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Dcfcriptlon & hiftolre cle cctte ville. XVII. 236. Obrcr-
vations Cur trois hommes célébrés quelle a produits ; Jules
Pacius; Aiulré Palladio; Jean-GeorgeTriilino.JZ-zU'. b.
I'(tc/ictf. V in delbn lerntoire. XVII. 290./'.
V IC E N N A L , {H iji.dnc.) cc qu’on renoiivelloii tousles
vin^t aus. On trouve grand nombre de médailles avec cette
interiprion vicaulii vor./. Prières , facntices &. jeux qu’on
faiibir a chaque décennale de i’empire d'Augulle. Dans le
bas-empire , les mêmes Ibleinnités étoient célébrées de cinq
ans en cinq ans. Fêtes runéraircs appellées vicennaUs. XVÜ.
237. a.
V IC E N T IN , k , ( Géogr.) contrée d'Italie dans l'état de
Venifo. Ses bornes ^ fon étendue. Qualité du pays. X V ll.
, graveur. V II . S70. b.
V IC H E R E Y , ( Gén^r. ) dans le Souloiïbis. Si/ppl. IV. 816. u.
V lC IC ÎL l, {0/nit)i.) oileaii du Mexique , appelle tomin-
Cles au Pérou. Sa dofeription. X V I i. 237. b.
A'ICIETJX , {Alorabc) pourquoi les hommes vicieux doivent
trouver la vertu aimable. 1-373- b.
VICISSITUDES , ( p/iyji). &AhrjU') réflexions du clian-
cclicr Bacon, ùir les vicUlîtucies célcfttÿ fiiblunaircs. XVII.
- 3
dans la morale. X V IL 272.
V IC O M T E . {Hiß.&‘ Juriipr.) cc titre n’a commencé à
être ufité qu’en France.Les comtes des provinces avoieni lous
eux les ccmites des villes , mais ils n'éioient point quahliés de
vicomtes. Ces comte.squi avoicut fous eux le gouvernement
des villes le déchatgeoient des menues afl'airesde la juflice iur
tics vicaires ou ticiUL'iians que l’on appella vicem/cs ou viguiers,
&. auflî c/hlu-I.uns. M.ùs l'on donna linguliéreinent le titre de
viconue.à ceux qui tenoieni dans les villes la place du comte ,
&: ils étoienr, beaucoup plus que les autres,lieuceminsdu conue,
que l’on appelloit Tig/.’ier-f, prévôrs ou châtelains. D e ces vicomtes
, les uns étoient ra;s dans les villes pur le roi même ,
les autres par les ducs ou comtes de la province. L’inllitution
des vicomtes remonte jufl-ju’.ui tems de la premiere race. Ils
font nommés dans les anciennes lo;x mijjl, mrnißn & vicarii
cor/mum. XVII . 238. b. Dift'ércnce qu’il y avoit encre la compétence
des comics 8c celle des vicomtes. Vers la lin de la fécondé
race, les vicomtes, à l’exemple des comtes , fe rendirent
propriétaires de leur gouvernement. Les offices de v icomtes
furent inféodés. Vicomte qii’avoient fous eux les
comtes de Paris. Préfentement les vicomtes font des feigneurs
dont les terres ont titre de v'iconuè. Des vicomtes de Normandie.
[bid. 259. J. Auteurs a confulter. Ibid. b.
ricomre. Origine de ce nom. III. 800. b. Différence entre
viguier Si viconue, X\TI. 27a. a. Origine des vicomtes en
France. IX. 304. a. Loi du vicomte. iX . 678. a. La jiif-
tice vicoimiere fynonyme de voirie en quelques endroits.
X \ ’ll-4 2 i. b. Couronne de vicomte. 5 £/p/>/.IL642.
Vicomte des aides. X \ II. 239. b.
Vicornicdu domaine. X VII . 239.
Vicomte de Feau.WW. 239.é.
Vicomte extr./ordinaire. X VII . 239. b.
Vicomte fcrmier.W II. 239. b.
Vicomte ordinaire. XVII. 24O. a.
Vicomte-receveur. XVTI. 24O. a.
Vicomte, fous-. X VII , 240. a.
V IC O i ilT lE R , {Jurifpr. ) feigneur vicomticr. X IV. 893.i.
juflicc viconuiere. IX. 100. b. XVII . 422. b.
V iC T l.M A iR E , {Miß. anc.) ferviteurdes prêtres dans les
facrifices.Defciiption de fes fonclions. Portion de la viftime
qui lui appartenoit. XV^II. 240. b. PbyrçAcON.
VTCTIME humaine, {Hiß. des juperß.reiig.) il n’y a point
xPaélion atroce que l'homme ne piiiffe commettre quand le fa-
nacifmc arme fa main. X VII . 240. b. Auteurs dont les témoignages
concourent à prouver cette immolation des viélimes
humaines. Peuples nombreux qui ont été plongés dans cciie
affreufe fupetffition. Il n’y a pre-fque point eu de peuple dans
le monde dont la religion n’ait été inhumaine Sc fanglantc.
Premieres ofi'randes que les hommes offrirent aux dieux.
Selon Sanchoniaton , ce fut Saturne; felon Paufunias , ce fut
Ly caon , qui le premier offrit des viélimes humaines. L’ufage
de cette forte de facriflccs établi chez les Amorrhéens, les
Moabites, & les Phéniciens. Ibid. 241. a. Ou les pratiquolt
à Rome dans des occafions extraordinaires. Un Gaulois &
une Gauloife, un Grec Senne Grecque furent enterrés vifs
après la défaite de Cannes. Pourquoi l’on fit tomber cc fu-
neffe choix fur des gens de ces deux nations. Pendant combien
de tems l’ufage d’immoler des viélimes humaines fubfifta à
Rome. Exemples de tels facrifices célébrés chez les Grecs.
Ibid. b. Carthage avoit adopté ce même ufage, & ne le conferva
que trop long tems. G e lo n , vainqueur des Carthaginois,
ne leur accorda la paix qu’à condition qu’ils renonce-
roient à ces facrifices odieux. Les lolx romaines les proferivi-
rcm auffi chez le même peuple, mais ne purent les abolir
entièrement. Enfin nous ne pouvons douter que les Germains
& k s Gaulois ne fe foiem rendus coupables des mêmes
V I C
atrocités. Il ell vrai que les païens ouvrirent enfin k s yeux fur
1 inhumanité de pareils facrifices. Pclopidas à Tlicbes , IbiJ.
242. Amafis en Egypte.Hercule en Italie s’oppoferent dans
certaines occafions a ce cruel ulage. Au r c flc ,le s Efpagnois
trouvèrent la meme coutume établie dans le Mexique & dans
cette paitie delà Floride quieffvoifme delà Virginie. Et les
voyageurs nous allurent qu’elle lublifte encore eu quelques
endroits de l’Afie. Les Anglois exhortés à renouvellcr quelque
jour dans leurs traités avec l'Elpague & le Portugal, la
même condition de paix que Gelon avoit impofée au.x Canha- ^iwois.lbid.b.
VuTirnc humaine. Origine des facrifices d’hommes. I. 498.
l. VIII. 303. b. Ces flicrifices ordonnes par le fanaiifmc. V L
394. a , b. Ils étoient pratiqués par les Affyrieris. Suppl. I.
439. b. Sacrifices d’hommes oft'erts à Moloch. Suppl. 1 1 . 194]
b. Sacrifice d’un homme qu’on oftroit au dieu Mars quand
on avoit défait cent ennemis. V. 222. a. Sacrifices liumains
aux dieux paliques. XL 786. b. Ces facrifices pratiqués dans
les fêtes ihargeües. XVI. 220. b. Viélime humaine qu’on
immoloit cLins les villes affligées de quelque fléau. XI). 379.
a. Sacrifices^que les peres ont faits de leurs eiifans. XI. 743.
Les facrifices d’hommes abolis par Hercule dans le Latium,
IX. 304. b. & par Gelon chez les Carthaginois. XI. 770. a.
XIII. 93. h. Ufage des facrifices humains clicz les Celtes
ik les Gaulois, II. 810. a. VTI. 329. a , b. Suppl.W. 283 .-r.
chez les anciens habicans du comté de Lethraborg dans le
Dancuiarck. Suppl. III. 733. b. Ces facrifices pratiqués autrefois
chez les Mexicains, XIII. 696. a. 740. a. XVI, 417. b.
&i aujourd'hui encore dans le royaume dcBenin.XI, 710. a.
ViCTi.siE, {ylntiq. rom.) étymologie du mot. Cérémonies
qui fe pnitiquoicnt dans les facrifices à l’égard delà viétime.
X V II . 242. b. Choix des viélimes félon les dieux auxquels
on les olîroic. But de leur immolation. Noms particuliers qui
les diüinguoienr. Viilima frateidaneee , bidentes , injures, e.xi-
mix , fuccidanneæ , amb.irvales , prodigua , piuculares, har-
niga, viüiina mediaiis, prob,ita. Augure qu’on tiroit de la maniéré
dont la viéiime alloit à l'autel, de fa fuite, de fes cris ou
mugiffemens./ék. 243. u.
V ic t im e , (H iß . anc.) différence que les auteurs mettent
entre hofîie 6c viélime. VII I. 318. a. ü iig ine du mot
viaime. Jbid. Si X iV . 480. b. Les viélimes qu’on ofl'roit à
la divinité ne dévoient être fouillées d’aucune maladie. V .
727. b. Choix quoi! en faifoit parmi les païens. X IV . 481.
b. Origine de l ’examen rigoureux qu’on faifoit de chaque
viftime. V llI . 60. b. Prêtres chez les Egyptiens qui mar-
quoiciu les viélimes. X V . 183. Officiers qui les egor-
geoient. XVII. 240. b. In/peélion des cmrallies des viélunes
facrifices. I. 497. 7.46. V . 727. b. VI. 327. b. &c.Dans
la pkipart des facrifices, une partie des viélimes étoit réfervée
à ceux qui ne pouvoicnr rravaillcr. V i l l . 93. b. Ufage qu’on
faifoit du refte des viélimes. XVII. 228. b. D e leurs peaux &
de leurs entrailles. X IV. 483. Viélimes fans foie. VII I.
137. b. Viélimes appellées inferix.VlH. 700. b.
V ICTIME artißciclle , ( Lin. ) viélime faite de pâte cuite ,
imitant la figure d’un animal,8c qu’on oftroit aux d ieux, quand
onn’avoitpoim de viélimes naturelles, ou qu’on ne pouvoit
ku ren offrir d’autres. XVII. 243. b.
V ictimesylic/ï/ïéf.fizi/.v idoles , ( Crhiq. facr.) V o y e z Viandes
immolées aux idoles.
V IC T O IR E , ( ,^ r ;/«;/«. ) ce qui fait le prix d’une vléloire
ce font les obftacles qu’il a fallu furmonter pour l’obtenir.
Aufli toutes les viftoires ne font pas également glorieufes ,
8c ce n'efi point le gain d’une feule bataille qui fait la réputation
des généraux , mais 1a coutiniüté des fuccés heureux.
Il y a eu des généraux, qui fans avoir gagné de batailles
n’en ont pas été moins regardés comme de grands capitaines.
La prudence 8c ]’hum.anité ne permettent de livrer
bataille que dans le cas de nécefl'tté abfoluc. X V I I :
243. b. Cependant la plupart des généraux d’armées font
affez peu cxaéls à fuivre cette maxiliic. Eloge du général
Banier, qui 1 obfcrva fa upnkufement. Sage conduite de C é -
far dans la guerre d’Afranius. Diftérentes caufesdontle concours
allure la vléloire à un général. 11 cft peu de généraux
qui ne fafferit dos fautes plus ou moins importantes.'
Chez les G recs, l ’armoc qui redemandoit fes morts , s ’avouoit
vaincue. Ibid. 244. -j. Il y a un art de favoir profiter de la
vléloire, mais peu de généraux le connoiftent. Diftérentes
confidéraiions qui empêchent quelquefois de tirer des victoires
tous les avantages qui devraient en réfulter. Officiers
que l’on lait partir après la vléloire pour en doimer la nouvelle
au fouverain. Relations d’un combat, altérées dans les
nouvelles publiques, La relation d’une viéloire doit être faite
par le général , 8c fait juger de fes talens. Ibid. b. Seins
cjueprelcrir l'humanité après une viéloire. Ikurfuite de l’ennemi.
Ce qui doit caraélérifer une viéloire complette , c’eft
l’attaque des places de l’ennemi. Quel que foit le brillant
d’une viéloire , on ne doit pas s’en lailfer éblouir, 8c fe livrer
à cc qu’elle a de flatteur, fans foiiger aux fuites d’une défaite,
iléflexiODS doPolybc fur ce fujet. Ibid.z^^. a.
Viéloire,
V I D
Vléloire. Différentes caufes dont elle dépend. Suppl. I.
810. a. Suppl. IIL ifiï- U. Des viéloires par la force 8c de
celles par la rufe. X IV . 440. a , b. La viéloire n’eft jamais
complette que lorfqii’clle eff l’ouvrage de là cavalerie. V .
922. b. C e l l à l’ordre 8c l’cxaélitude avec laquelle deux
armée.s ennemies s’avancent, qn’oii peut juger , felon M.
Pu yfé gu r, laquelle remportera la viéloire. VI. 879. a. Ce
que doit faire le vainqueur pour rendre la viéloire complette
èc décifive. II. 134. i. D e la pourfuite des fuyards après la v ic toire.
VII.405. b.
V ictoire , ( HIß. anc. S’inod, Lite. ) la viéloire appellee
JV/cfê par les Grecs. XI. 131. i . Comment les Grecs s’affu-
roient de leur viéloire. Suppl. III. 932. b. Cérémonies qu’ob-
fervoient les Romains Iprfque k s légions avoieiu remporté
quelque viéloire. IX. 333. b. Lettres ornées de lauriersque
le général vainqueur envoyoit au fénat. V IL 330. a. Supplications
ordonnées pour en rendre graces aux dieux. X.
513. a. Sacrifices à Jupiter Feretrius après la viéloire. VI.
506. b. Trophées mii en confervoient le fouvenir. XVI.
703. b— 706. a. Cantique de la viéloire chez les Celtes.
Suppl, II. 286. Chant du TeDeumk la fuite de nos viéloires.
X V I . 3. b. Poème pour une viéloire remportée. V . 808. u.
V i c t o i r e ( Hiß. rom.) comment Augufle en confacra
la mémoire.XVII. 243.^.
V ictoire, 9««A- de la , {Antiq. grecq. & rom. ) ces jeux
célébrés en riionneur d’Augu lle , de Septime Sérere , & pour
la vidoire que Lucius Verus remporta fur les Parthes , & celle
de Gordien Pie fur les Perfes. Médailles frappées dans ces cir-
conllances. XVII. 243. é.
V ictoire , ( Myth. 6* Litt. ) déeffe de la viéloire. Temple
que les Atliéniens lui érigerent. Ceux qu’elle eut à Rome.
Commentonlarepréfentoit.XVII. 243.fi. Statues.de lavicloire
qui fe voient encore dans quelques cabinets d’antiquité. Symbole
d’une viéloire navale. Ibid. 246. <1.
Viéloire , temples de la. X V I . 8 1. Ä.
V ictoire, (Iconolog.) comment on la rcpréfentc. XVII .
246. il.
Victoire , ( A rt numifm. ) la figure de la viéloire eff un
des types les plus fréquens fur les médailles des empereurs.
Comment elle y ell repréfentée. Médailles d’Augulle où l’on
voit l’image de la viéloire. X V I I . 246. a.
"SlClOWA. de S. Aiichcl fur le diable, (Peint.) fameux tableau
de Raphaël. Ouvrage à confulter fur ce tableau. Def-
cription que Milton fait de la viéloire de S. Michel fur le diable.
XVII. 246.1t.
V ictoire, (Sculpt. Antlq.)peùiQ llatue que les anciens
ïuettoient ordinairement dans la main de leurs idoles. Denys
l ’ancien & Verrès en avoient détaché de plufieurs llatues.
XV II . 246. è.
V ictoires , place des, ( Topograph. ) à Paris. XI. 949. a.
V IC T O R , (françoisdeSaini-) philofophe arillocéÜcien.
1 . 663.1-.
V IC TO R IE N N E , période, ( Ckronol.) Voyei^ DlONYSIENNE.
V IC TO R IN , auteur du treizièmefieck : fon erreur fur la
Trinlté.XII. 181. é.
TJC’ZyS', ( Lift.) différence entre v ia « ScfugHj. XI. 746. b.
Signification du mot vicus dans la topographie de l’ancienne
Rome. X IV . 17.^-.
VID A., (Marc-Jérôme) obfervations fur fon art poétique.
XII. 848. m
V\D A 'M E ,(H }ß.& - Jurifpr.) celui qui repréfente & tient
la place de l’évêque. Etymologie du mot. Les vidâmes en
France changèrent leur office en fief relevant de leur évêque.
La plupart des vidâmes ont pris leur nom des villes épifeo-
p a k s , quoique leurs feigneuries en foient fouvent fort éloignées.
X VII . 247. a.
rit/u7«i;j-appcllés rpi/TO/’i par quelques auteurs. V . 822. -b.
Couronne de vidame. Suppl. II. 642. a.
VID IM U S , (Jurifpr. ) copie de piece que l’on faifoit pour
fuppléer l’original. Original du nom vidimus donné à ces
copies. Leur autorité. XV II . 247. a. Langue en laquelle
elles étoient écrites. Non-feulement le r o i , mais les princes,
les grands du roy.aume 8c autres perfonnes publiques en
donnoient en ce qui les coneernoit. Ouvrages à confulter.
Ibid. b.
Différence entre les légalifations 8c les lettres de vi-
d/m/«.IX.338.f>.
V ID IU S , ( Vidus) anatomifle. Suppl. I. 393. n. Ne rf de V i dius.
Suppl.W . 14. a.
V ID OM N E , (H iß. de Geiteve) les vldomnes avoient été
infiitués pour défendre les biens temporels de l’églife
8c de l’évêque. Amedée V acheta le viclomnat de Guillaume
de Conflans, évêque de Geneve, Abolition du vidom-
n a t , lorfqu’on établit la cour du lieutenant 8c des auditeurs.
X V II . 1 4 7 -i-
V ID O T A R A , (Géogr. anc.) golfe de la Grande-Bretagne
fur la côte occidentale de l’Ecoffe. Erreur de Ptolémée fur ce
golfe. XVII . 247. b.
Tome II.
VI E 857
(Géogr.) ancien lieu du Bénunoîs. Suppl, L
V ID U C ASSIUM ctvitas , ( Gcûgr. anc. ^ ancienne ville
des Gaule s , 6c la capitale des peuples Vacliocaffes ou Ba-
diücaffes. Les ruines de cette ville ont été trouvées près
d’un village de Baffe - Normandie qu’on appelle vieux à •
deux lieues de Caen. Divers monumensd’antiquité, X V II .
248. a. inferiptions 8c médailles trouvées dans ce lieu. En
quel rems ta ville des Viducaffiens doit avoir été détruite.
M. l’abbé Belley croit que fon ancien Ibid. b. nom étoit Arie^enus
V ID U IT É , (Jurifpr.) la condition de demeurer en v iduité
peut être impofée à quelqu’un par celui qui fait une libéralité.
Année de viduité. X'V'II, 248. b. Droit cle viduité
en pays de droit écrit, 8c dans la coutume de Normandie! Ibid. 249. a.
V IE , (Phyfiolog.) mouvement continuel des folides &
des fluides de tout corps animé. D e ce double mouvement
liait la nutrition, l’accroiffement, auquel fuccede-lc décroif-
foment 8c la mort. L ’cpaiffiffement des humeurs , l’offifîca-
tion des vaiffeaux , 'font les trilles, mais néceffiires effets
de 1 a vie. Impoffibilité d’empêcher par aucun remede la
deftruétion iiifenfible de notre machine. L’auteur des caractères
en a fait uu tableau d’après nature, qui termine cet article.
Vous trouverez le commentaire de cc tableau au mot Vicil-
lejfe. X V II . 249.
Vie. En quoi elle confide. IX. 930. a. FomSions qui lui
font effentielles. X. 721. a. X IV . 628. b. Mouvemens des
organes d’où réfulte la perfoélion de la vie. Suppl, IV. 70.
b. La dilatation 8c la contraélion des dimenfions extérieures
du corps néceffaires à la vie de tour anim.il. III. 396. b.
Principes des mouvemens par lefquels lu vie ed entretenue :
diverfos hypothefos fur ce fujet. VI. 3 6 3 .^— 371. a. X.
220. a , b. Examen de la quedion , fi l’air porte dans le
fang des particules aflives , néceffaires à la vie des animaux. Suppl. IV. 621. a , b. Vie continuée après l’extirpation du
coeur. Suppl. II. 494. b. La vie fomble dépendre d’un perpétuel
inéquilibre ; développement de cette propofition. V I .
666. b. La vie partagée en différens périodes felon k s progrès
ou la décadence du corps. Suppl. I. 198. b. 8cc. Sknes
généraux qui préfageju une vie faine 6c longue. X IV . 629.
b. A quoi Hérodote attribue la longue vie des Ethiopiens.
II. 31 1. a. D e la durée de celle des patriarches, v o y e z ce
dernier mot. Ce qui condituc la caufe effentielle de la v ie ,
tend de plus en plus à devenir la caufe de fa fin. VI. 668.
b. Terme général de la vie humaine. Suppl. I. 200. a. Chaque
indaat de la vie ell un pas vers la vieilleffe 6c vers I.1
mort. XIII. 764. a , b. Pourquoi la vie ed bornée dans fa
durée. VIL 339. b. Des âges de la vie 8c de leurs maladies.
I. 170. a , b. Année climaftériquedela vie. III. 332. >j.
Sur le principe v ita l, voye^ (ECONOMIE ANI.MALE.
V ie , durée de , (Arichm. polit.) M. Dcrham tire des différentes
durées de la v ie , avant & après le déluge, un argument
en faveur de la providence. XVII. 249. a. Lu durée
ordinaire de la vie de l’homme , a été la même dans tous
les âg e s , depuis que le monde a achevé de fo peupler.
Exemples de vieillcffes extraordinaires tirés de l'hidoire naturelle
du do'deiir Plott. Auteurs modernes qui ont effayé
d’établir l’ordre de la mortalité des hommes par le moyen
des regiflres mortuaires de differentes villes. C e que nous
avons de plus achevé en ce genre , c’efl l’ouvrage de M.
de Parcieux, de la fociété royale de Montpellier , imitulé : Ejfai fur les probabilltés'de la durée de la vie humaine. Utilité
de cette forte d’ouvrage pour les rentes viagères 8c pen-
flons. Ibid. b. Principes 8c obfervations d’après Icfquelles M.
de Parcieux aéiablifosprobabiliiés fur la durée de la vie humaine.
Ibid. 230.U, h.
Table. Comparaifon des différentes tables qui ont été
faites pour montrer l’ordre de mortalité du genre humain,
ou les probabilités que les perfonnes de chaque âge ont de
vivre jufqu’à un autre âge. Ordre établi par M. Smart, fur
les regiflres mortuaires de Londres, Sc reûihé par M. Simpfon.
Ordre établi par M. Halley , fur les regiflres mortuaires de
Breflau. Ordre établi par M. Kerfeboom fur les rentiers-viagers
de quelques villes de la Hollande , 8c autres obfervations.
Ordre établi par M. de Parcieux fur les lilies des tontines
de 1689 8c 1696. Ibid- 251. , b. Explication de cette table.
Ibid. 232. b. Etat des baptêmes & morts de la pa-
roiffe de faint Sulpice pendant l’efpace de 30 années. Ibid.
Vie, durée de la. Sa duree moyenne, Suppl. IV. 303. b.
Cette durée comparée à celle d’autres animaux. Elle peut
fe mefurer par celle du tems de l’accroiiTement. Moyens
naturels de la prolonger, l. 89. a , b. VIII. 260. b. Calculs
des probabilités cle la durée de la vie humaine. XII. 920.
a. Obfervations fur lefquelles a été dreffée la table cle ces
probabilités. VIU . 238. a. Cette table fe trouve. 261. Auteur
qui a principalement écrit fur les probabilités de la vie. Suppl.W, b.
H H H H H h h h h h