aff’r.anchis./éiii. 625. e. Pourquoi les Romains mettoient
le nom de leurs tribus immédiaicmeut après leurs noms de
famille 8c avant leurs furnoms. De l’ufage des tribus par rapport
à la religion. Cérémonies où leur préfence étoit abfo-
lument nécefiaire. Élection des pontifes 6c des augures par
les tribus. Autres fujets pour lefquels ces comices fe tenoient
encore. 1 “. Pour i’cleéllon des magiffrats du fécond ordre ,
minores magißraius. 2°. Pour rétablllTemeiu des ioix tribil-
niciennes. 3'". Pour certains jugemens. Ibid. b. Les tribus ne
pouvoicBt condamner au plus qu’à l’exil. En quoi leurs comices
étoient redoutables au fénat. Ces comices continuèrent
de fe tenir toujours règuliéreBient depuis leur inlliui-
lio n , fi on en c.xcepte le tems du regne des décemvirs. Mais
Céfar ne fut pas plutôt diélateur, qu’il s’empara d’une partie
de leurs droits, 8c quoique ces droits leur euffent été rendus
enfuite par Augufte , elles ne s’en fervtrent plus que
pour prévenir fes ordres ou les c.xécuier. Tibcre enfin les
luppriina entièrement ; Sc depiüs ce tems , les tribus n’eu-
rent plus de part au gouvernement. Ouvrage à confiilter.
Ibid. 626. a.
Tribus de Rome : le peuple divifé par Romulus en trois tribus.
IX. 7 1 1 . é. Efprii du gouvernement de Rome dans l’o-
tablill'ement des tribus. X'Vl. 508. b. Tribus où l’on plaçoif
les afiianchts. 1. 163. u. Comices par tribus. III. 6S1. u , b.
T r ib u s , {H ijl. mod.) du Malabar, XI. 7. a. desTarta-
res , X V . 923. b. de rindouffnn. X V . 141. a.
T R IB U L E , ( Boiun. ) caraClcres de ce genre de plante.
Ses elpeces. X V 1. 626. a. Defeription de la principale. Lieu*
où elle croit. Ufage de fa graine. Ibid. b.
TribiiU nqu.it:qtie:(i defeription. Ufage de fon fruit, conrm
fous le nom de cLîuigne d’euu. Lieux où cl!« croit. X V I.
62Ö. h.
T R IB U N , ( Hip. rom.) mot général qui fignifioit chef.
Divers officiers auxquels on donnoit ce nom. XVI. 626. b.
Tribuns , établis par Romulus , prépofés fur chaque tiibii.
X V I . 620. b.
T ribun du peuple , ( Hiß. rom.) Origine de cette ma-
glftratitrc créée l’an de Rome 259. Quelle en étoit la nauir*
Sc les fondions. X V I. 627. j . Étendue de leur autorité. Cette
puiffance prefquc entièrement anéantie par L. S y lia , mais
rétablie enfuite par Pompée. Comment cette dignité s’éteignit
peu-à-peii fous les empereurs. Ibid. b. Pour compléter
rhiffoire des tribuns du peuple , l’auteur entre ici dans le
détail des principaux faits qui les concernent, déjà indiqués
ou omis. Création des tribuns. Leur perfonne déclarée fa-
crée. Cliungement arrivé dans le gouvernement de Rome
par la création du tribunnt. Foiblefle du pouvoir de% tribuns,
dans les conimencemens. Comment il s’accrut dans la fuite.
Ibid. 628..2.ÉV éneinent qui donna lieu au droit qu’acquirent
les plébéiens de parvenir au confitlat. Ibid. b. Cicéron n’a pu
s’empêcher de reconnoitre que rétabliffement des tribuns fut
le fallu de la république. Ln quoi leur puiffance étoit vi-
cieufe. Ibid. 629. a.
Tiiburi du peuple. Origine de cette inngiftrattire. XII. 734.
b. Les triljuns étoient des magiftrats facrés. XIII. 363. u.
Droits dont ils fe piévaloient. X V I. 624. u. Obfiacle invincible
qu’ils mectoientà toute propofteion. VIII. 813. .2. X V .
8. Z2. XVII . 222. b.
T ribun miUuirc , ( Hiß. des Rom.) officier qui comman-
doit en chef à un grand corps de troupes. Nombre de ces
officiers. Par qui ils'étoient choifti Uilloire des tribuns militaires.
X V I. 629. a.
Tribuns milii.iires. Letir éleélion. III. 681. a. X. 303. b.
306. b. Suppl. IV. 672. U. Leur polie dans le camp. 674. a.
T ribun des cèUres , ( Hiß. milit. des Rom. ) officier qui
commandoit la troupe des chevaux légers des Romains.
X V I . 629. b.
T R I T R I
T ribun de foldats, ( A n riiilît. des Rom. ) officiel* darls
l'armée. Il y en avoit de deux fortes; les uns élus parle
g énéral, les autres dans les comices. Leurs fondions. X V I .
629. b.
Tribun de foldats. Officier qui foulageoit ce triburt. IV.
Ê33. tt.
T ribun du trefor, {^Antiq.rom.) tréforier des fonds mi-
'Ktaires. X V I . 629. b.
Tribuns des notaires. XI. 247. b. XIV. 864. a. Noiaircs-
ti'ibiins. X l. 247. b.
TR IB U N A L , ( Jurifpr. ) iribïinal eccléfiaffiqitc, in compétent,
inférieur, féculier, X V I . 629. b. fouverain, fupé-
rlciir. On a comparé les tribunaux aux buiffotis épineux,
où la brebis chcrclie un refuge contre les loups, 8c d’où
elle ne fort point fans y laiffer une partie de fa toifoii. Ibid.
630. a.
Tribunal, v o ye z Ch.imbre, Confeil, Jupe , &c. Tribunaux
partagés entre dcrcs Ôc laïcs. IV . 27. a. Place d’honneur dans
les tribunaux. 303. b.
T ribunal fccretde HJ-ßphalic, ( Hiß.mod. ) tribunal qui
f u t , dit-on , établi par l’c-mpcrcur Cbariemagne 6c le pape
Léon 111, pour forcer les Saxons à fe conveitir au cliviffia-
niliiie. Il paroît que c'efi fur le modelé de ce tribunal que
la cour de Pvome a formé celui de i'inquifition. Ces deux
tribunaux furent toujours également propres à anéantir la
liberté des citoyens. Étendue de l'autoricc du tribunal de
Wellplialie. Cet établiffement protégé par les empereurs.
Paffage d’Æneas Sylvius fur ce tribunal. XVI. 630. u. Il fut
entièrement aboli par Maximilien I en 1312. Noms fous
lefquels il fe trouve défigiié dans les auteurs qui en ont
parlé. Circonftances qui donnèrent lieu à fa fondation.
Juges qui compofbient ce tribunal. Ibid. b. Voyc^ V rygra-
VZ.S.
T ribunal de I’inquifition , ( Hiß. cccl. ) voyc^ Inquisition,
Defeription de la torture qu'on fait fubir dans cet
horrible tribunal. Ouvrage à confiilter. X V L 631. a.
T ribunaux des Juifs , ( Critiq. facr. ) trois fortes de tribunaux
chez les Juifs. X V I . 631. a. — f^oycr^ Sanhédrin.
T ribunaux de Rome , l^Anüq. rom.) trois fortes de tribunaux
à Rome. X V I. 631. rf.
T ribunaux, ( Hiß. anc. ) devant lefquels on plaidoic à
Athènes &. à Rome. Suppl. I. 814. b,
TRIBUNE aux haranpues, ( Antiq, rom. ) XIV. 377. b.
Suppl. 1. 814. i.
TR IBU NIT IENN E , puiffance , ( Antiq. rom. 6- Mêd.ù!l. )
Magirtrature perpétuelle dont les empereurs fe rcvctireiu.
Différence entre cette magiffrature 8c celle des tribuns du
jieuple. Comment cette jouiffance tribunùiennC étoit marquée
fur les médailles. X V I . 631. b,
Tni'ÈVm'ni.trtiZS ,lo ix , {Jurifpr. rom. ) IX. 6 6 j.b .
, poudre de {Pharmac.) XIH. 18S. a.
TR IBU T , ( ) Différentes fortes de tributs qu’on
difitnguoit chez les Romains. Différence que l’on mec en
France entre tribut 8c impôt ou impofnion. X V I. 631. b.
T ribut, (Gouvrrnr/n. Poittiq.) voye^^TAXE, IMPOSITION ,
Impôt, Subside , 8cc. Il n’y a point d’état où l’on ait plus
befoin de tributs que dans ceux qui dégénèrent. Dans les
beaux jours d e là république Romaine , on n'augmenta jamais
les tributs; dans la décadence de l’empire ils devinrent in-
fiipportables, XVI. 631.
Tributs , divifés en trois claffes ; les impôts fur les terres ,
les droits fur les tnnrchandifes , 6c les taxes pet fonnellcs ou
contributions. XVII. 668. a.
T ribut, ( Critiq. facr. ) termes employés dans l’écriture
pour exprimer les tributs 8c autres impofiti*ns. Les Juifs
affujettis par Salomon, aux corvées 8c autres comributtens
pour les ouvrages publics. X V I . 632. a.
Tribut. Pourquoi les Lévites n’en payoient aucun. Doffrine
de Jefiis - Clirill , des apôtres, 8c de quelques anciens do-
éfeurs, fur le devoir des eccléfiafiiques de payer tribut au
fouverain. VIII. 380. a.
T ribut , {H iß .) origine des trifcms religieux. XI. 371.
h. Époque depuis laquelle les papes n’ont plus payé de
tributs. V llI . 380. a. Tribut annuel que les eccléfiaitiques
payoient fous la fécondé race. 381. a. Tribut que paient
au grand-feigneur les juifs 8c les chrétiens. III. 184. b. De
l ’iifage de payer certains tributs au fouverain en lui envoyant
des enfans pour efclaves. V llI . 366. b.
T ributs , levée des, {Gouvem. ) Réflexion de M. de Mon-
tcfquic ii, fur la perception des tributs. X V I. 632. a. Voye^
C ollecte 8c Levée.
TRICEN NALES , {Antiq. rom.) efpace de trente ans,
dans la durée du gouvernement des empereurs. Il fe dit auffi
des voeux ,afIions de graces , & autres cérémonies qui fe
faifoient au bout de ce terme. Cominentles tricennales étoient
marquées fur les médailles. XVI. 632. h.
TR IC E P S , ( Anatom. ) mufde de la ciiiffe. Sa defeription.
Triceps de l’avant-bras. X V I . 633. a. An'CONÉ.
T R ICH E R IA , {B o t .) voye^ Pierre fibreuse. Suppl.
807
TR ICHIASIS , (Zfx/lcoj'. Afêu'.'c,)mahflle des yeux,confif-
tant dans l’initaiion des poils rcnirans tn-cledaiis. Ce moi
défigne encove une maladie, dit l’o;i voir dans l'urine des
rnaiades, des elpeces de poils accompagnés de mutofité. ü b -
fervation des lymptômes de cette maladie. X V I . 612. <z.—
X V II . 312. b.
T richiasis, ( C/ùr. ) maladie des paupières. Ses fympto-
rhes. XVI. 633. a. Méthode ciiiattvc. Ibid. b.
T R ICH üM A N É S , {Botan.) obfervations fur ce genre
de plante. Son efpcce la plus commune. X V I . 633. b. Payez
Polytric. ^
TR ILH O N IUM , ( Géogr. anc.) ville de l’ÉtoIie. Obfervations
fur Arriplion qui naquit dans ce lieu. Autre ville
dans la Locride , nommée Tilhronium 8< Triconc. XVI. 634. a.
TR ICLIN IUM , {Antiq. rom. ) lieu où mangeoient les
Romains. Ou donnoit auffi ce nom aux lits fur lefquels ils
mangeoient. Lorfqti’on inetiolt plus de trois lits autour de
chaque table, ou qüe ces lits contendient plus de trois per-
foniics , c’etoit un extr.'orclinaire. X V I . 634. b.
Triclinium : origine de cc mot. iX. 384. b. Pourquoi
la falle à manger croit appellée de ce nom. Refle d’un triclinium
qui fe voit à Rome. II. S13. a. — P'oyeq_ Salle a
manger.
T R IC O L O R , ( 5 ot. ) efpece d’amaramhe. Sa deiiription.
XVI. 634. h. *
TRICÜRi TUS , { Geogr. ) bourg de l’Ateique. Il n’y
a plus clans cet endroit qu'un méchant liameau. Infcription
qu’on voit à Athènes , au rapport de M. Spon , dans laqiieUe
on trouve le nom de cette ville. X V I. 636. b.
T R IC 'i R A C , ( Jeu ) defeription de ce jeu. X V I . 633. b.
Tricir.ic, tub\c du jeu de triêtrac, X V . 803. <j. Différentes
difpofitions dc ce jeu appellees jan. V ü l . 443. a , b. Bredouille
dans le triêtrac. il. 409. b. Cafe. 741. a. Coin. III. 6 1 1. b.
Coin de repos, coin bourgeois, Ibid. Baure au triéirac. IL
160. b. Dobrcdouiller. IV . 637. b. Faire une école. V . 336.
b. Enfiler. 672. b. Le jeu de triéirac repréfenté vol. IX. des
plandi. la b le tie r , pl. 2.
Triflrac à écrire: maniéré de jouer cc /eu. XVI. 637. a.
T r ic t r a c des anciens. ( Litter.) Defeription de ce jeu. Paf-
fages de diirérens auteurs cités à rdccafion de différentes
circonflances de ce jeu. X V I . 637. a.
TRICUSPIDES , valvules , ( Anatom. ) III. 393. b. X V I ,
827. b.
T R ID EN T , ( Géom. ) efpece de courbe. X V I . 63 7. b.
T rioent, {Belles-Lettr.) fccptre de Neptune. Particularités
que les mythologues racontent fur ce trtdenc X V I.
637. b.
Trident , figure fymboliqiie. X V . 730. a.
T rident , ( Pèche ) efpece de fourchette dont les pécheurs
fs fervent. XVI. 637. b. Voye^ Fouanne 8c la quatrième
planch. de pèche dans le vol. Vtll.
TR IÉL , ( Géogr. ) lieu de l’Ifle de France. Tableau du
Poufiin dans fon églife paroiffinle. X V I. 638. a.
TR IEN N AL , ( Hip. mod. ) gouvernement triennal, dans
les monalicres. Établiffement tait en 1693 en Angleterre,
des parlemens triennaux. Motifs qui ont fait abolir ce bill
triennal en 17 17 , 8c établir les parlemens dont la durée
cil de fept ans. X V L 638. a.
Triennal. Parlement triennal. XII. 68. b. Poffeffion triennale.
Xm . 166. b.
TRIE NS , ( Terme d’ .tntiquaire) 1°. Monnoie de bronze qui
étoit la croirieme partie de l’as. 2°. Taffe à boire dont on fc
fervoit ordinairement. X V I . 638. a.
T rier , ou aélffer le chiffon , {Papeterie) defeription de
cette opération. X V i . 638. b.
TR IER , ( Raffncur ) aêlioii de feparer en plufieurs tas
les différentes matières, felon les différentes qualités qui
fe trouvent dans un même baril. X V I . 638. é.
Trier fur le volet, expreflion proverbiale. XVII . 430. a.
TR IER A R Q U E $ ( Antiq. d’Athen. ) on cntendolt par ce
mot les cftoyeos ailés qui étoient obligés, comme tels ^
d'équiper à leurs dépens im certain nombre de vaiffeaux»
Détails fur ce fujet. XVI. 636. è. Diverfes raifems qui engagèrent
à fixer le nombre des triérarques à lao o hommes.
Comment on établit 6c diflribtia cette trièrarchie. Ibid. 639. b,
T R IE S T E , {Géogr.) ville d’Italie dans l’Iftrie. Réparations
que la reine de Hongrie a faites à cette ville. Ouvrage
à confiilter. X V I . 639. a.— Keyer T ergeste.
TRIETERIES , ( Antiq. Grecq.) fête que les Béotiens &
les Thraces célébroienc tous les trois ans efi l’honneur de
Bacchus. X V I . 639. a.
TR IF ILER IE, defeription de cette partie d’une ufine de
laiton. IX. 221. a , b.
T R IG L A N D , ( Jacques ) de Harlem : fes ouvrages. V I I I .
49. b.
T R IG L Y PH E , {Archit. ) intervalles entre les triglyphes
de la frife de l’ordre dorique. X. 470. a. Difficulté par rapport
à ces triglyphes. XI. 610. b.
T R I G O N E ( Gnomoniq.) iûfirumeût dont onfe